Obligation de Choix 2 : Licence parce que je devais mettre qqch.
J’ai été pris dans le second choix aussi. J’ai donc mis un postulant véritable en liste d’attente le temps que je parte avec le choix 1.
Le
30/04/2018 à
09h
45
Disons que dans le cas présent, deux visions de l’université s’affrontent.
L’université ne peut pas être universelle (et accepter tout le monde sans filtrage sur simple Bac) et dans le même temps avoir vocation à être une voie d’excellence. Il y a un problème. Sans avoir accès à une corne d’abondance en matière de dotation, tu ne peux pas à la fois prendre tout le monde et former les meilleurs parce que les étudiants sont tous différents et ont tous des capacités d’apprentissage différentes.
Derrière se place aussi la question philosophique de “Quel est le but de l’université ?”. Parce que quelque soit le domaine (lorsqu’il existe un équivalent non-universitaire), l’université échoue dans la professionnalisation de ses cursus. Il vaut mieux faire un BTS+1 qu’une Licence même si les deux sont reconnus comme Bachelor par Bologne.
Le gros problème d’ABP ou de ParcourSup c’est qu’ils jouent ou ont joué avec cette limite. Comment mettre en place un filtrage sans ouvertement dire que l’Université n’est plus universelle. Avant toute forme de discussion sur l’algorithme, il faut s’accorder sur le rôle et la définition de l’université.
Basiquement, en Suisse, l’Université est ouverte à toute personne ayant une maturité Gymnasiale (En gros, un baccalauréat général (S, L, ES) ou une maturité professionnelle (Bac pro) + passerelle. Mais tout le monde n’entre pas, par faculté, par Université, il y a des concours, justement faute de place. (Exemple de la faculté de Lettre de l’Université de Genève :https://www.unige.ch/admissions/sinscrire/conditions-admissions/conditions-parti…
Raison simple : Si tu es résident depuis peu, tu ne peux pas te barrer en laissant une ardoise aux impôts derrière toi (et tu bénéficies effectivement de barème spéciaux dans le cas de la plupart des déductions fiscales, même si cela dépend de ton canton).
Pour les résidents étrangers, c’est en grande partie à cause des pays limitrophes. Jusqu’à il y a peu, la façon de faire était : Paye tes impôts dans le pays de résidence (au hasard la France) et le pays de résidence reverse la partie dépendant de la Suisse. Vu que certains pays (au hasard, la France) ont des ardoises fiscales de plusieurs années, la plupart des cantons suisses sont passés à une fiscalité à la source (et ils reversent la partie dépendant du pays de résidence).
La grosse différence en Suisse est que dans la plupart des cantons, ton revenu annuel est envoyé par ton entreprise aux impôts. Les services fiscaux sont capables d’effectuer des taxations d’office. Mais surtout, l’argent que te doivent les impôts sont soumis à intérêt, il est donc de leur intérêt de ne pas te devoir 3000chf chaque année.
Le
17/04/2018 à
07h
03
Oui, et on appellerait ça l’échange automatique d’information. Et ça serait en vigueur depuis 3 ans même.
Le
16/04/2018 à
18h
13
Tu oublies un paramètre extrêmement important de la sécurité des données (dont le droit à la vie privée n’est qu’un dérivé), c’est que la sécurité absolue n’existe pas (et que la vie privée absolue n’existe pas).
Cela acquis, il existe un principe d’échelle des moyens.
Si tu passes 15 ans à protéger une donnée qui est déjà publique (ta déclaration est légalement accessible et ce paramètre est déjà connu d’autres agents publiques hors des impôts) et dont l’utilisation n’a aucun impact, tu te méprends.
Et dans ton exemple, tu diminues le niveau de sécurité d’un élément d’identification, il y a un impact négligeable.
Le
16/04/2018 à
11h
19
Objectivement, tu as raison l’IPC moyen de 2008 est de 2.8%.
Si tu retires l’Energie dedans, il est encore plus haut.
Et si tu prends du M-12, le dernier trimestre de 2008 est négatif.
Sans préjugé de l’honnêteté de ton chef, l’IPC, on lui fait dire ce que l’on veut.
Le
16/04/2018 à
11h
06
Je dis pas le contraire.
Juste que si objectivement tu y avais le droit et qu’elle a été refusé pour un motif fallacieux, tu as déjà la jurisprudence pour toi.
Exemple du cas en question : Une augmentation globale sauf pour quelqu’un.
Le
16/04/2018 à
10h
51
Oui, cela s’appelle une comparaison.
D’où le “Il y a des pays”.
Comparaison ne veut pas dire exemple.
Mais qu’est-ce qui empêcherai une telle mesure en France ? En quoi cet état de fait (non-circonscrit au canton de Vaud, mais à toute la Suisse) serait inapplicable en France ?
Le
16/04/2018 à
10h
49
Non.
Une DRH qui refuse une augmentation parce qu’elle a lu ta déclaration et estime que tu gagnes trop.
Il y a des pubs sur toutes les chaînes. Y compris Arte, NatGéo ou autres chaînes “premium knowledge”.
2. Il n’y a pas que des publicités à la TV. Il y en a dans les journaux, les théâtres sont subventionnés par des entreprises pour certains. Les opéras également (ONP n’est qu’à 50% d’auto-financement…).
Dire qu’une expression culturelle est meilleure qu’une autre, c’est avoir une vision comparative de la culture. La culture, c’est quelque chose qui ne se mesure pas, c’est immatériel et non-borné. Et toute forme d’auto-masturbation à base de “Je regarde jamais la TV c’est pour les gogols”, c’est au plus une naïveté touchante au pire une condescendance envers tes concitoyens.
Mais comme il est de bon aloi de prendre 95% de la population pour de la merde et de râler dans le même temps contre les gouvernements “qui ne représente personne” ou “qui sont déconnecté des réalités”, n’hésitez pas. Condescendance et hypocrisie vont souvent de paire.
Le
05/03/2018 à
10h
16
Mais parce que ces news sont des attrapes-mouche pour les “Nan mais la TV c’est trop hasbeen” like.
Parce que tout le monde sait que la culture se mesure.
Mais ce contrat n’est pas un contrat que “Office”.
“Dans le sillage de l’accord « Open Bar » du ministère de la Défense, ce contrat prévoitque
Microsoft fournisse aux membres de la CAIH un support technique 24h/24,
7j/7, et surtout un droit d’usage de ses principaux logiciels : Word,
Excel, Outlook, Sharepoint, Forefront, Windows Server… Le tout pour un
forfait de 98,66 euros HT par poste.”
C’est :
l’OS
Office
Les OS serveur pour le management
Des applis centralisées
Dans le coût HT par poste, la suite Office (remplaçable) par LO est très marginale niveau coût.
Le
23/02/2018 à
13h
18
En fait, dans le cas du contrat on s’en fout.
C’est X par poste. Quelque soit ce que utilises réellement derrière.
Et ça comprends également les serveurs derrière pour la gestion (et avec un peu de bol, si c’est comme d’habitude pour le pack), tu as la suite SCCM dans le pack.
Le
23/02/2018 à
12h
59
Et je t’assure qu’il existe des entreprises qui ont des fix développé pour eux dans le cadre d’une problématique remontée au support Microsoft.
C’est lié au fait que les études françaises et la plupart des examens de ces cursus se base sur le savoir et non sur le savoir faire.
Je me souviens du BAC S où on avait des “pattern” de reconnaissance de dérivé qui t’amenait à utiliser systématiquement la même méthode. Aucune logique, juste du savoir.
Le monde de l’informatique avait désespérément besoin de Google.
Ou alors ce monde fonctionnait très bien avant et Google fait juste “de la publicité” autour du traitement de cette information là.
Il existe de nombreuses initiatives de recensement de bug qui ont un sérieux bien plus grand que Project Zéro et qui en plus, puisque non lié, ont une gestion impartiale quelque soit le firme touchée. Google, on les entends beaucoup moins quand c’est eux qui ont le nez dans la merde.
Le
19/02/2018 à
15h
24
hellmut a écrit :
il me semble que s’ils ont sorti 3j avant la fin de l’embargo c’est parce que ça avait déjà fuité ailleurs depuis quelques temps.
La faille datait de Juin 2017.
Les premiers correctifs de décembre 2017, ils ont révélé la faille un jeudi alors que l’embargo prenait fin le lundi.
Quand une faille aussi critique, dans son impact et dans difficulté de correction, est révélée trois jours avant la date par quelqu’un qui n’est pas directement partie prenante… J’appelle ça être de mauvaise fois.
Et la MAJ de Chrome est pas sortie Day1. Elle a attendu 5 jours.
Les mecs grillent un embargo pour le LOL et ils sont pas près le jour J pour leurs softs ?
Le
19/02/2018 à
10h
17
Drepanocytose a écrit :
Google améliore la sécurité du net, et du net en général, de manière désintéressée et gratuite et vous trouver encore moyen de râler…
C’est pas désintéressé.
Ils n’outrepassent jamais les embargos quand ils sont touchés eux et ont certainement la pire politique de suivi de faille (l’excuse du “c’est pas nous qui faisons les updates les arrange bien).
On remarque juste qu’ils ont un malin plaisir à sortir d’embargo des problématiques de sécurité surtout quand ils ne sont pas concerné. (cas metldown/spectre où ils ont anticipé de 3 jours la sortie d’embargo. ça ne servait à rien, aucune utilité ni plus-value. A part une branlette intellectuelle).
De plus, pour qu’il s’agisse de monnaie d’échange, il faut quand même que quelqu’un détienne ces BTC.
Pour que Paul obtienne ses 2BTC, il faut qu’il les achète à quelqu’un (FdT2 + Spread noté S2 + Commission d’AV notée CAV2) et pour que John reçoive ses dollars, il faut qu’il les vende à quelqu’un (FdT3 + S3 + CAV3)
Ce passage de € à $ a donc occasionné 7 prélèvements: FdT1 + FdT2 + FdT3 + S2 + S3 + CAV2 + CAV3
Oui. Clairement.
Pour la disponibilité des BTC, le système n’est pas conçu pour les garder chez quelqu’un vu qu’ils n’ont pas d’utilité en tant que tel. Plus il y a de transaction, plus il y a de vendeur et d’acheteur de BTC plus il y a de BTC dispo en vente pour acheter et vendre.
Après, le mécanisme des frais en prix est négligeable et le but initial était de forcer les utilisateurs à miner pour payer leurs transactions. La plus grosse erreur a été de permettre le minage de BTC comme une ressource à part entière, lui donnant ainsi une valeur basée sur une rentabilité de mineur.
Le
06/02/2018 à
13h
38
Remplacer les certificats
Avoir une monnaie de transfert
Là où est l’erreur avec le Bitcoin, c’est que lorsque l’on parle de monnaie, les gens pensent être payé avec et payer avec. Le but d’une cryptomonnaie à l’origine était de mettre en place une monnaie d’échange qui sécurise un paiement en ligne parce que le paiement devient un élément unique auto-vérifié.
(J’assume un taux 1\(=1€)
Paul achète un bâton pour 12€
John vend son bâton pour 12\)
Paul payait son bâton 12€ soit 2BTC et John recevait 2BTC qu’il échangeait contre ses 12\(.
Aucun frais de change entre le passage de € à \). Aucun contrôle d’une banque ou d’un organisme centralisé pour le paiement entre les deux.
Initialement, le système fonctionne si 1€ = 1BTC ou si 1€ = 0.00000001 BTC. Cela ne change rien. Sauf qu’on s’est aperçu qu’on pouvait parier à la hausse ou à la baisse du montant d’échange. On a commencé à investir dans un élément qui n’a pas de valeur.
Après, le système avait plein de défaut de conception
Le coût énergétique de la transaction est souvent plus grand que le montant lui-même.
Le temps nécessaire à la validation du paiement
La naïveté de croire qu’un élément ayant une traduction en monnaie réelle ne serait jamais utilisé pour spéculer.
Disons que vaut mieux X tout de suite que potentiellement X*15 après décision de justice. Surtout quand tu vois comment l’argumentaire de l’établissement stable est bien passé avec Google.
La géolocalisation des résultats étant franchement mauvaise pour tout type de recherche francophone ne cherchant pas un site français, je les ai quittés.
Tu as beau fixer Suisse FR comme localisation, les résultats français sont toujours mieux pondérés et plus haut dans les recherches.
Je rappelle également à tous ceux qui voudraient installer Windows 7 (ou 8⁄8.1 et même 2012 R2, la bonne blague) sur des processeurs récents que Microsoft va vous envoyer un joli message d’erreur à chaque démarrage comme quoi le matériel n’est pas pris en charge et que toute utilisation de Windows Update est interdite. Avec un petit mot du genre si vous n’êtes pas contents, faut passer à Windows 10.
Il existe un petit logiciel qui permet de supprimer ça. Mais c’est une honte.
Le problème est pas de Microsoft.
C’est Intel qui ne teste pas ses firmwares sur un autre noyau que NT10.
Si Microsoft ne te mets pas ce message et qu’il y a un soucis à l’utilisation parce que l’OS merde avec ce CPU, c’est eux qui sont en cause. Simple question légale qu’ils subissent, cela a déjà été expliqué à pas mal d’endroit.
Le
26/01/2018 à
08h
17
Citan666 a écrit :
Et il est tout à fait illusoire, même contre-productif, de demander à ce qu’un employé évite toute donnée personnelle. À fortiori lorsque le réseau de l’entreprise bloque un certain nombre de sites externes de type hébergeur distant de données ou webmail.
L'employé perdra bien plus de temps à essayer de placer ses données dans un endroit "non-professionnel" plutôt que juste claquer tout en vrac temporairement dans un dossier privé qu'il nettoiera/videra plus tard, potentiellement à son départ.
Mais le fait que les gens le fassent n’est pas en question.
Mon propos, encore une fois, est de dire que si tu as les usages suivants :
Consultation de site web perso (webmail, données distantes, etc.)
Stockage de document perso sans expressément taguer l’emplacement comme privé
Tu as déjà admis que tu perdais le contrôle de tes données privées.
Je connais une tonne d’employeur dont le proxy agit basiquement comme un gros man-in-the-middle pour toutes les connexions SSL faites depuis l’intérieur du réseau. Tu t’es connecté à ton webmail favori, tu as le droit de le faire, mais ton patron connaît ton MDP de messagerie maintenant. (Je grossis le trait mais globalement, il peut)
Donc mon propos est de dire : Quand tu admets déjà que cela est légal, possible et fait, la “surveillance” de Microsoft sur ton poste du boulot, c’est le cadet de tes soucis.
Citan666 a écrit :
Donc oui, la question de données personnelles au boulot a du sens, et il est inacceptable que l’on subisse des conditions d’utilisations pour un logiciel que l’on est forcé d’utiliser.
(Je dis on par empathie, moi j’ai pas de soucis, j’ai choisi une entité où ils savent apprécier les vrais OS efficaces pour le taff et respectueux de leurs users " />).
L’employeur a le droit de surveiller les connexions réseaux, et c’est une bonne pratique de gestion. En revanche il n’a jamais le droit d’aller consulter le contenu d’un fichier qui serait issu de ton webmail perso par exemple.
La surveillance du réseau implique la collecte des métadonnées. C’est exactement ce que fait Google et Microsoft.
Donc dans un environnement professionnel, la collecte de métadonnées de Google et de Microsoft serait dangereux mais celle de ton employeur pas. C’est soit incohérent soit démonstrateur d’un parti pris envers les éditeurs susnommés.
Le
26/01/2018 à
08h
04
Citan666 a écrit :
T’es complètement à la rue toi. " />
Les fichiers personnels, placés opportunément dans un dossier "Personnel et Confidentiel", ne PEUVENT PAS être lus par un employeur, que ce soit manuellement ou automatiquement. C'est ILLEGAL (sauf bien sûr mandat obtenu dans le cadre d'une action en justice).
Je ne sais même plus si l’employeur peut t’obliger à ouvrir ton dossier pour qu’il le consulte en ta présence : il me semble que cela ne doit être possible que s’il peut démontrer de fortes présomptions de présence de contenu illégal, mais pour le coup je laisse les INpactiens qui bossent dans le domaine du droit social préciser/corriger (mes connaissances sont trop vieilles, je ne fais plus de veille ^^).
Lis complètement ce que j’écris et on en reparlera.
“Les documents sont considérés comme professionnel par défaut”, c’est ce que je dis. Et ce n’est en rien différent de ce que tu exprimes, la condescendance et le mépris en moins.
Le
25/01/2018 à
09h
48
joma74fr a écrit :
Je dirais que, privé ou professionnel, c’est la même chose : pourquoi les données dans le cadre professionnel seraient analysées par l’éditeur d’un logiciel, alors que cela exige de la confidentialité ou du moins un partenariat commercial consenti (contrat commercial). Je n’ai jamais vu aucune entreprise d’accord pour avoir une quelconque transparence avec ses fournisseurs (à part peut-être avec les gros fournisseurs qu’elle connait de longue date et avec qui elle possède des intérêts communs).
Oui, le concept est le même. Je suis d’accord.
La responsabilité non. Et si tu es simple employé qui utilise un post-windows, basiquement, tu t’en fous. Après si l’idée est de se faire chier à estimer à l’aveugle les risques encourus par une entité en-dehors de ton champs d’action, c’est un concept.
Le
25/01/2018 à
09h
45
Liara T’soni a écrit :
Tu devrais être (tu es ?) ministre avec des réponses aussi profonde d’esprit. Microsoft se fou bien de savoir si ton poste est professionnel ou non. “Ah tiens, se dossier est nommé ‘personnel’, je ferme les yeux”.
Ce n’est pas ce que je veux dire.
Mon propos est que se plaindre que des données personnelles privées puissent être découverte sur une machine professionnelle est une ineptie. La loi autorise ton propre employeur à surveiller lesdites données et à donc collecter plus d’information utilisable que Microsoft avec sa télémétrie.
Cela revient à se plaindre qu’une fenêtre est ouverte alors qu’il manque un mur à ta maison.
Le
25/01/2018 à
09h
03
Furanku a écrit :
Je suis on ne peut plus d’accord avec toi. Sauf quand tu n’as pas le choix (cf au boulot par exemple, comme dit par Liara).
Même réponse. Il n’y a pas de donnée de vie privée au boulot. (Si il y en a, tu as admis par ton utilisation que tu acceptais qu’elles puissent être visible.) Des fichiers personnels sur un pc du boulot sont de nature professionnelle par défaut, ils doivent être tagués. L’utilisation des moyens informatique pour des tâches perso peut être suivi par l’employeur (Rien qu’un proxy par exemple)).
Bref, je comprends cette réflexion dans le cadre perso. Mais l’utilisation de moyen professionnel à des fins personnels impliquent pratiquement systématiquement (Dès que tu n’as pas une gestion informatique à la ramasse) une surveillance de la part de ton propre employeur. Je trouve ça ubuesque de se plaindre d’être espionné par Microsoft ensuite.
Le
25/01/2018 à
08h
55
Au travail, ce ne sont pas tes données privées qui sont dans la balance.
Ce n’est en rien de ta responsabilité.
Le
25/01/2018 à
08h
28
Y’a un truc que j’arriverai jamais à comprendre, ce sont les gens qui se plaignent qu’un outil les espionnent (selon leur vision) mais qu’ils continuent de l’utiliser.
Vous n’êtes pas lié à mort à cet outil, non ? Si les conditions de son utilisation ne vous plaise pas, rien ne vous empêche d’en changer.
Quant à la télémétrie elle-même, cela fait longtemps qu’il existe des listes, mises à jour régulièrement, qui permettent de bloquer les cibles de l’envoi de celle-ci. Comme cela permet de bloquer les jolies petites pubs dans Skype.
Il y a donc trois choix concernant cette télémétrie.
Vous en foutre royalement. C’est d’ailleurs malheureusement le choix fait par 99% de la population
Changer d’outil
Bloquer la télémétrie
Se plaindre en ne faisant rien se rapproche quand même dangereusement du 1er.
Sorry, quand il avait été arrêté (, on a changé le bousin (et tant mieux) et on a pas regardé si finalement ils avaient encore sorti un autre truc du chapeau (tmg qui avant était isa server et qui maintenant visiblement s’apelle wap…. Avec à chaque fois je présume une façon de travailler différente et peu/pas de migration possible, non ?)
En tout cas, je ne suis pas le seul à avoir entendu dire qu’il était “discontinued”
C’est l’ensemble de la suite Forefront qui a été arrêté.
Mais dès l’arrêt, on savait que WAP (C’est un rôle de Windows 2012 R2) prenait la place.
Alors oui, c’est un nouveau produit avec de la configuration à faire. Mais le propos initial était : Le produit a disparu comme ça sans prévenir et sans plan de sortie.
Le
20/01/2018 à
11h
14
briaeros007 a écrit :
tu n’utilises que ms-office chez microsoft dis moi ?
Parce qu’il y a un certain nombre de “produits” qui ont été arrêté du jour au lendemain sans support, et demande aux équipes de trouver des solutions “rapidement” (tmg par exemple …)
Non.
Et TMG a été arrêté 4ans avant la fin du support et a été remplacé par un produit interne WAP.
Le
19/01/2018 à
09h
29
C’est une question de probabilité et de capacité technique.
Quelle est la probabilité que Microsoft arrête le support de ce produit (Contractuellement, il est inscrit dans une chronologie fixe) ?
Quelle est la capacité technique à assurer soi-même le support d’un produit libre qui est abandonné par sa communauté ?
La réponse à la 1 est : approximativement 0. Et de toute manière, le support est contractuellement garanti jusqu’à dans plusieurs années.
La réponse à la 2 est : approximativement 0 pour la plupart des entreprises.
Donc quand tu es dans ce cas-là, soit tu choisis un intégrateur de produit libre qui te garanti le support manquant, soit tu choisis un produit non-libre.
Le
19/01/2018 à
09h
10
Nozalys a écrit :
le libre au contraire exige […] « des problèmes de sécurité, de plus en plus nombreux ». " />
Ouhlàlà, c'est exquis ça !
C'est un problème d'époque aussi.
De nombreuses personnes aux postes de décision dans les années 2000 sont d’une génération où le secret industriel est roi et est à la base de la sécurité des produits. Bien sûr que l’on sait maintenant que c’est faux, et que certains le disaient aussi en 2004. Mais c’était l’avis général.
Tout comme dans 20 ans, quand toutes les techniques de certificat seront basées sur des dérivés de blockchain, on se demandera comment est-ce que l’on a pu confier cela à des entreprises privées au début.
Le
19/01/2018 à
09h
07
Dans de nombreux produits, les “alternatives” n’en sont plus. Ce sont les produits Microsoft qui sont devenu des alternatives.
Mais la principale force de Microsoft, et qui est toujours un gros point fort, reste la facilité d’intégration. Certes ça peut coûter un rein, mais AD + SC + Poste sous Windows c’est relativement simple en gestion standard.
Le
19/01/2018 à
08h
41
La lettre en question datant de 2004, faut aussi remettre dans le contexte.
La version francophone d’OOO a un an, le produit dans sa forme libre 4.
Il est assez facile de discuter des a-priori techniques (et pas que) 14 ans après en ayant connaissance de l’histoire. En 2004, la structuration des produits concurrent est quand même pas au niveau actuel.
Ce à quoi on peut rétorquer que si ca a été seulement la goutte d’eau, c’est que c’était déjà trop au travail à la base.
Là n’est pas le problème.
Mon propos est qu’hors cas spécifique type mobying ou autre, il n’est pas possible de “prouver” que la majorité de la cause est le travail. Quand bien même, on est d’accord, ce soit très très souvent le cas.
Parce que le projet de loi parle de cause présumée et que le première chose qui sera débattu par le premier employeur venu sera la remise en cause de cette hypothèse.
Le
09/01/2018 à
11h
41
Le Burn-Out n’est justement pas une maladie professionnelle pure à mon sens. Et je pense que faire la différence entre un Burn-Out et les syndrômes dépressifs “conventionnels” n’est pas forcément une bonne idée.
Une maladie professionnelle, c’est le plombier qui perds ses genoux et/ou son dos à 50ans. Le livreur ou le manutentionnaire qui a un tassement de vertèbre à 35 ans. La seule (hors accident) pouvant mener à ces pathologies d’effort sont le travail quotidien.
Quelle est la différence psychologique entre un employé qui fait un Burn-Out à cause d’un métier ultra-stressant et une personne au RSA qui enchaîne les petits boulots alimentaires à 2h de chez lui et qui craque à force d’être systématiquement sur le fil ? Les deux sont des épuisements nerveux liés à un surmenage émotionnel et physique. Pourquoi l’un serait un Burn-Out pour lequel une entreprise doit payer et l’autre une dépression qui relève de la sécu ?
A mon sens, il serait nécessaire de passer à : C’est une maladie => Traitement par la sécu.
Si il y a clairement une cause professionnelle, ce devrait être un cas poursuivi d’office au niveau des prudhommes.
Le
09/01/2018 à
11h
32
Et l’employeur te répondra que c’est les conditions personnelles qui ont été “la goutte d’eau”.
Je suis largement d’accord avec vous sur le fond, juste qu’on parle ici d’argent et de loi. Le fait que la santé fonctionne comme une assurance nécessite d’identifier une cause afin de savoir qui paye.
Le
09/01/2018 à
07h
25
Le problème du Burn-Out n’est pas dans sa reconnaissance, il faudrait être fou pour dire que cela n’existe pas. Le problème c’est la prise en charge, et plus particulièrement la question de : Qui paye ?
La fragmentation de la couverture sociale (Ce qui relève de la simple maladie, c’est la sécu. Ce qui relève du travail c’est autre chose) implique qu’il doit être identifié un “coupable” pour savoir qui paye. Mais dans le cas d’une personne qui est soumis au stress au travail et qui a une vie personnelle qui part en cacahuète (sans liaison directe), qui est le bon coupable ?
Nos systèmes sociaux sont très mal foutu pour prendre en charge des pathologies aux causes multiples dont les sources se trouvent à la fois dans la vie personnelle et dans la vie professionnelle.
Domino’s Pizza n’est pas une PME. Par ailleurs ici, on ne parle pas d’erreur de procédure dans le cadre d’un licenciement pour faute grave de l’employé, mais d’une prise d’acte (faute grave de l’employeur). .
Si c’est une franchise, bien sûr que si que c’est une PME.
C’est pas parce qu’il y a écrit Macdonal, KFC ou Domino’s que l’on traite avec un grand groupe.
kwak-kwak a écrit :
La cause ici est une “prise d’acte” de l’employée (suite à une faute grave de l’employeur.) .
La plaignante reproche une détresse psychologique qui aurait été utilisée par son employeur pour lui faire signer un contrat désavantageux.
A votre avis, quand on invoque une détresse psychologique, quel serait l’intérêt de votre “ex-employeur” d’accéder à votre compte Facebook ?
Il a vendu des stock-options et des actions à terme (outright share). Les deux juste après la date lui permettant de les vendre et juste avant de devoir payer des impôts dessus.
Il n’a pas vendu d’action standard qu’il possédait. Il a vendu des actions et des stock-options qu’il avait reçu sous forme de rémunération. Le planning de vente est connu à l’avance et n’a donc aucun lien avec cette affaire. (Rule
Il n’a pas vendu des actions, il a vendu des stocks-option. Ce n’est pas la même chose. Il les a vendu normalement à la fin de la période minimum pendant lesquelles il devait les garder.
Toutes les entreprises américaines côté en bourses versent des stocks-option selon la même méthode.
Le
03/01/2018 à
13h
15
127.0.0.1 a écrit :
Historique rapide pour les jeunes et les néophytes:
la vie était belle et toute la mémoire était accessible par tout le monde
solution: isolation de la mémoire user et de la mémoire kernel (switch de mode)
problème: cette solution est lente (switch de mode => reset des caches mémoires)
solution: on supprime l’isolation mais on controle les accès en mémoire kernel (privilèges).
attaque: buffer-overflow + contournement de privilège + accès aux structures du kernel
solution KASR (Kernel ASR): impossible de prédire l’adresse des structures du kernel…
bug: (sous embargo) on peut “prédire” les adresses des structures du kernel
solution: on revient au mode isolation kernel/user
problème: cette solution est toujours aussi lente " />
solution: ???
Note: AMD dit qu’il n’a pas le problème de “contournement de privilège” donc inutile de revenir en mode isolation si processeur AMD.
Il s’agit surtout du fait que le check de privilège semble avoir lieu après l’exécution de l’instruction prédite sur le CPU Intel.
Donc si l’instruction prédite est low priviliege, elle accède à ce qu’elle ne peut pas avant qu’un système se réveille et dise : “Eh non, tu as pas le droit”. AMD ne semble pas touché par ce bug (implémentation propre à intel)
720 commentaires
Algorithmes de Parcoursup : Next INpact saisit la CADA
30/04/2018
Le 30/04/2018 à 09h 46
Mon cas aussi.
Choix 1 : Prépas
Obligation de Choix 2 : Licence parce que je devais mettre qqch.
J’ai été pris dans le second choix aussi. J’ai donc mis un postulant véritable en liste d’attente le temps que je parte avec le choix 1.
Le 30/04/2018 à 09h 45
Disons que dans le cas présent, deux visions de l’université s’affrontent.
L’université ne peut pas être universelle (et accepter tout le monde sans filtrage sur simple Bac) et dans le même temps avoir vocation à être une voie d’excellence. Il y a un problème. Sans avoir accès à une corne d’abondance en matière de dotation, tu ne peux pas à la fois prendre tout le monde et former les meilleurs parce que les étudiants sont tous différents et ont tous des capacités d’apprentissage différentes.
Derrière se place aussi la question philosophique de “Quel est le but de l’université ?”. Parce que quelque soit le domaine (lorsqu’il existe un équivalent non-universitaire), l’université échoue dans la professionnalisation de ses cursus. Il vaut mieux faire un BTS+1 qu’une Licence même si les deux sont reconnus comme Bachelor par Bologne.
Le gros problème d’ABP ou de ParcourSup c’est qu’ils jouent ou ont joué avec cette limite. Comment mettre en place un filtrage sans ouvertement dire que l’Université n’est plus universelle. Avant toute forme de discussion sur l’algorithme, il faut s’accorder sur le rôle et la définition de l’université.
Basiquement, en Suisse, l’Université est ouverte à toute personne ayant une maturité Gymnasiale (En gros, un baccalauréat général (S, L, ES) ou une maturité professionnelle (Bac pro) + passerelle. Mais tout le monde n’entre pas, par faculté, par Université, il y a des concours, justement faute de place. (Exemple de la faculté de Lettre de l’Université de Genève :https://www.unige.ch/admissions/sinscrire/conditions-admissions/conditions-parti…
Phishing : négligent, un client d’une banque doit assumer les prélèvements frauduleux
20/04/2018
Le 20/04/2018 à 08h 03
C’est une bonne chose.
Il n’est pas correct que la justice considère normal que les gens soient cons.
Vidéo YouTube obligatoire : la DGFiP fait machine arrière
17/04/2018
Le 17/04/2018 à 07h 09
Amusant effectivement.
Raison simple : Si tu es résident depuis peu, tu ne peux pas te barrer en laissant une ardoise aux impôts derrière toi (et tu bénéficies effectivement de barème spéciaux dans le cas de la plupart des déductions fiscales, même si cela dépend de ton canton).
Pour les résidents étrangers, c’est en grande partie à cause des pays limitrophes. Jusqu’à il y a peu, la façon de faire était : Paye tes impôts dans le pays de résidence (au hasard la France) et le pays de résidence reverse la partie dépendant de la Suisse. Vu que certains pays (au hasard, la France) ont des ardoises fiscales de plusieurs années, la plupart des cantons suisses sont passés à une fiscalité à la source (et ils reversent la partie dépendant du pays de résidence).
La grosse différence en Suisse est que dans la plupart des cantons, ton revenu annuel est envoyé par ton entreprise aux impôts. Les services fiscaux sont capables d’effectuer des taxations d’office. Mais surtout, l’argent que te doivent les impôts sont soumis à intérêt, il est donc de leur intérêt de ne pas te devoir 3000chf chaque année.
Le 17/04/2018 à 07h 03
Oui, et on appellerait ça l’échange automatique d’information. Et ça serait en vigueur depuis 3 ans même.
Le 16/04/2018 à 18h 13
Tu oublies un paramètre extrêmement important de la sécurité des données (dont le droit à la vie privée n’est qu’un dérivé), c’est que la sécurité absolue n’existe pas (et que la vie privée absolue n’existe pas).
Cela acquis, il existe un principe d’échelle des moyens.
Si tu passes 15 ans à protéger une donnée qui est déjà publique (ta déclaration est légalement accessible et ce paramètre est déjà connu d’autres agents publiques hors des impôts) et dont l’utilisation n’a aucun impact, tu te méprends.
Et dans ton exemple, tu diminues le niveau de sécurité d’un élément d’identification, il y a un impact négligeable.
Le 16/04/2018 à 11h 19
Objectivement, tu as raison l’IPC moyen de 2008 est de 2.8%.
Si tu retires l’Energie dedans, il est encore plus haut.
Et si tu prends du M-12, le dernier trimestre de 2008 est négatif.
Sans préjugé de l’honnêteté de ton chef, l’IPC, on lui fait dire ce que l’on veut.
Le 16/04/2018 à 11h 06
Je dis pas le contraire.
Juste que si objectivement tu y avais le droit et qu’elle a été refusé pour un motif fallacieux, tu as déjà la jurisprudence pour toi.
Exemple du cas en question : Une augmentation globale sauf pour quelqu’un.
Le 16/04/2018 à 10h 51
Oui, cela s’appelle une comparaison.
D’où le “Il y a des pays”.
Comparaison ne veut pas dire exemple.
Mais qu’est-ce qui empêcherai une telle mesure en France ? En quoi cet état de fait (non-circonscrit au canton de Vaud, mais à toute la Suisse) serait inapplicable en France ?
Le 16/04/2018 à 10h 49
Non.
Une DRH qui refuse une augmentation parce qu’elle a lu ta déclaration et estime que tu gagnes trop.
http://www.europe1.fr/economie/hausse-de-salaire-les-patrons-devront-desormais-s…
C’est illégal. Un refus d’augmentation doit être objectivement motivé.
Le 16/04/2018 à 10h 40
Et puis même si elle le sait ?
Il y a des pays où la déclaration d’impôt (le revenu imposable brut) est une donnée publique.
https://www.24heures.ch/vaud-regions/fin-anonymat-voir-taxation/story/25471762
Et s’agissant de te contribution à la société, je trouve normal que les montants finaux soient connus (Pas les différents calcul interne)
Le 16/04/2018 à 10h 02
avec la gestion de BP qui va bien vu que la vidéo va s’affiche sur 10M de contribuable ?
Youtube pour une raison : Parce que la charge est déportée et que cela ne coûte rien.
Réforme constitutionnelle : le gouvernement fait l’impasse sur le numérique
05/04/2018
Le 05/04/2018 à 14h 33
C’est pas une question de taille, c’est une question d’organisation.
Le prérequis, c’est une décentralisation.
Faire voter la bretagne sur un aménagement en bourgogne n’a aucune utilité.
Après le blocage de Canal+, TF1 commence à perdre quelques plumes
05/03/2018
Le 05/03/2018 à 15h 27
2. Il n’y a pas que des publicités à la TV. Il y en a dans les journaux, les théâtres sont subventionnés par des entreprises pour certains. Les opéras également (ONP n’est qu’à 50% d’auto-financement…).
Dire qu’une expression culturelle est meilleure qu’une autre, c’est avoir une vision comparative de la culture. La culture, c’est quelque chose qui ne se mesure pas, c’est immatériel et non-borné. Et toute forme d’auto-masturbation à base de “Je regarde jamais la TV c’est pour les gogols”, c’est au plus une naïveté touchante au pire une condescendance envers tes concitoyens.
Mais comme il est de bon aloi de prendre 95% de la population pour de la merde et de râler dans le même temps contre les gouvernements “qui ne représente personne” ou “qui sont déconnecté des réalités”, n’hésitez pas. Condescendance et hypocrisie vont souvent de paire.
Le 05/03/2018 à 10h 16
Mais parce que ces news sont des attrapes-mouche pour les “Nan mais la TV c’est trop hasbeen” like.
Parce que tout le monde sait que la culture se mesure.
Un député s’élève contre le renouvellement du contrat entre Microsoft et des hôpitaux
23/02/2018
Le 23/02/2018 à 13h 41
Oui.
Mais ce contrat n’est pas un contrat que “Office”.
“Dans le sillage de l’accord « Open Bar » du ministère de la Défense, ce contrat prévoitque
Microsoft fournisse aux membres de la CAIH un support technique 24h/24,
7j/7, et surtout un droit d’usage de ses principaux logiciels : Word,
Excel, Outlook, Sharepoint, Forefront, Windows Server… Le tout pour un
forfait de 98,66 euros HT par poste.”
C’est :
Dans le coût HT par poste, la suite Office (remplaçable) par LO est très marginale niveau coût.
Le 23/02/2018 à 13h 18
En fait, dans le cas du contrat on s’en fout.
C’est X par poste. Quelque soit ce que utilises réellement derrière.
Et ça comprends également les serveurs derrière pour la gestion (et avec un peu de bol, si c’est comme d’habitude pour le pack), tu as la suite SCCM dans le pack.
Le 23/02/2018 à 12h 59
Et je t’assure qu’il existe des entreprises qui ont des fix développé pour eux dans le cadre d’une problématique remontée au support Microsoft.
Bac 2018 : finalement, le mode examen des calculatrices ne sera pas obligatoire
21/02/2018
Le 21/02/2018 à 10h 09
C’est lié au fait que les études françaises et la plupart des examens de ces cursus se base sur le savoir et non sur le savoir faire.
Je me souviens du BAC S où on avait des “pattern” de reconnaissance de dérivé qui t’amenait à utiliser systématiquement la même méthode. Aucune logique, juste du savoir.
Google dévoile une sérieuse faille dans Edge
19/02/2018
Le 19/02/2018 à 15h 29
Le monde de l’informatique avait désespérément besoin de Google.
Ou alors ce monde fonctionnait très bien avant et Google fait juste “de la publicité” autour du traitement de cette information là.
Il existe de nombreuses initiatives de recensement de bug qui ont un sérieux bien plus grand que Project Zéro et qui en plus, puisque non lié, ont une gestion impartiale quelque soit le firme touchée. Google, on les entends beaucoup moins quand c’est eux qui ont le nez dans la merde.
Le 19/02/2018 à 15h 24
Le 19/02/2018 à 10h 17
Le Bitcoin flirte avec la barre des 6 000 dollars
06/02/2018
Le 06/02/2018 à 15h 47
Le 06/02/2018 à 13h 38
Là où est l’erreur avec le Bitcoin, c’est que lorsque l’on parle de monnaie, les gens pensent être payé avec et payer avec. Le but d’une cryptomonnaie à l’origine était de mettre en place une monnaie d’échange qui sécurise un paiement en ligne parce que le paiement devient un élément unique auto-vérifié.
(J’assume un taux 1\(=1€)
Paul achète un bâton pour 12€
John vend son bâton pour 12\)
Paul payait son bâton 12€ soit 2BTC et John recevait 2BTC qu’il échangeait contre ses 12\(.
Aucun frais de change entre le passage de € à \). Aucun contrôle d’une banque ou d’un organisme centralisé pour le paiement entre les deux.
Initialement, le système fonctionne si 1€ = 1BTC ou si 1€ = 0.00000001 BTC. Cela ne change rien. Sauf qu’on s’est aperçu qu’on pouvait parier à la hausse ou à la baisse du montant d’échange. On a commencé à investir dans un élément qui n’a pas de valeur.
Après, le système avait plein de défaut de conception
Amazon et le fisc français enterrent la hache de guerre
05/02/2018
Le 05/02/2018 à 13h 51
Disons que vaut mieux X tout de suite que potentiellement X*15 après décision de justice. Surtout quand tu vois comment l’argumentaire de l’établissement stable est bien passé avec Google.
La différence d’AWS, ils ont des AZs à Paris.
En 2018, Qwant mise sur le développement à l’étranger
05/02/2018
Le 05/02/2018 à 12h 56
La géolocalisation des résultats étant franchement mauvaise pour tout type de recherche francophone ne cherchant pas un site français, je les ai quittés.
Tu as beau fixer Suisse FR comme localisation, les résultats français sont toujours mieux pondérés et plus haut dans les recherches.
Microsoft veut aller plus loin sur la vie privée, notamment avec un explorateur de télémétrie
25/01/2018
Le 26/01/2018 à 08h 20
Le 26/01/2018 à 08h 17
Le 26/01/2018 à 08h 04
Le 25/01/2018 à 09h 48
Le 25/01/2018 à 09h 45
Le 25/01/2018 à 09h 03
Le 25/01/2018 à 08h 55
Au travail, ce ne sont pas tes données privées qui sont dans la balance.
Ce n’est en rien de ta responsabilité.
Le 25/01/2018 à 08h 28
Y’a un truc que j’arriverai jamais à comprendre, ce sont les gens qui se plaignent qu’un outil les espionnent (selon leur vision) mais qu’ils continuent de l’utiliser.
Vous n’êtes pas lié à mort à cet outil, non ? Si les conditions de son utilisation ne vous plaise pas, rien ne vous empêche d’en changer.
Quant à la télémétrie elle-même, cela fait longtemps qu’il existe des listes, mises à jour régulièrement, qui permettent de bloquer les cibles de l’envoi de celle-ci. Comme cela permet de bloquer les jolies petites pubs dans Skype.
Il y a donc trois choix concernant cette télémétrie.
Se plaindre en ne faisant rien se rapproche quand même dangereusement du 1er.
Open Bar Microsoft : quand la Défense jugeait le libre plutôt canon
19/01/2018
Le 22/01/2018 à 08h 31
Le 20/01/2018 à 11h 14
Le 19/01/2018 à 09h 29
C’est une question de probabilité et de capacité technique.
La réponse à la 1 est : approximativement 0. Et de toute manière, le support est contractuellement garanti jusqu’à dans plusieurs années.
La réponse à la 2 est : approximativement 0 pour la plupart des entreprises.
Donc quand tu es dans ce cas-là, soit tu choisis un intégrateur de produit libre qui te garanti le support manquant, soit tu choisis un produit non-libre.
Le 19/01/2018 à 09h 10
Le 19/01/2018 à 09h 07
Dans de nombreux produits, les “alternatives” n’en sont plus. Ce sont les produits Microsoft qui sont devenu des alternatives.
Mais la principale force de Microsoft, et qui est toujours un gros point fort, reste la facilité d’intégration. Certes ça peut coûter un rein, mais AD + SC + Poste sous Windows c’est relativement simple en gestion standard.
Le 19/01/2018 à 08h 41
La lettre en question datant de 2004, faut aussi remettre dans le contexte.
La version francophone d’OOO a un an, le produit dans sa forme libre 4.
Il est assez facile de discuter des a-priori techniques (et pas que) 14 ans après en ayant connaissance de l’histoire. En 2004, la structuration des produits concurrent est quand même pas au niveau actuel.
Julien Dray veut offrir 50 000 euros aux jeunes de 18 ans grâce à une « taxe sur les GAFA »
15/01/2018
Le 15/01/2018 à 14h 44
50k€, une pipe et une bière.
La reconnaissance du burn-out en maladie professionnelle bientôt en débat à l’Assemblée
08/01/2018
Le 09/01/2018 à 13h 25
Le 09/01/2018 à 11h 41
Le Burn-Out n’est justement pas une maladie professionnelle pure à mon sens. Et je pense que faire la différence entre un Burn-Out et les syndrômes dépressifs “conventionnels” n’est pas forcément une bonne idée.
Une maladie professionnelle, c’est le plombier qui perds ses genoux et/ou son dos à 50ans. Le livreur ou le manutentionnaire qui a un tassement de vertèbre à 35 ans. La seule (hors accident) pouvant mener à ces pathologies d’effort sont le travail quotidien.
Quelle est la différence psychologique entre un employé qui fait un Burn-Out à cause d’un métier ultra-stressant et une personne au RSA qui enchaîne les petits boulots alimentaires à 2h de chez lui et qui craque à force d’être systématiquement sur le fil ? Les deux sont des épuisements nerveux liés à un surmenage émotionnel et physique. Pourquoi l’un serait un Burn-Out pour lequel une entreprise doit payer et l’autre une dépression qui relève de la sécu ?
A mon sens, il serait nécessaire de passer à : C’est une maladie => Traitement par la sécu.
Si il y a clairement une cause professionnelle, ce devrait être un cas poursuivi d’office au niveau des prudhommes.
Le 09/01/2018 à 11h 32
Et l’employeur te répondra que c’est les conditions personnelles qui ont été “la goutte d’eau”.
Je suis largement d’accord avec vous sur le fond, juste qu’on parle ici d’argent et de loi. Le fait que la santé fonctionne comme une assurance nécessite d’identifier une cause afin de savoir qui paye.
Le 09/01/2018 à 07h 25
Le problème du Burn-Out n’est pas dans sa reconnaissance, il faudrait être fou pour dire que cela n’existe pas. Le problème c’est la prise en charge, et plus particulièrement la question de : Qui paye ?
La fragmentation de la couverture sociale (Ce qui relève de la simple maladie, c’est la sécu. Ce qui relève du travail c’est autre chose) implique qu’il doit être identifié un “coupable” pour savoir qui paye. Mais dans le cas d’une personne qui est soumis au stress au travail et qui a une vie personnelle qui part en cacahuète (sans liaison directe), qui est le bon coupable ?
Nos systèmes sociaux sont très mal foutu pour prendre en charge des pathologies aux causes multiples dont les sources se trouvent à la fois dans la vie personnelle et dans la vie professionnelle.
L’employeur ne peut accéder au compte d’un salarié via un de ses « amis » Facebook
05/01/2018
Le 05/01/2018 à 19h 09
Google détaille trois failles, qui ont leur site dédié : après Intel, ARM confirme être touché
04/01/2018
Le 04/01/2018 à 10h 51
Il a vendu des stock-options et des actions à terme (outright share). Les deux juste après la date lui permettant de les vendre et juste avant de devoir payer des impôts dessus.
Il n’a pas vendu d’action standard qu’il possédait. Il a vendu des actions et des stock-options qu’il avait reçu sous forme de rémunération. Le planning de vente est connu à l’avance et n’a donc aucun lien avec cette affaire. (Rule
10b5-1©)
Le 04/01/2018 à 09h 38
Il n’a pas vendu des actions, il a vendu des stocks-option. Ce n’est pas la même chose. Il les a vendu normalement à la fin de la période minimum pendant lesquelles il devait les garder.
Toutes les entreprises américaines côté en bourses versent des stocks-option selon la même méthode.
Le 03/01/2018 à 13h 15
Office : un avenir dopé à l’intelligence artificielle
14/12/2017
Le 14/12/2017 à 11h 59