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Kevsler

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1666 commentaires

Le 28/03/2019 à 15h 47

Bah putain… les “experts” auxquels Facebook s’adresse valent pas un kopeck. Assimiler le nationalisme et le séparatisme à des mouvements racistes… c’est d’une débilité confondante.

Le 28/03/2019 à 15h 28

T’y es pas du tout. Toute la recherche, la construction, l’extraction de matières, et leur acheminement, nécessaires à l’achèvement de cet exploit ont créé des emplois et mis du pains dans les assiettes. Qu’ils s’estimes heureux !



/sarcasme

Le 28/03/2019 à 14h 47

La pauvre jeunesse… devoir se taper des applications de merde comme Snapchat pour parler à des gens inintéressants… pffff… qu’est-ce qu’on ne leur fait pas subir ?

Le 28/03/2019 à 14h 41

Rebondissements… En trois heures de film, ou deux heure trente, c’est pas le rebondissement qui compte. Soit y’en a beaucoup, et du coup ils perdent tous petit à petit de leur importance (comme les jump scare, c’est marrant au début puis ça fait plus rien à la fin). Soit y’en a peu, et on va bien s’faire chier… comme quasiment tous les Avengers.



Ça va peser lourd sur le disque, cette connerie.

Le 28/03/2019 à 14h 09

Le citoyen ne peut pas, seul et a priori, décider du périmètre de sa citoyenneté. C’est le cadre lui-même qui définit sa citoyenneté. C’est d’autant plus le cas en France puisqu’a posteriori le citoyen français (donc une fois qu’il obtenu la citoyenneté et qu’il est en mesure d’en jouir) n’est pas en mesure de définir le paramètre de sa citoyenneté (c’est à dire réformer la constitution).



Tout ça pour dire que la citoyenneté concerne avant tout le reste l’entièreté du périmètre de son expression. Comprends qu’un citoyen français est d’abord concerné par le pays, puis par la région, puis par le département, puis par la commune… même si dans les faits, c’est tout l’inverse.



Accessoirement, il n’est pas question de citoyenneté concernant l’Union Européenne puisque nous ne sommes pas citoyens de l’Union Européenne. Déjà, cela n’a pas été formalisé et établi dans les faits. Et puis, l’Union Européenne est constituée de multiples “souverainetés” concurrentes, ce qui est antinomique au regard de définition et de la la fonction de citoyen.



En disant ça… je me rends compte que l’UE est un formidable outil de destruction du civitas.

Le 28/03/2019 à 13h 17

Le piratage n’est qu’un épouvantail sans incidence. Ce sont les AD qui l’agitent pour s’octroyer plus de revenus. Les politiciens eux, en profitent pour instaurer de nouvelles formes de contrôle du net. Ce n’est pas parce qu’ils s’affairent avec ardeur, en brandissant le piratage comme raison, pour instaurer des lois à la con que la pratique du piratage mène de facto, et inéluctablement, à la votation de lois à la con. Y’avait d’autres façons d’aborder cette nouvelle pratique sociétale, ils ont choisi la plus conne (mais la plus lucrative) : la répression.



Ne me pointe pas du doigt, je n’y suis pour rien. C’est plutôt aux gens qui ont voté pour tous les politicards qui promulguent ce genre de directives, aux gens qui ont corrompu le ministère de la culture pour en faire un ministère de la production artistico-industrielle, des gens qui ont dévoyé le mot “culture”, ou aux gens qui ont dévoyé le principe de propriété intellectuelle qu’il faut s’adresser…





Après, c’est toi qui as dit que tu piratais parce que tu ne peux pas acheter tout ce que tu veux, comme si cela était une justification alors que tu reconnais maintenant, que c’est un luxe et pas un besoin.



C’est pas une justification morale, c’est une exposition de faits. Moralement, ça va très bien.





Tu n’as pas assez de sous pour tout acheter, tu fais des choix pour tes dépenses, c’est pourtant simple, tout ne t’es pas dû.



Eh bien le choix est fait. Ce que j’apprécie, je l’achète, selon mon bon vouloir. C’est très simple, en effet : j’avance dans la vie en usant des outils qui sont à ma disposition.



Mais effectivement, les œuvres que j’apprécie et celles que je consomme ne me sont pas dues. Je ne l’ai jamais perçu comme tel, si ça peut te rassurer. Le corolaire c’est que tout n’est pas dû aux fabricants d’art. C’est pas parce que t’as pondu un film, une musique, un livre, une BD, un spectacle que les gens doivent l’acheter.



J’ai peut-être mal interprété ce passage (“tout ne t’es pas dû”), mais l’achat n’octroie pas plus de “droit”, dans ce contexte. Avoir acheté ne garanti pas la mise à disponibilité d’œuvres futures, et le plus souvent cela offre des droits assez pauvres sur l’objet ton achat. T’achètes un “Bumblebee” en bluray, eu égard à tout ce que tu n’as pas, quel droit as-tu en plus par rapport à une personne qui l’aurais téléchargé ? Cela change quoi, concrètement ?





Et tu as bien sûr ignoré mon conseil d’augmenter tes revenus si tu veux plus de luxe (comme tu le dis) alors que c’était la première partie de mon commentaire, la plus importante. Il y a un moment, où il faut se prendre en main, tu me sembles intelligent, tu dois pouvoir augmenter tes revenus.



Parce que ton conseil, je ne le prends pas. Merci, mais non merci. Tu peux être sincère, mais cette vision matérialiste, mercantile, pseudo-méritoire, du monde n’est pas la mienne. Tout va bien, de mon côté. Augmenter mes revenus n’est pas mon but dans la vie, et plus je radicalise ce choix, mieux je me porte.



Tu proposes deux alternatives plutôt irréalistes à ma réalité. D’abord, changer de travail, de train de vie, ou bien renoncer à ce que je ne peux pas me permettre. Cette alternative, je la juge irréaliste, car j’imagine mal quelqu’un (encore moins moi) faire un choix de vie aussi conséquent pour si peu (plus de films et de séries). La deuxième, c’est carrément de renoncer à un usage sans conséquences au nom d’un principe morale fallacieux, voire absurde : ce qui est illégal est mauvais. Des deux, c’est quand même l’alternative la plus raisonnable sur la forme, mais le fondement est branlant. Y’a comme un paradoxe à proposer à quelqu’un qui s’adonne, sciemment, à des pratiques illégales une alternative essentiellement caractérisé par l’échappatoire à l’illégalité ou le retour à la légalité.



Non, j’crois que je vais continuer de faire comme je fais : donner de ma tune à ceux que j’ai jugé méritants (moi aussi j’évolue dans un paradigme de récompense au mérite), et consommer les autres. Si ceux-là disparaissaient, alors je pourrais enfin, peut-être, acheter des blurays sans avoir vu les films.

Le 28/03/2019 à 10h 38

Ah bah si.



Aucun lien entre “piratage” et baisse de la “production culturelle” ou baisse des revenus issus de la “production culturelle” n’a pu être démontré. Jamais. Pendant que les majors de la musiques criaient au scandale et tannaient le congrès américain pour faire voter les première briques du DMCA, leurs bénéfices ne cessaient d’augmenter. Tandis que la SCAM chialait de voir quelques sites de streaming apparaître ça et là, leurs perceptions augmentaient.

Un étude avait même (statistiquement) montré que les plus gros “pirates” sont ceux qui dépensent le plus en œuvres “culturelles”.



Donc il serait temps que tu remettes en question quelques mythes et légendes. Le téléchargement n’est pas une catastrophe, loin de là.



Puis… t’as vu la tronche de ma bibliothèque, de ma vidéothèque, de ma mangathèque, de ma bdthèque et de ma ludothèque ? Bien évidemment que non, tu l’as pas vu. Tout comme tu crois que le piratage met en danger l’Art tu crois qu’un vil pirate voleur et menteur et violeur de chatons comme moi ne paye rien. Tu crois.



Puis bon… ce que je n’achète pas, je ne l’achète pas. J’peux pas le dire de manière plus précise et réaliste : ce que je n’achète pas, je ne l’achèterais de toute façon pas. Et priver des millions de gens de la manne du téléchargement ne leur permettra pas, miraculeusement, de dépenser plus en œuvres culturelles. Car le medium culturelle n’est pas un besoin, c’est un luxe.



Franchement, je ne chercherai pas à te convaincre plus que ça, car la docilité obédiente et feignante qui habite ton premier message m’amuse. Et j’en veux plus fred42 ! Je veux plus de ces messages tout droit sortis d’un manuel de com’ de la Sacem ! Abreuve-moi !

Le 28/03/2019 à 10h 03

Tu trolls, j’espère ?

Le 28/03/2019 à 08h 45

Je regarde plus de films et de séries que ce que je pourrais me payer en Bluray avec mon salaire… Je n’achète en Bluray que les films qui m’on plu, que je connais… Faut être bourgeois pour faire des achats sans connaissance de ce que l’on achète.

L’option Bluray c’est valable pour les films et séries distribuées en France. Pour tout le reste… Films et séries US confidentiels, films japonais, coréens, chinois, indiens et j’en passe : y’a qu’Internet.



On a un formidable outil de partage, il faut en profiter.

Le 27/03/2019 à 14h 45

Love, death and robots n’est pas produite par Netflix. Ils ne sont que diffuseurs. Figure-toi qu’il y a quelques années c’est le genre de série/anthologie qu’on aurait pu voir à la télé (certes, un peu planquée, sur Arte / France 4 / Canal+, tard le soir). La télévision se meurt, de toute façon… ils ont renoncé à capter un public jeune. Mais des OVNIs, il y en a aussi à la télé… il faut juste être devant son écran au bon moment pour les voir <img data-src=" />



Sinon, à part Netflix et Disney, y’a plein de studios, y’a plein de networks, plein de réalisateurs indépendants. Autant de films et de séries qui échappent à la compression culturelle de Netflix et Disney. Pour en profiter… il faut se mettre en situation d’illégalité. Mais ça vaut le coup ^^

Le 27/03/2019 à 13h 04

Netflix s’emmerde pas trop sur ses prods : faut du vite fait, vite fait. Faut d’la masse, et faut bien l’enrober pour cacher la misère intellectuelle.

Le 27/03/2019 à 10h 22

Bon on sait pas grand chose sur ce qui vient… mais… Anelka ? Gims ? Merde, Netflix, pourquoi es-tu toujours aussi prévisible ?!

Le 28/03/2019 à 09h 16







j34n-r0x0r a écrit :



Pas tant besoin d’IA que ça a ce niveau, il suffit de considérer le code de la route, des assurances et l’intérêt de maintenir l’intégrité du véhicule et de ses occupants.







C’est inquiétant, le seul point crucial à prendre en compte arrive dernier dans ta liste. T’es sûr que t’es pas une IA ?


Le 27/03/2019 à 15h 46

T’es pas d’jeunz, c’est pour ça. Tu peux pas test.

Le 27/03/2019 à 15h 37

Ce qui est dommage c’est que le même genre de bouses américaines ont du succès commercialement, même en France… Et qu’une production française équivalente (sans les relents d’américanisme, c’est un plus) se plante.



EuropaCorp n’a certainement pas la même puissance de frappe marketing que les majors américains.

Le 27/03/2019 à 13h 14

On rigole déjà. Chaque pub Huawei est un émerveillement.

Le 27/03/2019 à 10h 57

Tu cliques sur un dossier, ou un signet, à gauche et en fait l’édition se fait à droite.

Tu créés un nouveau dossier, pareil…



De plus c’est moche, c’est pas contrasté, y’a d’l’info inutile un peu partout sur cette page. Je ne l’aime pas, et elle ne m’aime pas.

Le 27/03/2019 à 09h 57

Ah cool pour la personnalisation !



J’attends avec impatience qu’ils revoient la gestion des signets, pas du tout ergonomique.



Sinon ça, c’est un super navigateur.

Le 27/03/2019 à 10h 05

Je parlais de liberté d’expression (pas forcément artistique) puisque Carbier en parlait dans le message que je mentionnais.



Ceci dit, un artiste n’a pas besoin d’être visible pour être un artiste. Certainement, il a besoin d’être visible pour espérer vivre de son art. En bonus : vivre de son art n’est pas un droit, c’est un privilège.



Moi j’vis d’un boulot de merde et j’aimerais bien avoir les problèmes de certains créateurs… franchement. Peut-être faudrait-il que je traverse la rue.

Le 27/03/2019 à 09h 18

Le niveau zéro de la réflexion…



Ne pas admettre le quasi-monopole de YouTube et naïvement, ou stupidement, ignorer le glissement de la sphère privée vers la sphère publique (vu l’audience et la place qu’occupe la plateforme dans le paysage audiovisuel) pour balayer les « dérives possibles » (mais bizarrement toujours observées systématiquement)…



Du Carbier classique, sans bavure.

Le 26/03/2019 à 14h 30

Abus de position dominante. C’est super bien fait !

Le 26/03/2019 à 13h 47

Le pire, quand t’habites en France… c’est quand t’attends la transposition de la directive en droit national.

C’est déjà pas jojo et très intelligent à l’échelle UE… j’imagine pas le carnage à l’échelle Macron.

Le 27/03/2019 à 09h 45

SFR qui continue sans cesse de me fournir des raisons de ne plus jamais leur filer de tune. Merci à eux.

Le 26/03/2019 à 16h 18

collection de séries triées par note décroissante



Il y a des notes que je devrais aujourd’hui revoir, car de l’eau a coulé sous les ponts depuis… m’enfin bon, d’en l’ensemble voici mon “top”.

Le 26/03/2019 à 10h 19

Je n’ai vu que Sense 8, Daredevil et Glow dans ceux que tu cites, et ce sont des séries artificielles, vides de sens, purs produits d’une stratégie d’occupation de l’espace sériel.



Sense 8 fait genre, mais le scénario est pas du tout maitrisé pour un ensemble cast. L’histoire en elle-même est trop tirée par les cheveux, et sent bien que les scénaristes en chient pour arriver à produire un résultat pas trop absurde. Et puis bon, ça pue la série là pour plaire à une tranche très audible de la population US : les LGBT. C’est cool… mais bon, j’ai l’impression qu’ils en ont fait un instrument.

Daredevil est nul à chier, les personnages sont vides, insupportables car caricaturés à l’excès, les intrigues sont classiques, voire chiantes, et au global c’est une série moyenne… Et une série moyenne au sein des séries moyennes… c’est une série de merde.

Glow… mon dieu… Des actrices pas dirigées, un scénario qui met 30 plombes à démarrer, des enjeux minables, une reconstruction vulgaire des 80’s (comprendre : exagérée pour bien jouer sur la corde nostalgie).



J’aime pas le clientélisme, spécialement dans le domaine culturel.



Ceci dit, Netflix n’a pas produit QUE de la merde (déjà, parce que j’ai pas tout vu), mais ça compose une grosse partie de leur production, et ça se voit bien car Netflix produit beaucoup.



P.S. : Voire mon profil SensCritique pour plus d’explications, plus étayées, moins brutes.



P.P.S : Games of Thrones et Westworld sont rapidement devenues médiocres. L’une en trahissant le contrat passé avec le spectateur, l’autre en prenant trop de drogue et en finissant le scénar de la saison 2 les yeux fermés et les mains dans le dos.

Le 25/03/2019 à 13h 54

Et malgré tous ses milliards Netflix produit d’la merde.



Donc… il n’y a peut-être pas de relation entre pognon investi et qualité de la production.

Le 26/03/2019 à 13h 11

Merci aux beta-testeurs. Et merci à Samsung de lancer un test grandeur nature.

Le 26/03/2019 à 13h 02

Ah bah l’annonce du service de streaming d’Apple fait… pouf. C’est une petite initiative, au final.

Le 26/03/2019 à 10h 35

Ça passera tranquille… L’Autorité de la concurrence, c’est un tapis roulant qui ne fonctionne que dans un sens.

Le 25/03/2019 à 15h 58

Un des signes qui montrent la décadence de Google : des décisions à la con.

Le 25/03/2019 à 15h 11

Tiens, prend un de mes mouchoirs…

Le 25/03/2019 à 12h 49

On a pas la même définition de “concurrence” que les autorités de la concurrence. Pour eux, concurrence = non monopole.

Le 25/03/2019 à 12h 44

« qui revient sur Terre après une expérience transcendante au cours d’une mission dans l’espace, et commence à perdre pied dans un monde qui lui semble maintenant trop étriqué »



Du lundi au vendredi, à 9h, j’ai le même sentiment.

Le 25/03/2019 à 10h 33

Ah non j’parle pas de révolution… juste de guillotiner des connards.

Le 25/03/2019 à 09h 37

C’est quand même gonflé de la part des tous ces premiers responsables destructeurs / perturbateurs / saboteurs de la Démocratie de venir dire que les réseaux sociaux « perturbent l’expression démocratique », alors qu’ils n’ont jamais rien fait pour l’éducation politique de leurs concitoyens… J’dis ça comme ça, de manière polie, mais y’a des coups d’guillotine qui se perdent.

Le 15/03/2019 à 14h 31

J’compte pas le brut parce que l’État est employeur, c’est pas comparable aux cotisations sociales du privé (pas en valeur, mais ça revient dans les caisses de l’État… même si ça repart, c’est de l’argent publique qui paye de l’argent publique). Mais allez, comptons le brut : 2600€ à la louche.



Les frais de structures le ministère les paye. Pour du support informatique c’est un contrat in situ.

Les frais de formation : le ministère les paye. N’importe quel poste demande un temps de formation. Et une fois le presta parti, remplacé, ce temps est perdu.

Les frais de gestion RH (qui ne coûtent pas cher s’ils sont internalisés, encore une fois) sont déportés sur des frais d’appel d’offre, de gestion comptable autre, de communications et négociations commerciales…



Donc… Qu’est-ce que l’on paye à Éconocom ? Le privilège de traiter les gens comme du bétail (le turn-over). Et ça se paye cher. Pour t’assurer que ton poste est occupé 5 jours sur 5, mais mal occupé, puisque turn-over = reformation, tu vas payé 2~3 fois le prix (j’ai vérifié auprès de mon exemple : il coûtait 4000€ au ministère) d’un employé en interne que tu pourrais former, faire évoluer, et même choisir. Parce qu’en presta, tu choisis pas vraiment…



Et pendant que tu payes : aucune rétention de talent / savoir, sécurité de l’emploi moindre (voire nulle) pour le travailleur, et t’engrosses une structure privée qui pratique sûrement l’évasion fiscale et met à mal le principe de concurrence (vous les avez vu les fusions acquisitions de SSII ces dernières années ? Econocom / Osiatis ?).



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Si maintenant on prend l’exemple d’une production logicielle, la prestation externe est encore plus absurde.



On perd un pognon de dingue (et du temps) en analyse et expression du besoin.

La valeur ajoutée, c’est à dire le produit, ne nous appartient pas. Donc on ne maîtrise pas ses évolutions.

Le produit de la production, la valeur ajoutée indirecte (la formation et l’expérience des travailleurs), on n’en profite pas a posteriori. C’est à dire que le dev qui a passé 2 ans sur notre projet bosse maintenant pour quelqu’un d’autre.

Et c’est pas forcément plus “souple” : une croûte interne ou externe c’est une croûte. Et souplesse externe = changement de logiciel = reformation des usagers.



C’est juste facile, on a juste eu à payer une blinde. C’est un avantage, certes ; c’est facile de claquer son pognon.



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Donc effectivement il faut savoir ce que l’on veut. Est-ce qu’on abandonne l’idée de service publique en s’en remettant à des compétences privées (pas forcément mieux mises en œuvre) ? Parce que “privatiser le service publique” c’est impossible. C’est un oxymore. C’est détruire le service publique. Le privé ne fourni pas de service publique.

Ou on réforme et finance les services publiques pour leur permettre d’accomplir leurs missions ?



Et la question de la concurrence ne se pose même pas… L’internalisation n’impacte pas le marché de l’externalisation. De plus, y’a pas à y avoir d’ouverture du marché du service publique (il devrait même pas y avoir de “marché du service publique). Sinon : on en revient à la destruction du service publique.



Bon c’est brouillon mais comme j’suis pas fonctionnaire j’ai un boulot et j’ai pas l’temps de thèser. J’ai dit ce que j’avais à dire.

Le 15/03/2019 à 13h 07

Concernant le PIB… l’État capte une bonne partie du PIB en taxation et imposition. Donc je vois pas le problème à maitriser les dépenses et les productions en interne (service publique) plutôt qu’à les externaliser.



Tu sais comment ça fonctionne dans un ministère, pour le support informatique ? Au lieu de payer un fonctionnaire 1300€ net ils payent à Éconocom (c’est un exemple) un prestataire plus de 3000€, avec un turn-over d’enculé, et donc une mauvaise formation du presta sur le SI du ministère. C’est comme ça qu’on fait des économies ?



Meilleure maîtrise des coûts et de la production. C’est la base.

Le 14/03/2019 à 14h 09

Je te mets ici les bouts qui m’ont interpelé :





Je pense qu’il faut favoriser la mise en place de partenariats, d’alliances avec des acteurs de confiance, autour de l’État : des PME, des entreprises qui sont prêtes à démultiplier la capacité de l’État, à servir les usagers et à produire du service au public en s’appuyant sur les API, les données,… Tout ce que l’État peut mettre à leur disposition.





Il y a donc plein de domaines où l’État pourrait pousser la logique de l’APIfication, de l’ouverture des données, de la mise en place de briques communes à réutiliser par la société civile, afin de voir émerger des services sans perdre de vue l’intérêt final de l’usager.



La première citation dit tout. En gros, il ne semble pas considérer que l’État est le plus à même de pourvoir le peuple en service publique, et il parle d’APIfication. Aussi, il emploi toujours le terme “usager”, quasiment jamais “concitoyen” ou “citoyen”.





Créer son entreprise relève aujourd’hui d’un véritable parcours du combattant. L’entrepreneur a pourtant plein d’autres choses à faire que de s’occuper des formalités administratives. Il pourrait donc être intéressant que des acteurs émergent autour de l’État pour jouer ce rôle de simplification, de facilitation.



Là il n’ose même pas remettre directement en question la procédure administrative (il admet indirectement qu’elle est compliquée à outrance), mais plutôt que de parler de la solution la plus évidente : la simplification de la procédure, lui parle de simplifier les voies de procédure. Et… l’État ne semble pas être acteur de cette simplification, il parle « d’acteurs émergent autour de l’État. »





Le second sujet, c’est celui de la transparence et de l’ouverture des données. Aujourd’hui, personne ne conteste les obligations inscrites dans la loi. Toutes les administrations sont tenues de respecter la loi.



Après, c’est la question du comment, du quand, notamment pour ne pas casser des organisations qui se sont construites à une autre époque sur la revente de ces données.



Ici c’est magnifique, il parle d’une obligation qu’il met en suspend au nom d’intérêts économiques… privés, je suppose, puisqu’il parle vaguement d’organisations. Les organisations étatiques dépendant avant tout de l’intérêt commun, par principe. L’intérêt économique est secondaire. ‘Fin bref… là je chipote.



À la question “la numérisation du service public semble s’accompagner d’un recul de service public” le gars répond…



La question du numérique comme facilitateur de l’accès est assez mal conceptualisée et mise en œuvre. Je voudrais ici saluer l’action de l’Agence du numérique, qui travaille sur ce sujet. J’ai décidé de les aider et de mettre en place des dispositifs d’accompagnement.



Nous sommes en train de lancer une start-up d’État et une déclinaison de FranceConnect dédiée aux « aidants », pour faciliter l’accès aux démarches en ligne, en appui à des personnes qui ont des difficultés d’accès au numérique, à horizon de cet été.



… “c’est mal fait, on va mettre le paquet sur le numérique”. Enfin… La question insinuait qu’il semble y avoir des services qui ne peuvent pas être numérisé ? Ou bien que la numérisation est précoce ? En tout cas il y a peut-être un rapport entre la numérisation et le recul qu’il ne semble pas connaître. Alors comment on fait ? On met le paquet sur le numérique. OSEF des services publiques.

J’suis bien conscient que sa mission c’est le numérique et les ministères, mais ça n’excuse pas le manque de considération pour le service publique dans son ensemble, dans cette réponse.

Le 14/03/2019 à 11h 08

Un énième démolisseur de l’État… en somme. J’aurais moins perdu de temps s’il avait admis son incompétence à renforcer la fonction publique, ou s’il avait eu l’honnêteté de dire que ce n’est pas son but.



Plutôt que de me taper tout son bla bla alambiqué sur l’empowerment par la renonciation.

Le 15/03/2019 à 13h 12

C’est Dieu donc il fait un peu ce qu’il veut. Qui sommes nous mortels pour remettre en cause sa parole :p

Le 15/03/2019 à 09h 29

« Réorientation sur laquelle Zuckerberg insiste une fois de plus : Facebook se dirige bien vers un réseau de messageries où la priorité serait le respect de la vie privée. On attend ainsi une fusion des architectures sous-jacentes de Messenger, Instagram et WhatsApp, unifiant ainsi les plus grosses messageries mondiales. »



C’est trop gros Zucky… personne va te croire.

Le 15/03/2019 à 10h 02

+1 … La publication augmente la dangerosité de la brèche Oo

Le 15/03/2019 à 09h 39

Euh… Ça commence à être le malaise chez Microsoft, là. J’ai l’impression de lire le process d’une de mes applications codé à l’arrache y’a 15 ans.



Faire en sorte de faire des mises à jour qui pète pas tout… c’est pas possible ? C’est peut-être que Microsoft manque de moyens pour ça, petite entreprise qu’ils sont…





(ouais je crachotte sur MS… Deal with it.)

Le 15/03/2019 à 08h 24

Au risque de me répéter… l’État, il en est pas fou-fou, Emmanuel.

Le 14/03/2019 à 15h 21

La politique des MAJ est configurable. C’est à dire que… je peux ne pas les faire ?

Le 14/03/2019 à 15h 06

Je ne savais pas que j’étais con. Merci pour mon instruction, toute en finesse en plus. Mais aujourd’hui c’est fini, je vais filer m’acheter un Win10.



J’ai juste pas dû comprendre les bienfaits de Win10. Son interface toute dégueulasse, ses menus cachés, ses addwares moisis, sa politique de mise à jour irrespectueuse des usages de l’utilisateurs, sont partage des données utilisateurs…



J’dois vraiment être un con, merci encore !

Le 14/03/2019 à 14h 41

J’ai du mal à croire qu’une entreprise de cette envergure, aussi médiatisée, puisse avoir recours à de telles pratiques… Faut vraiment être un couillon pour faire ce genre de trucs ! Quel est le bénéfice de faire ça ?!

Le 14/03/2019 à 12h 51

Ah bah ça je sais… Donc comme c’est mesurable et mesuré on doit forcément en faire l’étalage. Même si c’est un indicateur de… rien du tout.

Le 14/03/2019 à 10h 01

Hu hu…



Elles sont rigolotes ces stats. On parle de quantité. Que de quantité… C’est la course à la brouette.

Le 14/03/2019 à 10h 08



(rien à voir donc avec Hari Seldon)





Hari Seldon aurait dit que c’est le début d’un effondrement civilisationnel imputé aux fusions bureaucratiques et à l’alourdissement des structures décisionnelles, freinant le progrès technologique et social pur au profit de quelques acteurs s’agglomérant en corporations.



Moi j’en pense que c’est plutôt une bonne chose vu le bordel qu’est l’écosystème JS.