A un moment, pas trop éloigné, il va falloir réfléchir à l’utilisation des plateforme de streaming et au “piratage” d’œuvre numérisées.
Si, pour pouvoir voir les différents films que tu veux tu dois prendre plusieurs abonnements, si tu perds les produits “acheté” lorsque la plateforme ne peut plus le distribuer… l’intérêt de la copie “pirate” de l’œuvre va remonter, et dans ce cas, quel est l’intérêt de payer tous ces abonnements ?
L’intérêt du streaming était de diminuer l’intérêt et le risque du piratage. Si le streaming devient plus cher (en apparence) et plus compliqué à gérer que le piratage, on va voir remonter celui-ci.
Il faudrait mettre en place une sorte d’obligation de mise a disposition. Réserver une période pour l’exploitation en salle, une période pour l’exploitation sur un réseau privé de distribution et, ensuite, une disponibilité sans accord particulier, sur tous les réseaux qui souhaitent distribuer, sans limites possibles, et avec une rétribution précalculée.
Du coup, si un client d’un réseau à un peu de patience, au bout de 3 ans, il peut avoir accès à tous les contenus. Même les contenus exclusifs d’un autre réseau.
A ce prix on va pouvoir faire disparaître le “piratage”, au fonctionnement actuel on le construit, on le renforce, on le légitimise (comme moyen de défense).
Parce que ces sociétés ne les montaient pas. Qu’elles attendent qu’une société qui produit produise un truc approchant et que, là, elle essaient de récupérer des fonds.
Pour cela il faudrait un procès et débuter par une QPC. Mais, de ce que je connais du texte, il ne me semble pas avoir été établi anticonstitutionnellement (j’ai réarrangé la phrase juste pour le plaisir d’utiliser le mot le plus long de notre belle langue !)
Du coup je suppose que le texte actuel serait validé.
Il n’existe pas dans notre constitution d’interdiction de déposer une loi scélérate, il y en a d’autres. Et un tel article constitutionnelle serait forcément d’interprétation politique, ce qui n’est pas souhaitable pour une constitution.
Le
22/10/2019 à
06h
30
A un moment donné ce système a été mis en place. On a bien un système qui a tété mis en place et est destiné à mettre un financement qui semble aujourd’hui totalement injustifiable. Donc illégal par son objet, même s’il reste “légal” par les textes qui permettent se vol organisé.
Le
22/10/2019 à
06h
28
Je n’ai jamais écris que leur finalité était la promotion de la musique, ceux qui le défendent font de l’argent sur le dos de ceux qui font de la musique, ils ont juste besoin de plus d’argent. Nous sommes entièrement en accord.
Le
21/10/2019 à
16h
06
Vu que le moyen le plus utilisé aujourd’hui pour l’écoute de la musique est le streaming en ligne, on n’est manifestement devant un moyen mafieu, maintenu par l’état, destiné à mettre en place un financement illégal de la musique en France. Ou je me trompe ?
Le
21/10/2019 à
16h
04
Décret n°2013-1141 du 10 décembre 2013
Section 2. En application de l’article L411-4 du Code du Commerce “… doivent être porté à la connaissance de l’acquéreur de tout support… Le montant de la rémunération pour copie privée de chaque support d’enregistrement”.
Bon, ça c’est la loi. L’appliquer…
A noter le “Dans un lieu de vente … prend la forme d’un affichage”
Bon, l’application. Jamais vu ni cet affichage, ni celui de la notice dans un super marché (mais jamais cherché non plus).
Mais, sur un site de vente en ligne connu, sur un échantillon de trois produits consultés il y avait un lien vers la pages d’explication sur les montants et les moyens de ce faire rembourser.
Mais c’est écrit en très petit et j’ai trouvé grâce à la fonction recherche. Du coup, je suppose que les autres sites de vente en ligne doivent, eux aussi, avoir un tel lien.
J’ai donnés des conférences durant des années, aux parents essentiellement, dans les lycées et collèges du département ou je résidait alors. J’ai donc rencontré des milliers de parents.
Très souvent le discours était celui-là : “comment voulez-vous que je lui interdise, c’est lui qui sait le faire fonctionner”.
Je ne dis pas qu’un cas unique (et je doute qu’il soit unique) d’un jeune qui ne sait pas rentrer une clef Windows n’existe pas, juste qu’il n’est pas représentatif. Et que, dans ces cas, en règle général, les parents ne pourront pas aider.
Nous avons, ici sur ce forum, un publique très particulier, particulièrement féru en informatique, qui vient en grande partie d’un milieu où ses propres parent l’était déjà, et où toutes les familles ont un niveau de formation plutôt élevé. Mais nous restons une minorité de parents sachants.
Dans les tours en banlieue, le sachant informatique reste bien souvent l’adolescent. Et je ne parle pas des téléphones où certains gamins sont plus sachants que moi et mes 35 années d’informatique.
Le
18/10/2019 à
12h
27
La meilleur protection reste la confience mutuel dans la parole entre l’enfant/adolescent et le parent. Etablir un lien fort. Lui permettre de vous parler de tout, lui répondre sur tout, l’écouter sans le juger.
Si cela n’est pas un outils permettant de limiter l’accès au porno, c’est un outil qui va permettre d’en diminuer la portée néfaste.
Le
18/10/2019 à
12h
24
Dans la majorité des familles, sauf sur celles dont un des membres est Impacticien, s’est le préadolescent qui est aussi le sachant en informatique, c’est lui qui installe et configure les routeurs et les ordinateurs. C’est lui qui a les mots de passe root des ordinateurs familiaux.
Et encore quand ce n’est pas le gamin de 8 ans… L’intérêt du filtre familiale est alors limité.
De plus, le filtre familial est limité lors de l’usage d’un téléphone mobile qui peut le contourner.
Il est encore plus limité lors de l’usage d’un ordinateur ailleurs qu’à la maison (chez des amis).
Je crains que, sauf pour les très jeunes (moins de 10 ans), et pas toujours, cela n’ai pas vraiment d’intrait.
La décision dit aussi : “Elle estime également qu’« (elles) ne doivent pas être interprétés différemment selon que les informations stockées ou consultées dans l’équipement terminal de l’utilisateur d’un site Internet constituent ou non des données à caractère personnel…”
“Elle” fait ici référence à l’autorisation préalable.
Le cookie de session n’est pas un cookie technique, il contient un identifiant qui va permettre d’identifier une session utilisateur, donc potentiellement les données de la session, donc potentiellement le numéro de client ou d’abonné, dont le compte du client ou de l’abonné. Le cookie de session est un cookie qui contient des données personnelles au sens défini dans l’article 4-1 du GDPR.
Je suis d’accord que l’on est plutôt borderline en terme de droit et d’utilisation de site. Mais cette décision peut très bien faire évoluer l’interprétation de l’article 5 du GDPR. Et, à terme, rendre obligatoire l’accord préalable d’un utilisateur pour mettre en place un cookie de session.
Le
17/10/2019 à
06h
14
On ne peut, hélas, se limité à une lecture du texte du RGPD. Il convient aussi de suivre les décisions de la CEDJ, une décision récente concerne bien l’ensembles des cookies qui nécessiteraient un accord préalable.
Le
16/10/2019 à
17h
51
Ce jugement pose réellement un problème, vu que la majorité des solutions de gestion des acceptations utilisent des cookies pour les stocker. Et que, sans cookie de session, c’est un peu mort pour beaucoup de site. Il faut voir comment cette décision va évoluer sur ses points.
Il reste qu’il n’y a pas que les cookies publicitaires qui sont concernés, dés qu’il y a des données personnelles (et un identifiant propre au site vers des informations du client l’est), il doit être soumit à acceptation. Et que le cookie de session est en plein dedans…
Le
16/10/2019 à
15h
11
Conclusion, en tant que gestionnaire de site, vous avez encore 8 mois pour vous mettre en conformité. Vis à vis de la CNIL. Mais si un internaute vous attaque, vous pouvez parfaitement être condamné. Aujourd’hui. Donc, mettez-vous en conformité le plus vite possible.
Sans compter que la cours européen de justice a récemment tranché en spécifiant que le consentement préalable était obligatoire sur tous les cookies, quels qu’ils soient. Et ce, dés hier.
Je n’ai pas trouvé de statistiques. A priori nous n’avons pas les moyens de détecter les collisions dans les anneaux depuis la terre. Ni les collisions entre un astéroïde d’un des anneaux et une des lunes, ni même entre deux petites lunes, trop petites pour être vue depuis la terre. Et leurs orbites restent difficiles à calculer sur la durée, vu l’environnement très encombré autour.
Il reste que le chao (ce qui se passe autour de Saturne avec les millions d’objets en orbite dans les anneaux) reste relativement stable. Pour plus de détail sur le fonctionnement du chao, je vous conseille l’excellente vidéo de la chaine YouTube ScienceEtonnante sur l’Effet Papillon et la théorie du chao : YouTube
Le
11/10/2019 à
06h
58
“régulièrement” pourrait signifier qu’il y en a une tous les 100 000 ans à 1 000 ans près. Cela resterait régulier, mais rare.
Il y a un excellent article sur les satellites de Saturne dans wikipedia. Pas de remarque sur des collisions de lunes. Mais d’un autre côté, avec ses anneaux composés d’une multitudes d’astéroïdes et les lunes qui les parcours, les collisions autour de Saturne, ça doit bien être irrégulier mais commun ! (ok, ça ne veut rien dire).
Il reste que le point 2 du jugement pose question. Dans ce jugement, la cours considère qu’il n’y a pas de différence à faire entre un cookie qui contient des données personnelles et un cookie qui contient des données technique.
Hors le cookie de session est un cookie qui contient une donnée technique qui permet techniquement au site en question d’arriver à créer un lien avec un compte d’utilisateur, donc des données personnelles. Du coup, il devient impossible de déposer un cookie de session sur un poste utilisateur sans avoir obtenu au préalable son accord. Sans cookie de session, la majorité (totalité ?) des sites d’e-Commerce ne vont plus pouvoir fonctionner.
Mais on ne peut pas non plus interdire l’accès au site à une personne au motif qu’elle refuse les cookies…
Ceci ne me semble pas d’une facilité d’application limpide.
D’un autre côté, faire représenter des idiots par des idiots n’est pas idiot…
Le
03/10/2019 à
06h
41
Traduisons les : “Ouiinnnn, on a fait un mauvais texte de loi et ils n’ont pas respecté ce qu’on aurait voulu faire mais qu’on a raté. C’est des méchants.”
Allez, sérieux, quand tu fais un texte de loi et que tu ne prends pas en compte les corolaires de ton texte, es-tu armé pour faire un texte ? On devrait forcer les députés à jouer aux échecs ou au go pour apprendre à anticipé les coups des adversaires, et ne plus laisser des incompétents tenter de gouverner notre pays.
Je ne parles pas de pubs, quoique, mais de la légitimité d’installer des cookies à visées publicitaires.
Après, la densité de la publicité avec le rejet d’icelle par les visiteurs du site, c’est l’affaire du site lui même. A eux de doser. La différence issue du cookie ne changera pas la densité de publicité mais le ciblage. Ce type d’évolution (usage de la densité) se fait par un ajustement en dents de scies, parfois trop, parfois pas assez, d’autant que le taux de tolérance à cette densité n’est pas forcément le même et que, sur NextInpact, le publique plutôt ciblé n’a certainement pas la même tolérence qu’ailleur.
Le
03/10/2019 à
07h
46
.
Le
03/10/2019 à
06h
43
Bien sûr que les frais de marketing sont reportés sur le prix de vente, s’imaginer du contraire…
Mais entre payer 25% du produits en marketing et le vendre ou ne pas le vendre à 75% du prix actuel, quel est la meilleur solution pour une entreprise ?
Le
02/10/2019 à
16h
03
A un certain moment il faut choisir :
soit tu veux un accès gratuit à tout, sans payer, sans publicité et la qualité ne pourra exister que par un bénévolat qui ne peut que s’essouffler (et qui va devoir payer ses serveurs).
Soit tu acceptes de la publicité pour accéder à un contenu mis en œuvre par des personnes qui peuvent en vivre, et oui, eux aussi mangent.
Soit tu payes pour le contenu.
La différence entre cookies publicitaires ou pas est que, dans le cas où tu les acceptes, si tu vas sur un site de dentelles de limoge, pendant les 10 jours qui suivent, tu as des publicités pour des slips en dentelles.
A ce titre le site Next Inpact est un bon exemple, soit tu veux de la pub avec ou sans cookies, soit tu paye un abonnement. Et je pense que tu as choisi de payer.
Le
01/10/2019 à
13h
32
La suppression des cookies publicitaires ne met pas fin à la publicité en ligne, juste au ciblage de cette publicité.
Le
01/10/2019 à
13h
31
Tout dépend d’où vient le “nous utilisons des cookies”….
Si c’est build in l’application côté serveur, c’est impossible à faire.
Si c’est un JS, oui, on peut toujours interdire le JS de ce lancer. Pour ce faire un outil comme Ghostery est plutôt indiqué.
Ce qui manque réellement, c’est la possibilité d’envoyer par défaut un consentement pour tous les sites, ou un consentement limité pour tous les sites. De manière à ne pas avoir à le refaire à chaque fois.
Personnellement, j’utiliser Ghostery qui me débarrasse d’un bon nombre de JS encombrants, j’accepte toujours tous les cookies sans regarder et, sauf pour quelques sites, je marques tous les cookies comme des cookies de session. Ils disparaissent tous à chaque démarrage du navigateur.
Ce n’est pas la solution miracle et cela demande de savoir à peu près où l’on va. Mais c’est un bon début.
En fait la question posée au conseil d’état par la QDN est de savoir si la CNIL, qui est en charge de faire appliquer un texte de loi à la possibilité de décider, seule, du report de son entrée en application.
Alors que du côté des publicistes, la question est plutôt de contrer le texte en lui même et de faire en sorte de pouvoir continuer à se faire du beure sur des données qui ne leurs appartiennent pas.
Vous pouvez obtenir un relevé de votre casier judiciaire volet 3, qui peut vous être demandé dans certains cas.
Vous pouvez consulter le volet 2 et le volet 1, jamais en garder de traces.
Il existe un autre fichier qui rassemble aujourd’hui la majorité des délinquants sexuels en tous genres, le FIJAIS, c’est ce fichier qui est, indirectement, consulté par l’éducation nationnale, par les centre de vacances,… Les incidents dans l’EN datent d’avant l’obligation de le consulter. Il peut arriver un biais entre l’inscription d’une condamnation et une consultation faîte très peu de temps avant, en principe les délais sont réduit. De plus, notamment pour l’EN, il est maintenant fait obligation de communiquer un jugement pour un professeur déjà en excercice (ce qui n’était pas le cas avant si les faits n’avaient pas eu lieu dans le cadre du travail).
Il existe de très nombreux métiers ou occupations qui permettent à un potentiel pédophile d’entrer en contact avec des enfants, tous n’ont pas d’obligation de vérification d’antécédants. Et de très nombreux potentiels pédophiles ne se sont jamais fait juger, donc pas possible d’une prévention sur un fichier pour eux.
Sans oublier que la majorité des agressions sexuelles et des viols sur enfants se font dans le cadre d’une relation familliale, soit au premier, soit au deuxième degré. Ces agresseurs ne font presque jamais partie d’un fichier. Et ils sont en contact rapprochés de leurs victimes jour et nuit.
Ce type de prévention, indispensable (les références) ne peut pas, à elles seules être une assurance parfaite. La meilleur protection de nos enfants consiste à avoir un dialogue permanant avec eux, à ce qu’ils sachent qu’ils peuvent toujours vous confier un doute sans jamais risquer un couroux.
Le
23/09/2019 à
15h
15
Les embauches dans un bon nombre de postes qui sont en contact avec des enfants sont contrôlé par des outils bien plus probants que des recherches sous Google. Une recherche dans un casier judiciaire, ou dans le FIJAIS sont bien plus efficaces et précises.
D’autant que la précision d’un google n’est pas équitable, une personne qui a un nom rare, va ressortir facilement et précisément, une personne avec un nom et un prénom plus commun ne ressortira jamais, on peut donc envisager ne “perte de chance” pour certain et une inégalité (voir notre constitution).
De plus un tel passé va non seulement limiter les emplois dans des endroits en contact avec les enfants, ce qui peut être vu comme un avantage, mais aussi dans beaucoup d’endroits où les enfants ne vont jamais ou ne sont jamais seuls avec la personne.
Un condamné pour mœurs est fiché durant 25 années (en général), dans un fichier dédié. Et consultables en cas de besoins par des personnes habilité, bien plus précis et rapide et sûr qu’une recherche sur google.
“Le droit à l’oublie est-il une bonne chose ?”, c’est une bonne question. La sanction doit-elle prévoir une réhabilitation ultérieur d’un condamné ? Le pardons (de la société) doit-il être partiel et partisan ? L’égalité des citoyens doit-elle reposer sur la capacité d’un moteur de recherche à attribuer des faits à un nom, de la capacité d’un employeur à utiliser un moteur de recherche ?
Tout ce qui est des droit de … est géré a partir de l’article 12. A partir du moment où vous êtes identifiable, le responsable du traitement a 1 mois pour vous notifier qu’il a pris votre demande en compte. Il a aussi 1 mois pour procéder à l’exécution de la demande, délais qui peut être prolongé de 2 mois. Il doit néanmoins vous informer que la prolongation du délais.
Dans tous les cas il doit vous confirmer que votre demande a été traité (ici dans le cas de la demande de rectification).
Il faudrait vérifier que le cas du référendum ne rentre pas dans le cadre de l’article 2 et ne soit pas une exclusion de la portée du RGPD (je n’ai pas vérifié).
Pour les données médicales, il y avait de la résistance, notamment sur la propriété intellectuelle des données. Vous pourriez récupérer vos noms et adresses, mais pas les comptes rendus opératoires. J’ai vaguement lu un truc la dessus (il y a plus d’un an) et je n’ai aucune idée de où cela en est. Il faudra probablement aller au procès pour avoir les premières décisions fermes.
Le
20/09/2019 à
15h
01
Pour la question des cookies et du report décrété par la cnil, on est devant une situation particulière. La cnil n’a pas mandat du gouvernement pour décider de la date d’application des lois. La loi prévoyait un délais de mise en conformité, ce délais est écoulé.
Il reste a voir si le délais décrété par la cnil à la moindre valeur juridique, si ce n’est l’assurance que les poursuites ne seraient pas engagée par la cnil. A priori, cela ne met pas un site qui ne serait pas en conformité à l’abri de poursuite directe (soit d’un concurrent, soit d’un utilisateur).
Je suis confondu par le niveau de l’argumentation. Devant un tel déploiement d’élément, je ne peux que m’incliner.
Le
19/09/2019 à
09h
43
Pour keypass, en effet, il faut être sur le poste pour exploiter la faille. Comme pour Lastpass qui ne décrypte les données qu’en mémoire sur le poste.
Dans tous les cas (ta mémoire humaine, Keypass, Lastpass, Dashlan et autres), si tu va sur un site suite à un lien de poissonage et que tu mets tes identifiants, ils seront volés. Aucun gestionnaires de mots de passe ne te permetra d’y couper.
Le
19/09/2019 à
09h
40
Si toutes les entreprises utilisaient toutes les mêmes protections, on aurait un beau problème de protection. Non, toutes les entreprises ne fonctionnent pas ainsi, en fait, dans les PME qui sont la majorité des entreprises, ce n’est pas le cas.
Et dans cette majorité d’entreprise, un outil comme Lastpass reste bien mieux qu’un fichier excel. Et oui, j’ai déjà rencontré des entreprises qui “sécurisaient” leurs accès dans un fichier Excel… J’ai même vu des entreprises qui le faisaient dans un fichier google sheet.
Le
19/09/2019 à
09h
35
Ce n’est vrai que si le poste de l’utilisateur dispose déjà du certificat. Si tu vas vers un site qui t’es inconnu, tu ne peux pas être sûr du certificat retourné par le routeur qui est ta seule communication avec l’extérieur. Il n’est pas, pour cela, nécessaire d’installer un certificat maître.
Par contre, on peut potentiellement s’en rendre compte lors d’une connexion faîte ailleurs. Le mieux reste d’utiliser systématiquement un VPN de confiance (oui, parce qu’en terme de man in the middle, le VPN, c’est un must).
Le
19/09/2019 à
09h
31
Mieux, un bon vieux VPN de confiance.
Le
18/09/2019 à
08h
46
Lastpass est un très bon outil. Keypass aussi, lui aussi à eu son lot de faille.
Les mots de passes ne sont décrypté qu’en mémoire sur ton poste, comme Keypass. Le serveur ne peut pas décrypter les passe sans ton mot de passe maître, si tu le perds, tu ne peux plus le récupérer. Comme pour un Keepass.
Le principale avantage est la possibilité de partager des passes entre en groupe d’utilisateurs, ce que keepass ne sait pas vraiment faire, sauf à tout partager y compris le mot de passe maître. Hors, en entreprise, c’est pas top.
Le
18/09/2019 à
08h
42
En réalité, un DNS menteur est très compliqué a mettre en œuvre.
Par contre, un man in the midle sur un routeur wifi public, c’est déjà bien plus simple. Et lui peut faire ce qu’il veut avec le DNS qu’il va te retourner, ainsi qu’avec les certificats qu’il va associer aux sites en question.
Le
18/09/2019 à
08h
39
Même punition, si tu as du DNS spoofing et que le site du pirate est bien fait (au moins pour la partie authentification), tu ne vas pas t’en rendre compte et tu vas y mettre ton mot de passe, même en manuel. Dans ce cas, remplissage automatique ou pas, pas de différence.
Pour les sites important, le mieux reste la double authentification, pour peu que le site l’autorise.
Serait-il possible d’arrêter de rependre les fake news gouvernementale ?
Non, il n’y a pas de 750 million d’euro de moyens supplémentaires. Il y a une récupération d’une enveloppe budgétaire déjà existante de 750 million d’euro et destinée, à l’origine, à financer des projets et travaux dans le monde hospitalier. Il n’y aura donc pas de nouveau scanner à l’hôpital de Trucmuch, pas de nouveau lit dans celui de Trafouilli, pas de changement du matériel informatique sous Windows 98 qui tourne à Tarabistouil.
Retirer les chaussures pour rajouter un nœud papillon, voilà la méthode utilisée. Pas sur que notre médecine se porte mieux après ce tour de passe-passe digne de Garcimore (et tout mon respect pour ce grand homme).
La Pologne en défenseur de la liberté d’expression, c’est une surprise. Je ne sais pas s’il faut s’en réjouir ou pas. Par contre l’argumentation semble intéressante.
Il ne faut pas oublier que le juridique est rentré dans l’informatique et que, pour beaucoup, il fallait que cela fonctionne pour cet été. Et qu’ils ont juste appliqués les délais prévus, par eux.
La généralisation est arrivée bien après, l’usage généralisé d’une messagerie sur smartphone ne deviendra un automatique que vers 2014, soit bien après. Il faut toujours faire attention lorsque l’on juge des faits du passés avec des normes d’aujourd’hui.
Ensuite, si l’on fait bien attention à la première affaire, il se trouve que les échanges privés avaient lieu entre deux membres de l’entreprise. Hors, aujourd’hui encore, dans ces cas, les messages privés passent souvent par le canal de l’entreprise. Tout va dépendre de l’âge des protagonistes.
453 commentaires
Disney+ : non, les films téléchargés et retirés du catalogue ne resteront pas disponibles hors ligne
25/10/2019
Le 25/10/2019 à 10h 29
A un moment, pas trop éloigné, il va falloir réfléchir à l’utilisation des plateforme de streaming et au “piratage” d’œuvre numérisées.
Si, pour pouvoir voir les différents films que tu veux tu dois prendre plusieurs abonnements, si tu perds les produits “acheté” lorsque la plateforme ne peut plus le distribuer… l’intérêt de la copie “pirate” de l’œuvre va remonter, et dans ce cas, quel est l’intérêt de payer tous ces abonnements ?
L’intérêt du streaming était de diminuer l’intérêt et le risque du piratage. Si le streaming devient plus cher (en apparence) et plus compliqué à gérer que le piratage, on va voir remonter celui-ci.
Il faudrait mettre en place une sorte d’obligation de mise a disposition. Réserver une période pour l’exploitation en salle, une période pour l’exploitation sur un réseau privé de distribution et, ensuite, une disponibilité sans accord particulier, sur tous les réseaux qui souhaitent distribuer, sans limites possibles, et avec une rétribution précalculée.
Du coup, si un client d’un réseau à un peu de patience, au bout de 3 ans, il peut avoir accès à tous les contenus. Même les contenus exclusifs d’un autre réseau.
A ce prix on va pouvoir faire disparaître le “piratage”, au fonctionnement actuel on le construit, on le renforce, on le légitimise (comme moyen de défense).
Intel dépose plainte contre un « patent troll » détenu par SoftBank
24/10/2019
Le 24/10/2019 à 12h 22
Parce que ces sociétés ne les montaient pas. Qu’elles attendent qu’une société qui produit produise un truc approchant et que, là, elle essaient de récupérer des fonds.
C’est clairement le cas ici.
Redevance Copie privée : le point sur le possible assujettissement des disques durs internes
21/10/2019
Le 22/10/2019 à 15h 20
Pour cela il faudrait un procès et débuter par une QPC. Mais, de ce que je connais du texte, il ne me semble pas avoir été établi anticonstitutionnellement (j’ai réarrangé la phrase juste pour le plaisir d’utiliser le mot le plus long de notre belle langue !)
Du coup je suppose que le texte actuel serait validé.
Il n’existe pas dans notre constitution d’interdiction de déposer une loi scélérate, il y en a d’autres. Et un tel article constitutionnelle serait forcément d’interprétation politique, ce qui n’est pas souhaitable pour une constitution.
Le 22/10/2019 à 06h 30
A un moment donné ce système a été mis en place. On a bien un système qui a tété mis en place et est destiné à mettre un financement qui semble aujourd’hui totalement injustifiable. Donc illégal par son objet, même s’il reste “légal” par les textes qui permettent se vol organisé.
Le 22/10/2019 à 06h 28
Je n’ai jamais écris que leur finalité était la promotion de la musique, ceux qui le défendent font de l’argent sur le dos de ceux qui font de la musique, ils ont juste besoin de plus d’argent. Nous sommes entièrement en accord.
Le 21/10/2019 à 16h 06
Vu que le moyen le plus utilisé aujourd’hui pour l’écoute de la musique est le streaming en ligne, on n’est manifestement devant un moyen mafieu, maintenu par l’état, destiné à mettre en place un financement illégal de la musique en France. Ou je me trompe ?
Le 21/10/2019 à 16h 04
Décret n°2013-1141 du 10 décembre 2013
Section 2. En application de l’article L411-4 du Code du Commerce “… doivent être porté à la connaissance de l’acquéreur de tout support… Le montant de la rémunération pour copie privée de chaque support d’enregistrement”.
Bon, ça c’est la loi. L’appliquer…
A noter le “Dans un lieu de vente … prend la forme d’un affichage”
Bon, l’application. Jamais vu ni cet affichage, ni celui de la notice dans un super marché (mais jamais cherché non plus).
Mais, sur un site de vente en ligne connu, sur un échantillon de trois produits consultés il y avait un lien vers la pages d’explication sur les montants et les moyens de ce faire rembourser.
Mais c’est écrit en très petit et j’ai trouvé grâce à la fonction recherche. Du coup, je suppose que les autres sites de vente en ligne doivent, eux aussi, avoir un tel lien.
Porno : le gouvernement britannique enterre le système de vérification d’âge
17/10/2019
Le 21/10/2019 à 16h 13
J’ai donnés des conférences durant des années, aux parents essentiellement, dans les lycées et collèges du département ou je résidait alors. J’ai donc rencontré des milliers de parents.
Très souvent le discours était celui-là : “comment voulez-vous que je lui interdise, c’est lui qui sait le faire fonctionner”.
Je ne dis pas qu’un cas unique (et je doute qu’il soit unique) d’un jeune qui ne sait pas rentrer une clef Windows n’existe pas, juste qu’il n’est pas représentatif. Et que, dans ces cas, en règle général, les parents ne pourront pas aider.
Nous avons, ici sur ce forum, un publique très particulier, particulièrement féru en informatique, qui vient en grande partie d’un milieu où ses propres parent l’était déjà, et où toutes les familles ont un niveau de formation plutôt élevé. Mais nous restons une minorité de parents sachants.
Dans les tours en banlieue, le sachant informatique reste bien souvent l’adolescent. Et je ne parle pas des téléphones où certains gamins sont plus sachants que moi et mes 35 années d’informatique.
Le 18/10/2019 à 12h 27
La meilleur protection reste la confience mutuel dans la parole entre l’enfant/adolescent et le parent. Etablir un lien fort. Lui permettre de vous parler de tout, lui répondre sur tout, l’écouter sans le juger.
Si cela n’est pas un outils permettant de limiter l’accès au porno, c’est un outil qui va permettre d’en diminuer la portée néfaste.
Le 18/10/2019 à 12h 24
Dans la majorité des familles, sauf sur celles dont un des membres est Impacticien, s’est le préadolescent qui est aussi le sachant en informatique, c’est lui qui installe et configure les routeurs et les ordinateurs. C’est lui qui a les mots de passe root des ordinateurs familiaux.
Et encore quand ce n’est pas le gamin de 8 ans… L’intérêt du filtre familiale est alors limité.
De plus, le filtre familial est limité lors de l’usage d’un téléphone mobile qui peut le contourner.
Il est encore plus limité lors de l’usage d’un ordinateur ailleurs qu’à la maison (chez des amis).
Je crains que, sauf pour les très jeunes (moins de 10 ans), et pas toujours, cela n’ai pas vraiment d’intrait.
Cookies : la tolérance de la CNIL passe le cap du Conseil d’État
16/10/2019
Le 18/10/2019 à 12h 57
La décision dit aussi : “Elle estime également qu’« (elles) ne doivent pas être interprétés différemment selon que les informations stockées ou consultées dans l’équipement terminal de l’utilisateur d’un site Internet constituent ou non des données à caractère personnel…”
“Elle” fait ici référence à l’autorisation préalable.
Le cookie de session n’est pas un cookie technique, il contient un identifiant qui va permettre d’identifier une session utilisateur, donc potentiellement les données de la session, donc potentiellement le numéro de client ou d’abonné, dont le compte du client ou de l’abonné. Le cookie de session est un cookie qui contient des données personnelles au sens défini dans l’article 4-1 du GDPR.
Je suis d’accord que l’on est plutôt borderline en terme de droit et d’utilisation de site. Mais cette décision peut très bien faire évoluer l’interprétation de l’article 5 du GDPR. Et, à terme, rendre obligatoire l’accord préalable d’un utilisateur pour mettre en place un cookie de session.
Le 17/10/2019 à 06h 14
On ne peut, hélas, se limité à une lecture du texte du RGPD. Il convient aussi de suivre les décisions de la CEDJ, une décision récente concerne bien l’ensembles des cookies qui nécessiteraient un accord préalable.
Le 16/10/2019 à 17h 51
Ce jugement pose réellement un problème, vu que la majorité des solutions de gestion des acceptations utilisent des cookies pour les stocker. Et que, sans cookie de session, c’est un peu mort pour beaucoup de site. Il faut voir comment cette décision va évoluer sur ses points.
Il reste qu’il n’y a pas que les cookies publicitaires qui sont concernés, dés qu’il y a des données personnelles (et un identifiant propre au site vers des informations du client l’est), il doit être soumit à acceptation. Et que le cookie de session est en plein dedans…
Le 16/10/2019 à 15h 11
Conclusion, en tant que gestionnaire de site, vous avez encore 8 mois pour vous mettre en conformité. Vis à vis de la CNIL. Mais si un internaute vous attaque, vous pouvez parfaitement être condamné. Aujourd’hui. Donc, mettez-vous en conformité le plus vite possible.
Sans compter que la cours européen de justice a récemment tranché en spécifiant que le consentement préalable était obligatoire sur tous les cookies, quels qu’ils soient. Et ce, dés hier.
Et voilà, on est bien là.
Unix/Linux : importante faille dans Sudo, le correctif disponible
15/10/2019
Le 16/10/2019 à 17h 47
C’est plus une faille, c’est un gouffre !
D’où l’utilité de le combler (ok, je sors)
Saturne a désormais 82 lunes identifiées et dépasse donc Jupiter
09/10/2019
Le 12/10/2019 à 10h 21
Je n’ai pas trouvé de statistiques. A priori nous n’avons pas les moyens de détecter les collisions dans les anneaux depuis la terre. Ni les collisions entre un astéroïde d’un des anneaux et une des lunes, ni même entre deux petites lunes, trop petites pour être vue depuis la terre. Et leurs orbites restent difficiles à calculer sur la durée, vu l’environnement très encombré autour.
Il reste que le chao (ce qui se passe autour de Saturne avec les millions d’objets en orbite dans les anneaux) reste relativement stable. Pour plus de détail sur le fonctionnement du chao, je vous conseille l’excellente vidéo de la chaine YouTube ScienceEtonnante sur l’Effet Papillon et la théorie du chao : YouTube
Le 11/10/2019 à 06h 58
“régulièrement” pourrait signifier qu’il y en a une tous les 100 000 ans à 1 000 ans près. Cela resterait régulier, mais rare.
Il y a un excellent article sur les satellites de Saturne dans wikipedia. Pas de remarque sur des collisions de lunes. Mais d’un autre côté, avec ses anneaux composés d’une multitudes d’astéroïdes et les lunes qui les parcours, les collisions autour de Saturne, ça doit bien être irrégulier mais commun ! (ok, ça ne veut rien dire).
Internet : « le nombre d’IPv4 en attente d’attribution est supérieur au nombre d’IPv4 restantes »
07/10/2019
Le 07/10/2019 à 14h 14
Tant qu’ils ont des adresses IP en stock, ça ira. Une fois les stock épuisés…
La nouvelle version de Légifrance accessible en bêta
04/10/2019
Le 04/10/2019 à 09h 22
Fun.
Dés la première page on a une acceptation des cookies “par défaut”, qui n’est pas conforme au RGPD, ça commence bien.
Le moteur de recherche a, effectivement l’air d’être bien amélioré.
La recherche des évolutions des articles, c’est vraiment très lisible et exploitable.
Le texte est plus lisible (nouvelle police).
Et on a un site responsive, enfin, qui s’affiche bien sur un mobile.
Je suis fan.
Pour la justice européenne, une case précochée ne vaut pas consentement aux cookies
03/10/2019
Le 03/10/2019 à 16h 04
Il reste que le point 2 du jugement pose question. Dans ce jugement, la cours considère qu’il n’y a pas de différence à faire entre un cookie qui contient des données personnelles et un cookie qui contient des données technique.
Hors le cookie de session est un cookie qui contient une donnée technique qui permet techniquement au site en question d’arriver à créer un lien avec un compte d’utilisateur, donc des données personnelles. Du coup, il devient impossible de déposer un cookie de session sur un poste utilisateur sans avoir obtenu au préalable son accord. Sans cookie de session, la majorité (totalité ?) des sites d’e-Commerce ne vont plus pouvoir fonctionner.
Mais on ne peut pas non plus interdire l’accès au site à une personne au motif qu’elle refuse les cookies…
Ceci ne me semble pas d’une facilité d’application limpide.
Face à Google, Édouard Philippe au chevet des éditeurs de presse
02/10/2019
Le 03/10/2019 à 07h 48
D’un autre côté, faire représenter des idiots par des idiots n’est pas idiot…
Le 03/10/2019 à 06h 41
Traduisons les : “Ouiinnnn, on a fait un mauvais texte de loi et ils n’ont pas respecté ce qu’on aurait voulu faire mais qu’on a raté. C’est des méchants.”
Allez, sérieux, quand tu fais un texte de loi et que tu ne prends pas en compte les corolaires de ton texte, es-tu armé pour faire un texte ? On devrait forcer les députés à jouer aux échecs ou au go pour apprendre à anticipé les coups des adversaires, et ne plus laisser des incompétents tenter de gouverner notre pays.
Consentement aux cookies : les pros de la pub défendent leur vision devant la CNIL
01/10/2019
Le 03/10/2019 à 07h 46
Je ne parles pas de pubs, quoique, mais de la légitimité d’installer des cookies à visées publicitaires.
Après, la densité de la publicité avec le rejet d’icelle par les visiteurs du site, c’est l’affaire du site lui même. A eux de doser. La différence issue du cookie ne changera pas la densité de publicité mais le ciblage. Ce type d’évolution (usage de la densité) se fait par un ajustement en dents de scies, parfois trop, parfois pas assez, d’autant que le taux de tolérance à cette densité n’est pas forcément le même et que, sur NextInpact, le publique plutôt ciblé n’a certainement pas la même tolérence qu’ailleur.
Le 03/10/2019 à 07h 46
.
Le 03/10/2019 à 06h 43
Bien sûr que les frais de marketing sont reportés sur le prix de vente, s’imaginer du contraire…
Mais entre payer 25% du produits en marketing et le vendre ou ne pas le vendre à 75% du prix actuel, quel est la meilleur solution pour une entreprise ?
Le 02/10/2019 à 16h 03
A un certain moment il faut choisir :
La différence entre cookies publicitaires ou pas est que, dans le cas où tu les acceptes, si tu vas sur un site de dentelles de limoge, pendant les 10 jours qui suivent, tu as des publicités pour des slips en dentelles.
A ce titre le site Next Inpact est un bon exemple, soit tu veux de la pub avec ou sans cookies, soit tu paye un abonnement. Et je pense que tu as choisi de payer.
Le 01/10/2019 à 13h 32
La suppression des cookies publicitaires ne met pas fin à la publicité en ligne, juste au ciblage de cette publicité.
Le 01/10/2019 à 13h 31
Tout dépend d’où vient le “nous utilisons des cookies”….
Si c’est build in l’application côté serveur, c’est impossible à faire.
Si c’est un JS, oui, on peut toujours interdire le JS de ce lancer. Pour ce faire un outil comme Ghostery est plutôt indiqué.
Ce qui manque réellement, c’est la possibilité d’envoyer par défaut un consentement pour tous les sites, ou un consentement limité pour tous les sites. De manière à ne pas avoir à le refaire à chaque fois.
Personnellement, j’utiliser Ghostery qui me débarrasse d’un bon nombre de JS encombrants, j’accepte toujours tous les cookies sans regarder et, sauf pour quelques sites, je marques tous les cookies comme des cookies de session. Ils disparaissent tous à chaque démarrage du navigateur.
Ce n’est pas la solution miracle et cela demande de savoir à peu près où l’on va. Mais c’est un bon début.
Cookies : les professionnels des médias et de la pub en ligne attaquent la délibération de la CNIL
30/09/2019
Le 01/10/2019 à 13h 54
En fait la question posée au conseil d’état par la QDN est de savoir si la CNIL, qui est en charge de faire appliquer un texte de loi à la possibilité de décider, seule, du report de son entrée en application.
Alors que du côté des publicistes, la question est plutôt de contrer le texte en lui même et de faire en sorte de pouvoir continuer à se faire du beure sur des données qui ne leurs appartiennent pas.
Données sensibles, portée géographique : le droit à l’oubli sur Google devant la justice européenne
20/09/2019
Le 23/09/2019 à 15h 30
Vous pouvez obtenir un relevé de votre casier judiciaire volet 3, qui peut vous être demandé dans certains cas.
Vous pouvez consulter le volet 2 et le volet 1, jamais en garder de traces.
Il existe un autre fichier qui rassemble aujourd’hui la majorité des délinquants sexuels en tous genres, le FIJAIS, c’est ce fichier qui est, indirectement, consulté par l’éducation nationnale, par les centre de vacances,… Les incidents dans l’EN datent d’avant l’obligation de le consulter. Il peut arriver un biais entre l’inscription d’une condamnation et une consultation faîte très peu de temps avant, en principe les délais sont réduit. De plus, notamment pour l’EN, il est maintenant fait obligation de communiquer un jugement pour un professeur déjà en excercice (ce qui n’était pas le cas avant si les faits n’avaient pas eu lieu dans le cadre du travail).
Il existe de très nombreux métiers ou occupations qui permettent à un potentiel pédophile d’entrer en contact avec des enfants, tous n’ont pas d’obligation de vérification d’antécédants. Et de très nombreux potentiels pédophiles ne se sont jamais fait juger, donc pas possible d’une prévention sur un fichier pour eux.
Sans oublier que la majorité des agressions sexuelles et des viols sur enfants se font dans le cadre d’une relation familliale, soit au premier, soit au deuxième degré. Ces agresseurs ne font presque jamais partie d’un fichier. Et ils sont en contact rapprochés de leurs victimes jour et nuit.
Ce type de prévention, indispensable (les références) ne peut pas, à elles seules être une assurance parfaite. La meilleur protection de nos enfants consiste à avoir un dialogue permanant avec eux, à ce qu’ils sachent qu’ils peuvent toujours vous confier un doute sans jamais risquer un couroux.
Le 23/09/2019 à 15h 15
Les embauches dans un bon nombre de postes qui sont en contact avec des enfants sont contrôlé par des outils bien plus probants que des recherches sous Google. Une recherche dans un casier judiciaire, ou dans le FIJAIS sont bien plus efficaces et précises.
D’autant que la précision d’un google n’est pas équitable, une personne qui a un nom rare, va ressortir facilement et précisément, une personne avec un nom et un prénom plus commun ne ressortira jamais, on peut donc envisager ne “perte de chance” pour certain et une inégalité (voir notre constitution).
De plus un tel passé va non seulement limiter les emplois dans des endroits en contact avec les enfants, ce qui peut être vu comme un avantage, mais aussi dans beaucoup d’endroits où les enfants ne vont jamais ou ne sont jamais seuls avec la personne.
Un condamné pour mœurs est fiché durant 25 années (en général), dans un fichier dédié. Et consultables en cas de besoins par des personnes habilité, bien plus précis et rapide et sûr qu’une recherche sur google.
“Le droit à l’oublie est-il une bonne chose ?”, c’est une bonne question. La sanction doit-elle prévoir une réhabilitation ultérieur d’un condamné ? Le pardons (de la société) doit-il être partiel et partisan ? L’égalité des citoyens doit-elle reposer sur la capacité d’un moteur de recherche à attribuer des faits à un nom, de la capacité d’un employeur à utiliser un moteur de recherche ?
Être “juste” n’est jamais simple.
RGPD : 8 165 plaintes reçues par la CNIL depuis janvier 2019
19/09/2019
Le 20/09/2019 à 15h 38
Ce n’est pas, hélas, aussi simple.
Tout ce qui est des droit de … est géré a partir de l’article 12. A partir du moment où vous êtes identifiable, le responsable du traitement a 1 mois pour vous notifier qu’il a pris votre demande en compte. Il a aussi 1 mois pour procéder à l’exécution de la demande, délais qui peut être prolongé de 2 mois. Il doit néanmoins vous informer que la prolongation du délais.
Dans tous les cas il doit vous confirmer que votre demande a été traité (ici dans le cas de la demande de rectification).
Il faudrait vérifier que le cas du référendum ne rentre pas dans le cadre de l’article 2 et ne soit pas une exclusion de la portée du RGPD (je n’ai pas vérifié).
Pour les données médicales, il y avait de la résistance, notamment sur la propriété intellectuelle des données. Vous pourriez récupérer vos noms et adresses, mais pas les comptes rendus opératoires. J’ai vaguement lu un truc la dessus (il y a plus d’un an) et je n’ai aucune idée de où cela en est. Il faudra probablement aller au procès pour avoir les premières décisions fermes.
Le 20/09/2019 à 15h 01
Pour la question des cookies et du report décrété par la cnil, on est devant une situation particulière. La cnil n’a pas mandat du gouvernement pour décider de la date d’application des lois. La loi prévoyait un délais de mise en conformité, ce délais est écoulé.
Il reste a voir si le délais décrété par la cnil à la moindre valeur juridique, si ce n’est l’assurance que les poursuites ne seraient pas engagée par la cnil. A priori, cela ne met pas un site qui ne serait pas en conformité à l’abri de poursuite directe (soit d’un concurrent, soit d’un utilisateur).
LastPass pouvait laisser fuiter le dernier mot de passe utilisé
17/09/2019
Le 20/09/2019 à 15h 02
Je suis confondu par le niveau de l’argumentation. Devant un tel déploiement d’élément, je ne peux que m’incliner.
Le 19/09/2019 à 09h 43
Pour keypass, en effet, il faut être sur le poste pour exploiter la faille. Comme pour Lastpass qui ne décrypte les données qu’en mémoire sur le poste.
Dans tous les cas (ta mémoire humaine, Keypass, Lastpass, Dashlan et autres), si tu va sur un site suite à un lien de poissonage et que tu mets tes identifiants, ils seront volés. Aucun gestionnaires de mots de passe ne te permetra d’y couper.
Le 19/09/2019 à 09h 40
Si toutes les entreprises utilisaient toutes les mêmes protections, on aurait un beau problème de protection. Non, toutes les entreprises ne fonctionnent pas ainsi, en fait, dans les PME qui sont la majorité des entreprises, ce n’est pas le cas.
Et dans cette majorité d’entreprise, un outil comme Lastpass reste bien mieux qu’un fichier excel. Et oui, j’ai déjà rencontré des entreprises qui “sécurisaient” leurs accès dans un fichier Excel… J’ai même vu des entreprises qui le faisaient dans un fichier google sheet.
Le 19/09/2019 à 09h 35
Ce n’est vrai que si le poste de l’utilisateur dispose déjà du certificat. Si tu vas vers un site qui t’es inconnu, tu ne peux pas être sûr du certificat retourné par le routeur qui est ta seule communication avec l’extérieur. Il n’est pas, pour cela, nécessaire d’installer un certificat maître.
Par contre, on peut potentiellement s’en rendre compte lors d’une connexion faîte ailleurs. Le mieux reste d’utiliser systématiquement un VPN de confiance (oui, parce qu’en terme de man in the middle, le VPN, c’est un must).
Le 19/09/2019 à 09h 31
Mieux, un bon vieux VPN de confiance.
Le 18/09/2019 à 08h 46
Lastpass est un très bon outil. Keypass aussi, lui aussi à eu son lot de faille.
Les mots de passes ne sont décrypté qu’en mémoire sur ton poste, comme Keypass. Le serveur ne peut pas décrypter les passe sans ton mot de passe maître, si tu le perds, tu ne peux plus le récupérer. Comme pour un Keepass.
Le principale avantage est la possibilité de partager des passes entre en groupe d’utilisateurs, ce que keepass ne sait pas vraiment faire, sauf à tout partager y compris le mot de passe maître. Hors, en entreprise, c’est pas top.
Le 18/09/2019 à 08h 42
En réalité, un DNS menteur est très compliqué a mettre en œuvre.
Par contre, un man in the midle sur un routeur wifi public, c’est déjà bien plus simple. Et lui peut faire ce qu’il veut avec le DNS qu’il va te retourner, ainsi qu’avec les certificats qu’il va associer aux sites en question.
Le 18/09/2019 à 08h 39
Même punition, si tu as du DNS spoofing et que le site du pirate est bien fait (au moins pour la partie authentification), tu ne vas pas t’en rendre compte et tu vas y mettre ton mot de passe, même en manuel. Dans ce cas, remplissage automatique ou pas, pas de différence.
Pour les sites important, le mieux reste la double authentification, pour peu que le site l’autorise.
Les États-Unis réclament les recettes de Mémoires Vives (« Permanent Records ») d’Edward Snowden
18/09/2019
Le 18/09/2019 à 10h 17
C’est quoi le papier ?
Urgences : bientôt une plateforme avec estimation du temps d’attente
10/09/2019
Le 11/09/2019 à 06h 25
Serait-il possible d’arrêter de rependre les fake news gouvernementale ?
Non, il n’y a pas de 750 million d’euro de moyens supplémentaires. Il y a une récupération d’une enveloppe budgétaire déjà existante de 750 million d’euro et destinée, à l’origine, à financer des projets et travaux dans le monde hospitalier. Il n’y aura donc pas de nouveau scanner à l’hôpital de Trucmuch, pas de nouveau lit dans celui de Trafouilli, pas de changement du matériel informatique sous Windows 98 qui tourne à Tarabistouil.
Retirer les chaussures pour rajouter un nœud papillon, voilà la méthode utilisée. Pas sur que notre médecine se porte mieux après ce tour de passe-passe digne de Garcimore (et tout mon respect pour ce grand homme).
La justice interdit à BFM TV d’évoquer le conflit avec Free
04/09/2019
Le 05/09/2019 à 06h 29
A bon, BFM TV ne serait pas une chaine d’information indépendante ?
YouTube change les règles de Content ID suite à des « revendications manuelles agressives »
30/08/2019
Le 30/08/2019 à 15h 50
Ou un quidam qui avait déposé, comme une des ses composition, des ronronnements de chats…
Haine en ligne : la proposition de loi Avia notifiée en urgence à la Commission européenne
22/08/2019
Le 22/08/2019 à 10h 30
Est-ce que l’on va pouvoir se servir de ce texte contre les troll macroniste qui pullulent sur twitter ? Je suis curieux quand à la mise en place.
Directive Droit d’auteur : la Pologne attaque l’article 17 sur fond de liberté d’expression
21/08/2019
Le 21/08/2019 à 15h 03
La Pologne en défenseur de la liberté d’expression, c’est une surprise. Je ne sais pas s’il faut s’en réjouir ou pas. Par contre l’argumentation semble intéressante.
Surfer vaut consentement aux cookies : le Conseil d’État rejette le référé contre la CNIL
19/08/2019
Le 20/08/2019 à 15h 27
#OuPas
Il ne faut pas oublier que le juridique est rentré dans l’informatique et que, pour beaucoup, il fallait que cela fonctionne pour cet été. Et qu’ils ont juste appliqués les délais prévus, par eux.
Redevance Copie privée : vers un vaste assujettissement des PC et disques durs nus
19/08/2019
Le 20/08/2019 à 15h 15
Accéder aux mails d’un collègue de travail peut justifier un licenciement
20/08/2019
Le 20/08/2019 à 15h 12
La généralisation est arrivée bien après, l’usage généralisé d’une messagerie sur smartphone ne deviendra un automatique que vers 2014, soit bien après. Il faut toujours faire attention lorsque l’on juge des faits du passés avec des normes d’aujourd’hui.
Ensuite, si l’on fait bien attention à la première affaire, il se trouve que les échanges privés avaient lieu entre deux membres de l’entreprise. Hors, aujourd’hui encore, dans ces cas, les messages privés passent souvent par le canal de l’entreprise. Tout va dépendre de l’âge des protagonistes.