la différence entre le programme M. Le Pen et J-L. Mélenchon, est dans le fait que l’un protège les Français (terme à définir exactement) et l’autre protège les classes défavorisées (les “prolétaires” pour parler le Marxisme).
A part la différence entre l’ultra-conservatisme d’un côté et le réformisme de classe de l’autre, effectivement les 2 programmes utilisent sensiblement les mêmes leviers étatiques.
Le
12/04/2017 à
13h
05
“Une France libre” “Une France sûre” “Une France prospère” “Une France juste” “Une France fière” “Une France puissance” “Une France durable”
ou encore, particulièrement : “35. Soutenir les entreprises françaises face à la concurrence internationale déloyale par la mise en place d’un protectionnisme intelligent et le rétablissement d’une monnaie nationale adaptée à notre économie, levier de notre compétitivité.”
Je ne suis pas d’accord avec cet argument de compétitivité moindre à cause des 35h en France par rapport au reste du Monde qui travaillerait plus de 40h par semaine.
Dans les pays où la durée d’un temps plein est de 40h ou plus, il y a beaucoup plus de temps partiels qu’en France. Si on diminue la durée d’un temps plein, on diminue théoriquement la charge de travail des salariés temps plein et on permet à des chômeurs de travailler plus souvent.
D’ailleurs, concernant les activités intellectuelles, il est prouvé qu’on est plus productif en travaillant moins que 8h par jour (le matin par exemple). Et la productivité de la France a augmenté grâce aux 35h avec une meilleur flexibilité de l’emploi dans les PME (35h annualisés).
En revanche, je peux comprendre la réticence des chefs d’entreprise et des services de ressources humaines qui doivent s’organiser en fonction de la loi et pas seulement en fonction de leurs besoins premiers.
Le
11/04/2017 à
09h
59
Je suis d’accord, c’est une bonne chose d’avoir l’ancien président du CNNum comme conseiller qui connait le domaine du numérique. Encore faut-il écouter ses conseils pour concevoir ses discours sur le sujet, au lieu d’écouter son conseiller à la sécurité nationale (et pourvu qu’il n’utilise pas ce genre de soutien comme faire-valoir trop facilement).
E. Macron n'est pas approximatif, il est abstrait et souvent ambigü.
Et j'affirme que ses soutiens et ses idées sont hétéroclites (c'est le souk, pour utiliser une image). Je lui aurais fait un procès d'intention, j'aurais prétendu savoir quel comportement présidentiel il allait avoir, par exemple. Malheureusement, je suis comme toi, je n'en sais rien.
Le
11/04/2017 à
08h
35
Désolé, je n’attaque pas E. Macron sur ses diplômes, je me suis intéressé à sa formation initiale et c’est un fait qu’à l’ENA on apprend essentiellement à présenter des projets et à faire de la relation publique. Et après un cursus Hypokhâgne et de philosophie, ça n’augure pas une personnalité préoccupée par la rigueur et la précision scientifique et technique.
On a forcément les défauts de ses qualités.
D’ailleurs, tu fais bien de préciser que l’ancien président du CNNum a quitté son poste pour rejoindre l’équipe de campagne de E. Macron, ça montre bien le profil professionnel du candidat Macron.
Le
10/04/2017 à
18h
59
Ce serait cocasse en effet " />
Le
10/04/2017 à
18h
44
Moi, je regrette que tout les candidats nous vantent les qualités de leur projet mais aucun, à ma connaissance, ne nous dit qu’il nous promet du sang et des larmes, mais que cela sera nécessaire pour tracer la voie vers la prospérité.
En tout cas, je sais pour qui je ne voterais pas (8 candidats), mais je ne souhaite pas pour autant me résoudre à voter pour l’un des autres (3 candidats).
Le
10/04/2017 à
17h
04
dans la ploutocratie dans laquelle nous vivons, l’entreprise nous broie pas mal de libertés tout de même.
Le
10/04/2017 à
17h
02
mais avec la flexi-sécurité, on ménage la chèvre et le chou. C’est idéal… je crois… " />
(on me dit que la flexi-sécurité ne s’appliquerait qu’aux licenciements en entreprise)
Le
10/04/2017 à
16h
56
On peut dire ce qu’on veut, le plan média de ce candidat est tiré au cordeau. Pour ce qui est des idées et des soutiens, c’est un peu le souk (mais venant d’un énarque, jongler avec le tout et le néant, jongler avec l’alpha et l’oméga, c’est tout un art appris parfois dans la douleur et l’abnégation). Ce candidat deviendra prix Nobel de littérature s’il ne devient pas Président de la République (quoique prix Nobel, il ne faut pas passer un concours ou écraser les autres pour en devenir un).
argument falacieux : la fiscalité est forcément arbitraire et la multiplicité des impôts/taxes ne sert qu’à élargir la base d’imposition.
Si on suit ton raisonnement, l’impôt est forcément injuste puisqu’il est obligatoire et qu’il confisque la propriété privée. Pourtant l’État régalien a forcément besoin de l’impôt pour fonctionner.
Le
12/04/2017 à
08h
34
Arrêtez d’écrire Mélenchon avec des erreurs orthographiques. " />
Mélenchon -en- SVP! " />
Le
12/04/2017 à
08h
15
« Car la sécurité est la première de nos libertés. »
Programme En Marche ! (Un État qui protège - page 14 de la brochure - page 8 du pdf)
J-L. Mélenchon, le candidat droit dans ses bottes, qui met les pieds dans le plat. Un peu trop radical à mon goût, mais quelques idées innovantes intéressantes.
Le problème n’est pas le surbooking dans l’histoire, c’est la violence du débarquement d’un passager. Qu’on tire au sort les passagers qui devront quitter l’avion avec prime de dédommagement et chambre d’hôtel, c’est OK. Mais qu’en cas de refus, la compagnie charge la police de débarquer violemment l’individu récalcitrant en le trainant par terre, il y a au moins une exigence de respect de la dignité de l’individu à avoir, si ce n’est une exigence de ne pas molester un client.
Le
11/04/2017 à
07h
43
Quand on ne se fait pas expulser manu-militari de l’avion pour faute de surbooking " />
Au temps pour moi, on peut enlever l’Italie qui est un État unitaire relativement récent, bien qu’il soit l’unification de plusieurs États autonomes au XIXe Siècle.
On pourrait ajouter l’Espagne qui a l’air de concevoir une autonomie législative à ses provinces qui la composent.
Le
10/04/2017 à
22h
55
C’est amusant comme remarque lorsqu’on sait que la France est entourée quasi-exclusivement d’États fédérés (Italie, Suisse, Allemagne, Belgique, Royaume-uni).
Ceci-dit, j’habite dans un territoire qui n’est français que depuis 1,5 siècle.
Le
09/04/2017 à
13h
16
mon avis personnel est que les électeurs n’ont pas envie de choisir, il veulent un décideur qui leur montre la voie et qui leur dise quoi faire. Or une élection, le vote d’une loi, la signature d’un décret ne fait pas une décision réalisée.
Il ne suffit pas de voter pour démanteler une centrale nucléaire ou pour sortir de l'Euro (une pensée spéciale à S. Royal qui se vante actuellement d'avoir signé le décret pour la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim et une pensée spéciale au Brexit qui ne sera pas réalisé avant 2 ans, 3 ans voire 5 ou 10 ans, voire jamais).
Le
09/04/2017 à
12h
56
Amuse-toi à faire un jeu vidéo de campagne électorale optimisé sur Linux et sur un fork de Firefox, tu me diras combien d’électeurs auront joué à ton jeu et auront été touchés par tes arguments de campagne (qui sont illustrés dans ce jeu vidéo). D’ailleurs, “optimisé pour Chrome” ne veut pas dire qu’on ne peut pas jouer sur Debian+Firefox.
C'est beau l'idéologie, mais si c'est pour en parler entre 4 gars dans une réunion de quartier, autant ne pas faire campagne et jouer aux cartes.
Le
09/04/2017 à
11h
26
parce que Chrome représente plus de 50% d’utilisation parmi l’ensemble des navigateurs
Il faut être pragmatique, il s’agit de toucher un maximum de public. Chaque voix compte (autant celles des utilisateurs de Chrome que celles des utilisateurs de Firefox ou de Edge). Ça s’appelle du marketing.
Je croyais que c’était la faute au DarkWeb ou DeepWeb cette histoire de sites louches " />
" />
Le
10/04/2017 à
16h
00
Le défaut des algorithmes actuels est qu’ils proposent des choix que l’internaute a l’habitude de faire et ils n’incitent pas à la découverte de nouvelles choses qui peuvent être profitables. C’est comme si on était enfermé dans un quartier qu’on connaît déjà et qu’on n’avait plus la possibilité d’aller voir ce qui se passe plus loin à l’horizon.
D'ailleurs, quand j'utilise Google search ou Qwant et que je ne trouve pas ce que je cherche, je vais sur searx.fr ou sur searx.laquadrature.net et je trouve d'autres résultats qui peuvent être intéressants. D'autre part, je trouve que l'idée de Qobuz d'éditorialiser par la découverte le contenu est une idée très intéressante par rapport à Spotify et Deezer qui éditorialisent par algorithmes de personnalisation.
Le
10/04/2017 à
15h
46
Google et Facebook sont devenus de vrais médias de masse à l’image de TF1 qui choisit de faire un débat attractif entre les 5 candidats à l’élection présidentiel au motif qu’ils sont les plus populaires aux sondages (choix éditorial tout à fait acceptable mais irrespectueux de l’information exhaustive de l’électeur).
On peut critiquer la campagne officielle pilotée par le CSA, il faut bien reconnaître que sans cette procédure, le débat électorale en France serait bien pauvre et binaire (même si il s’agit d’une élection à scrutin majoritaire, il y a tout de même 2 tours dont le premier sert d’expression à chaque courant d’opinion).
Personnellement, F. Lordon et la lutte des classes ne sont pas ma tasse de thé, cependant je dois bien reconnaître que les pseudos-journalistes/animateursTV qui s’expriment avec suffisance en donnant leur opinion comme s’il s’agissait d’une Vérité avec un grand V et en méprisant l’opinion d’un grand nombre de téléspectateurs, m’exaspèrent au plus au point. Chacun est libre de son opinion (même les plus dangereuses, même les plus farfelues).
Le désespoir d’une Société est comme l’eau qui inonde un bateau, la prescription des médias est comme l’écopage : tant que la voie d’eau est résorbable, écoper sert à quelque chose. Quand l’eau monte dans le bateau, ça ne sert à rien d’écoper, il faut combler le trou ou se préparer à un sauvetage d’urgence.
Le
10/04/2017 à
06h
17
Il faut surtout les laisser s’exprimer car on est en démocratie et parce que personne ne se laisse convaincre par une personne qui lui dit qu’il dit des bêtises (ce qui est différent de dire à quelqu’un qu’il est dans l’erreur pour x raisons après avoir obtenu un minimum d’écoute de sa part).
Et pour espérer les convaincre, il faut d’abord savoir qu’une conviction ne s’élimine pas à coup de raisonnements, surtout si on a en face de soi une personne sceptique (quelque soit la nature de son scepticisme). Une fois qu’on est conscient qu’on a peu de chance de les convaincre, on peut apprendre à connaître quels sont leurs doutes, quelles sont leurs sources (connaître son ennemi ou plus humainement s’intéresser aux postulats de son interlocuteur même si ça effraie).
Ensuite, en toute connaissance de cause de ce discours alternatif ou déviant, on peut apprendre à manier la rhétorique (avoir de la répartie) pour respecter leur opinion tout en donnant des éléments de contradiction audible à leur personne qui a une façon singulière à raisonner (car oui ils raisonnent, ce ne sont pas que des militants ou des pauvres d’esprit ou des croyants farfelus).
Le
08/04/2017 à
13h
20
OlivierJ a écrit :
Oui mais l’effet est bien pire, car avant ça restait cantonné au café du coin où à des groupes de potes isolés. Maintenant t’as plus ou moins 20 % des gens (ou des jeunes) qui ne croient pas qu’il y a eu des attentats en 2015 en France " /> .
Comme l'a dit Umberto Eco, connaisseur du phénomène :
« Les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à des légions d’imbéciles qui, avant, ne parlaient qu’au bar, après un verre de vin et ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite alors qu’aujourd’hui ils ont le même droit de parole qu’un prix Nobel. C’est l’invasion des imbéciles »
Cette citation est surtout à prendre avec un poil d'ironie et de provocation de la part d'Umberto Eco. Un personnage qui vivaient sans téléphone mobile et qui avait une utilisation d'internet limitée au usages professionnels. Un personnage qui ne posaient pas de jugement moral sur les choses.
Car Umberto Eco a dit aussi en parlant d'internet : «il faut juste être armé pour s’en servir. C’est comme un super bolide qu’il faut savoir conduire. Sinon, on va droit dans le mur». «Il y a les idiots de l’ordinateur comme il y a les idiots du Walkman qu’on voit se trémousser et hurler dans les concerts rock, disait-il à L’Obs en 1991. […] Dans la société du babillage qui est la nôtre, il y a l’imbécile, mais il y a aussi le mutant. Celui qui est capable de vivre de façon intéressante cette pluralité des langages contemporains. Je n’ai pas à porter de jugement là-dessus, je me contente d’observer.»
Finalement, ton commentaire fait la même erreur que les publications hâtives dans les rézo socio, en tronquant un discours avec une citation sortie de son contexte.
Bah après tant que l’algo est fiable, que ça se base sur du binaire ou un truc par palier de 10… alors que leur indications de popularité monte en granularité puisque sous la forme d’un pourcentage (mais bon, entre 73 et 83 %, quelle différence en vrai ? :p)
Finalement, c’est très ludique ce système de recommandation en pourcentage et ces pouces en haut/en bas. Il y a comme une impression de maîtriser l’algorithme en lui indiquant qu’il s’est trompé quand on met un pouce en bas sur un film qui a une recommandation très élevée " />
Oui il n’y a pas de censure, je suis d’accord avec toi, voilà je te le dis expressément. Je ne suis pas en désaccord avec toi, j’essayais seulement de te faire comprendre mon avis et d’élargir un peu la discussion.
Mais comme tu n’as pas l’air ouvert à la discussion (ou peut-être que je ne m’exprime pas assez directement), j’en resterais là.
le web des années 2000 : les portails web, le FAI Oreka, la publicité à insérer dans les pages perso, les hébergeurs de pages perso gratuits, les boîtes mail, … tout ça a été balayé par Google et Facebook qui se partagent ce marché de l’info web “gratuite”.
Le
07/04/2017 à
12h
52
skankhunt42 a écrit :
[…]
Donc en gros je me lève chaque matin et maintenant quand je vais m'informer sur mon site préféré qui affiche à 80% un gros bandeau "Désolé vous êtes trop pauvre vous ne pouvez pas lire cette news". Dès le matin ça te fout clairement le cafard...
J'ai connu cette frustration : mon abonnement Next Inpact s'était terminé il y a quelques mois et je suis resté quelques jours sans m'abonner en me disant que ça irait bien. Mais venir sur le site et ne pas pouvoir lire et commenter des articles qui m'intéressent a été relativement frustrant.
Ceci-dit, j'ai connu ça aussi avec arretsurimages.net et avec Facebook (dont j'ai supprimé mon compte), et le "sevrage" s'est bien terminé. Tout ça n'est qu'affaire d'envies, de choix et de priorités.
Le
07/04/2017 à
11h
17
C’est rare qu’un service ne nous impose pas son application mobile. Mais si je mets un pied dans l’utilisation de Twitter en mobilité, je risque fort de devenir un smombie et ça me fait un peu peur. Il y en a tellement dans les rues ces temps-ci.
(dernière partie intitulée Des offres pour les autres opérateurs remaniées) - Next Inpact - 30/07/2015
Le
07/04/2017 à
09h
47
Merci pour cette précision " />
En lisant l’article, j’avais du mal à comprendre ce qui peinais ce nouveau groupe de pression (Alternative Telecom) dans la nouvelle régulation de la fibre d’entreprise voulue par l’Arcep. J’avais l’impression que Alternative Telecom souhaitait faire du dégroupage le plus rapidement possible, alors qu’en même temps l’Arcep ne voulais pas aller aussi vite et loin.
En fait si j’ai bien compris (ce qui n’est pas encore acquis), Alternative Telecom demande seulement à ce que ses adhérents ne subissent pas le risque de voir leurs clients entreprise ADSL partir chez Orange fibre, avant que Kosc dégroupe la fibre d’Orange (l’argument de l’oligopole à trois - Orange, SFR, Kosc - est fallacieux dans cette situation).
En fait (et si j’ai bien compris), Alternative Telecom souhaite simplement permettre à ses adhérents de faire de la revente en marque blanche, de la vente de détail à la manière des MVNO sur le réseau mobile, avec des tarifs de gros régulés (comme ce qui se passe actuellement sur le réseau câblé de SFR). À quoi sert cet amalgame sur le mot “dégroupage” ? Est-ce vraiment efficace dans leur lobbying ?
Je m’y suis essayé et ce n’est si compliqué à utiliser si on est déjà habitué au fonctionnement de Twitter. Ceci-dit, le gros avantage de Twitter est d’avoir des inscrits à forte notoriété (personnalités publiques, marques commerciales, etc) et une base d’utilisateurs conséquente. Ce qui constitue un premier avantage, le second avantage étant que Twitter est plus abouti dans son ergonomie que Mastodon.
La comparaison entre Mastodon et et le Mail est assez pertinente finalement (ça c’est un inconvénient pour Twitter, car Mastodon peut être un outil de communication interopérable).
Avec le crowdfunding, le risque financier est à la charge du public concerné au lieu d’être à la charge du fabricant (je simplifie - le porteur de projet peut éventuellement financer une partie de son projet). Il y a donc 2 avantages au financement contributif :
comme tu dis, ça permet de financer des projets qui intéressent une communauté, malgré le fait que ces projets soient non-rentables ou très risqués commercialement parlant,
ça permet d’atomiser le risque financier : 1000 personnes qui perdent quelques dizaines d’euros, c’est plus facile à vivre que 2 ou 3 personnes qui perdent quelques milliers d’euros.
Et l’inconvénient : en cas d’abandon du projet, ça fait 1000 internautes déçus qui attendaient devant leur écran, au lieu de 2 ou 3 porteurs de projet déçus qui en ont bavé et qui sont plutôt soulagés de passer à autre chose.
Donc, effectivement, le crowdfunding peut être utile si la plateforme et le meneur de projet collaborent efficacement à l’élaboration de la campagne de financement afin d’éviter au maximum le risque d’abandon du projet. Mais quand l’échec survient, le retour de bâton fait très mal. C’est la raison pour laquelle, au lieu d’une campagne de crowdfunding qui suscite l’envie auprès du public et qui fait prendre le risque le décevoir, parfois il vaut peut-être mieux songer à des solutions plus modestes et moins tape-à-l’œil.
J’ai moi-même connu des projets qui se sont réalisés sans faire un gros succès mais le produit avait été tout de même produit et distribué, ça s’était donc bien passé. Cependant j’ai aussi connu quelques échecs avec une plateforme acculée qui communique très mal dans cette situation difficile, et avec le porteur de projet qui fait le mort : car à ce moment-là, c’est la vindicte populaire qui se déchaîne sur eux (la foule qui finance se transforme en une foule sourde qui s’énerve).
J’entends bien, je voulais juste faire remarquer que lorsqu’on parle de forfait à 0€-16€ par mois dans le cas de Free mobile (on voit souvent cette mélopée dans les commentaires), ce n’est pas vraiment exact. Comme le biais qui est pris dans la conclusion de l’article en comparant cette option à 2€ avec des forfaits à 2€ (même si j’en comprends le raisonnement par ailleurs).
7412 commentaires
Le numérique dans le programme de Marine Le Pen
12/04/2017
Le 12/04/2017 à 13h 10
la différence entre le programme M. Le Pen et J-L. Mélenchon, est dans le fait que l’un protège les Français (terme à définir exactement) et l’autre protège les classes défavorisées (les “prolétaires” pour parler le Marxisme).
A part la différence entre l’ultra-conservatisme d’un côté et le réformisme de classe de l’autre, effectivement les 2 programmes utilisent sensiblement les mêmes leviers étatiques.
Le 12/04/2017 à 13h 05
“Une France libre” “Une France sûre” “Une France prospère” “Une France juste” “Une France fière” “Une France puissance” “Une France durable”
ou encore, particulièrement : “35. Soutenir les entreprises françaises face à la concurrence internationale déloyale par la mise en place d’un protectionnisme intelligent et le rétablissement d’une monnaie nationale adaptée à notre économie, levier de notre compétitivité.”
https://www.marine2017.fr/programme/
Des mots comme “France”, “protectionnisme” sont associés à des termes positifs. Pour le reste c’est plutôt négatif (par exemple: “déloyal”)
Après les SMS, le plan de Silence pour décentraliser les messageries chiffrées
12/04/2017
Le 12/04/2017 à 12h 19
Testé sur téléphone double-SIM, mais j’envoie les SMS en double :-(
Si quelqu’un a une astuce à me proposer, je suis preneur.
#LeBrief : Hasta la Vista, les Snaps dans Fedora, l’instance Mastodon de Framasoft est là
12/04/2017
Le 12/04/2017 à 10h 45
L’interface de Framapiaf est toute blanche alors que celle de Mamot (LaQuadratureduNet) est sombre :
Emmanuel Macron en Marche contre le terrorisme (et le chiffrement)
10/04/2017
Le 12/04/2017 à 09h 44
Je ne suis pas d’accord avec cet argument de compétitivité moindre à cause des 35h en France par rapport au reste du Monde qui travaillerait plus de 40h par semaine.
Dans les pays où la durée d’un temps plein est de 40h ou plus, il y a beaucoup plus de temps partiels qu’en France. Si on diminue la durée d’un temps plein, on diminue théoriquement la charge de travail des salariés temps plein et on permet à des chômeurs de travailler plus souvent.
D’ailleurs, concernant les activités intellectuelles, il est prouvé qu’on est plus productif en travaillant moins que 8h par jour (le matin par exemple). Et la productivité de la France a augmenté grâce aux 35h avec une meilleur flexibilité de l’emploi dans les PME (35h annualisés).
En revanche, je peux comprendre la réticence des chefs d’entreprise et des services de ressources humaines qui doivent s’organiser en fonction de la loi et pas seulement en fonction de leurs besoins premiers.
Le 11/04/2017 à 09h 59
Je suis d’accord, c’est une bonne chose d’avoir l’ancien président du CNNum comme conseiller qui connait le domaine du numérique. Encore faut-il écouter ses conseils pour concevoir ses discours sur le sujet, au lieu d’écouter son conseiller à la sécurité nationale (et pourvu qu’il n’utilise pas ce genre de soutien comme faire-valoir trop facilement).
Le 11/04/2017 à 08h 35
Désolé, je n’attaque pas E. Macron sur ses diplômes, je me suis intéressé à sa formation initiale et c’est un fait qu’à l’ENA on apprend essentiellement à présenter des projets et à faire de la relation publique. Et après un cursus Hypokhâgne et de philosophie, ça n’augure pas une personnalité préoccupée par la rigueur et la précision scientifique et technique.
On a forcément les défauts de ses qualités.
D’ailleurs, tu fais bien de préciser que l’ancien président du CNNum a quitté son poste pour rejoindre l’équipe de campagne de E. Macron, ça montre bien le profil professionnel du candidat Macron.
Le 10/04/2017 à 18h 59
Ce serait cocasse en effet " />
Le 10/04/2017 à 18h 44
Moi, je regrette que tout les candidats nous vantent les qualités de leur projet mais aucun, à ma connaissance, ne nous dit qu’il nous promet du sang et des larmes, mais que cela sera nécessaire pour tracer la voie vers la prospérité.
En tout cas, je sais pour qui je ne voterais pas (8 candidats), mais je ne souhaite pas pour autant me résoudre à voter pour l’un des autres (3 candidats).
Le 10/04/2017 à 17h 04
dans la ploutocratie dans laquelle nous vivons, l’entreprise nous broie pas mal de libertés tout de même.
Le 10/04/2017 à 17h 02
mais avec la flexi-sécurité, on ménage la chèvre et le chou. C’est idéal… je crois… " />
(on me dit que la flexi-sécurité ne s’appliquerait qu’aux licenciements en entreprise)
Le 10/04/2017 à 16h 56
On peut dire ce qu’on veut, le plan média de ce candidat est tiré au cordeau. Pour ce qui est des idées et des soutiens, c’est un peu le souk (mais venant d’un énarque, jongler avec le tout et le néant, jongler avec l’alpha et l’oméga, c’est tout un art appris parfois dans la douleur et l’abnégation). Ce candidat deviendra prix Nobel de littérature s’il ne devient pas Président de la République (quoique prix Nobel, il ne faut pas passer un concours ou écraser les autres pour en devenir un).
Chiffrement : Emmanuel Macron en Marche arrière
12/04/2017
Le 12/04/2017 à 09h 26
argument falacieux : la fiscalité est forcément arbitraire et la multiplicité des impôts/taxes ne sert qu’à élargir la base d’imposition.
Si on suit ton raisonnement, l’impôt est forcément injuste puisqu’il est obligatoire et qu’il confisque la propriété privée. Pourtant l’État régalien a forcément besoin de l’impôt pour fonctionner.
Le 12/04/2017 à 08h 34
Arrêtez d’écrire Mélenchon avec des erreurs orthographiques. " />
Mélenchon -en- SVP! " />
Le 12/04/2017 à 08h 15
« Car la sécurité est la première de nos libertés. »
Le numérique dans le programme de Jean-Luc Mélenchon
11/04/2017
Le 11/04/2017 à 10h 27
J-L. Mélenchon, le candidat droit dans ses bottes, qui met les pieds dans le plat. Un peu trop radical à mon goût, mais quelques idées innovantes intéressantes.
Vous pouvez désormais devenir un journaliste certifié par Facebook
11/04/2017
Le 11/04/2017 à 09h 43
Pourtant, même si l’exemple ne fait pas l’argument, il y a l’exemple de Denis Robert (qui a, entre autres, enquêté sur l’affaire Clearstream) qui publie régulièrement des “instant articles” sur Facebook et qui trouve ça pratique pour diffuser efficacement et à moindre frais des faits qui lui importent (sans grosse censure de Facebook dues à des demandes de retrait par des utilisateurs de Facebook mécontents).
D’ailleurs, Denis Robert est le seul journaliste que je connaisse à avoir apprivoisé Facebook et à se désintéresser de Twitter.
Le 11/04/2017 à 08h 22
Devenir journaliste certified Facebook : l’aboutissement d’un cursus de formation professionnel après l’ESJ de Paris.
De quoi compléter une carrière à CNews ou Bfm TV " />
#LeBrief : AMD coupe le cordon de la VR, Facebook mise sur la présidentielle, Sense8 revient
11/04/2017
Le 11/04/2017 à 08h 05
Le problème n’est pas le surbooking dans l’histoire, c’est la violence du débarquement d’un passager. Qu’on tire au sort les passagers qui devront quitter l’avion avec prime de dédommagement et chambre d’hôtel, c’est OK. Mais qu’en cas de refus, la compagnie charge la police de débarquer violemment l’individu récalcitrant en le trainant par terre, il y a au moins une exigence de respect de la dignité de l’individu à avoir, si ce n’est une exigence de ne pas molester un client.
Le 11/04/2017 à 07h 43
Quand on ne se fait pas expulser manu-militari de l’avion pour faute de surbooking " />
TwitterBienvenue aux States !
620ème édition des LIDD : Liens Idiots Du Dimanche
08/04/2017
Le 10/04/2017 à 23h 11
Au temps pour moi, on peut enlever l’Italie qui est un État unitaire relativement récent, bien qu’il soit l’unification de plusieurs États autonomes au XIXe Siècle.
On pourrait ajouter l’Espagne qui a l’air de concevoir une autonomie législative à ses provinces qui la composent.
Le 10/04/2017 à 22h 55
C’est amusant comme remarque lorsqu’on sait que la France est entourée quasi-exclusivement d’États fédérés (Italie, Suisse, Allemagne, Belgique, Royaume-uni).
Ceci-dit, j’habite dans un territoire qui n’est français que depuis 1,5 siècle.
Le 09/04/2017 à 13h 16
mon avis personnel est que les électeurs n’ont pas envie de choisir, il veulent un décideur qui leur montre la voie et qui leur dise quoi faire. Or une élection, le vote d’une loi, la signature d’un décret ne fait pas une décision réalisée.
Le 09/04/2017 à 12h 56
Amuse-toi à faire un jeu vidéo de campagne électorale optimisé sur Linux et sur un fork de Firefox, tu me diras combien d’électeurs auront joué à ton jeu et auront été touchés par tes arguments de campagne (qui sont illustrés dans ce jeu vidéo). D’ailleurs, “optimisé pour Chrome” ne veut pas dire qu’on ne peut pas jouer sur Debian+Firefox.
Le 09/04/2017 à 11h 26
parce que Chrome représente plus de 50% d’utilisation parmi l’ensemble des navigateurs
 http://www.ginjfo.com/actualites/logiciels/windows-10/guerre-navigateurs-microso…
  Wikipedia http://www.zdnet.fr/actualites/chiffres-cles-les-navigateurs-internet-39381322.h…
Il faut être pragmatique, il s’agit de toucher un maximum de public. Chaque voix compte (autant celles des utilisateurs de Chrome que celles des utilisateurs de Firefox ou de Edge). Ça s’appelle du marketing.
Le 09/04/2017 à 08h 53
Le 09/04/2017 à 08h 43
La légende de la chèvre qui connaissait le vrai sens de la montagne ">
Le 08/04/2017 à 22h 44
Bruce de la chaîne e-penser s’est surpassé avec ses vidéos à clics. J’ai eu ma dose de “alternative facts” pour ce soir " /> " />
Le 08/04/2017 à 22h 13
les LIDD, c’est vraiment du clickbait " />
Après SFR Distribution, la supervision du réseau Numericable en grève « illimitée »
10/04/2017
Le 10/04/2017 à 16h 34
Sur l’affiche “En grève” dans l’article, on peut lire : “Nous sommes SFR”… Nous sommes légion et nous sommes en marche.
En Marche! ? " /> " />
Google détaille désormais les articles de fact-checking en France
10/04/2017
Le 10/04/2017 à 16h 10
Je croyais que c’était la faute au DarkWeb ou DeepWeb cette histoire de sites louches " />
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Le 10/04/2017 à 16h 00
Le défaut des algorithmes actuels est qu’ils proposent des choix que l’internaute a l’habitude de faire et ils n’incitent pas à la découverte de nouvelles choses qui peuvent être profitables. C’est comme si on était enfermé dans un quartier qu’on connaît déjà et qu’on n’avait plus la possibilité d’aller voir ce qui se passe plus loin à l’horizon.
Le 10/04/2017 à 15h 46
Google et Facebook sont devenus de vrais médias de masse à l’image de TF1 qui choisit de faire un débat attractif entre les 5 candidats à l’élection présidentiel au motif qu’ils sont les plus populaires aux sondages (choix éditorial tout à fait acceptable mais irrespectueux de l’information exhaustive de l’électeur).
On peut critiquer la campagne officielle pilotée par le CSA, il faut bien reconnaître que sans cette procédure, le débat électorale en France serait bien pauvre et binaire (même si il s’agit d’une élection à scrutin majoritaire, il y a tout de même 2 tours dont le premier sert d’expression à chaque courant d’opinion).
#LeBrief : GPG se met à jour, Wire ouvre ses serveurs, Windows 10 Redstone 3 débarque
10/04/2017
Le 10/04/2017 à 07h 43
Interdiction totale de l’application Uber en Italie ? Ils n’y sont pas allé de main morte.
« Fake news » : Facebook lance un nouvel outil et songerait à rétribuer des médias
07/04/2017
Le 10/04/2017 à 06h 37
Personnellement, F. Lordon et la lutte des classes ne sont pas ma tasse de thé, cependant je dois bien reconnaître que les pseudos-journalistes/animateursTV qui s’expriment avec suffisance en donnant leur opinion comme s’il s’agissait d’une Vérité avec un grand V et en méprisant l’opinion d’un grand nombre de téléspectateurs, m’exaspèrent au plus au point. Chacun est libre de son opinion (même les plus dangereuses, même les plus farfelues).
Le désespoir d’une Société est comme l’eau qui inonde un bateau, la prescription des médias est comme l’écopage : tant que la voie d’eau est résorbable, écoper sert à quelque chose. Quand l’eau monte dans le bateau, ça ne sert à rien d’écoper, il faut combler le trou ou se préparer à un sauvetage d’urgence.
Le 10/04/2017 à 06h 17
Il faut surtout les laisser s’exprimer car on est en démocratie et parce que personne ne se laisse convaincre par une personne qui lui dit qu’il dit des bêtises (ce qui est différent de dire à quelqu’un qu’il est dans l’erreur pour x raisons après avoir obtenu un minimum d’écoute de sa part).
Et pour espérer les convaincre, il faut d’abord savoir qu’une conviction ne s’élimine pas à coup de raisonnements, surtout si on a en face de soi une personne sceptique (quelque soit la nature de son scepticisme). Une fois qu’on est conscient qu’on a peu de chance de les convaincre, on peut apprendre à connaître quels sont leurs doutes, quelles sont leurs sources (connaître son ennemi ou plus humainement s’intéresser aux postulats de son interlocuteur même si ça effraie).
Ensuite, en toute connaissance de cause de ce discours alternatif ou déviant, on peut apprendre à manier la rhétorique (avoir de la répartie) pour respecter leur opinion tout en donnant des éléments de contradiction audible à leur personne qui a une façon singulière à raisonner (car oui ils raisonnent, ce ne sont pas que des militants ou des pauvres d’esprit ou des croyants farfelus).
Le 08/04/2017 à 13h 20
Netflix clarifie sa gestion des notes et des recommandations
06/04/2017
Le 09/04/2017 à 11h 47
Résultats records pour Paradox Interactive, l’éditeur de Cities Skylines
07/04/2017
Le 08/04/2017 à 19h 51
Europa Universalis IV, le meilleur jeu de stratégie que j’ai pu jouer.
Crusader Kings II, je ne comprends rien aux cartes, et je n’accroche pas.
#Flock nous résume sa semaine, faite de drames
08/04/2017
Le 08/04/2017 à 12h 02
J’ai bien aimé le dessin sur l’état d’urgence et celui sur Apple/ImaginationTech
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Facebook cofonde News Integrity, une initiative d’éducation aux médias
03/04/2017
Le 08/04/2017 à 09h 48
Oui il n’y a pas de censure, je suis d’accord avec toi, voilà je te le dis expressément. Je ne suis pas en désaccord avec toi, j’essayais seulement de te faire comprendre mon avis et d’élargir un peu la discussion.
Mais comme tu n’as pas l’air ouvert à la discussion (ou peut-être que je ne m’exprime pas assez directement), j’en resterais là.
#Replay : Grande Muraille de Chine, OMS et big data
07/04/2017
Le 07/04/2017 à 20h 02
Voir Minority Report sur recommandation de l’algorithme de Netflix, c’est cocasse, ça donnerait presque le frisson.
Twitter Lite : un site mobile allégé, avec un économiseur de données
07/04/2017
Le 07/04/2017 à 13h 22
le web des années 2000 : les portails web, le FAI Oreka, la publicité à insérer dans les pages perso, les hébergeurs de pages perso gratuits, les boîtes mail, … tout ça a été balayé par Google et Facebook qui se partagent ce marché de l’info web “gratuite”.
Le 07/04/2017 à 12h 52
Le 07/04/2017 à 11h 17
C’est rare qu’un service ne nous impose pas son application mobile. Mais si je mets un pied dans l’utilisation de Twitter en mobilité, je risque fort de devenir un smombie et ça me fait un peu peur. Il y en a tellement dans les rues ces temps-ci.
Alternative Télécom, l’autre lobby contre la domination d’Orange sur la fibre
06/04/2017
Le 07/04/2017 à 09h 56
Le 07/04/2017 à 09h 47
Merci pour cette précision " />
En lisant l’article, j’avais du mal à comprendre ce qui peinais ce nouveau groupe de pression (Alternative Telecom) dans la nouvelle régulation de la fibre d’entreprise voulue par l’Arcep. J’avais l’impression que Alternative Telecom souhaitait faire du dégroupage le plus rapidement possible, alors qu’en même temps l’Arcep ne voulais pas aller aussi vite et loin.
En fait si j’ai bien compris (ce qui n’est pas encore acquis), Alternative Telecom demande seulement à ce que ses adhérents ne subissent pas le risque de voir leurs clients entreprise ADSL partir chez Orange fibre, avant que Kosc dégroupe la fibre d’Orange (l’argument de l’oligopole à trois - Orange, SFR, Kosc - est fallacieux dans cette situation).
En fait (et si j’ai bien compris), Alternative Telecom souhaite simplement permettre à ses adhérents de faire de la revente en marque blanche, de la vente de détail à la manière des MVNO sur le réseau mobile, avec des tarifs de gros régulés (comme ce qui se passe actuellement sur le réseau câblé de SFR). À quoi sert cet amalgame sur le mot “dégroupage” ? Est-ce vraiment efficace dans leur lobbying ?
Mastodon, le réseau social libre et décentralisé prêt à voler dans les plumes de Twitter
07/04/2017
Le 07/04/2017 à 09h 23
Je m’y suis essayé et ce n’est si compliqué à utiliser si on est déjà habitué au fonctionnement de Twitter. Ceci-dit, le gros avantage de Twitter est d’avoir des inscrits à forte notoriété (personnalités publiques, marques commerciales, etc) et une base d’utilisateurs conséquente. Ce qui constitue un premier avantage, le second avantage étant que Twitter est plus abouti dans son ergonomie que Mastodon.
La comparaison entre Mastodon et et le Mail est assez pertinente finalement (ça c’est un inconvénient pour Twitter, car Mastodon peut être un outil de communication interopérable).
Data Gueule en appelle aux internautes pour financer un documentaire sur la démocratie
06/04/2017
Le 07/04/2017 à 00h 42
Avec le crowdfunding, le risque financier est à la charge du public concerné au lieu d’être à la charge du fabricant (je simplifie - le porteur de projet peut éventuellement financer une partie de son projet). Il y a donc 2 avantages au financement contributif :
Et l’inconvénient : en cas d’abandon du projet, ça fait 1000 internautes déçus qui attendaient devant leur écran, au lieu de 2 ou 3 porteurs de projet déçus qui en ont bavé et qui sont plutôt soulagés de passer à autre chose.
Donc, effectivement, le crowdfunding peut être utile si la plateforme et le meneur de projet collaborent efficacement à l’élaboration de la campagne de financement afin d’éviter au maximum le risque d’abandon du projet. Mais quand l’échec survient, le retour de bâton fait très mal. C’est la raison pour laquelle, au lieu d’une campagne de crowdfunding qui suscite l’envie auprès du public et qui fait prendre le risque le décevoir, parfois il vaut peut-être mieux songer à des solutions plus modestes et moins tape-à-l’œil.
J’ai moi-même connu des projets qui se sont réalisés sans faire un gros succès mais le produit avait été tout de même produit et distribué, ça s’était donc bien passé. Cependant j’ai aussi connu quelques échecs avec une plateforme acculée qui communique très mal dans cette situation difficile, et avec le porteur de projet qui fait le mort : car à ce moment-là, c’est la vindicte populaire qui se déchaîne sur eux (la foule qui finance se transforme en une foule sourde qui s’énerve).
2017 : pour 1,99 euro, Orange propose des SMS/MMS illimités et 10 minutes d’appel
06/04/2017
Le 06/04/2017 à 20h 07
J’entends bien, je voulais juste faire remarquer que lorsqu’on parle de forfait à 0€-16€ par mois dans le cas de Free mobile (on voit souvent cette mélopée dans les commentaires), ce n’est pas vraiment exact. Comme le biais qui est pris dans la conclusion de l’article en comparant cette option à 2€ avec des forfaits à 2€ (même si j’en comprends le raisonnement par ailleurs).