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7412 commentaires

Le 08/03/2015 à 12h 09

Dommage, maintenant que Microsoft a éradiqué Nokia, on ne peut plus sortir de la Matrice aussi facilement

&nbspyoutube.com YouTube<img data-src=" />

Le 07/03/2015 à 19h 31

« Si publiquement, Google affiche les réussites de son réseau, à Austin (Kansas) et à Provo (Utah), les villes ne seraient pas toutes heureuses de cette ingérence de Mountain View dans leurs affaires. Selon Gigaom, certaines villes, comme Washington, refuseraient l’installation de Google Fiber, ce qui agacerait la société. »



(article Next Inpact)      





Net Neutrality by Google, comme “Internet by Orange”… business is business, what else ?

Le 06/03/2015 à 11h 26

Qobuz est l’un des rares services de musiques en ligne à préciser la qualité sonore de ses enregistrements, en proposant en plus différentes qualités, sur différentes plateformes (applications sur différents systèmes d’exploitation, web).



Seule l’offre de base me laisse dubitatif puisqu’elle coûte 4,99 euros/mois alors que d’autres services financés par la publicité font la même chose “gratuitement” (MusicMe, Spotify, Youtube, Vevo, etc), même si le modèle économique de Qobuz me semble plus sain pour l’utilisateur.

Le 06/03/2015 à 10h 03

J’aime bien l’image illustrant l’article :





  • dans un sens, des pièces de monnaies qui font monter des pousses, mais cela ne signifie pas que la jeune pousse la plus élevée ait grandi pour autant. Ou dit autrement, l’argent ne se mange pas, l’argent ne fait pas le succès, l’argent ne fait pas tout, etc.

  • dans un autre sens, des petites sommes (représentées par des pièces) qui s’accumulent pour faire grandir des colonnes de monnaies (représentant des “valeurs” de financement collaboratif de projets).



Le 04/03/2015 à 08h 22

vérification de l’identité* par le numéro de téléphone… ou par le numéro de Carte Bancaire,, comme le font les plateformes web de l’économie collaborative, les hôtels très économiques (Formule 1 par exemple)…



Personnellement, avant de payer sur le web, je vérifie que le site me propose plusieurs modes de paiements alternatifs à la CB, sinon je suppose fortement que le système de paiement électronique du site web renferme également un dispositif de contrôle de l’identitifiant unique correspondant à la personne que je suis.



J’ajoute qu’il est inutile de s’offusquer de cela ou de réagir de manière émotionnelle, il s’agit peut-être d’une tendance qui se généralisera à l’avenir. En tout cas, que cela se passe de manière transparente en laissant les utilisateurs décider me paraît primordial (si la solution de “sécurisation” ne plaît pas à une majorité d’utilisateurs, c’est à l’entrepreneur de prendre ses propres risques dès le départ, pas à la Société toute entière).





* vérification de l’identité… ou de “l’unicité du compte” : expression déjà employée sur le web “participatif”, sûrement dans le but de rester conforme au respect de la vie privée encore en vigueur actuellement en France

Le 03/03/2015 à 08h 50

D’accord, AT&T est un mauvais exemple.



Pour autant, ce n’est pas exact qu’un modèle sans régulation soit possible :



dans les années 1980, AT&T a été démantelée en plusieurs société régionales qui ont fini par fusionner en 2 ou 3 sociétés continentales. Cela, non pas à cause de la régulation, mais à cause de la “main invisible” du marché à laquelle tu prêtes beaucoup de mérites. Et la raison est simple : qui dit investissements dans des infrastructures coûteuses, dit coûts fixes. Et qui dit coûts fixes, dit besoins d’économies d’échelles et besoins capitalistiques.



Donc sans régulation de l’exploitation d’infrastructures, il y a, à terme, monopole de fait. Et le monopole n’encourage pas l’innovation (on est bien d’accord là-dessus même si la concurrence par les infrastructures me semble très difficile à respecter en raison des coûts d’investissement importants).





Autrement dit, la concurrence dans l’exploitation d’infrastructures exige tellement d’investissements (voire parfois au risque d’un surendettement de l’entreprise), que la concurrence par les infrastructures est un frein au développement et exige la recherche d’économies d’échelle, donc la constitution d’un monopole de fait (sauf si une régulation prévoit des règles anti-capitalistiques/anti-trust/anti-conglomérat). D’ailleurs, l’Union européenne est certainement plus libérale que les USA.

Le 03/03/2015 à 07h 59

Une bonne régulation est toujours transparente. Sinon, c’est du lobbying ou de l’influence citoyenne ou des choix/des politiques industriels obscures. Et ce n’est plus de la régulation au sens où je l’entends.

Le 01/03/2015 à 20h 02

La régulation permet aussi d’éviter de “jouer au Monopoly” et d’obtenir finalement des monopoles de fait comme AT&T ou la Standard Oil de Rockefeller.



Une régulation menée avec de la transparence n’est pas une mauvaise chose pour l’innovation. Mais ce n’est que mon opinion.

Le 01/03/2015 à 19h 50







brazomyna a écrit :



(…) Tu poses exactement la même problématique en ce qui concerne la capacité des réseaux, et t’as 95% qui te répondent qu’“évidemment” ça coûtera plus cher et qu’il va falloir trouver de nouvelles sources de financement.



La seule différence entre les deux c’est le lobbying tendance méthode Coué qui a été opérée par les FAI, et qui a manifestement fini par porter ses fruits. Il semble ancré dans les esprits que les besoins en débits croîtraient plus vite que l’évolution des technos et la baisse des coûts qu’elle engendre.



Et pourtant si on regarde les choses froidement, ça s’est avéré parfaitement faux jusque là, et il n’y a aucune raison pour que ça change (et si on regarde rien que la situation actuelle, on a déjà beaucoup de marge, avec des liens fibres capables de Tb/s sur un seul brin, sans spécialement forcer).





Tu as raison : à long terme, les opérateurs télécom n’ont rien à perdre à dimensionner correctement le réseau. Mais à court terme, l’effort d’amélioration du réseau, le financement, il faut les fournir.





Qu’est-ce qui engagerait les opérateurs télécom à fournir ces efforts ?





  • Que ces efforts rapportent plus de bénéfices le plus rapidement possible. D’où le lobbying des opérateurs/FAI pour diffuser des contenus différenciés ou d’avoir des revenus supplémentaires de la part des GAFA - qui sont actuellement très bénéficiaires. Finalement, quand Orange ou Free ou Google parlent de neutralité du Net, ils parlent “accords commerciaux” et “bénéfices” en occultant le fonctionnement technique de leurs réseaux (pourtant, la neutralité du Net est bien un sujet technique)



  • une concurrence entre FAI plutôt que des partenariats commerciaux entre opérateurs télécom et diffuseurs de contenus


Le 01/03/2015 à 14h 05







methos1435 a écrit :



(…)



Perso, je vois pas pourquoi un utilisateur light du réseau devrait payer autant qu’une personne qui, de par sa consommation, participe à la surcharge du réseau. On peut parler de différenciation pauvre / riche si on veut: rien n’est gratuit dans ce monde et il est pour moi normal qu’une personne qui consomme plus paye plus. C’est là qu’on voit le principe même de tout illimité à du plomb dans l’aile.









brazomyna a écrit :



Il faut avant tout se sortir de la tête une fois pour toutes que les coûts d’un abonné seraient proportionnels à une quantité de consommation. Quelques (contre) exemples:





  • le mec qui donwloade comme un porc à 100 mbits/s 12 heures par jour, mais qui le fait de 8h à 18h coûte que dalle au FAI parce qu’à ces horaires là, les liens sont sous-utilisés. Il “coûtera” moins cher que celui qui va taper sa petite demi heure de NnDeezer à 0.5Mbits/s tous les soirs à 20h au même moment que tous ses voisins, là où il y a le pic de conso qui est ce qui détermine le dimensionnement du sous réseau dans lequel il se trouve.



  • le même downloader fou qui downloade en plus en soirée, mais qui habite dans un zone où une grosse proportion des abonnés sont des résidence secondaires, et des retraités qui utilisent rarement leur ligne pour autre chose que pagesjaunes.fr (qui a dit le Var?). Même principe, le lien étant sous utilisé il “coûtera” moins que le gugus dans une zone ultra peuplée de bobos de 30 piges abonnés à Youtube, Netflix et la mule.



  • ou encore le même abonné relié à un dslam qui est lui même relié au backbone du FAI par une fibre de collecte qui appartient au FAI. Doubler la capacité du lien c’est upgrader deux équipements à chaque bout de la fibre, avec un coût non récurrent et faible. La même situation mais dans une zone où pour x raisons la fibre est louée, le prix payé est fonction de la quantité de données en pic, et là l’augmentation n’a plus rien à voir.



    Bref, il y a un montagne de facteurs qui font qu’un octet de data n’a pas du tout le mêle coût à Parus, dans le Var, le matin, le soir, sur le NRA X ou son voisin le XY.







    Je m’immisce dans le débat pour ajouter ma réflexion sur la consommation de bande passante.



    En fait, les FAI font déjà payer la bande passante aux consommateurs finaux car cette bande passante consommée est limitée par les débits de crête (débit déscendant/débit montant). A l’échelle d’un FAI qui fournit plusieurs millions d’accès à internet, un abonné qui consomme 15 Mb/s pendant 1 heure vaut presque autant qu’un abonné qui consomme 2Mb/s pendant la même heure.



    Dans les années 2000, les offres ADSL étaient limitées à 512 Kb/s, aujourd’hui elles sont limitées à 15-20 Mb/s. Il faut aussi compter avec l’atténuation de la ligne en cuivre. Donc chaque utilisateur a une bande passante limitée qui lui est permise par le FAI.



    Le marketing qualifie les offres des FAI d’ « illimité » car chaque abonné paie un forfait de bande passante à utiliser quand il le souhaite. Ceci en opposition aux offres « à la consommation » de durée (tarif au temps de connexion – prix à la seconde) ou de données (tarif à la quantité de données – prix à l’octet).



    Finalement, le problème actuel des opérateurs télécom est le développement d’offres qui correspondent à un débit possible de plusieurs dizaines (voire centaines) de Mb/s (offres VDSL/FttH) par abonné. Dans ce contexte, la montée en débit de chaque abonné occasionnerait à terme une bande passante insuffisamment limitée par rapport au tarif de l’accès à internet (actuellement, entre 20 euros/mois jusqu’à une quarantaine d’euros). Une augmentation des dimensions des réseaux supplémentaire s’impose donc, mais où trouver le financement ?



    En vendant des contenus « différenciés » ? En vendant des accès à internet plus cher ? En vendant des débits « différenciés » ?


Le 02/03/2015 à 17h 44

finalement, comme le YotaPhone qui est réversible… ou plutôt à 2 faces (si on en croit la présentation commerciale)

Le 02/03/2015 à 17h 28

Moi, j’avais un compte Google plus avec mon adresse mail yahoo.fr comme identifiant, et puis Google a voulu que j’ouvre un compte Gmail… Alors j’ai gardé mon compte Facebook avec mon adresse mail yahoo.fr (j’ai supprimer mon compte Google plus)



à noter que Facebook a essayé de me faire utiliser une adresse mail en facebook.com mais Facebook a eu la bonne idée d’abandonner ce projet, contrairement à Google

Le 01/03/2015 à 20h 17

à ce propos, UbuntuPhone s’essaie aux téléphones moyenne gamme avec des ventes flash (j’imagine pour satisfaire les utilisateurs les plus intéressés et les plus “geek”).



A voir si cette stratégie sera profitable. J’ai quelques doutes car je crois plus à la stratégie de FirefoxOS qui me semble chercher à devenir populaire auprès du grand public, plutôt que de chercher à faire envie à des technophiles-libristes par la rareté (comme semble le faire BQ/UbuntuPhone)

Le 01/03/2015 à 19h 02

m.nextinpact.com Next INpact

Le 01/03/2015 à 18h 55

http://www.alcatelonetouchblog.fr/letonnant-pixi-3/

Apparemment, FirefoxOS 2.0 arrive en France courant mars 2015

Le 28/02/2015 à 14h 40

Cela démontre l’utilité de recouper ses sources.

Le 26/02/2015 à 16h 27







brazomyna a écrit :



A noter la bonne blague de Presse Citron, qui fait passer pour une innovation son acte d’inféodation à une douzaine de gros anonceurs (pardon, on doit dire ‘entreprise premium’, c’est plus politiquement correct).



Nouveau : la publicité (classique) sur Presse-citron, c’est fini



Bref, maintenant de plus en plus de sites en sont à assumer pleinement du contenu mélangé au reste, écrit par leurs annonceurs … et les moutons applaudissent (cf. les comms de l’article).





<img data-src=" />

finalement Microsoft (entre autres) rédigera directement des articles sur Presse-citron : plus besoin du “journaliste-communicant” pour faire le boulot de com’ de la marque. Dans un sens c’est plus clair… si le sponsor signe lui-même l’article. Dans un autre sens, supprimer l’encart publicitaire, c’est vraiment pas du journalisme déontologique.


Le 26/02/2015 à 14h 33

Anecdote intéressante. A l’inverse, personnellement, je connais plusieurs personnes âgées qui ont remplacé depuis longtemps leur ligne fixe “abonnement principal” Orange (offre de service universel sic) par une ligne mobile : moins chère que 16.96 euros/mois (17.96 euros/mois à partir de mars prochain) et plus pratique/modulable)

Le 26/02/2015 à 14h 25







TBirdTheYuri a écrit :



Chez Orange la fibre est au même prix que le DSL.





exact, à part l’offre “Sosh mobile + Livebox” (option FttH +5euros/mois)


Le 25/02/2015 à 19h 47

« Heuuu… lol

Et il la sort d’où cette affirmation à 2 balles.



Même une grand-mère de 90 ans, quand tu lui dis que la fibre, ça va lui permettre de voir le détail des poils de nez de Pernault, elle comprend très bien l’intérêt de la fibre optique. »





détrompe-toi : il y a des grand-mères et des grands-pères qui naviguent sur le web en wifi avec abonnement FttH et qui se demandent vraiment à quoi ça sert tous ces changements de câblages (parce que les pages web ne s’affichent pas plus vite en FttH ou en ADSL pour eux). Et c’est évident : actuellement, on remplace en priorité des lignes ADSL en zones de population denses dont le débit réel ne réduit pas le débit d’une connexion wifi.



Il faudrait remplacer des lignes ADSL longues avec forte atténuation (au débit limité) par de la fibre FttH, et là, la grand-mère de 90 ans (qui ne reçoit pas la TNT ou le satellite) dira que la TV HD par fibre FttH est mieux que l’ADSL

Le 25/02/2015 à 12h 19

Après ceux d’OVH et de Coriolis, voilà le nouveau logo de Bouygues telecom

Personnellement, j’aime bien le logo de Lyca mobile <img data-src=" />

Le 24/02/2015 à 22h 41

moi je disais ça seulement pour faire un bon mot. Après tout, chacun ses usages et ses préférences

Le 24/02/2015 à 10h 49

Un écran de plus de 10 cm de diagonale, ce n’est plus un smartphone, c’est une phablette ou un tabphone ;-)

Le 23/02/2015 à 11h 22

Effectivement, le Parti socialiste a un problème de discordance idéologique et de désaccord dans la stratégie politique. C’est un problème très important.

Le 18/02/2015 à 16h 05

parce que en France, le gouvernement qui fait un Projet de Loi a une relative ascendance sur les Parlementaires et que le régime institutionnel de la France est semi-présidentiel. Dans un régime parlementaire, ce serait une coalition de Partis politiques qui déciderait en dernier ressort, avec une relative ascendance sur le Gouvernement.



En France, le Président de la République a plus de pouvoir que dans d’autres “démocraties” où le Président/le Roi ne fait que représenter l’Etat (et parfois diriger l’Armée).



A un moment, il faut bien que tout le monde se mette d’accord et que les dissensions s’apaisent.

Le 21/02/2015 à 09h 22

Vision latine/catholique VS vision anglo-saxonne/protestante



Autant j’aime :





  • l’idée du Droit d’Auteur (aux 2 composantes : le droit moral et le droit patrimonial) en France,

  • l’idée de transparence que les anglo-saxons, les scandinaves savent mettre en oeuvre





    autant je déteste l’idée du :



  • Copyright anglo-saxon,

  • Code de Propriété intellectuelle qui est une véritable “usine à gaz” incompréhensible et ubuesque





    Quant à une taxe sur la bande passante, je serais d’accord s’il s’agissait d’abonder le plan France THD (très haut débit)

Le 20/02/2015 à 19h 52







moggbomber a écrit :



vous vous souvenez de l’époque ou un président des états unis avait été obligé de démissionner parce que la cia avait mis des micros dans l’hôtel utilisé par un parti d’opposition sous la seule dénonciation de la presse?

<img data-src=" />



la démocratie a fait du chemin depuis… 6 pieds sous terre

(…)





Le Président US était personnellement impliqué, s’agissant de l’espionnage du parti démocrate adverse. Il s’agissait surtout d’une trahison républicaine et d’un mensonge d’Etat dans le but d’une réélection à la Présidence US



En tout cas, je partage ton inquiétude vis-à-vis des entorses aux règles démocratiques


Le 20/02/2015 à 01h 26

«

« C’est indispensable d’avoir une vision complémentaire entre pouvoirs publics et acteurs privés. Les acteurs privés ne peuvent pas assumer seuls une couverture complète, ni les acteurs publics » estime Valérie Chaillou de l’IDATE. « Ce n’est pas le cas qu’en France, même si nous avons un programme réfléchi depuis longtemps. Ces réseaux sont déployés dans une vision vraiment globale, qui peut paraître contraignante vue de l’étranger. L’implication des pouvoirs publics sera aussi nécessaire dans d’autres pays. Au Royaume-Uni, le FTTH est loin d‘être une priorité, contrairement aux citoyens » argumente la responsable de l’IDATE. Outre-Manche, des initiatives citoyennes comme B4RN visent à connecter des zones que les opérateurs ne veulent pas couvrir.

»

(article NEXT INPACT)





2 observations :





  • Intéressantes ces initiatives citoyennes au Royaume-uni. En France, on connait ça avec des réseaux Wifi dans des zones blanches du haut-débit (zones sans ADSL).

  • Pas très équitable cette “complémentarité” entre pouvoirs publics et acteurs privés : aux 1ers les zones de populations peu denses (difficilement rentables), aux 2ds les zones de population très denses (rentables très rapidement).



Le 20/02/2015 à 01h 02

C’est vrai, c’est bien dommage. Personnellement, je ne vois pas vraiment les avantages de la concurrence entre les infrastructures comparativement à un réseau qui permettrait une péréquation tarifaire entre zones rentables à court terme et zones rentables à très long terme (voire pas rentables du tout).



Le seul avantage que j’y trouve est la redondance des infrastructures de distribution… mais dans très peu de zones (en tout cas, à court/moyen terme, uniquement dans les zones de population très denses).

Le 20/02/2015 à 00h 44

« et je ne vois pas pourquoi il y a des sous publiques mis là-dedans et un pompeux “plan THD”. D’autant que les opérateurs sont rentrés dans cette course d’eux-même. <img data-src=" /> »





Les opérateurs télécom nationaux sont sûrement très volontaires, mais ils ont quand même besoin d’être guidés et régulés pour servir l’ensemble des populations / des territoires. 2 exemples :







  • Les réseaux d’initiative publique (RIP) :



    « De l’importance des opérateurs alternatifs



    (…)



    Opérateurs historiques et alternatifs privés comptent donc pour 91 % du marché en Europe. Les 9 % des foyers desservis restants sont connectés par des réseaux d’initiative publique, essentiellement gérés par des collectivités locales (municipalités, départements…). En France, ces « RIP » desservent 600 000 foyers en fibre optique, selon l’étude. Leur multiplication est encouragée par le plan national Très Haut Débit de Bercy, dans lequel ils doivent connecter les 40 % de logements que les opérateurs privés ne se sont pas engagés à couvrir. »

    (article NEXT INPACT)





  • L’aménagement du territoire :



    « « Les usages ne conduisent pas les déploiements de fibre »



    (…)



    Pourtant, ce n’est pas cette multitude d’usages qui motive les opérateurs à couvrir l’Europe en fibre. « Les déploiements ne sont pas menés par la demande » des abonnés, confirme Valérie Chaillou. Les opérateurs et les États seraient bien dans une logique d’aménagement du territoire, pour offrir les débits supérieurs quand ils seront réellement nécessaires. »

    (article NEXT INPACT)

Le 18/02/2015 à 11h 37

Le lecteur vidéo du site web de filmotv a aussi évolué : avance-rapide, slow-motion ont été ajoutés par exemple

Le 17/02/2015 à 17h 55

ce que dit RichardD n’est pas aussi faux que ça en pratique : en zone de population peu dense, aucun opérateur ne viendra faire concurrence à court terme à Orange ou SFR. Cependant, il faut reconnaître que, jusqu’à maintenant, SFR propose de la vente en gros à prix raisonnable à ses concurrents (MVNO 2G/3G/4G et ADSL principalement aujourd’hui). Alors que Orange propose des prix faramineux pour louer son infrastructure terminale (à part le prix de la boucle locale en cuivre qui est régulé par l’ARCEP)

Le 17/02/2015 à 12h 30

La 1ère raison est que la stratégie industrielle actuelle est de favoriser la concurrence des infrastructures. Au début du déploiement des premiers réseaux FttH, il était même question de laisser chaque opérateur installer son propre réseau dans les immeubles (réseau vertical).



L’idée a été abandonnée car ça a créé trop de désordres, et l’ARCEP a finalement imposé une mutualisation du réseau d’immeuble (un seul opérateur fibre l’immeuble et d’autres opérateurs de rue (réseau horizontal) peuvent demander à se raccorder à ce réseau d’immeuble unique.



L’autre raison est que chaque opérateur rechigne à louer l’infrastructure de son concurrent et préfère rentabiliser ses propres installations.



Dans la pratique, sauf zones de populations très denses, il n’y a bien souvent qu’un seul opérateur dans la rue (qui est souvent le même qui propose de fibrer l’immeuble). Mais l’ARCEP imagine que dans les dizaines années à venir, d’autres opérateurs vont étendre leur réseau FttH dans les rues.

Le 17/02/2015 à 12h 42

Finalement, Barrack Obama souhaite aligner le statut des opérateurs télécoms US (que la FCC concidère jusqu’à maintenant comme des diffuseurs de contenus) sur le statut de fournisseurs de services de communication électronique des opérateurs européens



C’est mieux que rien, mais ça ne changera pas beaucoup les choses à mon avis : les opérateurs européens se battent aussi pour diffuser des “services à qualité différenciée” et les GAFAM ne se privent pas non plus pour fournir des services de communication électronique qui ne sont pas régulés par le régulateur.

Le 13/02/2015 à 23h 54

Comme tu l’écris : le câble coaxial est déjà posé. Et SFR/Numericable rentabilise ses infrastructures déjà présentes. Rentabiliser une infrastructure déjà existante est tout de même plus logique que de réinvestir dans un autre réseau, qui serait à reconstruire à partir de zéro. De toutes manières, à plus ou moins long terme, SFR/Numericable a plutôt intérêt à remplacer le câble coaxial par de la fibre optique au plus proche de l’habitant (condition sine qua non pour faire progresser les débits).



D’ailleurs, on peut faire le même reproche au VDSL qui permet à Orange d’utiliser la partie terminale en cuivre pour faire du très haut débit “médiocre”. Mais, pour le moment, le VDSL (à débit variable suivant le lieu) permet d’installer progressivement de la fibre optique au plus proche de l’habitant, comme le FTTLA.



En attendant, 30 Mb/s même instable, même à débit variable, est plus satisfaisant que l’ADSL. Et l’objectif est de faire progresser les débits le plus rapidement possible quitte à le faire trop progressivement. Mais, c’est vrai, on peut se plaindre que les installations et les investissements en fibres optiques actuels sont trop réduits, mais ça n’est pas un aspect spécifique de la norme FTTLA. Et puis, il n’y a pas que “la fibre”, il y a aussi le satellite, la 4G/LTE, le WIFI, le WIMAX

Le 13/02/2015 à 21h 44

A part polémiquer en faisant des amalgames grossiers, ton commentaire n’exprime pas mieux la réalité des choses qu’une publicité qui vend de ‘la fibre’.



‘FTTLA, ça veut rien dire’… Tu vas bientôt redéfinir une norme technique qui existe déjà.

Le 13/02/2015 à 17h 30







SebGF a écrit :



Pourtant le “F” de FTTLA ou encore FTTB c’est le même que celui de FTTH.

La seule différence c’est le raccordement du client.



C’est qu’un détail sémantique mais je ne vois pas en quoi cela interdit Numéricâble de parler de “fibre”.

Selon la terminologie ARCEP c’est la différence au niveau du debit qui joue pour”haut débit” ou “très haut débit”. Pas le raccordement.





Je suis d’accord avec ça. Le Très Haut Débit (THD) est défini actuellement par un débit d’au moins 30 Mb/s. Sans fibre optique sur le réseau de distribution de l’opérateur, il est impossible d’obtenir un débit de 30 Mb/s, sauf avec la technologie VDSL qui peut parfois – sur des lignes en cuivre très courtes (moins de 500m entre le NRA et l’abonné) – permettre des débits supérieurs au Haut Débit (débits entre 512 Kb/s et 20Mb/s).



http://www.francethd.fr


Le 13/02/2015 à 17h 11

« Publicités trompeuses : deux opérateurs dans le collimateur du gouvernement

Seulement deux ? »



Merci pour ce sous-titre. <img data-src=" />



Personnellement, j’ai l’impression que ces 4 opérateurs télécom nationaux sont vraiment ridicules, avec leurs histoires de publicités trompeuses respectives, comme des gamins qui se tirent dans les pattes dans leur bac à sable. “la_fibre” d’Orange m’agace autant que le “1 Gbit/s*” de Free qui m’agace autant que “LaBox Fibre” de Numericable qui m’agace autant que…



“La fibre” n’est qu’une vue de l’esprit, une expression marketing qui désigne seulement un amalgame entre la qualité d’un réseau de distribution de l’opérateur (performant / un débit soit-disant à la vitesse de la lumière) et une technologie de câblage en fibre de verre.

Le 12/02/2015 à 20h 10

Moi, justement la réponse à la dernière question m’a laissé sur ma faim. “les autres solutions à explorer” sont brèves et très nébuleuses. A ce propos, j’admire l’exercice de com’ dans cette phrase : « nous renvoyons le sujet aux législations en vigueur décidées par les pouvoirs publics nationaux depuis des années et aux travaux de l’OCDE auxquels participe la France. » En somme, l’AFDEL soutient les décisions du législateur français… sauf les décisions qui ne lui plaisent pas (comme l’idée de taxer les acteurs du numérique - ça, au moins, j’ai bien compris que l’AFDEL ne voulait pas d’innovation dans la fiscalité).

Le 12/02/2015 à 15h 38

« (…) Quelles seraient les autres solutions à explorer ?

(…)

On partage ce souci mais nous renvoyons le sujet aux législations en vigueur décidées par les pouvoirs publics nationaux depuis des années et aux travaux de l’OCDE auxquels participe la France. C’est sans doute la meilleure voie à suivre plutôt que d’essayer de faire preuve d’une telle inventivité. L’économie numérique est aujourd’hui complexe à appréhender avec les effets réseaux, le cloud, etc. Pour mieux recouvrir l’impôt, on ne peut pas forcément lui appliquer les solutions du passé, même réactualisées. »

entrevue Next Inpact / Loïc Rivière



la solution ? celle du Président d’Orange ? –&gt; “qualité de services différenciés”… heu… non. “qualité différenciée de services”… zut, toujours pas. “qualité de services différenciée” Ah voilà : on entend bien “qualité différenciée” et on entend aussi bien “services différenciés” (comme ça tout le monde est d’accord avec la solution du FAI vis-à-vis des GAFA)

Le 12/02/2015 à 15h 24

innovation, responsable : 2 mots galvaudés par le marketing économique et politique.



Chiche ! Inscrivons ces mots dans la Loi ou dans la Constitution. Ce sera comme “Liberté d’expression”qui, bien que précisément définie dans le texte constitutionnel, est une notion passablement délavée dans les discours du monde politico-médiatique-m’as-tu-vu

Le 12/02/2015 à 10h 38

voilà une observation intéressante.



Les opérateurs télécom/FAI font payer un accès à internet sans faire payer l’usage du réseau (la consommation de bande passante). Mais (pas folle la guêpe!) la consommation de bande passante est limitée grâce à un débit de crête (20Mb/s en ADSL par exemple) et par des limitations techniques (imposées ou subies : atténuation du signal sur ligne de cuivre, “fair use” 3G/4G, “pass” de quantité de données, etc), ce qui permet :





  • de financer et de dimensionner un réseau correct et de faire un maximum de marge commerciale sur les petits utilisateurs d’internet qui sont les plus nombreux,

  • sans décourager les usages de services numériques qui permettent d’augmenter encore la marge (quand ce ne sont pas les GAFA qui profitent “honteusement” de ce modèle économique).





    on fait un tarif d’accès au réseau mais pas un tarif d’utilisation du réseau. Les autoroutes helvétiques utilisent le même modèle économique : Les touristes ou les transporteurs occasionnels qui souhaitent traverser la Suisse une ou deux fois (aller-retour) paient la même somme annuelle que les travailleurs journaliers qui prennent l’autoroute tous les jours ouvrés de l’année, pour se rendre sur leur lieu de travail.



    à noter : il y a une grande différence entre une facturation de la bande passante aux utilisateurs d’internet et une “qualité de services différenciée” (comme le réclame le Président d’Orange) : dans un cas, l’utilisateur d’internet paie son utilisation du réseau, dans l’autre cas, l’utilisateur d’un service numérique paie une qualité de service souhaitée

Le 12/02/2015 à 07h 44

Non, on a eu le Minitel avec une taxe prélevée par une entreprise publique de télécom sur des services télématiques à valeur ajoutée…



 mais… c’est bizarre… ça ressemble aux xxxBOX que vendent les 4 principaux opérateurs télécom/FAI/diffuseurs de contenus situés en France. Et ça ressemble aussi aux offres ou “services différenciés”* que revendique le Président d’Orange ?!?





* “services différenciés” : débit réduit ou blocage de l’accès à internet, sauf les services partenaires de l’opérateur télécom/FAI/diffuseur/producteur



Le 11/02/2015 à 11h 00

Moi, je ne comprends pas pourquoi les GAFA n’auraient pas le droit de faire de l’optimisation fiscale et seraient taxées plus que Orange ou ou autre entreprise française du CAC40 qui fait de l’optimisation fiscale tout pareil.



De toute manière, si la France taxe les débits de Youtube et autres, installés en Irlande ou en Californie, il faudra que Orange et les autres passent à la caisse aussi. Question de réglementation internationale. L’avantage est que Google et Facebook hébergeront un peu plus les données personnelles de leurs utilisateurs en France… enfin… peut-être.

Le 10/02/2015 à 14h 10

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Le 10/02/2015 à 09h 43

« Le cas des MVNO discrètement évoqué



  &nbsp;        

Un autre intervenant tient à rappeler qu'il faut proposer des garanties aux MVNO afin de ne « pas les écarter complètement du jeu futur ».&nbsp; »



&nbsp;article NEXT INPACT




   &nbsp;         

Quand on parle de concurrence ou d'offre différenciées entre fournisseurs de services, les MVNO savent faire, ils le prouvent tous les jours.






    En revanche, les offres "différenciées" souhaitées par le Président d'Orange contre la neutralité des réseaux, ça lui permet seulement d'être égémonique et de choisir le tarif avec lequel l'opérateur-propriétaire de réseau pourra assommer ses clients finaux.

Le 10/02/2015 à 08h 56

« Du côté des MVNO, une importante chute s’est produite avec 2,1 points de moins sur le nombre de cartes SIM en France métropolitaine, soit 1,6 million de clients envolés. Mais, comme le rappelle l’ARCEP, cela fait suite au rachat de SFR et d’Omea Telecom par Numericable : « Les bases clients des deux MVNO Numericable et Omea Telecom sont rattachées au parc des opérateurs de réseau. » Les opérateurs virtuels ne représentent donc plus que 11,5 % des clients, contre 14,1 % au troisième trimestre. »

article NEXT INPACT



Dommage pour Omea Telecom (dont la marque Virgin mobile France) qui était “Full MVNO”. Finalement, il reste seulement 2 Full MVNO en France :





  • Lycamobile, un MVNO international - Full MVNO en France.

  • EI Telecom (groupe Credit mutuel-CIC - dont NRJ mobile)



Le 09/02/2015 à 18h 12

« Surtout quand TOUT LE MONDE N’A PAS LE TOUT A L’EGOUT! »



Quand une habitation n’a pas de “tout à l’égout” ou d’assainissement collectif, elle dispose d’une fosse septique ou d’un moyen individuel d’évacuation des eaux usées. C’est parfois rudimentaire, mais c’est une solution.



De la même manière, concernant les services télécom, il existe des solutions haut débit ou très haut débit différentes : satellite, WIMAX, réseaux mobile UMTS/LTE, réseaux WIFI et des opérateurs locaux de zones blanches (ex : FFDN)

Le 09/02/2015 à 10h 12

Oui les opérateurs nationaux ne veulent pas d’intermédiaires, mais ils ne veulent pas non plus construire rapidement leur propre réseau car ce n’est pas rentable. La Manche, comme le département de l’Ain, sont des départements ruraux, donc des zones à faible densité de population.



Personnellement, je pense que leurs initiatives en matière de très haut débit va faire gagner plusieurs dizaines d’années dans le fibrage de leurs territoires. Sans ça, la Manche ou l’Ain resteraient des déserts numériques pour le siècle à venir.

Le 09/02/2015 à 11h 11

le modèle Aquaris E4.5 Ubuntu Edition de BQ sera disponible en vente flash uniquement, un peu comme le FairPhone. Pas de panique, pour le moment, ce ne sera pas pour tout le monde. Je passe mon tour.