En même temps, les cartes graphiques sont de plus en plus des ordinateurs autonomes, avec une puissance conséquente, une VRAM dédiée, et des fonctionnalités à la fois ultra-spécialisés (Tensor Cores), mais aussi généralistes (avec la généralisation du GPGPU).
Rassurons-nous tout de même : il y en a pour tous les budgets, et la carte que j’ai achetée en 2013 pour mon ordinateur continue toujours de fonctionner, certes, sans les fonctionnalités avancées des jeux (GTX 770 avec 2 Gio de VRAM).
Le
17/09/2018 à
23h
10
Je ne l’avais pas compris aussi clairement, merci pour cette précision. " />
Le
15/09/2018 à
05h
53
Je me demande ce que signifient concrètement les “Tensor Cores” de la gamme 20xx sur les performances en IA par rapport aux gammes précédentes.
De ce que je comprends de la page officielle sur les Tensor Cores de NVIDIA, les Tensor Cores permettraient un gain de performances d’un facteur 4.
Cela reste encore à confirmer par des tests plus concrets.
L’argument des ayants droits et des forces de l’ordre est étonnant, compte tenu du compromis (?) envisagé : quel criminel ayant un minimum de jugeote enregistrerait sciemment son activité illégale avec ses coordonnées en clair ?
Du coup, si je comprends bien, il s’agit de tromper les criminels les moins malins ou les plus distraits dans l’espoir qu’ils fournissent des données en accès public ? Et tant pis si cela a pour conséquence des escroqueries à grande échelle telles les arnaques au renouvellement des noms de domaines, pour ne citer que la plus courante ?
Je peine à croire que les autorités de police aient besoin que les coordonnées des propriétaires des domaines aient besoin d’être publiques. J’ai plutôt l’impression que ce sont des experts en sécurité privés qui ont pris l’habitude de compter sur l’accès sans restriction à ces données qui s’agacent d’avoir plus de mal à mener des enquêtes privées, hors tout cadre légal.
Alors qu’aujourd’hui, des médias envoient leurs journalistes sur des zones à risques, les plateformes « se servent sans payer » par l’exploitation des articles qu’ils ramènent du front. « C’est comme si vous travailliez, mais qu’une tierce personne récoltait sans vergogne et à l’œil le fruit de votre travail considère Sammy Ketz. Si du point de vue moral c’est injustifiable, du point de vue de la démocratie ça l’est encore plus ».
À suivre cette logique tordue, les journalistes devraient rémunérer les pays en guerre qu’ils couvrent, car ce sont ces pays qui créent l’actualité dont ils vivent, sans payer… jusqu’ici ?
Je ne suis pas certain de comprendre : la photo contrefaite était-elle hébergée sur le site de l’école, ou bien, physiquement, l’était-elle sur celui de l’agence de voyages ? En fait, je ne suis pas sûr de comprendre le développement sur le lien hypertexte.
Toujours est-il, si le lien hypertexte “passif” (sans prévisualisation ou intégration d’un contenu, telle la base HTML ) et “actif” (avec prévisualisation ou intégration d’un contenu, telle la balise HTML ) sont deux choses distinctes, l’intégration active pouvant être de la contrefaçon, qu’en est-il du juste milieu, à savoir la récupération des contenus hors contexte ? En l’espèce, via des logiciels comme Captvty, par exemple ? Ce contexte est-il lié à la page, ou à un site donné ? Peut-on, du coup, faire un “lien profond” sur une page précise d’un site, ou doit-on se contenter de la page d’accueil (ce que réclame la presse sur Google Actualités, expliquant la perte de revenus par un moindre nombre de pages vues, si j’ai bien suivi l’argumentaire parfois donné).
Je retiens le bon côté des choses : Microsoft tient compte du mécontentement de ses utilisateurs pour orienter ses développements.
Ceci étant, je peine à croire qu’une entreprise que Microsoft n’ait pas travaillé jusqu’ici sur ce point. C’est comme si l’éditeur essayait de communiquer sur une “IA” mystérieuse qui ne serait pas une série de “IF” imbriqués. C’est la mode de parler de “machine learning”, tout le monde s’y met, et Microsoft ne semblait pas être sur le devant de la scène, face aux autres GAFAM. Voyons les choses du bon côté : ils n’ont pas inclus la “blockchain” dans cette communication.
Dans une vie précédente, j’ai travaillé dans le référencement naturel. J’y ai vu se pratiquer des méthodes très douteuses, dont le référencement négatif de sites concurrents. Cela consiste, pour un référenceur black hat d’un site web, à faire disparaître un concurrent des résultats de recherche. Les essais sont nombreux (la pratique est commune), les réussites variables, dont la disparition complète de sites de résultats de recherche.
Une pratique commune, en référencement, vise à racheter des domaines abandonnés pour en rediriger les visiteurs vers d’autres sites web, au moyen, justement, de “redirections 301”. Contrairement à ce que l’on peut penser au premier abord, une telle redirection des visiteurs ne démontre pas un lien entre le site d’origine et le site destination. N’importe qui, propriétaire de n’importe quel domaine, peut procéder de la sorte. Une redirection 301 n’est autre chose qu’un lien web, à ceci près qu’il est suivi automatiquement par le navigateur.
On peut donc voir se développer une industrie du déréférencement avec ce genre de solutions. Les premiers signes consisteront peut-être, pour les sites pirates, de rediriger le flux des sites ainsi bannis vers les sites des ayants droits, afin de déréférencer leurs sites de Google. Et ce n’est vraiment pas drôle : sortir d’un tel bannissement, dans la pratique, est horriblement compliqué, long et coûteux. Les victimes, bien souvent, n’ont que leurs yeux pour pleurer.
La propension de l’industrie culturelle à se défendre au détriment de tous les autres est risible.
À une époque, OVH était sensible aux plaintes reçues via SpamCop. Il existe par ailleurs une page de recueil de plaintes sur le site d’OVH où tu peux indiquer tes éléments. Personnellement, je rapporte aussi les spams reçus sur Signal Spam, qui exploite parfois les données ainsi recueillies pour traquer les pirates et démanteler les réseaux mafieux.
Pour ce que j’ai compris, et de mon expérience, OVH n’indique pas au plaignant la suite de l’affaire. Cela serait pour éviter d’indiquer aux interlocuteurs malveillants si oui ou non ils ont réussi à infléchir les équipes d’OVH en leur faisant remonter des faux rapports.
Le
17/07/2018 à
19h
51
Bravo d’avoir réussi à extirper ces quelques bribes d’infos sur le fonctionnement d’OVH en matière de sécurité. Ce qui est amusant, c’est qu’OVH regrette l’absence de communication sur ce thème alors que la société fait habituellement preuve d’une particulière opacité en la matière.
D’ailleurs, à une époque, OVH avait mis en place un cloisonnement interne afin que les équipes de sécurité et de support client ne communiquent pas ensemble. En effet, à l’époque d’une communication fluide en interne, les clients abusifs se plaignant de blocages auprès de leurs chargés de clientèle, ces derniers expliquaient le fonctionnement des mesures de protection afin que ces clients les contournent aussitôt.
Dans un pays où certains politiques et pouvoirs considèrent que “la sécurité est la première des libertés”, il aurait été utile de défendre la “vie privée” comme un principe inébranlable. Certes, il fait partie de la Convention européenne des droits de l’homme dont la France est signataire, et en tant que Traité, doit s’y conformer.
Ceci étant, refuser d’inscrire un principe dans la Constitution, du fait que la jurisprudence du Conseil Constitutionnel l’a établi de fait est étonnant, vu que ce Conseil s’appuie justement sur la Constitution dans ses délibérations.
Si l’argument est que tout doublon doit être évité, autant retirer tout ce qui fait doublon avec les jurisprudences, traités et conventions dont la France est signataire.
Afin d’éviter des atteintes de la rétine et « une perturbation de l’horloge biologique », Colette Mélot voudrait d’autre part que tous les appareils utilisés à l’école soient obligatoirement « équipés d’un filtre à lumière bleue », émise par « la plupart des écrans ».
Quelqu’un a expliqué à cette sénatrice que la lumière blanche est composée de lumière bleue, et que les téléphones, tablettes, ordinateurs, ou encore les écrans disposent de la possibilité de réduire cette composante dans leur paramétrage ?
Par ailleurs, existe-t-il la moindre étude démontrant un quelconque effet néfaste de la lumière bleue ? Des UV, soit, mais la lumière visible ? J’ai l’impression qu’il s’agit d’une légende urbaine à base de l’incompréhension de supposées études. Y a-t-il une quelconque base scientifique à cette psychose ? Un consensus scientifique ?
Si je ne m’abuse, Sony touche déjà des sous via l’abonnement obligatoire pour pouvoir jouer en réseau. En conséquence, en quoi ce blocage est-il justifié ?
Par contre le site de RIPS indique que WordPress devrait réagir rapidement compte-tenu de la sévérité de la faille. En gros un auteur peut effacer du contenu qui n’est pas à lui. Ok. Mais comme 99,9% des sites WordPress sont mono-auteur, cette faille n’impacte que les 0,1% restants. Et il faut également avoir récupéré les identifiants d’au moins un auteur. Le probabilité que cela arrive est donc très faible, et malgré un impact potentiel très élevé, la sévérité finale de cette vulnérabilité me semble donc anecdotique.
Clairement, cela ne concerne qu’une poignée de sites. Ou pas. En fait, de nombreux annuaires web sont ouverts au tout venant (et “author” est un rôle WordPress considéré comme très faible), et de nombreux référenceurs déploient des sites WordPress parfois abusivement ouverts, pour ce qui est des droits d’accès.
Ce que l’on peut regretter, c’est que Facebook annonce fermer son établissement britannique dédié au projet. Gageons que les équipes trouveront rapidement un nouvel endroit où mettre à profit leur expérience, somme toute assez atypique.
D’ailleurs, pour une annonce d’un réseau social censé retrouver la trace et maintenir des liens entre amis, il est regrettable que le facteur humain de cette décision n’ait pas été abordé, même si, en effet, ce n’est peut-être pas le lieu idéal pour aborder ce sujet.
En postant une annonce, tu fais perdre du temps au démarcheur, mais aussi à un grand nombre de personnes qui épluchent ces petites annonces et qui ont autre chose à faire que de perdre leur temps. Par ailleurs, tu risques probablement des ennuis pour usurpation d’identité. Bref, à éviter.
En effet, si l’on suit ce raisonnement d’Intel, ses valeurs sont contraires aux valeurs fondamentales des êtres humains :
Intel was recently informed that Mr. Krzanich had a past consensual relationship with an Intel employee. An ongoing investigation by internal and external counsel has confirmed a violation of Intel’s non-fraternization policy, which applies to all managers. Given the expectation that all employees will respect Intel’s values and adhere to the company’s code of conduct, the board has accepted Mr. Krzanich’s resignation.
Sérieusement, quelle entreprise explique que la fraternisation entre cadres et subordonnées est contraire à ses valeurs ?!
Le
21/06/2018 à
19h
49
the_Grim_Reaper a écrit :
L’autre Bill avait bien failli sauté pour une histoire de gâterie dans un bureau, alors qu’il était “chef du monde” pour rappel. Les US sont étrangement très à cheval sur ce genre de chose malgré qu’à côté de ça ils soient l’un des principaux pourvoyeur de débauche…
En fait, techniquement, ce Bill-là a failli sauter (!) parce qu’il aurait menti sous serment.
Un autre Bill, dans le domaine informatique, lui, a épousé l’une de ses collaboratrices.
Le
21/06/2018 à
19h
47
On peut très bien comprendre des recommandations, ou encore des mises en danger des employés, y compris en ce qui concerne le harcèlement sexuel. Toutefois, le communiqué parle d’une relation passée (a priori terminée) consentie (a priori par les deux parties). Soit, le PDG a officiellement démissionné, mais qu’une entreprise se donne le droit d’imposer des règles sur la vie privée de ses cadres, certes, très biens rémunérés, est pour le moins dérangeante.
En toute logique, l’étape suivante devrait être d’ouvrir colis et courriers postaux pour s’assurer de ne pas transporter de contrefaçons, et ainsi en finir avec le far west dans l’ecommerce.
Je m’étonne qu’aucun gouvernement n’envisage de privatiser le service public de radio et de télévision, que ce soit en partie ou en totalité.
Dans un pays se voulant démocratique, avec une presse censée être libre et pluraliste, représentant le fameux quatrième pouvoir, j’avoue ne pas comprendre l’intérêt de conserver une télévision et une radio dépendants du pouvoir gouvernemental.
Certes, le service public dans l’audiovisuel offre des émissions de grande qualité. Cependant, je ne vois pas en quoi le privé ne pourrait pas en proposer aussi, ou n’en propose pas déjà.
Attention, il semble y avoir une coquille dans l’article :
En effet, l’article parle d’un “accès physique” :
« Un attaquant pourrait exploiter cette vulnérabilité pour accéder à des informations sensibles » explique l’US-CERT, mais il doit avoir un accès physique à la machine, ajoute Microsoft.
An attacker, via a local process, could cause information stored in FP (Floating Point), MMX, and SSE register state to be disclosed across security boundaries on Intel Core family CPUs through speculative execution.
Or, selon les dernières études d’usage, qui serviront à actualiser les prochains montants prélevés, le même chiffre est tombé à 64 fichiers. Grosso modo, on pourrait donc s’attendre à des montants divisés par presque deux. Mais il n’en sera rien, si l’on suit bien les propos d’Idzard Van Der Puyl, un représentant de Copie France : aujourd’hui, « les personnes stockent (conservent) moins leurs fichiers, mais cela ne signifie pas pour autant qu’ils copient moins. Les personnes recopient par-dessus ce qu’ils ont copié » (compte rendu du 10 avril 2018).
Copie France a l’air de découvrir le principe d’usage de base des cassettes audio et VHS, qui sont pourtant à l’origine de la redevance sur la copie privée. Avec 40 ans de retard. Personne ne lui a expliqué jusqu’ici ?
Pour autant, à ma connaissance, TF1 n’a pas déposé de plainte en ce sens. Je doute néanmoins que l’entreprise et ses juristes aient changé d’avis quant au caractère illicite de Captvty.
La publication des liens, ou encore leur référencement par les moteurs de recherche n’implique pas automatiquement la légalité de leur usage, comme a pu le constater Bluetouff.
Enfin bref, je ne suis ni juriste, ni expert en propriété intellectuelle, pas plus qu’impliqué dans la lutte contre le piratage, mais un Internaute lambda qui s’étonne.
Le
06/06/2018 à
15h
14
Il y a nécessairement des gens qui, plusieurs ordinateurs ou non, se font flasher par l’outil de pistage de Médiamétrie qu’ils ont installé eux-mêmes, pour ce que je comprends de l’article et de l’obtention des chiffres.
Le
06/06/2018 à
15h
11
Que le créateur de Captvty considère son outil comme légal (et je rejoins son analyse) ne signifie pas que l’ALPA a la même analyse.
Mon hypothèse est que l’ALPA considère Captvty comme illégal, et classe le téléchargement ou le streaming via cet outil (ou d’autres outils plus ou moins équivalents, tels youtube-dl), dans les pratiques illégales, ce qui expliquerait pourquoi les chiffres du piratage d’oeuvres disponibles sur les portails de télévision rattrapage augmenteraient, toujours selon la même source.
Le
06/06/2018 à
14h
37
Le bras armé des grands studios et chaînes de télévision a dévoilé, mardi 5 juin, quelques grandes lignes de l’étude annuelle qu’il confie depuis 2010 à Médiamétrie. À partir d’un « logiciel de tracking » installé sur les ordinateurs et autres appareils connectés d’un panel de 30 000 individus, l’institut tente d’évaluer la consommation illégale de vidéos en France.
Il y a donc des gens qui ont des pratiques illégales et qui acceptent tout de même l’installation d’un outil d’espionnage sur les appareils qu’ils utilisent ? Vraiment ?
Médiamétrie note néanmoins que « près de la moitié des séries piratées sont disponibles sur les chaînes gratuites (44 %) ». Autrement dit, les internautes iraient télécharger ou visionner en streaming des épisodes dont ils peuvent pourtant profiter sans avoir à ouvrir leur portefeuille… Ce qui conduit les auteurs de l’étude à souligner que « l’accès rapide au contenu semble privilégié par les utilisateurs ».
Je me demande si l’ALPA considère le téléchargement via Captvty comme légal ou illégal, pour le coup. Histoire de voir s’il n’y a pas de lien de cause à effet. (Le visionnage sur certains sites de télévision de rattrapage réclame l’installation d’outils très intrusifs et peu conformes au respect de la vie privée.)
Si je comprends bien, Uber et la famille de la victime s’évitent un procès en civil pour déterminer les dommages et intérêts. Espérons qu’un procès au pénal aura tout de même lieu, afin de déterminer clairement les responsabilités pénales, s’il y a lieu, en pareil cas. Dans l’intérêt du public et des fabricants, il serait utile de ne pas naviguer dans le flou pour ce qui est de la responsabilité de chacun dans un domaine amené à se développer.
Attendez, qu’en est-il des photocopieuses et des imprimantes classiques ? " />
Je peine à comprendre quel manque à gagner des ayants droits une taxe sur la copie privée viendrait compenser. Parce que les copies illicites sont exclues de cette taxe (c’est de la contrefaçon punie par la loi).
Il faudrait alors taxer des impressions pour compenser des copies de propriétés intellectuelles conçues par des tiers (art, industrie) et imprimées par des particuliers pour leurs usages personnels ? Ainsi, je scannerais en 3D une pièce brevetée que j’ai achetée, je l’imprimerais en 3D, et je paierais une taxe pour que ce fabricant soit compensé par son manque à gagner ? Ou alors, à l’instar de la musique dématérialisée, j’achèterais le plan d’un objet, que j’imprimerais en 3D, et, en plus du paiement initial, l’auteur de l’objet serait compensé pour chaque impression que je ferais pour mon usage exclusif ?
Redescendons un peu sur terre : l’impression 3D coûte cher, souvent plus cher que la production de l’original. À moins de faire de la contrefaçon (copie illicite d’objets protégés par le droit d’auteur sans aucune licence). Ayant un journal d’activité précise de mon imprimante, je calcule systématiquement le prix de chaque objet imprimé : c’est (presque) toujours meilleur marché d’aller acheter une pièce neuve. L’intérêt réside dans la conception et le bricolage, pas dans l’économie des dépenses, et pas dans le manque à gagner réel ou supposé des ayants droits.
Tant qu’à taxer le bricolage, qu’en est-il des planches de bois, des clous, des vis et des perceuses ? Pas de taxe sur la copie privée du bricoleur du dimanche ?
Depuis quand les élèves utilisent-ils leurs téléphones en cours ? Les règlements des écoles et des collèges en interdisent l’utilisation en leur enceinte, les lycées les autorisent ou les tolèrent dans les cours de récréation.
Par ailleurs, en quoi interdire le téléphone (et non ses usages problématiques) empêcherait le harcèlement, le sexisme, la pornographie, ou quoi que ce soit d’autre ? En interdisant le téléphone, on empêche juste la captation des preuves des comportements problématiques, non leur survenue. Casser un thermomètre ne soigne pas de la fièvre.
Le
17/05/2018 à
11h
49
Le téléphone rendrait-il asocial ? N’est-ce pas, au contraire, un moyen d’entrer un contact avec les autres ? C’est un accessoire de communication, et l’interdire sous prétexte qu’il isolerait est une hérésie.
Le
17/05/2018 à
10h
41
En Bretagne (ce dispositif cela semble limité à la région), mes neveux ont accès à la liste des devoirs à faire, ainsi qu’à leurs notes en ligne, ainsi qu’à d’éventuelles absences de professeurs en ligne. Leur interdire le téléphone reviendrait à réduire leur capacité à faire leurs devoirs en permanence le jour même, vu qu’ils ont perdu l’habitude du cahier de texte (remplacé par ailleurs par un agenda).
On dirait une mesure technophobe, qui ne comprend pas l’évolution des usages, l’intérêt pour l’éducation, et les gains de temps dont profitent les élèves, pour ne retenir que les abus. Mine de rien, le premier portable est souvent offert par les parents à leur progéniture à leur entrée au collège pour se rassurer, rester en contact, et surveiller leurs enfants à distance.
Argh, que ceci est agaçant, j’ai du mal à rassembler mes idées, tellement cette mesure paraît risible et contre-productive.
Extrait exclusif de la saisine en cours de rédaction :
Nous, sénateurs, trouvons scandaleux que nos électeurs puissent bénéficier du droit fondamental à la vie privée, mais que si un tiers, dont nous mêmes, nous le bafouons, nous aurons à en assumer les conséquence. Cela va à l’encontre des intérêts de nos amis qui nous confient des missions de conseil et nous embauchent en fin de mandat !
Espérons qu’un jour, la justice obtienne enfin le budget dont elle a besoin pour fonctionner…
Le
09/05/2018 à
09h
07
Sinon pour aller en appel aux Prud’hommes, c’est dans les temps; moi on m’a vendu 5ans.
Là, ce qui est étonnant c’est d’aller en appel. Un avocat lisant le dossier et le 1er jugement ne devrait pas soutenir sa cliente.
Je devine que le rôle de l’avocat est de représenter son client, même lorsque celui-ci a peu de chances de gagner. Ce n’est pas à lui de se substituer au juge. Cependant, en effet, tel que le présente l’article, cette salariée semble être dans son tort sur de nombreux points. Ceci dit, quatre (ou cinq ?!) ans pour clore une affaire qui ne semble pas complexe, c’est long, pour l’employeur comme pour la salariée.
Le
09/05/2018 à
09h
02
Il est regrettable que la justice mette aussi longtemps pour statuer sur les conflits entre employeur et salarié : cela met les deux parties dans une incertitude fort inconfortable.
Le
07/05/2018 à
19h
58
Si je peux me permettre, et même si je comprends que le lectorat s’attend à voir sur NextINpact l’analyse sous l’angle technologique des actualités, le titre place beaucoup d’emphase sur ce qui apparaît être un détail de cette procédure de licenciement.
(Personnellement, ce qui me choque ici, c’est de voir qu’une procédure aux prud’hommes qui ne semble pas concerner un licenciement abusif puisse réclamer quatre ans de procédure.)
Une semaine sans éducation, sans information, sans culture ? (Mes neveux se connectent en ligne pour connaître la liste des devoirs.) Et pourquoi ne pas aussi s’enfermer dans une cave, tant qu’à faire ?
Le téléphone est encore moins bien sécurisé que l’email : le numéro qui s’affiche peut être modifié sans que le destinataire ne puisse le vérifier spontanément.
Les banques et autres organismes officiels ont une sale manie d’envoyer des emails depuis une autre adresse que celle du site web, parfois, au point d’utiliser un domaine dont on n’entend jamais parler par ailleurs, le tout avec des erreurs d’encodage à n’en pas finir, et qui sont pourtant légitimes.
Je suis suspicieux par défaut, que ce soit au niveau des emails, des coups de fils ou des courriers postaux, mais ce n’est pas le cas de la plupart des gens : par défaut, on fait spontanément confiance.
Voici qui est étonnant, vu que l’Afrique ne doit pas représenter un marché publicitaire important pour Facebook, qui y est cependant très présent, notamment avec ses initiatives d’accès gratuit à son services depuis les mobiles de certains pays du continent.
875 commentaires
NVIDIA Turing : les nouveautés des GeForce RTX 2070, 2080 et 2080 Ti expliquées simplement
14/09/2018
Le 17/09/2018 à 23h 15
En même temps, les cartes graphiques sont de plus en plus des ordinateurs autonomes, avec une puissance conséquente, une VRAM dédiée, et des fonctionnalités à la fois ultra-spécialisés (Tensor Cores), mais aussi généralistes (avec la généralisation du GPGPU).
Rassurons-nous tout de même : il y en a pour tous les budgets, et la carte que j’ai achetée en 2013 pour mon ordinateur continue toujours de fonctionner, certes, sans les fonctionnalités avancées des jeux (GTX 770 avec 2 Gio de VRAM).
Le 17/09/2018 à 23h 10
Je ne l’avais pas compris aussi clairement, merci pour cette précision. " />
Le 15/09/2018 à 05h 53
Je me demande ce que signifient concrètement les “Tensor Cores” de la gamme 20xx sur les performances en IA par rapport aux gammes précédentes.
De ce que je comprends de la page officielle sur les Tensor Cores de NVIDIA, les Tensor Cores permettraient un gain de performances d’un facteur 4.
Cela reste encore à confirmer par des tests plus concrets.
Hadopi : les regrets de Christine Albanel sur la suspension de l’accès à Internet
17/09/2018
Le 17/09/2018 à 12h 53
« Je pense que la loi Hadopi a installé le respect du droit d’auteur. »
Du coup, il n’y a plus de piratage, et plus besoin de nouvelles lois ?
Droit d’auteur : quand Pascal Nègre craint la « censure aveugle, automatique, systématique »
06/09/2018
Le 06/09/2018 à 19h 47
Pascal serait passé à l’ennemi ? Serais-je tombé dans un univers parallèle ? " />
La section Matériel de Next INpact devient Tech et gagne quelques rubriques
03/09/2018
Le 03/09/2018 à 22h 24
C’est un peu restrictif, “impression 3D”. “Machine-outil à commande numérique” serait plus adapté ? " />
« Whois » : un brouillon de loi américaine pour raboter la protection du RGPD
30/08/2018
Le 30/08/2018 à 14h 34
L’argument des ayants droits et des forces de l’ordre est étonnant, compte tenu du compromis (?) envisagé : quel criminel ayant un minimum de jugeote enregistrerait sciemment son activité illégale avec ses coordonnées en clair ?
Du coup, si je comprends bien, il s’agit de tromper les criminels les moins malins ou les plus distraits dans l’espoir qu’ils fournissent des données en accès public ? Et tant pis si cela a pour conséquence des escroqueries à grande échelle telles les arnaques au renouvellement des noms de domaines, pour ne citer que la plus courante ?
Je peine à croire que les autorités de police aient besoin que les coordonnées des propriétaires des domaines aient besoin d’être publiques. J’ai plutôt l’impression que ce sont des experts en sécurité privés qui ont pris l’habitude de compter sur l’accès sans restriction à ces données qui s’agacent d’avoir plus de mal à mener des enquêtes privées, hors tout cadre légal.
Europe : les journalistes partisans d’un droit voisin en ligne reviennent au front
27/08/2018
Le 27/08/2018 à 21h 46
Alors qu’aujourd’hui, des médias envoient leurs journalistes sur des zones à risques, les plateformes « se servent sans payer » par l’exploitation des articles qu’ils ramènent du front. « C’est comme si vous travailliez, mais qu’une tierce personne récoltait sans vergogne et à l’œil le fruit de votre travail considère Sammy Ketz. Si du point de vue moral c’est injustifiable, du point de vue de la démocratie ça l’est encore plus ».
À suivre cette logique tordue, les journalistes devraient rémunérer les pays en guerre qu’ils couvrent, car ce sont ces pays qui créent l’actualité dont ils vivent, sans payer… jusqu’ici ?
Michel Paulin rejoint Octave Klaba à la tête d’OVH
27/08/2018
Le 27/08/2018 à 18h 05
Aïe. Je comprends que recruter quelqu’un qui a l’expérience de grandes entreprises ait du sens, mais ce profil a de quoi étonner. Voire inquiéter.
La CJUE rappelle qu’une photo ne peut être pompée d’un site sans autorisation
13/08/2018
Le 13/08/2018 à 18h 26
Je ne suis pas certain de comprendre : la photo contrefaite était-elle hébergée sur le site de l’école, ou bien, physiquement, l’était-elle sur celui de l’agence de voyages ? En fait, je ne suis pas sûr de comprendre le développement sur le lien hypertexte.
Toujours est-il, si le lien hypertexte “passif” (sans prévisualisation ou intégration d’un contenu, telle la base HTML ) et “actif” (avec prévisualisation ou intégration d’un contenu, telle la balise HTML ) sont deux choses distinctes, l’intégration active pouvant être de la contrefaçon, qu’en est-il du juste milieu, à savoir la récupération des contenus hors contexte ? En l’espèce, via des logiciels comme Captvty, par exemple ? Ce contexte est-il lié à la page, ou à un site donné ? Peut-on, du coup, faire un “lien profond” sur une page précise d’un site, ou doit-on se contenter de la page d’accueil (ce que réclame la presse sur Google Actualités, expliquant la perte de revenus par un moindre nombre de pages vues, si j’ai bien suivi l’argumentaire parfois donné).
RGPD : une extension ajoute un refus global sur les sites utilisant le module Quantcast Choice
02/08/2018
Le 03/08/2018 à 22h 12
En effet, cela dépend des sites. Avec ou sans cette extension, certains sites jouent vraiment aux cons.
Microsoft veut (encore) régler le problème des mises à jour sous Windows
26/07/2018
Le 27/07/2018 à 04h 10
Je retiens le bon côté des choses : Microsoft tient compte du mécontentement de ses utilisateurs pour orienter ses développements.
Ceci étant, je peine à croire qu’une entreprise que Microsoft n’ait pas travaillé jusqu’ici sur ce point. C’est comme si l’éditeur essayait de communiquer sur une “IA” mystérieuse qui ne serait pas une série de “IF” imbriqués. C’est la mode de parler de “machine learning”, tout le monde s’y met, et Microsoft ne semblait pas être sur le devant de la scène, face aux autres GAFAM. Voyons les choses du bon côté : ils n’ont pas inclus la “blockchain” dans cette communication.
Piratage : deux décisions de justice aiguisent les armes de l’industrie du cinéma
24/07/2018
Le 24/07/2018 à 14h 18
Dans une vie précédente, j’ai travaillé dans le référencement naturel. J’y ai vu se pratiquer des méthodes très douteuses, dont le référencement négatif de sites concurrents. Cela consiste, pour un référenceur black hat d’un site web, à faire disparaître un concurrent des résultats de recherche. Les essais sont nombreux (la pratique est commune), les réussites variables, dont la disparition complète de sites de résultats de recherche.
Une pratique commune, en référencement, vise à racheter des domaines abandonnés pour en rediriger les visiteurs vers d’autres sites web, au moyen, justement, de “redirections 301”. Contrairement à ce que l’on peut penser au premier abord, une telle redirection des visiteurs ne démontre pas un lien entre le site d’origine et le site destination. N’importe qui, propriétaire de n’importe quel domaine, peut procéder de la sorte. Une redirection 301 n’est autre chose qu’un lien web, à ceci près qu’il est suivi automatiquement par le navigateur.
On peut donc voir se développer une industrie du déréférencement avec ce genre de solutions. Les premiers signes consisteront peut-être, pour les sites pirates, de rediriger le flux des sites ainsi bannis vers les sites des ayants droits, afin de déréférencer leurs sites de Google. Et ce n’est vraiment pas drôle : sortir d’un tel bannissement, dans la pratique, est horriblement compliqué, long et coûteux. Les victimes, bien souvent, n’ont que leurs yeux pour pleurer.
La propension de l’industrie culturelle à se défendre au détriment de tous les autres est risible.
La méthode d’OVH pour démanteler les réseaux d’objets connectés zombies
17/07/2018
Le 18/07/2018 à 04h 07
À une époque, OVH était sensible aux plaintes reçues via SpamCop. Il existe par ailleurs une page de recueil de plaintes sur le site d’OVH où tu peux indiquer tes éléments. Personnellement, je rapporte aussi les spams reçus sur Signal Spam, qui exploite parfois les données ainsi recueillies pour traquer les pirates et démanteler les réseaux mafieux.
Pour ce que j’ai compris, et de mon expérience, OVH n’indique pas au plaignant la suite de l’affaire. Cela serait pour éviter d’indiquer aux interlocuteurs malveillants si oui ou non ils ont réussi à infléchir les équipes d’OVH en leur faisant remonter des faux rapports.
Le 17/07/2018 à 19h 51
Bravo d’avoir réussi à extirper ces quelques bribes d’infos sur le fonctionnement d’OVH en matière de sécurité. Ce qui est amusant, c’est qu’OVH regrette l’absence de communication sur ce thème alors que la société fait habituellement preuve d’une particulière opacité en la matière.
D’ailleurs, à une époque, OVH avait mis en place un cloisonnement interne afin que les équipes de sécurité et de support client ne communiquent pas ensemble. En effet, à l’époque d’une communication fluide en interne, les clients abusifs se plaignant de blocages auprès de leurs chargés de clientèle, ces derniers expliquaient le fonctionnement des mesures de protection afin que ces clients les contournent aussitôt.
Les députés refusent d’inscrire le droit à la vie privée dans la Constitution
16/07/2018
Le 16/07/2018 à 20h 35
Dans un pays où certains politiques et pouvoirs considèrent que “la sécurité est la première des libertés”, il aurait été utile de défendre la “vie privée” comme un principe inébranlable. Certes, il fait partie de la Convention européenne des droits de l’homme dont la France est signataire, et en tant que Traité, doit s’y conformer.
Ceci étant, refuser d’inscrire un principe dans la Constitution, du fait que la jurisprudence du Conseil Constitutionnel l’a établi de fait est étonnant, vu que ce Conseil s’appuie justement sur la Constitution dans ses délibérations.
Si l’argument est que tout doublon doit être évité, autant retirer tout ce qui fait doublon avec les jurisprudences, traités et conventions dont la France est signataire.
Conflit d’intérêts : Françoise Nyssen libérée des livres
10/07/2018
Le 10/07/2018 à 14h 25
Pourra-t-elle, néanmoins, donner son avis de “simple citoyen[ne]”, à l’instar de son ancien collègue ?
Le Sénat se penche sur l’interdiction des portables à l’école
03/07/2018
Le 03/07/2018 à 18h 08
Afin d’éviter des atteintes de la rétine et « une perturbation de l’horloge biologique », Colette Mélot voudrait d’autre part que tous les appareils utilisés à l’école soient obligatoirement « équipés d’un filtre à lumière bleue », émise par « la plupart des écrans ».
Quelqu’un a expliqué à cette sénatrice que la lumière blanche est composée de lumière bleue, et que les téléphones, tablettes, ordinateurs, ou encore les écrans disposent de la possibilité de réduire cette composante dans leur paramétrage ?
Par ailleurs, existe-t-il la moindre étude démontrant un quelconque effet néfaste de la lumière bleue ? Des UV, soit, mais la lumière visible ? J’ai l’impression qu’il s’agit d’une légende urbaine à base de l’incompréhension de supposées études. Y a-t-il une quelconque base scientifique à cette psychose ? Un consensus scientifique ?
Le Sénat refuse d’interdire les publicités pour les aliments gras ou sucrés
02/07/2018
Le 02/07/2018 à 16h 06
Attention à ne pas confondre “bio” et “bon pour la santé”. Les deux sont sans lien.
La NSA annonce un ménage dans ses données d’appels
02/07/2018
Le 02/07/2018 à 11h 46
Conformément à ses valeurs, la NSA bafoue la loi, mais s’arrange avec le Ministère de la Justice pour ne pas être inquiétée. Hum…
Sony et le cross-play : « nous examinons de nombreuses possibilités »
29/06/2018
Le 29/06/2018 à 10h 50
Si je ne m’abuse, Sony touche déjà des sous via l’abonnement obligatoire pour pouvoir jouer en réseau. En conséquence, en quoi ce blocage est-il justifié ?
Les intox du gouvernement pour raboter le registre de lobbyistes
28/06/2018
Le 28/06/2018 à 18h 13
C’est le même gouvernement qui proposait de combattre les fake news, ou c’était un autre ?
Une faille WordPress permet d’effacer des fichiers critiques sans droits particuliers
28/06/2018
Le 28/06/2018 à 12h 08
Facebook arrête de développer son drone Aquila
27/06/2018
Le 27/06/2018 à 09h 10
Ce que l’on peut regretter, c’est que Facebook annonce fermer son établissement britannique dédié au projet. Gageons que les équipes trouveront rapidement un nouvel endroit où mettre à profit leur expérience, somme toute assez atypique.
D’ailleurs, pour une annonce d’un réseau social censé retrouver la trace et maintenir des liens entre amis, il est regrettable que le facteur humain de cette décision n’ait pas été abordé, même si, en effet, ce n’est peut-être pas le lieu idéal pour aborder ce sujet.
Evaluer-chauffeur.fr, quand un site épingle les chauffards, plaques à l’appui
25/06/2018
Le 26/06/2018 à 01h 05
Pourquoi avoir lié le site qui note les journalistes et pas le site qui note les automobilistes ?
De nouvelles mesures contre le démarchage téléphonique votées à l’Assemblée
22/06/2018
Le 22/06/2018 à 18h 08
En postant une annonce, tu fais perdre du temps au démarcheur, mais aussi à un grand nombre de personnes qui épluchent ces petites annonces et qui ont autre chose à faire que de perdre leur temps. Par ailleurs, tu risques probablement des ennuis pour usurpation d’identité. Bref, à éviter.
Brian Krzanich, PDG d’Intel, démissionne
21/06/2018
Le 22/06/2018 à 16h 23
En effet, si l’on suit ce raisonnement d’Intel, ses valeurs sont contraires aux valeurs fondamentales des êtres humains :
Intel was recently informed that Mr. Krzanich had a past consensual relationship with an Intel employee. An ongoing investigation by internal and external counsel has confirmed a violation of Intel’s non-fraternization policy, which applies to all managers. Given the expectation that all employees will respect Intel’s values and adhere to the company’s code of conduct, the board has accepted Mr. Krzanich’s resignation.
Sérieusement, quelle entreprise explique que la fraternisation entre cadres et subordonnées est contraire à ses valeurs ?!
Le 21/06/2018 à 19h 49
Le 21/06/2018 à 19h 47
On peut très bien comprendre des recommandations, ou encore des mises en danger des employés, y compris en ce qui concerne le harcèlement sexuel. Toutefois, le communiqué parle d’une relation passée (a priori terminée) consentie (a priori par les deux parties). Soit, le PDG a officiellement démissionné, mais qu’une entreprise se donne le droit d’imposer des règles sur la vie privée de ses cadres, certes, très biens rémunérés, est pour le moins dérangeante.
L’hébergeur 1Fichier.com assigne en justice le ministère de la Culture et Bercy
21/06/2018
Le 21/06/2018 à 19h 07
En toute logique, l’étape suivante devrait être d’ouvrir colis et courriers postaux pour s’assurer de ne pas transporter de contrefaçons, et ainsi en finir avec le far west dans l’ecommerce.
Redevance TV : des députés plaident pour un prélèvement universel et proportionnel aux revenus
15/06/2018
Le 16/06/2018 à 13h 47
Je m’étonne qu’aucun gouvernement n’envisage de privatiser le service public de radio et de télévision, que ce soit en partie ou en totalité.
Dans un pays se voulant démocratique, avec une presse censée être libre et pluraliste, représentant le fameux quatrième pouvoir, j’avoue ne pas comprendre l’intérêt de conserver une télévision et une radio dépendants du pouvoir gouvernemental.
Certes, le service public dans l’audiovisuel offre des émissions de grande qualité. Cependant, je ne vois pas en quoi le privé ne pourrait pas en proposer aussi, ou n’en propose pas déjà.
Lazy FP State Restore : une nouvelle faille touche les processeurs Intel Core
15/06/2018
Le 15/06/2018 à 12h 53
Attention, il semble y avoir une coquille dans l’article :
En effet, l’article parle d’un “accès physique” :
« Un attaquant pourrait exploiter cette vulnérabilité pour accéder à des informations sensibles » explique l’US-CERT, mais il doit avoir un accès physique à la machine, ajoute Microsoft.
Or, ce n’est pas ce qu’affirme Microsoft, qui parle d’un fil d’exécution local (qui n’implique aucun accès physique, mais inclus l’accès via une machine virtuelle ou faille logicielle avec accès distant) :
An attacker, via a local process, could cause information stored in FP (Floating Point), MMX, and SSE register state to be disclosed across security boundaries on Intel Core family CPUs through speculative execution.
Copie privée : le stream ripping, prochaine mine d’or des ayants droit
14/06/2018
Le 14/06/2018 à 13h 23
Or, selon les dernières études d’usage, qui serviront à actualiser les prochains montants prélevés, le même chiffre est tombé à 64 fichiers. Grosso modo, on pourrait donc s’attendre à des montants divisés par presque deux. Mais il n’en sera rien, si l’on suit bien les propos d’Idzard Van Der Puyl, un représentant de Copie France : aujourd’hui, « les personnes stockent (conservent) moins leurs fichiers, mais cela ne signifie pas pour autant qu’ils copient moins. Les personnes recopient par-dessus ce qu’ils ont copié » (compte rendu du 10 avril 2018).
Copie France a l’air de découvrir le principe d’usage de base des cassettes audio et VHS, qui sont pourtant à l’origine de la redevance sur la copie privée. Avec 40 ans de retard. Personne ne lui a expliqué jusqu’ici ?
Selon l’ALPA, le nombre de « pirates » serait à son plus bas historique en France depuis 2010
06/06/2018
Le 06/06/2018 à 18h 41
Que te dire ? TF1 a menacé l’auteur de Captvty de poursuites, et a tenté de convaincre son hébergeur de l’illégalité de son logiciel, en vain.
Pour autant, à ma connaissance, TF1 n’a pas déposé de plainte en ce sens. Je doute néanmoins que l’entreprise et ses juristes aient changé d’avis quant au caractère illicite de Captvty.
La publication des liens, ou encore leur référencement par les moteurs de recherche n’implique pas automatiquement la légalité de leur usage, comme a pu le constater Bluetouff.
Enfin bref, je ne suis ni juriste, ni expert en propriété intellectuelle, pas plus qu’impliqué dans la lutte contre le piratage, mais un Internaute lambda qui s’étonne.
Le 06/06/2018 à 15h 14
Il y a nécessairement des gens qui, plusieurs ordinateurs ou non, se font flasher par l’outil de pistage de Médiamétrie qu’ils ont installé eux-mêmes, pour ce que je comprends de l’article et de l’obtention des chiffres.
Le 06/06/2018 à 15h 11
Que le créateur de Captvty considère son outil comme légal (et je rejoins son analyse) ne signifie pas que l’ALPA a la même analyse.
Mon hypothèse est que l’ALPA considère Captvty comme illégal, et classe le téléchargement ou le streaming via cet outil (ou d’autres outils plus ou moins équivalents, tels youtube-dl), dans les pratiques illégales, ce qui expliquerait pourquoi les chiffres du piratage d’oeuvres disponibles sur les portails de télévision rattrapage augmenteraient, toujours selon la même source.
Le 06/06/2018 à 14h 37
Le bras armé des grands studios et chaînes de télévision a dévoilé, mardi 5 juin, quelques grandes lignes de l’étude annuelle qu’il confie depuis 2010 à Médiamétrie. À partir d’un « logiciel de tracking » installé sur les ordinateurs et autres appareils connectés d’un panel de 30 000 individus, l’institut tente d’évaluer la consommation illégale de vidéos en France.
Il y a donc des gens qui ont des pratiques illégales et qui acceptent tout de même l’installation d’un outil d’espionnage sur les appareils qu’ils utilisent ? Vraiment ?
Médiamétrie note néanmoins que « près de la moitié des séries piratées sont disponibles sur les chaînes gratuites (44 %) ». Autrement dit, les internautes iraient télécharger ou visionner en streaming des épisodes dont ils peuvent pourtant profiter sans avoir à ouvrir leur portefeuille… Ce qui conduit les auteurs de l’étude à souligner que « l’accès rapide au contenu semble privilégié par les utilisateurs ».
Je me demande si l’ALPA considère le téléchargement via Captvty comme légal ou illégal, pour le coup. Histoire de voir s’il n’y a pas de lien de cause à effet. (Le visionnage sur certains sites de télévision de rattrapage réclame l’installation d’outils très intrusifs et peu conformes au respect de la vie privée.)
Accident mortel Uber : le rapport préliminaire du NTSB permet d’y voir (un peu) plus clair
25/05/2018
Le 25/05/2018 à 12h 58
Si je comprends bien, Uber et la famille de la victime s’évitent un procès en civil pour déterminer les dommages et intérêts. Espérons qu’un procès au pénal aura tout de même lieu, afin de déterminer clairement les responsabilités pénales, s’il y a lieu, en pareil cas. Dans l’intérêt du public et des fabricants, il serait utile de ne pas naviguer dans le flou pour ce qui est de la responsabilité de chacun dans un domaine amené à se développer.
Des eurodéputés envisagent l’extension de la redevance copie privée à l’impression 3D
17/05/2018
Le 18/05/2018 à 11h 21
Attendez, qu’en est-il des photocopieuses et des imprimantes classiques ? " />
Je peine à comprendre quel manque à gagner des ayants droits une taxe sur la copie privée viendrait compenser. Parce que les copies illicites sont exclues de cette taxe (c’est de la contrefaçon punie par la loi).
Il faudrait alors taxer des impressions pour compenser des copies de propriétés intellectuelles conçues par des tiers (art, industrie) et imprimées par des particuliers pour leurs usages personnels ? Ainsi, je scannerais en 3D une pièce brevetée que j’ai achetée, je l’imprimerais en 3D, et je paierais une taxe pour que ce fabricant soit compensé par son manque à gagner ? Ou alors, à l’instar de la musique dématérialisée, j’achèterais le plan d’un objet, que j’imprimerais en 3D, et, en plus du paiement initial, l’auteur de l’objet serait compensé pour chaque impression que je ferais pour mon usage exclusif ?
Redescendons un peu sur terre : l’impression 3D coûte cher, souvent plus cher que la production de l’original. À moins de faire de la contrefaçon (copie illicite d’objets protégés par le droit d’auteur sans aucune licence). Ayant un journal d’activité précise de mon imprimante, je calcule systématiquement le prix de chaque objet imprimé : c’est (presque) toujours meilleur marché d’aller acheter une pièce neuve. L’intérêt réside dans la conception et le bricolage, pas dans l’économie des dépenses, et pas dans le manque à gagner réel ou supposé des ayants droits.
Tant qu’à taxer le bricolage, qu’en est-il des planches de bois, des clous, des vis et des perceuses ? Pas de taxe sur la copie privée du bricoleur du dimanche ?
La proposition de loi LREM pour muscler l’interdiction du téléphone à l’école et au collège
17/05/2018
Le 17/05/2018 à 11h 53
Depuis quand les élèves utilisent-ils leurs téléphones en cours ? Les règlements des écoles et des collèges en interdisent l’utilisation en leur enceinte, les lycées les autorisent ou les tolèrent dans les cours de récréation.
Par ailleurs, en quoi interdire le téléphone (et non ses usages problématiques) empêcherait le harcèlement, le sexisme, la pornographie, ou quoi que ce soit d’autre ? En interdisant le téléphone, on empêche juste la captation des preuves des comportements problématiques, non leur survenue. Casser un thermomètre ne soigne pas de la fièvre.
Le 17/05/2018 à 11h 49
Le téléphone rendrait-il asocial ? N’est-ce pas, au contraire, un moyen d’entrer un contact avec les autres ? C’est un accessoire de communication, et l’interdire sous prétexte qu’il isolerait est une hérésie.
Le 17/05/2018 à 10h 41
En Bretagne (ce dispositif cela semble limité à la région), mes neveux ont accès à la liste des devoirs à faire, ainsi qu’à leurs notes en ligne, ainsi qu’à d’éventuelles absences de professeurs en ligne. Leur interdire le téléphone reviendrait à réduire leur capacité à faire leurs devoirs en permanence le jour même, vu qu’ils ont perdu l’habitude du cahier de texte (remplacé par ailleurs par un agenda).
On dirait une mesure technophobe, qui ne comprend pas l’évolution des usages, l’intérêt pour l’éducation, et les gains de temps dont profitent les élèves, pour ne retenir que les abus. Mine de rien, le premier portable est souvent offert par les parents à leur progéniture à leur entrée au collège pour se rassurer, rester en contact, et surveiller leurs enfants à distance.
Argh, que ceci est agaçant, j’ai du mal à rassembler mes idées, tellement cette mesure paraît risible et contre-productive.
Projet de loi RGPD : les sénateurs vont bien saisir le Conseil constitutionnel
15/05/2018
Le 15/05/2018 à 13h 14
Extrait exclusif de la saisine en cours de rédaction :
Nous, sénateurs, trouvons scandaleux que nos électeurs puissent bénéficier du droit fondamental à la vie privée, mais que si un tiers, dont nous mêmes, nous le bafouons, nous aurons à en assumer les conséquence. Cela va à l’encontre des intérêts de nos amis qui nous confient des missions de conseil et nous embauchent en fin de mandat !
(Source : Internet.)
Stocker films et photos perso sur son ordinateur professionnel peut conduire au licenciement
07/05/2018
Le 09/05/2018 à 09h 53
Espérons qu’un jour, la justice obtienne enfin le budget dont elle a besoin pour fonctionner…
Le 09/05/2018 à 09h 07
Sinon pour aller en appel aux Prud’hommes, c’est dans les temps; moi on m’a vendu 5ans.
Là, ce qui est étonnant c’est d’aller en appel. Un avocat lisant le dossier et le 1er jugement ne devrait pas soutenir sa cliente.
Je devine que le rôle de l’avocat est de représenter son client, même lorsque celui-ci a peu de chances de gagner. Ce n’est pas à lui de se substituer au juge. Cependant, en effet, tel que le présente l’article, cette salariée semble être dans son tort sur de nombreux points. Ceci dit, quatre (ou cinq ?!) ans pour clore une affaire qui ne semble pas complexe, c’est long, pour l’employeur comme pour la salariée.
Le 09/05/2018 à 09h 02
Il est regrettable que la justice mette aussi longtemps pour statuer sur les conflits entre employeur et salarié : cela met les deux parties dans une incertitude fort inconfortable.
Le 07/05/2018 à 19h 58
Si je peux me permettre, et même si je comprends que le lectorat s’attend à voir sur NextINpact l’analyse sous l’angle technologique des actualités, le titre place beaucoup d’emphase sur ce qui apparaît être un détail de cette procédure de licenciement.
(Personnellement, ce qui me choque ici, c’est de voir qu’une procédure aux prud’hommes qui ne semble pas concerner un licenciement abusif puisse réclamer quatre ans de procédure.)
Une députée suggère une « semaine sans écran » pour tous les collégiens
02/05/2018
Le 02/05/2018 à 16h 33
Une semaine sans éducation, sans information, sans culture ? (Mes neveux se connectent en ligne pour connaître la liste des devoirs.) Et pourquoi ne pas aussi s’enfermer dans une cave, tant qu’à faire ?
Phishing : négligent, un client d’une banque doit assumer les prélèvements frauduleux
20/04/2018
Le 20/04/2018 à 08h 42
Le téléphone est encore moins bien sécurisé que l’email : le numéro qui s’affiche peut être modifié sans que le destinataire ne puisse le vérifier spontanément.
Les banques et autres organismes officiels ont une sale manie d’envoyer des emails depuis une autre adresse que celle du site web, parfois, au point d’utiliser un domaine dont on n’entend jamais parler par ailleurs, le tout avec des erreurs d’encodage à n’en pas finir, et qui sont pourtant légitimes.
Je suis suspicieux par défaut, que ce soit au niveau des emails, des coups de fils ou des courriers postaux, mais ce n’est pas le cas de la plupart des gens : par défaut, on fait spontanément confiance.
Facebook n’étendrait pas sa conformité RGPD hors d’Europe et d’Amérique du Nord
19/04/2018
Le 19/04/2018 à 08h 41
Voici qui est étonnant, vu que l’Afrique ne doit pas représenter un marché publicitaire important pour Facebook, qui y est cependant très présent, notamment avec ses initiatives d’accès gratuit à son services depuis les mobiles de certains pays du continent.