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Sans intérêt

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875 commentaires

Le 14/09/2016 à 20h 57

Demande à n’importe quel prêtre, ou plus généralement, à n’importe quel religieux quelle loi prime : la loi divine ou la loi humaine. On est alors bien dans un cas qui « fait prévaloir l’interprétation d’un texte religieux sur les principes constitutionnels et fondamentaux de la République ».



Quant aux « principes […] de la République », je n’ai aucune idée de ce que c’est. En revanche, je sais que l’article 1 de la constitution française défend toutes les « croyances », y compris celle que… Dieu prime sur l’Etat. Non ?

Le 14/09/2016 à 12h 19

Cette dame se rend-elle compte que sa loi va faire interdire les églises catholiques ? Je veux dire, je comprends bien que l’islamophobie a le vent en poupe, en ce moment, mais je ne suis pas sûr que l’électorat “conservateur” que souhaite manifestement séduire cette carriériste superficielle accepte la fermeture de leurs lieux de culte favoris.



Quelle tristesse…

Le 09/09/2016 à 17h 10

En France, ARJEL peut faire bloquer un site complet. Si cela est inefficace contre les personnes motivées, cela empêche les plus jeunes, souvent crédules et directement ciblés par ces services, de perdre leur argent de poche, voire plus, dans des jeux d’argent.



Est-ce que Valve, Supercell ou Riot Games organisent un jeu de loterie au travers du système de paquets de cartes ou de coffres ? Autant que les paquets de cartes Pokémon ou Panini, sans doute. Dans tous les cas, c’est un jeu, de hasard, contre de l’argent. Une loterie, donc.



Si jamais, en France, ARJEL faisait bloquer Steam pour cause de jeu d’argent non déclaré (CS:GO et son système de coffres, notamment), nul doute que Valve réagirait immédiatement. Soit en réfutant être une loterie, soit en se soumettant à la législation (française) sur les jeux d’argent, soit en éliminant les jeux d’argent de son site.



Les loteries tierces liés à CS:GO sont dénoncées, car en plus de ne pas s’en cacher comme telles, leur promotion implique de la publicité dissimulée et/ou mensongère.



Enfin, ce n’est pas parce qu’il y aura toujours des escrocs qu’il ne faut pas les escrocs et leur faire cesser leur activité. Que la tâche soit récurrente n’implique pas nécessairement qu’elle soit inutile.

Le 09/09/2016 à 15h 28







Pictou a écrit :



 Si c’est le nom qui dérange, le nom changera en un clin d’oeil, mettre fin à ces pratiques, je vois mal comment c’est possible, je dirai même que c’est impossible. […]





Ces loteries sont promues par des vidéos de YouTubeurs. Une fois que le nom et le nom de domaine changent, toute la notoriété est perdue. Cela n’empêchera pas le système de perdurer, mais ça en augmentera sensiblement les coûts marketing et baissera leur visibilité.



Quant à la suite, c’est au régulateur des jeux d’argent d’agir. Cependant, comme le note l’article, « les organismes de régulation des jeux d’argent. Malheureusement, ceux-ci accusent un retard énorme sur le sujet et commencent à peine à manifester de l’intérêt pour les paris liés aux compétitions eSport. » Si l’ARJEL bloquait l’accès à Steam en France, la réaction de Valve serait instantanée.


Le 09/09/2016 à 15h 03

Il est étonnant que Valve soit si peu encline à réagir. La société pourrait faire valoir la contrefaçon de sa marque commerciale dès le nom de domaine du site, ou encore dans le titre du service. Cela lui permettrait de mettre fin aux pratiques douteuses tout en évitant de flirter avec la notion de jeux d’argent, beaucoup plus réglementés que la vente de jeux vidéo.

Le 09/09/2016 à 14h 21







WereWindle a écrit :



[…]

* beaucoup mais pas que, je pense. en vrai je sais pas comment c’est fichu <img data-src=" />





Le filtre anti-ivresse de Google est plus terre-à-terre que cela : il faut l’installer/activer, puis le configurer (jours et heures d’activation, difficulté des calculs mentaux à faire). Néanmoins, l’idée est là : protéger l’utilisateur de lui-même, lorsqu’il est dans un état diminuant son sens de la mesure.


Le 09/09/2016 à 11h 14

Il est regrettable que ce lugubre personnage ne se soit pas défendu au tribunal. On en aurait peut-être plus su sur ses… hum… « motivations. » Qu’en a-t-il été des condamnations précédentes ? S’était-il défendu ?




 En fait, les propos cités, abjectes, semblent tenir d'un délire, plutôt que d'un argumentaire, aussi maladroit et inapproprié soit-il. En outre,&nbsp;« la persistance du prévenu dans son comportement délinquant, malgré les multiples condamnations déjà prononcées contre lui pour des faits de même nature » laisse à penser à un comportement pathologique.       






 Le point positif de la prison sera qu'il ne sévira pas durant son séjour. Gageons qu'il ne recommence pas. Mais on peut douter de l'aspect éducatif de la peine, qui, s'il devait être effectivement malade, le renforcera dans un hypothétique délire paranoïaque. Et par conséquent qu'il continuera à nuire. Et pas nécessairement plus discrètement.      






 Ceci dit…       






 Ne serait-il pas pertinent de développer des filtres avertissant les individus des propos manifestement illicites avant leur mise en ligne ? Je pense notamment à un message d'alerte indiquant à l'auteur d'un message ressemblant à des faits ayant conduit à des condamnations, dans son pays de résidence, qu'il flirte peut-être avec les limites de la libre expression ? Je ne parle pas de censure (quoi qu'un débordement en ce sens serait à craindre), mais d'une alerte visant à faire prendre conscience à l'individu d'un éventuel débordement ?    






 Gmail propose un filtre anti-email en état d'ivresse, exigeant de l'utilisateur l'ayant activé de faire du calcul mental avant envoi. Certes, Gmail dispose aussi d'un filtre anti-spam qui engendre des faux négatifs et des faux positifs, d'où la nécessité de ne pas s'y fier aveuglément. Nul doute aussi, comme dans le cas du bot Twitter Tay de Microsoft, que le système soit détourné et grugé. Nul doute aussi que cela crée un précédent que les politiques les plus polémiques exploiteront pour exiger une censure systématique. Hum… dans ce cas, au final, l'impact d'un tel outil serait peut-être négatif. Ou pas ?

Le 09/09/2016 à 11h 31

Ces sénateurs ont-ils conscience que les publications de presse papier sont archivés, notamment dans les bibliothèques, et par conséquent toujours accessibles au public ?



Qu’en est-il des archives numériques de la presse papier ?



Et qu’en est-il des archives numériques de la presse papier ayant déjà conduit à des condamnations, voire des retraits de publication ?



Enfin, la prescription ne permet-elle pas aussi aux victimes de&nbsp;« passer à autre chose », en éliminant une éventuelle pression sociale de poursuivre les auteurs des propos litigieux ?&nbsp;« Qui ne dit rien consent », obligeant ainsi les victimes à des procédures systématiques, sous peine de se voir la diffamation devenir vérité absolue ?

Le 08/09/2016 à 16h 12

Le souci n’est pas d’être capable de faire un rendu HDR. Le souci est que les tampons d’affichage du HDR prennent plus de RAM que sans HDR. En principe, pour obtenir 16 millions de couleurs, tu as besoin de 8 bits par teinte, soit 24 bits par couleur, soit 3 octets par pixel. Le HDR réclame de plus de mémoire par pixel. À un moment où à un autre, il faut trouver cette mémoire quelque part.&nbsp;Même chose pour la 4K : il y a plus de pixels, donc plus de mémoire nécessaire pour les stocker. Avec une machine sans RAM supplémentaire, on fait comment ?



Une piste : le jeu dans sa globalité réclame moins de RAM. Et donc la version HD, sans 4K ni HDR, ne l’exploite pas. Ou bien alors on réduit la taille de choses secondaires, comme les tampons de cache disque. Mais alors la version 4K/HDR aura moins de cache, et sera en conséquence plus lente.

Le 07/09/2016 à 21h 42

Je ne suis pas sûr de comprendre comment les jeux vidéo pourront profiter du 4K et du HDR sur une console disposant d’autant de mémoire que celle limitée au HD, sans HDR. Cela signifie que l’OS réclamera moins de RAM durant le jeu, pour compenser ? Ou que les versions HD seront bridées, n’exploitant pas toute la RAM, face aux versions 4K/HDR ?

Le 07/09/2016 à 15h 20







UnBruitSourd a écrit :



Perso, depuis que j’utilise Keepass (j’utilisais LastPass jusqu’à tout récemment), je suis rendu addict à l’auto-fill sur les sites web et services. Sous keepass, tu entres ta Phrase de passe (je ne m’habituerai jamais à ce terme je crois, mais je fais un effort pour franciser) en te loguant sur ton ordi le matin, et puis tu le laisse rouler en background (ou le lock après X minutes d’inactivité). Quand tu visites un site, les champs de connexion se remplissent automatiquement. Perso, c’est beaucoup plus rapide que d’utiliser même un mot de passe court et bidon de 6 lettres.&nbsp;





Oui, l’utilisation d’un gestionnaire de mots de passes est vraiment bienvenu et facilite la vie en améliorant la sécurité. Pour autant, les personnes qui n’en ont pas l’habitude sont difficiles à convaincre, surtout celles résistant à l’idée qu’un mot de passe fort est utile (“je n’ai rien à cacher”, “personne ne cherche à me pirater”, “ce n’est pas grave si je me fais pirater”, etc.).

&nbsp;

En guise de “passphrase”, j’utilise personnellement “mot de passe maître”, qui me paraît plus explicite dans ce contexte.







GvLustig a écrit :



Surtout que ce mot de passe faible est souvent le même partout…



Je ne suis pas pour les solution de pass embarqué, mais c’est toujours mieux que “miaoulechat” partout





Dashlane, que j’utilise, dispose d’un clavier mobile dédié (sur Android) pour, notamment, remplir automatiquement les mots de passes, limitant la gêne de saisie. On peut aussi limiter ses mots de passes aux caractères aisément accessibles sur les claviers mobiles que sont les minuscules et les chiffres, quitte à rallonger la longueur.


Le 07/09/2016 à 11h 02

Chouette ! On dirait que 1Password rattrape Dashlane en matière de fonctionnalités de groupe. Plus de concurrence de qualité ne pourra que renforcer la sécurité de tous. Et ça, c’est bien.



Toutefois, si ajouter un mot de passe supplémentaire renforce la sécurité, les utilisateurs familiaux risquent d’en être vite dégoûtés, et abandonner toute idée de sécurité. La plupart de mes refusent l’installation et l’utilisation d’un gestionnaire de mots de passes à cause de la saisie du mot de passe maître, préférant utiliser des mots de passes faibles, saisis à la main, sur chacun des services qu’ils utilisent. C’est déroutant, car contre-productif, mais je n’arrive pas à trouver les bons arguments pour les convaincre.



D’ailleurs, si vous connaissez de bons arguments pour faire installer et utiliser un gestionnaire de mots de passes à un utilisateur lambda, ados en tête, faites tourner !

Le 07/09/2016 à 11h 31

Un point peut-être souvent oublié est que Vincent Bolloré approche de l’âge de la retraite.



À 64 ans, il n’est plus tout jeune. Certes, il n’a aucune obligation de quitter les reines de son groupe, mais l’âge de plus en plus avancé risque de poser la question de sa succession à la tête de son groupe. Les frères Guillemot, eux, sont plus jeunes, et s’organisent comme un clan uni, plutôt qu’une seule tête. Bref, rien que jouer la montre permettrait à Ubisoft d’échapper à ce rachat agressif.



En effet, si la consolidation d’un groupe média est le coeur de stratégie de Bolloré, le seul rachat d’un éditeur de jeux vidéo ne suffit pas. Il faut plusieurs années pour organiser la supposée synergie qui découlerait d’une fusion, qu’il s’agisse de production cinématographique (Studio Canal), vidéoludique (Gameloft) ou diffusion (Canal Plus, C8).

Le 07/09/2016 à 11h 14

Dommage que l’on n’en sache pas plus sur ces écrits en arabe. Cela se trouve, c’était peut-être un manuel d’Al Qaida ?

Le 07/09/2016 à 10h 58

N’ayant pas de XBO, une suggestion alternative, si jamais la XBO ne supporte pas de VPN (je n’en sais rien) : faire un partage de connexsion 3G/4G de ton mobile sur lequel tu actives le support VPN intégré à l’OS (ou une solution de VPN alternative). Une autre solution serait de se balader avec un routeur Wi-Fi supportant le VPN dans sa connexion, en plus de trimballer la XBO, donc.

Le 07/09/2016 à 10h 32

« la vente par Sony d’ordinateurs équipés de logiciels préinstallés répond aux attentes, telles qu’elles se dégagent de l’analyse du marché concerné, dʼune part importante des consommateurs qui préfèrent l’acquisition d’un ordinateur ainsi équipé et d’utilisation immédiate à l’acquisition séparée d’un ordinateur et de logiciels »



Sait-on sur quoi se base une telle affirmation ? Le marché d’ordinateurs portables est bel et bien un système d’exploitation (OS) préinstallé. Toutefois, il est exceptionnel, plutôt qu’habituel, que le consommateur ait le choix sur ce point.



Dans un autre domaine informatique, celui des serveurs, l’ordinateur n’est majoritairement pas vendu ou loué avec un OS imposé. Et le prix de l’OS, si celui-ci est facturé, est clairement ventilé.



Certes, les serveurs sont avant tout destinés à un marché professionnel. Toutefois, d’une part, ce sont bel et bien des ordinateurs ; d’autre part, leurs tarifs sont bel et bien ventilés entre matériel et logiciel.



Ceci dit, les réponses à cet argument n’en feront que valider un autre : le choix est donc bel et bien présent.

Le 06/09/2016 à 15h 18







jaretlafoudre a écrit :



Il faut comprendre une chose, tu as Flash, et Flash supporté dans les navigateur, &nbsp;ce sont 2 choses différente mais tout le monde fait l’amalgame. […]&nbsp;

Bref Flash se meurt dans les navigateurs, mais n’a jamais été aussi vivant pour du stand alone.





Il n’y a aucune raison de conserver Flash dans Adobe Air, qui permet de faire des applications indépendantes, ou de conserver le moteur Flash où que ce soit ! Pourquoi ne pas exporter en HTML, CSS et JavaScript ? Un moteur WebKit doublé de node.js apporterait une équivalence sans avoir à maintenir du code propriétaire qui n’apporte aucune valeur ajoutée. D’ailleurs, de nombreuses solutions concurrentes exploitent une telle architecture. La valeur ajoutée d’Adobe, ce sont avant tout les outils, beaucoup moins les interpréteurs Flash exécutant le code côté client.


Le 06/09/2016 à 10h 50

Il semblerait qu’Adobe se bat envers et contre tout pour préserver Flash. Ce qui est étonnant. En effet, ses outils de développement Flash exportent aussi en JavaScript, non ?

Le 06/09/2016 à 11h 17

Je ne comprends toujours pas pourquoi les réseaux mobiles ne bénéficient pas systématiquement de la mutualisation des antennes, et pourquoi l’ARCEP semble s’y opposer. Je comprends bien que le marché est régulé et que l’ARCEP vise à une meilleure concurrence, plutôt que la constitution d’un monopole avec les abus qui en découleraient nécessairement, mais de là à imposer des antennes en triple exemplaire, est-ce bien raisonnable ?

Le 06/09/2016 à 11h 12

Le droit à l’image n’est pas taxé. Qui plus est, en effet, les CGU des divers sites impliquent d’accorder la mise à disposition. De plus, c’est aussi, et en premier lieu, au photographe d’obtenir l’accord du sujet ainsi photographié. Enfin, pour ce que j’en sais, chaque membre de Facebook ou de Twitter peut s’opposer à son identification, et donc son indexation, sur ces réseaux sociaux (insuffisant, mais salutaire).

Le 06/09/2016 à 10h 43

Quel scandale. Quelle tristesse.



Ainsi donc, tous les photographes amateurs vont financer de fait les sociétés de gestion collective des droits, les plus grosses en tête, le tout au profit d’une poignée d’auteurs, déjà les mieux rémunérés, sans que les auteurs des photos ainsi taxées ne perçoivent le moindre centime.



Ce qui est réellement étonnant, c’est que Google, la principale cible de cette situation, n’ait rien fait de concret. Pourquoi, par exemple, ne pas avoir limité les résultats de recherche aux seules images CC ou du domaine public, par exemple, afin de couper l’herbe sous les pieds de ces… parasites ?



En effet, il aurait été plus difficile, pour les sociétés de gestion des droits, de taxer globalement des photos spécifiquement exclues de leur champ d’action.



Facebook et Twitter auraient aussi pu faire pression, rappelant que les images et photos mises à disposition sur leurs réseaux bénéficient déjà de licences d’utilisation compatibles avec leurs services. Rappelons enfin que Facebook est le service en ligne qui héberge, et indexe de fait, le plus de photos, le fait avant tout sur des images personnelles, que l’on peut, dans leur immense majorité, considérer comme libres de droits, à défaut d’originalité (difficile en effet de prétendre à un droit d’auteur sur un selfie lambda).



Bref, de quoi être dégoûté de poster des photos en ligne.

Le 05/09/2016 à 20h 34

Il faut croire que Nintendo tente d’imposer une jurisprudence de fait auprès des plus faibles. Google Play&nbsp;et même iTunes regorgent de contrefaçons de ses propriétés intellectuelles, notamment pour ce qui est des marques.

Le 05/09/2016 à 20h 04

Tu as raison, c’est bien le principe de bouquet de services. La stratégie de SFR semble être d’ajouter ces services à sa seule initiative, et d’impacter le prix global de l’offre. L’astuce commerciale vise à prétendre le service gratuit. Et d’impacter le prix, à la hausse, dans un second temps. L’astuce fiscale vise à répercuter le nouveau prix non pas sur le service ainsi ajouté au bouquet, mais sur un autre service, bénéficiant d’une TVA ou de contraintes réglementaires plus avantageuses.

Le 05/09/2016 à 19h 44







vinceff a écrit :



Je pense pas qu’ils monteront de si tôt les forfaits, ils se sont fait trop mal en terme d’image dernièrement . Plus de contenu même prix .



Après est ce que c’est ca (des nouvelles chaînes TV)qu’attende les abonnés SFR je ne suis pas sur.



Moi ce qui m’a attiré c’est leur service SFR presse je trouve ça trop bien





Pourtant, c’est l’intégration de SFR Presse à tous les abonnements, d’abord annoncée comme gratuite (facturée, et aussitôt déduite, avec un impact étonnant sur la TVA), qui a justifié la dernière augmentation du tarif de 3 € par mois de l’ensemble de l’abonnement, peu de temps après.



Il serait fort étonnant que SFR ne continue pas dans la même voie à l’avenir, en particulier pour Zive. Que tu l’utilises ou pas.


Le 05/09/2016 à 19h 55

Courageux, pour un cadre, que d’annoncer l’éventualité de saborder son propre projet… dans l’intérêt des utilisateurs. Car c’est bien de cela qu’il s’agit à l’origine : le logiciel n’est pas sécurisé par manque de moyens… ou de son organisation inadaptée (de sa bureaucratie ?), vue la méthodologie décrite.



Cela dit, je ne vois pas en quoi limiter le projet à un framework deviendrait plus pertinent. Certes, cela permet de limiter le champ d’intervention des ressources humaines, mais cela supposerait que d’autres exploitent ce framework dans leurs propres projets. Cela a-t-il du sens ? Y a-t-il une demande en ce sens ? Hum…

Le 05/09/2016 à 15h 28

Suite à l’augmentation de 3 € au bout de 3 mois d’abonnement chez RED by SFR, et contrairement aux engagements du contrat qui garantissaient un tarif de 12 mois, j’ai envoyé ma lettre de résiliation, ayant perdu confiance en l’opérateur.



Résultat : dans les jours ayant suivi la réception de mon courrier, j’ai reçu trois emails de phishing tentant d’obtenir mes identifiants SFR. Un hasard ? Non : mon adresse email était spécifique au FAI, jamais dévoilée, connue uniquement de lui et moi.



Cela n’a fait que renforcer ma déception de cet opérateur, qui, en ce qui me concerne, a enchaîné bourdes et indélicatesses.

Le 05/09/2016 à 13h 42

En fouillant sur Internet, j’ai trouvé la définition du « Altice Way ».

Le 05/09/2016 à 00h 25

Je me souviens d’un temps où AMD produisait des CPU plus puissants que ceux d’Intel, à des tarifs inférieurs. C’est là que je prends conscience être désormais devenu… vieux.&nbsp;<img data-src=" />

Le 03/09/2016 à 04h 28

Bienvenue au club. Pourtant, je ne suis pourtant pas “un bridé” comme toi, même si, selon mon ophtalmo, les originaires d’Europe centrale auraient des yeux “en amande”. Bref, tout comme toi, les technologies d’eye tracking ont du mal à repérer mon regard, voire même repérer mes yeux… À croire qu’elles ne sont pas au point. Et pour cause : qui, sincèrement, les utilise, à part quelques handicapés et des labos, marketing en tête ?

Le 02/09/2016 à 14h 49











John Shaft a écrit :



C’est mon côté “j’ai souffert en fac d’anglais”, où en version (trad langue étrangère -&gt; langue maternelle), les notes descendent très vite si tu ne traduit pas (quoique la version franco-québecoise de “bug” est peu connue). Du coup, c’est resté : quand il y a un équivalent français, je traduis. Pis j’aime bien le terme <img data-src=" />





Et donc, c’est “tampon Z” au lieu de “z-buffer” ?


Le 01/09/2016 à 19h 09

Pourquoi faire de l’anglicisme ? En quoi le terme original, “bug”, est-il gênant ?

Le 01/09/2016 à 18h 51

La principale difficulté des mots de passes longs est qu’ils sont (trop) souvent refusés par les services. J’ai vu des services web refuser des mots de passes de plus de 12 caractères, d’autres de plus de 16 caractères. L’astuce du mot de passe long a donc ses limites.




En matière de signes typographiques, en plus des caractères alphanumériques, de nombreux services les refusent, ou en limitent beaucoup l'usage, à des "-" ou "\_". Il est donc difficile de se baser essentiellement dessus.      






Personnellement, j'utilise un gestionnaire de mots de passes (Dashlane), avec une génération de mots de passes&nbsp; aléatoire. De plus, même sous la torture, je ne saurais vous indiquer la plupart de ces mots de passes : je ne les connais pas, voire je ne les ai jamais vus de mes yeux, leur gestion étant entièrement automatisée.      





C’est d’ailleurs grâce à Dashlane que je rencontre tous ces sites aux limites trop faibles (longueur limitée, symboles limités) : par défaut, je l’ai configuré pour qu’il génère jusqu’à 28 caractères entièrement aléatoires. Dans la pratique, j’ai fini par baisser mes exigences.



Parfois, cependant, on doit taper un mot de passe manuellement, notamment sur smartphone, quelle qu’en soit la raison. Dans ce cas, on apprécie d’autant plus les mots de passes sans homographes. Rien de plus frustrant en effet que de deviner la différence entre un “I” et un “l”, ou un “O” et un “0” sur des polices de caractères que l’on maîtrise mal.

&nbsp;

Pour finir, qu’est-ce qu’un bon mot de passe ? Long, aléatoire, impossible à mémoriser, et… inconnu de l’utilisateur lui-même. Non ?

Le 01/09/2016 à 19h 05

Aïe. C’est une nouvelle catastrophique. En effet, les options de synchronisation de mots de passes intégrées aux navigateurs rendent difficile l’accès à la liste exhaustive des services ainsi mémorisés. Changer tous les mots de passes s’avère donc particulièrement difficile.



À l’époque où je faisais du web à titre professionnel, j’avais plus de 800 comptes différents en ligne, dont des comptes à moi, d’autres à mes clients. Une telle fuite aurait été quasiment impossible à corriger, vue l’ampleur du travail et la diversité des personnes impliquées.



Opera est un pionnier dans le domaine de la synchronisation des paramètres du navigateur web, dont des mots de passes. Gageons que cela ne détourne pas les Internautes de cet usage. Il reste encore maintenant plus sécurisé d’enregistrer son mot de passe dans le service de synchronisation de son navigateur que sur un carnet qui traîne sur le bureau, ou encore un tableur.



Enfin, notons que certains services web réclament une confirmation supplémentaire lors d’un premier accès depuis une nouvelle adresse IP, inconnue jusqu’alors. Récemment, LinkedIn m’a récemment demandé, en plus de mon identifiant et de mon mot de passe, de lui indiquer un code secret envoyé par email, lorsque j’ai changé mon adresse IP de connexion. Et cela sans que je n’aie explicitement activé l’identification en deux étapes. C’est un très bon point !

Le 01/09/2016 à 14h 12

Ravi de trouver une solution libre de montage vidéo, j’ai tenté OpenShot Video Editor en “version finale” en 64 bits. Ici, il a enchaîné les crash. En fait, c’est l’éditeur vidéo le plus instable que j’ai testé jusqu’à présent. Passons outre ce défaut.



Le souci de fond est que OpenShot a surtout la qualité d’être libre. En termes de fonctionnalités, il est très similaire à Windows Movie Maker. Si ce dernier n’est pas libre, il n’en demeure pas moins gratuit pour les utilisateurs Windows.

Le 01/09/2016 à 11h 26







Kwaïeur a écrit :



Comme les mails de FAI : quelqu’un chez Orange à l’époque ([email protected]), chez Free aujourd’hui ([email protected]) aura quelques soucis. <img data-src=" />





En fait, étonnamment, les FAI français Free et SFR ne recyclent pas les emails de leurs (anciens) clients, même des années après. J’ignore la politique d’Orange en particulier en ce sens.



La Poste ne semble pas non plus recycler les emails de ses utilisateurs, mais ses CGU peuvent changer à tout instant. Comme chez tout le monde, je présume…



&nbsp;





Kwaïeur a écrit :



[…] * Par contre, ils n’ont pas révoqué les tokens des applications connectées <img data-src=" />





Tiens, je viens de recevoir aujourd’hui même une campagne de spam sur l’ensemble de mes emails utilisés sur LinkedIn jusqu’en 2015 (j’inclus la date dans mes emails et utilise un “catch-all”). Une piste est justement que l’une des apps connectées (comme quoi, il faut limiter les inter-connections ?) s’est fait dérober sa BDD d’emails. Ou alors c’est autre chose… hum…


Le 31/08/2016 à 19h 00

Quarte ans après les faits, de nombreux utilisateurs ont abandonné leur compte mail. Certains services de mail recyclent les adresses non utilisées. Aussi, si la même adresse email a été créée par la suite, Dropbox vient d’inviter des utilisateurs illégitimes à définir un mot de passe d’un compte qui n’est pas le leur.&nbsp;Clairement, ce n’est pas quatre ans plus tard qu’il faut agir, mais dès que la faille est avérée.



Ceci dit, le mot de passe devra un jour disparaître au profit d’autres systèmes. De trop nombreux utilisateurs réutilisent les mêmes mots de passes sur plusieurs sites, ou qui utilisent des mots de passes courts, non aléatoires, voire susceptibles d’être aisément devinés. Quant à l’usage d’outils de trousseau de clés (LastPass, Dashlane, 1Password, KeePass…), il reste encore exceptionnel.

Le 30/08/2016 à 01h 28







iriondalcor a écrit :



[…] Je vois VRAIMENT pas en quoi ça [l’emploi ?&nbsp;NDSI] peut faire parti de votre ligne éditoriale …





Pourtant, trois heures après cet article, Next INpact a publié Bouygues Telecom : la réorganisation des RTT divise les syndicats. En fait, le site parle régulièrement de finance et d’économie, dont de l’emploi, en rapport avec les nouvelles technologies. Les embauches, tout comme les licenciements dans les jeux vidéo, ont donc bien une place dans la ligne éditoriale du site.


Le 29/08/2016 à 23h 25







Mustard27 a écrit :



La presse est vendue, pas un site de jeux n’a été critique, tous ont encensé le jeu en occultant totalement ces gros défauts. […]





Je ne vois pas de quoi tu parles. La presse a plutôt bien fait son boulot, le jeu ayant obtenu des notes inférieures aux éventuelles attentes, en tous les cas inférieures à celles d’un « AAA » digne de ce nom :





Le 29/08/2016 à 13h 30

Sincèrement, je ne conçois pas d’autre réaction que la déception, pour Shenmue 3, et ce, quel que soit l’intérêt du jeu. Autant que pour un Half Life 3. Il y a eu un précédent : Duke Nukem Forever. Il y a trop de fantasmes en jeu et de souvenirs altérés.

Le 29/08/2016 à 13h 21







LauNoua a écrit :



[…] Dire que c’est un jeu multijoueur, que les autres joueurs pourront se voir dans le jeu (alors qu’il a été prouvé que non) […]





No Man’s Sky est un MMO avec univers persistant. L’est-il dans le sens habituel du terme ? Non, certainement pas. Y a-t-il un quelconque intérêt à ce qu’il soit un MMO ? Non, aucun. Les joueurs peuvent-ils se sentir trahis ? Oui, clairement. Le studio a-t-il menti ? Euh… Pas vraiment. Ou alors a-t-il pris ses ambitions pour réalité. Sur un jeu encore en cours de développement.



Si c’était encore nécessaire,&nbsp;No Man’s Sky est un rappel qu’il ne faut pas précommander un jeu vidéo avant que la presse ne fasse un premier tri. Les agrégateurs tels que Metacritic, Sens Critique, ou encore OpenCritic sont suffisamment nombreux pour que ce tri soit aisé et rapide.

&nbsp;



LauNoua a écrit :



[…]&nbsp;Bref dépassé par le succès ou non, le studio a clairement menti sur énormément de sujets et il n’y a aucune excuse pour les couvrir. La prochaine étape logique pour eux, c’est la clé sous la porte.





Comme&nbsp;Peter Molyneux ?


Le 29/08/2016 à 09h 34

En fait, Hello Games était une PME relativement inconnue avant&nbsp;l’E3 2014 et sa démo de No Man’s Sky. Elle a été semble-t-il totalement dépassée par son succès.



Si l’on se met à la place des développeurs présentant leur bébé, le plus beau de tous, forcément, et que l’on interprète toute la communication du studio sous cet angle, rien de ce qui a été dit n’est véritablement mensonger. C’est juste exagérément subjectif et positif.



Mais autant peut-on comprendre qu’une PME n’ayant pas l’habitude d’une telle exposition médiatique soit totalement dépassée, autant on le peut moins lorsqu’un géant international du jeu vidéo lui donne une légitimité qui ne lui est peut-être pas due.



Nul doute que No Man’s Sky avait du potentiel. Mais il y a certainement un fossé entre les attentes et le résultat. Gageons que les prochains titres du studio seront plus aboutis.



Mais du coup, je crains pour l’avenir de&nbsp;Horizon : Zero Dawn, dont la démo présentée par Sony à l’E3 2016 avait de quoi susciter un vif l’intérêt.

Le 29/08/2016 à 08h 53

No Man’s Sky me fait penser au&nbsp;« paradoxe du singe savant ».

Le 29/08/2016 à 13h 35







sioowan a écrit :



J’ai d’autres choses à foutre que regarder la propagande de Daesh. Ou même de regarder des exécutions.



Vous êtes bizarre les gens ^^





Comme commenter des articles sur les gens qui s’adonnent à ce genre d’activités ?&nbsp;<img data-src=" />


Le 28/08/2016 à 10h 06

En matière d’autonomie, les fabricants devraient indiquer la durée que tient leur téléphone avec Pokémon GO.

Le 28/08/2016 à 10h 01

Sacré cynisme, que d’affirmer qu’une option non finalisée, directement impliquée dans un accident mortel, permet de « mieux refléter la valeur du produit ».



Ceci dit, une telle&nbsp;« option&nbsp;» représente des mises-à-jour permanentes, et il serait peut-être plus pertinent de la proposer en tant qu’abonnement annuel plutôt qu’à l’achat. Cela serait peut-être moins vendeur… Peut-être que dépenser beaucoup, une seule fois, pour acquérir une option d’exception paraît censé au moment d’acheter une voiture qui l’est tout autant, et moins quand il s’agit de renouveler un abonnement après avoir constaté son aspect gadget ?



Toujours est-il qu’on ne peut que féliciter Elon Musk pour sa capacité à faire parler de lui. Tesla n’est pas l’unique voiture proposant des options de conduite autonome, mais c’est celle dont on parle le plus. Certes, les concurrents déjà sur le marché ont des fonctionnalités plus limitées, que l’on pourrait qualifier d’aides, plutôt que de conduite autonome.

Le 26/08/2016 à 17h 23







pinkyrose a écrit :



Je ne vois pas où est le problème : si ça ne vous convient pas, vous vous abstenez de publier des photos dans ce cadre.&nbsp;





Comme l’indique l’article, on peut utiliser ce mot-croisillon sans même deviner qu’il existe des CGU. Ou encore l’utiliser en dehors de toute référence à l’organisateur de l’événement.



Par ailleurs, je ne suis pas sûr que la SNCF ait le droit de définir des CGU sur les hashtags d’un service tiers, celui-ci ayant lui-même des CGU qui ne sont pas forcément compatibles avec ce… “truc”.



Enfin, quelles que soient les CGU, elles sont plus faibles que la loi. Or, si celles-ci devaient s’avérer abusives, comme le suggère l’article, elles deviennent illégales, et donc inopérantes.



Bref, avant de placer un “point final”, il y a pas mal de réponses à obtenir à des questions légitimes. Et la première d’entre elles : WTF?!


Le 24/08/2016 à 18h 49

Quelque chose m’échappe : ils sont au courant, ZeniMax, Oculus Rift et Facebook, que la réalité virtuelle ne rapporte que de l’argent virtuel ?



Je veux dire… à part des projections hallucinantes de ventes, la réalité virtuelle est loin d’être une réalité économique démontrée. C’est un gadget hors de prix pour un intérêt restant à démontrer, probablement limité à des marchés de niche, sans doute essentiellement professionnels.



Plutôt que d’enrichir les cabinets d’avocats, et vue la vision à long terme de cette technologie, il serait peut-être temps d’envisager une approche à la Tesla, de partage de connaissances en vue de promouvoir le marché dans sa globalité, ce qui profiterait à tous, producteurs comme consommateurs, plutôt que de s’embourber dans des procès sans fin…

Le 24/08/2016 à 18h 35

Disons que si tu as besoin d’un CDN pour protéger ton site, tu dois le faire ainsi.



Les sites de presse et les sites de jeux vidéo sont réputés pour être parmi les plus visés par les attaques. Laisser à un attaquant déterminer l’IP source, notamment par les champs des serveurs mails fournis par le DNS, c’est… nécessairement se prendre une attaque qui impactera tout le trafic.



Par ailleurs, côté web, un CDN doit normalement savoir gérer le contenu dynamique sans souci, notamment par l’usage d’entêtes génériques (entêtes relatifs aux proxys) ou spécifiques (entêtes spécifiques à chaque CDN), fournis par le serveur source.



Pour réduire la bande passante et accélérer la réactivité, CloudFlare a développé l’outil Railgun, permettant aux serveurs sources de ne communiquer que le minimum nécessaire aux serveurs de CloudFlare pour que ce dernier puisse reconstituer toute la page. Cela permet de servir une grande quantité de contenu dynamique sans surcharger le serveur source.

Le 24/08/2016 à 14h 32







Fuinril a écrit :



[…]

L’intérêt d’un CDN c’est




  1. limiter la charge au niveau du serveur (très utile en cas de pics de connexions)

  2. Avoir un temps de réponse équivalent partout puisque les pages cachées de ton site sont dupliquées sur plusieurs serveurs géographiquement partout sur la planète

    […]





    Un autre point est de masquer le serveur d’origine servant les contenus, qu’ils soient licites ou non.



    L’intérêt de masquer le serveur source est :






  • pour un site légitime, d’éviter de voir ce serveur attaqué sans le filtre de la protection proposée par le CDN ;

  • pour un site illégitime, d’ajouter un intermédiaire supplémentaire dans la chaîne juridique, et ainsi réduire les chances d’être arrêté.




Le 24/08/2016 à 14h 25

CloudFlare fournit un CDN générique gratuit et limité et un CDN payant avec valeur ajoutée. Le service payant intéresse notamment les sites à forte audience (CDN) de très grande taille (Railgun), sujets à divers types d’attaques (protections personnalisées). Ces offres ciblent notamment les sites de presse, sujets d’attaques pour la moindre information qui déplaît.