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warfie

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205 commentaires

Le 22/05/2015 à 09h 02

Damned, je fais toujours la confusion entre les deux mots (je connais la différence mais fait l’erreur en l’écrivant).



Merci de la remarque.

Le 21/05/2015 à 14h 57







telperien a écrit :



  Il n’y a aucune obligation de prise en compte de ce que le sénat a fait. Donc oui le sénat est relativement inutile.





Dans les médias le Sénat est beaucoup moins cité que le Parlement. C’est possiblement une cause de ce désamour pour le Sénat : si on n’est pas informé de ce que fait l’autre, on peut juger qu’il ne fait rien. Ajoutons à cela le côté “ils n’ont pas le dernier mot” et la conclusion d’inutilité est tout à fait compréhensible.



S’ils n’ont pas le dernier mot, c’est pour une raison simple : ils sont élus au suffrage universel indirect. Symboliquement, ça veut dire que par rapport à une élection “directe” (c’est long à écrire sinon), un sénateur a moins de proximité avec les citoyens qu’il représente. Le fait qu’ils n’aient pas le dernier mot se comprend alors d’autant mieux.



Cette distance, si elle les désavantage dans le processus décisionnel, leur permet aussi un meilleur recul sur les projet de lois qu’on leur présente. Ils sont élus sur pour un mandat de 6 ans qui n’est pas calé sur les élections présidentielles. Ils sont moins soumis aux aléas politiques du président et à l’agenda électoral. Donc moins de pression donc plus d’énergie à dépenser pour s’occuper du détail des lois.



Le Sénat étant une institution politique, il n’est en rien une sorte d’assemblée impartiale (il est historiquement à droite), c’est juste que son mode de fonctionnement lui permet (supposition) de favoriser le dialogue entre formation politique et d’éviter le clivage tête de mule des députés.



Je ne sais si je dois en rire ou en pleurer mais ceux qui montre le plus d’audace sont les “inutiles”.


Le 21/05/2015 à 08h 48

Grâce aux enregistrements divers et variés, on pourra inculper plus facilement les coupables.

Que lesdits coupables n’aient pas été empêchés d’agir n’est qu’un détail.



Je préconise le recours à l’astrologie, aux médiums, aux nécromanciens et aux devins. Les compétences croisées de ces corps de métiers permettront d’avoir une vue précise des agissements divergents tel que spécifié dans une lettre du Premier Ministre datant de 2032.

Le 20/05/2015 à 13h 27







brazomyna a écrit :



L’objectif c’est de répondre à un besoin sur le long terme. Optimiser, gagner du temps, etc… c’est uniquement pertinent si ça apporte une vraie valeur ajoutée au client. Et il s’avère qu’en règle générale, c’est rarement le cas.



 Et ça c’est bien trop souvent oublié par les techos, et sans doute la première source d’incompréhension entre les dev. (qui ont souvent une approche purement technique) et leur hiérarchie (qui a une approche projet: besoins, objectifs, efficience).

Les premiers ont souvent tendance à penser que les seconds se contentent de faire du médiocre au niveau qualité de code ; ce qu’ils ne comprennent pas c’est que les seconds veulent en fait surtout faire de l’optimum mais selon d’autres paramètres du projet que la seule qualité ou “beauté” du code.

 





Pour certaines demandes, l’optimisation est à l’origine même de la demande. Il s’agit le plus souvent de programme créé il y a 10 ans qui mettent 30min à tourner parce que le code de l’époque suivait le fleuve de l’inspiration du poète insouciant. 10 ans après les intérêts du beau code et du portefeuille se rejoignent.



Autre cas de figure : quand l’équipe à l’origine du projet récupère la maintenance. Là bizarrement, la propreté du code devient prioritaire puisque les intérêts de tout le monde s’y retrouve (sauf le client qui paie une fortune des fonctionnalités mises en commentaires <img data-src=" /> ) .


Le 19/05/2015 à 12h 20

Sérieux pour de vrai, infos prises dans une interview du président du HF dont je n’ai pas le lien (au boulot, les vidéos c’est niet). La vidéo datant de quelques années, je ne saurai dire si c’est toujours le cas après la sortie de la vidéo.&nbsp;

Le 19/05/2015 à 08h 55

Il dit que des prêtres viennent chaque année bénir l’emplacement du Hellfest pour lutter contre les démons.

Du coup ce n’est pas le HF qu’il saccage mais une terre sacrée… OMG !!!

Le 19/05/2015 à 09h 38

De base les jeux KS avec figurines coûtent chers, du simple fait que pour chaque figurine il faut créer un nouveau moule (à changer après X utilisations).



Un jeu KS que j’ai financé avec figurines m’a coûté 350$ pour 150 figurines environ (jeu de base + extension).



Sur le jeu en lui-même, le fait que ce soit une boîte allemande m’a fait passer de “ah ouais cool” à “oulah….”. Les français et les américains savent faire de jolis plateaux autant les allemands ont habitué la planète gamer de société à un minimalisme aride et sans joie, misant tout sur le gameplay.



En voyant l’image du plateau de jeu, j’ai vu pleins d’hexagone, des barricades dessinés façon marche d’escalier, tout de gris vêtu. Pas folichon tout ça.&nbsp; Concernant les mécanismes, difficile d’avoir un avis. Je vais attendre un retour testeur avant de me décider.



Boîte allemande = jeu de gestion.

Crysis = jeu d’action.



Le mixe des deux m’incite à la prudence.

Le 19/05/2015 à 08h 20

A lire les différents tests/critiques de jeu, l’impression qui ressort c’est que le jeu en lui-même a su capter l’air du temps et proposer une expérience ludique propre au jeu vidéo, tandis que les livres m’ont donné l’impression d’être de la fantasy de gare. Vite lu vite oublié et sans plaisir.

Le 18/05/2015 à 09h 10

Faut croire que les développeurs se débrouillent mieux que l’écrivain :)



Après avoir lu les livres j’ai pris peur, du coup j’ai bloqué sur le jeu. Vais attendre que le titre soit en solde moi.

Le 13/05/2015 à 15h 08







Patch a écrit :



lawl <img data-src=" />

les successions sont très (trop) peu taxées, et il y a encore des gens pour s’en plaindre… fan de la France du m’hérite? perso je préfère la France du vrai travail (ou du capital-travail) que les fortunes héritées de papa/maman sans en glander une ;)





Le destin a voulu que j’hérite et les taxes + impôts dessus représentent 57% du total. Je ne sais pas trop comment ça se passe pour les très fortunés mais pour les autres ça fait beaucoup. Même si en soi je considère l’héritage comme un bonus et non comme un dû, ce qui fait que je suis plus surpris que râleur.



Il n’est pas rare qu’une personne vende l’immobilier hérité… pour pouvoir payer les droits de successions.

Cas extrême : un SDF qui hérite d’un hôtel particulier en plein centre du Paris touristique sera obliger de vendre. La pierre c’est peut-être une valeur sûre mais elle ne rapporte pas d’argent en tant que telle. Avoir un Hôtel à 1 milliard ne permet pas de payer les millions que l’on doit dessus.


Le 13/05/2015 à 15h 01

En France, c’est un mixe entre échelle/palier.



On a un taux pour un palier particulier et selon ton revenu, tu es imposé plus ou moins dans chaque palier. Si jamais des lecteurs peuvent infirmer ou confirmer mes dires, comme tout bon maudit colon on aime les calculs.

Le 13/05/2015 à 13h 59

C’est vrai qu’on a beaucoup de prélèvements en France et s’il est vrai qu’on peut se poser la question du bon emploi de certains, tout n’est pas à jeter à la poubelle.



La TVA n’est payée que sur ce que tu achètes et uniquement si tu es un client final. C’est la taxe la plus rémunératrice pour l’Etat mais aussi celle sur laquelle on a le plus de contrôle. Je me dis qu’on est capable de contrôler sa fréquence d’achat assez facilement.



Pour les impôts, je peux être mécontent de voir que mes sous vont payer les boîtes noires du renseignement mais content quand je vois que je peux aller à l’hôpital sans dépenser 2000€/jour pour la moindre opération.

Globalement, un séjour de 3 jours à l’hosto, c’est 3 années d’impôts que tu n’as pas à payer.



De manière générale, les impôts se calculent par tranche. Dire qu’on est imposé à 40% de nos revenus est un raccourci inexact.

&nbsp;

Exemple :

Je suis imposé à 20% sur la première tranche, 10% sur la deuxième et 10% sur la troisième.

La première tranche représente 50% de mes revenus, la deuxième et troisième le sont à hauteur de 25% chacun.

J’espère ne pas me tromper, mais l’imposition totale fait : 50%20% + 25%10% + 25%*10% = 15%



Les 40% deviennent 15% de mes revenus totaux. Pas tant que ça au final.

Si j’en crois les prévisions de cette année, mes impôts seront égaux à 6% de mes revenus. Pour un célibataire vivant seul chez lui, ça va.

&nbsp;

&nbsp;

Le 13/05/2015 à 10h 03

Un livre des années 80 plus édité : La Schismatrice.

Disponible à 50€ d’occasion en français… ou 2€50 en anglais (occasion). Le futur des lecteurs français passent par l’anglais :)

Le 12/05/2015 à 15h 00

“Bonjour, je créé une musique libre de droit, j’autorise sa diffusion mais pas sa commercialisation.”



Merci c’est cool, je vais récupérer de l’argent grâce à tes morceaux <img data-src=" />

Le 12/05/2015 à 14h 54

Jamais acheter de bouquin ? Oo



Perso, à l’aide de la FCPE, il s’agissait d’un prêt mais je dépensais quand même une certaine somme pour ce prêt.

Pour le prix du format numérique, je te rejoins. Je n’ai toujours pas trouvé une explication satisfaisante sur le prix du numérique équivalent au physique.

Le 12/05/2015 à 13h 04

En mettant de côté la problématique des applications adaptées au milieu scolaire, je vois déjà un avantage aux tablettes dans les écoles :

Le poids des cartables.



Un sujet récurrent pour la santé des mioches que les tablettes peuvent résoudre : une fois les manuelles scolaires numérisés, on stocke tout dans la tablette.

En cas de MAJ des programmes scolaires, on fait une MAJ de l’édition numérique.&nbsp;



Concernant le coût des tablettes :

Il est vrai que commander des iTruc me paraît surfait. Déjà parce que c’est cher, ensuite parce que c’est format propriétaire (contraire à la politique open source/data du gouvernement) alors même que des équivalents Androïd existent (et si on souhaite du FR, un partenariat avec Archos).



L’achat même de la tablette peut être amorti par le non-achat des livres (30€/livre, environ 10 par an = 300€ d’économisé). Mon calcul ne prend pas en compte l’achat des formats numériques mais on peut imaginer une aide financière comme il en existe déjà. Du coup on peut tomber à 100€ d’économie par an. Sur une scolarité en primaire, on finance la tablette.



Sans même parler de contenus interactifs, il y a déjà un avantage en terme de santé publique (moins de problème de dos) et en terme de dépenses.



Maintenant en intégrant la problématique des applications :

Je rejoins la frilosité des précédents commentaires. Entre la partie technique complétement buguée/non-compatible/pas à jour… , faut être vigilant.



&nbsp;Sur le principe même de l’interactivité, si c’est pour mettre des vidéos molles du genou et imbuvables (dédicace au cours de langue et les VHS sur la télé), non merci. Au moins avec la télé on pouvait dormir.



Par contre si ça permet de chercher les informations plus rapidement voir de chercher plus que ce qu’on demande, alors pourquoi pas.

Exemple : j’ai mon appli de cours d’histoire sur Napoléon. Dès que je lis un nom de personnage, je peux cliquer dessus pour avoir sa biographie. C’est pas nécessaire pour connaître son cours mais ça peut aider à la compréhension.

&nbsp;

Le 29/04/2015 à 08h 43

Il s’agissait d’un exposé dans le cadre d’un examen.

Du coup la seule copie existante est un power point qui doit être sur le PC de l’ami en question… S’il ne l’a pas supprimé.



Je crains de ne pouvoir assouvir ta curiosité :/ <img data-src=" />

Le 28/04/2015 à 15h 13

De manière indirecte, la vie humaine a bien un prix.



Dans la loi, chaque partie du corps correspond à un dédommagement chiffré (par exemple si on perd un bras, l’accusé doit remboursé une certaine somme correspondante au préjudice).



Et de manière encore plus indirecte, ta vie a une valeur égale à tes revenus puisque c’est ce qui te permet de vivre.



Un ami avait fait un exposé sur le coût d’un être humain, c’était marrant, d’un cynisme exquis.

Le 29/04/2015 à 08h 41

VRAI !



J’avais oublié ce détail. La sanction ciblant le fait de ne pas avoir suffisamment sécurisé la connexion, pas sûr qu’elle s’en serait sortie.



Si tu fais rien de méchant, un autre peut et tu prends.

Si tu es un dangereux hors-la-loi, tu peux ne jamais rien avoir.



Ca me rappelle pourquoi je n’aime pas cette loi.

Le 28/04/2015 à 15h 02

A mon avis, devant un juge qui a des preuves de la fraude, je m’imagine mal tergiverser pour noyer le poisson <img data-src=" />



Après je ne sais pas pourquoi ils ont continué à télécharger de la même façon.

Le 28/04/2015 à 07h 52

J’ai envie de dire que le juge a été correct pour le coup.



Je propose de monter une association dont le but sera de former les citoyens au téléchargement sécurisé.

Le 24/04/2015 à 14h 40

De mémoire, il parlait d’un système de DPI&nbsp; utile pour les fournisseurs de service pour connaître les mots-clés tapé par un humain lors de leur recherche. Histoire de proposer des services personnalisés.



Au final, en me lisant, je pense que j’ai du faire un mélange de ce que j’ai entendu.



Qu’un moteur de recherche se souvienne de ce qu’on a tapé me paraît indépendant d’un quelconque système DPI…. Du coup… Poker face !

Le 23/04/2015 à 14h 04







Khalev a écrit :



J’ai tiqué sur sa justification du DPI.



En gros on accuse l’état de faire du DPI en disant que pour retrouver les infos dont ils parlent il faut remonter au niveau 7 du modèle ISO et que par définition c’est du DPI.

Sa défense c’est de dire que selon certains le DPI commence au niveau 2 ou 3.



Mais là il ne fait que confirmer que l’état fait du DPI, voir même sur SDPI (Super deep packet inspection).



Bref, justification foireuse pour moi.





Il justifie le DPI en disant que les opérateurs le font déjà (ou des fournisseurs de services comme Google) pour faire de la publicité ciblée par exemple. Du coup, pourquoi ne pas le faire pour du renseignement (ben oui, ça existe déjà).



Dans son discours, il explique que les recherches de madame michut n’intéresseront jamais (je vous jure) les services. D’une part parce que les personnes à surveiller sont déjà identifiées, d’autre part parce que ça demanderait trop de boulot. Justification plausible mais non pérenne.



Déjà parce que les terroristes fichés ne sont qu’une partie des personnes à surveiller (on en revient aux 7 finalités). Il faut rajouter les fauteurs de troubles public (des militants terroristes ?), l’espionnage industriel (terroriste économique ?), … Du coup, il ne parle que de terrorisme pour justifier la surveillance en omettant le reste (pour ne pas débattre dessus ?).



Le fait d’aborder le trop plein de travail est plausible à l’heure actuelle mais demain ? Il s’agit d’une limitation technique et la technologie évolue, du coup la possibilité de voir de plus en plus de monde surveillé n’est pas impossible. Donc aucune pérennité concernant le fait de ne se restreindre qu’à un petits nombres de personnes.



&nbsp;


Le 23/04/2015 à 09h 02

Merci pour la précision <img data-src=" />



Le passage que j’ai bien aimé c’est quand le député parle des “7 couches” du modèle OSI. Faut s’accrocher pour comprendre.



En dehors de ce passage où un expert aurait pu mieux se faire comprendre, j’ai trouvé que le député détaillait bien son propos. J’ai noté quelques omissions volontaires, notamment sur “la surveillance boîte noire ne se fera que pour le terrorisme”.&nbsp; Propos repris par le journaliste. C’est oublié qu’il y a 7 finalités et pas uniquement le terrorisme.



Future méthode d’échange d’information :

Ouvrir un compte pour une solution de partage de document et s’échanger les infos via les documents.

Le terrorisme à l’heure du travail collaboratif.

Le 22/04/2015 à 18h 00

Les algorithmes sont encore plus ancien. Les romains avec leur parchemins codés (et certainement les chinois, les grecs et les égyptiens avant eux).



La question du cryptage des messages s’est posée dès qu’il a fallu protéger une communication importante.



N’étant pas historien en cryptage, je n’ai pas d’exemple avec source à l’appui.

Le 15/04/2015 à 09h 15

Le fameux copié/collé <img data-src=" />



J’attends de finir mon brouillon pour faire une réponse groupée à ces députés. En introduction : une réponse copiée/collée est une réponse qui ne s’assume pas.



44 en force on dirait <img data-src=" />

Le 14/04/2015 à 09h 02

Je l’ai fait aussi mais il ne m’a pas répondu. Il s’agit de Jean Marc-Ayrault. Je m’attendais à une réaction de sa part. N’en voyant aucune, j’ai fait un envoie groupé.

Le 14/04/2015 à 09h 01

En effet, mais ceux que je reçois appartiennent aussi à la personne qui me l’envoie et c’est sur ce point que j’ai besoin de l’autorisation de l’autre personne.

Le 13/04/2015 à 14h 58

C’est la deuxième fois que je contacte les députés. La première fois c’était… contre Hadopi.

Le 13/04/2015 à 14h 57

<img data-src=" />

Disons que par principe je tiens à respecter ce qu’ils considèrent comme une contrainte.



En résumé, la réponse des députés qui sont pour reprend l’argumentaire de Uovas. Là où j’ai été “choqué” c’est que les députés contre me font une réponse plus ou moins personnelle mais DIFFERENTES alors que ceux qui sont pour envoie un copier/coller.



Et pour moi ça donne l’impression qu’on ne s’assume pas.

Le 13/04/2015 à 14h 08







stephane.p a écrit :



C’est vraiment du grand n’importe quoi !



Je viens de contacter le député de ma circonscription pour lui demander son avis sur cette loi. Je suis impatient de lire sa réponse.





J’ai questionné les 577 députés concernant cette loi. Seuls 10 ont répondu dont 2 sont pour. Ces deux personnes m’ont envoyé la même réponse type (rédigé par le service com’ je suppose). Je ne peux pas transmettre cette réponse dans les commentaires sinon je tombe sous le coup de la loi… protégeant les données personnelles vu que je n’ai pas demandé leur avis pour divulgation. &nbsp;


Le 13/04/2015 à 14h 04

Encore plus vicieux <img data-src=" />



Ca fait très wombo combo à la Magic tout ça.



Le mois prochain, assister à la sortie de “Renseigne-toi si tu peux ! - The new way of Collecting Card Game”

Le 13/04/2015 à 13h 47

Si je comprends bien, il faudra une deuxième autorisation de la part d’un membre de l’exécutif pour surveiller un membre d’une profession protégée.



Pourquoi ne passe-t-on pas par un juge ? Les gouvernements passés ont montré qu’ils aimaient espionner les journalistes (l’affaire de fadettes,&nbsp; journaliste du Monde).



“Monsieur le Premier Ministre, on surveille un journaliste qui enquête sur vous, vous êtes d’accord ?”

Le 25/03/2015 à 14h 45

Merci d’avoir relevé mon erreur :S



&nbsp;

Le 25/03/2015 à 14h 06







Nozalys a écrit :



D’un autre côté quand je lis « Il est donc temps d’adapter la loi de 1881 à l’ère du numérique […] » je suis d’accord avec ça. Les lois sont faites pour s’adapter à l’époque, s’enrichir au fil du temps.

Sinon on continue de se trimballer des textes datant de Mathusalem aujourd’hui complètement désuets. Exemple bête mais concret : l’interdiction d’appeler son cochon Napoléon, ou l’interdiction pour les femmes de porter un pantalon (datant de 1800 et seulement effacée en 2013). Certes ces lois ne s’appliquent plus, ne servent plus à rien, mais elles restent écrites, faute de réactualisation.





Je suis d’accord sur le grand principe de réactualisation des lois dans le cas où la loi tombe en désuétude. Pour la loi de 1881, j’ai au contraire l’impression qu’elle est parfaitement d’actualité dans le sens où l’information sur internet… reste de l’information.



Pour le coup, toutes les lois relatives à la pénalisation d’un comportement punissable fonctionnent parfaitement. Suffit de passer par un juge, de monter un dossier, de prendre le risque que l’accusé se défende. Bref, tout un tas de trucs qui fait que l’on ait dans une société soucieuse de justice et d’équité.



Vu la tendance actuelle de tout faire pour zapper la case “Tribunal”, une “révision” de la loi n’inspire pas confiance. Sans juge pas de justice, sans justice pas d’équité puisqu’on accuse et pénalise dans le même temps sans possibilité de défense. L’exécutif concentre tous les pouvoirs mais où est donc Montesquieu ??


Le 25/03/2015 à 11h 00

Le pire c’est que le gouvernement et l’ensemble de la classe politique s’est indigné des agissements de la NSA envers le monde et ses propres ressortissants. Mais une fois passée la frontière culturelle, on s’indigne beaucoup moins.



Sous Sarkozy, la gauche s’était opposée au flicage généralisée, alerter son député, lui mettre la puce à l’oreille que non, le français ne se désintéresse pas de ce qui se passe dans son pays et même qu’il n’est pas d’accord.

Le 25/03/2015 à 10h 54







Nozalys a écrit :



Excellente idée, je crois que je vais suivre.





Je suis revenu bêtement au principe de base d’un député : il est le porte-parole des citoyens qu’il représente. La coïncidence fait qu’il s’agit de l’ancien premier ministre mais interroger son député en lui présentant un point de vue à minima construit (les “j’aime pas ta loi” ne fonctionnent pas) peut permettre à ce même député de faire valoir des arguments plausibles envers le gouvernement (pour peu qu’il soit convaincu du bien fondé de la démarche citoyenne).


Le 24/03/2015 à 10h 40

Hmmm, désolé pour le copier/coller depuis Word, ça fait de la merdouille :/

Le 24/03/2015 à 10h 39

Le courrier que je vais envoyer au député de ma circonscription (Jean-Marc Ayrault du coup) :







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Monsieur le Député,



&nbsp;



Sur les 577 députésque compte la France, vous êtes le premier que je contacte étant donné quej’habite votre circonscription (XXXXX).



&nbsp;Je vous écris au sujetdu projet de loi relatif au renseignement. En tant qu’informaticien, lesquestions législatives liées au numérique et à leur possible répercussion m’onttoujours intéressé et je souhaite faire connaître mon opinion à un représentantdu peuple.



&nbsp;Le but de ce projet deloi est de mettre à niveau les outils législatifs dont disposent les autoritésen regard des outils numériques utilisées par des personnes liées auterrorisme. Au vu du contexte international et national, il est vrai que lestechnologies d’internet sont exploitées à des fins malvenues (préparationd’attentat, promotion de la «&nbsp;guerre sainte&nbsp;», …). La création d’unprojet de loi en réponse à ces usages me paraît logique, c’est la directionprise par ce projet de loi et les possibles conséquences de cette loi (si elleest adoptée) qui me posent souci, notamment un point, le plus discuté dans lesjournaux&nbsp;: le principe de la boîte noire.



&nbsp;Boîte noire,définition du dictionnaire&nbsp;:





  1. Système quienregistre les conditions de trajet d’un appareil de locomotion afin de lesreconstituer en cas d’accident.



  2. Système qu’onutilise sans connaître la structure ni le fonctionnement internes



    &nbsp;Boîte noire, un termequi désigne l’obligation pour les fournisseurs d’accès internet (FAI) de mettreen place un outil d’inspection du flux internet passant par leurs routeurs ouautrement désigné par son frère anglais Deep Packet Inspection (DPI). Enrésumé, un outil capable d’enregistrer nos échanges de courriel, nosconversations par messagerie vocale ou instantanée, nos habitudes de navigationdont l’utilisation est classée secret défense dans le cadre du projet de loi.



    &nbsp;Que l’on mette enplace de nouveaux outils de surveillance ciblée, très bien mais cette boîtenoire à toutes les caractéristiques de la surveillance de masse. Et le fait quecette surveillance ne soit utilisée que pour le terrorisme par le biais d’unelimitation légale n’a rien de rassurant.



    &nbsp;Les lois changent etévoluent. Aujourd’hui on parle de terrorisme, demain de pédopornographie,après-demain de piratage informatique culturel et la semaine prochaine&nbsp;?Va-t-on appliquer cette surveillance au moindre sujet lié à internet&nbsp;?C’est-à-dire à des pans entiers de notre vie actuelle et à venir&nbsp;? Et toutcela sans juge donc sans justice.



    &nbsp;Je n’aurai plus laconscience tranquille en regardant des vidéos de chatons, le risque d’êtresurveillé pour pédo-zoo-pornographie m’en empêchera.



    &nbsp;La surveillance demasse est le contraire de la liberté individuelle que notre démocratie estcensée protéger. Avant d’entendre parler de ce projet de loi, j’avaisl’impression qu’il y avait ce souci de préserver cette liberté, une certainerigueur morale qui n’a plus lieu d’être dès que l’on parle de terrorisme et laliberté se fait souffler par une bombe. L’équipe de Charlie Hebdo a pourtantmontré que les libertés doivent être défendues. Qu’elle soit d’expression ou devie privée n’y change rien.



    &nbsp;C’est mon inquiétude quej’exprime, en tant que citoyen, et j’espère qu’elle sera entendue.



    &nbsp;A cette question dedémocratie, s’ajoute le défi technologique de la mise en place de cet outil etde sa vacuité.



    &nbsp;Les moyens desécurisation des échanges sont multiples (que ce soit pour les mails, lesmessageries instantanées ou pour notre navigation sur la toile), accessibles(il en existe des gratuits) et savent évoluer aussi vite voir plus que leslois.



    &nbsp;Le financement de lamise en place des différents outils de surveillance (accord avec les FAI, achatdes IMSI Catcher, développement et mise en place des keylogger, …) reste assezvague à l’heure actuelle mais certainement pas négligeable et pour un résultatnon assuré. L’utilisation du logiciel TOR (gratuit) suffit à réduirel’efficacité de la surveillance réseau, ai-je envie de payer pour une solutioninefficace et privative de liberté&nbsp;? Non.



    &nbsp;Monsieur le Député,j’aimerais connaître votre avis concernant ce projet de loi et les inquiétudesque j’exprime qui, je pense, ne concerne pas que ma personne mais l’ensembledes citoyens français.



    &nbsp;Je vous prie d’agréer,Monsieur le Député, l’expression de ma considération distinguée.

Le 24/03/2015 à 09h 25

IT’S A TRAP !!!

Le 23/03/2015 à 16h 13

Z’ont rien compris, tout le monde sait que c’est pas la musique qui rend sourd mais la mastur… QUOI ?? J’ENTENDS RIEN J’AI UNE BANANE DANS L’OREILLE !!!

Le 13/03/2015 à 14h 49

Joker ! <img data-src=" />



N’ayant pas eu les offres de “vente gratuite forcée” en tête au moment de mon commentaire et bien je ne sais que dire.

&nbsp;

&nbsp;Sur le moment j’ai pensé comme Zerdligham. Le cloud est désormais un argument marketing, faire payer une offre auparavant gratuite c’est difficile.



Mais faire payer MS et consort pour leur cloud… J’imagine la prise de tête. Avec le principe d’égalité devant la loi, le risque de toucher à nos “fleurons français” est présent aussi. Avec la petite cerise consistant à faire payer la RCP aux AD proposant une solution cloud.

Le 13/03/2015 à 14h 17







tazvld a écrit :



En faite, je me pose la question, même si ils sont impacté par la RCP, qu’est ce que vient foutre les industrielles et les Ayants droits dans l’histoire ? Pourquoi n’est ce pas une commissions représenté à grande majorité par les consommateurs ? Car au final, c’est eux qui crachent au bassiné et c’est eux qui (en théorie) aussi en profitent, non ?

Mais sinon, pour le dernier point, c’est pire que ça, c’est totalement inapplicable. Sur un service “gratuit”, il n’y a pas de facture, pas d’échange, comment vont-il contrôler ça ? De même sur quel critère il vont évalué le montant de la RCP ? est ce que tout les services se valent ? Car un cloud associé à un outils de bureautiques vaut-il autant qu’un cloud associé à un player ? Est ce que l’espace d’une boite mail peut-elle être assujettie à la RCP ?



Pire comment va être évaluer la taille du cloud ? Car justement, tout l’intérêt du cloud est justement de pouvoir allouer à la volé les besoin réels à chaque utilisateur. Donc même si virtuellement tu as XXGo de cloud, réellement tu n’as de réservé à cette instant qu’un espace qui correspond à ce que tu consommes (environ). Ainsi si pour une offre de 20Go de cloud et que le taux moyen d’espace utilisé est de 7Go, alors pour 100 personnes, il suffirait d’un disque dur de 1To pour être largement tranquille pour tous les héberger et non un disque dur de 2To.

Et qu’en est-il des offres illimités (qui reviendront ) ?





La participation des AD et des&nbsp; industriels me paraît fortement recommandé au contraire. Le principe de la RCP, c’est de trouver un compromis entre les différents acteurs (AD, industriels, consommateurs), interdire l’un de ces acteurs, c’est mettre en cause la légitimité de l’institution.



En dehors de la question de la RCP, en se plaçant dans un autre contexte, ne pas inviter une personne à une réunion qui le concerne sous prétexte qu’il est le rabat-joie de service n’est pas une position tenable.



A mon sens, c’est le nombre de sièges détenus par les AD qui posent problème. Comment faire accepter aux consommateurs de nouvelles règles défavorables pour eux quand le processus de vote semble à ce point faire peu de cas de leur avis ?



Quant à fermer l’institution, cela revient à bloquer le dialogue (déjà pas mirobolant mais au moins on discute).



Concernant le service gratuit, à la base c’est un contrat passé entre l’utilisateur et le prestataire de services qui définit la gratuité du service (les fameuses CGU entre autre). Une facture n’est rien d’autre qu’un contrat, de même que le ticket de caisse à la sortie d’un magasin. Il ne doit pas être difficile techniquement ou légalement de reporter le coût de la RCP pour un service gratuit. Par contre l’acceptation du changement par l’utilisateur, c’est là le point litigieux (d’où la présence de services commerciaux/marketings pour développer le suppositoire).



Pour évaluer la taille du cloud, une facturation au Go suffit. Et quand on achète un disque dur de 1 To, on paye pour 1 To, pas pour les 200 Go utilisés.


Le 11/03/2015 à 14h 30







FRANCKYIV a écrit :



Perso je suis plutôt déçu des news abonnés.



En effet, les 34 du temps, c’est pour parler de lois ou autres … ce qui personnellement ne m’intéresse que très peu … <img data-src=" />





C’est vrai que les lois n’est pas le sujet le plus digeste mais c’est aussi le sujet le plus prenant en terme d’analyse, d’où le fait de les mettre dans la formule abonnée, histoire de compenser en partie le travail d’étude réalisé.



Quant à l’intérêt d’informer les lecteurs des lois ou proposition de loi, c’est à mon sens primordial pour un site d’information. On peut être fan de numérique (jeux, musiques, cultures, autres …), au final, le cœur du système c’est la loi et l’utilisation qui en est faite, et par extension les possibilités offertes par le numérique (puisqu’une utilisation illégale du numérique est interdite par définition).



Si internet propose encore des espaces de libre usage, c’est bien parce que la personne lambda est au courant de certaines lois liberticides (ACTA et consort, pas encore votés mais toujours reformulés).


Le 10/03/2015 à 13h 32

La vosdroits.service-public.fr Service Public target="_blank">diffamation c’est un peu tout et n’importe quoi, raison pour laquelle on passe par un juge.



En appliquant de tels propos à un journal papier, ça donnerait quoi ?

“Les députés sont soumis à des articles diffamatoires dans les grands journaux quotidiens, je propose de les interdire de tirage sans passer par un juge.”



Ah mais non… liberté d’expression.

Le 09/03/2015 à 14h 29

Le reset des compétences ont fait partie de mes déceptions sur ce jeu.

En vrac, j’aoute :

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Un manque cruel de loot potable, dans D2 j’avais souvenir d’un équipement diversifié, là où D3 me propose la même masse à clou de qualité médiocre pendant 3 actes (on ajoute des dégâts de base pour varier). Le système de rubis était censé permettre une variation, j’avais plus l’impression de collectionner les objets en me disant qu’ils seront utiles plus tard et finalement les jeter parce que plus tard c’est trop tard, même en l’améliorant l’objet est dépassé.



L’impression de refaire les mêmes niveaux avec le même schéma (les mêmes boss au même moment, comme le forgeron). Le syndrome du “déjà-vu”.



Globalement, D3 n’est plus un jeu solo (en tout cas avant les patchs, après je ne sais pas), quand pour faire un donjon la technique c’est de courir plus vite que les monstres, le plaisir du poutrage de masse est vite passé. L’impression que sans coopération multijoueur point de salut n’a guère amélioré mon expérience de jeu.



Un mode de difficulté “nounours” pour le tout premier mode qui enlève tout challenge.



Le fait de ne pas pouvoir personnaliser les caractéristiques de son perso (si je me souviens bien, pas possible de bouger les fameuses Force, Endurance, …), une des bases du RPG.

Le 09/03/2015 à 14h 05

A l’époque de l’achat je me souvenais de mon mot de passe, j’ai joué à Diablo, rencontré une déception vis-à-vis du jeu qui m’a fait arrêter. Entre-temps j’ai pris l’habitude de cocher la case “se souvenir du mdp”.



Un jour, un ami m’assure que “tu vas voir, Blizzard a patché le jeu, il est plus équilibré, …” Toussa toussa. Pour tester je décide de me reconnecter et là… Bim ! Retour en arrière dans mes mails, Blizzard a désactivé mon compte par sécurité (une histoire de piratage à grande échelle). Pour résoudre l’affaire, rien de plus simple, vous vous connectez avec votre compte… Ah zut plus de mdp. Pas grave, pour retrouver votre mdp, renseignez nom/prénom + adresse mail. Ayant l’habitude de renseigner des nom/prénom bidons, impossible de me souvenir de l’orthographe exact. Donc impossible de retrouver un mdp tout autant que de prouver que le type habitant au 666 rue des abysses c’est bien moi.



Je me disais qu’en achetant un jeu physique, je pouvais me dispenser de renseigner les infos réelles concernant ma personne, que ça ferait comme Diablo 2 : j’ai une clé CD, je peux faire l’installation comme je veux, et le compte Battle.Net c’est juste pour dire “ouais c’est bon je peux jouer en réseau”. Et bien non.



L’expérience m’a appris à être plus prudent pour l’achat de mes jeux par la suite, il n’empêche que payer un jeux physique et ne pas pouvoir y jouer, j’ai peu apprécié. Sur steam j’ai le plaisir de pouvoir jouer en hors-ligne (pas tout le catalogue mais sur les jeux que je veux).







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Le 09/03/2015 à 09h 48

Merci pour l’info.



Bon par contre … Pas sûr que je puisse justifier que Bob Leponge (oui, à l’époque de Diablo 2 c’était mon compte fantaisiste) soit bien moi…

Le 06/03/2015 à 16h 13

Diablo 3, la connexion obligatoire tout ça …



Ayant utilisé mon vieux compte battle.net dont j’ai fini par oublier le mot de passe, quand mon compte a été désactivé, impossible de me souvenir de quoi que ce soit pour certifier que oui, le jeu et le pc sont bien de moi. Résultat, le jeu (support physique) acheté day one est une galette fort jolie mais injouable puisque impossible d’y jouer avec un autre compte.



M’enfin !

Le 09/03/2015 à 09h 57

Pas pu voir la vidéo en anglais, bloqué par les restrictions admin :). N’étant pas dans le domaine du commercial, un peu de vulgarisation m’aurait bien servi.



En soi, ça reste un coup 2-en-1 pour FB : régler un problème technico-fonctionnel + prouver sa fiabilité au monde de l’entreprise (comme montrer&nbsp; que tes 50 fans sont vraiment des fans). Une bonne chose de faite sans toucher aux CGU ou à “l’expérience utilisateur”.



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