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Idiogène

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4748 commentaires

Le 18/09/2020 à 09h 25

Une modélisation en 2 dimensions reste une modélisation…
En effet, la discrétisation de la concentration en umol/m2 du NO2 nous donne une “heat map”.



Les données brutes de cette heat map sont les paramètres de la modélisation. Paramètres essentiels à l’interprétation fine de ces images qui ne sont évidement pas visibles à l’œil nu. Donc après, soit tu maîtrises ces notions, soit tu en es encore à regarder les images de BD. :chinois:

Le 18/09/2020 à 05h 53

Montcuq n’est pas une généralité, je confirme.

Le 18/09/2020 à 05h 29

https://sioweb.ucsd.edu/programs/keelingcurve/



Les mesures confirment les modélisations, point barre.
D’autres remarques stupides à nous communiquer ?

Le 18/09/2020 à 05h 16


tmtisfree a dit:



C’est exactement cela, une coïncidence : en Allemagne, entre autres, le confinement a augmenté les niveaux : avant - après



Comme l’a dit le secrétaire d’état auprès du ministère des transports en Allemagne : “In my view, the issue of diesel driving bans is now finally off the table. Why the nitrogen oxide values ​​do not decrease despite the rapid decline in traffic raises questions that the responsible environmental authorities have to clarify.” . .


Tu viens de découvrir avec ce ministre que les masses d’air chaudes sont attirées par les masses d’air froides et brassent des molécules dans le milieu qu’est l’air. Mes félicitations pour la découverte de la convection thermique planétaire…



Si tu avais lus les notes de calcul ayant servies à modéliser cette représentation, tu aurais attentivement observé qu’à quantités égales, il y a bien eu un phénomène météorologique de convection. Indépendamment des forçages radiatifs que tu contestes.

Le 18/09/2020 à 09h 05


oursgris a dit:


les relais trams sont d’ailleurs tous dans la zone d’émissions il me semble.


L’article 1 du décret jargonne à ce sujet compte tenu de la baisse probable des émissions polluantes avant/après tramway.



Privatiser quoi, les départementales avec des citadines dernier cri ?
Mouais, ceci reste très spéculatif par les aides faramineuses distribuées à la filière automobile depuis quelques années.

Le 18/09/2020 à 06h 15


OB a dit:


Durant ce temps il est interdit de raccorder des abonnés, mais il est possible de leur faire signer un contrat en avance avec une date de pose à + 3 mois (subtilE:-) )


C’est la date de pose qui est subtile, pas la signature du contrat qui n’est qu’un subterfuge visant à traire les vaches avec la machine sans se salir les mains et au moment économique voulu. :windu:

Le 15/09/2020 à 06h 43

Perte de temps que tu vas répercuter sur le prix de l’opérateur qui n’a pas fibré…
Que l’accès exclusif soit non fondé légalement bien-sur qu’on est dans le graissage de patte, mais ce n’est pas interdit ça ! D’où mon conseil de les mettre dedans.

Le 15/09/2020 à 06h 17

Nop, pas d’exclusivité contractuelle, c’est illégal. Orange peut poser la fibre et le jour même tu peux t’abonner chez Free.



Les gens ont tendances à le penser parce qu’il y a une sorte d’exclusivité “technique”. Si Orange fibre l’immeuble et que Free se bouge pas le cul pour se brancher dessus et proposer ses offres à cette adresse précise par exemple, tu n’auras effectivement pas le choix (cas vécu), mais ça c’est généralement la faute de l’autre opérateur, pas de celui qui fibre.

Bull-shit pas forcément, il y a des engagements sur le mobile qui disent tous 3 ou 6 mois.
Pour les forfaits sans engagement le déverrouillage c’est immédiat.



Donc à raisonner comme des commerciaux… on peut à minima tenter l’argument d’incohérence auprès du conseiller en lui expliquant qu’un forfait fibre sans engagement peut se résilier le lendemain de l’installation pour un autre opérateur… l’exclusivité n’a pas que des inconvénients, comme par exemple une belle réduction sur le prix/mois durant la période de latence technique entre opérateurs.

Le 14/09/2020 à 16h 06

Un local à usager professionnel peut être déclaré n’avoir aucune ligne alors que les locaux (de l’immeuble) sont tous actifs par un réseau mutualisé.

Le 14/09/2020 à 15h 03

Locaux ne signifie pas “à usage habitation”. Les chiffres sont assez peu instructifs d’autant qu’il faudrait une méthodologie comparative exacte pour sortir du lot les mutualisations privées (bureaux).

Le 18/09/2020 à 04h 36


(reply:1824953:j34n-r0x0r)
On ne peut démontrer le rien. Donc non. :non:


Le tier exclu du commentaire initial est sa construction rhétorique !
Il (l’histrion) a omis comme d’habitude que l’ironie retombe toujours sur son auteur mais signifie pas que cela le rendrait plus malin.
C’est fascinant d’étudier empiriquement ce type de bêtise, on a toute la gamme d’erreurs qu’il est possible de commettre en se prenant au sérieux et sans assumer comme c’est souvent le cas avec la société des sources (même libres) un travail de vérification de l’adéquation entre l’idée et la chose, bref, la cohérence entre le fond et la forme.

Le 17/09/2020 à 21h 27

Pourquoi donc dans ces conditions optimales de “ décrire et discuter”, ma réponse ne trouve pas réponse ?
La prédiction des fermions par DIrac est empirique ou scientifique ? 3 ème fois…



Mis à part, jusque ici, démontrer ta totale non-maîtrise de références au fond par pure orgueil rhétorique et superfétatoire, il nous reste en effet l’argument d’autorité (pauvre Feynman et Dirac) qui comble de l’ironie, n’est pas toléré dans la méthode scientifique dont, il faut le rappeler, tu te revendiques à qui veut bien avoir la sottise de le croire.



Scolie : un oxymore qui n’existe pas est-il un fait empirique ? :fumer:

Le 17/09/2020 à 19h 21

Le ridicule ne tue pas.



Tu n’as pas lu la phrase en notant “données” et tu es partis sur une non-problématique foireuse entre “données” et “faits empiriques”. C’est très post-moderne comme discours…



Pour nous renvoyer, au final, à un cours de Feynman qui n’a aucun rapport avec l’épistémologie, sur lequel tu n’as pas souhaité me répondre quant à la pertinence de l’emploi de cette référence. Quoi qu’en effet, les données sont bien issues d’une méthodologie scientifique. Sinon ce sont des observations [de toute nature].



Je te repose donc ma question à laquelle le ridicule te fait sans doute honte par anticipation : la prédiction des fermions par DIrac est empirique ou scientifique ? Allo ?

Le 17/09/2020 à 18h 37


js2082 a dit:


Avec 3X plus de population, le Nigéria émet 4X moins de CO2 que la France.


Ce qui explique la conjoncture et parfois justifie les mesures “écologiques” non-appliquées à soi-même (états riches).

Le 17/09/2020 à 18h 32


tmtisfree a dit:


faits scientifiques » : cet oxymore issu de la sociologie postmoderne n’existe pas, n’a jamais existé et n’existera jamais.



Ce qui existe et qu’on utilise, ce sont des faits empiriques (comme des observations ou des expériences) qui corroborent, ou pas, une hypothèse, théorie, loi, etc. qu’on qualifiera de scientifique ou non-scientifique, respectivement.



Ces données pourraient ainsi aider à prendre des décisions sur la base de faits scientifiques.


Ces données : sujet
Pourraient : verbe
Scientifiques : adjectif qualificatif.



Je te laisse définir le COD…



Cela ne dit pas si les observations auront (on parle du futur) valeur de fait scientifique… les cours d’épistémologie c’est APRÈS le CM1 pour rappel…



Quant à convoquer Feynman… question simple : la prédiction des fermions par DIrac est empirique ou scientifique ?
Une construction intellectuelle mathématique est donc empirique ? :bravo:



Je te donne 120, tu as employé (mal certes) des mots plaisants à lire. :chinois:

Le 16/09/2020 à 09h 11

Même cas, Migration de Free vers SFR (31 Aout 2020), SFR n’as pas résilié mon ancien abonnement. C’est pas si isolé :D

L’arcep dit



L’abonné ne doit pas résilier le contrat qui le lie à l’opérateur qu’il souhaite quitter ; c’est le nouvel opérateur de son choix qui fait cette démarche à sa place dans le cadre de la mise en œuvre de sa demande de portabilité.



Donc si SFR n’accepte pas la demande portabilité, en effet, ils en font l’économie…. sympa de leur part. :cartonrouge:

Le 16/09/2020 à 08h 52

J’ai laissé de côté l’interopérabilité (elle aussi prévue hein) vu que dans l’exemple donné, le but de la manœuvre ne vise pas à rendre le système XBOX installable sur un PC (genre émulateur).

Le 16/09/2020 à 08h 50

Il y a trois textes…




  1. la constitution (droit de propriété…) => il n’est pas interdit de détruire sa propriété (pot de yaourt à la poubelle….) sauf loi contraire… donc ce qui n’est pas interdit est autorisé.

  2. l112-3 du cpi ( traduction, la reproduction ou l’adaptation), là c’est pour l’aspect bootloader résultant d’une modification

  3. l122-6-1 du cpi : La personne ayant le droit d’utiliser le logiciel peut sans l’autorisation de l’auteur observer, étudier ou tester le fonctionnement ou la sécurité de ce logiciel afin de déterminer les idées et principes qui sont à la base de n’importe quel élément du logiciel lorsqu’elle effectue toute opération de chargement, d’affichage, d’exécution, de transmission ou de stockage du logiciel qu’elle est en droit d’effectuer



Sinon bêtement…
L2321-4 du code de la Défense :
Pour les besoins de la sécurité des systèmes d’information, l’obligation prévue à l’article 40 du code de procédure pénale n’est pas applicable à l’égard d’une personne de bonne foi qui transmet à la seule autorité nationale de sécurité des systèmes d’information une information sur l’existence d’une vulnérabilité concernant la sécurité d’un système de traitement automatisé de données.

Le 15/09/2020 à 17h 02

On oblige personne à installer Linux. Je dis seulement qu’à partir du moment où je suis propriétaire d’une machine j’ai deux droits fondamentaux :




  • l’effacement complet de la copie du système installé

  • le décompilement du bootloader pour vérifier sa sûreté



Ces deux droits, personne ne peut les contester par voie légale, même pas techniquement avec des DRM…



L’interopérabilité peut être opposable, mais je doute que du monde s’y risque vu le coût de l’opération pour aboutir au mieux à une acceptation formellement légale du principe, au pire retomber sur les deux droits énoncés ci-avant.



Si ça doit faire tourner Doom l’UE ne contraint personne. Il y a seulement des recommandations.

Le 15/09/2020 à 08h 55


SebGF a dit:


Quant à la PS4, c’est un Unix basé sur BSD initialement créé avec la PS Vita et qui fait tourner depuis toutes les consoles Sony.


Ce qui ne justifie pas pour autant l’interdiction matérielle d’installer un linux dessus ou sur les PS3 qui étaient (sont encore même) bien pratiques pour faire des calculs parallèles à coût réduit.

Le 15/09/2020 à 08h 53


tazvld a dit:


Je pense que c’est ça (j’aurai pris l’exemple d’un Iphone et l’AppStore plutôt), mais je préfère la confirmation.


La xbox tourne sur windows 10. A partir du moment où la console équivaut à un PC je ne vois pas de problème à dire ok, on vous laisse tout après abonnement donc la jouissance complète de la machine… l’interopérabilité exclut peut-être le remboursement du système (qui n’est plus fait depuis les décisions rendues en ce sens) mais pas l’usage de la machine qui reste la propriété du client dans tous les cas.
D’un point de vue du consommateur l’argument est pas incohérent d’autant qu’ici c’est juste un windows moddé…

Le 15/09/2020 à 14h 03

Certes sur papier la réduction des émissions en continu (4g et avant) peut être intéressante. Le problème c’est qu’en pratique on n’a pas de protocole de mesure des ondes réfléchies, des intensités max en jeu et de la réaction des appareils entre eux (interférences).



Donc même si leur truc semble marcher, on n’a aucune mesure fiable pour dire comment les “ grids” vont se comporter dans un cas réel (hors plaines donc) avec par exemple des bardages métalliques devenus courants en ville par exemple.



Autrement dit, on accepte de revenir sur la notion de servitude électromagnétique avec la 5G et on ne fera avaler à personne qu’à des débits si importants, le fractionnement des émissions entraînerait une diminution des W par faisceau …



Bref, c’est loin d’être clair.

Le 15/09/2020 à 12h 15

L’innovation c’est une dette. L’invention par contre…

Le 15/09/2020 à 08h 44

« J’entends beaucoup de voix qui s’élèvent pour nous expliquer qu’il faudrait relever la complexité des problèmes contemporains en revenant à la lampe à huile… Je ne crois pas au modèle Amish et je ne crois pas que le modèle Amish permette de régler les défis de l’écologie contemporaine. »



En effet, ils [les amishs] n’en créent aucun.
Jacques II de Chabannes de La Palice est donc à la mode en 2020, j’ignorais.

Le 15/09/2020 à 12h 09

Si tu es heureux d’être une plante verte tant mieux. Tu en parleras à tes amis par télé-racine. :D

Le 15/09/2020 à 08h 41


tmtisfree a dit:


Il n’existe aucune preuve empirique que les énergies fossiles « nui(sen)t au climat », une formulation non-sensique alarmiste et exagérée (mais je me répète). Tout juste peut-on soutenir que leurs rejets pourraient avoir un (ou des) effet probablement non mesurable(s) à la concentration actuelle sur certain(s) paramètre(s) physique(s) de l’atmosphère (qui n’est pas le climat, loin s’en faut), alors que leurs bénéfices sont facilement observables et mesurables aussi bien pour l’Homme que sur son environnement (verdissement planétaire par ex.), on l’oublie trop souvent (cf courbes environnementales de Kuznets)…


Non, les mammifères ne pratiquent pas la photosynthèse. D’autres remarques ?
Si oui, prends s’il te plait 10 minutes, un tuyau, et enferme toi dans ta voiture avec le moteur au ralenti. Il faudrait idéalement que le tuyau soit branché sur les gaz d’échappement et remplisse ton habitacle hein, sinon l’expérience du bénéfice observable
ne sera pas complète. :non:

Le 14/09/2020 à 12h 03

Ce sont 2 sujets très différents : on peut très bien mettre en place des mécanismes pour préserver l’industrie tout en atteignant les objectifs climatiques qu’on s’est fixés. Ca se fera certainement pas sans douleur, mais c’est un choix politique de savoir qui assumera la charge de ces changements. Une chose est sûre : si on continue avec le système économique dépendant des énergies fossiles et qui nuit au climat, c’est notre prospérité à long terme qui est en jeu. Tout le monde est d’accord sur le fait que c’est ne rien faire qui aura les pires conséquences.


On peut pomper le CO2 avec des VMC géantes (industrie) et faire du Coca Cola (alimentaire), donc on devrait arrêter de vendre des laxatifs (pharmaceutique) afin de nous transformer en puits carbone (plantes).



:troll:



Scénario 2050. :stress:

Le 15/09/2020 à 09h 23

Les hypothèses de paternité sont toujours difficiles lorsqu’on parle de Vénus. :D

Le 15/09/2020 à 08h 48

Reste à savoir à quelle distance se situe la limite avec les eaux internationales pour les croire sur parole. :D

Le 15/09/2020 à 08h 32

Non.
Car si al tisse alors al capote… :D

Le 14/09/2020 à 11h 44

En magouilles et drahisons… la fibre est mince. :byebye:

Le 15/09/2020 à 08h 19


(quote:1823923:Idiogène)
L’Europe est surtout à la pointe des négociations entre mafias : quelle est donc la part de bénéfice nets des ayants droits tels que Apple ou Google (il y en a d’autres) sur les brevets logiciels ?


Jusqu’à nouvel ordre les brevets logiciels ne sont pas valides au sein de l’Union Européenne.




(quote:1823923:Idiogène)
La mafia napolitaine est plus honnête que ces entreprises on dirait. Et elle, au moins, elle imprime !


Par contre, rien à redire à ça :)



Il suffit de regarder le nombre d’œuvres originales qui sont sorties récemment, inspirées du Petit Prince, et qui n’attendaient que l’entrée de cette histoire dans le domaine public !



Dans le même ordre d’idée, j’ai du mal à voir en quoi le fait que le Boléro de Ravel ne soit pas dans le domaine public aide Ravel à créer d’autres œuvres… ça doit être trop subtil pour moi.

Ce qui explique les taux d’imposition très bas et les polémiques fiscales…. hors, par ordre de grandeur, on sait tous qui de la tech ou la culture va remporter la mise. Aussi le refus des brevets logiciels est en pratique absent à tous les étages.

Lorsque deux marchands d’armes se font la guerre, ils ne sont jamais à court de munitions, ou plutôt de pigeons à tondre dans le cas présent !



Le problème de Ravel ou tout autre compositeur dont les partitions seraient dans le domaine public, c’est qu’il faut impérativement financer la partie vivante de l’œuvre : son interprétation. Donc l’aide apporté n’est pas inutile, le droit voisin a une utilité non discutable dans certains cas.



Les problèmes actuels et très nouveaux viennent de cette guerre économique asymétrique entre (droits) voisins… Un peu comme si le résident du premier étage (le groupe culturel) en voulait au second (le groupe tech) car il voit tous les jours passer ses clients devant sa porte dans le pallier. La hiérarchie est réversible mais l’économie en donnera toujours une pour ne pas se soucier des auteurs et reporter la responsabilité de la gestion sur untel ou untel…. c’est d’un pathétique. :fumer:

Le 14/09/2020 à 08h 05

C’est Jamendo qui s’est foutu dedans. Ils pouvaient aussi montrer qu’ils ne sont en rien producteurs mais diffuseurs et démontrer ainsi la sortie du champ d’application de l’unique article sur lequel ils ont été sommés de participer au racket.
Enfin l’état a perdu son savoir faire procédural (c’est l’époque) de contraindre la SACEM à rechercher les auteurs pour leur envoyer leur chèque. Comme la CAF sait le faire.

Le 14/09/2020 à 18h 37

Tu te tords le cerveau dans le vide, tout ce que tu évoques déjà.




(quote:1824190:Idiogène)
Le rapport c’est qu’à court terme le geforce now c’est du du présent.
Le RT sur mobile ne décollera pas en pratique (pour tous) sans leur techno + un cloud (ou d’autre boite) qui lisse le fameux volume qui est inatteignable avec un prix de soc haut-de-gamme.


GeForce Now fonctionne déjà sur ARM + x86 (Android, ChromeOS, macOS, Windows). Je ne vois pas ce qu’ils apporteraient au RT mobile, le souci du RT pour un usage réel c’est principalement une question de puissance de calcul (impensable sur mobile).

Avoir des droits économiques sur le développement d’ARM permet sur le moyen terme d’influencer les choix techniques pour favoriser les autres composants de la marque déjà. En comparaison de la concurrence ils auront le même effet (2ans d’avance) que le RT PC sur geforce sans trop spéculer. Je ne suis pas au fait de tout ce qu’ils prévoient techniquement comme chacun, mais cette slide le suggère clairement, onglet client…

Le 14/09/2020 à 15h 33

Le rapport c’est qu’à court terme le geforce now c’est du du présent.
Le RT sur mobile ne décollera pas en pratique (pour tous) sans leur techno + un cloud (ou d’autre boite) qui lisse le fameux volume qui est inatteignable avec un prix de soc haut-de-gamme.

Le 14/09/2020 à 14h 53


tazvld a dit:


Je vois mal attirer des joueurs PC en leur disant qu’ils peuvent dire adieu à leur bibliothèque Steam ou à des scientifiques qu’ils pourront certes mieux faire fonctionner 1 logiciel, mais tous les autres, c’est mort ou de manière bancal.


Sinon attirer les joueurs mobile vers le PC.




David_L a dit:


Mais pourquoi NVIDIA irait demander à ses clients de passer à ARM sur le marché du gaming ?


Même réponse.



C’est la seule réponse économique facile qu’ils pourraient donner. Soit un marché grandissant de joueurs sur android ou IOS, avec de l’ARM déjà là… en gros faire comme si les graphismes mobiles devenaient une raison de plus d’aller acheter du ray-tracing…

Le 14/09/2020 à 11h 57

Cela me parait difficile de justifier l’achat d’un ARM pas aussi performant qu’un X86*64 optimisé depuis 30ans et de tout reporter sur la CG. Même avec des logiciels portés qui vont donc chier sur des fonctions supplémentaires que ne reproduit pas toujours ARM. Après avec 40 milliards il y a de quoi faire des trucs, c’est certain. :D

Le 14/09/2020 à 09h 25

Je ne vois pas trop le rapport. Le commentaire pourrait être pertinent si Intel cherchait à racheter ARM, mais NVIDIA n’est pas présent sur le CPU et a plutôt intérêt à avoir des alternatives x86 les plus compétitives possibles.

Cuda est déjà une alternative. :D

Le 14/09/2020 à 14h 39

Triple non dans ce cas.

Le 14/09/2020 à 13h 37

Je ne t’apprends rien alors :
https://www.pourlascience.fr/sd/physique/lunivers-un-monstre-informatique-1582.php




C’est une bien piètre défense/justification. Cacher son idéologie rouge derrière un écran de fumée vert ne trompe personne une fois que tu grattes le vernis.


Qui perd gagne. Un système utopique comme l’économie de marché numérisée a suffit a démontrer qu’on pouvait en effet faire croire à l’ensemble des crétins dans ton genre qu’en mangeant de la soupe atomique de faible voltage derrière un ordinateur la valeur devenait infinie… c’est le même problème avec les gosses : ils ne comptent jamais jusqu’à 1000, pourtant ils savent compter…



Sur les composés de synthèse, tes molécules, elles proviennent de quelles matières premières ? Et combien de kw/h/tonne doit être injectée pour faire ton steak ?



Je veux bien croire qu’un moteur alternatif va vite à 90% d’efficacité contre à peine 20% pour une côte de bœuf mais dans ce cas à quoi bon construire des machines dont le rendement global sera peut-être inférieur à 5% ? (ce qui soit en dit en passant, produit des externalités négatives que l’économie n’aime pas…)



Enfin il est montré historiquement que c’est dans des labos publics que l’informatique appliquée est née. Sans compter ce qu’en a fait l’armée. Mais il n’y a pas QUE le public qui a financé.



Ce qui justifie la politisation de la science c’est la science appliquée. A l’inverse ce serait comme dire que la politisation de la musique doit concerner le luthier… mais hélas c’est le cas après quelques siècles de “progrès” convergents.

Le 14/09/2020 à 11h 24

Grosso modo je te répondrais que tu commets la même erreur que tes repoussoirs d’économistes survivalistes : c’est en se plaçant en dehors du monde (découplage) qu’il apparaît manquant. :chinois:

Le 14/09/2020 à 11h 22


tmtisfree a dit:


C’est une observation. La seule question à se poser est : est-ce vrai ? Tout le reste n’est que baratin…


Le découplage a une entropie comme le reste… cela ne suffit donc pas à démontrer la vacuité de ce pseudo concept ?




Je constate des effets notables de distorsion historique (pour ne pas dire révisionniste) dans ce §… . .


Je ne fais que rendre à césar ce qui appartient à césar. :mdr:
Le marxisme est écologique dans la mesure où l’interaction homo-technique est dépendante des pouvoirs économiques qui tantôt la valorisent, ou tantôt la répriment. Tu le montres même après :




J’ai peut-être mal expliqué : tu n’as plus besoin de la « destinée collective d’intermédiaires de la filière du blé » si ta machine synthétise du pain à la demande à partir d’ingrédients triviaux qu’elle aura elle-même récupéré/fabriqué. Le truc à comprendre, c’est que toutes les sociétés et institutions se sont établies sur la base de la nécessité économique de la survie : supprime cette épée de Damoclès et toutes les constructions soci(ét)ales tombent d’elles-mêmes puisqu’elles n’ont plus de raison d’être : le grand rêve marxiste sans une goutte de sang versé.



Qui dit mieux pour renverser les institutions et remettre l’individu au centre ? . .


Ce n’est pas matériellement possible. Tout au plus le masque technologique en donne l’illusion. Même principe que les pots catalytiques ou autre invention à base de synthèse moléculaire. Jusqu’à me démontrer l’absence d’entropie, la finitude est toujours déductible (par raisonnement) dans les process que tu imagines.




C’est une évidence quand le financement est public. Cela dit je ne vise pas les scientifiques mais ceux qui se servent d’eux en dévoyant leur travail pour leurs objectifs politico-idéologiques ou qui les embauchent comme activistes : ceux-là méritent notre mépris.


L’antériorité des licences MIT nécessaires à l’écriture de ton commentaire suffisent à démontrer que c’est partiellement vrai, pour ne pas dire faux depuis quelques années déjà.
Après, les domaines de la recherche appliquée avec conditionnements de budget c’est une autre affaire bien que le fond d’omnipotents reste…. :transpi:

Le 14/09/2020 à 09h 03


tmtisfree a dit:


Le découplage est un constat neutre découvert a posteriori qui indique que la valeur de la Nature tend à s’annuler : elle (nous) devient inutile. Globalement la valeur soci(ét)ale des « matières issues de l’environnement » est en fait très faible : par ex. le blé ne représente que quelques % du prix (sa valeur en première approximation) du pain, mais on peut généraliser sans peine. Malthus s’est trompé. Ce que représente la valeur est essentiellement subjectif, ce qui est difficile (mais pas impossible) à déterminer économiquement…


C’est un jugement de valeur comme tout ce qui se rapporte à l’économie de manière générale. La neutralité apparente de l’économie se détermine par l’adhésion des acteurs économiques à un consensus valant neutralité axiologique.
Tout au plus l’économie est une science sociale dépendante des sociétés et non l’inverse. Quant à la valeur de la nature… elle est neutre dans la mesure où ce découplage n’est qu’un artifice pédagogique.




Si tu fais allusion à la révolution industrielle, elle ne provient pas évidemment pas d’une « volonté politique », une idée qui s’apparente à du révisionnisme. En fait dans l’économique, ~la volonté politique est fatalement destructrice quasi par définition. Et je ne vois pas le rapport avec « l’humanisme »…


La révolution industrielle provient des mêmes tenants et aboutissants que ceux de la renaissance durant laquelle le fait du prince était soutenu par un milieu d’intellectuels et d’ingénieurs.
Elle a cependant été déterminée par son rapport étroit au contexte environnemental après, ce qui a conduit à politiser la question par l’apparition du communisme en réaction légitime d’un pouvoir qui en plus d’être symbolique, devenait écologique.




Tu m’as mal lu : il ne sont pas « libérés du capitalisme », au contraire ils l’embrassent à titre individuel plutôt que comme idée collective (marxiste). Il n’est pas question de « surplus » : des « machines » intelligentes, autonomes, avec des possibilités d’autoréplication sont un changement de paradigme majeur pour les individus qui ne dépendent alors (presque) plus économiquement (et donc politiquement) de la société. C’est l’équivalent d’un nouvel affranchissement, mais qui n’est en fait que la banale continuation de la trajectoire historique humaine…


Oui, mais cela n’empêche pas qu’il faut une destinée collective d’intermédiaires de la filière du blé pour qu’un consommateur se sente (à raison !) affranchi du contexte de production (possession de terres…)




C’est une affirmation pas assez spécifique pour convaincre (« choses vraies »). Pour ma part, je ne vois aucune justification raisonnable à vouloir politiser la science et dévoyer un tel outil pour de bas motifs d’opportunisme personnel et/ou d’idéologies rétrogrades : cela n’aboutira à rien de bon. La mouvance verte actuelle ressemble plus à un culte qu’à autre chose.


La science est déjà politisée, elle l’a toujours été pour une raison de survie évidente du scientifique. Il en reste des traces tangibles comme l’astrologie (la parade pour flatter le prince…).

Le 14/09/2020 à 06h 36


OB a dit:



Ben je suis assez d’accord avec tout ça. La question reste de savoir ce qu’on veux. Si on s’en fout que dans 450.000 ans les crabes aient pris la place de l’humanité aujourd’hui , bah nickel - on peux claquer toute les ressources, polluer tout,… Le problème c’est la vitesse : En quelques génération il deviendra difficile de vivre “agréablement” sur la planète (déjà que pour 90% de l’humanité, cette définition serait très ironique) sans une assistance à base de clim & de chauffage. Bien sur avec le temps l’espèce s’adaptera, ou s’éliminera. C’est juste qu’en tant qu’humain on a du mal à accepter que nos enfants aient une vie plus pourrie que la notre (alors que ça arrive tout le temps dans le règne animal en général) , c’est une question de “morale” .


On sait que dans 4 milliards d’années le soleil n’aura plus de jus… on sait aussi par Darwin que la cinématique est suffisante pour évoluer, muter… en fait tant que le goût de la soupe de crabe ne change pas vite, il ne se passera rien.

Le 14/09/2020 à 06h 21


tmtisfree a dit:


Les métriques appropriées indiquent que l’état de l’environnement et le statut de l’Homme sont bien meilleurs que dans le passé : de fait, plus l’Homme voit son statut s’améliorer, plus il a les moyens de faire attention à son environnement. Une observation qui trompe tous les décroissantistes et autres collapsologues. https://www.gapminder.org/ignorance/ https://www.amazon.fr/Improving-State-World-Healthier-Comfortable/dp/1930865988 . .


C’est l’idée oui.

Le 14/09/2020 à 06h 17


tmtisfree a dit:


Un truisme qu’il est bon de rappeler…



C’est pourtant le miracle que l’économie de marché réalise tous les jours : la « matière » limitée inutilisable est transformée par l’ingéniosité humaine en ressources utilisables illimitées. De plus, les économies occidentales ont commencé à se découpler de la Nature au début des années 1970, ce que les technologies numériques ont largement intensifié depuis même si cet état de fait n’est pas mesuré par les indicateurs économiques. En fait on peut dire que la trajectoire de l’économie contribue à rendre la Nature inutile ! Quand le prix de la « matière » n’est plus économique, elle est remplacée par autre chose de moins onéreux (et souvent meilleur), et/ou les process sont adaptés pour en consommer moins voire plus du tout, etc. Seuls des escrolos peuvent affirmer sans broncher que des pénuries totales (dont il n’existe aucun exemple historique) guettent dans un Univers de 15 milliards d’année-lumière de diamètre ! . .


Le découplage ne sert à rien… la création de valeur (le bon concept…) a toujours été indexée sur des matières issues de l’environnement, ou des ressources dont les principes en sont issus, corps humain y compris…. Lorsque je dis qu’on a produit une technologie, en europe, procédant de l’environnement, c’est une volonté politique qui a montré un certain succès et qu’on résume comme “humanisme”.



Dans ton scénario de double rôle des consommateurs-producteurs libérés du capitalisme par un surplus de machines efficientes, moi j’appelle cela un bordel à raison de l’imprécision historique due à la comparaison des époques forcément incertaine… en gros rien ne pose que la féodalité n’ait aucune utilité environnementale, sinon on en s’en serait passés.



C’est comme pour l’écologie politique, il y a des choses vraies, d’autres strictement restreintes au champ politiques par mesure de conservation du débat public quant on (l’espèce, le simple individu du groupe) ne peut faire autrement (par étude des moyens) que d’opposer une proto-thèse à une autre.

Le 13/09/2020 à 10h 23

Les forces de l’esprit ?

Le 13/09/2020 à 10h 15


(reply:1823909:j34n-r0x0r)
C’est l’an 2000, laisses les s’émerveiller du flou dans la caverne*… :prof: :D


*pour simplifier

Le 13/09/2020 à 10h 11

Le titre de la brève est trompeur, en effet… :transpi:

Le 13/09/2020 à 10h 00

Dur à battre sur le moment… tu le dis toi-même : après les prix du marché changent.
Les ODR c’est surtout une vaste épreuve de communication pour vendre à plusieurs la même camelote courante sans bénéficier de réduction sur les (rares) innovations. Ce sont les magasins qui y gagnent en CSG et le pseudo Tiers Monde qui y perd en santé.