votre avatar

anonyme_f6b62d162990fde261db0e0ba2db118e

est avec nous depuis le 3 février 2016 ❤️

707 commentaires

Le 02/11/2018 à 10h 41







Jaskier a écrit :



C’est simple, je connais un commerçant qui l’a fait pendant des années, et ça l’a juste écoeuré. Pendant un moment, il passait plus de temps à gérer les colis, qu’à faire son métier de commerçant, et tout ça, en subissant les gens qui n’ont plus aucun respect envers le commerçant qui leur donne le colis, ou qui doit gérer les renvois, et des gens qui se ramènent avec leur box dans un simple sachet plastique, j’en ai vu pas mal…





Il y a un vendeur de vapote près de chez moi qui est devenu un relais avec option vapote <img data-src=" />

Le magasin est rempli d’étagères avec des colis partout, de plusieurs transporteurs. Y’a une file de gens. Et deux petites vitrines qui gardent le commerce d’origine.

Je sais pas s’il s’y retrouve, mais en tout cas ça doit faire un gros % de son chiffre. (reste à connaître le chiffre)


Le 02/11/2018 à 10h 37







Trit’ a écrit :



Sinon, que les commerces « menacés » se mettent aussi à proposer de vendre leurs produits en ligne, non, ça viendrait même pas à l’idée (qui pour une fois ne serait pas d’une stupidité contre-productive affligeante) ???





Un des problèmes c’est que les commerces qui disparaissent et sont importants ne sont pas forcément ceux qui sont concurrencés, je crois. Les centres ville qui meurent vraiment perdent la boulangerie, la presse, la pharmacie, le boucher, ce genre de boutiques qui ne vont pas se mettre à livrer. (ou alors ce sont les services itinérants qui existent depuis longtemps dans les campagnes)



Et le petit commerçant n’a pas les moyens de mettre en place une solution en ligne (site + paiement), puis de livrer pour 0,01€.



Etant en Ile de France je peux facilement faire l’effort de me bouger le cul pour les livres, la nourriture, les vêtements… Reste que certains biens (électronique par exemple, certains disques…) ne sont réellement dispos qu’en ligne, et que taxés ou pas, même à 100%, il n’y a pas (plus) le choix.


Le 02/11/2018 à 10h 02

Je suis tout à fait pour défendre les centre-villes/commerce de proximité, mais là c’est quand même caricatural… Une espère d’impôt de niche mal calibré, à l’efficacité douteuse…



Cela dit il y a une exception, les relais colis/poste, qui me parait bien vue, car c’est un mode à encourager, à mon avis. Mais ça ne suffit pas à rendre ce machin intéressant.

Le 30/10/2018 à 15h 46

Ouais, beau combat et bon courage.



“Open”, quand on met autant d’obstacles plus ou moins artificiels sur le chemin, ça sonne bizarre <img data-src=" />

Le 10/10/2018 à 16h 13







Cumbalero a écrit :



Tu fais bien de parler des centres de télétravail, car à distance, c’est pas forcément chez soi.



(…)open space (quelle horreur !),

&nbsp;







Cumbalero a écrit :



Quant à dépenser des centaines d’euros chaque mois juste pour aller bosser…





Pour relativiser, certains centres de télétravail sont aussi bruyants qu’un open space, et coûtent des centaines d’euros chaque mois.



Il faudrait pas que le télétravail se finisse en un entassement de gens payant pour travailler dans des conditions de poules en cage <img data-src=" />


Le 10/10/2018 à 12h 52







AltreX a écrit :







tpeg5stan a écrit :





Oui, un ou deux jours par semaine ça peut être bien. Avec une tâche bien précise pour ce jour par exemple c’est plus facile.



J’ai bossé un peu en espace de co-working et il y avait pas mal d’indépendants qui venaient, alors qu’ils pouvaient en principe bosser chez eux. Une sorte de discipline et de volonté de socialisation, mais aussi la rupture boulot/perso plus facile…?



Mais c’est vraiment selon chacun, je connais des gens hyper productifs chez eux…

Reste que ça ne concerne pas tout le monde, il y a quand même pas mal d’emplois non télétravaillables.


Le 10/10/2018 à 11h 42







Jonathan Livingston a écrit :



Puisqu’ils reconnaissent eux-mêmes que le télétravail permet « aux entreprises de réaliser des gains de productivités significatifs », il n’y a pas besoin d’ajouter encore des subventions et exonérations.





Pas faux <img data-src=" />



Moi j’aime pas le télétravail, si je reste chez moi je suis improductif. Et en plus je trouve qu’on communique plus vite en face à face que par Hangout… Mais c’est vrai qu’il faudrait que ça se développe un peu plus pour ceux qui s’y plaisent.


Le 09/10/2018 à 12h 32







Radithor a écrit :



oui, la neutralité du net n’est pas négociable : soit on fournit un accès à internet (“gratuit” ou facturé), soit on fournit un service spécifique inclus dans une prestation quelconque.





Je ne sais pas s’ils ont modifié leur présentation après les réactions, mais là par exemple ils ne parlent d’internet qu’à partir de la deuxième offre:&nbsp;

&nbsphttps://corporate.airfrance.com/fr/actualite/air-france-lance-sa-nouvelle-offre-…



Moralement (ou ethiquement) c’est peut-être naze ou discutable, mais légalement ça va être chaud à attaquer non?


Le 08/10/2018 à 22h 15







Radithor a écrit :



&nbsp;



   Quel contrôle ? L'Etat ne contrôle justement plus rien économiquement. C'est bien ce que vous reprochez au capitalisme actuel, si je ne me trompe pas.&nbsp;





Vous vous trompez. Je reproche à beaucoup de demander le libéralisme économique tout en pensant qu’il peut être régulé. Diriger tout en se déresponsabilisant.

Exemple flagrant: libéraliser les telecoms et vouloir une couverture de tout le territoire. Quand l’état est en monopole sur un secteur, il peut mener, à son rythme, une politique nationale. Quand il n’est que le législateur, toutes les décisions doivent faire l’objet d’une loi… (Ou d’une charte de bonne conduite <img data-src=" /> )



Là on est train de débattre de l’interdiction de donner un accès facebook! A vouloir moraliser une économie déchaînée, on en arrive à des décisions caricaturales.



Et en parlant de l’eau, trouvez vous normal que tout le monde ne la paye pas le même prix? L’accès à l’eau potable n’est-il pas un droit encore plus fondamental que la neutralité du net?


Le 08/10/2018 à 20h 53







Patch a écrit :



Les commerciaux le font déjà. On a la preuve ici.





Les gens préfèrent la gratuité à payer leur journal -&gt; ils ont choisi -&gt; les commerciaux ont le pouvoir.







Soriatane a écrit :



C’est très économique l’esclavage, pourtant il a été aboli.

La dictature aussi est économique, on s’évite un parlement qui coûte plusieurs millions.



Es-ce un vrai choix quand on choisit entre la peste et le choléra?





Heu… Rien à voir, comprends pas? Le libéralisme économique c’est la peste et les libertés fondamentales le choléra? Pour toi on peut concilier esclavage, dictature et libertés individuelles???


Le 08/10/2018 à 20h 21







OB a écrit :



&nbsp;

Il y a des précédents.



Eiffage ne peux pas faire des prix moins cher aux véhicules Renault, en échange d’une rétribution de Renault (qui pourrait ainsi utiliser ce prix moins cher au péage comme argument commercial).



 &nbsp;







Dans le cas d’une délégation de service public on peut forcément poser plus de contraintes.&nbsp;

&nbsp;

( Mais encore une fois, je trouve qu’on cherche tout et son contraire, en privatisant les autoroutes et bientôt les aéroports ou les ports, tout en voulant garder un contrôle dessus. )

&nbsp;





Patch a écrit :



Et donc autant ne jamais rien faire, puisque ca s’écraserait contre la réalité. CQFD…





Je crois qu’il faut que tu relises une 30ème fois ce que j’écris.&nbsp;&nbsp;

Notamment : “Je trouve qu’on a toujours le cul entre deux chaises à souhaiter un libéralisme équilibré.&nbsp;(en fait le souhaiter pourquoi pas, mais y croire…)”



&nbsp;Exemple assez caricatural: Free, l’opérateur qui a libéré le net, nous a amené baisses de prix et enfin! une concurrence saine. Et qui est le premier visé à propos de la neutralité du net.

&nbsp;

&nbsp;Ne rien faire? Sûrement pas. Mais de mon point de vue la première action c’est de choisir.


Le 08/10/2018 à 16h 14







Radithor a écrit :



L’économie n’est pas tout dans la vie sociale (quelque soit la théorie économique qui tend à s’appliquer dans la Société).





&nbsp;Je suis bien d’accord.





Radithor a écrit :



Il y a des principes fondamentaux qui autorisent les individus à avoir des droits. En tout cas, on peut être pour la liberté économique et être pour la liberté d’expression.





Ces principes fondamentaux ne sont (malheureusement) rien face aux financiers et industriels. Il n’y a qu’à voir en ce moment en France, comme le seul indicateur retenu pour une décision politique est… la croissance. L’environnement par exemple n’a aucun poids face à elle.



Etre pour la liberté économique et pour la liberté d’expression, c’est très joli mais…





Radithor a écrit :



&nbsp;Par exemple, un individu peut être propriétaire d’un journal ou d’un magazine, mais il ne peut pas dicter à un journaliste ou à une rédaction ce qu’il/elle doit écrire. Mais ça reste des principes (ce ne sont pas des règles, et encore moins des faits réels).





&nbsp;…voilà. Les belles paroles s’écrasent contre la réalité. A tel point qu’actuellement se sont les commerciaux qui choisissent les sujets dans les magazines, et que les acteurs du “brand content” sont en train de finir leur conquête de l’ensemble de la presse papier (à de petites exceptions près).

Ca ne me fait pas plaisir, mais aucun milieu n’échappe à ça, et se battre pour qu’AF ne puisse pas choisir son offre d’accès ça me parait tellement décalé avec la vie quotidienne…

&nbsp;

Et comme je le dis, libre aux voyageurs de prendre une autre compagnie, faites jouer la concurrence, c’est notre liberté!



(de toute façon y-a-t-il encore des personnes responsables qui prennent l’avion, après le nouveau rapport du GIEC?)


Le 08/10/2018 à 15h 10







Patch a écrit :



Et j’en comprends toujours la même chose.





Ok toi tu comprends mais vu que moi je comprends pas c’est à toi d’expliquer.

A chaque fois que je dis que c’est absurde de vouloir imposer une morale dans un contexte libéral, tu réponds “oui mais c’est très important”.&nbsp; En quoi les enjeux sont-ils capables de dépasser l’économie de marché?


Le 08/10/2018 à 14h 52







Patch a écrit :



Si pour toi Internet se limite à des vidéos de chat, je comprends pquoi pour toi cet accès limité à certains est parfaitement normal.





Relis encore, je ne me prononce pas sur l’importance de la neutralité du net ou pas. Je parle de son application.


Le 08/10/2018 à 14h 42







Patch a écrit :



Tu n’as pas l’air d’avoir compris les enjeux de la neutralité du net…





Je ne discute pas des enjeux. Je parle du réalisme de son existence et de sa cohérence dans le système économique.



On vit quand même dans un monde où on a réussi à privatiser l’accès à l’eau potable. Alors les vidéos de chat…


Le 08/10/2018 à 14h 14







Radithor a écrit :



&nbsp;On parle de neutralité du net, on ne parle pas de pluralité de la presse.





Oui, mais j’ai du mal (depuis le début) à croire à cette neutralité qui pourrait s’appliquer au net alors qu’elle ne s’applique nulle part ailleurs.

Et AF ne fournit pas un accès “au net”, mais un accès à FB, Whatsapp et Wechat, en quoi ça concerne le net?



Je suis partisan du monopole d’état en termes de télécommunications. Avec, du coup, des règles et des lois contrôlables par les citoyens.&nbsp; Mais les électeurs/consommateurs ont choisi le privé, la liberté, la concurrence, et le contrat plutôt que la loi. Qu’on suive donc cette voie, sans interférer dans le miracle libéral.



Si les gens veulent accéder à un autre site, ils prendront une autre compagnie!


Le 08/10/2018 à 13h 43

Oui y’a un moment ça devient étrange, autant interdire tout type de partenariat entre deux boîtes… Et puis bon les compagnies qui proposent des journaux/magazines à l’embarquement sont-elles contraintes à une neutralité du panel de titres?



Je trouve qu’on a toujours le cul entre deux chaises à souhaiter un libéralisme équilibré.

(en fait le souhaiter pourquoi pas, mais y croire…)

Le 04/10/2018 à 08h 56







jeje07bis a écrit :



Le summun de la flemmardise… Incapable de faire 25 heures en avion…



La Nouvelle zélande est un des plus beaux pays au monde, la nature est incroyablement diversifié et étonnante le tout sur une petite surface.





S’émerveiller de la nature et encourager à faire 25h d’avion, c’est osé.


Le 03/10/2018 à 13h 19







WereWindle a écrit :



ah dit comme ça, ok <img data-src=" />

Je serais surpris que ça marche cela dit <img data-src=" />





Ben faut voir. La Hadopi nous oblige à nous assurer que notre connexion internet n’est pas utilisée pour des actes de piratage toussa. Est-ce que c’est compatible avec l’obligation de fournir son mot de passe à un tiers?



Avec un avocat bien pénible doit y avoir moyen de montrer que la Hadopi interdit les voyages en NZ ou que la NZ est en contradiction avec la protection du droit d’auteur <img data-src=" />


Le 03/10/2018 à 11h 45







WereWindle a écrit :



je pige pas vraiment la logique de ton truc…





Ben pour moi à partir du moment où on partage de manière forcée un accès on est plus responsable de ce qui est fait avec cet accès.



Ca casse le principe de non-répudiation en quelque sorte. (même si je ne pense pas qu’un mdp de téléphone soit censé garantir ce principe)



Typiquement si la police me demande le mdp de mon mail et que le lendemain des messages d’insultes sont envoyés au ministère de l’intérieur, il n’y a pas moyen de m’accuser… (enfin en principe <img data-src=" /> )


Le 03/10/2018 à 11h 31

Pour les criminels genre trafiquants etc c’est parfait:

Ils passent avec un téléphone sans info sensible. Ils l’utilisent ensuite pour leurs activités. S’ils se font choper plus tard, le contenu de leur téléphone, les appels passés, messages envoyés etc. ne peuvent pas être utilisés contre eux puisque qu’ils ont été obligés de donner le mdp à la douane et ne sont donc pas les seuls à avoir accès aux comptes <img data-src=" />

Le 02/10/2018 à 13h 34







WereWindle a écrit :



ah dans la version que je connaissais (pour une foule) c’était le plus bas au contraire (source T. Pratchett)





Oui moi aussi (de la même source). ce qui est logique: quand on ajoute un prix nobel à 500 personnes qui veulent brûler une sorcière, le QI n’est pas censé remonter (y’a juste une personne de plus qui gueule au bûcher) <img data-src=" />


Le 02/10/2018 à 12h 21







Drepanocytose a écrit :



Euhhh.

Ça mérite soit juste un Lol, soit 15 minutes de dissertation. Donc, lol





+1% <img data-src=" />


Le 01/10/2018 à 11h 42

Je me doute bien. (ma manière de tourner les choses était un peu provoc)

Ce que je veux dire, c’est qu’avec l’augmentation de taille d’un service/réseau/chépakoi, on a forcément une envie/obligation d’automatisation croissante.

Mais ta remarque va aussi dans le sens que faire une distinction petit/gros n’est pas forcément judicieuse: les deux auront forcément recours à des traitements de masse.

Le 01/10/2018 à 09h 52

Y’a un truc de logique qui ne va pas vraiment dans le sens qu’on aimerait ou qu’on aimerait aimer:

&nbsp;Plus une plate forme est grosse, plus elle a besoin et plus il est normal qu’elle automatise le tri, le filtrage etc, et plus de petites erreurs/fautes peuvent se glisser dans ce qui est “publié”. (0,0000001% de facebook c’est quand même quelque chose)

Au contraire, un petit acteur, avec son côté “artisan internet libre fait à la main”, aurait les moyens de contrôler le peu de contenus uploadé, moins noyé dans un flux constant, moins mondialisé donc moins confronté à différentes langues et législations.

Evidemment c’est un raisonnement simpliste, mais je trouve qu’il est révélateur de la difficulté d’avoir une intuition de ce qui serait “juste”.



Enfin perso je suis contre ce genre de lois qui varient selon la taille des acteurs. C’est une usine à seuils, instabilité, magouilles etc.

Le 28/09/2018 à 11h 18

Ce que je ne comprends pas bien (à part pour faire constater par l’huissier, mais ça doit être rapide) c’est que la première mesure à prendre c’est de virer les documents de leur espace en ligne.

Je trouve ça bizarre le temps que mettent plein de boîtes, expliqué par un “c’est le prestataire”/“c’est le temps de trouver une solution” etc.



Quand on met des trucs en ligne on le fait bien, sinon on le fait pas.&nbsp; Et si on est informé d’une faille on protège les documents/infos AVANT de chercher une solution technique, non?



Alors oui ça va ralentir la “digitalisation” dans plein de domaines, mais bon, faire vite et mal ne devrait pas être salué comme une avancée majeure de notre société…

Le 25/09/2018 à 15h 04

Effectivement je ne vois pas comment juger ce genre de cas sans passer par un débat contradictoire et l’avis d’un juge. Les multiples facettes/paramètres des réseaux sociaux et le nombre de gens concernés sont trop variables pour une réglementation stricte.



Ce n’est pas habile de tenir ces propos sur ce genre de plateforme et/ou en présence de plusieurs collègues, mais extrapoler jusqu’à considéré ça comme public ou de nature à nuire suffisamment pour une faute grave…

Le 24/09/2018 à 13h 34

Mais justement je trouve que l’article s’en prend à l’administration mais pas aux personnes…?



Moi aussi quand je m’énerve contre une boîte/administration j’évite d’attaquer personnellement les humains (à l’exception du moment où ils se foutent explicitement de ma gueule). Mais si un truc marche pas il marche pas, et le dire n’est pas une attaque perso.

Le 24/09/2018 à 11h 55







SebGF a écrit :



Accessoirement, définir : traîner les pieds. Quels sont les engagements de délai légaux sur la communication ?

“Les meilleurs délais” cités dans l’article, ce n’est pas un engagement, c’est juste une réponse politique. Un engagement, c’est une réponse chiffrée (“on vous le donne d’ici le XX”, “pour la semaine XX”, etc).

Quand je travaille à l’échéance avec des intervenants ou des prestataires, je fixe la date attendue pour la réponse en prenant en considération qu’ils ne vont pas spécifiquement me répondre dans la minute.



Second exemple simple : je suis au conseil syndical de ma copropriété. Quand je fais des demandes au syndic professionnel (communiquer un document, demander une action, etc), j’indique toujours l’échéance attendue. “Pouvez-vous me communiquer ceci dans la semaine”, etc, avec une relance cordiale en cas de retard.

Pourquoi ? Parce que je sais que la personne qui gère notre copro en a peut-être 50 autres à sa charge…

Et qu’une relation en bonne intelligence est 100x plus productive qu’une conflictuelle.



Certes les délais de publication ont été longs, mais selon quels critères ?




  • délai d’engagement communiqué ?

  • nombre de relances effectuées et sous quelle forme (“je veux ça pour demain”, en mode t’es mon chien, chez moi c’est va te faire foutre) ?

  • en quoi il a fallu “bousculer l’administration” ?



    L’article peut très bien souligner les délais et le fait qu’il soit nécessaire de relancer plusieurs fois, ça montre la difficulté qu’il peut y avoir entre l’obligation et le résultat. Mais il faut le faire d’une manière moins… Enfant gâté.





    C’est quand même étrange de considérer que le monde qui t’entoure dysfonctionne et que c’est normal.



    Ne pas remarquer que les politiques votent des lois (ou font des promesses <img data-src=" /> ) sans en donner les moyens aux administrations. Si je paye mes impôts en retard, on me pardonne si je réponds que j’avais pas le temps de m’en occuper?

    Ne pas remarquer que les syndics sont payés pour un taf qu’ils ne font jamais.

    Trouver normal de devoir faire des relances… (et ça des relances je pense en avoir envoyé pas mal dans ma vie, que ce soit au public ou au privé)



    Le retard (de livraison, de paiement, de réponse…) est une norme et ça gonfle sérieusement les gens qui ont l’habitude de respecter les délais. Et oui, respecter les délais ça engage à annoncer des délais raisonnables, signer des contrats qu’on est capable de respecter, donner des moyens à ceux à qui on demande des choses. (et ça concerne tout le monde, pas seulement&nbsp; le secteur public)



    Je ne crois pas que NXi s’en prenne aux fonctionnaires qui n’ont pas les moyens de remplir leur mission, mais plutôt au fait que la transparence ne fonctionne pas si on ne s’en donne pas les moyens, non?


Le 18/09/2018 à 07h 39







Tsinpen a écrit :



&nbsp; Ceci dit, ça me rappelle une campagne électorale où un parti (le RPR si j’ai bonne mémoire <img data-src=" />), avait déjà utilisé l’image d’Astérix pour demander aux gaulois… euh, pardon, aux français s’il en avaient pas marre d’avoir la droite la plus bête de France… <img data-src=" />





Le meilleur en exploitation politique ça reste “Born in the USA” utilisée par Reagan puis Bush, avec à chaque fois Springsteen qui doit aller les voir pour leur expliquer qu’ils ne comprennent rien…


Le 18/09/2018 à 07h 33







cthierry a écrit :



Twitter facturera la réutilisation de tweets dans les articles de presse,





Pour ça il faudrait que Twitter soit éditeur des tweets, et donc endosse la responsabilité en cas de diffamation, appel à la haine au meurtre etc. Ca m’étonnerait que ça les tente. <img data-src=" />


Le 17/09/2018 à 14h 07

Ok. Et d’ailleurs la botcensure n’est pas un truc dont je suis fan, qu’on soit bien d’accord. (même s’il faut se résoudre à une chose: la quantité de données sur internet conduit inévitablement à l’automatisation d’à peu près tout)



Mais dans ce cas l’exemple est mal choisi: “au coin d’un tweet”, en montrant un post qui dit “Par toutatis” et c’est tout, avec une case de bd qui constitue le seul message…



Je préférerais largement lire un blog sur l’évolution du dessin de Spirou <img data-src=" />

Le 16/09/2018 à 19h 34







Tsinpen a écrit :



C’est tout le problème de la ‘culture’ dite de masse : si je te dis ‘Astérix’, t’as pas besoin d’une image pour savoir de qui je parle. Mais si je veux te parler d’une BD méconnue ?

Pareil si je te parles du costume de robot de Gaston Lagaffe : est-ce que sans image tu saurais me dire de mémoire dans quel ordre clignotent les lumières, de quel couleur elles sont, où elles se trouvent et combien y en a-t-il ? (bon, j’admets que c’est un exemple un peu extrême <img data-src=" />)

La liberté de communiquer ne se réduit pas au langage sous la forme de mots : l’expression graphique fait partie de la communication ‘normale’ et ‘banale’ si le sujet de discussion est lui-même graphique, non ?

Il y a une forme d’élitisme à refuser que l’image ait le droit d’être citée… (pareil pour le son, la musique, etc.)

De là, la question de la liberté d’expression se pose puisque sur le net, par exemple sur un blog, au lieu de “juste communiquer avec quelques personnes” ; on peut s’adresser au monde entier.

Pour rester sur le thème de la BD, par exemple Spirou changea de look à chaque changement de dessinateur ; si je veux dire sur mon blog (ou autre) que je préfère le dessin d’untel ou d’un autre, en quoi serait-ce approprié et légitime de m’interdire de mettre une image de chaque pour illustrer mon propos ?





Mais dans un article argumenté le droit de citation ne reste pas valable?



Il me semble que la liberté d’expression est, sur ce sujet, souvent utilisée pour défendre un tweet/post uniquement ou quasi uniquement composé d’une image, d’une vidéo, d’un morceau de musique, ou de la citation d’un gros morceau de texte sans y apporter de commentaire ou de valeur ajouté…



“le degré d’originalité du contenu concerné, la longueur/l’ampleur de la citation ou de l’extrait utilisé, le caractère professionnel du contenu concerné ou le degré de dommage économique causé”&nbsp;Ca me parait raisonnable, non?&nbsp;


Le 14/09/2018 à 15h 25

“Et tant pis pour la liberté d’expression.”

Je ne vois pas trop le rapport entre poster une case extraite d’une bd et la liberté d’expression.



&nbsp;Sinon merci pour ce long article! <img data-src=" />

&nbsp;

Le 12/09/2018 à 15h 30







Olive34 a écrit :



Les propos de ces fonctionnaires sont choquants et rappellent les comités soviets. Que font-ils pour diffuser la culture auprès du public ? Rien, à l’image de l’INA qui revend ses enregistrement télé à prix d’or !

Netflix, YouTube, Dailymotion, Google, Wikipédia, Spotify ou Deezer ont fait infiniment plus que toutes ces administrations réunies pour diffuser la culture auprès des citoyens. Il ne faut rien attendre d’autres de ces technocrates que de nouvelles taxes, lois et des restrictions de nos libertés.





Heu… une très grande partie de la culture est subventionnée, partiellement ou totalement, par l’état ou les collectivités locales.

Après, on peut comparer la Comédie française, les bibliothèques et médiathèques municipales, le CNC, le CNL, les divers festivals, Radio France etc. avec Netflix, et préférer ce dernier, tout à fait <img data-src=" />


Le 12/09/2018 à 07h 32







dandrz a écrit :



Je ne suis pas assez au fait de ces matières pour y comprendre grand chose mais min supermarché du coin qui propose un point presse à l’intérieur du magasin devrait-il payer quelque chose à ces sociétés de collecte ???



À+





Ben à chaque fois que quelqu’un achète un magazine ou un journal une part est reversée au distributeur et à l’éditeur. Je ne crois pas que Google news se présente comme un point de vente, avec une relation contractuelle. De plus il y a certaines obligations imposées par les distributeurs de presse. (pas forcément terribles d’ailleurs)


Le 11/09/2018 à 14h 31







Mihashi a écrit :



Si le monde (pour reprendre ton premier exemple) n’est plus référencé, les gens ne s’en rendront certainement même pas compte…

et un autre journal qui ne revendique pas d’être payé pour être référencé prendra peut être l’espace libéré.





Ok, donc ne resteront que les journaux dont le contenu ne vaut rien.


Le 11/09/2018 à 14h 06

Je trouve bizarre de ne voir ça que comme des journaux qui scient la branche, je pige pas bien le renversement des rôles…



Si google ne les référence plus, les internautes taperont lemonde.fr et newyorktimes.com.

Si lemonde et newyortimes n’existent plus, google n’a plus rien à référencer.

Enfin en tout cas quand je cherche une actu, si google me renvoie sur une vidéo de chat je vais vite arrêter de l’utiliser.



&nbsp;Du coup j’aimerais bien savoir si sur les médias “de référence” la plupart des visiteurs viennent plutôt directement ou via un moteur.



Perso je vais toujours directement sur NXI, pas besoin de google <img data-src=" />

Le 06/09/2018 à 16h 42







David_L a écrit :



Cette partie est quand même de plus en plus fausse et oublie un élément : plus on utilise des alternatives, plus elles s’affinent. On peut aussi se plaindre que ce n’est jamais assez fiable et ne pas faire d’efforts, mais ça relève de la situation assez contradictoire.





Oui quand je dis “c’est une question de temps” je fais référence au temps qu’il faut aux moteurs pour progresser, et aussi au temps qu’il faut pour changer ses habitudes <img data-src=" />

Mais ma remarque ne s’adresse pas spécifiquement aux moteurs “indépendants”, j’ai beaucoup de mal avec les résultats de Bing par exemple.


Le 06/09/2018 à 16h 21

Intéressant, mais je ne comprends pas bien le concept en fait…?

A partir du moment où (je l’ai fait récemment pour Vivaldi qui est un bien chouette navigateur) on configure la recherche avec le moteur de notre choix, à quelles occasions risque-t-on d’en utiliser un autre? (à part en se rendant volontairement sur la page de ce moteur)



(bon après j’ai un autre problème, quand j’essaye un nouveau moteur je reviens vite à google pour trouver des résultats satisfaisants… mais ça c’est une question de temps)

Le 05/09/2018 à 10h 10







jb18v a écrit :



Ah oui j’ai vu ça dans le flux d’actu.. <img data-src=" /> n’importe quoi encore.



Puis les gens qui s’offusquent du sms non désiré, mais qui fournissent tout le reste à Snapchat, FB Twitter et compagnie, c’est mignon.





(rire)

Donc donner ses données personnelles une fois, c’est autoriser tout le monde à en faire n’importe quoi?

Et ceux qui n’ont pas de compte FB etc ils peuvent se plaindre ou pas?

Et l’éducation ne passerait pas par des politiques qui feraient un peu gaffe à ce genre de choses?


Le 13/08/2018 à 21h 23

ah bah voilà retrouvé!

&nbsp;

&nbsparstechnica.com Ars Technica

Le 13/08/2018 à 21h 10







skankhunt42 a écrit :



Je suis d’accord mais dans ce genre de métier sans visibilité tu n’est pas grand chose… &nbsp;&nbsp;



Source ? J’aimerais bien savoir si ce mec à besoin d’argent ou pas.





Je ne retrouve plus le lien (je l’avais eu sur un autre topic ici). Je ne vois pas trop le rapport avec le besoin d’argent par contre. (si quelqu’un travaille il doit être rémunéré, peu importe sa fortune personnelle) Si je retombe dessus je le mets.



Concernant la visibilité, on peut laisser les photographes (ou musiciens etc.) décider non?

Regarde NextInpact, ils laissent certains articles en consultation libre. Est-ce qu’un internaute pourrait sincèrement mettre des copies intégrales d’articles accessibles aux abonnés sur facebook et twitter, ou sur son site perso, en arguant que cela offre une visibilité?



Les dessinateurs ou musiciens gèrent très bien leur image pour la plupart, ou on des gens pour s’en occuper, je ne vois pas pourquoi on pourrait se déclarer attachés de presse et choisir pour eux leurs moyens de diffusion. Si quelqu’un veut les “aider dans leur visibilité”, il n’a qu’à retweeter la promo, où utiliser ce que l’artiste laisse en creative commons, des choses comme ça, choisis par le créateur.


Le 13/08/2018 à 17h 08







skankhunt42 a écrit :



Du coup de nombreux internautes prendront les photos eux même et les photographes ne seront donc jamais contacté car quasiment invisible sur les réseaux sociaux.





Les photographes (musiciens, écrivains…) ne payent pas leurs patates avec de la visibilité.



Y’a même un papier assez connu d’un photographe qui expliquait qu’il ne pouvait plus vendre ses photos car “on les voit partout”.


Le 13/08/2018 à 12h 48







MarcRees a écrit :



La question de l’originalité est une vraie question, au contraire, que doit trancher la justice en principe.





Ma réponse serait toute simple alors: si une œuvre n’est pas suffisamment originale, c’est qu’on peut la trouver libre de droit quelque part ou la faire soi-même, et donc qu’on a pas à utiliser celle d’autrui <img data-src=" />



Je dis ça en plaisantant, mais finalement ça se tient non?


Le 13/08/2018 à 12h 15







teddyalbina a écrit :



Faudrait balancer toutes les photos de ce type sur le net histoire de lui filer une leçon





J’imagine que la totalité de ce que tu produis lors de l’exercice de ton métier et de tes loisirs est disponible sur un github quelque part, pour le bien de l’humanité?


Le 13/08/2018 à 10h 16







crocodudule a écrit :



On est d’accord, car la photo du pont, que je connais très bien, présente selon moi une originalité très relative: j’ai plusieurs photographies du dit pont (aujourd’hui rénové) que l’on pourrait mettre à coté de celle du photographe et le cadre, la perspective et la luminosité (à mon gout trop fortement exposé s’agissant de la photo litigieuse) sont très similaires pour ne pas dire identiques: on a pris par jour de grand soleil le pont et en arrière plan la cathédrale, et comme on est pas manche on a cadré plus ou moins la même chose puisque c’est l’intérêt de la vue offerte par ce pont… (étant précisé que je n’ai aucune prétention d’être un “photographe”).





Le problème de cette approche c’est que du coup la justice se retrouverait dans la situation de juger de l’originalité d’une œuvre, voire de sa qualité… Or je ne suis pas sûr que ce soit son boulot ou de sa compétence…

Et puis cela créerait un flou: on pourrait reprendre les photos qu’on juge communes, pas celles qui sont plus “artistiques” ou “subjectives”. Dans un sens ce serait du bon sens, mais le problème c’est que tout le monde ne partage pas le même bon sens <img data-src=" />

&nbsp;





Trit’ a écrit :



Sans remettre en cause le fait que l’auteur de la photo était en droit de limiter son usage à un contexte particulier que cette fille n’a pas respecté, je trouve quand même rude qu’il ait réclamé 400 euros pour une reproduction certes non autorisée, mais faite dans le cadre d’un exposé sur un site Web d’une école !





Ouaip il aurait pu se contenter de demander le retrait, voire de seulement ajouter son nom/ une référence à son site. Après y’a peut-être des histoires de précédent/jurisprudence, où il se retrouverait coincé le jour où il demande des sous à une entreprise qu’il serait plus juste de faire payer? (J’imagine que si c’était Nestlé ou Microsoft qui a avait piqué l’image il aurait demandé plus que 400)


Le 06/08/2018 à 12h 08

Ah ça y est, on peut de nouveau dire du mal? <img data-src=" />



Vous faites pas de blacklist pour le prochain concours? <img data-src=" />

Le 25/07/2018 à 08h 54

C’est suite à une plainte de l’élève Benalla? <img data-src=" />

Le 23/07/2018 à 12h 40

il faudrait que ça influe directement sur parcoursup, pour bien faire.

Une absence -&gt; -1 dans la file d’attente.