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Cetera

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929 commentaires

Le 15/12/2017 à 14h 32

Point de vue intéressant.

Il se pourrait ainsi que la confiance se transforme de fidere (confiance) en fidus (digne de confiance).

Le prérequis pour représentant du peuple serait donc d’être digne de sa confiance tout en maintenant les contrôles afin de la garantir.

Le 15/12/2017 à 12h 36

Et je t’ai dit que 20 ans c’est récent.

Question d’échelle. A l’échelle de la République, 20 ans n’est rien. Une profonde réforme peut mettre à 20-25 ans (une génération) à produire ses effets.

Avant le Net, il y a eu l’informatisation de l’administration mais jamais cela n’a été pensé pour être ouvert vers l’extérieur. Le Net est donc une nouvelle étape qui a d’abord été l’ouverture des administrations vers l’extérieur (enfin sur ce point, c’est encore moyen) puis maintenant l’ouverture à la vie citoyenne et politique.



Et tout est tout juste en cours de mise en oeuvre.





Si le mandat impératif existe ailleurs (comme tu l’as indiqué), c’est donc qu’il y a des élus qui l’ont voté, et que ça n’a rien d’impossible.





Pour le reste, je note que nous sommes d’accord: la révocation des élus est une voie possible en France mais les élus s’y refusent avec des arguments plus ou moins factuels ou plus ou mois fallacieux.









Après, parler de scier la branche, c’est une drôle d’idée ; tu t’imagines qu’un élu moyen a pour volonté de dire quelque chose pendant la campagne et de faire exprès autre chose après ?

S’il y a des choses à améliorer dans le fonctionnement politique français, ce n’est pas franchement le mandat impératif qui va changer quelque chose.





Par contre, tu veux vraiment des noms de personnalités politiques (quelles soient moyennes ou pas) dont les promesses électorales n’ont pas été suivies par des faits?

Tu penses vraiment que la corruption même dans un petite commune n’existe pas?



S’il y a des choses à améliorer dans le système français, c’est de retrouver la confiance entre les citoyens et les politiques et le mandat impératif (à adapter bien entendu) est une bonne voie pour cela.


Le 14/12/2017 à 20h 27

Ah tu ne sais plus depuis quand le numérique fait parler de lui en politique?

Disons à peine 20 ans ce qui reste une paille par rapport à d’autres sujets. Donc, c’est très récents. Tu t’es encore trompé.



La révocation des mandats existe en Allemagne, Canada (en parti) , Etats-unis (en parti). Il y a des contre-exemples à tes assertions. C’est un choix politique avant-tout, et des gens en ont aussi pensé pour écrire les constituions de ces pays.



Ce n’est donc pas comme tu le prétends avec force “une sottise”.



Mais, c’est un fait, ce sont les chambres d’élus qui votent une nouvelle Constitution. Donc, il ya peu de chance que ces mêmes élus scient la branche (que dis-je, les forêts) sur lesquelles ils sont assis, bien installés même.



Et c’est véritablement pour cela qu’il n’y en aura pas et non pour des pseudo-raisons secondaires.



Mais, ce n’est pas grave, il y a encore 50% d’électeurs inscrits qui votent.



Pour le reste, je te prierai de ne pas user de tes qualificatifs habituels à mon encontre. Tu peux garder ton “ridicule” pour toi.

Amen.

Le 14/12/2017 à 18h 27







OlivierJ a écrit :



Cetera a écrit :

Pire, j’ai bien peur que le numérique arrive à point d’orgue comme un écran de fumée et que ceux qui l’attendent ne voit plus que cela en mettant de coté les sujets de fond.



Ces questions de numérique excitent plus les geeks comme nous que la majeure partie de la population, et au vu des commentaires sur ce site, ça n’empêche pas les geeks de râler sur l’action publique. De toutes façons je ne vois pas comment ça ferait écran de fumée pour quoi que ce soit, aucune avancée du numérique dans les organismes d’État n’a eu cet effet.



Cetera a écrit :

Le peuple n’a plus le contrôle sur la démocratie, c’est cela le vrai point.



“LOL”



Cetera a écrit :

Tant que la révocation des mandats ne sera pas mise en place, les affaires (numériques ou pas) continueront et le monde nouveau ne sera que la version redessinée de l’ancien monde mais en web 2.0.



On n’introduira pas la révocation de mandat car c’est inconstitutionnel, et pour de bonnes raisons. Ça pose plus d’inconvénients que d’avantages, des gens y ont pensé lors des constitutions précédentes.







1/ En même temps, le numérique est nouveau mais si on prends d’autres “nouveautés du moment” (ex: l’écologie), on peut dire avec l’Histoire que cela a souvent servit de faire valoir plus qu’autres choses.



2/ Que tu fasse un LoL sur un constat pareil est consternant. Merci de garder ton Lol pour tes enfants.



3/ Qui est ce “On” qui n’introduira pas de revocation de mandats? Tu es plusieurs ou tu représentes un groupe de personne, un parti ou que sais-je le pouvoir en place pour affirmer de façon aussi catégorique ce genre de choses?

La révocation de mandats existent dans bien d’autres pays et les quelques problèmes potentiels sont gommés par bien plus d’avantage à commencer par le respect du programme électoral avec lequel le politique a été élu.



Le 14/12/2017 à 11h 07

Je ne vois pas trop comment le numérique imposera la transparence aux personnels politiques. Il y a et il y aura toujours une partie visible (y compris sur tablette) et cachée (y compris sur tablette).

Pire, j’ai bien peur que le numérique arrive à point d’orgue comme un écran de fumée et que ceux qui l’attendent ne voit plus que cela en mettant de coté les sujets de fond.

Le peuple n’a plus le contrôle sur la démocratie, c’est cela le vrai point.

Tant que la révocation des mandats ne sera pas mise en place, les affaires (numériques ou pas) continueront et le monde nouveau ne sera que la version redessinée de l’ancien monde mais en web 2.0.

Le 14/12/2017 à 07h 09

La tâche semble assez faramineuse. Il ne faudrait pas que la montagne accouche d’une souris.

Le 13/12/2017 à 21h 51

Je ne cherche pas à te persuader, tu peux croire que la situation s’améliorera en France par des injures en cascade à son encontre. C’est possible mais compliqué.



Je ne pense pas faire la confusion entre des blagues potaches et un mouvement de fond, amorcé lui il y a bien des années et qui avait comme but de diminuer la sphère d’influence de la France encore jugée trop sociale ( cf Alain Madelin). Si tu ne le vois pas, ou que tu ne veux pas le voir, je peux le comprendre vu l’acharnement qu’ont eu les politiques et médias à faire de Nation, un gros mot repris malheureusement pas les extrêmes. Finalement, cela arrange tout le monde: Pour en finir avec la Nation ou comment céder à l’extrême droite une belle patate chaude que tous dénonceront comme bouillante.



Pour le reste, je te prierai d’éviter de qualifier de simplistes des propos que tu ne lis pas bien.

Amicalement,






Le 13/12/2017 à 11h 54

Ce doit être de l’ironie de ta part voir peut être de l’humour parce que sinon je ne vois pas trop le rapport.



Je n’évoque pas les problèmes mais la façon dont certains les traitent. Sans les juger d’ailleurs car je pense que ce sont des suiveurs qui ne font que répéter ce qu’ils entendent comme on suit une mode sans en comprendre véritablement les enjeux. Vomir sur la France en l’associant systématiquement à chaque faits négatifs et laisser ainsi supposer qu’il y aurait une spécificité française: on est des gros nuls en France, spécialement en France et ailleurs l’herbe est plus verte.





Faut pas oublier qu’en plus en France, la technique c’est sale et ça paye pas







Je crois qu’il y’a une espèce de competition entre les SSII françaises à qui fera le truc le moins bien pensé







méthodes agiles labellisées French Tech ?






Le 13/12/2017 à 11h 27

D’accord mais en quoi cela toucherait l’administration française en particulier?

Je ne dis pas que l’administration française est exempt de problèmes mais pas plus que dans d’autres pays.

Pourtant, certains commentaires appuient sur ce point précis, sans doute par haine s’il n’y a pas d’autres raisons.


Le 13/12/2017 à 05h 05

Il faudrait un peu arrêter de taper sur la France à chaque nouvelle de ce genre. Chaque pays connait ce genre de situation.

Vomir sur la France semble rester une obsession pour beaucoup.

C’est bien triste.

Le 05/12/2017 à 12h 01

Je ne vois pas où est le problème.

Sous prétexte que Rbnb est tendance et 2.0, il faudrait les laisser tranquillement s’installer avec un modèle libéral sauvage, sans taxes, sans impôts ?

Tirer sans arrêts les prix vers le bas dans l’hôtellerie et la restauration c’est favoriser la paupérisation des emplois de service.

Et avec la bénédiction des consom-acteurs, qui, pourtant, sont les premiers à être choqués par les conditions de travail dans les emplois de service ( indigné sur Facebook uniquement bien sûr)..

Le 05/12/2017 à 10h 19



Si vous aviez peur de la place que prennent ces géants dans l’informatique du quotidien, ces angoisses ne sont pas prêtes de se calmer



La peur n’évite pas le danger. Or il y a danger que les GAFAM forment peu à peu les idées et uniformisent le monde.

La tyrannie est alors installée durablement.

Le 05/12/2017 à 10h 04

Et un point tout de même :



“Votre matinale radio intelligente”.



De quelle intelligence s’agit il?



Suffit-il de dire tous les matins que vos auditeurs sont les plus beaux ( la cible se prêtant parfaitement à cela) pour les rendre captifs de ce miroir sonore et ainsi prouver à Google que ce qui est intelligent ici ce sont les concepteurs?

Le 05/12/2017 à 09h 39

Pas mieux.

À force de formater les interfaces, le contenu finit lui aussi par être formaté. Peu à peu, la forme prend sur le fond ; comme l’informe sur l’information.

Mais idem, je ne suis pas la cible.

Le 28/11/2017 à 22h 51

Hâte de voir ces esprits positifs devoir accepter les règles de sécurité issues de l’entreprise qui collectent “à des fins préventives mais totalement anonymes” les données sur la machine assimilées à un poste de travail dont l’analyse révèle un “usage de l’Internet incompatible avec les valeurs de l’entreprise”…

Mais bon, je n’ai pas 30 ans et donc je ne peux pas (rien) comprendre au futur ( qui sera pourtant du passé)..

Le 28/11/2017 à 22h 29

Finalement, et comme quelques uns d’entre nous l’appréhendaient, la question à propos de Google est devenue d’abord un sujet idéologique et cela, notamment grâce à la fin des idées.

Il me semble que c’est Page qui disait que la vie privée était une anomalie. C’est maintenant devenu une évidence quasi naturelle pour beaucoup.

Nous sommes dans une période de creux comme l’humanité en a traversé tout au long de son Histoire. Ce déclin post-historique est une chance pour l’Histoire.

Le 26/11/2017 à 12h 08

Je ne pense pas être hors sujet en disant qu’aux Etats-Unis, baromètre officiel du consumérisme heureux, ce vendredi noir a été au contraire très lumineux pour le ventes diverses et variées (+18% par rapport à 2016).

Les populations les plus riches n’évoluant guère en nombre, on en déduira que les autres populations consomment davantage.

Elles restituent ainsi tout ou partie des leurs revenus aux populations les plus riches.



Ce prinicpe s’appellera bientôt le revenu universel.

Le 22/11/2017 à 20h 22

Merci pour ta réponse.

Le mépris est chose facile, convaincre est plus ardu.

Sans doute, sur la forme, l’intéressé pourrait mieux faire.



Pour le reste, c’est bien le problème et nous y sommes: l’affrontement des prétendants.



Je pense que de part et d’autre, il ne s’agit que de duel pour un pouvoir virtuel couronné par l’ego de chacun.

Soit.

Reste que sur le fond et une fois le tri effectué, certains de ses propos ne sont pas idiots voir même intéressants à étudier. Tout comme le sont les propos d’autres contradicteurs.



Pour ses références économiques du 18e/19e, ce n’est pas un hasard qui les cite et souvent avec raison.

A une époque, l’esprit devait être fort pour comprendre certains des mécanismes les plus fin.

Ces esprits ont bâti des concepts qui sont devenus des véritables références. Les éluder serait faire preuve d’un intérêt superficiel pour le sujet traité.



Et contrairement à ce que beaucoup croient, ce qui est contemporain n’est pas forcément nouveau.

Le 22/11/2017 à 00h 13

Je ne vois pas vraiment pourquoi Tmtisfree devrait être taxé de troll ou d’interlocuteur indigne de confiance. En fin, si je vois mais surtout l’acharnement que certains mettent à affirmer leur vérité d’un ton péremptoire mais dont l’argumentaire est en réalité st bien souvent vide, fallacieux et pour finir bourré de jugement de valeur.

Je ne suis pas forcément d’accord ni avec le fond ni avec la forme de ce qu’il écrit mais son approche et son droit à l’exprimer vaut bien les usurpateurs moralisateurs qui sévissent ici et là et font office, finalement, de véritables censeurs.

Je suis pour la liberté d’expression surtout s’il est pertinente, affûtée et argumentée.

Il vous faudrait peut être apprendre à ne pas être d’accord; à oublier les like et consorts,; à envisager le désaccord comme une voie bien plus constructive par la critique qu’il envisage.

Que ce soit même un postulat de départ qui invite à la réflexion sans ces figures rhétoriques mal utilisées.

Finalement, il vous faudrait peut être considérer la critique comme salutaire.



Notez que mon position n’est pas propre à Tmtisfree. Je me placerai toujours de l’argumentaire même à mon dépend car je défend l’idée que la pensée critique, qui mobilise les neurones et améliore l’acuité de l’intellect est nécessaire à l’Homme plutôt que ces débats indignes qui aboutissent à un consensus mou et qui plongent l’esprit dans la guimauve la plus nauséabonde.

Le 18/11/2017 à 08h 13

Question de relativité?

Le 17/11/2017 à 22h 56

Les générations les plus jeunes très portées sur le narcissisme ont beaucoup de mal avec la critique qui égratignerait leur génie irréfutable.

Du coup ce documentaire qui me sembles digne d’intérêt risque d’être, comment dire, unliké?

Le 19/11/2017 à 11h 50

Plutôt que de chercher des sophismes là où il n’y en a pas, je pense que tu devrais reviser le sens des mots employés ici.

Je ne te parle pas de l’Etat. Où as-tu lu que je parlais d’Etat?



Je parle de politique, au sens initiale du terme pas de l’Etat ou des ses applications qui n’est qu’un exécutif comme un autre.

La politique, la chose publique, c’est l’axiome où le peuple décide pour lui-même. L’Etat n’étant qu’un moyen et non une fin. La politique n’est pas les hommes/femmes/vie politique. Ils l’ont même pervertie.



Ton propos me semble bien trop obscurcis par ta haine des rouges que tu penses devoir traquer et balayer.



J’échange avec toi mais pour cela il faudrait que tu ne déformes pas mes propos à tout va. Cela te semble t-il possible ou devons nous arrêter là?




Le 18/11/2017 à 19h 04

Inculte. ..

Qui a dit ce mot à par toi?



Supprimer l’accès à la culture pour les couches populaire revient pour ceux qui en bénéficient à leur en barrer l’accès définitivement. Ce serait donc une regression sociétale au motif que Netflix et TF1 sont bien assez suffisant pour ce qu’ils en font et que cela permet de supprimer ces subventions qui sont selon ce que je lis synonymes d’impôts. Car en fait, c’est bien l’objectif: en finir avec l’Etat.

Une fois la culture balayée ce sera l’éducation qui sera supprimée.





L’éducation et culture sont le socles des civilisations. Une société éduquée et cultivée est une société en bonne santé morale (au sens philosophique du terme) qui permet sa croissance et son épanouissement au sein d’un monde en mouvement.



C’est pour cela que cela doit/devrait être chose publique (politique donc) qui fait parti du socle de la République.



Maintenant, si tu parles du budget qui y est consacré et de l’utilisation qui en est faite c’est autre autre affaire.

Homo festivus puis festivus festivus ayant décidé d’en finir avec la culture pour la remplacer par la festivité pour en faire une arme idéologique.

Certes et? Faut-il supprimer pour autant l’unique rempart, le peuple souverain confiant en l’avenir, contre ces sottises?



Il faut combattre l’injuste sans pour autant sacrifier le juste. Ce qui revient à ne pas jeter l’eau du bain avec le bébé.


Le 18/11/2017 à 16h 35

Le résultat? Quel résultat?



L’appauvrissement culturel de la société est une constante qui va avec l’affaiblissement des politiques publiques sur la culture.



Je ne suis pas d’accord avec cette idée qui serait d’appauvrir, au sens propre comme au sens figuré, plus encore une partie de la société pour augmenter le PIB des couches les plus favorisées.


Le 18/11/2017 à 16h 29

Je n’ai pas dit qu’il fallait supprimer Netflix ou TF1 ou d’interdire à leur spectateur leur accès.



Chacun fait ce qu’il veut.

Ce ce que je dis est qu’il faut maintenir une politique publique de la culture qui offre à chacun autre chose que du simple divertissement mercantile.






Le 18/11/2017 à 15h 44

Même si il n’y a que 20% des couches populaires qui s’ouvre à la culture, je suis d’accord pour que mon impôt finance cette politique publique.



Abandonné cela, c’est abandonner ces couches populaires en les laissant se “cultiver” avec Netflix, Disney et TF1.



Parmi ces 20%, il y a des enfants qui, grâce à cela, s’émancipent de leur destiné sociétale, et qui peuvent ainsi devenir à leur tour des exemples qui donnent un espoir à tous et redonner à la République la crédibilité de son utopie.

Le 18/11/2017 à 00h 58

Si la culture n’est plus une politique publique, elle deviendra alors de moins en mois accessible aux couches populaires.

Je ne parle pas d’amusement, entertainment chez nos amis américains, mais bien de culture qui relie l’Homme à l’Histoire et permet de s’élever par delà sa condition.



C’est un choix politique que de vouloir ou non que le peuple puisse se cultiver.

Le 15/11/2017 à 22h 03

Ah cette satanée exception culturelle française.. Si nous acceptions humblement que Netflix est LA culture idéale pour les français avec à la prime le rêve ultime : abandonner la langue française pour épouser la langue de Netflix..

Ps: c’est juste ironique..

Le 17/11/2017 à 07h 19

Idem. Et pour ceux qui bossent avec PowerShell, VSC devient l’IDE multiplateforme avec PS 6. ISE restera disponible sous Windows.

Le 16/11/2017 à 22h 54

Les médias ( parce que journalistes est un titre qui se mérite ) ont eux-même scié la branche ..

La tentative puérile de se rendre juge de paix et moralisateur de l’information comme tente de le faire Le Monde n’est qu’un aveu de l’impasse dans laquelle ils se sont mis.

À force de mélanger les genres, ils se sont confondus.

Aujourd’hui, un groupe de presse n’est un organe de com’.

J’ai peu à peu résilié ma dizaine d’abonnement en 35 ans que je ne lisais plus qu’au second degré pour rire jaune des tartufes.

Le 16/11/2017 à 22h 24

J’ai quitté Numericable ( 100 M) pour Free ( Fibre) comme transition (ou pas). Je vois les limites du business plan de Free. Mais je veux pouvoir utiliser la box en mode bridge et avec NC ce sont les seuls ( à ma connaissance) à le proposer.

Le 15/11/2017 à 22h 36

C’est ça ban FR.. En tout temps en toutes circonstances et pour n’importe quel sujet.

Le 08/11/2017 à 08h 53

Je ne vois pourquoi sur un duel qui n’existe pas entre Borg/McEnroe.

Borg/Connors ou Borg/Vilas aurait été à mon avis plus juste mais surtout c’est McEnroe/Lendl qui était le vrai duel entre 2 immenses joueurs que tout oppose.

Le tout sur fin de guerre froide (Lendl était Tchèque avant d’être tardivement naturalisé américain) et avant que le tennis ne deviennent un sport-spectacle.

Regardez la final de Roland Garros 84 pour bien situer les 2 hommes.

Le 02/11/2017 à 22h 04

C’est une vraie question avec comme enjeu l’indépendance vis à vis des fournisseurs de contenus ou d’accès aux contenus.

L’infra ne doit pas être comme, jadis, les autoroutes:

la force publique doit supporter l’investissement sans donner les clefs des baies de brassage quelques temps plus tard au premier venu.

La fibre, c’est d’abord un enjeu politique pour la France avant d’être une question stratégique pour SFR.

Le 02/11/2017 à 09h 49

Tu es contre toutes règles parce que toi tu penses juger correctement en tout temps et en toutes circonstances?

Le 01/11/2017 à 23h 43

Une banque fonctionne avec des fonds (les nôtres) qu’elle utilise pour différentes opérations financières dont elle utilise (en partie) les bénéfices pour son propre compte.

A cela, une banque en ligne qui connait votre profil de consommation peut aussi être un bon fournisseurs de donnée comme d’autres mais avec une fiabilité accrue (la baque sait tout de vous) et donc une très forte valeur ajoutée par rapport à d’autres concurrents.



le gratuit de la banque en ligne c’est de se rémunérer sur vos données.

Le 01/11/2017 à 22h 42

Une banque neo ou pas, reste une banque avec la même philosophie depuis le XVIIe.

Les jeunes esprits un peu trop tournés vers ‘tout ce qui est nouveaux est bon pour moi’ en seront pour leur frais.

Tout se paie même le gratuit.

Le 01/11/2017 à 22h 34

Les gens râlent vers ce que le mouvement global leur indique comme idées à avoir.

Nous en avons fini avec l’utopie où chaque citoyen serait éclairé grâce aux Lumières.

Aujourd’hui, l’Histoire ne cesse d’être réécrite.

Le 01/11/2017 à 09h 07

Pour connaitre quelques fonctionnaires, il faut comprendre leur situation. On est loin, très loin même des images d’Épinal habituelles du fonctionnaire fainéant.

Il y a des services où les fonctionnaires achètent et amènent eux-même leurs matériels bureautiques ( fournitures et petits matériels).

D’autres qui font le boulot de 2 personnes parce que le poste est toujours en attente (mains en attente de quoi vu qu’il a été supprimé..).

D’autres enfin qui craquent ou ont craqué face à la pression engendré par des situations de plus en plus intenables.

A ce jour, ceux qui voulaient se mettre au service de la collectivité publique se sentent rejetés, bannis même, et sont aussi les boucs émissaires des politiques qui lancent de nouvelles actions publiques tout en retirant les moyens d’actions à ceux qui sont chargés de mettre en oeuvre leurs décisions.

La goutte et la vase..


Le 01/11/2017 à 13h 28

C’est même plus subtile:

L’Etat récupère par la TVA le produit du travail des plus pauvres avant de le restituer aux riches aux travers d’aides et autres primes (ie CIR). le tout enrobés dans ce qu’il appelé par exemple “mesure en faveur de l’emploi”.

Le 01/11/2017 à 08h 50

Ne serait-ce que par la nécessité d’avoir un panel pluriel de programme, l’audiovisuel public a toute sa place.

Du coup, la réforme de la redevance pourrait aussi être le moment de faire un peu plus connaitre l’audiovisuel public a des français qu’y en ignorent tout y compris et surtout de leurs programmes et autres actions. Le moment que chaque français se sentent concernés par l’audiovisuel public voir même qu’il y participe un peu plus vu que nous le finançons.

Ce pourrait être une bonne occasion de démocratie participative aussi.



Plus de connaissances pour plus de reconnaissances et la roue vertueuse est lancée.

Et ainsi d’amorcer un changement de discours à l’encontre de l’audiovisuel public.




Le 28/10/2017 à 08h 42

En somme, Mounir Mahjoubid démontre que la politique 2.0 vendue par EM n’existe pas.

EM fait bien marcher ses adeptes croyant que ce qui est nouveau est un progrès.

Un Tartuffe de plus..


Le 28/10/2017 à 08h 08

D’autant plus que cela permettrait de resister culturellement et





sr17 a écrit :



Sans parler de la balance commerciale de leur pays.



Nous vivons dans un monde compétitif. Notre pays tirerait avantage à former le grand public à mieux acheter.



Apprendre à déjouer les ruses du marketing les plus courantes, bien analyser ses besoins et refréner les envies d’achats impulsifs serait déjà un bon début.







Passer de consommateur à consomm-acteur. Le plus sûr moyen de resister aux appétits désastreux pour la France des Amazon et consorts.



Le problème est que l’économie nationale est moins un sujet pour beaucoup de consommateurs français que les résultat de Netflix ou d’Amazon.

La mondialisation des esprits est passée par là et surtout pour les plus jeunes (>40 ans), la France n’est qu’un petit pays étriqué pour leurs appétits de grandeur.



Dans le même temps, des sujets comme le patriotisme n’ont été traité que par les extrêmes ce qui a également abouti à un rejet du patriotisme par association d’idée.



Pourtant, notre Histoire, notre peuple, notre République, mérite bien mieux que cela.


Le 28/10/2017 à 07h 44

La consommation frénétique de bien im-matériel est clairement ancrée dans le modèle Amazon.

Après Prime, je gage qu’Amazone finance avec d’autres le revenu universel qui statufiera une fois pour toute le consommateur (et son ego) et permettra à Amazon de faire tourner sa propre planche à billet.


Le 24/10/2017 à 19h 38

L’un des bons moyens de lutter contre la paresse intellectuelle (dont est friande la Deux ex-machina qui “simplifie nos vies en nous aidant à choisir” ) est de lire, puis penser, puis relire.



Pas les avis, ni les commentaires ni encore les ces blogs au MOI surjoué, non lire ceux qui pensent ou qui ont pensé et qui nous invitent à en faire autant.

Murray, Dutertre, Michéa et bien d’autres qui, depuis la fin de l’Histoire s’interroge sur l’Homme qui l’a construit. Où l’on découvre que le progrès n’est pas nouveau et que la nouveauté n’est pas progrès.



La seule façon, selon moi, de résister (comme l’appel de l’auteur de l’article) est de lutter contre les tentations de la paresse intelectuelle qui aboutiront à un Fahrenheit 451 symbolique si nous n’y prenons pas gare.



Le livre, subversif par nature, est le meilleur moyen de garder la tête hors de l’au-delà.

Le 20/10/2017 à 14h 59

Macron n’est aucunement à blâmé. Il n’est qu’un opportuniste de plus dans l’Histoire des présidents de la Ve République.

Il a compris qu’il pouvait être élu avec 18% et une fois au pouvoir, qu’il lui serait simple d’avoir un assemblée nationale acquise à sa cause, sans que sa majorité puisse contester son autorité.

Le vrai problème est qu’il ait pu monter ce plan car il le savait probablement couronné de succès.

Et cela est contre l’idée d’une démocratie et d’une République forte de son peuple.



Le fait est que cette constitution qui donnait à la République un chef au moment où elle en avait bien besoin, devrait aujourd’hui donner à la représentation nationale plus de poids sur les décisions politiques et leurs contrôles . Cela surtout si ce sont les citoyens qui peuvent sanctionner positivement ou négativement leur représentant.

Le problème est qu’un changement de constitution ( ex: 6eme République), ne peut pas être envisagé sans le mandat clair des citoyens octroyé lors d’une élection présidentielle.

Montebourg avait commencé, Melechon en a poursuivit l’idée mais ce sont des hommes politiques qui ont peu de chance d’être portés au pouvoir en raison du suffrage universel qui ne joue pas en leur faveur.

Les partis LR et PS l’ont compris et ne veulent rien changer car ils se maintenaient au pouvoir grâce ou à cause de cela en agitant le chiffon rouge FN et l’abstention.

Qu’importe la légitimité de l’élu, seul le résultat compte.

Macron lui aussi l’a compris.

Le vrai perdant est le citoyen qui est à la fois le problème ( il participe au chiffon rouge ou ne vote plus) et la solution ( il est le pouvoir démocratique).

Donc, selon moi, la seule solution est un changement de République dont la Constitution (re)donnerait le pouvoir de décision et de contrôle au peuple, et du sens à la politique, la chose publique.

Le 20/10/2017 à 14h 01

Licence perpétuelle LR : 80 à 150€ TTC suivant les promos.

Le 17/10/2017 à 21h 51







Stel a écrit :



A la base j’ai pris netflix en partie parce que je voulais pas que mes enfants ait le cerveau pourri par ces pub au milieu des dessins. Ca me parait évident qu’il faut éloigner les enfants de ces pubs de merde.

La redevance tv est juste une grosse escroquerie.





Ah parce que Netflix c’est labélisé “ bon pour la santé mentale” ?

Si la télé est la peste, Netflix est le choléra ..


Le 17/10/2017 à 21h 51

À supprimer (doublon)

Le 10/10/2017 à 22h 45

Cher OlivierJ,



Tu as pour habitude de ne pas tenir compte de ce que les autres t’écrivent:



Me répondre en usant de qualificatifs péjoratifs et loin de faire la preuve que ton propos serait plus intelligent que le mien.



Ta rhétorique, un peu grossière (tu l’admettras toi-même compte tenu de ton niveau intellectuel) n’arrange en rien les choses.



Donc, je le répète, ta dialectique habituelle ( et tragique) basée sur l’ad personam est loin de m’inciter (et je ne suis pas le seul) à échanger avec toi.



Reste avec tes idées, les seules qui semblent nourrir la haute opinion que tu te fais de toi-même.

Cesse par contre de chercher à donner des leçons au monde.



Merci pour nous.