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fdorin

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2425 commentaires

Le 02/08/2022 à 21h 22


patos a dit:


Tu me comprendras quand tu auras eu une LUN RAID 5 12 disques qui a eu la corruption en plein fichier de base de données…. : moteur crashé, VM en vrac, etc…. Ca s’appelle une mauvaise journée ^_^ (moi ça allait, j’étais le dépanneur hihihi)




Je précise d’avance que monter des RAIDs n’est pas mon métier. Mais un RAID 5 avec 12 disques pour stocker des bases de données, c’est pas un peu… suicidaire ? Quand un disque plante (et ça viendra, forcément, surtout avec 12 disques), le risque est tellement grand que pendant la reconstruction, un autre disque puisse montrer des faiblesses (surtout s’ils sont de la même série !).



Je pose la question comme tu as l’air du métier ;)



Après, pour des données non critique… comme des logs (peu de réécritures, beaucoup d’ajouts), why not…



[edit]
Grillé par CR_B7, qui pense la même chose de moi semble-t-il :D


Le 02/08/2022 à 19h 49

Oui, mais eux, ce sont des disques “ grand publique “. Je vise les gammes NAS ou entreprise.
Mais ça peut orienter un peu.


A ma connaissance, ils utilisent des gammes de disques conçus pour les NAS et les serveurs. Pas du grand public.



Et après une vérification sur quelques références, il semblerait que ce soient bien des disques pour NAS et serveurs


Le 02/08/2022 à 18h 20

Ca peut servir ;)


Le 02/08/2022 à 15h 23

Le RAID 6 n’est pas mort. L’avantage du RAID 6, c’est qu’il peut supporter m disques défaillants sur n, avec m >= 2. On voit souvent que c’est limité à 2, mais c’est une erreur et cela peut aller bien plus loin !



Maintenant, c’est comme tout : il faut dimensionner son RAID en fonction des risques que l’on est prêt à accepter.



L’article de zdnet concernant le RAID 6, je le trouve bien incomplet, sur plusieurs points :




  • il est limité à 2 disques défaillants (ce qui est faux)

  • l’article assume qu’un disque présentant 1 défaut de lecture est totalement inutilisable (ce qui n’est pas vrai non plus)

  • l’article prétend que les défaillances de disques sont corrélés. C’est en partie vrai… pour les disques d’une même série. C’est pour cela qu’il est recommandé de prendre des disques de séries différentes dans un RAID 5 ou 6

  • les disques sont SMART aujourd’hui et un bon NAS en tient compte et est capable d’avertir dès qu’une erreur survient ou est sur le point de survenir.



Là où l’article devient intéressant, c’est sur l’augmentation du risque et la probabilité croissante d’avoir des soucis, compte tenu que la taille des disques ne cesse d’augmenter (le To est la norme maintenant) de même que le nombre de disques par grappe.



Bref, pour un RAID 6, si on a peur, on peut limiter la taille de la grappe (soit vis-à-vis du nombre de disques, soit vis-à-vis de leur capacité), ou augmenter le nombre de disques de parité.



Et il ne faut pas oublier non plus que si les NAS gèrent de plus en plus de disques, il est tout à fait possible d’y avoir plusieurs grappes plus petites (réduisant ainsi les risques de défaillance par grappe). Et aujourd’hui, hormis des cas très spécifique, je ne vois guère d’intérêt à avoir une seule et unique grappe de 10To (pour reprendre l’exemple de zdnet).



Pour la reconstruction, j’en ai déjà eu 2 sur mon NAS “personnel” (bais 4 disque, RAID 6 avec 2 disques de parité). La reconstruction prend une nuit, les données restant toujours accessibles et le changement de disque défectueux se faisant à chaud.



Et pour la petite histoire, j’ai déjà eu un disque dur neuf refusé par mon NAS, au motif qu’il présentait des erreurs (remontées via SMART justement). Ce même disque, monté dans un PC classique, ne montrait aucun problème (à l’usage ou via SMART). Du coup, je m’en sers comme périphérique pour des données volumineuses et peu importantes (juste au cas où !)


Le 29/07/2022 à 09h 29

Si la compromission des activités opérationnelles consiste à menacer de divulguer ou de vendre les données comme écrit dans le paragraphe suivant, le terme rançon pourrait être encore utilisé peut-être… Même si je ne vois pas ce qui empêcherait le violeur de Uand même divulguer/revendre ces données après paiement…


Je suis d’accord, mais il est bien précisé, dans l’extrait que j’ai cité, que certains d’entre eux n’exigeaient justement aucune rançon…


Le 29/07/2022 à 08h 43


Signe qu’elles n’énament pas des gangs habituels, « certaines d’entre elles n’exigeaient pas de rançon, mais semblaient vouloir compromettre “simplement” les activités opérationnelles des victimes




Du coup, peut-on encore appeler ce genre d’attaque une attaque par ransomware ? C’est une attaque par déni de service, si l’idée est “simplement” de compromettre les activités opérationnelles…


Le 27/07/2022 à 21h 26


Xandr0s a dit:


Si tu payes pour avoir le droit à copier des œuvres. Pourquoi mettre des protections pour éviter cette même copie ? :francais: :mad2:




Parce que justement, ce n’est pas un droit “au sens légal du terme”. La loi ne dit pas “vous avez un droit de copie”. La loi dit que la copie est une exception au droit d’auteur qui est tolérée tant qu’elle reste dans un cadre purement privé. De ce fait, les mesures de protection sont tout à fait possible et impossible d’y opposer le droit à la copie, car justement ce droit n’existe pas.


Le 26/07/2022 à 13h 46

Attention, l’article parle des logs de connexion pour les fournisseurs d’accès, qui devaient, d’après la loi française, conserver qui (=abonné + IP + port) va où (IP de destination) et quand (date et heure).



Pour un site internet, ce n’est pas du tout le même régime :chinois: et il faut distinguer les logs d’accès de consultation (requête HTTP/S) des logs d’accès suite à une authentification (utilisation d’un service)


Le 26/07/2022 à 06h 23

Toutes mes excuses à l’équipe. Ce n’était nullement le but :smack:


Le 25/07/2022 à 09h 56


le sais-tu par ouï-dire ou l’as-tu expertisé ?




Oui, je l’ai expertisé, avec un outil appelé “compilateur”. Si tu compiles et que le logiciel est utilisable, c’est que tout le code nécessaire est là. Je t’ai apporté ma preuve, montre moi la tienne :fumer:



Maintenant, si tu penses que tous les noeuds (plus de 47,000 en 2021) utilisent une version spécifique et non disponible publiquement, avec un bouton d’autodestruction (allez, même pas tout le monde, juste 51% ça suffit), sachant que le système est totalement décentralisé par nature… d”où mon “bon courage”.



Et pour fixer les choses, je ne suis pas du tout pour le bitcoin. J’attends comme beaucoup qu’il se casse la gueule vu l’hérésie que c’est. Mais on peut aussi refuser de lire autant d’âneries sans réagir…


Le 25/07/2022 à 09h 06


JnnT a dit:



Tout le code ? Je n’en crois rien : ce serait une fragilité évidente.




Au contraire. En cryptographie, la sécurité par l’obfuscation n’a rien de sécuritaire. Ce qui est sécurisé, c’est d’utiliser des algorithmes éprouvés.



Le logiciel tu peux le compiler et l’utiliser. Donc oui, tout le code est là. Sauf à ce que TOI tu apportes la preuve du contraire… (bon courage)


Le 25/07/2022 à 09h 40


anagrys a dit:


Non, une ONG est par définition une organisation qui ne représente pas un gouvernement, rien de plus.




Si, il y a plus. Toute organisation qui ne représente pas un gouvernement n’est pas une ONG !



D’après wikipédia :




L’habitude est de réserver le terme aux personnes morales à but non lucratif financées par des fonds privés. Les principaux critères définissant une ONG sont1 :




  • le but non lucratif de son action ;

  • l’indépendance financière ;

  • l’indépendance politique ;

  • la notion d’intérêt public.




Que l’on peut recouper avec la définition de Vie publique




Une Convention adoptée dans le cadre du Conseil de l’Europe en 1986 retient les critères suivants pour qualifier une institution d’ONG :




  • avoir un but non lucratif d’utilité internationale ;

  • avoir été créée par un acte relevant du droit interne d’une Partie ;

  • exercer une activité effective dans au moins deux États ;

  • avoir son siège statutaire sur le territoire d’une Partie et son siège réel sur le territoire de cette Partie ou d’une autre Partie.




Les deux ne s’accordent pas. L’un mentionne le coté international comme je l’ai fais, pas l’autre. Mais les deux s’accordent sur une chose : il y a des critères, et l’intérêt public y figure, de même que le côté non lucratif.


Le 25/07/2022 à 06h 13

Je pense simplement que les gens confondent “ONG” et “indépendance” (vis-à-vis des lobbies).



Une ONG, dans le sens commun (il y a peut être une définition juridique, mais je n’ai pas cherché), c’est une organisation, internationale, représentant “l’humanité”.



Pour Greenpeace par exemple, certains lui reproche (à tord ou à raison, je ne sais pas, je ne me suis pas suffisamment renseigné pour avoir un avis) d’avoir des avis très partiaux et de participer à une guerre économique, “protégeant” les intérêts de certains acteurs privées (en général, donateurs !) aux détriments d’autres. Le cas le plus emblématique est sans doute sa position sur le nucléaire (absolument contre) pour favoriser des alternatives beaucoup plus polluantes


Le 25/07/2022 à 09h 09

“Tout le monde” est une cible :francais:


Le 22/07/2022 à 07h 35


Juju251 a dit:


Sauf que justement, le point de départ et d’arrivé était aussi communiqué et conservé. Les données étant collecté au démarrage / arrêt du moteur et à l’ouverture / fermeture des portes …




Toi tu n’as pas lu mon commentaire… (“Concernant le suivi GPS au démarrage et arrêt du véhicule. Là, effectivement, cela pourrait représenter un risque pour la vie privée de l’utilisateur. MAIS ! La CNIL reconnait elle-même que la récupération de la position GPS à ces moments là seraient suffisant pour assurer l’intérêt légitime de l’entreprise (retour à la station, vol).”)




Et pourquoi ne pas communiquer la position du véhicule lors d’un accident (au déclenchement des airbags par exemple) ?




Toi tu n’as pas lu mon commentaire… (“Les systèmes existent. L’airbag se déclenchent bien en cas d’accident. Pourquoi serait-il impossible de remonter cette information ?”)




Ah, le fameux “je n’ai rien à cacher” qui permet de justifier un tracking de plus en plus présent, tout en se masquant les yeux pour ne pas voir les évidentes dérives qui parfois peuvent être dramatiques …




Je n’ai jamais dit ça. Je dis qu’il me parait illogique, dans la décision de la CNIL, de valider le traçage GPS au démarrage/coupure du moteur, mais de l’interdire sur le trajet. Le trajet n’apporte pas d’information au regard du point de départ et d’arrivée. D’où mon incompréhension de la décision.


Le 22/07/2022 à 06h 34

J’avoue que je suis un peu perplexe de la décision de la CNIL.



Pour éliminer tout de suite le point où je suis d’accord avec elle : la durée de conservation des données, qui était bien trop importante par rapport aux finalités (la position GPS ne devrait être conservé que quelques jours sans incident (vol, …) déclaré) pas 3 ans après la dernière utilisation par l’utilisateur.



Concernant le suivi GPS tous les 500m et le risque d’atteinte à la vie personnelle (risque de déduction des orientations sexuelles / religieux / politiques). J’avoue ne pas comprendre. On peut très bien passer à proximité des lieux simplement parce que c’est le chemin que l’on prend pour aller là où on doit aller ! Donc non, le trajet en lui-même n’est pas un risque. Point de départ et d’arrivée oui, trajet non.



Concernant le suivi GPS au démarrage et arrêt du véhicule. Là, effectivement, cela pourrait représenter un risque pour la vie privée de l’utilisateur. MAIS ! La CNIL reconnait elle-même que la récupération de la position GPS à ces moments là seraient suffisant pour assurer l’intérêt légitime de l’entreprise (retour à la station, vol).




Quant au scénario d’un système GPS désactivé au fond d’un parking, « la proportion de ces hypothèses n’a […] pas été communiquée par la société ».




La CNIL a-t-elle communiqué sur la proportion de l’hypothèse du risque sur la vie privée de passer à proximité (j’ai bien dit passé, pas s’arrêter) à côté d’un lieu “sensible” pour la vie privée comme un lieu de culte ? Bref, elle utilise de la main droite l’argument qu’elle a balayé de la main gauche.




Cependant, pour porter une telle assistance aux utilisateurs, la société doit nécessairement avoir connaissance de la survenance d’un incident ou d’un accident ».




Les systèmes existent. L’airbag se déclenchent bien en cas d’accident. Pourquoi serait-il impossible de remonter cette information ?



La CNIL ira dire aux personnes ayant perdu un être cher ayant eu un accident et incapable d’appeler les secours que cet être cher est mort faute de secours, parce que bon, suivre une voiture de location tous les 500m c’est attentatoire à la vie privée :cartonrouge: (sachant que les positions d’allumage/coupure du moteur sont, quant à elles, connues)






Bref, si je suis d’accord avec certains points (durée de conservation disproportionné), l’avis sur le GPS me semble lui beaucoup plus discutable et semble relevé plus du dogme qu’autre chose.


Le 22/07/2022 à 06h 43

D’autant plus pratique que pour un recommandé classique, on a juste la preuve de l’envoi. Avec le recommandé numérique, on a la preuve de l’envoi ET de ce qui a été envoyé !



Sans compter qu’on peut envoyer son recommandé à 23h43 du fond de son lit :mad2:


Le 20/07/2022 à 17h 11

Une étude pointe l’inefficacité de la vidéosurveillance : En ne retenant que les enquêtes élucidées, l’étude révèle que 5,87 % ont bénéficié d’une contribution vidéo, soit environ 1 enquête élucidée sur 20. Effectuée à la demande du Centre de recherche de l’école des officiers de la gendarmerie nationale (CREOGN, qui ne semble pas l’avoir mis en ligne, ndlr), elle conclut à un apport très marginal de la vidéosurveillance dans la résolution des enquêtes judiciaires, mais aussi dans la dissuasion.



Dans son rapport consacré aux polices municipales, la Cour des comptes enfonce le clou sur la vidéosurveillance et estime que l’efficacité n’est pas prouvée, pour des coûts pourtant importants. Elle constate en outre qu’aucune des recommandations qu’elle avait formulées en 2011 dans le cadre d’un précédent rapport sur l’organisation et la gestion des forces de sécurité publique, n’ont été mises en œuvre.



Déplorant des « résultats contradictoires ainsi que sa méthode (qui) ne permettent pas d’en tirer des enseignements fiables », la Cour des comptes relevait déjà, en 2011 que, et paradoxalement, l’effet des caméras est, au mieux « faible« , voire « marginal« , quand il n’est pas inexistant, sinon contre-productif :



Le taux d’élucidation des faits de délinquance de proximité n’a pas davantage progressé dans les circonscriptions de sécurité publique (CSP) équipées de caméras de vidéosurveillance de la voie publique que dans celles qui ne le sont pas.



Pour les faits de délinquance pris globalement, il s’est même davantage amélioré dans les CSP non vidéosurveillées.



Malgré un usage désormais plus répandu, la proportion des faits de délinquance élucidés grâce à la vidéosurveillance de la voie publique est relativement faible. Dans les quinze CSP qui ont pu fournir des éléments pour l’année 2008, le rapport d’enquête en comptabilise 749, soit environ 3% de l’ensemble des faits élucidés.



En outre, l’analyse des situations locales montre que, si le nombre de réquisitions d’images enregistrées a fortement augmenté, il reste marginal par rapport au nombre de faits élucidés.


J’ai toujours trouvé que les études sur ce sujet présentaient des biais et/ou des erreurs d’interprétation. Je m’explique : on ne trouve que rarement des informations détaillées sur les statistiques. Juste des agglomérats et des statistiques partielles. Pour reprendre l’étude de 2021 du CREOGN, on sait que :




  • 1939 cas étudiées

  • 1561 cas non résolus

  • 353 cas résolus sans vidéoprotection

  • 22 cas résolus avec vidéoprotection



Et on conclu donc que la vidéo protection n’a contribué qu’à résoudre 5,87% des affaires résolus. Pourtant, les chiffres sont très incomplets pour pouvoir tirer une conclusion quelconque. Il manque :




  • le nombre de cas résolus où la vidéoprotection était utilisable (=une caméra dans le secteur) mais n’a pas été utilisé

  • le nombre de cas non résolus où la vidéoprotection était utilisable (toujours dans le sens où au moins une caméra était dans le secteur)

  • des explications sur l’exploitabilité des vidéos pour expliquer la perte entre le recours à la vidéoprotection et les enregistrements exploitables (disponibilité, problème de fonctionnement, images flous, images effacées car au délai, …)

  • le nombre de lieux de délit (plusieurs cas pouvant se dérouler au même endroit) avec vidéoprotection et sans vidéoprotection

  • l’exploitabilité en terme d’effectif : regarder des vidéos, ça peut vite prendre beaucoup de temps s’il y a 30 caméras à vérifier sur une période ne serait-ce que d’1h. A-t-on les effectifs pour cela ? (la réponse est non).



Bref, il manque beaucoup d’information pour pouvoir statuer si c’est la vidéoprotection elle-même qui est relativement peu efficace, ou si c’est l’exploitation/le manque d’exploitation de la vidéoprotection qui est peu efficace. Si c’est la première, alors investir massivement est sans doute un mauvais fléchage de l’argent. Si c’est le second, c’est qu’il n’y a pas assez de moyens humains et investir beaucoup d’argent dans des infrastructures qui ne sont pas exploitées, c’est aussi un mauvais fléchage.



Pourtant, si on regarde les chiffres de l’étude, on constate que :




  • la vidéo n’est même pas demandé 3 fois sur 4 (dans le meilleur des cas). ==> on pourrait donc augmenter d’un facteur 4 l’efficacité de la vidéoprotection si elle était toujours exploitée

  • près de la moitié des vidéos ne sont pas exploitables (on pourrait donc ici gagné également un facteur non négligeable d’efficacité) en éliminant les sources d’inexploitabilité.

  • dans de nombreux cas résolus, la vidéo n’a même pas été demandés. Conclure de l’inefficacité de la vidéo vu le faible ratio de cas où elle a apporté un élément à l’enquête présente donc un énorme biais, puisque de nombreux cas ont potentiellement été ignorés !



Du coup, la conclusion que l’on voit partout, c’est que la vidéoprotection n’est que peu, voire pas, efficace, mais sans vraiment se poser la question de la pourquoi… (dans les synthèses j’entends, je n’ai pas accédé aux études mêmes).


Le 18/07/2022 à 07h 15

Pas forcément. C’est installation complète qui coute 113000€, pas les caméra elles-mêmes.



Je pense qu’elles ne sont pas données de base (caméra extérieure, qui doit donc résister aux intempéries, le soleil, etc…). Rajoute :




  • l’installation à proprement parler (avec déplacement d’une nacelle car en hauteur et donc 2 personnes au minimum)

  • le raccordement électrique

  • le raccordement réseau (pour les images elles-mêmes)

  • le “central” (là où toutes les images arrivent).


Le 20/07/2022 à 08h 43

Tout à fait, les dons d’entreprise sont défiscalisés à hauteur de 60 % du montant du don à hauteur de 5 pour 1000 du chiffre d’affaires. :chinois:


Super merci. Et il y a une différence entre don et mécénat ? (désolé pour les questions “stupides”)


Le 20/07/2022 à 08h 26

Pour l’équipe, comment fonctionne les dons pour les entreprises ? Est-ce aussi défiscalisable ? Si oui, à quelle hauteur ?



Content en tout cas de savoir que vous avez pu sortir la tête de l’eau :)


Le 19/07/2022 à 07h 51

Je crois que toute oeuvre est protégée, sauf celle qui sont dans le domaine public. Un auteur n’a pas le pouvoir de mettre son oeuvre dans le domaine public, il peut juste utiliser une licence permissive



Sinon, sur le fond c’est scandaleux. On fait peur aux gens pour les pousser à payer alors que la jurisprudence n’est pas clairement établie à ce sujet, contrairement à ce que dit la SACEM.
Par ailleurs, dire qu’ils ont le droit de pénétrer dans un domicile sans autorisation est complétement faux, c’est incroyable de se croire au dessus des lois


Effectivement, certains droits sont incessibles. Mais qu’importe. Dans le cadre de l’affaire Saint Maclou, la SACEM avait bien mis en avant le fait que c’était la diffusion sonore d’oeuvres dans un lieu qui accueillait du public, qu’importe les oeuvres, qui était redevable d’une “compensation”.



Le “qu’importe les oeuvres” portent aussi bien sur la licence des oeuvres, que leur présence ou non dans le catalogue de la SACEM.


Le 18/07/2022 à 12h 20


Si tu loues une piaule chez toi où tu as mis une radio ou une TV,




La communication de la SACEM insiste beaucoup sur la TV et sur la radio. Pourtant, j’ai rarement vu une radio branchée (mais déjà vu de la radio accessible via le poste de TV).



Donc les simples radios ne tombent pas dans ce giron ?
Et du coup, les TV avec antenne intégrée non plus ?


Le 18/07/2022 à 12h 18

Désolé Marc, je n’ai pas compris… comme ça à première vue, je serais plutôt de l’avis d’Arcy. Tu peux préciser ou expliquer stp ?


La redevance TV, c’est le simple fait de posséder un téléviseur. Qu’il soit branché ou pas, qu’il ne serve que pour regarder des DVD, qu’importe : avoir une TV = payer la redevance.



Ici, ce n’est pas le fait d’avoir une TV qui est “taxé”, c’est le fait de diffuser des oeuvres dans un local commercial qui accueille du public. Un magasin (par ex. une grande surface) est un local commercial qui accueille du public.



Mais du coup, question pour @Marc :




Jean-Félix Choukroun, directeur du service clients de la Sacem, a insisté auprès de nos confrères : cette démarche est parfaitement légale, à ses yeux. « Elle répond à une mission d’intérêt général inscrite dans le Code de la propriété intellectuelle. Dès lors que des œuvres protégées sont diffusées […], il y a un acte de communication au public soumis à droits d’auteur ».




Le protégée est de trop ici non ? S’il n’est pas de trop, il faut vite le dire à St Maclou !


Le 17/07/2022 à 20h 18


OB a dit:



Donc, déjà , c’est une possibilité, pas une obligation.




Non, l’obligation de vigilance, c’est bien une obligation. Ensuite, dans le cadre de cette obligation, les banques ont (comme tu le soulèves) la possibilité de recueillir certaines informations (elles peuvent, mais non sont pas obligées, si elles estiment que cela n’est pas pertinent par rapport aux doutes).




Or, la poste va loin, beaucoup plus loin que ça : Nombres d’enfants, situation familiale, et d’autres choses encore.




C’est pourtant bien prévu : article 1.2.a :




s’agissant des personnes mentionnées aux I, II et III de l’article R. 561-18, les fonctions ou tout élément permettant d’apprécier la nature des liens existants entre ces personnes ;




Dans les personnes mentionnées aux I, II et III, il y a les enfants et le conjoint, et même les ascendants.



On a le droit de ne pas être d’accord, de trouver que c’est trop, sauf que c’est prévu par la loi.




Alors que ce n’est, très clairement, que du recueil d’info à des fins publicitaires (du moins si l’on se réfère à la quantité de pub reçu à travers les adresses lié à la poste , consentement ou pas.




Non, la loi est ce qu’elle est. Ce recueil d’info est autorisé dans le cadre de la vérification, et uniquement à des fins de vérification. Si la banque fait autre chose avec ces données, cela rentre dans le cadre du RGPD.




\=> pour moi il y a clairement une volonté de dissimulation des objectifs réels de la banque




Comme le rappel la CNIL, la banque à l’obligation de préciser les objectifs. Si elle ne le fait pas, elle est en tord.


Le 17/07/2022 à 09h 34


eglyn a dit:


Pour info j’ai eu le cas chez Hellobank il y a quelques jours, ou en me connectant, ils me demandaient plein d’informations supplémentaires (genre, le salaire annuel net, et plein d’autres truc), soit disant par obligation légale.




C’est exact. Les banques ont un devoir de vigilance prévu par la loi. Même la CNIL le dit.


Le 17/07/2022 à 10h 34

On n’a pas la même utilisation d’un ordinateur : je n’en fais plus un usage professionnel et je ne joue jamais. Pour mon usage, GNU-Linux remplit toutes mes attentes sans aucune défaillance tandis que Windows signifie perte de temps. Dernière sauvegarde d’une image système = 12 heures à mouliner.


Oui, je l’utilise énormément pour du pro (principalement développement avec Visual Studio). Pour le reste, j’avoue que je n’ai pas grand chose à reprocher au quotidien à Windows lui-même. Sauf les mises à jour un peu longuette ! (mais ce n’est pas du quotidien)



Linux, j’en ai longtemps utilisés (Gentoo et Ubuntu) et j’ai finalement arrêté. Je passais trop de temps à régler des problèmes lors des mises à jour (du simple environnement graphique qui ne démarrait plus à juste une application parce qu’une dépendance avait évolué en passant par le kernel panic). Et maintenant, depuis qu’il y a WSL sous Windows, même plus besoin d’avoir une VM. Bref, j’ai les deux environnements en un ! Ce qui me convient parfaitement :) Mais je conçois parfaitement que tout le monde n’a pas les mêmes besoins que moi (qui sont assez spécifiques)


Le 17/07/2022 à 05h 08


(quote:2083820:127.0.0.1)



J’attends d’une société comme Microsoft qu’elle propose une vision cohérente et structurée du développement de son OS.




On ne peut pas être cohérent, rétrocompatible et innovant. Les 3 ensembles sont incompatibles :




  • cohérent et rétrocompatible : implique la stagnation et la non mise à jour des API. C’est pas comme si depuis plus de 20 ans les architectures n’avaient pas changées (carte son et graphique intégrée à la carte mère, processeurs multicoeurs, etc…)

  • cohérent et innovant : dans ce cas, impossible d’être rétrocompatible car il faut supprimer et/ou modifier des APIs

  • rétrocompatible et innovant : on accumule les APIs en en rendant certaines obsolètes au détriment de la cohérence. C’est la voie choisie par Microsoft.



Pour ma part, plus que la multiplication des APIs, c’est les problèmes de performance pour des problèmes qui devraient être simple. Exemple que je rencontre tous les jours : le multiécran. J’ai un portable sur lequel je branche 2 écrans externe (donc une installation avec 3 écrans au total). La sortie de veille me prend 2 min avant d’être pleinement exploitable :




  • le temps que les 2 écrans soient reconnus et affichés simultanément

  • le temps que la barre des tâches ne soient plus gelé au milieu de l’écran (à cause des changements de résolution successifs)



Autre problème que je constate régulièrement : le redimensionnement d’une application. Alors c’est pas l’OS, mais cela reste le même éditeur pour Outlook. Le redimensionnement est hyper lent, et sur une “bête de course” (développement oblige), changer l’écran sur lequel est affiché outlook génère des redimensionnements qui prennent bien 5s. Un simple redimensionnement qui prend autant de temps n’est pas normal.




JnnT a dit:


Sauf que les diverses distributions GNU-Linux n’ont jamais eu le projet d’être compatibles.




Et c’est aussi pour ça que c’est un beau bordel. Sur windows, tu veux installer une application, c’est un téléchargement. Sous linux, tu veux installer une application hors gestionnaire de paquet, il faut que tu regardes ta distribution ET sa version ET son type d’installation (apk, snap, etc…)




Sinon, la compatibilité entre applications de diverses versions de Windows, espacées de quelques années, tu es sûr qu’elle est effective ?




Oh que oui. Et à moins d’avoir une application très bas niveau (comme un programme antivirus), une application “bien codée” (c’est-à-dire ici n’utilisant que l’API publique) tournera sans problème soit nativement, soit en activant le mode de compatibilité/exécuter en tant qu’administrateur (pour tenir compte des changements de fonctionnalité qui auraient pu y avoir pour cause de sécurité notamment).



Au delà de ça, le seul cas “récurrent” ce sont les problèmes de périphériques matériels qui ne sont plus compatibles, faute de drivers à jour. J’ai en tête les vieux scanner et imprimantes mais il doit y en avoir d’autres.



Pour donner des exemples, j’ai encore de vieux jeux en CD auxquels je joue de temps en temps sous Windows 10 :




  • diablo 2 : pour windows XP

  • Monkey Island : pour Windows XP

  • Heros Migth and Magic 4 : pour Windows… 95 ! (j’avoue, il faut juste un crack no-cd pour ce dernier, car le DRM n’est plus supporté)



L’exemple des jeux est intéressant car justement, fait souvent appel à des API qui ont beaucoup évoluées, comme DirectX. Le fait que des programmes qui ont plus de 20 ans s’exécutent encore aujourd’hui sans problème majeur, c’est juste… incroyable.


Le 16/07/2022 à 14h 25


(quote:2083798:127.0.0.1)
C’est pas tant un problème de ressource que de sécurité, de cohérence et d’interoperabilité.



Est-ce que windows a réellement besoin de 4 API audio différentes, les 4 pouvant être utilisées simultanément ?




C’est assez cocasse de prendre cet exemple alors que dans le monde linux, c’est quand même pas mal le bazar aussi. Entre les couches bas niveau (OSS/ALSA), les mixers (ESD, PulseAudio, JACK, …) et les différentes SDK (SDL, Libao, Openal, …) il y a de quoi se perdre. Surtout que les logicielcs de la couche mixer “s’amuse” à émuler les anciennes techno (pour les applications accédant directement à OSS par exemple) ou les concurrents (Pulseaudio implémente une passerelle vers Jack et inversement).



Après, je suis peut être chanceux, mais je n’ai jamais eu aucun problème de son sous Windows depuis des années. Le seul souci que j’ai eu, c’est sur un micro USB lors du passage à Windows 10, où le volume à drastiquement chuté.




Ah mon avis, non ce n’est pas nécessaire. Mais c’est quand même là pour des raisons de rétrocompatibilité.




Le modèle linux et le modèle Windows étant intrinsèquement très différent, la rétrocompatibilité binaire (i.e., sans recompilation) est nécessaire. C’est tellement au point que l’on peut prendre le solitaire de Windows 98 et y jouer sous Windows 10 (jamais essayé sous Windows 11, n’en n’ayant pas sous la main).



Les cas de ruptures de rétrocompatibilité que j’ai pu observer provienne de sources principales :




  • une application qui accède à des API non publiques privées)

  • des changements de comportement, notamment pour cause de sécurité.



Dans le 2e cas, faire tourner l’application en mode compatibilité résout généralement le problème. Pour le 1er, c’est plus délicat…




tu trouves des applis qui utilisent toujours win32 et C++Runtime (VLC), d’autres en .Net (Paint.Net), d’autres en UWP/PWA (Spotify)…




Il est vrai que ce problème n’existe pas sous linux. Entre les différents SDKs (Qt, Gtk, Electron, …), les langages (les shells, C, C++, java, python et j’en passe) et les différentes méthodes d’installation (compilation manuelle, installation via un paquet, utilisation de snap, de docker, etc…)



Ce que je constate entre Windows et linux, c’est que c’est le même bordel d’un côté comme de l’autre, sauf sur un point : la rétrocompatibilité. Tu peux prendre le même binaire sous Windows, et ça marche, d’une installation à l’autre, et d’une version à l’autre. Avec linux, entre les distributions différentes et les changements, c’est quasi impossible.


Le 15/07/2022 à 16h 01

C’est con, CTRL-F ne fonctionne pas sur papier. Peut-être avec un OCR. :fumer:


J’avoue. Mais le papier ne connait pas les pannes de courant ou de batterie :mdr:


Le 15/07/2022 à 15h 33

Une suggestion pour la page remerciement du magazine : trier les noms ! C’est long de se retrouver dedans sinon ;)


Le 08/07/2022 à 13h 41


bandino a dit:





  • le prochain palier concerne les portraits de l’équipe. Vous êtes une poignée de rédacteurs et je suis dubitatif sur l’intérêt de réunir 18000 euros pour avoir vos bios dans le magazine.



D’accord. Les bios, c’est has been. C’est UEFI maintenant :bouletdujour:


Le 14/07/2022 à 15h 14

Ce que j’aimerai comprendre, c’est pourquoi tu t’en prends à moi. Qwant a, à mes yeux, pleins de choses à se reprocher. Je crois qu’on est d’accord là-dessus.



C’est parce que j’ai critiqué le document PDF ? J’ai l’impression que tu le défends comme si tu en était l’auteur ! Oui, ce document n’est qu’un agglomérats de faits mélangé à beaucoup d’interprétation, et surtout rédigé dans le but de nuire (et par un concurrent en plus).



Ce n’est pas parce que dedans il y a des éléments factuels que cela en fait un bon document, tant le travail à côté est nécessaire pour démêler le vrai du faux. Donc oui, je prends des pincettes.



Allez zou, j’arrête là.


Le 14/07/2022 à 14h 25


l0gin_ a dit:


Ton argument ne tient pas, il ne s’agit pas de toutes les entreprises en général mais de qwant en particulier. D’autant plus que l’état y participe, l’obligation est d’autant plus tendue.




Au contraire. Si la moitié des entreprises ne publie pas ses comptes, c’est qu’il doit y avoir au moins 1000 raisons de ne pas le faire. Comment Marc Longo peut-il être aussi catégorique alors ?




Irrationnel au complet, il ne s’agit pas de AF mais de qwant, encore en particulier.




Merci, car tu viens de démontrer avec brio ce que je dénonce depuis le début avec ce document PDF.




Pas la peine de continuer.




Nous sommes d’accord sur ce point :incline:


Le 14/07/2022 à 12h 12

Le mec a acheté tous les bodacc, les a mis dans un excel, en a produit un pdf, avec en plus des propos tenus d’expériences avec Erard et Mathieu et Gos.



ça span 2010 à 2019.



Qu’est-ce que tu as, factuellement, à y redire ?


Pour donner un exemple, pris au hasard :




CHAPITRE 56 : QWANT, AUCUNE DES 14 FILIALES DE QWANT NE PUBLIE SES BILANS (2018)




  • Tout ce qui est de l’argent public est opaque, caché… No comment…




La première ligne est factuelle, la seconde non.



Dans un “bon” document, il n’y aura que la première ligne (factuelle). Eventuellement un rappel à la loi (la publication des comptes est une obligation légale).



Mais non, ici, on a le fait et une interprétation, à savoir la raison pour laquelle le bilan n’est pas publié.



Ce qu’il faut savoir, c’est que bien qu’il s’agisse d’une obligation légale, la moitié des entreprises ne publie pas ses comptes. Pourtant, selon l’argumentaire de Marc Longo, si les comptes ne sont pas publiés, c’est pour masquer l’utilisation de l’argent public. Je doute que toutes les entreprises qui ne publient pas leur compte touchent de l’argent public.



De plus, il faut faire la distinction entre publication publique et publication confidentielle (depuis quelques années, c’est possible, 2016 je crois). Dans quelle situation se situent les filiales ? Non publication ou publication confidentielle ? Je viens de vérifier, et a priori, c’est bien une non publication.



Fun fact : l’Annuaire Français ne publie pas ses comptes non plus. Dois-je en conclure qu’ils le font pour opacifier l’usage des fonds publics ?



Bref, j’ai pris un fait au hasard, un “élément factuel”, et si je ne le remets pas en doute maintenant, c’est parce que j’ai pris le temps de faire quelques vérifications. Par contre, les interprétations derrières n’ont pas sa place dans le document. Ou alors il faut en conclure, au moins pour l’aspect publication des comptes, que l’Annuaire Français ne vaut pas mieux que Qwant…



Voici maintenant comment j’aurais rédigé ce chapitre 56 de manière plus factuel





CHAPITRE 56 : QWANT, AUCUNE DES 14 FILIALES DE QWANT NE PUBLIE SES BILANS (2018)
Il est à rappeler que la publication des comptes annuels est une obligation légale pour toute entreprise. Même si aujourd’hui, prêt de la moitié des entreprises manque à cette obligation, il est d’autant plus regrettable que cela soit le cas pour une société bénéficiant, ou ayant bénéficié, de subventions publiques.





Est-ce que tu vois la différence ?


Le 14/07/2022 à 11h 32

Le mec a acheté tous les bodacc, les a mis dans un excel, en a produit un pdf, avec en plus des propos tenus d’expériences avec Erard et Mathieu et Gos.



ça span 2010 à 2019.



Qu’est-ce que tu as, factuellement, à y redire ?


Je crois que tu te trompes de cible. A aucun moment, je n’ai dis qu’il n’y avait pas du factuel. Reprends mon commentaire initial, notamment ce passage :




Je ne dis pas qu’il ne contient pas des éléments factuels, je dis qu’il contient beaucoup de parti pris, d’a priori, de biais, de préjugés, d’interprétations, et que “faire le tri” dans un tel document de 200 pages mérite un véritable travail d’investigation.




Marc Longo est un concurrent, utilise un vocable très partisan (“scandale”, “mafieux”, “corruptions”, “trahison”, “escroquerie” rien que sur la première page et je ne suis pas exhaustif), à plusieurs affaires qui l’oppose à Qwant. Alors non, ne me demande pas de croire ce qu’il dit simplement parce qu’il le dit.



Je ne porte pas Qwant spécialement dans mon coeur, mais je sais faire la part des choses, et je ne fais pas “youpie” parce que quelqu’un en dit du mal.



Comme je l’ai déjà dit dans mon commentaire initial, tous les éléments sont à reprendre pour vérification car je n’ai aucune confiance en ce personnage et je ne vais pas prendre pour argent comptant ce qu’il dit. 200 pages, désolé, mais je n’ai pas le temps pour tout éplucher..


Le 14/07/2022 à 09h 51


l0gin_ a dit:


Allez, racontes-nous, qu’est-ce qui te fait penser ainsi dans ce document ?




Non, car j’ai déjà dit tout ce qu’il y avait à dire dans mon précédent commentaire. Et si tu ne vois pas de problème en lisant le document, je ne peux absolument rien pour toi. C’est quand même flagrant rien que sur le ton et le vocable employé…



Renseigne toi également sur le personnage, les bisbilles entre Qwant et Annuaire Français, et on en reparlera (ou pas).


Le 13/07/2022 à 06h 55


LeMou75020 a dit:



Marc Longo a donc rédigé un dossier complet sur cette affaire d’état qu’il a transmis à la Cour des Comptes et sur conseils de cette dernière, transmis au Parquet National Financier.




Un dossier venant de cet homme et à l’encontre de Qwant n’a malheureusement que peu de valeur. Il y a un long passé de procédures en tout genre entre Qwant et Annuaire Français, dont NextINpact avait d’ailleurs fait un peu echo me semble-t-il.



Bref, le dossier en tant que tel est à prendre avec d’énormes pincettes. Il y a tout un travail de vérification à faire et ne surtout pas prendre au pied de la lettre tout ce qui y est dit.



Je ne dis pas qu’il ne contient pas des éléments factuels, je dis qu’il contient beaucoup de parti pris, d’a priori, de biais, de préjugés, d’interprétations, et que “faire le tri” dans un tel document de 200 pages mérite un véritable travail d’investigation.



[edit]
Je tiens à préciser : je ne suis pas un fervent supporter de M. Leandri ni de Qwant. Comme beaucoup, Qwant, j’ai voulu y croire au début, mais j’ai fait mon propre constat d’inutilisabilité dans mon quotidien professionnel. Je fais juste attention aux sources que je lis, et Marc Longo sur Qwant, c’est alerte rouge, données peu fiables pour moi :chinois:


Le 12/07/2022 à 16h 52

Il serait intéressant de faire un parallèle avec l’affaire Microsoft, où se mèle les mêmes composantes d’extra-territorialité, d’accès aux données et d’obstruction à la justice.



A l’époque, beaucoup avait salué la position et le combat de Microsoft contre la justice américaine et son interprétation extra-territorialle des lois. De l’autre, Microsoft faisait donc de l’obstruction à la justice. La défense de Microsoft étant que les données étant situées en Irlande, le mandat ne pouvait y donner accès puisque les données n’étaient pas sur le territoire Américain.



Ici, Uber coupe l’accès à son réseau (qui n’est donc pas sur le territoire français) et est accusée de faire de l’obstruction. Pourtant, la demande française me semble bien pire que dans le cadre de Microsoft. En effet, pour Microsoft, les données visées étaient ciblées (une boite mail particulière). Dans le cas ici, c’est TOUTES les données accessibles qui peuvent être récupérées pour une analyse ultérieure.



Je ne porte aucun jugement sur le bienfondé de la position, mais note seulement qu’il faut être cohérent. On ne peut pas applaudir Microsoft dans son combat contre la justice américaine d’un côté et accuser Uber de faire de l’obstruction en empêchant l’accès à ses serveurs par une justice étrangère depuis l’étranger de l’autre.



Mis à part le côté coupure des serveurs, si on rajoute le côté “scandale d’état” qui pendouille également, le traitement du sujet Uber va vraiment être intéressant à suivre. Pour le coup, ce n’est pas un simple brief qu’il faudrait là dessus, mais toute une série d’articles :D


Le 12/07/2022 à 06h 35

L’existence d’un kill switch peut s’expliquer pour des raisons de sécurité. En cas d’attaque (intrusion, rançongiciel, activité malveillante de la part d’un employé, …), cela permet éventuellement de stopper la propagation.



Un kill switch en soit n’est donc pas forcément une mauvaise chose. Après, c’est comme tout, c’est son utilisation lors des contrôles , qui si elle est avérée, est plus que discutable si (et je dis bien si) cela résulte d’un déclenchement manuel.



Si le déclenchement est automatique (car une activité suspecte est détectée comme le téléchargement de plein de documents d’un coup), c’est un procès d’intention.


Le 11/07/2022 à 21h 47


Arkeen a dit:


Effectivement, j’avais toujours cru que la GPL3 empêchait la vente




Non. Le changement majeur de le GPLv3, c’est qu’elle empêche la Tivoïsation, c’est-à-dire l’usage de limitations hardware (souvent une vérification de signature) pour empêcher le déploiement de versions modifiées.




J’entends bien, mais ce n’est pas seule … https://fr.wikipedia.org/wiki/Logiciel_libre#Définition




Si on se limite au point de vue “technique”, les 2 autres définitions impliquent également les 4 libertés établie par la FSF ;)



Donc quelle que soit la définition que tu utilises, libre ou open-source, tu as bien les 4 libertés fondamentales :)




Concernant l’interdiction de commercialisation, je ne connais que les Creatives Commons types NC (Non Commercial), qui sont toutefois largement utilisées.




Attention, toutes les licences CC ne sont pas libres ! Les licences CC-BY-NX ne sont pas libres (mais on trouve souvent des termes comme “libre de diffusion” qui peuvent alimenter le flou)


Le 11/07/2022 à 16h 17


(quote:2082854:127.0.0.1)
Et bah, la licence d’utilisation du Store est clair. C’est pas autorisé.



Sauf si tu sous-entend qu’il faut respecter la licence du Libre parce que le libre c’est bien et ne pas respecter la licence du Store parce que le store c’est mal. Auquel cas tu fais un jugement moral sur les types de licences. Mais avoue que ca serait vachement hypocrite vu ton commentaire :)




effectivement, ce serait hypocrite et ce n’est pas le cas ;) Je ne dis pas qu’il ne faut pas se conformer aux règles du store, je dis que certaines règles ne devraient pas être là. Nuance ;)




Arkeen a dit:



C’est ta définition, mais elle est n’est clairement pas universelle. Certaines licences libres interdisent la commercialisation, d’autres imposent des copyleft, la propagation de licence, etc.




Ce n’est pas ma définition, c’est celle de la Free Software Foundation, et une licence qui interdit la commercialisation ne peut être libre, puisqu’elle est restreindrait une des libertés “fondamentales”.




Si on prend l’exemple de Gimp, présent dans le Store, il est en GNU/GLPv3, qui est assez clair sur la vente :
« à un tarif qui ne doit pas être supérieur à ce que vous coûte l’acte physique de réaliser une distribution source. »
Je doute que le prix proposé soit représentatif de l’acte de mise à disposition sur le Store …




La GPL est très claire sur la vente oui :




When we speak of free software, we are referring to freedom, not price. Our General Public Licenses are designed to make sure that you have the freedom to distribute copies of free software (and charge for them if you wish)




Article 4 :




You may charge any price or no price for each copy that you convey, and you may offer support or warranty protection for a fee.




Le passage que tu cites, fait parti de l’article 6, et ne parle pas du prix du logiciel, mais uniquement du coût du support de transmission. Par exemple (et grosso modo), si tu envoies les sources + les binaires sur DVD, tu peux facturer des frais, mais ces frais doivent rester raisonnable (prix du dvd + envoi, donc quelques euros seulement). Mais cela ne correspond absolument pas au coût du logiciel.



Dit autrement, tu peux facturer ton logiciel 10000€, mais tu ne peux pas facturer 5000€ de plus pour l’envoi des sources et/ou du binaire. 5€ oui si tu l’envoi sur DVD par la poste, et non si tu te contentes d’envoyer ça par mail.



Une dernière chose, rien n’empêche l’utilisateur (Ie, celui qui reçoit) de fournir à son tour le logiciel, y compris pour… 0€ ! Ce qui fait qu’en pratique, on ne voit jamais (ou en tout cas, je n’ai jamais vu), de logiciel libre vendu. Ce qui est vendu, ce sont par exemple du support, une garantie, ou les binaires (pour ne pas avoir à compiler le logiciel soi-même).


Le 11/07/2022 à 11h 38


Myifee a dit:


On ne parle pas de moralité ici; la règle, au point 10.8.7 précise ceci : “Not attempt to profit from open-source or other software that is otherwise generally available for free, nor be priced irrationally high relative to the features and functionality provided by your product.”




Au contraire. La question est : pourquoi cette règle est-elle là ? Le fait que Giergio Sardo ait annoncé que l’application de la règle était différée montre bien que le problème est loin d’être aussi simple qu’un simple énoncé.



La news fait référence à Paint.NET. L’éditeur a parfaitement le droit de vendre les binaires (plusieurs projets le font). Cela n’a absolument rien d’illégal, tant du point de vue du droit que de la licence.




Si demain, un virus se propage via un pseudo fork délivré via le store, c’est MS qu’on va accuser




J’attends de voir les accusions contre Google et Apple alors. MS ne craint rien à ce sujet ;)




Idem, si l’ayant droit d’un projet veut faire valoir ses droits, il va contacter MS, pas le propriétaire du programme dans le store




Oui. Et ? C’est exactement ce qui se fait ailleurs. MS a le droit (voir le devoir) d’agir si on lui demande. Par contre, ce n’est pas à lui de déterminer la légitimité d’un projet (je parle bien de légitimité, pas de légalité, qui est encore un autre sujet).



De quel droit refuserait-il Paint.NET ? Aujourd’hui c’est les logiciels libres, demain, ce sera quoi, les journaux ? Votre ligne éditorial n’est pas suffisamment en accord avec nos valeurs donc votre application est refusée ?




discuter de s’il est moral qu’une entreprise puisse déterminer s’il est moral




Le problème de la moral, c’est que nous avons chacun la notre. Certains pensent que les relations charnels hors mariage sont amoraux tandis que d’autres ne voient pas de problème à la polygamie. Et on pourra lister de nombreux sujets très clivant dès lors qu’il s’agit de moral (l’homosexualité, la gourmandise, la cupidité, l’art, …).



Qu’une entreprise puisse ainsi décider de ce qui est ou n’est pas moral me semble particulièrement dangereux. Ce n’est pas leur rôle et cela n’a pas à l’être.


Le 11/07/2022 à 09h 48


Myifee a dit:


Beaucoup pensent au point de vue côté “libre”, mais pensez aussi au point de vue côté utilisateur final. Savoir si c’est permis ou non par les règles de l’open source, c’est vraiment discuter du sexe des anges.




La question n’est pas de savoir si quelque chose doit être fait ou non (je pense qu’on sera tous d’accord que oui), mais par qui cela doit être fait.



Qu’une entité privée puisse décider de ce qui est moral ou non, c’est problématique. On l’a d’ailleurs vu à maintes reprises avec les règles de modération des réseaux sociaux comme Facebook et le puritanisme concernant la nudité (amoral) mais le laxisme concernant des contenus haineux (liberté d’expression). Et je ne parle pas de Twitter :roll:


Le 11/07/2022 à 09h 02

D’un coté, je comprends qu’il ne soit pas très fair-play de profiter de la notoriété d’un projet pour se faire de l’argent dessus sans réelle plus value.



Mais de l’autre… ce sont les règles de l’open-source qui le permettent et… l’autorisent ! Le libre se fiche royalement de celui qui donne (le éditeur/développeur), pour ne s’occuper que de celui qui reçoit (l’utilisateur).



Pour rappel, le libre, c’est donner 4 droits aux utilisateurs sans restriction :




  • la liberté d’utiliser le logiciel ;

  • la liberté de copier le logiciel ;

  • la liberté d’étudier le logiciel ;

  • la liberté de modifier le logiciel et de redistribuer les versions ainsi modifiées.



Il peut y avoir des contraintes (par exemple, si diffusion, diffuser également les modifications) mais pas de restrictions (vous avez le droit de le diffuser, sauf si vous faite de l’argent avec).



Il y a suffisamment de débat là dessus sans vouloir le relancer. Par exemple, des logiciels ayant modifiés leur licences afin de ne plus permettre une utilisation par les services Cloud en mode SAAS sans une obole compensatoire (de mémoire, Elastic Search, Grafana mais très certainement d’autres). Sauf qu’ils ne sont plus considérés comme Open source à cause des restrictions qui vont à l’encontre du libre…



Vendre un logiciel ne va pas à l’encontre du libre. Faire un fork sans plus value ne va pas à l’encontre du libre.



Pour ma part, ça me gène qu’il s’agisse d’une entité privée qui fasse sa loi, même si les causes derrières sont “nobles”. Les licences sont “sans moral”. C’est autorisé ou pas. Point.



La moral des uns n’est pas forcément la moral des autres (du point de vue individuel, mais aussi culturel). Et c’est donner encore plus de pouvoir à des entités qui en ont déjà beaucoup.



Que les “marques” (entre guillemets, car par forcément déposée) comme Gimp, LibreOffice, Firefox, … puissent faire des requêtes pour usage abusif auprès des stores, oui. Que les stores eux-mêmes puissent décider du droit de vie ou de mort d’un projet dans leur catalogue au nom d’un “droit moral”, non.


Le 08/07/2022 à 13h 43


micropro a dit:



Vous seriez-vous abonnés s’il n’y avait pas eu cet article ? Parce qu’avant vous ne l’étiez pas. On peut donc en deduire que les articles “abonnés” ne vous intéressaient pas plus que ça… jusqu’à maintenant apparemment.




Pour info, les articles abonnés sont disponibles pour tout le monde au bout d’un mois me semble-t-il… Donc pour certains, c’est peut être juste qu’ils sont patients :)


Le 08/07/2022 à 12h 44


OlivierJ a dit:


À quoi sert l’interopérabilité si ce n’est pas pour disposer d’une copie utilisable ?




Prenons l’exemple des DVD vidéo, qui sont quasiment tous sous DRM (des clés de chiffrement mais qui sont connus depuis belle lurette, mais cela reste un DRM).



Casser le DRM pour pouvoir lire le DVD sur ton ordi => autorisé, car interopérabilité
Casser le DRM pour pouvoir le lire sur ton lecteur DVD qui ne le reconnait pas => autorisé, car interopérabilité
Casser le DRM pour pouvoir copier le DVD sur ton ordi (et le lire plus tard) => non autorisé
Casser le DRM pour pouvoir le copier et avoir une copie de secours (en cas de rayure par exemple) => non autorisé


Le 08/07/2022 à 12h 13

Casser un DRM est effectivement autorisé dans le cadre de l’interopérabilité.
Casser un DRM pour faire une copie d’une oeuvre est illégal. Il n’y a pas de droit (au sens juridique du terme) à la copie privée. C’est une exception copie privée, qui est une exception au droit d’auteur, dans le sens où on ne peut pas être poursuivi pour avoir réalisé une copie à titre privée d’une oeuvre [b]acquise légalement[/b].



En bref, la copie privée, il faut plus voir cela comme une tolérance légalisée. Si par contre un moyen (au hasard, un DRM) nous empêche de jouir de ce droit, aucun recours possible, puisque ce n’est justement pas un droit !


Le 06/07/2022 à 06h 14

Je crois savoir de quel site tu parles, et, sans dévoiler le nom à ta place, et je trouve qu’il y’a quand même pas mal de mieux, surtout depuis le passage aux articles payants. J’apprécie tout de même le bon esprit critique de cette rédaction malgré le sujet de sa ligne éditoriale qui ne s’y prête pas toujours.



En revanche, toujours si l’on parle bien du même site, il est vrai que j’ai arrêté depuis belle lurette de commenter sous les articles : c’est littéralement un gros bordel fatiguant où se côtoient malheureusement ensemble des interventions plutôt qualitatives ainsi que des gros benêts qui ramènent les mêmes trolls et débats éculés sous chaque News publiée.



Désolé si je parle pas du bon site ^^ (indice : il a deux noms de domaine en 4 lettres et il y’a une drôle de coutume implicite qui fait que les gens écrivent toujours @pseudo devant leurs réponses malgré le support des réponses intentées)


Je parle du site évoqué par Exogene313, à savoir developpez.com ;) Du coup, je crois qu’on ne parle pas, mais alors pas du tout du même site ! ;)


Le 05/07/2022 à 20h 34

Ma pierre à l’édifice. Je ne donne bien évidemment que mon avis et mes attentes et ne parle donc que pour moi :)



J’ai connu NextINpact via les LIDD (Liens Idiots du Dimanche pour les plus nouveaux !). Un petit moment de détente et de légèreté hebdomadaire :) La qualité des articles fait que je suis resté, et que j’ai fini par prendre également un abonnement (et comme zoufboss, je ne peux aller plus loin, je suis abonné jusqu’en 2142).



Sur la partie juridique, je suis fan. C’est un écosystème tellement mouvant ces dernières années que c’est nécessaire. Dans le cadre de mon travail, je fais du développement, mais pas que. J’ai besoin de connaitre l’évolution de la législation pour conseiller au mieux mes clients.



Sur la partie actu, le brief fait relativement bien son boulot. Qu’il soit là à 7h, 11h, ou autre, je m’en fiche, du moment que c’est à heure fixe (avant, j’allais voir je ne sais combien de fois le matin pour savoir si le brief avait été publié !!).



Sur la partie hardware, je survole. Disons que ce n’est pas un besoin vital, mais cela me permet de rester malgré tout au courant de ce qui se passe et de ne pas être complètement dépassé.



La partie astronomie / science ne m’intéresse pas du tout (pourtant, ce sont des sujets qui me passionnent). Mais ce n’est pas pour ces sujets là que je viens sur NextINpact, mais pour l’IT. Bien sûr, quand il s’agit d’ordinateur quantique c’est différent car en plein de la thématique principale du site :)



La partie jeux vidéo ne m’intéresse pas du tout non plus. Je fut joueur par le passé, beaucoup moins aujourd’hui (quoi que j’ai repris Diablo II par pur nostalgie, et je ne parle pas de la réédition !). Ou alors peut être plus sur des technologies axés autour du jeu vidéo (les moteurs, les performances, les méthodes de développement, etc.). Par exemple, comme je le disais, j’ai repris Diablo II. J’ai été surpris de voir qu’il ne consommait que 70Mo en RAM, tandis qu’un jeu très récent (Vampire Survivors) plus “simple” graphiquement et en gameplay requiert… 1Go ! Les tests pur et dur de jeux vidéos… pour ma part, je n’en ai pas l’utilité. Et si j’en avais, je pense que j’irai sur un site spécialisé.



Le magazine, je suis pour. J’ai d’ailleurs bien participé à leur financement pour les 2 et 3. Des articles de qualité, qui ne seront pas périmés de si tôt pour la plupart. Bref, une belle source d’informations.



Sinon, dans les idée de rubrique, je verrais bien un truc sur culture général informatique. Ce qu’il faut savoir du fonctionnement d’un ordinateur, des protocoles, les bus de données, de la représentation des nombres qu’ils soient entier, à virgule fixe ou flottant, des chaines de caractères et des problèmes d’encodages, l’évolution des supports de stockage (de la bande aux SSD en passant par les disquettes/Zip/CD/…), la crypto(graphie, pas monnaie !), etc. Les sites ou technologies qui ont marqué et/ou qui marque encore le paysage numérique d’aujourd’hui (napster, ftp, irc, icq, …). Car c’est ce que je constate aujourd’hui, beaucoup de “jeune” (je parle du point de vue de l’expérience et pas seulement de l’âge) dans le domaine de l’IT ignore tout cela. Cette ignorance est à la source de nombreux maux aujourd’hui (quand un DSI me sort “à quoi ça sert de chiffrer les données lors de l’envoi”, je me dis qu’il y a encore beaucoup de chemin à parcourir) que ce soit du point de vue de la sécurité, de la sauvegarde, etc… Je me rappelle d’ailleurs avoir vu des articles sur la sauvegarde qui étaient bien intéressant (et plus d’article de ce genre, “intemporelles” auraient leur place ici je trouve, quitte d’ailleurs à les organiser dans une espace de base de connaissance plutôt qu’ils se retrouvent de plus en plus loin au fur et à mesure que le temps (et les publications !) passe…



Voilà, désolé pour le côté vrac, ce sont juste mes idées/pensées brutes de fonderie :)