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mikeul

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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
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112 commentaires

Derrière la valse des promotions sur le fixe et mobile, une hausse globale des tarifs

Le 31/10/2019 à 13h 26

à supprimer


Interdiction de la reconnaissance faciale : Muselier, Estrosi et Ciotti furieux contre la CNIL

Le 30/10/2019 à 09h 04






mikeul a écrit :

Résultat des courses : 712 pour la droite ;)
On est très loin du “quasiment toutes de gauche”, hein ? :)
 

Petite coquille, c’est bien 713 qu’il fallait lire ;)



Le 30/10/2019 à 08h 51






romu79 a écrit :

Pourtant, étonnamment, les fouilles systématiques (et invasives) à l’entrée du moindre parc d’attractions ne dérangent personne, de même que l’acharnement biométrique dans les aéroports…
Il faudrait aussi peut-être regarder du côté des régions (quasiment toutes de gauche) qui sont responsables des budgets des lycées et leur poser la question des effectifs dédiés à ce type de tâches. Y aura-t-il autant de véhémence de la part de la plupart des commentateurs sur ce forum ??


Comme d’autres, moi, ces fouilles, ça me gène, sachant en plus qu’elles sont particulièrement inefficaces (c’est juste pour rassurer).

Sur 13 régions en métropole (Corse incluse) :
5 régions dirigées par des LR officiels (dont PACA, là où se déroulent ces expés…)
1 région dirigée par X. Bertrand, ex-LR
1 région dirigée par H. Morin : centre droit
1 région dirigée par des nationalistes (Corse)
5 régions dirigées par la gauche
Résultat des courses : 712 pour la droite ;)
On est très loin du “quasiment toutes de gauche”, hein ? :)

En Outre-mer, c’est à peu près partagé (pour les collectivités qui ont le statut de région).
 



Le 30/10/2019 à 08h 39






seb01380 a écrit :

Il y a plus de démocraties qui testent la reconnaissance faciale que de pays totalitaire.
Et comme dit plus haut, on parle de contrôle d’accès et pas de surveillance des déplacements.

 


Qu’il y en ait plus ou pas ne change au rien au fait que ce type de techno est bien testé par des pays peu voire pas démocratiques. La reconnaissance faciale fait partie des technos (“progrès”) qu’il est facile de détourner pour des objectifs peu reluisants.
 
Rappelons aussi quand même que depuis plusieurs années, nos propres démocraties renforcent sans cesse les outils de surveillance de la population (cf. les x lois sécuritaires). Le glissement est progressif mais bien réel (et il s’accélère). La reconnaissance faciale n’est qu’une étape de plus. On renforce la sécurité au détriment des libertés publiques.

  Par ailleurs, la frontière entre le contrôle d’accès et la surveillance des déplacements est mince. Rappelons que Nice est l’une (si ce n’est là) des villes avec le plus de caméras de surveillance. D’ici à ce que la reconnaissance faciale, testée dans des lycées, soit étendue aux caméras, il n’y a qu’un pas (surtout pour un Estrosi).

Dernier point, qui a été largement évoqué par des commentaires plus haut, mais que j’en remets une couche : en quoi la reconnaissance faciale améliore-t-elle la sécurité par rapport à d’autres systèmes (carte d’ID, badges, etc.) ?

Parce qu’à un moment, il faut bien faire la part des choses. C’est typiquement ce genre de mauvais raisonnements (pour une part idéologique) qui a conduit à privilégier, par ex, une solution de centralisation des données biométriques pour les passeports ou les cartes d’identité (plus de chances de piratage à grande échelle ou d’utilisation frauduleuse par un pouvoir ou des individus peu scrupuleux et il n’y a pas besoin d’être dans une dictature pour que ça arrive) à une solution où chaque carte (et donc son porteur) possède ces données. Oui, l’État a invoqué des histoires de coût, mais c’était une paille au regard des risques.

Il faut voir l’image dans son ensemble.



Le 29/10/2019 à 19h 34






KaKi87 a écrit :

Pourquoi être contre un système de reconnaissance faciale qui n’a aucun autre but que d’ouvrir une porte ? C’est pas comme s’il était question de surveiller les rues…


C’est beau la naïveté :)



Le 29/10/2019 à 19h 32






seb01380 a écrit :

Moi ça ne me choque pas. On parle d’expérimentation, de plus sur une population volontaire.
Mais comme d’habitude en France tout me monde s’offusque avant la fin de l’expérimentation. 

Pendant ce temps là dans le reste du monde…..


Ce n’est pas parce que le reste du monde expérimenterait (et en l’occurrence, quelques pays qui sont notoirement connus pour être des démocraties, hein…) que c’est nécessairement une bonne chose. ça, c’est l’argument de la “majorité”, qui n’a rien d’une évidence, c’est même plutôt du panurgisme.

Par ailleurs, que ce soit une expé ne diminue en rien les risques relatifs à la vie privée.
Enfin, pas mal de décideurs politiques se planquent derrière la notion d’expérimentation alors que les décisions de généralisation sont déjà prises, avant même une évaluation (et encore faut-il que l’évaluation en soi une vraie et qu’elle soit indépendante).

 Ciotti, Estrosi et d’autres sont coutumiers du fait…



Choix du moteur de recherche sur Android : Google vend trois places aux enchères, Qwant enrage

Le 02/08/2019 à 14h 56

Curieux, je n’ai jamais utilisé le moteur de recherche intégré (si on parle bien de l’application installé sur android et non pas l’utilisation d’un moteur dans un navigateur).

J’ai regardé par curiosité la procédure actuelle pour changer ce moteur de recherche par défaut, et, surprise, on doit passer par Chrome (si j’ai bien compris). Sauf que chez moi, je l’ai désactivé.


Guerre FAI/chaînes de TV : comment Captvty peut vous sauver la mise

Le 05/04/2019 à 10h 35






David_L a écrit :

On remonte des actus/tutos quand ça parait nécessaire, là c’était le cas (mais ça reste rare)




Par contre, si je puis me permettre, ce serait bien de voir que c'est un article remonté (un encart au début, date de 1ère publication, etc.). La date de publication est celle d'aujourd'hui, du coup, ça peut induire en erreur.     



Et je suis tombé dans le panneau. Ce n’est qu’en regardant les commentaires que je me suis aperçu que c’était un ancien article (et encore, c’est quand je me suis étonné de voir 5 pages que ça a fait tilt).

 



Windows 10 : comment nettoyer sa partition système

Le 01/03/2019 à 13h 43

J’apprécie pas mal TreeSize, dont l’avantage est d’être très rapide (comparé à windirstat s’entend)


[Tribune] Haine en ligne : pour en finir avec des décennies d’indigence des politiques publiques

Le 25/02/2019 à 15h 07






gjdass a écrit :

Quand aux comptes qu’ils rendent, c’est la théorie. Dans la pratique ils sont tout puissants on va pas se mentir. Ça peut être une très bonne chose (notamment pour renforcer leur indépendance) si aucune arrière pensée ne vient perturber les jugements. Le problème est que ce n’est pas toujours le cas.



 Ça ne reste que mon avis perso, mais je persiste à dire que du pouvoir, ils en ont, et il ne faut pas leur en donner plus qu'il ne faut. Sinon on détricote la démocratie.




C’est pas du tout le débat ici…

Ce qui est posé là, c’est même le contraire :




  • On note le manque criant de moyens pour que la justice puisse simplement faire son travail actuel (ni plus ni moins), donc appliquer les textes actuels. Au lieu de cela, on pond des textes par dessus des textes parce que “bien sûr, si ça ne va pas, c’est que le droit n’est pas bon”, ce qui conduit à des situations absurdes

  • Actuellement, on ne donne pas plus de pouvoir aux juges, c’est même la tendance inverse. on bascule progressivement dans un certain nombre de domaines dans une logique du “une autorité (qui n’est pas le juge) sanctionne préventivement et seulement ensuite on peut aller devant un juge”. Exemples : loi anti-casseur, mesures d’urgence, dont le principe est justement de shunter la justice dans des cas spécifiques, qui basculent dans le droit commun ou le sujet de la tribune ci-dessus

    C’est simplement le passage d’une justice judiciaire à une justice administrative, donc expéditive, difficilement contestable et in fine autoritaire. Et comme la justice n’a toujours pas les moyens de fonctionner correctement, les contestations a posteriori quand elles sont possibles, sont de fait très difficiles (ceux qui ont les moyens et le temps iront au carton, mais les autres ?).



Le 25/02/2019 à 12h 38

Et c’est aussi masqué derrière la sacro sainte “efficacité”.


Le 25/02/2019 à 11h 50

Et complètement d’accord sur le constat :

Parce que la justice n’a pas les moyens de faire son travail, la seule solution que les gouvernements successifs trouvent, c’est de contourner le juge avec tous les dangers avérés que cela comporte en matière d’arbitraire et d’abus (privé ou administratif)


Loi contre la haine : quand le gouvernement rêve d’hygiène sur les réseaux sociaux

Le 19/02/2019 à 08h 18

De mon point de vue, il y a deux niveaux de lecture :




  • Ce que la loi permet ou pas en matière de liberté d’expression.

  • La question du “qui contrôle/sanctionne et comment” et ce quel que soit le support. Je rappelle au passage qu’internet n’a jamais été une zone de non droit, puisque les lois sur le sujet (les plus anciennes) sont suffisamment bien faites pour s’appliquer partout. Ce n’est que depuis quelques années que l’on fait des lois trop “ciblées” (type hadopi), conséquence de la jurisprudence Sarkozy : “un fait divers, une loi”.

    On peut déjà débattre sur le 1er point, avec les évolutions apportées ces dernières années, et il y aurait pas à dire. Mais si l’on s’arrête sur le 2ème point, c’est là que le bât blesse le plus, dont cette loi qu’on nous pond n’est que le Nème avatar : c’est un glissement progressif du contrôle a posteriori par l’autorité judiciaire (indépendante, en tout cas le plus possible) vers un contrôle a priori par l’autorité administrative (donc l’État, donc l’exécutif), avec le filtrage d’éléments peut-être illicites mais c’est pas sûr.

    Quand kevinz parle “d’un état qui s’autorise à être le seul juge…”, c’est bien ce qu’il souligne en creux. Or ce cas de figure (police administrative a priori) ne garantit plus une réelle liberté d’expression. C’est l’arbitraire d’un État, c’est le glissement vers l’autoritarisme. D’ailleurs, l’utilisation du mot hygiène est tout sauf anodin.


 Les premières briques de la future loi contre les contenus haineux

Le 14/02/2019 à 10h 34

Bienvenue dans le nouveau monde : avant même le délit d’opinion, le délit préventif d’opinion déviante.


La CADA pointée du doigt pour des « décisions absurdes anti-transparence »

Le 11/01/2019 à 12h 41






carbier a écrit :

C’est de pire en pire les articles… Maintenant on est en mode “donneur de leçons” ou “on tire à vue sans rien connaitre du fonctionnement”… Bravo <img data-src=" />

Remarque on a évité (de peu) le cliché du fonctionnaire incompétent (quoi que ce soit fortement sous entendu)


Je n’ai pas le sentiment que la critique générale porte sur la compétence des fonctionnaires, plutôt sur :




  1. les moyens qui sont donnés à l’institution (des postes mais pas seulement, cf. les moyens matériels de la justice par ex)

  2. son organisation interne (donc là liée aux compétences de la hiérarchie)

  3. l’importance politique donnée au sujet (ici la transparence)

    Pas mal d’administrations souffrent de ces 3 éléments et ce, indépendamment de la compétence des agents qui y travaillent.

    Concrètement, pour un exécutif, il n’est donc pas très compliqué d’asphyxier consciemment ou non une autorité administrative indépendante (et donc de peser sur son indépendance).
    &nbsp;



Steam, Origin, Epic Store... le battle royale des plateformes

Le 11/01/2019 à 12h 32






DoWnR a écrit :

Reste que quand ton jeu n’est plus installé, va savoir sur quelle plateforme tu l’avais acheté pour pouvoir le réinstaller <img data-src=" />


Très juste, ce que je dis ne s’applique bien entendu qu’aux jeux installés et donc lançables dans l’instant.


Mihashi a écrit :

Mais quand tu veux l’acheter ?


ça, c’est une autre question (je parlais là des jeux déjà installés et donc achetés)


Gnppn a écrit :

Ce n’est pas la question. Kevin parle des bibliothèques en ligne, pas des jeux installés. Playnite regroupe tous les jeux des différentes bibliothèques, y compris les jeux qui ne sont pas encore installés sur le PC. Il permet de facilement s’y retrouver.





  1. Je ne remets pas en cause l’intérêt de Playnite (je l’ai chez moi)

  2. Non, désolé, dans cette partie de l’article, ce n’est pas aussi explicite. On parle de lancer une partie.

    Comme l’a justement souligné DoWnr, ce que j’explique ne règle évidemment en rien la question de la réinstallation. Je ne parlais que du lancement (ce n’est pas tout à fait la même chose de lancer un jeu directement ou de devoir le réinstaller pour y jouer…). Bref, cela n’est qu’un détail mais je ne disais cela que pour dire que la difficulté réelle de la multiplication de ces plateformes ne réside pas spécialement dans l’exécution des jeux en tant que tel.



Le 10/01/2019 à 21h 47

“Un problème vient se poser à l’utilisateur lorsqu’il multiplie&nbsp;les plateformes pour ses jeux : comment retrouver facilement quel logiciel lancer pour accéder à tel titre ? Si la réponse est aisée pour certains comme FIFA 19 (Origin uniquement) ou World of Warcraft (Battle.net uniquement), où se diriger pour une petite partie de Super Meat Boy ?&nbsp; Steam ? Origin ? Epic Games ? GOG ?”

Il y a une réponse simple à cette question :
Sur un Windows (par exemple), pour lancer un jeu, il n’y a pas besoin de lancer la plateforme avant. Soit on utilise le raccourci sur le bureau (basique) ou une recherche dans les programmes (barre de recherche/menu démarrer). Et, bien entendu, si le jeu est liée à une plateforme en particulier, celle-ci va se lancer automatiquement avant. Donc pas besoin de lancer tel ou tel logiciel avant.
Au passage, un jeu acheté sur GOG ne nécessite d’ailleurs pas (et vous l’indiquez) d’installer le client, il se suffit à lui-même.


Difficultés entre PME et marketplaces : une charte début 2019, selon le cabinet Mahjoubi

Le 26/11/2018 à 09h 00

M’enfin 70 au lieu de 56, c’est quand même pas Byzance :)


La fondation World Wide Web lance une campagne de défense du web

Le 06/11/2018 à 13h 20

&nbsp;




Jarodd a écrit :

Mais ils étaient où, ces 15 dernières années ?

C’est bien beau de demander aux états, mais ça fait un bail que ce sont les entreprises qui rabotent les libertés, avec des censure arbitraires, l’exploitation des données qu’on leur donne… Des entreprises comme Facebook et Google justement ! Comment peut-il être crédible avec de tels partenaires, et en se réveillant fin 2018 ?

Quant au soutien du gouvernement français… Mounir a encore fait un tweet ?


En fait, ce sont autant les entreprises que les états qui rabotent les libertés…

&nbsp;



Le 06/11/2018 à 10h 17

“Les entreprises sont censés rendre Internet adorable pour tous”, ne serait-ce pas plutôt abordable ? <img data-src=" />
&nbsp;


Raijintek Ophion (EVO) : deux boîtiers mini-ITX avec de la place pour une carte graphique de 330 mm

Le 17/09/2018 à 11h 47

Par contre, un truc pour le moins curieux : si on regarde la manière dont les panneaux de verre sur le côté sont accrochés au châssis, cela semble laisser un gros vide (merci la poussière et le bruit)


Samsung : baisse du chiffre d'affaires et des bénéfices, dans le sillage des ventes de smartphones

Le 22/08/2018 à 10h 27

Je m’étais fait la même réflexion sur les montants en euros, plutôt faibles :)


NVIDIA : Google Assistant sur la Shield TV, le « cloud gaming » GeForce Now enfin unifié

Le 10/07/2018 à 16h 16

Du coup, faut que je regarde si je peux désactiver ce @#!{%## d’assistant sur la shield.


Concours des 15 ans : il vous reste jusqu'à demain soir pour participer et tenter votre chance

Le 06/07/2018 à 14h 57

Abonné depuis un moment, tout simplement parce que Next Inpact a comblé un vide dans la presse française : une vraie analyse des enjeux du numérique, un vrai travail de fond qui change des articles des magazines mainstream. En n’hésitant pas à jouer les poils à gratter. Et ça, j’adore.


Box, SpiderOak et TresorIt : analyse d'offres de stockage en ligne qui se veulent différentes

Le 16/03/2018 à 07h 47

Très intéressant comme dossier. A quand un complément sur les solutions de “vraie” sauvegarde (plutôt que de stockage/synchro) ?

En particulier, peu permettent la sauvegarde depuis un NAS (même crashplan ne le permet pas sans bidouille). Il y a bien Synology C2 (mais comme j’ai un syno, j’aurais voulu avoir un autre prestataire)


Corsair lance deux nouveaux PC avec Core i7-8700K et GeForce GTX 1080 Ti

Le 19/02/2018 à 16h 36

Le Node 304, c’est justement mon boîtier actuel.&nbsp; Dans l’absolu, Il coche toutes les cases.
Sauf la forme :). En effet, il est trop cubique, en particulier il est plutôt très large (25cm). Du coup, il prend pas mal de place au sol et les entrées (USB/audio) sont difficilement accessibles.

Le même, avec les mêmes caractéristiques, moins large (genre 15-17cm), mais une forme plus tour à la mode Corsair One justement ou Silverstone FT03 (ou desktop à poser verticalement), je prends tout de suite.


Le 19/02/2018 à 11h 08

J’aime beaucoup ce boîtier. Pas tant que le côté bling/bling que sa forme. J’aimerais trouver un équivalent sur le marché pour construire mon propre système (car pas question d’acheter un truc tout fait, surtout à ces prix délirants).

Mais un boîtier de 15-20L, mini-ITX, au format tour vertical étroit (façon silverston FT03) ou desktop, permettant d’avoir une alim ATX (et non SFX), pour un bon équilibre puissance/silence (donc acceptant une config de joueur, avec ce que cela implique en termes de taille de CG), je n’ai pas trouvé jusqu’à présent… Soit c’est trop gros, soit trop petit, soit trop de concessions, etc.


#LeBrief v2 : la 100ème

Le 16/02/2018 à 13h 30






David_L a écrit :

L’idée est pas mal, surtout pour LB, du coup j’ai remonté pour qu’on étudie la chose ;)
&nbsp;
Il n’y a pas de notion de niveau dans les flux RSS. Par contre on a des flux RSS différents, comme détaillé depuis le départ sur la page dédiée aux flux RSS (et dans les billets d’annonce :p)

https://www.nextinpact.com/rss-social
&nbsp;

Ah Ah, carrément <img data-src=" />


My bad, je l’avais zappé…



Le 16/02/2018 à 09h 24

Personnellement, j’adore le Brief. Ça permet d’avoir un condensé d’infos sur tout un tas de sujet et les liens vers des éléments plus développés.

Seul souci ; ça pollue un peu le flux RSS puisque chez moi, toutes les entrées du Brief sont au même niveau que les articles normaux ;)
Mais bon, ça reste un inconvénient mineur.


La CAF répond à notre demande de transparence sur l’algorithme de la prime d’activité

Le 05/01/2018 à 13h 19

Parce que la notion de vie privée, cela existe.


Le 05/01/2018 à 11h 11






Drepanocytose a écrit :

Moi ca m’interesse.
Ça demande la transparence a tout le monde et ça occulte des qu’il s’agit de soi <img data-src=" />


C’est ironique non ?



Le 05/01/2018 à 11h 01






fred42 a écrit :

Je ne vois toujours pas en quoi, il y a une décision individuelle « sur le fondement d’un traitement algorithmique ». Il y a bien un traitement algorithmique pour calculer la prime d’activité, mais pas une décision individuelle.



Je ne vois pas non plus pourquoi demander des informations déjà disponibles sur ce calcul, puisque le lien a été mis  dans l'article avec l'info de la page à lire.      





Enfin, je vois que mes conseils de mieux expliquer ont porté puisque "Après avoir réexpliqué la situation, la CAF est finalement revenue vers nous"






Je suis d'accord avec toi.     


Dans ce cas précis, comme dans d’autres, le traitement algorithmique n’est que l’application stricte des règles de calcul formulées dans les textes (lois, décrets, arrêtés, etc.). L’automatisation remplace l’agent avec sa petite calculette mais (sauf erreur), le résultat doit être le même. Donc je ne vois pas en quoi l’algorithme en question emporterait ses propres règles (auquel cas, là oui, il serait nécessaire de se les faire communiquer).

Dans un cas comme APB, là peut-être effectivement que c’est différent, puisque les règles de répartition ne sont pas forcément rendues publiques et uniquement implémentées dans le SI et que les décisions tomberaient sans qu’on comprenne pourquoi (je ne connais pas bien le détail de l’affaire).

Mais on n’en est pas encore, dans l’administration, à avoir une IA qui prend des décisions individuelles sur la base d’analyses qualitatives de la situation d’une personne… (ce que l’administration fait dans certains cas pour juger un dossier et que les critères ne sont pas quantifiables, ex: naturalisation)

Personnellement, le contenu de l’algo, dans un cas comme celui-ci, m’importe peu. Je regarde les règles (ou me les fait expliquer par mon interlocuteur), je croise pour vérifier que c’est correct et ensuite, que le calcul soit effectué par un SI ou un agent avec une calculette, peu importe…



Hadopi : les chiffres de la riposte graduée en Open Data suite à une demande CADA

Le 03/01/2018 à 10h 43






Drepanocytose a écrit :

Rah les gars, même quand ils publient les données, vous ralez. Tout le monde n’est pas à l’aise avec les formats de données info, dans la vie : c’est pas parce qu’on pond une loi que du jour au lendemain vous aurez des données structurées propres en csv ou en base SQL….



Maintenant les données sont la, donc si vous voulez les exploiter vous vous sortez les doigts...




Certes !
Mais vu que le cœur de métier de la HADOPI est quand même le numérique, qu’elle passe des marchés techniques avec des prestataires informatiques (et il s’agit de marchés un peu plus complexes que de la bureautique), on peut légitimement s’attendre à ce qu’elle dispose de compétences en interne, surtout pour formater proprement un fichier CSV…



Et si on se débarrassait de Google (pour commencer) ?

Le 29/11/2017 à 07h 38

Bon, validation trop rapide du commentaire et du coup, il manque des bouts de phrase de partout !


Le 27/11/2017 à 18h 27






tmtisfree a écrit :

1/ Que les gens soient influencés par X, Y ou Z ne changent pas que la décision ultime leur revient. Toujours.

2/ Personne, pas même ceux qui offrent ces services, ne sont en possession de toutes les informations. Cette condition est inutile. De manière superficiellement paradoxale, une économie de marché présuppose pour fonctionner deux engagements profonds de la part de ses agents en opération (aval et amont), l’acceptation de leur ignorance relative (défaut d’informations sur l’état du marché) et la tolérance à l’incertitude (principe de l’effectuation).


1/ La question n’est pas à qui revient la décision, mais dans quelles conditions elle se prend (ou pas).
2/ Blah blah blah. C’est de la théorie pipeau bingo tout cela.

Tout dans l’histoire montre que “laisser faire le marché” pour arriver spontanément et par le biais du saint Esprit à une situation satisfaisante (quand on pense en plus que la définition de ce qui est satisfaisant n’est pas la même selon l’acteur) est un pur mythe.
&nbsp;


tmtisfree a écrit :

Aller savoir, peut-être qu’en priant assez fort, ces alternatives vont spontanément émerger…

Le planqué qui a pondu cette ineptie est typique de ceux, nombreux, atteint du syndrome des temps postmodernes du poulailler France/EU : plutôt que de remettre en cause les institutions iniques qui ruinent l’économie, font tout leur possible pour empêcher que se développent des industries et taxent/imposent à tout va pour faire vivre l’armée de parasites qui contribuent à cette mort économique programmée, on en redemande et on casse les pattes de ceux qui réussissent parce qu’ils viennent d’ailleurs.

Cela fleure bon le protectionnisme d’arrière-grand-maman doublé d’un paternalisme grandiloquent que ne renierait pas le Maréchal.

Mais il faut le comprendre : on ne peut pas mordre la main qui nourrit.


Tu es sûr de ne pas t’être trompé d’article ?
Ce blah blah grandiloquent qui n’a ni queue ni tête, je vais l’encadrer <img data-src=" />



Le 27/11/2017 à 16h 16






tmtisfree a écrit :

Laisser faire le marché, càd les gens, puisqu’à la base c’est quand même eux qui décident (encore).
&nbsp;

Merci, mais je suis assez grande pour décider toute seule ce qui est bon pour moi.


C’est une théorie qui semble intellectuellement valide mais qui ne résiste pas du tout à la réalité.
Cela suppose :




  • d’une part que la décision est bien dans les mains “des gens” (et donc quid du marketing, des techniques de manipulation publicitaires, etc.) ? Il suffit simplement de regarder autour de soi ce qu’il se passe pour la voir (la théorie) battue en brèche tous les jours

  • D’autre part que tous les acteurs (dont les gens) soient en possession de toutes les informations et puissent faire un choix éclairé. On sait depuis longtemps que c’est un mythe ;)




De la 4G dans l'ensemble du réseau métro et funiculaire de Lyon d'ici fin 2019

Le 27/11/2017 à 13h 42






Apone a écrit :

à Paris, ça avance lentement, mais j’ai toujours l’impression d’être à l’âge de pierrer.
(il a quel âge, d’ailleurs, Pierre ?)


Heu, si Paris est à l’âge de pierre, Lyon n’a pas encore découvert le feu ;)
Il faut rappeler que si la 3G/4G doit déployée dans le métro lyonnais, actuellement, il n’y a même pas de réseau du tout sauf dans les stations proches de la surface : impossible d’appeler dans une rame (ce qui n’est pas forcément un inconvénient vu les nuisances sonores que cela engendre…)
&nbsp;


yannickta a écrit :

De mon expérience, à Paris, les seules parties avec de la 3G/4G, c’est les parties aériennes. Parce qu’il n’y a rien a faire. Pour le reste, la plupart stations sont sensées être couvertes. C’est ce qu’ils disent. Mais on ne doit pas être sur la même planète. Ou alors, on ne parle du même Paris…


C’est loin d’être répandu partout, c’est vrai, mais il n’y a pas que le métro aérien qui est couvert. Certaines parties souterraines le sont déjà depuis un moment (ex : une partie du RER A, certaines stations de la 8. Sur la 1 aussi de mémoire, etc.).



[Interview] Nos questions à Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État au Numérique

Le 31/10/2017 à 14h 55






KP2 a écrit :

Tout le monde a des besoins differents et une “culture” informatique differente… pour moi, c’est deja bien qu’ils mutualisent au niveau du ministere…
Et puis la mutualisation a des limites, même sur les gains financiers… si tu passes 2 ans a réunioniter pour définir les besoins des uns et des autres, faire les arbitrages, trouver un produit qui répondra à minima mais dont personne ne sera vraiment content et enfin se faire livrer avec 3 ans de retard, c’est naze… et ça a couté plus cher au final…
Et c’est bien souvent ce qui arrive quand il y a trop de gens impliqués et trop de besoins différents à concilier.


Tout à fait d’accord. Les projets interministériels mutualisés, ça existe. Mais ça demande un
tel travail de convergence et de préparation que ça coûte un temps et un fric monstre, avant même de savoir si on va en tirer un gain. Et pour ceux qui ont de la mémoire, se rappeler des projets qui ont capoté, entre autres raisons, à cause de cela (ONP par exemple).

&nbsp;Il ne faut pas oublier plusieurs choses :




  • Un seul ministère, ce n’est pas un PME de 30 personnes, cela va de quelques milliers à plusieurs centaines de milliers

  • Les métiers d’un ministère à l’autre sont très différents (quoi de commun entre un enseignant, un militaire, un spécialiste de la culture, du social, de la santé, etc.). Un état, ça couvre quasiment tous les champs et les secteurs, et avec en plus le métier spécifique de l’administration. Aucune entreprise privée ne se trouve dans une situation similaire et ne pourrait se prévaloir d’une telle mutualisation…

    Et puis au-delà des spécificités du public, la taille des organisations (y compris dans le privé) est toujours un frein important.



Contrôle parental de Windows  10 : comment le configurer et l'utiliser

Le 11/09/2017 à 11h 39






cyril8 a écrit :

Il faut peut-être arrêter avec le fantasme qui consiste à dire que les enfants actuels sont des génies de l’informatique et les parents (lesquels? un certain nombre travaille dans le domaine informatique) sont des incapables qui de toute façon se feront berner par leurs marmots.



Ce n'est pas parce que la génération Z a trempé dès la naissance dans internet et qu'elle a connu le développement des téléphones portables jusqu'au smartphone qu'elles est plus  à l'aise et surtout plus douée que la génération la précédant. Par exemple un bébé qui sait utiliser le tactile d'une tablette ne sera pas plus à l'aise qu'un autre pour faire du dévelo.






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Indéniablement, les nouvelles générations sont plus à l’aise dans l’utilisation des outils et objets numériques (encore que, pour avoir côtoyé des étudiants, ce n’est pas si évident au quotidien, même sur des choses basiques comme la bureautique).
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Mais savoir utiliser les outils ne signifie pas pour autant qu’on en maîtrise mieux les soubassements (techniques et/ou fonctionnels), sans parler des enjeux et des conséquences. Entre utiliser facebook et savoir réellement bidouiller, il reste toujours un écart significatif. C’est d’autant plus vrai que l’évolution logique de l’informatique, c’est développer des outils de haut niveau (d’abstraction), tendant ainsi à masquer ce qu’il y a sous le capot.
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Renseignement : des boites noires déjà activées à l'échelle internationale

Le 01/09/2017 à 14h 47






WereWindle a écrit :

les US ont fait ça en 2001 et les pratiques en elles-mêmes ont très probablement cours depuis que les nations existent…
Tu préférais quand ils faisaient cela en lousedé sans aucun contrôle ? (dûsse-t-il être faiblard voire factice)

Les deux approches se valent en fin de compte… tu peux dire “ils n’en ont même plus honte” comme tu peux dire “on a des infos même parcellaires sur ces pratiques et c’est déjà plus de transparence”, ça revient au même : à la fin les services de renseignement collectent des infos plus ou moins au bulldozer, plus ou moins sous contrôle d’une autorité et plus ou moins sur tout le monde.

Je ne dis pas que c’est bien ou mal, je dis qu’à la fin le résultat est peu ou prou le même…


Pas d’accord à plusieurs niveaux :




  1. Je n’ai jamais dit que je préférais les pratiques sous le manteau (relire mon message)


  2. non, ce n’est pas “peu ou prou le même résultat”. Je le dis dans mon message, mais pour le dire autrement, l’objectif actuel n’est pas seulement de mettre plus de transparence sur des pratiques existantes (ça, c’est le discours marketing)





  • &nbsp;Il s’agit d’abord de légaliser ces pratiques, ce qui oblige de facto à mettre un peu de transparence (c’est une conséquence inévitable d’un passage par la loi) pour les rendre plus facilement utilisables et mobilisables (et donc moins contestables par le juge aussi)

  • ensuite d’élargir largement les possibilités de surveillance et donc les moyens

  • Enfin de diminuer les possibilités de contestation/contrôle (par une autorité, le juge, le droit, etc.), en laissant l’arbitraire de l’administration (donc l’exécutif) sans contrepouvoir.

    Ce sont ces 2 derniers points qui changent considérablement la donne et qui font que non, on ne peut pas dire que le résultat des lois mises en place depuis plusieurs années (la nouvelle n’étant que la n-ième) est équivalent à ce qui se faisait sous le manteau avant.

    Encore une fois, les lois dont il est question, surtout la dernière à venir, ont un contenu qui ne porte pas que sur les mesures techniques mais aussi et surtout sur l’articulation avec les contrôles (en amont, a posteriori), les voies de recours, l’intervention des juges. Ce n’est plus seulement un sujet technique mais aussi de droit et de libertés civiles. C’est typiquement par ce genre de projet qu’on ébranle l’équilibre des pouvoirs (ce que certains appellent la séparation des pouvoirs), en donnant des pouvoirs trop importants à l’un d’entre eux (le pouvoir exécutif) au détriment des autres, qui ne peuvent plus contrôle ou empêcher. Le glissement autoritaire commence déjà par là.



Le 29/08/2017 à 10h 50






carbier a écrit :

Je vais sortir le pop-corn et lire avec délectation les commentaires étonnés des abonnés qui découvrent les pratiques des services de renseignement.

Hint: ceci est valable dans chaque pays hein <img data-src=" /> Pas la peine de jouer les vierges effarouchées par rapport aux pratiques “à la française”


Oui enfin, on passe à un niveau au-dessus en inscrivant ces pratiques dans le marbre de la loi et en les élargissant considérablement. Des “pratiques” de surveillance sous le manteau, ce n’est déjà pas joli, mais les institutionnaliser, ce n’est plus tout à fait la même histoire.

Certains diront : “Ce que la loi a fait, elle peut le défaire”. En théorie oui. Mais dans ce cas précis, le retour en arrière (s’il est ne serait-ce qu’évoqué, ce qui est déjà un 1er obstacle) sera très très compliqué, c’est bien là l’un des soucis principaux.



Synology C2 Backup : lancement en septembre, dès 11,99 € par an pour 100 Go

Le 25/08/2017 à 12h 38

On voit bien que beaucoup de service se trouvent à plusieurs frontières : backup, archivage, cloud/synchro, ce qui rend la sélection difficile.



Pour quelqu'un comme moi qui veut faire du backup chiffré, avec gestion de version (donc incrémental), il y a quoi de correct et utilisable avec plusieurs plateformes/outils ?      



C2 backup a l’air pas mal, mais c’est limité à Syno. J’ai certes un NAS de la marque pour le moment, mais pas impossible que je change…
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Et ça m'interroge sur les solutions :       






  • Versionning : est-ce qu’il est préférable d’avoir un service qui gère en auto le versionning ou alors d’utiliser un service de stockage qui ne fait pas de versionning mais sur lequel on balance nous-même les incréments (donc gestion ensuite un peu à la main) ?

  • Chiffrage : on chiffre soi-même en amont (avant upload) ou on prend un service qui chiffre lui-même

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Contre le terrorisme, Macron et May rêvent de filtrage, liste blanche et accès aux données chiffrées

Le 16/06/2017 à 12h 03






hellmut a écrit :

pas d’accord, il y a tout un tas de textes de loi qui se basent sur des faits de préparation d’actes à caractère terroriste et qui permettent de juger un mec sans qu’ils soit passé à l’acte. du coup je comprend mal ton histoire de dynamique illégale… ???


En temps normal (cad pas en état d’urgence), un “fait de préparation”, comme tu dis, c’est justement déjà un début d’exécution du crime comme le dit graphseb. Donc c’est cohérent. Même avec toutes les lois déjà votées, on n’en est pas encore à mettre en prison des gens sur une intention qui n’est pas encore matérialisée.

Sauf que, le nouveau projet de loi antiterroriste, qui veut basculer les mesures de l’état d’urgence dans le droit classique, change quelque peu la donne…



Le 16/06/2017 à 10h 51






graphseb a écrit :

Je vois que finalement nous sommes nombreux à avoir la même vision : “ceux qui vont”. “Ceux qui vont” pose deux problèmes, àmha :
#1. À part Élisabeth Tessier, personne ne peut affirmer qu’il feront. On peut réunir un certain nombre de suspicions et d’éléments factuels, mais tant que ça ne se matérialise pas (au moins par un commencement d’exécution), y a rien.
&nbsp;#2. La justice édictant que “pas de peine sans crime” (et pas de crime sans intention + a minima début d’exécution), la “prévention” ne peut qu’être dans une dynamique illégale (au moins a-légale), du moins tant qu’on respecte les droits fondamentaux de l’homme et du citoyen.

Pour nuancer un petit peu ton 2ème point, la prévention n’est pas seulement le renseignement, la surveillance en amont, etc. (et les questions justifiées que tu poses sur la légalité).

Il y a aussi un volet prévention qui n’est pas du ressort du renseignement : éducation, social, etc. Tout cela joue sur les bascules d’un certain nombre d’individus.


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Le 15/06/2017 à 13h 22






carbier a écrit :

Les mots ont un sens.



      Si depuis quelques mois maintenant tu ne vois pas en quoi dans chaque article (éditorial) de ce genre, le rédacteur affirme que l'intrusion du renseignement français dans Internet est une atteinte aux libertés, je ne peux rien pour toi...            





      Donc partant de ce postulat, quand on voit depuis quelques éditoriaux revenir le fait que tout nouvel attentat serait une preuve de la défaillance du renseignement français, on est en droit de s'interroger sur la logique derrière tout cela.






     1. C'est l'analyse de NextInpact. En tant que journal, il est parfaitement légitime de la rendre publique. Par ailleurs, il se trouve que les articles de NI sur le sujet sont des analyses construites et argumentées et ne sont pas des éditoriaux (la différence est majeure). Après, libre à toi de contester ces analyses, mais dans ce cas, en se plaçant sur le même terrain : l'argumentation.           





     Le recul des libertés, qu'on soit d'accord ou pas avec, est une réalité. NI ne fait que rendre compte de la réalité. Il suffit simplement de lire les projets de loi (on ne peut pas faire plus tangible...).           





     Pour illustrer, un simple exemple : le délit de consultation d'un site  terroriste (qui est toujours dans les tuyaux). Il a été retoqué  justement parce qu'il permettait de criminaliser une "lecture" de  contenu, avec des formulations très vagues quant aux justifications,  permettant ainsi d'attraper beaucoup de monde (et donc des "faux"  positifs).           





     Il y a une question de rapport coût (sur les libertés)/efficacité à se poser.            
&nbsp;
2. Sources ? et j'avoue ne pas comprendre la phrase.





     Par contre, il y a des analyses (et pas des éditoriaux) qui expliquent, arguments à l'appui, en quoi la criminalisation d'un certains nombres d'actes  n'empêcheront pas les terroristes de passer à l'acte.            
Idem la surveillance de masse, la privation de libertés (ie. état d'urgence, enfermement préventif).





     Encore une fois, on a l'exemple des US qui ont largement dérivé dans cette direction. On peut pas dire que cela a été d'une énorme efficacité. Par contre, les dérives, on les a bien vues...            





     Enfin, même si des initiatives existent, on parle peu de deux questions en amont fondamentales :            






  • Causes exogènes : Quid des impacts de la politique étrangère de la France (et de ses alliés) ?

  • Causes endogènes : Quid des raisons qui amènent des personnes à basculer dans le fanatisme en France ? (et là, les réponses sont ailleurs que dans le sécuritaire et la surveillance).

    Ces questions, aujourd’hui, sont peu traitées. Par contre, on empile des textes sécuritaires à la chaîne (NI a raison de rappeler ce chiffre absolument effarant), dans l’urgence, sans recul et pire, sans mesurer avant l’efficacité des textes précédents.

    Un exemple : les lois sur les boîtes noires, la surveillance au niveau des FAI, etc. Est-ce que ça fonctionne ? Est-ce que les services de renseignement en ont réellement l’usage et sont en capacité de les exploiter ? etc.
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    Et pour répondre à ces questions, il faut une évaluation indépendante, pas un service qui serait juge et partie.



Plusieurs organisations unies contre l'état d'urgence permanent voulu par Emmanuel Macron

Le 09/06/2017 à 17h 31






NextlNpact a écrit :

Faut dire qu’à la défense c’est pas vraiment un “nouveau”. Mais déjà si on arrivait à ne pas avoir une opposition stérile droite/gauche (comme par exemple le PS sur cette question qui était pour la plupart des mesures et là d’un coup se retrouve à les dénoncer) on aura déjà fait un premier pas.
Après on verra dans la pratique ce que donnera réellement ce projet de loi, s’ils entendent raison sur les perquisitions (déjà prouvées inutiles) et les assignations à résidence/interdiction de fréquenter une zone (jugées anticonstitutionnelles) on aura déjà évité un grand pas vers le n’importe quoi…


Le problème, c’est qu’il y aura probablement des reculs (et personnellement, je l’espère), mais malgré tout, certains points vont passer et c’est ainsi que le glissement progressif s’opère…
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Romaindu83 a écrit :

Avec l’extrême-droite, nous ne serions pas en état d’urgence, mais dans le degré supérieur, c’est à dire l’état de siège. Avec l’extrême-droite, ce serait pire qu’avec Macron, concernant les mesures d’exception..
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Les Français (pas tous, je généralise simplement) réclament toujours plus de sécurité. Il est même inquiétant de voir de plus en plus de Français qui déclarent être prêt à perdre un peu de leur liberté pour plus de sécurité. Il faut dire aussi que depuis les attentats du 13 novembre 2015, d'autres actes terroristes ont eu lieu sur notre territoire et que de plus en plus de Français se sentent en insécurité dès qu'ils sortent de chez eux. Les attentats dans des pays voisins renforcent leurs impressions.  Vous ne pouvez donc pas en vouloir à ces Français. Ils sont comme tout le monde, ils sont émotifs.    





Ces organisations unies qui protestent contre l'avant-projet de loi visant la lutte contre le terrorisme et la sécurité publique sont bien loin de représenter la pensée générale des citoyens français. J'oserais dire même que ces organisations unies représentent une minorité de Français. L'état d'urgence permanent répond à la demande des Français qui veulent toujours plus de sécurité. Certains d'entre eux voudraient même que nous copions Israël. Rien que ça... Pourquoi Macron ne les écouterait-il pas ?







  1. Heu, mon propos sur l’extrême droite était juste pour illustrer le fait que le fameux renouveau politique (et le respect de la parole) tant promis n’arrive jamais , ce qui est une des raisons (pas la seule certes, mais une importante) qui poussent certains à basculer dans les bras de cette extrême droite, dont on connaît les tentations autoritaires.

    Maintenant, ce n’est pas parce que ce serait pire avec l’extrême droite que cela justifie la dérive en termes de libertés publiques que l’on observe depuis 10 ans (droite comme gauche).

    ça a été dit maintes reprises, et de manière plus intelligente que moi, mais installer de telles mesures répressives, de surveillance, etc., c’est mettre en place des outils légaux très dangereux dans les mains de personnes peu scrupuleuses. Et pour ça, pas besoin d’attendre un quelconque dictateur : les abus de pouvoir dans une démocratie (par la police, les élus, les juges aussi, etc., bref tous ceux qui disposent d’un pouvoir), ça existe et pas qu’un peu !

    Après, on me rétorquera que même sans la loi, on régime autoritaire fait ce qu’il veut. Certes, mais autant ne pas lui faciliter la tâche. Or un régime autoritaire, ça ne s’installe pas forcément d’un seul coup, mais parfois de manière progressive et insidieuse (cf. l’histoire).
    &nbsp;

  2. Pour le reste, bien sûr que je peux comprendre l’état d’esprit de pas mal de gens. Mais les réponses apportées sont complètement démagogiques. L’état d’urgence n’apporte pas plus de sécurité réelle. La surveillance de masse ne donne pas de résultats magiques (cf. les US). Par contre, les restrictions de crédit sur certaines missions essentielles (que l’on parle de renseignement, d’éducation ou de je ne sais quel secteur dont on pense qu’il peut avoir un impact en amont), on en voit les résultats aujourd’hui.




    BZH29 a écrit :

    De toute façon, comment veux-tu qu’avec une société comme la notre, les politiques puissent faire quelque chose même s’ils voulaient vraiment aider le peuple corps et âmes ? ( ce que ne souhaitent pas macron bien entendu ).
    &nbsp;
    Prend un mec qui ( je ne sais pas comment il y parviendrait mais bon, imaginons ^^ ) se ferait élire président avec un programme visant à vraiment combler ce putain de fossé entre riches et pauvres, disons au moins ramener les pauvres à un niveau de vie modéré; de quoi finir les fins de mois, pouvoir bouffer de la viande autre que 1er prix quoi ( transformé en france, ce genre là ) et pouvoir se payer de temps en temps des vacances au soleil; en faisant cracher au bassinet les évadés fiscaux et autres racailles de la finance et du cac40, et bien, il y a tellement de frein dans cette société et de tentation quand tu es au pouvoir qu’il ne pourrait strictement rien faire, à part une ou deux mesures fares et qu’il finirait comme tous les autres, pourri jusqu’à la moelle.

    ( vision pessimiste ?, oui oui, j’assume ;) )&nbsp;


    Oui oui vision pessimiste ;)
    Le souci, c’est qu’on n’en est même pas à l’étape d’avoir quelqu’un comme tu le décris. C’est évidemment là mon avis personnel : ce serait déjà, malgré les obstacles dont tu parles, un vrai progrès.



Le 09/06/2017 à 16h 13






Romaindu83 a écrit :

Le Gouvernement prévoit bien une fin à l’état d’urgence, mais cela aura lieu lorsque les mesures d’exception seront devenus une règle. C’est que je comprend. Autrement dit, le Gouvernement prévoit ni plus ni moins que d’établir un état d’urgence permanent. Je rappelle, à tout hasard, qu’Emmanuel Macron était opposé à un état d’urgence permanent, avant de devenir Président de la République. Dans son bréviaire intitulé “Révolution”, paru&nbsp; en novembre 2016, Macron explique clairement qu’il est opposé à un état d’urgence permanent.


Ce qui montre à l’évidence que le renouveau de la pratique politique promis et annoncé (au hasard, par exemple, mettre sa parole et ses actes en cohérence) est, comme à chaque fois, un écran de fumée. C’est rageant, vraiment. Et je pense que cet exemple n’est que le premier d’une longue liste, malheureusement.

Et dire que certains continuent de ne pas comprendre pourquoi tant de gens basculent vers l’extrême droite…



Ligne par ligne, l’avant-projet de loi sur l’état d’urgence permanent

Le 09/06/2017 à 08h 44

Mes 2 euros :





  1. Parler de dictature, de démocratie, etc. c’est un débat sans fin.

    Il y a cependant un fait incontestable depuis plusieurs années : avec les différentes lois contre le terrorisme, sur le pénal, etc., les pouvoirs de contrôle/surveillance/répression de la part de l’État augmentent largement.

    De fait, on peut retourner les arguments dans tous les sens, cela signifie que les libertés publiques régressent !
    Après, chacun est libre de ses opinions et d’estimer que ces changements sont graves ou pas. Mais ces changements ne peuvent être niés, ils existent.



  2. Le fait est que l’augmentation de ces pouvoirs fait que les cibles potentiels de ces moyens de contrôle/répression sont plus larges qu’avant, avec le risque accru que ces pouvoirs soient détournés de leurs objectifs initiaux (comme cela a été constaté avec l’état d’urgence).

    Un pouvoir exécutif a toujours la tentation de plus de contrôle. Relire ses cours d’histoire et de philosophie.

    C’est bien pour ça que l’on parle de la séparation des pouvoirs. Et contrairement à ce que certains lui font dire, la séparation des pouvoirs ne signifie pas que chaque pouvoir fait ce qu’il veut dans son coin. D’ailleurs, il est plus juste de parler d’équilibre des pouvoirs : en clair, garantir un équilibre entre indépendance et contrôle.

    Sachant que le pouvoir exécutif est par nature plus fort que les autres (il détient tous les moyens matériels, l’administration, la police, etc.), dans une démocratie digne de ce nom, l’équilibre indépendance/contrôle doit pencher plus de contrôle de la part des autres pouvoirs (législatif, judiciaire), pour éviter les abus.

    Plus vous limitez les possibilités de contrôle de l’exécutif par les autres pouvoirs, plus on s’éloigne d’un fonctionnement démocratique.

    (A noter qu’en France, le parquet n’étant pas indépendant, le judiciaire ne peut être qualifié complètement de pouvoir).



  3. Enfin, on a le droit de trouver anormal que l’on enferme préventivement des personnes sur des suspicions de trucs peut-être à venir, sans que leur culpabilité n’ait été préalablement prouvée et sans moyens de défense.
    &nbsp;


Le gouvernement Philippe veut contrefaire l’état d’urgence dans le droit commun

Le 08/06/2017 à 07h 50






popo76 a écrit :

Au moins les kevin ou nicolas qui vivent pres de moi n’essaient pas de me tuer ou d’exploser en criant alah wakba !



 Mais bon si toi t’apprécie ça ;)






En l'occurrence, et je t'enjoins à aller lire les articles qui ont analysé ça très précisément (de mémoire mediapart, le Monde, libé, etc.), la très grande majorité des personnes que tu cites sont de nationalité française, pour une grande part de naissance, donc ton argument ne tient pas une seconde la route.      





C'est bien là le cœur du problème que beaucoup de nos politiques n'ont absolument pas compris : si les influences sont extérieurs (Daesh tout ça), la menace et les dangers sont en grande partie intérieure. Et que fermer les frontières, faire dans la répression à tout va, interner les fichiers S, etc. tout ça ne résoudra rien si on ne cherche pas à comprendre comment et pourquoi des personnes basculent de ce côté.      





Il y a une bataille intellectuelle et culturelle que toutes les lois sécuritaires ignorent et ne résoudront pas, outre le fait qu'elles diminuent nos libertés (et donc finalement, comme l'ont très bien dit plusieurs au-dessus, vont dans le sens des terroristes). En allant dans cette direction du tout sécuritaire et des coups de menton, on finira par perdre ou en tout cas à maintenir une situation de tension en permanence. On a pourtant l'exemple des US qui ont voulu faire la guerre partout, diminué les libertés publiques, mis sous surveillance toute la population : pour quel résultat ?   



En ce qui me concerne, je suis pas prêt à échanger les libertés publiques contre une promesse illusoire de sécurité.



Next INpact v6.1 : nouvelle page d'accueil et nouvelles options

Le 11/05/2017 à 14h 49

J’ai quelques petits soucis avec les filtres sur la page d’accueil.

Je n’ai pas encore bien saisi dans quels cas de figure cela intervient, mais un exemple :

Si je déselectionne le bouton “analyse”, puis le bouton “en bref”, les
deux sont grisés (normal). Si je resélectionne le bouton “en bref”,
celui des analyses redevient actif lui aussi. Si ensuite je grise le
bouton “en accès libre”, cela grise aussi le bouton “en bref”.

Autre comportement : tout est bleu au départ. Si je grise le bouton “en bref”, les articles “en bref” sont toujours visibles.
&nbsp;
Il semble y avoir un décalage ente l’état du bouton et le filtre réellement actif.
Je suis sur Firefox 52.0.2 et Win 7.