Il y a quand même beaucoup de confusion entre les producteurs d’electricités (EDF, Direct Enerigie, …) et le distributeur Enedis.
Enedis pour l’électricité, c’est comme France Telecom pour la téléphonie, ils gèrent la boucle locale. Point.
Ils installent des compteurs, qu’ils s’appellent Linky ou Compteur Bleu et il faut en remplacer des milliers tous les ans.
La gestion intelligente de la consommation des foyers est à la charge des producteurs, pas d’Enedis. Linky est juste le moyen de gérer cette consommation.
De toute façon il y a 2 options, soit on est capable de piloter la consommation des particuliers à grande échelle afin de réguler la production, soit on augmente notre parc de centrales nucléaires.
En effet l’électricité s’accumule très mal et la production doit être capable de répondre au pique consommation. Imaginez quand tous les parisiens brancheront leur véhicule électrique à 19h en rentrant du boulot…
Que Jamendo demande à tous les artistes ayant été diffusés dans les magasins Saint Maclou par lettre recommandée à ce que la SPRE leur restitue leurs droits d’auteur.
Soit la SPRE refuse officiellement et dans ce cas MusicMatic et Jamendo pour le compte des artistes peut “arguer d’un défaut de versement de redevances qui leur seraient dues”.
Soit la SPRE accepte et dans ce cas, il n’est plus nécessaire de souscrire à la SACEM pour être rémunéré.
Ensuite, l’utilisation a des fins commerciales d’une musique, c’est l’utilisation qu’en fait Saint Maclou, pas MusicMatic ou Jamendo.
La musique étant une valeur ajoutée pour ses magasins (sinon ils n’en diffuseraient pas).
Électronique, c’est là où j’ai découvert l’informatique (en 1986)
Edit : Je ne sais pas s’il y a un équivalent aujourd’hui.
Le
30/04/2018 à
12h
41
Ce n’est pas sale ;)
Moi je n’ai qu’un Bac F2 (ça n’existe plus je pense), mais c’était plus une réflexion globale après la lecture de 5 pages de commentaires sur l’utilité du BAC.
Le
30/04/2018 à
12h
00
A vous lire, je n’imagine même pas l’opinion que vous avez d’un titulaire de CAP ou BEP.
Juste une remarque, la décision de la CJUE n’a pas encore été prise, il ne s’agit que de l’avis de l’avocat général.
Le
27/04/2018 à
12h
39
D’accord pour la pédagogie, mais pour tout ce qui est graphique, la tendance est quand même à se servir d’abord et aviser seulement si ça pose problème. La reprise d’image protégée ne serait qu’un problème ponctuel, on pourrait parler de pédagogie mais certains en on fait leur métier.
Je n’ai aucun doute sur la bonne foi de l’élève mais je suis ulcéré par le comportement de l’école (rab des droits d’auteurs).
Une page facebook qui recense le vol d’illustration pour bien expliquer l’étendue du problème.
Le
26/04/2018 à
14h
42
127.0.0.1 a écrit :
Non, il peut le vendre autant de fois qu’il le veut pour se faire autant d’argent qu’il veut.
Ce qui me dérange c’est que la vente d’une oeuvre impose à l’acheteur PAR LA LOI des restrictions sur la diffusion de l’oeuvre.
Que ce soit contractuel, pourquoi pas. Chaque auteur pourrait proposer ses conditions et libre aux acheteurs d’acheter ou d’aller voir ailleurs.
Libre a toi de payer une dérogation à la SACEM pour pouvoir diffuser l’oeuvre en public… Comme on paye une licence multisite pour un plugin si on veut l’installer sur plus d’un site web.
Le
26/04/2018 à
14h
39
gavroche69 a écrit :
1/Ce que je trouve amusant dans cette discussion c’est qu’il y a pas mal de commentaires qui défendent plus ou moins le photographe alors que sur les droits d’auteur concernant la musique et les films c’est souvent unanimement contre les AD… " />
2/Pourtant, faire une photo de paysage ça prend bien moins de temps que faire une chanson ou un film… " />
Bon cette comparaison est volontairement ironique mais je trouve quand même qu’il semble bien y avoir 2 poids 2 mesures selon les AD concernés.
1/ Ce sont souvent les majors et autre SACEM plus que les auteurs/artistes qui sont critiquées en général il me semble.
2/ sauf le temps passé à apprendre à faire des photos de qualité, les investissements dans les appareils, les objectifs, l’utilisation de photoshop, …
Si les photographes professionnels n’avaient pas de valeur ajoutée, il ne seraient pas sollicités.
Le
26/04/2018 à
14h
21
127.0.0.1 a écrit :
S’il peut légalement poursuivre quelqu’un qui a publié un screenshot du rendu graphique effectué par son plugin (i.e. un thème), alors oui c’est exagérément démesuré.
Selon ton point de vue, une fois qu’il s’est remboursé il ne doit plus vendre son plugin et faire de bénéfice sinon il dispose de droits exagérément démesurés… J’ai bien compris ?
Le
26/04/2018 à
14h
05
crocodudule a écrit :
1°/ Malgré tes dénégations, la question de but lucratif n’est pas en débat, il suffit de lire.
2°/ Inutile de changer ton propos qui était de dire que si c’était payant c’était une œuvre. Aucun rapport donc entre le problème du photographe professionnel et la prise de vue par téléphone (étant précisé s’il en était besoin qu’une prise de vue par téléphone et par un amateur serait tout autant une œuvre, peu importe que son accès soit ou non conditionné au paiement d’une dîme).
3°/ Euh oui c’est l’objet de la saisine préjudicielle ; savoir oui ou non si ça relève d’une des exceptions, donc ton commentaire précédent, à savoir que malgré une exception prévue il faudrait l’autorisation préalable de l’auteur, était totalement à coté de la plaque. Soit il y a exception et donc pas de demande d’autorisation préalable, soit il y a pas d’exception applicable et donc il est nécessaire d’avoir une autorisation préalable… C’est l’un ou l’autre et pas les deux comme tu l’indiquais précédemment.
Si tu le dis…
mon propos est de dire qui si c’est sa photo a été choisie et pas celle dans ton téléphone c’est qu’elle avaient une valeur ajoutée (dimension artistique) à laquelle tes photos ne correspondent pas.
C’est pour ça que sa photo a été choisie par le site et c’est peut être même pour ça que l’élève l’a choisie également.
Tout ça pour répondre à ton postulat de base, je cite :
“Ensuite si le caractère original de l’œuvre doit être pris en considération, c-à-d contenir “l’empreinte personnelle de son auteur” pour reprendre la formule consacrée, à défaut de quoi “l’œuvre” n’est pas protégée.”
ai-je dit le contraire ?
A quel moment j’ai dit que “malgré une exception prévue il faudrait l’autorisation préalable de l’auteur” ?
Le
26/04/2018 à
13h
32
crocodudule a écrit :
1/ Tu lies à l’envers, la Cour n’est pas saisie s’agissant de savoir s’il y a ou non une dimension lucrative, l’Avocat Général ne fait que lister les conditions d’application de l’exception au droit d’auteur, citant et balayant puisque ce n’est pas une contestation soulevée, le caractère non commercial.
2/ Il dit qu'il voit pas le rapport.
3/ Le principe d'une exception au droit d'auteur c'est précisément de ne pas avoir besoin de l'autorisation du dit auteur (ou de l'exploitant ou de son fils adoptif au 2° degré), sinon c'est plus une exception au droit d'auteur mais la cession d'un droit, celui d'exploiter l’œuvre.
La cours est saisie pour :
« L’insertion, sur un site Internet accessible au public, d’une œuvre librement accessible à l’ensemble des internautes sur un autre site Internet avec l’autorisation du titulaire du droit d’auteur constitue-t-elle une mise à la disposition du public au sens de l’article 3, paragraphe 1, de la directive 2001⁄29, lorsque l’œuvre a d’abord été copiée sur un serveur puis, de là, chargée sur le site Internet ? »
Il n’est pas précisé “L’insertion, sur un site internet à but pédagogique et non lucratif (…)”
L’avocat général fait de la communication apriori, c’est son rôle.
Effectivement il n’y a pas de rapport entre les photos présentes dans un téléphone et celles réalisées par un photographe professionnel.
L’exception sera avérée (ou pas) une fois que la CJUE aura rendu ses conclusions.
Le
26/04/2018 à
13h
06
Ils pourraient simplement demander à être payés en notoriété " />
Personnellement, la notion de “culture d’état” ça me fait un peu flipper quand même…
Le
26/04/2018 à
13h
00
crocodudule a écrit :
Si… la news et les conclusions de l’avocat général rapportent qu’il n’est pas en débat la question de savoir s’il y avait ou non un but lucratif, y en a pas.
Pas la news mais les seuls conclusions de l’avocat général. L’avocat Général n’est pas la CJUE. D’ailleurs le dernier paragraphe de l’article précise : “Ces conclusions ne lient pas la Cour. ”
crocodudule a écrit :
Ensuite si le caractère original de
l’œuvre doit être pris en considération, c-à-d contenir “l’empreinte
personnelle de son auteur” pour reprendre la formule consacrée, à défaut
de quoi “l’œuvre” n’est pas protégée. Précisément, je dois avoir +20
photos de ce pont (refait d’ailleurs il n’est plus ainsi aujourd’hui)
Etrange que Schwarzaufweiss.de ait préféré payer un photographe professionnel plutôt que d’utiliser tes photos dans ce cas.
crocodudule a écrit :
Enfin, dans un strict cadre éducatif et s’il n’y a pas naturellement
de dimension lucrative, je fais parti de ceux qui estiment que le seul
droit dont peut se prévaloir l’auteur sont les droits moraux et s’assoir
sur la moindre rétribution.
Qui prétend le contraire ? Ce qui est reproché à l’école c’est que “(…) les intéressés [n’ont] obtenu son autorisation préalable.”
En clair ils se sont assis sur la loi apriori et jouent les vierges effarouchés une fois qu’ils ont le nez dedans.
Le
26/04/2018 à
12h
24
127.0.0.1 a écrit :
Je le répète, le problème ce n’est pas le photographe qui profite des droits que la loi lui accorde.
Le problème c’est la loi qui accorde des droits exagérément profitables au photographe.
Donc un gars qui développe et vend un plugin wordpress (par exemple) a également des droits exagérément démesurés ?
Le
26/04/2018 à
12h
00
Jarodd a écrit :
Elle le peut déjà, vu qu’il existe des milliers de sites web basés sur du code libre. C’est même tout l’intérêt.
Je n’ai jamais précisé que le code était libre…
Il existe aussi des photos en Creative Commons, peut être même des photos de Cordoue.
Edit : désolé pour la redondance des propos.
Le
26/04/2018 à
11h
13
crocodudule a écrit :
Il faudra aussi qu’à l’inverse de celui de la photo de Cordoue, les photographes s’interrogent sur l’intérêt d’attaquer une école qui dans le cadre d’un objectif éducatif et sans intérêt lucratif, utilise à titre d’accessoire une photo (interchangeable avec toute autre pour avoir parcouru le portfolio du “photographe”) et donne un peu de notoriété à un illustre inconnu en citant la source faute d’avoir pu trouver l’auteur en l’absence de toute mention.
Tout d’abord, rien ne vous permet en l’état d’affirmer que cette photo a été publiée sur le site web de l’école “dans un objectif éducatif et sans intérêt lucratif”. Avant de tirer une quelconque conclusion sur les intentions de l’école, attendons la décision de la cours .
Le rôle d’une institution, et en premier lieu une école, est de respecter la loi. S’ils veulent publier une photo sur leur site web ils doivent s’assurer qu’elle est libre de droit.
Vous avez le droit de ne pas apprécier le travail de ce photographe ça ne change rien au problème.
Enfin la fameuse notoriété dont se nourrisse les artistes… C’est formidable la notoriété !
“Vous êtes musicien, venez jouez gratuitement dans mon bar c’est bon pour votre notoriété !”
“Vous êtes illustrateur, concevez moi un logo gratuitement, c’est bon pour votre notoriété !”
“Vous êtes écrivain, venez animer gratuitement nos atelier sur le droit d’auteur (comme dirait l’UNESCO) c’est bon pour votre notoriété !”
Si demain l’éducation nationale récupère les lignes de code d’un site web pour les intégrer dans un manuel scolaire, ça ne pose pas de problème ? C’est portant à but éducatif et sans intérêt lucratif.
Le
26/04/2018 à
09h
32
Mearwen a écrit :
Sauf que le photographe a probablement été rémunéré par le site originel. Même si l’utilisation abusive de travaux photographiques est très courant et problèmatique, ici ce n’est pas le cas. On parle de réutilisation d’un travail déjà réalisée.
C’est comme si un informaticien attaquait pour la réutilisation du code source d’une page web publique dans un exposé scolaire, ca n’aurait pas de sens.
Ca dépend si le photographe a été mandaté spécifiquement par le site d’origine pour la photo (le site paye le voyage et le temps passé par le photographe pour aboutir à cette photo) ou si le site a juste payé un droit (souvent moindre) pour utiliser cette photo comme illustration.
Un plugin wordpress payant l’est pour chaque site qui l’utilise et pas seulement pour le premier.
Le
26/04/2018 à
09h
00
Jarodd a écrit :
“Si une entreprise (dans ce cas une école)”
Tu es sérieux là ? Tu considères qu’une école qui publie l’exposé d’un élève est à considérer au même plan qu’une entreprise commerciale ? Ca signifie quoi, l’école “se met en valeur”, tu crois qu’elle va vendre les exposés des élèves pour se faire de l’argent ? Ou qu’elle aura une meilleure réputation, qui lui amènera de meilleurs élèves ?
Quelle tristesse de penser ainsi " />
Bien sur, d’ailleurs le photographe, c’est bien connu, ne vie que d’amour et d’eau fraiche.
C’est toujours amusant de voir comment les gens sont généreux avec la propriété… Des autres.
Le
26/04/2018 à
08h
33
Pas facile… Est ce qu’un site institutionnel peut utiliser une image sans rétribuer son auteur ?
Que l’élève, en tant que particulier, l’utilise dans son exposé ne pose pas de problème.
Mais si une entreprise (dans ce cas une école) se sert de cet exposé pour se mettre en valeur et que cette photo y contribue, l’entreprise doit à mon avis s’assurer que la photo est libre de droit.
Pour ma culture personnelle, est ce qu’un bailleur peut par exemple demander au greffe une copie des jugements à l’encontre de son futur locataire ?
Le
25/04/2018 à
12h
24
bloossom a écrit :
(…)Par contre, après, l’intérêt est différent et bien moindre face à la sensibilité des données contenues dans la décision. Le dossier existera toujours (non anonyme), et j’ai l’impression que beaucoup l’oublient. Mais ceux qui souhaitent le consulter sans aucun motif légitime auront accès à une version anonymisée.
Sauf que si le procès est couvert médiatiquement, la décision ne sera pas anonymisée car disponible. Ca créé donc un déséquilibre entre 2 décisions de justice.
Prenons par exemple un cas médiatique récent, quasiment toutes les décisions de justice concernant Jawad Bendaoud (sauf peut-être celles rendues lorsqu’il était mineur s’il en a eu) seront toujours disponibles dans les années à venir.
Pourquoi lui n’aurait il pas droit à l’oubli ? D’autant qu’il a été relaxé lors de son dernier procès.
D’ailleurs, il me semble qu’une personne condamnée avait demandé à Google le déréférencement d’articles concernant ses condamnations passées et n’a pas eu gain de cause auprès de la CJUE au nom du droit à l’information.
Le
25/04/2018 à
11h
08
Sauf que pour tous les cas médiatisés (affaire Gregory, acquités d’Outreau, …) ces informations sont toujours disponibles.
Ca sous entends que certaines décisions peuvent être publique et d’autres non mais que seule la presse peut décider ?
Le
25/04/2018 à
10h
47
Il me semblait qu’à part quelques rares exceptions, les décisions de justices étaient publiques.
Personnellement je lis régulièrement des compte rendus nominatifs comme sur le site épris de justice
Je ne comprends pas bien comment tu peux utiliser FB sans partager ton carnet d’adresse. ça voudrait dire que tu ne communiques jamais avec personne via le site et que tu l’utilises seulement pour consulter des pages?
Sachant que rien que la nature des pages que tu consultes et la façon dont tu les consultes permet d’établir un profil…
Ben les amis facebook n’ont rien à voir avec mon carnet d’adresse.
Lorsque j’ai installé l’application facebook sur mon téléphone professionnel, je n’avais pas fait attention que je donnais l’autorisation à facebook de rechercher dans le carnet d’adresse de mon téléphone. C’est pour ça qu’ils me proposaient en ami des contacts pro qui n’ont rien à voir avec mon utilisation de facebook.
Aujourd’hui ce n’est plus autorisé.
Et effectivement les pages que je consulte sont en lien avec mes activités associatives et non avec mes relations personnelles/professionnelles que je contacte “à l’ancienne” avec un mail ou un téléphone… Facebook n’est qu’un outil.
Le
24/04/2018 à
14h
14
xlp a écrit :
Et le prix est fixé par rapport à l’offre et à la demande. Facebook prend l’exemple du moteur de recherche. Donc le moteur de recherche, il est gratuit, et prenons Google, c’est son moteur de recherche qui le fait tourner financièrement ?
Donc ok, Facebook peut définir son “média social” comme un produit, dont il fixe le prix à 0 (dans la devise de votre choix). Mais Facebook propose d’autres produits, dont les espaces publicitaires, in fine, les utilisateurs qu’on permet de cibler au plus près pour augmenter leur valeur. Ils ont juste dû oublier d’en parler.
Je n’ai pas compris le parallèle ?
Google vend des espaces publicitaires associés à chaque recherche et c’est bien comme ça qu’il gagne de l’argent, entre autre.
Facebook en fait de même en insérant des espaces publicitaires dans son fil d’actualité. Les modèles économiques sont identiques pour moi.
D’ailleurs ces espaces publicitaires ne sont pas le problème, le problème c’est la capitalisation big data des données personnelles que ce soit par google ou facebook.
Le
24/04/2018 à
08h
14
Suite à la sollicitation de facebook je suis allé voir les autorisations dans mon profil, il y a beaucoup plus de paramètres que les 2 proposés suite à la RGPD.
Ensuite, on sait tous que nous sommes un produit pour facebook, mais facebook est également un outil de communication.
Rien ne nous oblige a exprimer nos convictions personnelles (religieuses, politiques ou autre) sur ce média. Rien ne nous oblige - aujourd’hui - à partager notre carnet d’adresse personnel avec facebook, ni a communiquer sur ce qui nous plait ou pas.
Bref facebook est un outil et c’est à nous de savoir l’utiliser.
C’est vrai, mais bizarrement, même si je commence à avoir mal au dos et aux articulations, je n’ai pas spécialement envie qu’on m’euthanasie. " />
Le
24/04/2018 à
13h
30
Pas tout à fait. Le babyboum a créé un choc démographique entre ceux né avant et après la guerre, mais il y a eut des tentatives pour essayer d’encaisser le babyboum comme la vignette automobile.
Mais depuis, la démographie en France, contrairement à d’autre pays européens, n’a pas baissée et les cotisations sont équilibrées.
La seule différence c’est qu’effectivement les vieux vivent plus vieux mais pas forcement en bonne santé (donc impropres à la productivité).
Pour les programmes politiques ça tient pas mal du fantasme même s’ils vont plus voter que les jeunes et sont donc, de fait, plus attractifs pour les politiciens.
Le
24/04/2018 à
12h
56
Mouais, enfin à mon avis ça tient quand même du fantasme. A première vue, faire tourner un rig ne rembourse même pas les GPU
Le
24/04/2018 à
12h
42
Marrant, jusqu’à environ 40 ans j’étais également pour me débarrasser des vieux, maintenant que j’approche les 50 je suis plus réticent.
Le
24/04/2018 à
08h
19
Stel a écrit :
Il y a pire, je connais un paquet de salarié d’enedis qui font tourner des rigs de mining chez eux.
Ils payent pas l’elec et consomme à mort, puis vendent les crypto qu’ils ont miner.
Tout ca sur le dos des autres. C’est pas beau les privilèges ?
Ah, on me souffle dans l’oreillette que l’elec va encore augmenter cet été. Enjoy.
Source ?
Le
23/04/2018 à
13h
18
Personnellement, passant finalement peu de temps devant les écrans je préfère une série occasionnelle comme “les petits meurtres d’Agatha Christie” ou “Capitaine Marleau” à des séries au long court de 5 à 10 saisons de 25 épisodes (chacun ses goûts).
Mon seul regret aujourd’hui est le manque d’indépendance de la TV publique vis à vis du pouvoir (surtout franceinfo tv).
Pour le reste, il semble obligatoire d’avoir une source d’information officielle (équivalent du JO), donc une TV publique est indispensable.
Je viens de lire vos messages et je trouve quand même que la majorité des remarques sont basées sur des cas personnelles (je suis célibataire, je regarde Netflix, j’aime pas la TV réalité -d’ailleurs pour cette dernière il faudrait m’expliquer, je ne regarde que du streaming, …) quand la TV publique se doit d’être universelle.
Ce ne serait pas sur les produits ayant une TVa à 19,6% comme les CD ou les JV ?
Quand on connait les faibles marges des autres acteurs du livre je ne vois pas comment ils peuvent prendre 10% de plus à moins qu’ils soient considérés également comme diffuseurs.
Le
17/04/2018 à
11h
45
Des “marges” de 42 % !?!
Non, en général les librairies prennent 36% TVA incluse , les marges prennent en compte les m², le personnel, les frais de manutention parfois de réexpédition.
Les distributeurs imposent effectivement des livres non souhaités afin de favoriser la diversité de l’offre et de mettre en avant des livres qui sinon ne pourraient pas être vendus.
C’est pour ça que les distributeurs/diffuseurs prennent également 20% sur la vente d’un livre.
Qui peut découvrir un livre qui se trouve au fin fond d’un magasin derrière un pilier ? De même qui peut découvrir un livre qui se trouve distribué par un site web perdu en 3e page de google.
Les nouveautés mises en avant dans une librairie ne sont que très rarement le choix du libraire. Effet indésirable, surtout dans les grandes villes, les libraires proposent tous, plus ou moins, les mêmes livres (ventes assurées et choix des distributeurs).
Le
17/04/2018 à
09h
25
Ne pas oublier la TVA qui dans le lien est associée au Libraire (5,5%)
Le
17/04/2018 à
08h
11
Tout d’abord je ne comprends pas pourquoi, lorsqu’on achète un livre matériel on ne peut pas disposer de la version numérique gratuite (utile lorsqu’on part en vacances avec une limite de poids pour les bagages).
Il est aujourd’hui tout à fait possible de créer un e-commerce de diffusion de livre quasiment gratuitement avec des extensions wordpress (wooshop entre autre). Reste quand même le référencement et la comptabilité qui ne sont pas à négliger.
Les livres gratuits dit “libres de droit” son bien souvent des recopies par des bénévoles ce qui implique bine souvent des fautes de frappe (il faut 2 ou 3 relecteurs pour ne rien laisser passer).
Enfin si je commande chez amazon, c’est pour son catalogue exhaustif qu’il n’est hélas pas possible de retrouver dans une librairie.
Je comprends mieux ;) Après on ne fait pas de magie à ce niveau là, malheureusement (par contre dans ton cas les fdp représentent le tiers du prix payé, pas la moitié :p).
Sachez qu’il y a un tarif Livre avec La Poste qui permet d’envoyer à l’étranger des livres pour un prix dérisoire.
Edit :
En revanche je trouve que le magazine n’est pas vraiment décrit, c’est dommage.
Quel est le nombre de pages prévu (minimum), quel format, couverture souple ou cartonnée avec ou sans verni sélectif…
3181 commentaires
Contre les compteurs Linky, les députés LFI déposent une proposition de loi
21/05/2018
Le 22/05/2018 à 08h 46
Il y a quand même beaucoup de confusion entre les producteurs d’electricités (EDF, Direct Enerigie, …) et le distributeur Enedis.
Enedis pour l’électricité, c’est comme France Telecom pour la téléphonie, ils gèrent la boucle locale. Point.
Ils installent des compteurs, qu’ils s’appellent Linky ou Compteur Bleu et il faut en remplacer des milliers tous les ans.
La gestion intelligente de la consommation des foyers est à la charge des producteurs, pas d’Enedis. Linky est juste le moyen de gérer cette consommation.
De toute façon il y a 2 options, soit on est capable de piloter la consommation des particuliers à grande échelle afin de réguler la production, soit on augmente notre parc de centrales nucléaires.
En effet l’électricité s’accumule très mal et la production doit être capable de répondre au pique consommation. Imaginez quand tous les parisiens brancheront leur véhicule électrique à 19h en rentrant du boulot…
La musique Creative Commons diffusée dans les magasins est bien soumise à rémunération équitable
14/05/2018
Le 15/05/2018 à 11h 28
Je pense effectivement que c’est la bonne idée.
Que Jamendo demande à tous les artistes ayant été diffusés dans les magasins Saint Maclou par lettre recommandée à ce que la SPRE leur restitue leurs droits d’auteur.
Ensuite, l’utilisation a des fins commerciales d’une musique, c’est l’utilisation qu’en fait Saint Maclou, pas MusicMatic ou Jamendo.
La musique étant une valeur ajoutée pour ses magasins (sinon ils n’en diffuseraient pas).
Dès 2019, certains chômeurs devront détailler leurs recherches dans un « journal de bord numérique »
02/05/2018
Le 02/05/2018 à 15h 02
C’est quoi cette académie de religieux et royalistes ?
D’ailleurs je n’ai pas trouvé sur le site la publication associée à cette image.
Algorithmes de Parcoursup : Next INpact saisit la CADA
30/04/2018
Le 30/04/2018 à 12h 46
Électronique, c’est là où j’ai découvert l’informatique (en 1986)
Edit : Je ne sais pas s’il y a un équivalent aujourd’hui.
Le 30/04/2018 à 12h 41
Ce n’est pas sale ;)
Moi je n’ai qu’un Bac F2 (ça n’existe plus je pense), mais c’était plus une réflexion globale après la lecture de 5 pages de commentaires sur l’utilité du BAC.
Le 30/04/2018 à 12h 00
A vous lire, je n’imagine même pas l’opinion que vous avez d’un titulaire de CAP ou BEP.
Un exposé scolaire diffusé en ligne reprend une photo sans autorisation : contrefaçon ou pas ?
26/04/2018
Le 30/04/2018 à 11h 50
Juste une remarque, la décision de la CJUE n’a pas encore été prise, il ne s’agit que de l’avis de l’avocat général.
Le 27/04/2018 à 12h 39
D’accord pour la pédagogie, mais pour tout ce qui est graphique, la tendance est quand même à se servir d’abord et aviser seulement si ça pose problème. La reprise d’image protégée ne serait qu’un problème ponctuel, on pourrait parler de pédagogie mais certains en on fait leur métier.
Je n’ai aucun doute sur la bonne foi de l’élève mais je suis ulcéré par le comportement de l’école (rab des droits d’auteurs).
Une page facebook qui recense le vol d’illustration pour bien expliquer l’étendue du problème.
Le 26/04/2018 à 14h 42
Le 26/04/2018 à 14h 39
Le 26/04/2018 à 14h 21
Le 26/04/2018 à 14h 05
Le 26/04/2018 à 13h 32
Le 26/04/2018 à 13h 06
Ils pourraient simplement demander à être payés en notoriété " />
Personnellement, la notion de “culture d’état” ça me fait un peu flipper quand même…
Le 26/04/2018 à 13h 00
Le 26/04/2018 à 12h 24
Le 26/04/2018 à 12h 00
Le 26/04/2018 à 11h 13
Le 26/04/2018 à 09h 32
Le 26/04/2018 à 09h 00
Le 26/04/2018 à 08h 33
Pas facile… Est ce qu’un site institutionnel peut utiliser une image sans rétribuer son auteur ?
Que l’élève, en tant que particulier, l’utilise dans son exposé ne pose pas de problème.
Mais si une entreprise (dans ce cas une école) se sert de cet exposé pour se mettre en valeur et que cette photo y contribue, l’entreprise doit à mon avis s’assurer que la photo est libre de droit.
Gaia DR2 : une « révolution » pour l’astrophysique, des données sur 1,7 milliard d’étoiles
27/04/2018
Le 27/04/2018 à 11h 14
Merci pour l’article
Facebook explique ses règles de modération, un dispositif de contestation à la clé
26/04/2018
Le 27/04/2018 à 07h 00
Je dois avouer que le fonctionnement de Deviantart en terme de modération est efficace, je ne comprends pas pourquoi il n’est pas repris par facebook.
D’un coté le lecteur fait des choix
Je suis majeur, j’aime la nudité, je n’aime pas la violence,…
De l’autre l’utilisateur en fait aussi
Cette image/vidéo ne convient pas au mineur, contient de la nudité, contient de la violence…
Si une image contient de la nudité mais que l’utilisateur ne l’a pas déclarée comme telle elle est supprimée.
Open Data : le gouvernement veut imposer une large anonymisation des décisions de justice
25/04/2018
Le 25/04/2018 à 15h 16
Merci pour ces informations détaillées
Pour ma culture personnelle, est ce qu’un bailleur peut par exemple demander au greffe une copie des jugements à l’encontre de son futur locataire ?
Le 25/04/2018 à 12h 24
Le 25/04/2018 à 11h 08
Sauf que pour tous les cas médiatisés (affaire Gregory, acquités d’Outreau, …) ces informations sont toujours disponibles.
Ca sous entends que certaines décisions peuvent être publique et d’autres non mais que seule la presse peut décider ?
Le 25/04/2018 à 10h 47
Il me semblait qu’à part quelques rares exceptions, les décisions de justices étaient publiques.
Personnellement je lis régulièrement des compte rendus nominatifs comme sur le site épris de justice
Facebook l’assure : vous n’êtes pas le produit (sans convaincre)
24/04/2018
Le 25/04/2018 à 11h 05
Le 24/04/2018 à 14h 14
Le 24/04/2018 à 08h 14
Suite à la sollicitation de facebook je suis allé voir les autorisations dans mon profil, il y a beaucoup plus de paramètres que les 2 proposés suite à la RGPD.
Ensuite, on sait tous que nous sommes un produit pour facebook, mais facebook est également un outil de communication.
Rien ne nous oblige a exprimer nos convictions personnelles (religieuses, politiques ou autre) sur ce média. Rien ne nous oblige - aujourd’hui - à partager notre carnet d’adresse personnel avec facebook, ni a communiquer sur ce qui nous plait ou pas.
Bref facebook est un outil et c’est à nous de savoir l’utiliser.
Obsolescence programmée : le point sur le dossier Apple en France
23/04/2018
Le 25/04/2018 à 08h 20
La SCAM plaide pour une redevance TV de 150 euros, élargie à tous les écrans
23/04/2018
Le 24/04/2018 à 14h 18
C’est vrai, mais bizarrement, même si je commence à avoir mal au dos et aux articulations, je n’ai pas spécialement envie qu’on m’euthanasie. " />
Le 24/04/2018 à 13h 30
Pas tout à fait. Le babyboum a créé un choc démographique entre ceux né avant et après la guerre, mais il y a eut des tentatives pour essayer d’encaisser le babyboum comme la vignette automobile.
Mais depuis, la démographie en France, contrairement à d’autre pays européens, n’a pas baissée et les cotisations sont équilibrées.
La seule différence c’est qu’effectivement les vieux vivent plus vieux mais pas forcement en bonne santé (donc impropres à la productivité).
Pour les programmes politiques ça tient pas mal du fantasme même s’ils vont plus voter que les jeunes et sont donc, de fait, plus attractifs pour les politiciens.
Le 24/04/2018 à 12h 56
Mouais, enfin à mon avis ça tient quand même du fantasme. A première vue, faire tourner un rig ne rembourse même pas les GPU
Le 24/04/2018 à 12h 42
Marrant, jusqu’à environ 40 ans j’étais également pour me débarrasser des vieux, maintenant que j’approche les 50 je suis plus réticent.
Le 24/04/2018 à 08h 19
Le 23/04/2018 à 13h 18
Personnellement, passant finalement peu de temps devant les écrans je préfère une série occasionnelle comme “les petits meurtres d’Agatha Christie” ou “Capitaine Marleau” à des séries au long court de 5 à 10 saisons de 25 épisodes (chacun ses goûts).
Mon seul regret aujourd’hui est le manque d’indépendance de la TV publique vis à vis du pouvoir (surtout franceinfo tv).
Pour le reste, il semble obligatoire d’avoir une source d’information officielle (équivalent du JO), donc une TV publique est indispensable.
Je viens de lire vos messages et je trouve quand même que la majorité des remarques sont basées sur des cas personnelles (je suis célibataire, je regarde Netflix, j’aime pas la TV réalité -d’ailleurs pour cette dernière il faudrait m’expliquer, je ne regarde que du streaming, …) quand la TV publique se doit d’être universelle.
Phishing : négligent, un client d’une banque doit assumer les prélèvements frauduleux
20/04/2018
Le 20/04/2018 à 08h 28
Je suis à la banque postale et je n’ai pas l’impression que ce soit un problème.
Difficile de faire du brute force quand l’interface change à chaque saisie
Cybermenaces : des élections à la LPM, une année charnière pour l’ANSSI
18/04/2018
Le 19/04/2018 à 07h 07
Livre : un rapport parlementaire dresse un bilan mitigé de la loi anti-Amazon
16/04/2018
Le 17/04/2018 à 14h 28
Ce ne serait pas sur les produits ayant une TVa à 19,6% comme les CD ou les JV ?
Quand on connait les faibles marges des autres acteurs du livre je ne vois pas comment ils peuvent prendre 10% de plus à moins qu’ils soient considérés également comme diffuseurs.
Le 17/04/2018 à 11h 45
Des “marges” de 42 % !?!
Non, en général les librairies prennent 36% TVA incluse , les marges prennent en compte les m², le personnel, les frais de manutention parfois de réexpédition.
Les distributeurs imposent effectivement des livres non souhaités afin de favoriser la diversité de l’offre et de mettre en avant des livres qui sinon ne pourraient pas être vendus.
C’est pour ça que les distributeurs/diffuseurs prennent également 20% sur la vente d’un livre.
Qui peut découvrir un livre qui se trouve au fin fond d’un magasin derrière un pilier ? De même qui peut découvrir un livre qui se trouve distribué par un site web perdu en 3e page de google.
Les nouveautés mises en avant dans une librairie ne sont que très rarement le choix du libraire. Effet indésirable, surtout dans les grandes villes, les libraires proposent tous, plus ou moins, les mêmes livres (ventes assurées et choix des distributeurs).
Le 17/04/2018 à 09h 25
Ne pas oublier la TVA qui dans le lien est associée au Libraire (5,5%)
Le 17/04/2018 à 08h 11
Tout d’abord je ne comprends pas pourquoi, lorsqu’on achète un livre matériel on ne peut pas disposer de la version numérique gratuite (utile lorsqu’on part en vacances avec une limite de poids pour les bagages).
Il est aujourd’hui tout à fait possible de créer un e-commerce de diffusion de livre quasiment gratuitement avec des extensions wordpress (wooshop entre autre). Reste quand même le référencement et la comptabilité qui ne sont pas à négliger.
Les livres gratuits dit “libres de droit” son bien souvent des recopies par des bénévoles ce qui implique bine souvent des fautes de frappe (il faut 2 ou 3 relecteurs pour ne rien laisser passer).
Enfin si je commande chez amazon, c’est pour son catalogue exhaustif qu’il n’est hélas pas possible de retrouver dans une librairie.
Petite synthèse illustrée du marché du livre en 2012 (bon là c’est de la BD mais la problématique est quand même très semblable)https://fr.slideshare.net/reiprich/auteur-bd-en-2013-chapitre-1-le-systeme-du-li…
Soutenir Next INpact et Kimetrak : à minuit, ce sera fini
17/05/2018
Le 06/04/2018 à 08h 34
Une fusillade au siège de YouTube fait plusieurs blessés
04/04/2018
Le 04/04/2018 à 15h 00
Le 04/04/2018 à 12h 06
Free et M6 signent un accord, de nouvelles fonctions en approche
04/04/2018
Le 04/04/2018 à 14h 45
A noter que le replay des chaines TNT gratuites de TF1 et M6 n’est toujours pas disponible sur Canal à la demande.
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03/04/2018
Le 03/04/2018 à 15h 14
Donc le grand projet français pour l’Intelligence Artificielle se nomme AI for Humanity !
#Flock fête sa première année sur Next INpact en vidéo
30/03/2018
Le 03/04/2018 à 09h 24
Très sympa tout ça, bravo pour ces 1 an de dessins " />
Compteur Linky : la CNIL met en demeure Direct Energie pour sa gestion du consentement
27/03/2018
Le 29/03/2018 à 13h 01