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Typhlos

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91 commentaires

Le 28/03/2019 à 22h 43

Si on prend le paragraphe d’après :



“Ne sont pas des fournisseurs de services de partage de contenus en ligne au sens de la présente directive les prestataires de services tels que les encyclopédies en ligne à but non lucratif, les répertoires éducatifs et scientifiques à but non lucratif, les plateformes de développement et de partage de logiciels libres, les fournisseurs de services de communications électroniques au sens de la directive(UE)20181972, les places de marché en ligne, les services en nuage entre entreprises et les services en nuage qui permettent aux utilisateurs de téléverser des contenus pour leur propre usage.”



Il est fait mention explicite des encyclopédies et des plateformes à but éducatif et scientifique non lucratif, d’où l’analyse que j’avais faite précédemment. La question est donc de savoir si cette liste n’est qu’une liste d’exemples ou si elle est exhaustive. Je trouve que tel que rédigé, il n’est pas certain de pouvoir affirmer si toutes les plateformes à but non lucratif seront exemptées ou non.



J’espère que cela sera interprété selon ton analyse et non la mienne. Après, pour avoir plus de détails sur comment cela sera appliqué, il faudra attendre la transposition dans chacun des pays membres. Bien à toi.

Le 28/03/2019 à 17h 18

Merci pour les précisions.



Mon commentaire ne te visait pas toi en particulier, malgré l’utilisation de la 2eme personne du singulier, mais traduisait de mon agacement de voir cet argument utilisé par les lobbies des ayants droits, qui est effectivement vrai comme tu l’as souligné du point de vue de la loi, mais qui n’ont proposé aucune autre solution concrète même si ce n’était qu’un début d’idée, d’où le fait que je trouve ça hypocrite d’utiliser cet argument pour balayer les critiques concernant les risques du filtrage automatisé par que dans les faits, dès qu’on atteint un certain volume de données, il est difficile de faire autrement. Après, il y a peut-être une possibilité que je n’ai pas imaginé et qui n’a pas les défauts du filtrage a priori systématique.



Et le soucis c’est que ça touche une très grosse partie du web, y compris des sites web à but non lucratif puisque, si j’ai bien compris seules les plateformes éducatives ou scientifiques à but non lucratif sont épargnées (en plus des autres exceptions que sont les places de marchés, les clouds privés ou encore les forges de logiciels libres par exemple et de l’exception pme maintenant limitée à 3 ans). Ainsi, même une instance peertube à but non lucratif mais qui proposerait du divertissement devra se conformer aux exigences de cet article. Ou une instance mastodon. Donc, si j’ai bien compris, même les alternatives libres aux GAFAM sont touchés par cet article (ça c’est pour @carbier).



Et c’est mon principal reproche envers cette directive, c’est de sortir le bazooka pour tuer une mouche. En terme de volume, ma comparaison n’est pas vraie, je le reconnais; mais en termes de nombres de sites web, pour une bataille d’argent entre quelques acteurs, c’est des millions de sites web qui sont touchés. Cela fait pas mal de dommages collatéraux je trouve.

Le 27/03/2019 à 12h 12







jurinord a écrit :



1)    Les lois nationales transposant cette directive ne doivent pas avoir pour effet de mettre en place une obligation générale de surveillance (considérant 66, 2e §).







Je trouve ça hypocrite, comment veux-tu faire autrement qu’avec du filtrage automatisé à partir d’un certain volume de contenus postés en ligne quotidiennement? Pas besoin d’être Google ou Facebook pour arriver à ce stade là, dès que tu as plusieurs milliers de contenus postés quotidiennement et que tu n’as que quelques dizaines d’employées, tu n’as pas les moyens humains de vérifier un par un chaque contenu et pas forcément les moyens financiers pour embaucher des gens pour vérifier les contenus. Sans parler de développer de tels outils de filtrage mais apparemment, il y a des sociétés spécialisées là-dedans notamment celle qui fournit l’outil pour enlever la musique des rediffusions Twitch. Reste à savoir le tarif des licences pour de tels outils.







jurinord a écrit :



3)    Les mesures de filtrage ne doivent pas « avoir pour conséquence d’empêcher la disponibilité de contenus qui ne portent pas atteinte au droit d’auteur ou qui peuvent être justifiés par une exception au droit d’auteur : courte citation, pastiche, caricature (considérant 66).







Encore une fois, comment veux-tu garantir cela dans la pratique? Il y aura forcément des faux positifs parce qu’un algorithme, malgré toute l’IA ou le machine learning qu’on y met derrière, fera toujours face, à un moment ou un autre, à des cas trop subtils ce qui conduira alors à la censure préventive pour éviter des poursuites de la part des ayants-droits. Et même si ce sont des humains qui vérifient, ils auront sans doute comme consigne de censurer même s’il y a un doute pour pas prendre de risques.







jurinord a écrit :



4)    Comme il est difficile pour les internautes non professionnels de déterminer avec précision si le contenu qu’ils publient respecte ou non les droits d’auteur, cette directive présume la responsabilité de la plate-forme en l’absence de licence simple application de l’arrêt GS media de la CJUE de 2016). Il s’agit de protéger l’internaute lambda (vous et moi) du risque de poursuites pour contrefaçon. 



 Mais, cette responsabilité des plateformes n’est pas automatique (présomption simple qui peut donc être renversée). La plate-forme devra prouver qu’elle a mis en place des procédures et techniques attendues d’un acteur professionnel (considérant 66, dernière phrase du premier §). Là encore il s’agit de la simple application de la JP GS média.







Quelles sont ces procédures et techniques attendues de la part d’un acteur professionnel? Filtrage automatisé? Exclu par ton point 1. Vérifier à la main chaque contenu mis en ligne? A partir d’un certain volume, ce n’est humainement plus possible. Je ne vois pas d’autres possibilités de procédures et techniques, mais si tu n’en as, je t’invite à nous les partager.







jurinord a écrit :



5)    La mise en jeu de la responsabilité des plateformes n’est pas automatique. Comme avec la directive de 2000, leur responsabilité sera engagée si « après avoir reçu une notification suffisamment motivée, ils ne prennent pas promptement les mesures nécessaires pour désactiver l’accès » (considérant 66, fin de la première phrase du second paragraphe).







Donc finalement, il n’y a rien qui change par rapport à la LCEN? Cela reste du “notice and take down”? C’est pas comme ça que cela a été présenté, y compris par les lobbies des ayants-droits. Si j’ai bien compris le but est plutôt d’empêcher toute publication non autorisée de matériel protégé par des droits d’auteurs et donc d’agir avant la publication.







jurinord a écrit :



7)    Enfin pour finir, le filtrage ne doit en aucun cas entraver la liberté d’expression des utilisateurs (cf. considérant 70).







Cf 3).



Donc la théorie de pas filtrage automatisé obligatoire, respect des exceptions du droit d’auteur par les outils de filtrage, etc. c’est bien joli mais je pense que la pratique sera différente. Après, rendez-vous dans quelques temps pour vérifier ça.


Le 28/03/2019 à 17h 32

Quitte à citer une partie de l’article, autant ne pas prendre que ce qui t’intéresse :





Depuis, des progès notables ont été accomplis en matière de reconnaissance des contenus, même si les faux positifs sont encore très nombreux chez ContentID et autres solutions similaires. Différence importante : si ces outils étaient volontairement mis en place par chacune des plateformes, l’article 1317 les rend juridiquement contraints, en tout cas selon la taille des entités, suivant une logique de proportionnalité. Ce, aussi bien dans une perspective de retrait que dans une logique de licence, les deux piliers de cette disposition.





La fin de la phrase change la compréhension du reste de la phrase. Personnellement j’y lis qu’à partir d’une certaine taille, il n’y aura pas d’autres possibilités que les outils de filtrage pour être en conformité avec les obligations de l’article 17.



Par ailleurs, je te rappelle que la définition de surveillance généralisée est très restreinte pour l’UE cf arrêt sabam. Ainsi, un filtrage a priori des contenues ne correspond pas à une surveillance généralisée pour la cjue puisque ces outils n’entrent en jeu que lors de l’upload.

Le 27/03/2019 à 16h 35







Ricard a écrit :



Ben Pékin vien d’acheter des Airbus. Beaucoup d’Airbus. <img data-src=" />







Faut bien remplacer les Boeing qui sont cloués au sol en ce moment <img data-src=" />


Le 08/03/2019 à 09h 36







fred42 a écrit :



Il faut activer l’“Editeur BB Code” dans les options juste au-dessus des commentaires. Fait





Ah oui, effectivement, il était désactivé, merci !


Le 07/03/2019 à 23h 25







Commentaire_supprime a écrit :



Si… <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />



Pour mes données, j’ai déjà des sauvegardes en local, les sauvegardes en ligne, c’est un extra au cas où ça cramerait chez moi.





Ah bah je suis un boulet et je n’ai pas réussi à le faire correctement alors <img data-src=" />


Le 07/03/2019 à 19h 43







Commentaire_supprime a écrit :



J’aime vivre dangereusement… <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />




       Sinon, la seule chose qui m'empêche de me faire mon serveur de sauvegarde chez Online avec une Dédibox, c'est le poil que j'ai dans la main... Mais je m'y mets (dès que j'ai cinq minutes.) que j'ai perdu mes données.










<img data-src=" />




  Edit : On ne peut pas barrer ou mettre du texte en gras dans une citation?

Le 07/03/2019 à 16h 15







skankhunt42 a écrit :



&nbsp;Diffuser un spot à la télévision ça coute 50.000€ pour une diffusion unique. C’est argent est donc récupéré en te faisant consommer de la merde pour financer la publicité. L’avantage de la pub sur le web et du ciblage c’est que tu peut faire une campagne pour une fraction et toucher autant de gens. Même une campagne papier qui finira à 99% à la poubelle coute plus cher. Et si tu paye un mec pour les distribuer ça coutera encore plus cher. Sur le net c’est automatique.



Alors si demain tu veut lancer une nouvelle marque, en appliquant le “petit à petit” et en passant par la “réalité” ça va te couter non seulement une blinde qu’il faudra bien rembourser un jours mais un temps fou à accumuler cette somme.



Si tu passe par internet tu pourra dans la journée avec une simple image, avoir une campagne de pub cliblée. Je rappelle bien sur que la moitié des boites en france c’est moins de 10 salariés, pas possible de faire une campagne de pub à la télévision donc. Je ne parle même pas des artisans, ect.





Je comprends tout à fait qu’il y ait un avantage au ciblage parce que c’est plus rentable mais, comme je le disais, je trouve qu’aujourd’hui on est beaucoup trop ciblé à tel point qu’avec toutes les données récoltées, il est assez facile de suivre un individu à la trace, de déterminer avec une incertitude relativement faible ce qu’il pense sur tel ou tel sujet, quelles sont ses relations, etc. (le film/documentaire Nothing to hide explique cela très bien) Et, pour moi, c’est trop. Je pense qu’on peut réduire le ciblage sans trop endommager la capacité des entreprises de faire de la pub pour leur produit. Mais comme ça fait plus de 5 ans que la situation ne s’améliore pas et que aujourd’hui c’est tout ou rien, je tiens un discours où je suis totalement contre le ciblage à cause de ses dérives actuelles et je bloque tout parce qu’il est difficile de faire autrement si on veut réduire le ciblage.



&nbsp;





skankhunt42 a écrit :



Entre le porno et le warez ou chaque site abuse il est clair que le bloqueur de pub est primordial. Dans l’absolu c’est pas très dur de le contenir. Internet à besoin d’une forme d’autorité je pense, uniquement pour les gros abus qui génèrent des biais énorme.



Un site qui abuse de pub et fait installer des bloqueurs à ces utilisateur mériterait une bonne grosse amende.





Si ce n’était que ce type de site qui étaient bourrés de pubs… Regarde certains sites de presse/d’actualités Et Puis il n’y a pas que le fait que la page soit remplie de pub, c’est aussi le fait que quand on se connecte à certains sites, on se connecte à plusieurs dizaines de noms de domaines derrière et que plus de la moitié de la bande passante utilisée l’est pour de la pub et du tracking, pas le contenu qu’on veut voir. Pour des exemples, généralement les sites de presse sont pas mal.


Le 07/03/2019 à 16h 01







Patch a écrit :



Une distrib Linux est aujourd’hui nettement plus simple à installer qu’un Windows, et installer la plupart des programmes aussi (via le gestionnaire de packets).

Reste les habitudes lourdement ancrées…





Je suis d’accord, tu prêches un convaincu qui passe 95% de son temps sous Linux (le reste c’est lorsque je veux jouer). Après, il peut y avoir des passages un peu délicat : le partitionnement dans le cas d’un dual boot où Windows n’est pas détecté par l’installateur ou encore du matériel exotique qui fait qu’il faut trouver des patchs ou des workarounds, par exemple, et ce n’est pas trivial pour tout le monde. Mais je pense&nbsp; qu’il n’y a pas non plus beaucoup de monde qui serait en mesure d’installer correctement un Windows avec toute la post-installation à faire.


Le 07/03/2019 à 13h 32







skankhunt42 a écrit :



&nbsp;




 Tu peut facilement faire payer les gens pour des services de qualités       

avec du contenu de qualité qui fait vivre de "vrai gens" mais si il va

falloir que tu fasse tes preuves car tout le monde ne lâche pas

forcément de l'argent, maintenant payer pour un service ou il y à que

quatre gus dans un garage avec un serveur et ou c'est toi qui crée le

contenu ça va être bien plus difficile.






 Je rajoute qu'au       

passage, aucun service gratuit n'arrive à la cheville d'un service

payant dans bon nombre de domaine notamment le contenu à cause du

copyright sauf en tombant dans le domaine du piratage qui est d'ailleurs

truffée de pub même si ça coute aussi que dalle à produire.








 Bah, comme dans la vraie vie, pour que les gens achètent ton produit, il  faut les convaincre de l'acheter. Donc, je n'y vois pas de soucis et, à  ma connaissance, ça n'empêche pas l'innovation.      






&nbsp;      







skankhunt42 a écrit :



&nbsp;



&nbsp;      

J'utilise l'open source tout les jours, il y à toujours des lacunes

énormes sur de petites options basique qui empêche de les utiliser à

partir d'un certain niveau. A la limite dans le gratuit il y à du très

très bon mais bien souvent c'est juste un nouveau modèle économique de

boite très connue.






 Et pour avoir bossé dans du open source       

semi gratuit ( soft gratuit / plugs payants ) c'était un véritable

bordel sans nom, en générale les dev de pugs lâchaient l'affaire au bout

de 3 ans même si ont était dans le top deux mondiale dans un domaine

bien précis et un des rare qui ramène de l'argent sur le net (

e-commerce ).








J'utilise aussi de l'open source au  quotidien, et si je reconnais qu'il y a encore des choses qui peuvent   être améliorés pour l'utilisateur final, pour beaucoup de gens, ils  pourraient utiliser quasiment que de l'open source pour les programmes, y compris au niveau de l'OS. Ce qui bloque aujourd'hui c'est  l'installation qui n'est pas triviale et les habitudes.      






Mais mon  propos sur l'open source ici n'était pas tant pour l'utilisateur final,  mais plus pour le web dans le sens où c'est l'open source qui est le plus utilisé pour le web :  côté serveur, on retrouve généralement du Linux avec Apache ou Nginx et  les sites web reposent généralement sur des technologies open source  comme par exemple des frameworks php ou javascript. Je ne parle pas du  site en lui-même qui généralement n'est pas open-source, mais de ses  bases qui elles le sont généralement. Et ce, parce que c'est ce qu'il y a de plus efficace et économique que d'avoir des bases open source que  l'on récupère pour construire ce qu'on veut par dessus. Mais je pense  que je ne t'apprends rien de ce point de vue là.      






&nbsp;      







skankhunt42 a écrit :



&nbsp;




  Sauf que le jours ou tu veut ouvrir une boite et faire de la pub sur       

internet ça reviendra à pêcher à la dynamite... Sur 100€ d’investi tu

n'aura que 10 vue pertinente pour 1000, si ta conversion est de 1% il te

fera donc investir 1000€. La pub ciblée te permet par contre d'investir

100€ pour avoir 99% de vues pertinente ce qui te permettra donc

d'effectuer une vente








 Bah,  comme pour les panneaux publicitaires dans la vraie vie et à la télé.  Bon, ils sont généralement choisis en fonction de leur emplacement pour  décider d'y afficher sa pub. Les emplacements ne sont pas choisis au  hasard, je te l'accorde, ils sont choisis de telle sorte à maximiser le  taux de conversation. Mais sur le web, je trouve que le ciblage est  beaucoup trop dans l'excès où Google, Facebook et d'autres auxquels on  ne pense pas (on a aussi des sociétés françaises spécialisées dans le  tracking comme Teemo :francais: ) où on va jusqu'à traquer tous nos déplacements, déterminer nos points de vue politiques pour que le taux de conversion soit le plus haut possible. Je pense qu'il est possible de pas mal réduire le tracking sans trop réduire ce taux de conversion.      






Et puis, il ne faut pas oublier que les bloqueurs de pubs sont de plus en plus populaires à cause d'abus de sites web qui en mettent beaucoup trop et que de plus en plus de personnes commencent à se poser des questions quant à ce qu'on fait de leurs données. A mon avis, le modèle publicitaire comme modèle économique n'est pas viable à long terme, ça va juste finir par déclencher un ras le bol et un refus par défaut.

Le 07/03/2019 à 12h 22

Et pas des pubs qui me traquent à travers tout le web.



D’ailleurs je dirais même que pour certains sites web, on est dans la situation B avec du spam de tout et n’importe quoi donc la situation C sans son avantage, à savoir l’absence de tracking.

Le 07/03/2019 à 12h 13

Je suis pour le A, il faut bien payer l’infrastructure et je suis contre l’utilisation des mes données pour un profilage très précis. Par contre, pour l’arrêt de l’innovation si le web devient payant, source? Il y a déjà plein de choses qui sont payantes sur le web et ça n’empêche pas l’innovation : au hasard, Netflix, Spotify ou encore tout les logiciels open source qui eux ne sont, dans la plupart des cas, même pas payants et ne récoltent pas de données.



Je rajoute que je ne suis pas contre un modèle publicitaire raisonnable, c’est-à-dire pas 5 pubs par pages et 3 pop-up qui sont responsables de la moitié du poids de la page web, qui sont mal optimisées et parfois même créent des failles de sécurité.

Le 18/02/2019 à 13h 31

A ma connaissance, il n’y a pas grand-chose qui utilise SGX pour l’instant parce que c’est une techno propriétaire à Intel dispo qu’à partir de leur 7e gen. Donc il y a tous ceux qui ont de processeurs plus vieux et, de plus, il existe d’autres acteurs sur le marché des processeurs (AMD et tout le monde des processeurs ARM). Donc pas de perte de sécurité pour moi. On a fait de la cryptographie bien avant ce genre de technos et on continuera d’en faire sans ça de manière sécurisée. D’après certains commentaires sur cet article d’Ars Technica (qui est plus complet d’ailleurs)arstechnica.com Ars Technica , ça serait utiliser entres autres par des DRM, notamment CyberLink l’utiliserai pour lire des blu-ray uhd. C’est de la sécurité par l’obscurité mais surtout pour éviter que ça soit piraté.

Le 18/02/2019 à 11h 35

Dire que Duckduckgo est pire que Google, c’est oublier que ce dernier te traque à travers tout le web (ou presque) grâce aux pubs, à Google analytics, etc. ce que duckduckgo ne fait pas. De plus, duckduckgo ne constitue pas de profil publicitaire contrairement à Google. La publicité affichée est uniquement en fonction du terme de la recherche et duckduckgo ne retient pas que tu as fait telle recherche.

Quant à la mise en avant des liens monetisés, jusqu’à maintenant, j’ai toujours trouvé que c’était plutôt affiché clairement que les liens étaient monétisés (et ils disparaissent complètement si tu utilises un bloqueur de publicité). Et Google fait la même chose avec son “Affiliate Network”.

Après, quant à la confiance qu’on peut faire à un moteur de recherches, Duckduckgo ne crée pas de profil utilisateur et donc les résultats sont censés être le même quelque soit le lieu où l’appareil que tu utilises contrairement à Google où les résultats sont affinés en fonction de ton profil. Le meilleur moyen d’éviter une manipulation de recherches est d’utiliser un meta-moteur de recherches qui va faire des recherches sur plusieurs moteurs de recherches.

Le 18/02/2019 à 10h 13

Si on en croit leur politique de vie privée, ils n’utilisent pas de cookies par défaut et ils n’ont pas les moyens de croiser nos recherches (cfhttps://duckduckgo.com/privacy ). Donc, non, les millions ne viennent pas de nos données. D’aprèshttps://duck.co/forum/thread/4234/how-do-the-creators-of-duckduckgo-make-money ou encorehttps://www.wired.co.uk/article/duckduckgo-anonymous-privacy , duckduckgo gagne de l’argent au travers de pub affichées selon le terme de la recherche, de dons et d’un programme d’affiliation avec certaines places de commerce comme Amazon ou eBay (en gros, si on achète quelque chose chez eux en arrivant d’une recherche duckduckgo, duckduckgo touche une petite commission). Et je dirais que les millions viennent de leur nombres d’utilisateurs. Le nombre de recherches quotidiennes ne cesse d’augmenter. Ils ont dépassé les 10 millions de recherches en un jour il y a quelques temps de mémoire.

Le 24/01/2019 à 23h 10

Pour l’instant, il est difficile de mesurer l’impact du rgpd étant à moins d’un an d’application sur l’innovation technologique. Donc quand je vois un tel argument, surtout venant de la part d’une entreprise comme Google qui se passerait bien d’une telle réglementation au vu de sa propre définition de ce que serait une bonne réglementation sur les données personnelles (je ne retrouve plus le lien mais NextInpact en avait parlé de mémoire), c’est, pour moi, jouer uniquement sur l’émotionnel en tentant de faire peur.



Je pense que si le rgpd a été pris sérieusement en compte lors du développement d’une application ou d’un service, cela n’impactera pas l’innovation technologique que peut apporter le projet. Il faudra peut-être ne pas se baser uniquement sur un modèle économique exploitant que les données personnelles. Et il est tout à fait possible d’être rentable tout en étant respectueux de la vie privée : Nextcloud en est pour moi un bon exemple, DuckDuckGo aussi, on peut aussi citer ProtonMail ou encore Snips pour citer un exemple français qui a l’air prometteur.



Quant à tous les services, sites webs, applications développés avant le rgpd, ces derniers ont eu 2 ans pour se conformer à cette réglementation. Malheureusement trop peu sont réellement dans les clous : on voit des plus en plus de “Tout accepter” ou “Paramétrer” mais ce n’est toujours pas dans les clous car il faut pouvoir retirer ou ne pas donner son consentement qu’on le donne et il devrait donc y avoir un bouton “Tout refuser”. Et certains sites web sont encore à dire “si vous êtes sur notre site web vous accepter tous nos cookies ou alors vous vous démerdez avec votre navigateur pour les refuser”. L’opt out n’est plus valide avec le rgpd, c’est forcément de l’opt in…



Après, je pense que le modèle économique actuel sur Internet basé sur la publicité ciblée et l’exploitation de nos données personnelles est toxique et je préférerai largement payer pour financer un modèle économique plus respectueux de la vie privée comme payer un abonnement pour un service. Mais je sais que la plupart des gens n’ont pas cette habitude de payer pour les services qu’ils utilisent sur Internet et qu’il faut bien financer l’infrastructure qui est derrière…



Enfin, je trouve que, pour l’instant, la CNIL fr a plutôt bien joué son rôle en reconnaissant que Google n’est pas dans les clous sur certains points (même si la quadrature du net estime que ce n’est pas suffisant mais c’est déjà un début pour l’instant) et en lui infligeant une amende (bon comparée aux bénéfices de Google, il s’agit plus d’un avertissement que d’une véritable amende). Maintenant, charge au Conseil d’Etat de ne pas reculer devant Google et de maintenir l’amende afin qu’il y ait une première reconnaissance publique que, non, Google (et donc par extension, tout le monde) ne peut pas faire ce qu’il veut avec nos données. C’est aussi à nos gouvernements, nos états de ne pas céder face à ces grosses compagnies. Si les CNIL jouent leur rôle qui est, pour moi, d’avertir ou de sanctionner en cas de manquement, c’est à nos états de ne pas casser ces sanctions par la suite (puisque dans le cadre de la France, c’est le Conseil d’Etat qui gère l’appel de la sanction, s’il y en a un. Pour les autres pays, je ne sais pas comment c’est géré).



A mon avis, on est à un moment charnière : soit le rgpd arrive à redresser la situation du point de vue de l’exploitation de nos données personnelles et on verra se développer de plus en plus des projets respectueux de notre vie privée, soit rien ne change vraiment et dans ce cas, j’ai peur que rien ne puisse changer la donne après.



L’évolution au cours des prochaines années devra donc être suivie avec beaucoup d’attention, je pense, car on joue gagner beaucoup comme on peut perdre beaucoup avec le rgpd s’il est mal appliqué.

Le 24/01/2019 à 10h 50

Au temps pour moi, j’ai fait une confusion avec la réaction de Google expliquant pourquoi ils faisaient appel dont il est question dans la news.

Le 24/01/2019 à 10h 09

Non, là il s’agit des délires de Google comme quoi le RGPD serait dangereux pour les créateurs de contenus et l’innovation technologique. Enfin plus particulièrement ici, la décision de la CNIL de coller une amende à Google.

Le 24/01/2019 à 09h 29

On pourra aussi y garer son drone?

Le 21/01/2019 à 18h 17

Donc la légalité d’un vpn dépend d’où on l’utilise… Oui… La prochaine étape, c’est que Tor est un réseau pour pédophiles et terroristes et autres criminels?



Un VPN peut être utilisé pour autre chose que pour du piratage ou des activités illégales comme tu le crois : elle peut permettre de récupérer un accès propre à Internet (non filtré et neutre) en cachant ses communications à son FAI qui les traitera alors normalement ne sachant pas ce que ces données contiennent et en ayant un point de sortie dans un réseau plus respectueux que celui notre FAI. Cela peut aussi servir à accéder à un service de vod quand on est depuis l’étranger. Cela peut aussi être utilisé pour limiter le pistage par les GAFAM en ayant une ip utilisé par plusieurs centaines voire milliers de personnes. Que des utilisations légales.



Après, il est certain que certains profitent du piratage pour vendre des abonnements vpn en se basant à l’étranger et fournissant des services “no log” pour attirer ceux qui téléchargent régulièrement. Après, cela ne reste pas illégal car ils restent des intermédiaires techniques même si moralement cela peut être discutable. Et est-ce qu’il faut pour autant tout jeter? Je ne pense pas.



Et non, ces vpn ne font pas ce qu’ils veulent, ils sont soumis à la loi du pays dans lequel ils se sont installés. Quant à collaborer avec la justice d’autres pays, cela dépend des accords du pays dans lequel ils sont ou de leur bon vouloir.

Le 19/12/2018 à 18h 36

Je viens de tester avec Firefox 64 sous Fedora 29 et lorsque je clique sur “Introduction” dans le menu où il y a les différentes parties de l’article, rien ne se passe et le menu ne se met plus à jour.
cf https://screenshotscdn.firefoxusercontent.com/images/462f7b3f-ced8-4451-9a53-0c4c51170f19.png

Le 19/12/2018 à 16h 42

Tout a l’air de fonctionner bien et le thème sombre est sympa bien que pour écrire les commentaires, une police blanche serait mieux que la police grise actuelle vu qu’il y a déjà un fond sombre. Par contre le défilement des commentaires n’est pas fluide avec Firefox 64 et quelques plugins sous Android 8.1.



En tout cas bravo pour le travail fourni ! :inpactitude:



Pour ceux qui comme moi utiliserait Privacy Badger de l’EFF, j’ai eu un faux positif sur les domaines cdn2.nextinpact.com et tim.nextinpact.com qui m’empêchait d’afficher certaines images dont les avatars. Pensez à verifier cela si tout ne s’affiche pas correctement !

Le 23/11/2018 à 08h 42

Je n’arrive pas à éditer mon message depuis le site mobile, donc je rajoute ici le lien sur l’étude européenne sur le piratage que je viens de retrouver :m.nextinpact.com Next INpact

Le 23/11/2018 à 08h 33

On est d’accord sur le fait qu’ils doivent pouvoir vivre de leur art, mais pour moi, les droits d’auteur ne sont pas nécessairement le seul système viable.



Après, c’est certain que sur Internet s’est développée une culture du tout gratuit, ce qui est bien dommageable. Mais le piratage a bon dos je trouve : on n’a toujours pas réussi à démontrer de manière irréfutable que le piratage est réellement un manque à gagner pour l’industrie culturelle. Individuellement, il y a effectivement une perte (et encore, le piratage d’une oeuvre peut déclencher son achat) mais globalement, il y a eu des études qui tendent à montrer que le piratage aurait tendance à faire consommer plus (je n’arrive pas à trouver rapidement un lien, de mémoire il y a eu une étude européenne sur le sujet qui avait fait polémique puisque justement elle n’arrivait pas à montrer de perte réelle. Je rajouterai un lien si j’arrive à en trouver un et sinon je retirerai ce passage).



Il y a des abus des 2 côtés, quand on voit certaines personnes ou groupe de personnes mettre en ligne plusieurs centaines voire milliers de torrents, on se dit qu’il faut faire quelque chose. Mais les AD sont forts aussi à ce jeu-là : entre les DRM, le zonage des DVD, le prix élevé des Blu-ray alors que pas mal de films ont l’air d’être bénéficiaires après leur passage au cinéma (assez régulièrement on entend parler de films qui gagnent plus de cent millions de dollars en une semaine), toujours pas de licence globale pour les films même si la situation s’améliore, les livres qui sortent souvent d’abord en “grand format” à plus de 20€ avant d’être réédités en poche à un prix plus raisonnable, etc. Mais bon, c’est le serpent qui se mord la queue, il y a des abus d’un côté, donc l’autre réagit ce qui déclenche une reaction du premier et ainsi de suite.



Je pense que la majorité des gens, même s’il y en aura toujours qui ne voudront pas débourser un centime, cherchent juste un moyen simple et à prix raisonnable d’avoir accès à la culture, cf le succès de Spotify et de Netflix.

Le 22/11/2018 à 21h 41

Comme cela a déjà été dit avant moi, l’art n’a pas attendu les droits d’auteur pour exister et cela n’a pas empêcher d’avoir de grandes œuvres d’arts. De grands compositeurs comme Mozart, Beethoven ou encore Bach vivaient en réalisant des commandes ou grâce au mécénat. Et cela ne les a pas empêché d’avoir une œuvre prolifique : Bach, par exemple, a écrit plus de 1000 pièces de musique dont la qualité, si elle n’est pas égale, reste malgré tout remarquablement élevée. D’autres, comme Montaigne, pour citer un écrivain, vivaient sur leurs fonds propres. Et pendant des siècles, les artistes ont vécu et créer des œuvres d’art sans le support des droits d’auteurs. Bien sûr ce système avait ses avantages et ses inconvénients mais c’est pour montrer qu’un autre système est possible que celui des droits d’auteur.



Le soucis pour moi est qu’aujourd’hui ce système des droits d’auteur a été perverti : j’ai l’impression que l’on cherche plus à protéger les sociétés de collecte et de gestion des droits d’auteurs ainsi que les maisons d’édition que les auteurs en eux-mêmes qui bien souvent cèdent leurs droits à leur maison d’édition contre un pourcentage pas nécessairement très élevé. Sans parler du fait qu’à l’origine, les droits d’auteur étaient là pour permettre à l’auteur de vivre de ses œuvres de son vivant. Après sa mort, elles tombent dans le domaine publique afin que la société puisse en bénéficier. Aujourd’hui c’est loin d’être le cas, en France, il faut encore attendre 70 ans, et plus d’un siècle dans d’autres pays.



Puisque tu as parlé de la convention de Berne plus tôt, je vais parler de Victor Hugo qui a contribué à cette convention. S’il a fortement milité pour la reconnaissance du droit d’auteur, il était contre le fait que ce droit s’étende après sa mort et que les héritiers en bénéficient. Il va même jusqu’à dire, dans son discours contre le domaine publique payant (cf https://fr.wikisource.org/wiki/Actes_et_paroles/Depuis_l’exil/1878 et plus particulièrementhttps://fr.wikisource.org/wiki/Page:Hugo_-_Actes_et_paroles_-_volume_7.djvu/10… que “s’il me fallait choisir entre le droit de l’écrivain et le droit du domaine public, je choisirais le droit du domaine public. Avant tout, nous sommes des hommes de dévouement et de sacrifice. Nous devons travailler pour tous avant de travailler pour nous.”



Bien entendu, les artistes ont le droit d’être payé pour le travaille qu’ils effectuent. Cependant, là où c’est difficile, c’est de valoriser l’art. L’art n’a pas de valeur intrinsèque, toute valeur donnée à une œuvre d’art est pour moi purement spéculative. Comment à partir de là décider d’une juste rémunération d’un artiste? Après on peut aussi se poser la question du rapport à l’art : Créons-nous de l’art pour “en faire le commerce”, le vendre et donc en vivre, ou bien pour partager un point de vue, une expérience, une idée, une pensée avec la société? Je n’ai pas la réponse à cette question, on peut sans doute considérer l’art sous un autre angle que ceux que j’ai évoqué mais en fonction de comment on voit l’art, on aura forcément un point de vue différent sur la question de la rémunération des artistes.

Le 06/11/2018 à 10h 33

On sait si luks est aussi vulnérable à cette faille ou luks gère le chiffrement de manière complètement logicielle?

Le 23/08/2018 à 16h 09

D’ailleurs j’en profite pour signaler que l’heure et le lieu de la mobilisation à Paris contre les articles 11 et 13 de la réforme du droit d’auteur ont été fixés : ce sera à la Place Jules Joffrin dans le 18ème à partir de 14h30.

Le 14/07/2018 à 10h 54

Pour ma part, je connais NextINpact depuis plus d’un an et c’est devenu mon site d’informations privilégié pour tout ce qui touche au numérique que ça soit les actualités techniques, juridiques ou politiques. Je lis le Brief tous les matins et le soir je lis tous les articles m’intéressant publiés dans la journée. Cela fait un peu moins d’un an que je me suis abonné pour soutenir ce que j’estime être un travail de qualité qui ne se retrouve malheureusement que trop peu dans la presse aujourd’hui. Je vous encourage donc à continuer tel que vous le faites pour les prochaines années. NextINpact m’a permis d’en apprendre beaucoup sur divers sujets touchant au numérique. Merci pour tout votre travail !

Le 30/04/2018 à 13h 56







127.0.0.1 a écrit :





  • La nouvelle mesure retenue s’avère la plus satisfaisante.



    • Et qu’est ce qui vous a fait changé d’avis ?

    • heu… mais personne. pourquoi ?



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    1. Précaire

    2. Chômeur de longue durée

    3. Uberisé

    4. Chanceux (précisez)







    5. A acheté un dlc

    6. Cheat codes



Le 24/04/2018 à 11h 02

“Nous avons décidé de saisir la Hadopi”

On est déjà vendredi? <img data-src=" />

Le 24/04/2018 à 08h 22

J’ai vu la dite révision dont on voit les captures d’écran dans l’article. Et parmi les options disponibles si l’on n’est pas d’accord avec leur collecte de données, la seule autre alternative est la suppression du compte. Libre consentement vous avez dit? Il va y avoir des batailles là-dessus une fois que la RGPD sera active.

Le 09/04/2018 à 12h 39

Tiens, c’est bizarre, ça me rappelle la taxe sur les hyperliens qu’ils avaient essayés de faire passer <img data-src=" />

Enfin, étant donné que de plus en plus de médias étant de plus en plus dépendant des réseaux sociaux et moteurs de recherche, ces derniers auront de quoi faire pression pour passer entres les mailles du filet et ce seront les médias qui leur feront cadeau de l’exonération d’une quelconque taxe sur leurs liens et leurs contenus.

Le 21/03/2018 à 09h 45

Quand ils se rendront compte que ce n’est pas dans leur intérêt d’être trop dépendant de Google, Facebook et consorts car ils peuvent modifier unilatéralement les conditions des contrats (et ce n’est pas un média français qui aura beaucoup de poids pour faire des négociations), il sera trop tard. Enfin pour moi, il est déjà trop tard pour certains médias, cf leurs réactions lorsque Facebook a modifié quels types de contenus étaient mis en avant. Mais bon, qu’ils continuent de faire l’autruche, ils ne faudrait surtout pas qu’ils remettent en cause leur modèle économique, s’ils coulent, c’est la faute au piratage. Quoi, on n’est pas trolldi aujourd’hui?

Le 20/03/2018 à 10h 32

Quelle est la différence entre un écrit et un écrit publié en ligne? Le droit d’auteur s’applique déjà sur les écrits publiés en ligne dans le cadre de la loi française puisque ce sont des oeuvres intellectuelles. Je ne vois pas en quoi il est nécessaire de créer un droit de la propriété intellectuelle sur les écrits publiés en ligne.

Et Internet n’est pas un média ! Argh !

Le 13/03/2018 à 13h 17

Je rajouterai à cela toute la problematique des sites tiers. Je vais sur un site français. Je pense me rendre sur un site français où s’applique donc la loi française. Sauf qu’il y a des connexions à des sites tiers dont certains ne sont pas soumis à législation française mais à la législation d’un autre pays et ces sites tiers récupèrent des données sur moi et qui sont soumis à la loi d’autres pays sauf que je n’ai jamais voulu me connecter de manière volontaire à ces sites, j’y ai été contraint, pas par la menace, soit, mais sans que j’aies été consulté, sans mon accord. La loi est-elle toujours applicable dans ce cas-là sans que je n’aies eu la possibilité d’appliquer mon libre arbitre et de choisir de me connecter ou non à ces sites? (Je pense, en disant ça, au Patriot Act notamment : en naviguant sans protection, on se connecte à des centaines des trackers qui génèrent des données sur nous et qui sont stockées pour certaines aux Etats-Unis où les autorités peuvent accéder à ces données) C’est une véritable question, n’ayant pas une formation de juriste, je ne saurais y répondre.

Le 24/01/2018 à 18h 16

Mounir, get away

Get a good job with more pay and you’re O.K.

Mounir, it’s a gas

Grab that cash with both hands and make a stash

New car, caviar, four star daydream,

Think I’ll buy me a football team



Mounir, get back

I’m all right, Jack, keep your hands off of my stack.

Mounir, it’s a hit

Don’t give me that do goody good bullshit

I’m in the high-fidelity first-class traveling set

And I think I need a Learjet



Mounir, it’s a crime

Share it fairly but don’t take a slice of my pie

Mounir, so they say

Is the root of all evil today

But if you ask for a rise it’s no surprise that they’re giving none away



Pardon je sors tout de suite mais avec un tel sous-titre, c’était trop tentant <img data-src=" />



Pour en revenir sur l’article, je ne vois pas en quoi il y a nécessité d’une telle loi au vu de ce que propose déjà la loi actuellement. De plus, cette loi passe à côté du vrai débat : elle ne fait que traiter les symptômes et non la cause du mal qui pour moi est la course à qui générera le plus de vues et donc d’argent. Cf le billet de la quadrature du net sur la question :https://www.laquadrature.net/fr/macron_fake_news

Le 10/01/2018 à 21h 40

Pardon, je me suis mal exprimé, j’ai lu et commenté l’article rapidement sur la pause du midi, 10 min avant de reprendre les cours. J’ai sans doute réagi trop à chaud. Ce que je voulais dire c’est que si, effectivement, Charlie Hebdo est un cas à part : il n’y a pas 36 000 médias qui ont subit un attentat, pourquoi intituler cet impôt l’impôt “Charlie Hedbo” alors que tous les journalistes pourraient en bénéficier. Cela pourrait laisser penser, si on lit l’article en diagonale, que seul Charlie Hebdo en serait le bénéficiaire. Appeler cet impôt l’impôt pour la protection des journalistes aurait été, à mon avis, plus neutre.

Le 10/01/2018 à 12h 54

Internet n’est pas un média ! C’est juste des tuyaux qui permettent de transporter des données d’un ordinateur à un autre (Coucou Benjamin Bayart). Et pourquoi Charlie Hebdo en particulier? Pourquoi pas Nextinpact, ou alors le Gorafi pour rester dans le caricatural? Ce serait pour tous les médias mais pourquoi mettre Charlie Hebdo en avant?

Et puis je passe sur le fait de parler de fascisme, d’idéologies délétères et anti-démocratiques ou comment essayer de décrédibiliser des gens sans avancer aucun argument. Je ne dis pas qu’il n’y a pas de fascisme sur Internet, je dis juste que ça ne permet aucun débat. Et si on se demandait pourquoi les fakes news ont autant d’impact? Si on s’attaquait au mal plutôt qu’aux symptômes?

Le 15/11/2017 à 12h 26

Oui, effectivement, si tu connais des gens qui sont susceptibles de t’aider avec Mageia, c’est un plus par rapport à aller chercher de l’aide sur un forum.

Le 15/11/2017 à 11h 47

Pour toutes distributions importantes tu es susceptible de trouver des gens pouvant te dépanner en cas de problème. Ce n’est pas un point exclusif à Mageia.