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consommateurnumérique

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online press addict – newsletter & email as a future way.

“Contradiction is not a sign of falsity, nor the lack of contradiction a sign of truth.” (Blaise Pascal, Pensées/Thoughts, 1623-1662)

“Science today will either have to seek a source of inspiration higher than itself or perish.” (Simone Weil, La pesanteur et la grâce/Gravity and Grace, 1947)

“Above all, the take-home message from this book is that we humans tend to overestimate AI advances and underestimate the complexity of our own intelligence.” (Melanie Mitchell, Artificial Intelligence: A Guide for Thinking Humans, 2019)

1837 commentaires

Le 08/05/2024 à 08h 03

Ou l'usage des "services" comme les IBAN de EDENRED dont la légalité est contestée par l'UNARC. Mais je n'ai pas l'impression qu'ils aient lancé de procédure contre vu que c'est toujours proposé par ce syndic (en tous cas à l'époque où j'étais dans un copropriété gérée sur le papier par eux).

Le problème se situe dans le fait que les fonds versés par les copropriétaires ne sont pas directement déposés sur le compte de la copropriété, ce qui est une obligation mentionnée par l'article 18, chapitre II de la loi du 10 juillet 1965 modifiée par la loi ALUR.

« II. - Le syndic assure la gestion comptable et financière du syndicat et, à ce titre, est chargé : (...) d'ouvrir, dans l'établissement bancaire qu'il choisit, un compte séparé au nom du syndicat, sur lequel sont versées sans délai toutes les sommes ou valeurs reçues au nom ou pour le compte du syndicat) »


Et pour le coup, au hasard d'une discussion avec le comptable de la copropriété, il nous avait confirmé qu'il y avait un compte d'attente... Juste en demandant pourtant il y avait des gros virements de 20 ou 30k€ sur le compte de la copro qu'on ne retrouvait pas dans les mouvements du livre des comptes.

Hélas, l'immobilisme et la peur des copropriétaires est un terrain idéal pour permettre aux syndics de faire leurs conneries :craint:

A la dernière AG, j'avais voté contre le mandat du syndic avec plusieurs autres copropriétaires. Officiellement on allait finir sous gestion administrative le temps de nommer un nouveau syndic. Résultat, les votants se sont ravisés pour éviter cela, perso j'ai maintenu. L'argument avancé par la gestionnaire m'avait amusé tellement il était de mauvaise foi. "Cela va engendrer des frais pour la copropriété", comme si le syndic à 13k€/an qui ne faisait pas ton taff était gratuit.

Pour ma part, mon syndic n'a pas convoqué l'AG l'année dernière. Soit disant parce que la migration informatique de la compta de la copropriété s'est mal passé. Les honoraires du syndic sont passés de 6000 à 10000 euros l'année dernière comme une lettre à la poste.

Le 06/05/2024 à 15h 10

La fraude chez les syndics, c'est déjà de ne pas répondre à leurs obligations professionnelles. Certains font même payer pour des actes imaginaires. La transformation digitale, comme ils disent.

Une caméra sur un plafond

Le 07/05/2024 à 20h 55

mais... 🤨
c'est pas du franglais, vision en anglais veux dire prédiction/prévoyance...

Il y a aussi Vision Pro d'Apple 😅

Le 07/05/2024 à 20h 51

Pas forcément, vision en anglais signifie aussi voir. D'ailleurs le module de reconnaissance d'image de GPT-4 s'appelle justement GPT-4 Vision.

Vision Pro d'Apple😅

Le 07/05/2024 à 20h 50

Pas forcément, vision en anglais signifie aussi voir. D'ailleurs le module de reconnaissance d'image de GPT-4 s'appelle justement GPT-4 Vision.

Vision Pro d'Apple 😅

Le 07/05/2024 à 14h 56

Citywatch aurait été plus correct peut-être, mais je reconnais le franglais cher à la sphère parisienne.

Le 06/05/2024 à 16h 03

J'aime bien l'analogie. elle est très bien pour une certaine vision de la chose. Il y a un truc qui me manque là-dedans:
Celles et ceux qui sont là pour "vivre" ou "interagir" avec le monde sans violence, sans guerre d'égo etc... n'ont pas envie non plus de rester en vase clos, et ne devrait pas avoir besoin de rester en vase clos ! Rester en vase clos c'est accepter une certaine forme de défaite face à la violence (verbale, harcèlement, menances, etc...). Et je crois (je peux me tromper) que c'est pas une fatalité.

On peut chercher l'interractiona vec le monde (même avec les gens "pas d'accord" avec soit) et avoir une communauté de gens. Centrées sur plein de trucs d'ailleurs : y a des instances Masto géographiques, de gamers, LGBT+, professionnelles etc...)

Bref, j'ai l'impression que accepter les plateformes centralisées juste pour dire "il faut une zone de non-droit" ça me laisse un sale goût. Donc je préfère dire "fuck" aux plateformes centralisées ET au public nauséabont qui les rendent dégueulasses. Pour moi les deux sont liés de façon inextricables.

D'autant plus que les algorithmes de recommandation des réseaux sociaux centralisés sont faits pour inciter au clivage car c'est ce qui fait réagir le plus (commenter, liker, partager). La centralisation de la plateforme ne montrera pas forcément ce qui intéresse l'individu, plutôt ce qui le titille et ce qui l'indigne (avec tout ce que ça comporte d'anxiété).

Le 06/05/2024 à 15h 50

Je pense qu'un réseau social et décentralisé ne remplacera jamais X/Twitter. La décentralisation est vendue comme un moyen de créer des bastions avec des convergences d'intérêts/opinions.

C'est une structure inutile pour tout ceux qui veulent interpeller, militer et porter la controverse. Ceux là veulent une zone de PvP multijoueurs et pas des safe-place de guildes.

Le fedivers est autant, sinon plus, « multijoueurs » que le metavers. La centralisation concerne uniquement l'architecture de la matrice dans laquelle l'individu évolue.

Le 02/05/2024 à 18h 13

Pour moi je voulais bien jouer le jeu à l'ancien tarif, là ça ne m'intéresse plus.
Je suis abonné à une revue papier 12No+4HS sans pub à 75€/an donc oui il y en a qui s'en sortent avec de l'impression et de l'envoi en supplément...
De plus le discours du repreneur était il me semble me souvenir : "on fait du pognon avec notre boîte principale, pas grave si next n'est pas rentable, on prend en charge la différence".
Bah non finalement, faut aussi rendre rentable !

tu parles probablement d'un mensuel papier avec un tirage relativement bon. Next est plus comparable à un hebdo, je pense. D'ailleurs, dans la presse en ligne, les tarifs vont de 3 € à 11 € par mois (à part exceptions comme Les Echos qui visent un autre public).

Le 02/05/2024 à 14h 34

Vous avez une idée du nombre de mineur qui ont accès à la carte de leurs parents simplement parce qu'il ont achetés une fois un truc sur internet ou sur la console de jeu ou le smartphone et qu'on lui a dit je cite "prend ma carte le code est XXXX et tu la remet en place après j'ai pas le temps...."

Légalement un mineur n'a pas la capacité juridique pour contracter un achat, sans autorisation d'un responsable légal. Un parent peut demander le remboursement de l'achat en ligne sur ce motif.
https://www.lafinancepourtous.com/pratique/vie-perso/achats-en-ligne/les-7-regles-dor-a-suivre/

TikTok

Le 01/05/2024 à 16h 01

il faut dire que x.com renvoie encore sur twitter;com

Drapeaux de l’Union européenne

Le 01/05/2024 à 02h 18

On peut dire aussi « violences en raison du genre » ou « violences sexistes et sexuelles » (VSS) plutôt que « violences faites aux femmes ».

Le 30/04/2024 à 21h 05

Personne n'est mis de côté pour la simple raison que le jour où les femmes n'auront plus de craintes de se faire harceler ou de subir des violences conjugales, les hommes seront d'autant plus libérés. Car faut-il rappeler que l'immense majorité des violences en raison du genre sont subies par des femmes vis-à-vis d'hommes.
Les hommes sont victimes d'actes d'inceste dans leur enfance (encore une fois vis-à-vis d'adultes masculins en grande majorité).

logo OpenAI dans l'obscurité

Le 29/04/2024 à 18h 41

Comme si Coca-Cola se faisait passer pour un jus de fruits. Et de répondre aux détracteurs qu'il s'agit de jus de fruits artificiels. Bienvenue chez Total Recall, nous créons la réalité que vous n'avez pas demandée.

Collectif La Barbe

Le 26/04/2024 à 17h 46

J'abandonne, tu ne veux définitivement pas expliquer ce qui te permet d'affirmer que le fait que ce soit une femme a une quelconque incidence dans le cas présent. Tu n'as fait qu'affirmer que c'était le cas sans en apporter aucune preuve en partant du principe que "puisque ça existe a un niveau global alors ça s'applique partout".

J'affirme que c'est un enjeu sociétal et libre à toi d'en faire une affaire de personnes. Ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit.
J'ai été suffisamment clair dès le départ et je ne t'oblige pas à te sentir concerné donc laisse-moi en dehors de tes jugements et on pourra rester cordial.

Le 25/04/2024 à 07h 14

Peut-être parce que médecin obstétricien est plus valorisant que sage femme ?

Le 25/04/2024 à 07h 09

Ca ne m'explique toujours pas en quoi on peut affirmer cela dans le cas présent. Ca pourrait aussi bien être uniquement une volonté de ne pas être la cible de ce genre de remarque peu importe que cela provienne d'une femme ou d'un homme.

J'insiste bien sur "le cas présent". Que cela existe ailleurs et est applicable dans d'autres situations est un autre sujet.

C'est pas une question individuelle mais un sujet global de société. On peut prendre toute remarque pour une diffamation ou une injure, il faut alors prouver l'intention de nuire.

Le 25/04/2024 à 07h 03

Choisir une photo et un article avec des individus bien identifiables, dont tu ne connais d'ailleurs strictement rien à leurs vies, leur mettre une cible de misogynie et tirer, puis venir dire:"Bah non ,je ne parlais pas de vous en particulier mais je généralisais.". Dans les faits, ces sont eux et leurs sociétés qui sont dans la sauce du bad buzz, et pas "on".

Assumer ses actes et s'expliquer, c'est bien aussi. Faudrait pas confondre la dignité et l'orgueil.

Le 25/04/2024 à 07h 01

non le sujet c'est que la dev ici bache un rasso full h sans connaitre le contexte.
Et comme c'est fait en public, elle prend un taquet en retour.

On n'a pas la même notion du bashing. Je ne sais pas ce qu'est un taquet pour toi mais ça m'a pas l'air très fairplay.

Le 23/04/2024 à 16h 40

Tout à fait d'accord, on ne pourra jamais avoir une parité h/f sur tous les secteurs professionnels.

Exemple aussi de mon côté, équipe de dev & ba, la seule femme dev presta est partie, on a cherché et même demandé explicitement aux commerciaux des devs femmes => peu de cv reçus, elles ne convenaient pas au poste donc on a ensuite pris un homme.

donc si demain mon chef se fait toper sur linkdin sur une photo de l'équipe full h, je peux comprendre la plainte pour diffamation.

Concernant un objectif de parité h/f, je suis tout à fait d'accord : même si c'était l'objectif visé, ce serait totalement illusoire et inutile.
Le sujet est d'écarter des femmes et se contenter de la situation en niant l'intérêt de féminiser les équipes.
Concernant la supposée diffamation de la publication de la développeuse, il n'y a aucune volonté de nuire, juste une remarque factuelle comme dit précédemment. Si ton chef se prend une remarque désagréable, il pourrait réagir intelligemment comme le ferait une personne responsable qui se respecte.

Le 23/04/2024 à 12h 29

Si tu avais lu l'article, les excuses publiées par la développeuse exprime bien qu'il s'agissait de pointer un fait général d'hégémonie masculine latente et d'absence ordinaire de diversité.
Le status quo, qui a l'air de te convenir à toi, ne satisfait visiblement pas tout le monde.

Le 23/04/2024 à 11h 24

Je ne vois pas ce qui te permet d'affirmer que le fait qu'elle soit une femme importe ici, pourrais-tu étayer tes propos ?

Les femmes sont invisibilisée de l'espace public, du débat public par différents phénomènes sociaux. Notamment, ce qu'on appelle le mansplaining (expliquer comment les choses fonctionnent alors qu'on n'y connaît rien, à une femme qui s'y connait mieux) ou comme ici où un homme demande à une femme de se taire.
Cela-dit, bien sûr qu'il arrive que des hommes soient l'objet de tels comportements et bien sûr que des femmes ont leurs petits effets d'autorité, mais rien à voir avec l'autorité masculine et l'agressivité masculine plutôt favorablement admises socialement (alors que les femmes sont admises plus consensuelles, voire timides en public).

Le 22/04/2024 à 15h 31

Je me rends compte que sur les médias sociaux, mais aussi dans la vraie vie en présentiel, ceux et celles qui ne connaissent pas un sujet (et s'en fichent) parlent plus fort que ceux et celles qui ont de vraies remarques à faire. Pourtant, on est dans une époque où on parle sans cesse d'horizontalité, de participation, de données ouvertes, etc, mais pas le droit de critiquer négativement, la blessure d'égo est plus forte. En politique, c'est pareil (démocratie participative mais sans remise en cause du projet).

Portrait de Thierry Breton mis en perspective avec un meme par Guénaël Pépin

Le 24/04/2024 à 08h 33

je ne connaissais pas le terme “doomscrolling”.

Tant qu'à faire, je préfère le terme adopté par les Québécois : défilement morbide.

Moi c'est l'abréviation CEO (directeur/trice générale) et le mot hard pour parler de matériel qui m'agacent le plus, mots très usités dans le monde informatique.

Le 23/04/2024 à 18h 33

TokTok Lite, c'est comme le cash back ou les points fidélité dans le commerce. Dans le cadre d'une activité compulsive, c'est pire que rendre captif l'utilisateur, c'est comme si la FDJ permettait de cumuler des points à chaque ticket de jeu acheté régulièrement au risque de créer des troubles compulsifs.

Édit: je ne connaissais pas le terme “doomscrolling”.

Facebook

Le 21/04/2024 à 20h 31

La visibilité des statuts des « amis » est beaucoup plus importante que celle des publications des pages dans le fil d'actualité et un commentaire déposé sur une page est visible sur le fil d'actualité de ses « amis ». Pour augmenter le reach d'une page facebook, il suffit d'augmenter les interactions de ses abonnées (partager, liker, commenter) mais pour ça il faut souvent payer au départ. Les interactions entre « amis » servent surtout à Facebook pour générer de l'activité (collecte de données) et de l'audience (audience vendue aux annonceurs).

Le 19/04/2024 à 15h 25

Le Reach Facebook, c'est quoi ? – Marketing Système 2.0 sur LinkedIn (30/03/2022)

En gros, le reach est la visibilité d'une publication sur le fil d'actualité Facebook (ou Instagram). Et Meta est rémunéré pour ça (ciblage publicitaire, mise en avant de publications, etc).

Le 18/04/2024 à 20h 03

C'est un peu hors-sujet mais ça arrive conjointement avec ce « payer ou accepter » : depuis peu facebook réduit les fonctionnalités de son site mobile, l'application est nécessaire pour répondre aux stories et dernièrement un petit bandeau permanent s'affiche en bas de l'écran en cours de navigation sur mobile pour recommander l'application.

Le 21/04/2024 à 20h 21

« Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres, et à donner l’apparence de la solidité à ce qui n’est que vent. »
George Orwell

Le 19/04/2024 à 18h 51

Je voulais indiquer qu'à la vue de la masse importante de données qui transite sur les réseaux sociaux, peu importe les filtres qu'on peut mettre en place, il y aura a fortiori certains qui réussiront à passer entre les mailles du filet.

Meta n'est-il pas ainsi responsable de ce qu'il diffuse ?

Meta ne publie pas les contenus, ce sont les utilisateurs des réseaux sociaux qui décident de publier tel ou tel contenu.

Meta ne fournit que la plateforme.

En ce sens, Meta ne peut être tenu responsable des contenus publiés par autrui.

Mais Meta doit respecter les lois et notamment les notifications de suppression/blocage de contenus illicites (au sens de la loi) qui lui auront été signalés.

Si on considère que Meta, en temps que fournisseur de plateforme, est responsable de tous les contenus alors on peut également rendre responsable les fournisseurs d'internet responsables, mais également les hébergeurs de sites web ou encore les outils de publication comme Wordpress.

Et c'est clairement une porte à ne surtout pas ouvrir, si on veut conserver un minimum de liberté d'expression.
Dans le cas contraire, c'est un monde à la 1984 qui s'offrira à nous...

Juste une mise au point : s'il y a quelque chose qui ressemble aux thèmes du roman 1984, c'est la société Meta elle-même.

Le 19/04/2024 à 00h 02

Il y a deux sujets qui se chevauchent ici:

* Le problème du harcèlement en ligne, bien réel. Bien sûr rien ne justifie le harcèlement, les menaces etc.

* Le débat de société sur le rôle des "sensitivity readers", la nature des programmes DEI etc. Même parmi les mouvements dits progressistes aux US il y a eu des évolutions ces dernières années, le débat n'en est plus au niveau de 2019. Il faut savoir aussi garder la tête froide, faire la part des choses et ne pas se laisser emporter par les émotions. Malgré les outrances, le harcèlement, la polarisation politique etc. certaines critiques concernant le travail de Sweet Baby sont pertinentes. Le problème n'est pas d'insérer de la diversité mais la manière ouvertement outrageante dont c'est parfois fait, un peu comme les programmes DEI qui obligent tout le monde à déclarer qu'il est raciste, ce type de manière de faire est en perte de vitesse car évidemment ça empire la situation au maximum possible, ça divise les gens, et ça polarise tout le monde de manière entièrement contre-productive.

Un employé de Sweet Baby Inc. a réagi de manière discutable à une liste de boycott, ça a créé un effet Streisand, mais ça ne justifie évidemment pas le harcèlement dont lui et Sweet Baby ont été victimes par la suite.

Il ne faut pas confondre panique morale et préjudice moral. C'est parfois difficile à admettre, je l'avoue. Mais du sang froid et un pas de côté peuvent permettre d'en reprendre conscience.

Le 18/04/2024 à 23h 16

Comparer la situation d'une entreprise à celles des filles harcelées dans la rue, c'est ridicule et déplorable.

Mais allons-y franchement : vu qu'il apparaît clair que la polémique n'aurait pas existé sans cette action de ces deux employés, euh comment dire... oui, clairement. Car des listes de ce genre doivent sûrement exister pour d'autres raisons, et on n'en entend pas spécialement parler. C'est juste dommage pour tous les autres employés de l'entreprise si jamais elle doit fermer suite à cette histoire.

Sans compter qu'il s'agissait de lister les jeux considérés « génants » selon une grille idéologique spécifique à la base, bref rien de bien méchant en soi quand le groupe ne représentait pas grand monde. Certes j'imagine qu'ils devaient recevoir parfois des e-mails ou tweets discutables comme plus ou moins toutes les entreprises de nos jours, mais on est sûrement loin du cyber-harcelement qu'ils doivent subir MAINTENANT vu que la taille du groupe a été multiplié par 37X par leur propre fait.

En 2024, ignorer le risque de l'effet Streisand c'est tendre le bâton pour se faire battre.

Se défendre de comportements problématiques, c'est tendre le bâton pour se faire battre ? Créer une liste de jeux à cibler, c'est rien de bien méchant ?


« Le harcèlement est la répétition de propos et de comportements ayant pour but ou effet une dégradation des conditions de vie de la victime. Cela se traduit par des conséquences sur la santé physique ou mentale de la personne harcelée.

La loi punit toutes les formes de harcèlement, en tenant compte de la fréquence et la teneur des actes.

Il s'agit par exemple des actes suivants :

Actes ou propos vexatoires
Menaces
Propos injurieux ou obscènes
Appels téléphoniques, SMS ou courriers électroniques malveillants
Visites au domicile ou passages sur le lieu de travail »

service-public.fr

Le 18/04/2024 à 22h 53

Si c'est Sweet Baby Inc. qui aurait tenté de brigader pour bannir quelqu'un de Steam, ce n'est pas une question de respecter ou non les règles de Steam. Après tout, cette tactique ne fonctionne pas trop mal sur Youtube, alors pourquoi pas ailleurs ?

Cependant faisons ce qu'il dit et « usons de notre cerveau »... et de Google.

Si j'ai bien cherché (et je peux m'être fait avoir), il semblerait que ce n'est pas Sweet Baby Inc. mais un EMPLOYÉ de Sweet Baby Inc. qui a fait une tentative de doxxing du concepteur du groupe Steam jugé problématique, et apparement suivi par un autre peu après.

On notera sur ce 2ème lien qu'il n'y avait que 10.000 joueurs d'inscrits alors que le groupe avait un mois d'existence avant que les employés en question ne s'en plaignent.

Le résultat est un retour de flamme façon effet Streisand, et aujourd'hui c'est 375 K.

Surtout qu'au final quel était le problème ? Que des joueurs n'aiment pas leur implication dans certains jeux et fondent une liste des jeux à éviter ? La belle affaire, sans compter que s'ils étaient fiers de leur travail alors ils ne devraient pas être génés par 10.000 clampins.

Le résultat est qu'ils sont scrutés à la loupe, avec en bonus les projections que beaucoup ne manqueront pas de réaliser. Genre cette petite vidéo qui incite les développeurs souhaitant de leurs services à faire pression à leur boss pour l'obtenir : certains n'ont pas hésité à extrapoler et dire qu'il s'agit de menaces claires.

Bref... A ce stade je serai le CEO de Sweet Baby Inc., je procéderai au licenciement immédiat des deux employés qui ont causé ce désastre. Ceci d'autant que je ne suis pas certain de trouver des clients après cela, car les développeurs d'un jeu ne voudront pas prendre le risque de faire partie d'un Gamergate 2.0 même si la raison est peu claire.

Quand à se plaindre du cyberharcélement en 2024... Je veux dire qu'il faut être contre, mais à notre époque le cyberharcélement est limite concomitant avec les réseaux sociaux, et s'en plaindre quand en plus on tire en premier est assez étonnant à lire.

Quand au « jeu qui ne plaît, n'y joues pas », c'est plus compliqué que cela quand la passion s'en mêle. Un seul jeu raté peut tuer une licence entière même avec de grandes cuvées en son sein. Dès lors si une raison quelconque apparaît pour expliquer un échec (ici Sweet Baby Inc.) alors il y aura des joueurs qui n'hésiteront pas à la viser, peu importe le niveau réel de responsabilité.

Enfin bon... Je ne suis pas sûr qu'il y ait vraiment une volonté de formatage idéologique de la part de Sweet Baby Inc. (l'accusation principale), par contre il y a clairement un cas d'étude concret sur les stupidités à ne pas faire si on tient à son emploi.

Merci pour ce cas d'école d'inversion des rôles.
En réalité rien, absolument rien ne justifie la violence ou le harcèlement. Le harceleur ou la harceleuse est seul(e) totalement responsable de ses propres actes malsains.

Le 18/04/2024 à 19h 29

Les goûts et les couleurs… Visiblement, même dans les commentaires de Next, ça rend agressif quelques-uns alors qu'il s'agit de loisirs et de culture. Un peu de fair-play messieurs (les dames sont sûrement peu présentes dans les commentaires comme dans les stades de foot où on est obligé de bannir des clubs supporters pour des raisons semblables).

Le 18/04/2024 à 09h 24

Mélenchon qui n'est même pas élu, la liste LFi aux européennes qui fera au mieux 8 % des voix en juin prochain (source: sondages d'intentions de vote). Mais tu peux toujours indiquer des livres qui parlent des influences internationales qui profitent à LFI, ça m'intéresse vraiment perso.

Le 17/04/2024 à 12h 43

Il est à noter que l'accusation d'utiliser le « whataboutisme » peut devenir elle aussi une manière de ne pas répondre aux arguments, par exemple certaines comparaisons.


🙃

Vu le pavé que tu as écrit sur ce fil de commentaires, on comprend bien que tu aimes comparer et opposer tes propres valeurs aux autres. On dit aussi que « comparaison n'est pas raison », c'est-à-dire que raisonner exige d'étudier plus profondément un sujet que l'invalider par une mise en parallèle qui n'analyse rien et ne démontre rien.

Le 17/04/2024 à 12h 20

S'il fallait être exhaustif pour traiter d'un sujet, il n'y aurait plus rien à dire. L'objectivité ne dépend pas de l'exhaustivité ou d'une soit disant vérité absolue et même pas d'une pseudo neutralité (qu'on défend généralement en faisant confusion avec de la convivialité, du conformisme, de l'uniformité).

Des coches bleues à foison

Le 16/04/2024 à 14h 56

Sur X, si je comprends bien, il y a les nouveaux comptes avec peu de fonctionnalités et les comptes premium (ceux qui sont là depuis longtemps, qui ont une forte activité ou qui paient un abonnement). Ça ressemble un peu au fonctionnement de LinkedIn même si X est un peu confusionnant dans les objectifs de cette coche bleu (et d'autres éléments de X qui sont très discutables).

Des chercheurs en noir et blanc regardent une fiole sur laquelle est écrit "Perlimpimpin" en jaune.

Le 12/04/2024 à 22h 09

Julien Bobroff et Viviane Lalande, mes 2 références pour le néophyte que je suis.
J'ai aussi repéré la page Facebook « Épicurieux » avec (entre autres) Jamy Gourmand. À voir aussi sur Youtube, TikTok, ….

le logo d'instagram

Le 12/04/2024 à 16h 28

A Souchon a tout a fait raison : du vécu.
Meta ne propose que du virtuel instagrammable, du "live" déconnectable d'un clic. Instagram et TikTok sont régulièrement accusés de favoriser la dépression, le mal-être et parfois les idées suicidaires.

Le 12/04/2024 à 14h 03

Pas d'anti-spam pour ce genre de services de mise en relation. Je me souviens des messages anti-fakenews de Meta pendant la période Covid totalement inutiles.

Maintenant, je n'ai plus de compte instagram. Sur facebook les profils et les Reels sexuellement suggestifs complètement créés de toutes pièces inondent mon fil d'actus. Je ne consulte plus facebook sauf quelques minutes par semaine pour voir les interactions d'une partie de la famille et voir la page de la mairie.

Meta me fatigue et c'est pas demain la veille que j'achèterais un casque Quest.

Le 10/04/2024 à 19h 20

On a compris que t'étais un gros abruti miso, c'était pas la peine de l'étaler sur 50 lignes.
Tu connais rien de l'asso ni de ce qu'elle fait, tu cherche MÊME PAS à comprendre, ni à voir leurs actions. T'es juste là pour trasher des meufs qui essayent de se battre pour informer et construire un monde meilleur pour elles et toutes celles qui viendront ensuite. Et elles sont bien plus compétentes pour ça que tu ne semble le penser (un joli biais miso encore une fois…).

Après rassure toi, t'es pas le seul, dans les commentaires de next on est bien servi à chaque sujet qui touche au féminisme ou aux minorités.

Tu n'as pas compris qu'il s'agit d'un enjeu sociétal et d'égalité de genres. Pour toi, c'est un problème psy : comprendre que tu ne te sens pas concerné. Tu pourrais quand même te sentir concerné en te questionnant sur les violences que subissent les femmes de ton entourage (mais elles pensent certainement comme toi). Cela-dit, tu as le droit de t'en balek. Obviously personne ne dit que les mecs ne subissent pas de violences.

Quant à ton opinion sur les engagements associatifs, on a bien compris que tu n'en avais aucun. Et si tu en as, je pense probable que c'est un centre d'intérêt que je n'ai pas (je ne vais pas pour autant dire que ton asso éventuelle qui reçoit peut-être des subventions de ta mairie n'a aucune efficacité sociale).

Ce commentaire ne te concerne pas exclusivement.

Le 09/04/2024 à 11h 32

Pour avoir un peu suivi l'édition 2022 du Zevent, je suis fasciné par ces « marathon caritatifs » où les égos se rassemblent pour collecter du pognon, de la maille, du flouze, des pépettes et battre des records de cumul de dons. C'est un peu Pékin Express qui rencontre le Téléthon, mais avec le gaming et le streaming politique (Jean Massiet, Samuel Étienne ont participé au Zevent, par exemple).

Le 09/04/2024 à 15h 14

Vu l'intérêt stratégique des « terres rares » pour l'industrie électronique et vu la faible concentration dans la nature de ces métaux (ce qui veut dire pollution des sols et gros besoin en eau pour leur extraction), c'est clair qu'avoir des filières de recyclages serait bénéfique.
Mais avant le recyclage, il y a le réemploi des objets électroniques et électriques (dont le reconditionnement, le rétrofit).
D'ailleurs, en parlant de recyclage des DEEE ou D3E (Déchets d'équipements électriques et électroniques), une vidéo YouTube à ce sujet et un lien Wikipedia sur Agbogbloshie (Ghana)

lexique IA parodie

Le 06/04/2024 à 18h 40

Cet article lexical me fait penser à un épisode de « La Science, CQFD » intitulé « Terminator : 40 ans, toujours pucé » (04/04/2024 – franceculture.fr) :

« Au panthéon des films cultes : Terminator. Le premier opus sorti en 1984 fête ses 40 ans. Pourquoi sa réflexion sur l’intelligence artificielle fait-elle encore écho aujourd’hui en 2024?
Si l’œuvre de James Cameron est si culte, c’est parce qu’elle porte à l’écran un grand nombre de fantasme et de paranoïa : l’apocalypse nucléaire, la fin de l’humanité, le voyage dans le temps et l’éveil d’une IA qui se retournerait contre ses créateurs. En six films, la franchise interroge aussi la limite entre l’humain et la machine, avec, au fil de la saga, un T-800 qui s’humanise au point d’être capable de sourire, de ne plus avoir de mission, et qui finit par boire des bières. »

Téléphone tenu par une personne avec une jauge de début affichée à l'écran

Le 06/04/2024 à 10h 11

À ce propos, il est possible de désactiver la 2G sur les terminaux Android récents. Utile pour éviter les systèmes de surveillance type « IMSI catchers » ou pour éviter l'empilement technologique si on se situe en zone de couverture 3G/4G.

Malheureusement, les autorités publiques n'ont pas l'idée d'interdire la vente de mobiles 2G neufs, vu que l'arrêt de ce réseau est en cours de mise en oeuvre par les 3 opérateurs en France.

structure de fils métalliques interconnectée

Le 02/04/2024 à 07h 04

Pour information, fdn est un FAI, le service VPN est en principe payant.
https://www.fdn.fr/services/vpn/

Le 29/03/2024 à 18h 04

Étonnante, l'injonction contradictoire de nos responsables politiques à vouloir la croissance économique, l'austérité de la dépense publique et une sobriété (ou une transition écologique) des usages des ressources.

La publicité par exemple : la consommation compulsive, les promotions commerciales (parfois défendues pour un meilleur pouvoir d'achat). On n'interdira jamais la publicité ciblée et la collecte de données personnelles.

Hier, j'ai vu une vidéo du service numérique de France inter dans laquelle une journaliste interviewait un prof d'histoire-géo qui vit sans smartphone, sans mobile, juste un ordinateur portable pour ses mails. Ce que ça impliquait en terme d'acceptation sociale est quand même fou. C'est comme moi, qui vit sans voiture.

France inter organisait une journée spéciale « Smartphone : tous accros ! Comment dompter nos écrans ? » le jeudi 28 mars 2024, hier.
https://www.facebook.com/100064360762529/posts/pfbid02FDYBTG8oa9PWHQWoEVv5HuavMYosb7mydM16un2F6P1GuHsntBNVcSSogwaXe6wHl/

Monstre de consommation numérique s'auto-alimentant

Le 28/03/2024 à 21h 38

Ce que l'ARCEP appelle « consommation instantanée », exprimée en Watts, j'ai toujours cru que ça se nommait « puissance ». La consommation électrique s'exprime en Wh (Wattheure).

Ensuite, je suppose que l'ARCEP utilise ce subterfuge lexical pour ne pas faire de tests de consommation électrique. Parce que entre la puissance d'un appareil et sa consommation dans le temps, il peut y avoir des variations (notamment entre la veille éventuelle et la période de fonctionnement). C'est important surtout si on doit comparer les consommations entre appareils.