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4322 commentaires

Le 02/12/2015 à 18h 27



Mais le client email pourrait tout aussi bien être confié à cette communauté pour en faire un logiciel open source à titre « complet », c’est-à-dire sans qu’une structure commerciale n’en chapeaute les principales directions.





Je n’arrive pas à comprendre en quoi un logiciel ne serait pas complètement Open Source pour la raison qu’il serait édité par une entreprise.



Il me semble y avoir confusion entre logiciel libre et logiciel associatif.



Au passage, encore une fois, l’usage mot Open Source (qui est teinté d’un passé de lobbying) n’est pas du tout approprié pour qualifier des logiciels libres.



Car un logiciel peut être Open Source sans être libre.

Le 02/12/2015 à 18h 16







Commentaire_supprime a écrit :



Exact, le prix n’est plus une garantie de solidité depuis belle lurette. Et puis, il y a l’utilisation que l’on fait de l’appareil qui joue aussi.



EXemple pratique et réel : ma collègue a besoin d’un robot pâtissier costaud parce qu’elle emploie ce type d’appareil 23 fois par semaine minimum. Elle va prendre un engin de course à 300 € pour qu’il tienne le choc. Un robot pâtissier comme le mien, qui m’a coûté 100 €, serait mort peu de temps après la fin de la garantie avec elle, alors qu’il me fera 510 ans facile avec moi, qui n’emploie ce type de matos que 2 à 3 fois par mois.







Exact. Des fois, prendre moins cher et plus dépouillé, c’est prendre durable. Sur tout ce qui est électroménager, je n’ai jamais vu l’utilité de prendre des engins deux fois plus cher que ce que j’ai à cause des gadgetsà la con dont j’ai pas l’usage.



J’ai été obligé de remplacer mon four classique à poser à chaleur tournante, qui m’avait coûté 300 € et était doté d’un programmateur top moumoute dont je me servais jamais. J’ai pris un modèle 100 € moins cher avec une simple minuterie pour le temps de cuisson parce que je n’ai pas besoin de plus. Le calculateur électronique de temps de cuisson, pour ma part, rien à taper par exemple.







Et oui, malheureusement de nos jours, mettre le prix n’apporte plus l’assurance d’un produit durable.



Les produits les plus durables tendent à se trouver dans les bons milieu de gamme, pas trop sophistiqués et bien construits.



Il faut également prêter attention à la réparabilité.



Par exemple, éviter les lave linges dont la cuve en plastique est fermée par thermosoudure et qui ne peut dont être ouverte pour remplacer les roulements.


Le 02/12/2015 à 17h 38







CryoGen a écrit :



Je ne comprend pas ce que tu veux dire ??




  • Que la garantie fera baisser le taux de renouvellement et que le petit détaillant ne pourra plus refourguer 1 machine à laver tous les 3 ans à une famille ?

  • Qu’il va payer de sa poche la garantie constructeur ???

  • Que les petits détaillants construissent des petites machines à laver avec du petit materiel de merde et qu’ils ne pourront donc s’aligner sur la garantie de 5 ans <img data-src=" /> ?

  • Obiwan







    Non, je pense qu’il veut dire que c’est le petit détaillant qui va trinquer, pris en étau entre la multinationale inattaquable grâce à son siège à l’étranger et le consommateur mécontent qui saisira les tribunaux locaux.



    Pour ma part, j’objecterais que c’est un débat dépassé : a ma connaissance, la très grande majorité des petits détaillants ont déjà disparu depuis belle lurette. Et que ceux qui restent sont assez pro pour bien choisir ce qu’ils vendent et éviter l’entrée de gamme.



    Enfin, je pense que les durées de garantie doivent dépendre des produits. On pourrait fixer une durée de 10 ans pour un lave linge(Un bon lave linge dure au grand minimum ce temps la). 20 ans pour un frigo. Et 5 ans pour un ordinateur, soit les durées minimum pour de bons produits.



    Mais la garantie n’est pas tout. Pour favoriser la durée de vie, il faut également favoriser leur réparation.



    Pour cela, il faut éliminer les stratégies anti réparations dans la conception des produits et obliger les constructeurs à fournir des pièces détachées à prix correct pendant une durée longue.






Le 02/12/2015 à 18h 07







MadLluks a écrit :



“Mais quand c’est l’État qui utilise mes impôts pour payer des logiciels, là j’estime que j’ai un droit de regard oui. ”



Là tu parles du format ? Non je ne crois pas …

D’où tu aurais un droit de regard ? Est-ce que l’entreprise qui te payes à un droit de regard sur l’argent qu’elle te donne ? Non. C’est le même principe, on est les employeurs de l’état. On a des droits sur ce qu’il fait, des lois qu’il promeut, autant ton droit de regard est limité (je ne dis pas inexistant), oui vérifier que cet argent n’est pas dépenser dans le bien de leur plaisir propre (car oui on est dans une optique différente d’une entreprise), autans leur choix dans un outils, c’est leur budget.







Dans le principe, nous sommes en démocratie, ce qui signifie que le peuple est souverain et qu’il a un droit de regard sur absolument tout. Avec au final un pouvoir de sanction par les urnes..



En tant que parent, je pense qu’on a également notre mot à dire sur ce qu’on enseigne à nos enfants.



L’école Française doit t’elle vraiment faire la promotion des produits et standards provenant de pays qui sont nos concurrents sur le plan économique ? En particulier quand il existe des alternatives beaucoup plus neutre…


Le 02/12/2015 à 17h 52







Konrad a écrit :



Ça, il faut le dire vite. Tu connais vraiment le format docx ? Et l’OOXML de Microsoft en général ?



Sache qu’il existe deux formats OOXML (qui utilisent tous les deux les mêmes extensions, histoire de brouiller encore plus les pistes : docx, xlsx, etc.) :





  • OOXML Strict : c’est celui qui est standardisé ISO, bien ouvert et tout ce qu’il faut ; ce format est d’ailleurs bien implémenté dans d’autres suites, comme LibreOffice, qui peuvent le lire/écrire sans problème.



  • OOXML Transitional : en gros, c’est le Strict avec en plus, des blobs binaires dedans et des fonctions non-documentées, du genre alignAsWord95, autoSpaceLikeWord95, ou bien useWord97LineBreakRules. C’est ce format qui permet la rétro-compatibilité dont tu parles. Comme il est à moitié fermé et mal documenté, ce format ne peut bien sûr pas être correctement implémenté dans d’autres suites, et dans la pratique il ne peut s’ouvrir correctement que dans MS-Office.



    Maintenant, je pense que tout le monde est d’accord pour dire que OOXML Strict est standardisé, que tout le monde devrait utiliser ce format, qu’il peut être ouvert avec n’importe quelle suite…



    Tu sens venir le « mais » ?…



    …mais voilà, tout le monde continue d’utiliser OOXML Transitional. Pourquoi ? Ce tableau résume bien la situation : OOXML Transitional est le format par défaut dans MS-Office 2007, 2010, et 2013 ! MS-Office 2010 (encore largement utilisé) ne peut même pas enregistrer de documents au format Strict, alors que la norme date de 2008 !



    Alors, dire que OOXML est ouvert et que tous les problèmes sont résolus, c’est vite dit ! En réalité tout le monde a ses documents en OOXML Transitional, format non-ouvert et non-standard, et qui ne peut pas être ouvert avec autre chose que MS-Office. Pour peu que le document ait une mise en forme un peu élaborée, il est très mal rendu dans Libre Office ou n’importe quelle autre suite, et pour cause : il ne peut pas être implémenté car non-ouvert.



    Alors oui t’as raison, il faudrait peut-être se mettre à la page avant de dire que Microsoft ce sont des gentils, ils ont ouvert leur format… Dans la pratique tout est fait pour que le vrai format ouvert, OOXML Strict, ne soit pas utilisé par les gens…



    Et je ne parle même pas des C-fonts… <img data-src=" />







    En tant que programmeur, je dirais que de toute façon, il est illusoire d’avoir une compatibilité parfaite entre deux logiciels différents qui ne disposent pas tout à fait des mêmes fonctionnalités.



    C’est pour cela qu’en réalité, si l’on veut un standard, il faut choisir un logiciel. Et pour des raisons évidentes, ce dernier doit être libre.




Le 02/12/2015 à 03h 12







parnetiel a écrit :



Ça tombe bien on t’a pas demandé ton avis perso (mais genre du tout) quand il a fallu choisir Office pour l’éducation Nationale… le monde est fichtrement bien fichu quand même non?







Ca fait tellement rêver un monde de ce genre… <img data-src=" />







parnetiel a écrit :



Tu remarqueras qu’on a jamais vu ce genre de personnes s’émouvoir du monopole de linux ici ou ailleurs, dans les routeurs ou les machines à café que sais-je, pire il y en a beaucoup qui les citent en exemple ces monopoles du libre, c’est dingue quand même le 2 poids 2 mesures… bizarre vous avez dit bizarre?…







Et pour cause, c’est qu’un logiciel libre n’appartenant à personne, il ne peut pas créer de domination d’une entreprise ou d’un pays sur les autres.





En fait je crois qu’il y a une règle implicite, une sorte d’omerta qu’on s’autorise à penser dans les milieux autorisés, du genre :



a) quand le proprio domine exigez une saine concurrence, quitte à imposer le libre de force et tout autre moyen efficace que l’on jugera utile, on est en démocratie après tout <img data-src=" />





Microsoft peut forker Linux quand ils veulent.



Red Hat ne peut pas forker Windows.



Il est difficile, voire impossible de créer un vrai monopole sur la base des logiciels libres.



C’est pour cela que tous les pays du monde, particulièrement les petits comme la France ont tout intérêt à se diriger vers le libre.





b) quand le libre domine, c’est très bien on touche plus à rien, manquerait plus qu’on soit obligé d’utiliser du proprio même pour favoriser la saine concurrence et l’émulation technologique <img data-src=" />

je sais pas mais ça me rappelle certains principes de certaines politiques, douteuses pour le moins… <img data-src=" />





Parce que le libre n’est pas une entité, ni un organisme. Personne ne peut s’approprier le libre.



On ne peut dire pas dire que la liberté serait une dictature.



Quand à l’innovation, les monopoles ne l’ont jamais servi.



Et l’ouverture détruit les monopoles.


Le 02/12/2015 à 02h 41







parnetiel a écrit :



Mais de quoi tu parles sérieux?! Microsoft s’est jamais aussi bien porté qu’aujourd’hui en fait, le cours de bourse parle pour eux il me semble, au plus haut historique sur leurs 40 dernières années… <img data-src=" />







Ce qui ne veut rien dire…



Ce qui fait la grandeur d’une entreprise au présent, ce sont les actions du passé.



Dans l’histoire de l’industrie, il a parfois suffit parfois d’une simple erreur stratégique pour ruiner les plus grands empires.



Bien souvent, c’est le changement qui aboutit à redistribuer les cartes.



Le libre représente un grand changement, une révolution.





et qui fonctionne désormais sur absolument n’importe quoi dans un seul et unique écosystème en plus, une première dans toute l’histoire de l’informatique, juste pour dire un peu l’avance qu’ils ont sur tout le reste de la concurrence…





Les Os libre, ça fait longtemps qu’ils tournent sur à peu près tout, du petit soc au supercalculateur.



Regarde les plateformes sur lesquelles peut tourner Linux ou BSD, tu verra que Windows a encore du chemin à faire.





c’est un peu comme pour Hololens en fait : Microsoft est très loin devant dans l’innovation et derrière il y a les suiveurs avec leurs petites lunettes de réalité virtuelles qui tiennent pas franchement la comparaison…





Microsoft fait de très belles innovations.



Mais le VHS n’était pas le meilleur format. Et le PC n’était pas l’ordinateur le plus innovant.



Comme je l’ai bien compris en lisant le livre de Bill Gates, être innovant ne fait pas tout.



Si tel était le cas, Sony dominerait le monde.



Et si Microsoft reproduit l’erreur du Kinect, les “petites lunettes” ont de beaux jours devant elles…



Mais d’une certaine façon, ce qui représente la plus grande innovation de tous les temps, c’est bien le libre.



Un code ouvert permet de faire tant de choses que le propriétaire ne peut pas.



C’est pour cela que Microsoft, doucement mais sûrement y viens comme les autres.





il est bien entendu logique que là où Windows n’existe même pas, linux est numéro 1 tout seul évidemment, y compris sur les machines à café connectées bien sûr, mais pas sur les distributeurs de billets là c’est toujours Windows <img data-src=" />





Oui, le cas des distributeurs de billet est amusant. Mais il s’explique par leur généralisation à une époque ou Linux était encore trop jeune.


Le 02/12/2015 à 01h 42







parnetiel a écrit :



bah parle pour toi car moi j’ai essayé de me désintoxiquer de Clairefontaine mais j’ai galéré grave, trop habitué à cette glisse merveilleuse sur leur gamme vernie, je savais plus écrire vite sur autre chose et ça c’était dans mes jeunes années, j’étais pourtant impétueux et insouciant… et je pense que c’est peu ou prou ce que ressentirait un intoxiqué de Office ultra productif avec s’il devait changer pour autre chose… forcément l’être humain s’adapte pas si facilement aux changements surtout quand ils servent à rien et que c’est juste pire et moins confortable en plus <img data-src=" />







Que de poésie.



Sauf que pour ma part, je n’ai jamais trouvé Microsoft Office meilleur que Libre Office.



D’ailleurs, pour ceux qui savent programmer, un logiciel libre recèle de bien plus de possibilité qu’un logiciel propriétaire.



Le 02/12/2015 à 01h 12







parnetiel a écrit :



Oui mais plein de touches sur la calculatrice du comptable et en fait ça passe tout à fait crème.



Par contre lapincompris le rapport de la choucroute entre le diesel et linux, tu serais pas en train de sous-entendre que c’est le même genre de nuisible dont l’humanité doit se passer à tout prix j’espère? <img data-src=" />



parce que pour le diesel l’affaire est très claire en tout cas, or si c’est Windows la cochonnerie bah ça y est c’est le cas aussi : il fut une époque très lointaine où tout le monde rigolait quand Bill Gates voulait un PC Windows dans chaque foyer et chaque entreprise du monde, et pourtant c’est bien arrivé.







Dans l’informatique, les temps changent. Il s’est souvent produit ce que beaucoup ne s’imaginaient pas.



Bill Gates fut un visionnaire. Il explique bien dans son livre “la route du futur” comment l’intéret d’un grand nombre d’acteur autour du compatible PC a triomphé de la stratégie de la tour d’ivoire.



L’ennui, c’est qu’aujourd’hui, Microsoft est de l’autre côté de la barrière…



Heureusement pour Microsoft, le nouveau PDG semble vouloir en sortir.



Je pense que dans quelques années, Microsoft vendra principalement des services. Ils abandonneront certainement Windows pour se rallier à Linux.







parnetiel a écrit :



ou plutôt combien de gens ont activé le Groupement Résidentiel dans leur Windows 7, 8 ou 10? à peu près des milliers de fois plus que toutes les ventes de NAS réunies, et c’est pourtant bien une forme de servers je te confirme.







Discutable car ils ne sont qu’un logiciel sur un poste de travail.



Mais bon, si on admet ce raisonnement, je rajoute les box internet qui sont également une forme de serveur.



On pourrait d’ailleurs rajouter tous les boitiers, GPS, appliances et autres appareils : beaucoup tournent sous Linux.


Le 02/12/2015 à 01h 01







Patate95 a écrit :



Tu reproches quoi exactement ? L’association entre un service public et une société privée ? Donc on devrait arrêter d’écrire sur du papier car cela appartient Clairefontaine ? Arrêtez d’utiliser un livre car c’est une telle édition ? Ca paraît stupide non ? Pourquoi alors quand tu transforme  le support papier par du numérique cela devrait être différent ?







La différence est pourtant simple à comprendre.



On peut changer de marque de papier comme on veut sans problème.



Changer d’Os et de logiciels, ce n’est pas simple.



Contrairement au papier, un logiciel crée une dépendance.



Admet que ton raisonnement n’aurait plus de sens si quelqu’un qui avait écrit sur du papier d’une marque ne savait plus écrire sur un papier d’une autre marque.



Et dans le domaine des ordinateurs et des logiciels, c’est bien ce qui se produit.



Le 02/12/2015 à 00h 52







parnetiel a écrit :



On est déjà dredi ? c’est un peu gros ton laïus car tout le monde sait dans l’industrie que Windows est numéro 1 sur les servers de même que MS SQL est numéro 1 sur les bases de données, à moins que tu ne puisses sourcer une vraie preuve du contraire évidemment… mais je suis bien sûr et certain que non en fait… et par pitié aie la bonté de nous épargner les stats qui ne regardent rien d’autre que les web servers please, on a déjà donné et souffert intellectuellement en conséquence <img data-src=" />









On pourrait te retourner la question de la preuve concernant les chiffres.



Microsoft sait probablement combien ils vendent de licence et combien ont été activées.



Mais personne ne peut prouver combien il existe d’instances de Linux dans le monde.



Par exemple, certains acteurs qui ont des millions de serveur ne révèlent pas précisément combien ils en possèdent.



Combien de gens ont un nas qui tourne sous Linux. C’est pourtant bien une forme de serveur.

















Le 02/12/2015 à 00h 40







parnetiel a écrit :



..

non l’idéologie n’a aucunement sa place dans l’établissement d’un cahier des charges pour un appel d’offres, la seule place de l’idéologie c’est en politique, or dans le premier cas c’est fait pour répondre à un besoin pratique imminent alors que dans l’autre ce sont des débats politiques et théoriques qui peuvent durer des années et des années.







Oui, il y a de l’idéologie dans le logiciel libre, mais n’en déplaise à ceux qui ne la comprennent pas, ce n’est pas juste décoratif.



En pratique, l’idéologie du libre induit des différences fondamentales… qui se traduisent en avantages concrets pour le client.



Par exemple, le fait qu’un logiciel propriétaire ne nous appartiendra jamais alors qu’un logiciel libre appartient de fait et d’emblée à tous.



Dans un logiciel propriétaire, l’éditeur restera toujours seul maître des décisions concernant son évolution, même si nous payons des licences et que nous les renouvelons régulièrement.



Dans le logiciel libre, on peut utiliser son argent pour financer les améliorations que l’on désire.





Si 1,5 milliards de personnes préfèrent utiliser Windows contre à peine 20 millions sur linux au quotidien sur leur poste de travail, ça signifie que linux ets parfaitement inadapté au plus grand nombre et de très loin.





Trop de poils sur le troll, ça ne passera pas.



Je te rassure, il fut une époque ou personne n’imaginait qu’un jour la plupart des gens rouleraient en diesel.



Le 01/12/2015 à 18h 14







Loeff a écrit :



ok, donc finalement “formater” des étudiant à Linux+LibreOffice (ou OpenOffice) est signe de culture et développe le sens critique? Intéressant.

En lisant les commentaires, on a surtout l’impression que celui qui utilise des suites “fermées” a l’esprit ouvert, et celui utilisant les suites libres a l’esprit définitivement fermé, plutôt ironique!







La différence, c’est que les logiciels libres appartiennent à tous et sont de par leur nature indépendant de tout état, gouvernement ou entreprise.



Au niveau économique et stratégique, ça fait une énorme différence.



Tout cela n’est pas anodin sachant que l’utilisation de quelque logiciels que ce soit induit un problème de dépendance à long terme.


Le 01/12/2015 à 17h 48







MadLluks a écrit :



Source ? La seule donnée que j’ai trouvé c’est eux-même, et pour les gouvernements à part le R-U qui a signé pour un fork de libre office payant (moins cher que Microsoft je n’en connais pas d’autres).









Regarde du côté des BRICS.



Au rythme ou les logiciels libres montent en puissance dans ces pays, je pense que la France ne fait pas du tout le bon choix.



C’est d’autant plus évident que les enseignements scolaires ont des implications à très long terme.



Le 01/12/2015 à 17h 40







MadLluks a écrit :





En milieu professionnel, le VBA n’est pas à prendre à la légère, après avoir passé 1 an à faire des macros pour des entreprises, j’ai pu vraiment me rendre compte de l’utilisation que les grosses entreprises font de leur tableur. C’est plus qu’un tableur simple.









On ne construit pas l’épine dorsale d’une entreprise avec une suite bureautique…



Tout bon informaticien pourra te parler des travers qui sont la conséquences de la sur utilisation des suites bureautique en entreprise, et particulièrement dans les grand comptes.



Par exemple, le tableur utilisé à la place d’une base de données.



Ou le traitement de texte utilisé à la place d’un logiciel de PAO.



Des macro excel à la place d’un vrai programme ou de services SAS.



Malheureusement, cette informatique déstructurée et bidouillée est surtout la source d’inefficacité, de coûts cachés et de problèmes de maintenances.



Même dans les grandes entreprises, ou trouve trop souvent la tentation est de “bricoler” dans l’illusion de réduire les coûts et de se passer de professionnels compétents.



En informatique, il y a un outil idéal pour chaque tâche. Et il y a aussi des professionnels compétents dans chaque spécialité.



Le 01/12/2015 à 17h 18

On ne peut qu’être surpris de cette décision alors que dans les BRICS, on mise beaucoup sur le logiciel libre.



Au lieu de construire l’indépendance de l’économie Française et Européenne, en recourant aux services d’acteurs Français ou Européen proposant des logiciels libres, nous continuons de faire perdurer l’hégémonie américaine et la dépendance des futures générations a leurs produits.



Je rêve d’un pays qui retrouverait une stratégie industrielle cohérente.


Le 30/11/2015 à 19h 19

Et allez, ils vont encore nous en remettre une couche de “chasse aux sorcières” contre les imprimantes 3D et les crypto monnaies. Toujours la même obsession contre les nouvelles technologies…



Surtout que pour l’instant, à ma connaissance, personne n’a jamais entendu parler d’un terroriste qui aurait utilisé des armes en plastique.



Et pour cause, il suffit d’ouvrir son journal à la case “faits divers” pour comprendre que tous les bons délinquants en ont des vraies.



Quand aux mesures d’exception de l’état d’urgence, elles sont visiblement déjà utilisées de manière tout à fait contestable et arbitraire contre de simples opposants politiques écologistes qui ont subi des mesures de privation de liberté sur la base d’une simple supposition d’intention.



lefigaro.fr Le Figaro



Bref, il suffi d’une petite poignée de terroristes pour faire oublier à la France les fameux droits de l’homme et tous les beaux principes et idées grandioses sur la liberté qu’on nous avait enseigné pendant des années sur les bancs de l’école.

Le 30/11/2015 à 01h 54







Guinnness a écrit :



C’est peine perdue d’essayer de défendre les sagouins qui ont commis “ça”

De part mon taff je suis régulièrement amené à bricoler protos et petites séries, parfois à la va vite, et ça ne ressemble jamais à cette chose, perso j’aurais honte de sortir un boulot de cette “qualité” (sans compter que vu l’environnement dans lequel ça doit tourner ça ne marcherait probablement pas longtemps)







Je ne connait aucun professionnel qui soit capable de massacrer un travail à ce point. D’ou ma conclusion logique c’est que ça n’est pas l’oeuvre d’un professionnel.



Ce truc a été visiblement fait par un amateur(regardez bien le PCB, vous comprendrez). D’ou mon jugement magnanime.



Parce qu’au fond, j’ai plus de respect pour un amateur qui se rate complètement en essayant de faire quelque chose avec ses mains que pour ces millions de gens qui ne bricolent rien et sont juste capables que de rentrer dans une boutique pour acheter la dernière tablette à la mode.







jeje07bis a écrit :



le problème est qu’on ne parle pas de débutant là. Si c’est un prototype, on parle d’ingénieurs en toute logique. De gars qui ont du métier quoi.







Si tu regarde les détails, ce n’est pas juste du boulot massacré, c’est bien l’oeuvre d’un débutant.



Quelqu’un qui as du métier ne fera jamais autant d’erreurs, même s’il est pressé.



C’est tout simplement impossible.





Si c’est un prototype, on parle d’ingénieurs en toute logique.





Bah, sur le marché, tu as ce pour quoi tu payes.



Et encore, vu le budget de certains clients, la tablette dont nous parlons serait encore trop bien pour ce qu’ils méritent vraiment.







127.0.0.1 a écrit :



Je confirme que là, c’est vraiment du foutage de gueule.



Je bosse dans le milieu des instruments médicaux et même la pire des preuves de concept ne ressemble pas à cela. Ne serait-ce que parce que, quand on fait un montage “rapide”, on prend des éléments dédiés à faire du montage rapide (PCB universal board). On fait pas un routage spécifique avec des soudures crades: ca coute cher et c’est source de problème =&gt; pas rentable.



Par la suite, pour vendre dans le domaine médical, on sait qu’il faudra obtenir des certifications sur le produite (Rayonnement, matériaux, environnement…) ainsi que des certifications sur le processus de fabrication (Controle qualité, …). Donc on construit un prototype qui permettra de vérifier la (future) conformité, et pas un truc crade =&gt; là encore, pas rentable.







La provenance annoncée de la “chose” n’était effectivement pas très crédible.





Donc on construit un prototype qui permettra de vérifier la (future) conformité, et pas un truc crade =&gt; là encore, pas rentable.





Dans les scénario possibles, il y a le cas de start-up montées par des jeunes commerciaux qui font réaliser un produits “a pas cher” par le neveu du frère de l’oncle de la soeur du copain… juste pour tester un marché.



Dans ce cadre, le produit n’a pas réellement besoin de fonctionner, il doit juste de faire illusion pendant les quelques minutes d’un entretien pour faire de l’esbroufe.



Ensuite, quand ils ont la certitude qu’ils peuvent réellement décrocher des commandes avec une certaine rentabilité, ils lèvent des fonds et investissent dans la conception d’un vrai produit.



Et comme la destinée de la plupart de ces Start-up est de faire faillite, le “produit” s’est retrouvé revendu quelque part…


Le 29/11/2015 à 05h 49







Bejarid a écrit :



Si ils prennent leur temps (et recommence les soudures ratés… quelle merveille quand j’ai découvert les trucs pour retirer une soudure foiré !) ils n’arrivent pas à ça en générale ^^ C’est surtout fait à l’arrache.







Il est assez courant de voir des débutants ignorer la différence entre une bonne soudure et une soudure ratée.



La, il y a visiblement aussi un problème de manque de chauffe. Probablement un équipement de soudure inadapté, pas assez puissant.





Et sinon moi j’avais comprit que c’était un produit de prod que le mec avait récup dans un hôpital qui s’en débarrassait car le fabricant avait fait faillite (et donc plus de support, donc remplacement, j’imagine). Tu as comprit autre chose toi ?





Le vendeur lui a peut être raconté une histoire pour mieux vendre sa pièce. C’est assez courant.



J’ai déjà vue beaucoup de produits faits à l’arrache pour des raisons de productivité et de cout de la MO qualifiée.



Mais je n’ai encore jamais vu en prod des batteries soudées à la main (c’est assez long à faire) alors que les packs de batterie soudées, ça se trouve déjà tout fait…



C’est a ce genre de détail que je pense que ce truc a plus de chance d’être un proto plutôt qu’un produit de série, même de petite série.





Plus dans le sujet des LIDD qui manquent cruellement de jeux, si y en qui n’ont rien à faire ce dimanche, il reste 12h pour participer à un challenge de code :https://www.codingame.com/contests/code-vs-zombies



Chui bloqué à 95%, la fin est dur :(





Bon courage.



De ce pas, je retourne à mon code ;)


Le 29/11/2015 à 04h 40







Bejarid a écrit :



Bah non, s’pa un prototype justement, c’est ce qui fait halluciner le gars.







Quelle indication te fait penser que ça n’en est pas un ?



Le nom d’une entreprise sur une étiquette en papier, ça peut venir d’une liquidation de faillite.



C’est souvent comme ça qu’un proto se retrouve revendu quelque part alors qu’il n’aurait jamais du.



Après, mon raisonnement est une supposition. Mais de la construction à la présentation externe : ca ne ressemble pas à un produit commercial.



Cela étant dit, j’ai déjà vu des produits commerciaux dégueulasse. Mais c’est assez rare qu’ils soient mal présentés.





Et le ruban adhésif c’est effectivement pas le principalement problème (même si après, tout dépend du matérieux de l’adhésif quand même, et là je doute que ça soit celui qu’on met habituelle dans les produit électronique),





C’est certain. Mais tant que ça isole, surtout s’agissant de faibles tensions…





c’est les risques de court-circuit au niveau de l’alimentation (soudé à l’arrache, t’as vu les patés?)





Pas très brillant en effet. Soudures grossières , mal chauffées, reprises. Du travail dégueulasse digne d’un débutant…



Hélas, j’ai déjà vu au moins aussi mauvais dans des alimentations de PC courants…



Tout aussi étonnant que cela paraisse, parfois, ça tient plus longtemps qu’on pourrait le supposer.





et de feu au niveau des batteries (et là, le dos te brûle les mains bien avant qu’il y ait le feu, t’as direct la peau qui reste collé).





N’oublions pas que l’homme a des réflexes.



Et pour avoir connu le cas de quelqu’un qui a saisi à pleine main une pièce en acier portée à haute température dans une usine… et qui s’en est tiré avec une brûlure légère…



Une plaque en métal vaut certainement bien mieux qu’une coque en plastique. Demandez à un spécialiste des brûlures, il vous dira tout le bien qu’il pense des brûlures impliquant des plastiques en fusion.



Un mélange du contenu d’une batterie et de plastique en fusion qui traverse la coque est susceptible de faire de bien plus gros dégâts qu’une plaque en métal.





Non, le mec est pas une cassandre, c’est un tel travail de cochon que s’en est hallucinant.





Désolé de ruiner tes espérances dans l’humanité, mais j’ai connu personnellement des gars capables de faire pire…



Essaye de confier des soudures à un groupe de débutants, tu verra que la plupart ne s’en tireront pas mieux.


Le 29/11/2015 à 02h 27







Bejarid a écrit :



Ce qu’ils ont fait est pas à éviter pour la beauté de l’art, mais parce que c’est dangereux. Ca peut générer de sacré brulure leur connerie (avec la belle plaque en métal derrière en plus…), ils auraient mieux fait de s’abstenir.







Bah, les composants qui prennent la carcasse comme refroidisseur, c’est une pratique assez courant dans les appareils. Ca monte rarement assez haut en température pour causer une brûlure.



Ce qui peut être dangereux, c’est éventuellement le risque de court circuit ou de batteries qui crament. Mais c’est déjà arrivé aussi sur des appareils du commerce.

Le seul risque qui me semble sérieux serait l’éventualité d’un incendie et particulièrement un incendie de nuit.



Enfin, le côté artisanal et grossier ne dit pas tout : difficile de conclure sur une vidéo youtube sans voir de près les détails. Parce que de l’isolation au ruban adhésif, c’est aussi pratiqué dans les appareils du commerce.



Enfin, il faut prendre l’appareil pour le prototype d’expérimentation qu’il est très certainement.



Si vous voulez mon humble avis sur la dangerosité des appareils, méfiez vous plutôt des mauvaises copies chinoises d’adaptateurs secteurs. Certains de ces adaptateurs ont déjà fait des morts. Et le risque de s’électrocuter est sans commune mesure avec l’hypothèse d’une petite brûlure.


Le 29/11/2015 à 00h 23







Bejarid a écrit :



A rin d’bin folichon ste smaine…



Bon, sauf la tablette qui m’a bien fait rire. Le coup des accu soudés, c’est fort ! <img data-src=" />







Bien sûr, souder directement sur des accus, c’est à éviter. Il y a des blisters faits pour ça (il manquait peut être de place et de temps).



Globalement les soudures ne sont pas propres, les cartes et les composants sont mal isolées, les montages sont grossiers… et j’en passe.



Mais au moins, il l’a fait…



Avant de vous marrer, demandez vous combien ici sont capables de faire mieux. Et même combien seraient capables de faire juste autant.





Le 29/11/2015 à 00h 14



Le démontage de « la pire tablette du monde »





Visiblement, ça ressemble surtout à un prototype “proof of concept” bricolé un peu à la hâte.



Avant de vous moquer, demandez vous quels sont les possibilités de l’engin par rapport à une tablette du commerce.



Quand on sait qu’un simple Raspberry Pi à 5 dollars permet de faire quantité de chose qu’une tablette hors de prix ne peut pas…

Le 27/11/2015 à 07h 40







Zorglob a écrit :



Bonjour,



Tout est très drôle mais ne se renouvelle pas :

sr17 qui défend le libre même quand c’est pas son créneau logiciel, la comparaison PS/Gimp (dont on se demande comment elle peut encore exister), les points de vue divergents à cause de critères divergents etc…

 

Tout ça, ça fait des années et des années que c’est identique; bon, ça ne veut pas dire qu’il faut le répéter encore et encore pour le fun, mais je crois qu’il est bon de savoir statuer à un moment : Gimp n’a que sa liberté comme réel atout gagnant en face de PS.



Donc dès que l’intéressé se foutra de cet atout liberté, c’est fini, y’a plus match : l’un gère tout et ajoute 6 fonctionnalités majeures de moyenne par version (souvenons du “content aware fill” par exemple ,car très populaire à juste titre, lorsque Gimp arrive des années après avec un Synthetiser qui se contente d’automatiser le tampon), l’autre rame pour revenir au diapason de N-5 ans de son “concurrent”.

Ceci sans parler des facilités de Workflow que les requins d’Adobe garantissent avec l’environnement d’Illustrator et/ou InDesign, pour rester dans la comparaison frontale. Ceci sans parler aussi d’avis pro qui rentreraient dans un détail de travail plus profond que les 3 masques de fusion et deux retouches des amateurs, éclairés ou pas. Plus tu rentres dans le boulot pro, moins Gimp est pertinent.

J’ai vu un gars sur la page d’avant qu’il faudrait savoir écouter, il se disait fervent défenseur du libre, mais que ça ne l’empêchait pas de constater 20 ans de retard sur le concurrent.

 Même si ça me parait bien sévère et probablement exagéré simplement pour l’illustration, ce serait peut-être pas mal de revenir à la réalité de temps en temps.







Je pense que tu as tout à fait raison, même si comme tu le dit toi même, tu exagères un peu.



Tu affirmes que plus on rentre dans le boulot pro, moins Gimp est pertinent. Et c’est aussi le sens de mes paroles. (n’en déplaise à ceux qui ne savent pas lire).



Mais à l’inverse, on peut aussi affirmer que pour celui qui n’est pas un graphiste pro (ou qui est un pro, mais qui ne fait pas QUE du graphisme), Gimp devient pertinent face à Photoshop.



Pour quantité de travaux courants, Gimp fait très bien le job : il a toutes les fonctions indispensables quand bien même il n’est pas aussi pratique que Photoshop.



Personne ne nie que certains fonctions très avancées de Photoshop sont utiles. Et même plus qu’utiles pour celui qui fait du graphisme son métier.



Mais faut t’il aussi rappeler qu’en matière de graphisme, ce n’est pas l’outil qui fait le maître. Et qu’un bon graphiste peut dessiner très bien avec (presque) n’importe quel outil.



Je me souviens d’ailleurs d’un temps ou le graphisme ne se faisait pas à coup de “synthetiser” ou de “content aware fill” ou autres filtres “magique”, mais de dessin au pixel qui demandait patience, talent et précision.



Dans cette période moderne, le graphisme est devenu un job de productivité mal payé, un travail à la chaîne ou la productivité est le nerf de la guerre.



Mais les temps on changé depuis l’époque ou le papier était roi et certains graphistes ne semblent pas l’avoir réalisé. A l’époque, les graphistes étaient les seuls à travailler de l’image.



Mais aujourd’hui, dans le domaine professionnel, c’est presque tout le monde qui est amené à toucher à de l’image(voir de plus en plus, a de la vidéo).



Et l’on ne va plus appeler un graphiste professionnel ni payer une coûteuse suite graphique à tout le personnel d’une entreprise juste parce qu’ils ont de temps à autre une photo à recadrer pour diffuser dans la com de l’entreprise sur les réseaux sociaux.



Pour cela, Gimp fait tout ce qu’il faut. A défaut d’être le meilleur logiciel, pour quantité de gens et d’usages, il suffit.


Le 25/11/2015 à 21h 59







tazvld a écrit :



Je sais, c’est ce que je fait, mais c’est du bricolage, du bidouillage, un truc ingérable à la longue, ça bouffe de la mémoire, c’est du temps de perdu car même avec des résultats intermédiaires, il faut refaire toutes les modifications… Les “calque d’effet” s’appliquent sur les calque inférieur alors que tu ne le veux pas forcément…







Ce serait effectivement mieux si Gimp intégrait ces fonctions (ce qu’il fera peut être sous peu).



Mais en pratique, ce n’est pas forcément catastrophique. Pour ma part, je constate que j’ai rarement besoin de retoucher une création.



Je considère donc cela comme un avantage, mais pas un impératif.





Sauf que la plupart des applications “pro” (spécifique pour certain outils) sont sous Windows (ou Mac). Je pense par exemple aux sondes de calibration d’écran, les pilotes officielles sont sûrement sous Windows est Mac, mais pas sous Linux (exemple).





Pour les sondes de calibration, c’est indispensable pour l’impression papier, mais pas d’une grande utilité pour le domaine du web.

Les écrans LCD “pour graphistes” ne rendent pas du tout de la même façon que l’écran bas de gamme de monsieur tout le monde.



Pour les outils annexes, il est certain que pour le graphiste spécialisé, c’est un problème qui peut s’avérer rédhibitoire. Mais pour celui qui pratique le graphisme en activité mixte, la recherche du petit outil pour des tâches très spécialisées n’est pas un enjeu majeur.





De plus, linux, heu.. je l’utilise j’ai des gros problème avec un double écran (les menus qui s’affiche dans l’autre écran par exemple) et je ne suis pas le seul,





Pas le moindre problème de mon côté avec le double écran. Que ce soit avec des cartes nVidia ou AMD (que ce soit en pilote libre ou propriétaire). Et même avec des écrans de différente taille et des positionnement différents. Pour les menus qui ne s’affichent pas du bon côté, j’avais le cas. Il y a un réglage quelque part.





j’ai Gnome qui freeze et plante sans raison 3 - 4 fois par jour (et ça commence sérieusement à me les casser)… Les performance des pilotes graphiques semble être aussi à revoir (voir les commentaire dans les news sur la steambox)…





Pour ma part, je n’utilise pas Gnome, mais le bureau Mate. Plus léger, plus performant. Pas de plantage à déplorer.



Pour les performances, les pilotes nVidia sous Linux sont beaucoup mieux optimisés que ceux d’AMD.



Pour ma part, mon poste tourne avec une Radeon 280X et je ne ressent pas d’effet de lenteur.





Comme j’ai dit, ça se joue sur des histoires de quelque seconde, loin est le temps des effet de remplissage ou l’on voyait le surface se remplir progressivement (mon dieu, j’ai passé trop de temps sur paint sous windows95 quand j’étais petit).

Mais ce n’est pas forcément du temps directement que tu gagnes, mais une forme de bien être. Une interface qui mets du temps à réagir.





D’une manière générale, je trouve l’interface de Gimp assez rapide et réactive.





L’avantage du créative cloud, c’est que j’ai l’impression que tu peux mutualiser les licences. Tu n’as pas tous tes employé qui font du PS en même temps, seul 1 ou 2 en même temps.





Justement, il se peut que sur certains projets, beaucoup de personnes peuvent avoir besoin d’outils graphiques en même temps. C’est assez difficile à prévoir.



Le problème des offres cloud des outils propriétaires, c’est qu’entre les systèmes qu’il faut installer, les contrat d’utilisation qu’il faut bien lire et les offres segmentées, cela représente un temps de gestion assez important.



Et quand on travaille avec beaucoup de logiciels, dans la jungle des offres propriétaires et tous les systèmes de gestion de licences (activation, etc) on deviens carrément chèvre.





De même, chose que je n’ai pas essayé (car je n’ai utilisé PS que très rapidement pour essayé il y a quelques années), mais certain parle de “smart object” qui sont des passerelle entre les différents outils de la suite complète d’Adobe. Ceci n’existe pas dans le libre, Gimp sais vagement ouvrir un fichier SVG, mais le format XCF n’est pas ouvert par inkscape… Il n’y a aucune interaction entre les outils, ce qui fait que dès lors que l’on utilise plusieurs outils en parallèle, tu es obligé de t’arranger avec les format pour faire une passerelle, réimporter les objets…





En même temps, quand on est bien structuré et qu’on utilise chaque logiciel pour le domaine qu’il est sensé traiter, on ne ressent pas trop le problème.





Oui, mais les charge, c’est déductible des impôts ? Ce que je demande à savoir, c’est que sur 50€ de charge est ce que ça correspond à 50€ de salaire brut où il y a des taxes (patronale, entreprise…) ailleurs ?





Non, 50€ de gagné par une entreprise ne correspond pas à 50€ de salaire brut. Il y a les charges patronales, mais également tous les frais de l’entreprise à payer (loyers, taxes, frais de prospection, etc.).



Mais vu qu’il faut aussi payer tout ça…





Oui et non. De par amateur ici je pensais à des personnes qui font ça sans être leur gagne pain et le font plus par passion, il n’ont pas de besoin “vitale” de productivité, leur temps est “gratuit”. Ils ont donc un plus large choix entre choisir un logiciel “gratuit” mais passer plus de temps ou acheter un logiciel et pouvoir faire plus de chose. Pour un pro, la notion de productivité entre en jeu, le temps n’est plus gratuit. Il faut en plus tenir compte du temps d’apprentissage… on ne peut pas se permettre de changer d’outils tout les 4 matins.





Je pourrais aussi te parler du temps que j’ai pu perdre à administrer un parc de logiciel propriétaires. Avec leurs activations, leurs conditions de licences, leurs segmentations commerciales.



En passant au “presque tout logiciel libre”, j’ai gagné un temps monstrueux.



Mais il est évident que si le travail d’un gars, c’est de passer toute la journée sur un type de logiciel précis, il a intérêt à choisir ce qui se fait de mieux.



C’est pour cela que je fais bien la distinction en fonction du type d’activité.





Malheureusement même là, ça ne fonctionne pas très bien. Je vois par exemple que Inkscape, il utilise le standard “SVG” qui est un standard du XML. Cependant 2 problèmes :




  • le SVG c’est pour de l’image vectoriel, mais il n’est pas fait pour la production d’image vectoriel. Il manque tout ce qui est attrait au outils de production (je pense aux guides par exemple, mais je crois que c’est aussi le cas des calques). Inkscape doit donc étendre le standard.

  • il manque des trucs au SVG. Je pense par exemple au dégradé conique qui me semble pourtant être un dégradé de base (ça permet par exemple de faire des effets de reflet sur les CD ou sur des boutons en métal).





    Dans ce genre de cas, il n’y a pas 36 solutions, soit on étends le standard avec des tags non standards qui sont ignorés par les autres logiciels, soit on produit un format particulier.



    Les deux approches ont leurs avantages et inconvénients.





    Oui tout a fait, cependant l’employé peut tenir une défense devant les prud’hommes comme quoi tu ne lui as pas fourni les outils pour travailler dans de bonnes conditions et tu lui as demandé des objectifs impossibles avec les outils fournis. Même si elle est un peu tordu, cette défense peut se tenir.





    Sauf qu’avec des exemples d’autres gars qui bossent très bien avec les outils fournis, ça ne tiendra jamais.



    De toute façon, devant les Prud’hommes, tu peux t’attendre à tous les arguments tordus possibles et imaginables. Le tout est de pouvoir les démonter.



    Mais il y a un moyen imparable d’éviter tout problème, c’est de spécifier à l’embauche les logiciels utilisés dans les compétences requises.





    Putain, mais j’utilise The Gimp !! PS, je l’ai utilisé 20min il y a presque 10ans, je n’y ai pas retouché!

    Je parlais ici des professionnels dont leur temps est une source de rente et ont donc besoin de productivité immédiate ou à moyen terme.

    Moi, en tant qu’amateur, je prend sur mon temps libre pour utiliser The Gimp, je n’ai pas d’exigence en productivité, je le fait par plaisir. Mais sinon, même en tant qu’amateur, lorsque je regarde ce que fait l’outil d’à coté, et que je vois certain truc qui me simplifierait la vie, je ne vais pas me voiler la face en disant que de toute façon, The Gimp est mieux car il est gratuit, libre et tout et tout… Non, j’envie ces fonctionnalités, je reconnais le retard de The Gimp sur PS et que c’est débile de dire que The Gimp est au même niveau que PS… non! il a 10-15ans de retard à vu de nez.





    L’interface de Gimp peut paraitre vieillotte. Elle est pourtant très efficace.



    Et pour la productivité, tout dépends ce qu’on fait. Sur des cas basiques qui représentent le gros du travail, je n’ai jamais noté de différence notable de productivité entre Gimp et Photoshop.



    Et comme je l’ai mentionné plus haut, il faut tenir compte aussi du temps que les logiciels libres font gagner du fait de la simplicité de leurs conditions d’utilisation (pas de DRM, pas de segmentation commerciale, etc).





    Il faut arrêter d’interpréter une critique négative comme forcément gratuite, non constructive et faite pour détruire… Je suis utilisateur de linux, je suis utilisateur de The Gimp, je suis utilisateur de Inkscape, je suis utilisateur de Kodi… mais cela ne m’empêche pas de relever les défauts, mon ressenti ! Je ne vais pas me mettre des œillères en priant le très saint Stallman et dire que comme c’est libre c’est forcément meilleur ! Non ! Non, même si c’est libre, ça ne m’empêche pas, en tant qu’utilisateur, de repérer des défauts ! Il faut dépasser le stade du dénis !





    Personne ne nie que Photoshop est meilleur que Gimp sur certains plans.



    Mais Gimp dispose aussi de ses avantages propres. Et certains du fait même que c’est un logiciel libre.



    Il faut donc avoir conscience qu’en fonction des usages et activités, le choix peut aussi pencher en faveur de Gimp.


Le 25/11/2015 à 20h 34







Konrad a écrit :



Les pros ont besoin d’outils, pour créer quelque chose et le vendre, c’est-à-dire se faire de la plus-value dessus. Alors pour moi, des pros qui se disent « tiens ce serait bien si on n’avait pas à payer la licence de tel logiciel, et si on le remplaçait par un truc identique mais gratuit, on se ferait davantage de fric », ça me sidère.







D’un autre côté, ce qui représente la plus grande force de travail du logiciel libre aujourd’hui, ce sont bien des entreprises. Et ne soyons pas naïfs, elles le font uniquement parce qu’elles y trouvent leur propre intérêt.



Quelque part, le logiciel libre est un système de capitalisme commun (vous noterez la saveur particulière qu’ont ces deux mots accolés…).





Le jour où les pros investiront vraiment dans des projets libres, peut-être que ces derniers évolueront un peu plus rapidement et répondront mieux à leurs besoins. En attendant je vois beaucoup de pros se plaindre que GIMP a du retard, en gros ils veulent un Photoshop gratuit sans avoir à lever le petit doigt : ni contribuer au développement de GIMP, ni financer les développeurs, ni apprendre à utiliser un autre logiciel… À un moment il faut arrêter de croire que des bénévoles vont servir la Lune sur un plateau d’argent hein… <img data-src=" />



Les pros se font du pognon avec leur boulot, à eux de choisir où ils veulent le dépenser : dans des licences Adobe chaque année, ou bien dans un projet libre qui leur sera bien plus profitable sur le long terme. La plupart des pros ont fait leur choix et achètent des licences Adobe, soit, c’est leur choix, tant mieux pour eux. Mais dans ce cas, je trouve assez déplacé de venir se plaindre que GIMP n’est toujours pas à la hauteur…





Certes, il peut être frustrant de voir les gens considérer uniquement les logiciels libres pour leur gratuité.



Mais c’est la rançon naturelle du fait que le monde du logiciel libre se sers beaucoup de l’avantage de la gratuité pour les faire connaitre et pousser les gens à les utiliser.



Est ce vraiment un problème ?



D’une manière ou d’une autre, quand une entreprise utilise les logiciels libres, elle finit toujours par avoir besoin d’améliorations et donc par contribuer d’une façon ou d’une autre. C’est un cercle vertueux de mise en commun.



Au final, les mentalités finiront par changer. Contrairement aux particuliers, les entrepreneurs n’ont culturellement aucun mal à comprendre que râler ne produit pas grand chose et qu’il faut payer ou contribuer pour obtenir une avancée.



Le problème, c’est plutôt quand les entreprises n’utilisent pas encore les logiciels libres et que le cercle vertueux ne peut pas s’amorcer.



Le monde du graphisme est un peu un cas particulier, une sorte de bastion replié sur ses usages. C’est un domaine difficile pour les logiciels. Et pas seulement pour ceux qui sont libres.



Gimp est un peu comme devant un problème de l’oeuf et de la poule.



Je pense qu’il en sortira le jour ou il aura atteint un certain niveau et fait tomber les quelques points principaux d’achoppement qui semblent rédhibitoires aux graphistes venant de Photoshop.



Le but n’est sans doute plus très loin.


Le 25/11/2015 à 01h 47







jun a écrit :



Je me suis fait griller par  tazvld. Les filtres dynamiques et les smartobjects de PS permette un travail non destructif. Ca c’est pas une question de workflow, c’est un critère absolu.







On se demande bien comment les graphistes travaillaient à l’époque ou Photoshop n’avait pas encore ces fonctions. <img data-src=" />





Pour une (très) petite entreprise qui fait du service, par exemple un freelance, y’a un problème particulièrement connu qui est le manque de frai. Un graphiste freelance ce n’est pas une usine qui doit investir N millions d’euros en machine outils, à part un ordinateur, quelques licences, et des frais de bouche pour des RDV client, il est difficile de caser des frais…



 Si t’as une PME avec 10 employés, tous graphistes, avec un salaire moyen de 32K€ brut, avec des charges patronales moyenne à 42%, ça fait du 45.440€ par employé, ça done 454.400€ de frai en salaire et charge patronale dans l’année pour 10 salarié.





Pourquoi ton calcul est mauvais ? Simplement parce que tu n’as pas lu ce que j’écrit.



Tu prends le cas d’une entreprise spécialisée dans le pur graphisme qui emploie principalement des graphistes qui ne font que ça à longueur de journée.



Dans ce cas, le choix de Photoshop me semble évident.



Moi je parlait (et c’est précisé) du cas d’une entreprise ou le graphisme n’est qu’une petite partie des activités pratiquée. C’est le cas de la majorité des entreprises.





J’inclus même pas tout les autres frais : machines,  locale, électricité, eau, meubles, etc. Pour pas rentrer dans des calcules d’amortissement trop complexes et inutiles pour l’exemple. Toujours pour l’exemple on va supposer que pour avoir 10 employés, la boite en question arrive au moins à atteindre son point mort. 



Les 6k€ de licence par an, paraissent bien ridicule à côté.



Et je ne vois pas pourquoi une boite, qui peut générer au moins 450K de CA pour payer ses salariés, n’arriverait pas à générer 6k de plus… Même dans des cas particuliers sans charges patronales, ces 6k€ paraissent toujours ridiculement bas.





Excellent.



Refait le calcul en tenant compte d’un besoin de plusieurs dizaines de logiciels différents.



Maintenant, comprends-tu le problème ?


Le 25/11/2015 à 01h 19







tazvld a écrit :



La dessus je ne suis pas d’accord non plus. Et l’exemple le plus concret que je peux te donner est l’absence de filtre dynamique dans The Gimp. Photoshop est capable d’appliquer des effets dans une “pile” d’effet sur un calque sans détruire l’image d’origine ce qui fait que les transformation sont non destructrice est il est possible à tout moment de moduler un effet sans avoir à se retaper la pile complète. Rien que ça, c’est quelque chose que j’attends sur The Gimp depuis des lustres.







C’est typiquement LE truc qui panique l’utilisateur de Photoshop qui passe sous Gimp.



Beaucoup de gens l’ignorent, mais avec les modes de calque, on peut reproduire sous Gimp certains effets des calques de réglage de Photoshop.

Pour d’autres types d’effets, il y a des techniques, par exemple stocker des résultats intermédiaire dans un calque et jouer sur la transparence pour appliquer plus ou moins d’effet.



Avec le temps, on apprends les techniques qui permettent de faire sans.





Après, pour des petits travaux rapides, PS vient “out of the box” avec des outils comme la suppression d’objet avec “resynthèse” du fond là ou Gimp nécessite l’installation de plugin (quand il ne faut pas le compiler soit même comme pour le plugin “Resynthesizer” sous Windows.).





Déjà, si vous voulez faire un usage professionnel des logiciels libres, je vous conseille vivement d’oublier Windows. Sous Linux, tout s’installe en un simple clic. Et je trouve que globalement, les logiciels libres y fonctionnement beaucoup mieux. C’est vrai pour Gimp, mais aussi pour LibreOffice et bien d’autres.





Alors, là je m’avance peut être, mais il me semblait avoir vu que PS utilise le GPU pour calculer les effet et du coup appliquer un effet est bien plus rapide sous PS. Alors ça se joue à coup de 2s par ci, 4s par là… mais au bout d’un certain temps, on y gagne en temps mais aussi en “frustration” (une interface lente fait partie des truc les plus énervant que je connaisse).





Pour ma part, je n’ai jamais ressenti de lenteur avec Gimp.



Globalement, l’interface de Gimp est plutôt rapide, légère et agréable une fois habitué. Et sur Gimp, comme sur Photoshop, la plupart des effets courants sont suffisamment rapide pour ne pas ressentir de lenteur.



Mais il est certain que ce genre de critère dépends de ce qu’on fait avec son logiciel. Le graphiste pur qui travaille a la chaine de manière très intensive en passant des des journées à appliquer des filtres devra logiquement tenir compte de son besoin.





50€, c’est quoi ? ça ne doit même pas représenter les charges totales (je ne parles donc pas du simple chiffre qui arrive dans ton compte en banque) pour 2h de boulot d’un employé. En 1 mois, si la suite arrive à te faire gagner 2h de boulot, c’est tout bénef.





Encore faut t’il que le choix de Photoshop te garantisse de gagner au moins ce temps la.



Dans la pratique, Gimp n’est pas aussi lent que vous le supposez.



Pour gagner deux heures, il faudrait déjà travailler un nombre certain d’heures par mois sur du graphisme complexe ou les fonctions plus avancées de Photoshop feraient éventuellement gagner du temps.



Le problème est encore moins évident dans la vraie réalité d’une entreprise. Quand tu doit payer des licences parce que tout le monde peut être amené à faire du graphisme, mais que certains ne l’ouvriront presque jamais, le calcul est vite fait.



Comme je l’ai dit plus haut, quand tu multiplie cet exemple par tous les autres logiciels, le choix des logiciel libre s’impose clairement.





Si il y a quelqu’un qui s’y connait en fiscalité d’entreprise, il me semble que 50€ investi dans un logiciel est autant d’argent retiré dans les chiffres pour calculer les charges de l’entreprise.





Pour une entreprise, le payement d’un abonnement, c’est une charge.



Ca fait toujours moins d’argent pour les salaires.



Certains diront que ce n’est que 50€ par mois, mais on peut multiplier l’exemple par des dizaines de logiciels. Parce que si on est cohérent, un raisonnement s’applique de la même façon pour tout.





The Gimp, c’est bien pour des amateurs, comme moi, où la manipulation d’image est purement un loisir. Ca peut en effet dépanner un non initié, même si là, j’hésiterais selon la personne à l’envoyer vers paint.net (qui n’est plus développé en open source et utilise .net ) qui possède une interface plus familière.





Un amateur ira plutôt vers un logiciel simple.



Gimp et Photoshop s’adressent à ceux qui recherchent un logiciel complet.



D’ailleurs, la classification amateur/professionnel n’a pas de sens. Certains amateurs passent un temps certain à retoucher des photos tandis que certains professionnels n’en font jamais.



Entre les deux, on trouve une pléthore de cas particuliers.



Le type de travail compte aussi dans l’équation. Recadrer des Photos et ajuster quelques paramètres, ce n’est pas la même chose que de composer une affiche pour une marque de luxe.





Après, certain pro peuvent tout à fait exploiter The Gimp, je pense à Flock (qui fait un résumé de la semaine en dessin sur clubic) par exemple.[quote]



D’après certains, The Gimp a aussi ses avantages propres sur Photoshop.



[quote] Il n’y a pas de loi qui dit qu’en tant que pro tu dois utiliser la suite adobe, juste qu’au delà du standard (si tu bosse en équipe, c’est cool de se mettre d’accord sur les format de fichier et ne pas les foutre en l’air à chaque fois avec un logiciel à moitié compatible), PS est bien meilleurs que the Gimp.





L’unification est justement la raison qui souligne l’importance d’utiliser un logiciel libre que tout le monde peut télécharger facilement, légalement et gratuitement.





Si tu ne paies pas les 20 ou 50€ de licence, tu as de grande chance que ton employé soit le fasse à ta place avec ses propres sous (et il ne va pas vraiment être content) soit utilise une version piraté (et là, on est dans l’illégalité).





Faut t’il rappeler que l’employé a un lien de subordination.



Le piratage, c’est un motif de licenciement pour faute grave.



Et il n’est pas très dur, ni compliqué de vérifier les postes de travail.


Le 24/11/2015 à 01h 42







jun a écrit :



Ca depends fortement du type de travail et de la fréquence. Comme je le disais, en termes de productivité pur et dur, adobe a encore beaucoup d’avance.







La dessus, je ne suis pas d’accord.



Sur des travaux relativement courants, la différence n’est de mon point de vue pas significative.



Je comprends pourquoi tu affirme cela : Photoshop et Gimp sont en réalité beaucoup plus différents dans la manière optimale de les utiliser que leur apparence relativement similaire pourrait le laisser penser.



Au départ, pour ceux qui sont habitué a Photoshop, le travail sous Gimp est long et laborieux.



C’est simplement parce que la façon de travailler de manière optimale est différente.



Quand on est trop habitué à un logiciel, on cherche naturellement à utiliser les mêmes logiques. Et dans ce cas, cela ne fonctionne pas.



Malheureusement, il faut plus que quelques heures (ou même quelques jours) de travail pour s’habituer à un logiciel aussi différent.



Ceux qui connaissent le potentiel de The Gimp, sont ceux qui l’ont beaucoup utilisé.





Cet argument ne tient plus comme avant.



Un mois de Creative Cloud pour juste photoshop c’est 20€, la suite complete 50€. Ca reste très abordable pour un besoin ponctuel.





50€ par mois, cela pourrait paraître anodin.



Mais cela représente quand même 600€ par an, 6000€ pour 10 ans, 60000€ pour 10 postes sur 10 ans.





Admettons un pro, même une très petite entreprise qui fait 3 projet à 800€ dans le mois, les 50€ de la Creative Cloud peuvent se caser discrètement dans la première facture, et sont donc immédiatement amortit.





Le problème, c’est que le pro en question n’a pas que sa licence adobe à payer. Une entreprise, c’est beaucoup de frais, de charges, etc.



Chacune de ces charges peuvent sembler faible prise de manière isolée… mais le total est toujours important. <img data-src=" />



Le secret d’une bonne gestion, c’est de savoir évaluer le rapport gain/cout de chaque logiciel ou service en fonction de son activité.



Dans le cas d’activités mixtes, il faut comprendre que la suite graphique n’est qu’une brique parmi d’autre. Le besoin peut varier suivant les périodes, les personnes, les affaires. Cela ne sers pas tous les jours.



Pour certaines activités, le nombre de logiciels qui est nécessaire est tellement important que si l’on ne tenait pas compte du coût, la facture totale serait prohibitive.


Le 23/11/2015 à 22h 27







Ombre a écrit :



Bon je ne m’y connais pas trop, j’ai utilisé les deux et Gimp me conviend(rait) surement très bien pour des petites retouches graphiques. Maintenant c’est aussi un logiciel qui de mon souvenir planté régulièrement et qui n’avaient pas toutes les fonctions que Photoshop proposaient. Après je pense que le débat de dire que les graphistes sont bloqués sur Photoshop Mac est un peu réducteur. S’ils le font c’est qu’il y a surement une raison. Que cela soit le calibrage des machines au niveau du circuit d’impression, machines vraiment complexe à régler, peut être une raison. Dire qu’il y a une confusion entre talent et outils c’est assez dédaigneux. Le talent s’exprime aussi beaucoup mieux avec de bons outils, passer du temps à trouver des modules / plugins pour faire ce que l’on veut, à les installer, à voir pourquoi des fois cela ne marche, c’est aussi du temps de perdu à créer. Temps qu’une entreprise n’a pas forcément envie de perdre. Adobe c’est aussi un sav et un service technique et des millions d’utilisateurs. Et les prix ne sont plus aussi important au final avec creative cloud.







Multiplie le prix par tous les postes d’une entreprise, ça chiffre vite.



Si le graphismes pur et à plein temps est ton activité principale, la suite adobe se justifie pleinement.



Par contre, si le besoin est de faire de la retouche de temps a autre, mais seulement entre autres travaux, les logiciels libres sont de mon point de vue un bien meilleur choix.



D’ailleurs, il ne faut pas oublier aussi que les logiciels libres ont des avantages propres : aucun DRM, présence sur toute plateforme, nombreuses déclinaisons, etc… <img data-src=" />


Le 23/11/2015 à 22h 18







jun a écrit :



Après y’a la réalité professionnelle…



Sur le plugin CMJN que tu partages, en regardant vite fait, y’a pas de nouvelle du dévelopeur depuis 2010, aucune garantie que le support de cette fonctionnalité soit encore là pour la prochaine version de GIMP, ça a pas été testé sur les dernières version de GIMP, ni sur des OS récent, la documentation semble insuffisante, … 



On peut noter des problèmes idéologiques aussi. Le nuancier pantone est le standard de facto pour de la calibration de couleur, particulièrement dès qu’on tape dans de l’impression offset. Ce nuancier est couvert par la propriété intellectuel, et ne sera jamais intégré dans une solution open source. Comment justifier qu’un standard d’un corp de métier soit ignoré ? 



 Pourquoi un graphiste print prendrais le risque de switcher sur une solution avec peu ou pas de support ? Pourquoi devrait-il investir du temps à mettre en place son outils (surtout pour une fonction comme le CMJN qui est un peu la base de son boulot…) quand la concurrence fonctionne “out of the box” ? 



Même pour du web, le duo Gimp / Inkscape n’offre pas la synergie du couple Photoshop/Illustrator (je pense très fort au smartObject), et à toutes les fonctionnalités qui améliore la productivité, genre tout les outils d’aide à la création de selection apparu ces derniers années sur PS, ou encore une fois les smartObjects qui permettent un usage des filtres non destructif… Même si GEGL semble partir dans cette direction, on y est pas encore.



Mention spéciale pour les traductions foireuses dans GIMP : l’outils “chemin”, en anglais “path”, qui devrait se traduire dans ce contexte par “tracé”.



GIMP et Inkscape sont de bon soft, mais faut bien reconnaitre qu’ils ont quelques lacunes très sérieuses face à la concurrence…







Certes, la suite d’adobe dispose de fonctionnalités avancées qui sont un cran au dessus de The Gimp/Inkscape, même pour le web.



Mais dans les métiers du Web, le développement prends souvent le pas sur le pur travail graphique. C’est l’exemple type d’un métier “mixte” il y a besoin de faire de la retouche d’image et du travail graphique sans que cela soit une activité à plein temps.

D’ou le fait que la suite adobe, tout aussi performante qu’elle soit est difficile à rentabiliser dans tous les domaines ou le pur graphisme n’est pas l’activité principale à plein temps. (Et je ne saurais trop conseiller aux pro d’éviter de pirater des logiciels. Pour ceux qui se font chopper, ça fait très mal. )

Sans compter que les produits Adobe n’ont pas de version Linux.



Pour le web, The Gimp et Inkskape offrent largement les fonctionnalités qui permettent un travail efficace.





Le 23/11/2015 à 21h 55







cislo a écrit :



“Et ne parlons pas des imprimeurs qui ont toute leur chaîne logicielle

calibrée et leur personnel habitué à fonctionner avec les produits

Adobe.”

Qui on surement etait former dans des écoles qui sont sponsoriser par ?

MAC et adobe.

 

Leur chaîne calibrer sur adobe parce que ?

le materiel ne supporte que du format adobe



Si dans le monde profesionnel il n’y a pas autre chose que adobe c’est du a:

-en effet les graphiste non pas envie de réapprendre l’utilisation d’un logiciel.

-adobe a un foutue monopole et ne veut pas le lâcher.

-Les constructeur n’en non rien a foutre du libre ça les arrange même (comme ça ils peuvent baratiner pour vendre).







Il y a certes des raisons à cet état de fait. Mais ce n’est malheureusement pas près de changer.



Et ce n’est pas juste la faute aux raisons que tu donne : La réalité, c’est que Gimp n’intègre les fonctionnalités qui leur sont indispensables qu’a un rythme d’escargot.



Alors oui, un jour peut être cela changera. Mais ce n’est pas encore demain.



Ajoutons qu’avec un marché de l’impression est sur le déclin à cause du web, il est peu probable de voir les habitudes changer.



Pour ma part, je pense que les imprimeries auront coulé bien avant…





voila pour faire fonctionner le CMJN et les psd

&#160http://registry.gimp.org/node/471





Sincèrement, as tu un jour essayé de charger des PSD avec Gimp et de faire un travail pro pour l’impression avec ?



Pour les formats de fichiers, il y a une différence entre dire “je le supporte en théorie” et “je peux lire tous les fichiers de ce type avec un résultat 100% correct.”.

Devine quoi ? Et bien dans le milieu pro, on ne peut pas se permettre de l’a peu près ni de perdre du temps.

Certains fonctionnalités de Photoshop n’existent pas dans gimp (et inversement) et les formats de fichier primaires de ces logiciels (PSD, XCF) ont des parties spécifiques qui sont difficilement transposables.

Et dans le graphisme papier, la fiabilité de rendu est un point primordial : un élément qui disparaît, qui se décale ou qui ne rends pas correctement a cause d’un format de fichier, c’est une catastrophe.



Pour le CMJN, c’est pareil : Des plugins, c’est bien. Sauf que dans Photoshop, c’est 100% intégré au moteur du soft, et garanti bien au point (question transmission vers l’imprimeur) depuis des années.



Personnellement, je suis un partisan du libre et un fervent utilisateur de The Gimp. Mais ce n’est pas rendre service au logiciel libre que de conseiller un logiciel par conviction dans un usage ou il se révèle (au moins pour l’instant)inadapté. Quand les gens suivent ce genre de conseil, ils sont déçus et c’est la crédibilité du libre qui en prends un coup.





je suis étonner que personne n’a parler de Kritta.





Un logiciel prometteur par bien des aspects. Mais la dernière fois que je l’ai testé, il y avait encore trop de défauts et de fonctionnalités manquantes.


Le 23/11/2015 à 20h 38







hansi a écrit :



@sr17  Côté imprimerie, il est vrai qu’Inkscape est plus recommandé et beaucoup plus puissant sur de nombreuses fonctionnalités. Cela étant, GIMP reste indispensable côté traitement photo au niveau pro. Et finalement, les deux outils se complètent parfaitement…

De toute façon le client final n’en a rien à foutre de savoir quel est le produit utilisé pour concevoir sa comm. Il veut juste que le boulot soit fait et bien fait. Et c’est toujours amusant de voir encore certaines agences de comm s’auto-convaincre qu’il n’y a point de salut sans le couple mac/adobe - bref,  des gens qui n’ont toujours pas compris la différence entre l’outil et le talent…







Non



The Gimp n’a tout simplement pas les fonctionnalités requises pour travailler vraiment avec le monde de l’imprimerie. Par exemple, la prise en charge du CMJN. Il y a également le format de fichier PSD que tout le monde utilise dans le monde graphique. Et ne parlons pas des imprimeurs qui ont toute leur chaîne logicielle calibrée et leur personnel habitué à fonctionner avec les produits Adobe.



Bref, pourquoi un pro du graphisme papier s’emmerderait avec The Gimp ?



Pour le graphisme Web en revanche, The Gimp dispose de toutes les fonctionnalités requises et peut être utilisé sans souci par un professionnel.



Enfin, Inkscape n’appartient pas à la même catégorie de logiciels, c’est un logiciel de dessin vectoriel. Donc ni le même but, ni le même usage, ni la même finalité que Gimp/Photoshop qui font partie de logiciels de retouche d’image bitmap.


Le 23/11/2015 à 17h 18

Un logiciel au développement assez lent. Mais qui est puissant et globalement bon.

Au départ, il déroute un peu les habitués de Photoshop.

Plus adapté au graphisme web que pour l’imprimerie.

Mais bon, les plaquettes papier, ça deviens de moins en moins courant.

Le 27/11/2015 à 02h 21







La Bidouille a écrit :



Il a bien augmenté le dollar ces temps ci ! Prix: €12.8 (Price is before tax)…. non dispo chez bidule 14En fait, c’est comme le PI 2 qui n’a jamais été vendu 35\( (même hors taxe) !

Et chez l'autre il n'est vendu qu'en bundle à partir de 30€

 

Aucun intérêt ... va falloir attendre les chinois entre dans la danse ...encore ... et après on se plains de la décroissance de certain commerce

 

ah la la ....



Ps: ça ne remet pas en cause l’intérêt du bouzin







Bah, comme d'habitude au lancement d'un PI, c'est la ruée.



Vu que les stocks sont limités, certains revendeurs en profitent pour valoriser leur stock.



Quand un article est très demandé et que les stocks sont faibles... les prix montent.



Certains revendeurs l'avaient bien affiché à 5\)
ce matin(Adafruit par exemple), mais du coup, leur stocks sont partis très vite.



Logiquement, ceux qui l’ont encore en stock…. sont ceux qui le vendent beaucoup trop cher.



Le bon côté des choses, c’est que, ça rends toujours possible d’en avoir un pour ceux qui en ont besoin pour un projet.



Ceux qui le veulent pas cher attendront un peu que les stocks se reconstituent. Les prix devraient logiquement se normaliser dans le temps.


Le 27/11/2015 à 00h 13







La Bidouille a écrit :



Moi je vois plein d’applications …. en robotique, domotique, ou avec un PIC ou un Arduino …station meteo ….

Il n’y a pas que la Box internet et le wifi pour communiquer … une chance (on peut mettre plein de “chose” sur le bus gpio (SPI, I2C ….) et il n’y pas toujours nécessité de communiquer







Tu sais, dans l’informatique, il y a deux catégories de personnes.



-Ceux qui sont habitués à acheter des trucs hors de prix tout faits avec toutes les fonctions pré-déterminées et figées. Ils ont perdu (ou n’ont jamais eu) le réflexe de chercher plus loin.



-Les autres, ceux qui préfèrent la puissance de la véritable informatique, celle qui est construite à partir d’éléments universels et modulaires et qui sont capable d’extrapoler pour entrevoir toutes les possibilités d’une brique de construction.



Le 26/11/2015 à 23h 06







Gundar a écrit :



C’est fabriqué par des enfants de quel age pour sortir à un prix pareil <img data-src=" />







Plus vraisemblablement par des bébé… robots.



Les enfants, question rentabilité, c’est has been.


Le 26/11/2015 à 11h 31

Mais c’est démentiel ce truc la !!!



Rendez vous compte, un ordinateur pour seulement 5$.



Des caractéristiques proches du PI 1, mais en plus rapide et quand même 512mo de ram.



Malgré ses caractéristiques modestes, c’est utilisable.



Et la logithèque (qui est celle de debian) est simplement énorme.



Et quand je parle de logithèque, c’est des vrais logiciels comme LibreOffice ou Gimp, pas les logiciels limités que vous avez sur vos smartphones hors de prix.

Le 26/11/2015 à 22h 28

A confier ce genre de mission à des personnes qui ne sont pas issues du monde des nouvelles technologies, on finit juste par aboutir après des années et des millions d’euros dépensés aux conclusions… que les connaisseurs leur prédisaient au départ.



Moi, dans le futur, je confierais plutôt les questions du monde de la technologie a des personnes qui connaissent bien ce domaine.






Le 26/11/2015 à 22h 00

Donc, si j’ai bien compris, il faudra au moins 10 ans pour qu’on sache si l’état à violé nos droits.



Qui aura donc les moyens de se payer ces procédures longues et coûteuses ?



L’état de droit… seulement pour les riches.


Le 24/11/2015 à 18h 11







hansi a écrit :



Jolla n’a pas la taille pour contrer android ou ios. Et honnêtement, je reste bien plus convaincu par Firefox OS, qui propose une vraie alternative aux deux géants, et continue de s’améliorer avec des API qui renforcent l’idée d’un navigateur “couteau suisse”…

Pour en revenir à nos amis finlandais, tant que Qt est à l’abri avec Digia, je suis tranquille… C’est même la

seule chose que microsoft n’a pas réussi à récupérer, et pourtant,

le framework Qt reste le plus intéressant du moment, parce que réellement multiplateforme,

super optimisé, et très bien foutu aux niveaux des outils de dev. C’est presque idiot de développer avec autre chose, et de ne pas comprendre que l’interface client aujourd’hui, c’est le web…







Pour mériter d’être qualifié d’Os, il ne faut pas être limité à un seul langage ou technologie.



Ni Android, ni ios, ni Firefox Os ne sont pour moi de vrais Os.



Ce sont tous des produits qui poussent certaines technologies en enlevant au programmeur et à l’utilisateur la possibilité d’utiliser les langages et technologies qu’ils souhaitent.



Si j’ai envie de programmer en Python ou en Cobol sur mon téléphone, c’est mon problème, c’est mon droit.



L’avenir des Os sur mobile, c’est Linux…





Le 24/11/2015 à 18h 03



Cdiscount espère ainsi probablement instaurer un dialogue entre ses clients et ses équipes commerciales et ainsi pousser ceux qui hésitent à franchir le pas…





Moi, négocier, ça me fait chier.



J’irais plutôt chez les concurrents qui proposent d’emblée un bon prix…

Le 24/11/2015 à 17h 50

Quand j’ai vu ça, j’en suis tombé sur le cul….



http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/terrorisme/attaques-du-13-novembre-a-par…


Le 23/11/2015 à 17h 33







yellowiscool a écrit :



De nos jours on peut décoder le h264 en JavaScript, et un smartphone récent peut encoder un flux 4K à la volée.







En javascript ? Pas terrible comme langage pour faire ça….





Le 23/11/2015 à 17h 31







yellowiscool a écrit :



On s’en fout un peu des pilotes Linux pour GPU de bureau. Ça fait 20 ans que GNU/Linux n’arrive pas à percer dans ce marché.







Mauvais calcul.



Pendant de nombreuses années, l’environnement desktop de Linux n’était pas mature.



Et dans le monde des Os, l’inertie est très forte.



La question n’est même pas de savoir si Linux s’imposera, mais quand.

 



Sur Android, les pilotes fonctionnent parfaitement (même si ils sont rarement libres et souvent figés sur une version du noyau).





Les pilotes propriétaires sous Linux, c’est vraiment la merde.



Et ce n’est pas un hasard. Linux est techniquement conçu pour que tout ce qui n’est pas libre… soit galère. <img data-src=" />



Normalement, ce n’est d’ailleurs même pas légal d’utiliser un driver propriétaire.


Le 21/11/2015 à 20h 31







KevBP a écrit :



Visiblement c’est pas en agissant comme un gros gogol avec des armes et des bombes que ça marche. 40 piges qu’on fait ça, et on a fait qu’envenimer les choses. Pire : on en a généré certains.

.







Balance par erreur une bombe sur un village. Et demande toi ce que les enfants survivants qui ont vu leurs parents tués deviendront quelques années plus tard.



Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que les islamistes provoquent l’occident. Ils savent qu’invariablement, nous répondront a chaud sur le coup de l’émotion par des mesures musclées et sans aucune finesse. (Balancer des bombes n’importe comment dans certains pays, donner carte blanche à la police pour faire n’importe quoi sans aucun garde fou dans nos propres banlieues).



Et ensuite, ils n’auront plus qu’a récolter les fruits, c’est à dire endoctriner tous les mécontents des inévitables bavures à grande échelle.



Ils suffit alors de jeter de l’huile sur le feu, de répéter le cycle un certain nombre de fois et le tour est joué.



La meilleure aubaine pour les islamistes, a été la réaction des américains après le 11 septembre. Depuis, l’islamisme radical s’est répandu comme une trainée de poudre.



Mais bon, ça fait juste plusieurs guerres que nous perdons comme cela (vietnam, algérie, afghanistan, irak…) et l’on n’est toujours pas fichu de se poser des questions.



C’est juste désolant.


Le 21/11/2015 à 20h 15







picatrix a écrit :



Si l’on en croit Korbenun simple coup de fil anonyme semble avoir de l’effet (french Swatting ?).

Il rapporte aussi le cas d’une perquisition “administrative” (i.e. sans juge) dans un cas de piratage informatique.



Donc ne t’inquiète pas : ils savent très bien ce qu’ils vont faire pendant ces trois mois …







Et oui, visiblement, ça n’a pas tardé pour déraper.



Comme c’était à craindre, les dénonciations calomnieuses dans le seul but de nuire à quelqu’un commencent à pleuvoir.



Ce qu’il va falloir surveiller, c’est l’utilisation de ces perquisitions administratives dans des affaires qui n’ont rien à voir avec le terrorisme. La encore, visiblement, ça n’a pas tardé.



Ca va vite à tuer un état de droit…


Le 21/11/2015 à 19h 29







CowKiller a écrit :



En tout cas, les pacifistes, anti état d’urgence, etc.  vous me faites bien rire. Il y a un truc que vous ne comprenez pas. La population en a assez du laxisme de Flamby. Les djihadistes se baladent tranquillement au milieu des salafistes en plein territoire Européen et ça gonfle pas mal de monde.



En gros, vous avez 2 options les bisounours :




  • Soit Danette (parce qu’on se lève pour lui maintenant) tape maintenant du poing sur la table et il sera peut-être réélu en 2017 vu que Lepen et Sarko vont se marcher dessus.

  • Soit il tape pas du poing sur la table et et on a Lepen en 2017 comme chère présidente



    Vous préférez quelle solution?







    Parce que vous pensez peut être que ça dépends juste des politiques et que nos services de police et de renseignement seraient laxistes.



    Réfléchissez un peu et posez vous la question de la difficulté que pose le fait de repérer des personnes qui préparent un attentat dans le plus grand secret en masquant tout signe extérieur au point que même la proche famille ne se doute de rien.



    Bien sûr, certains diront que pour certains de ces individus, il y avait des présomptions : ce n’est pas pour rien qu’ils étaient fichés.



    Mais si vous désirez vivre dans un pays ou l’on emprisonne des gens sur de simples présomptions, demandez vous ce qu’il arrivera quand un voisin (ou un collègue) qui vous déteste enverra une lettre anonyme calomnieuse racontant que vous êtes un extrémiste.



    Dans l’histoire, ce genre de chose est arrivé, par exemple à l’époque de l’inquisition et de la chasse aux sorcières. C’est aussi ce qui est pratiqué dans certains pays islamistes. Inutile de préciser que c’est la cause directe de la mort de quantité d’innocents.



    D’où l’état de droit et le fait qu’on n’emprisonne pas les gens sans preuves concrètes.



    Ce principe n’est sans doute pas parfait, mais il serait quand même très dangereux de céder à ceux qui veulent le jeter aux orties.



    De fait, nous sommes dans une situation qui n’est pas évidente à résoudre. Le fait de dire “les politiques, démerdez vous pour résoudre le problème, on ne veut pas savoir comment”, ce n’est pas un comportement de citoyen responsable.



    Il est évident qu’il n’y aura pas de solution miracle simple et que la lutte contre le terrorisme passera par un énorme travail de fond sur le renseignement, la lutte contre l’islamisme radical, mais également, la résolution des problèmes économiques et sociaux de notre société moderne (cause d’un terrain favorable à l’endoctrinement).



    Mais ne vous faites pas non plus d’illusions sur le rêve d’un monde sans attentats : d’aussi loin que je me souvienne, il y a toujours eu des attentats de temps à autre, même si ce n’était pas au point de ce qu’on connait actuellement.


Le 21/11/2015 à 19h 52







DotNerk a écrit :



Si je comprends bien, si la France va mal d’un point de vue économique, politique… C’est la faute de l’Europe. 



Si la France va mal pour des questions religieuses, la propriété intellectuelle de “ses” entreprises, la presse… c’est la faute d’Internet. 



Décidément, tout à une cause externe <img data-src=" />







D’un point de vue économique, comment nier que l’Europe a une énorme influence ?



Demande à n’importe quelle entreprise qui exporte, elle t’expliquera comment une monnaie comme l’Euro qui a été surcotée pendant des années(et continue de l’être) sans qu’on ne puisse rien y faire a ruiné leur activité et engendré la délocalisation des emplois.



Au lieu d’écouter les politiques qui vous font croire qu’il suffira juste de travailler plus, demandez vous combien de centaines d’heures supplémentaires par semaine il faudrait aligner pour être au même prix qu’un travailleur des pays “émergents”.


Le 21/11/2015 à 01h 00







TaigaIV a écrit :



Et des partis qui veulent masquer l’inexistence de leur programme.







Et surtout faire oublier les 10000 à 20000 personnes qui meurent par an à cause du chômage(selon une étude de l’Inserm) <img data-src=" />