Il parle de DSM 7.2 dans l'article, c'est peut-être pour ça. Moi je vérifierai sur le mien (aussi bloqué sur la même version que toi) quand ma connexion sera revenue.
Il y a bien, à priori, un lien entre "photo" et le DSM 7.2. Je n'ai pas eu la maj de "photo" proposée en 7.1, et juste après la maj en 7.2 j'ai bien eu "photo" de mis à jour en automatique.
On est maintenant à +700 débris, et potentiellement +900 le temps que tout soit traité. Avec une dégradation de l'orbite des débris vers les "hauteurs" des Starlink et de l'ISS d'ici X temps (les débris sont actuellement au dessus de ces orbites, mais descendront petit à petit...
Après le code morse et la base64 pour bypasser les restrictions (il fallait demander à l'IA de ne communiquer qu'en morse (ou base64) pour que cela marche), l'ASCII ART !
Plus le temps passe et plus ça va être fun ce genre de découverte. Le jeu du chat et de la souris entre les devs/entreprises et les utilisateurs "malicieux" va durer longtemps !
La dernière frayeur aura été celle de trop, un beau projet qui aura explosé les limites de ce qui été prévu (quelques semaines de vies et 5 vols). J'espère que nous aurons des vues du rover s'approchant d'Ingenuity pour voir les dégâts et immortaliser une dernière fois le petit hélicoptère.
L’article peut sembler assez dur, mais il soulève tout de même des points qui sont important.
La fusée devait décoller il y a déjà quelques années, là n’est pas forcément le problème, les retards dans le spatial sont réguliers et souvent important (SpaceX en a pas mal sur tous ses projets, la SLS est bien connue pour ça, JWST a aussi été décalé de nombreuses années, la New-Glenn n’est n’a toujours pas pointé le bout de son nez…).
Par contre, l’un des points pouvant poser problème, c’est le nombre d’Ariane 5 restant : 3 Après ça, si A6 est encore décalé, il n’y aurait plus aucun accès aux orbites GEO & Cie pendant de longs mois (quelques trimestres ?). Vega-C, même boostée, est fortement limité en termes de charge utile et restreinte à l’orbite basse.
Et pour soyouz… L’actualité Russie/Ukraine est passée par là… (Et RIP la mission martienne européenne/Russe…).
Et il reste encore un point qui fait grincer des dents, la communication. La SLS, même avec de très nombreux retards, a toute une communication dédiée sur les retards et les explications publiques. Pour A6, quasiment rien à se mettre sous la dent. Impossible d’avoir des détails, quelques phrases lâchées ci et là de temps en temps.
J’ai hâte de la voir décoller, mais il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent autour d’A6 (excepté des nouveautés et les tests avec le modèle complet actuellement sur site).
Reste à savoir combien de temps de retard il y aura. Du coup on se retrouve avec un rover sans plateforme d’atterrissage et les russes, de leur côté, se retrouve avec la plateforme d’atterrissage sans le rover + la fusée qui devait servir au lancement. Déjà que le développement du système de parachute avait posé pas mal de problèmes et était en partie la cause du retard actuel, il va falloir voir ce qui sera proposé dans la conférence du 20 juillet.
Le développement de système anti-poussière a certainement été envisagé. Les chinois semblent l’avoir fait de leur coté avec leur sonde actuellement sur mars (mais beaucoup de détail sur le système).
Après, le choix, ou non, de mettre ce genre de système en place dépend sans doute de pas mal de point :
Coût de dev + mise en place
Poids de l’ajout (retrait : d’instrument ? de carburant ?, plus grosse fusée pour le lancement ?)
Risques liés à l’ajout (casse, morceaux qui partent ? équilibre de la sonde…)
L’instrument va-t-il fonctionner correctement ?
Durée de la mission (est-ce utile de rajouter ça si la mission ne doit pas durer plus de X temps et que cela marche bien sans ?)
Coûts reportés sur la mission (qui dit mission plus longue dit plus de budget pour gérer les équipes au sol pendant les X mois/années de la mission)
Compte-tenu du boulot à faire avant le lancement, c’est dans l’espace-temps de Musk^^ Il faut encore assembler le booster, tester le booster précédent, tester le booster du vol, finir les détails sur le SN20, déplacer et tester le SN20, ajouter les moteurs (moteurs optimisés pour le vol atmosphérique et les moteurs pour le vide) pour le SN20 et le booster de vol - voir peut-être ajouter des moteurs sur le booster d’avant vol/de test - possiblement faire un vol du SN16 et finir de préparer la zone d’envol avec la tour, le système de levage, l’assemblage booster + SN… Quasiment personne ne pense que le vol aura bien lieu en juillet (et même pour le mois d’août ce n’est pas gagné…).
Et en plus, il y a possiblement des études à réaliser/compléter avant (impact environnemental à faire/refaire, ce qui pourrait prendre un temps considérable - possiblement plusieurs années, ils sont en plein milieu d’une réserve et ont déjà provoqué plusieurs incendies importants + du dégazage azote/méthane…). Et ils ont aussi des soucis avec les autorités locales à propos des fermetures de routes qui dépassent ce qui avait été demandé et obtenu + une possible privatisation de route publique sans autorisation (mais vu que ce sont des routes sans issue et dans la zone de construction des starships…).
Par contre le message d’octave sur twitter n’est plus disponible. Il ne reste que la réponse d’octave : Twitter, si quelqu’un sait ce qu’il y a dessus, je suis preneur
Vu les stats des disques qu’il est possible de trouver, ça parlerait de “tuer” un SSD standard (256Go) en 40 jours environs… Gare au marché de l’occasion pour l’achat des SSD, c’est un coup à se faire refourguer des SSD en toute fin de vie en pensant faire une bonne affaire.
À priori, il serait question d’un possible deuxième vol pour le SN15 ! Twitter
Le
06/05/2021 à
15h
56
Merci pour l’article (pour une fois, ce n’est pas pour parler d’une explosion^^) !
Les étapes importantes sont encore en grande partie devant eux : -> Le booster et les 28 moteurs raptor (à assembler, monter et tester plusieurs fois avant un possible vol) -> De nouveau le booster, mais en vol + atterrissage (avec ou sans structure pour le rattraper au vol ?) -> Un possible vol en très haute altitude pour le starship, avec retour au sol -> Un vol du booster ET du starship assemblé dessus (possiblement un vol orbital ? - Passage à MaxQ !) + retour au sol -> La rentrée atmosphérique du starship (les tuiles de protections thermiques sont en test depuis quelques exemplaires, mais la vraie difficulté sera sans doute de faire tenir le tout lors d’une rentrée réelle - la navette spatiale marque toujours les esprits de pas mal de monde).
Et en parallèle du programme “SpaceX”, il faudra suivre le programme de la NASA avec la version lunaire du Starship (au moins un vol à vide vers la lune avant de pouvoir faire un vol “Lunar Gateway” -> Lune). Faire tenir tout ça pour 2023 (sans compter l’aménagement interne du starship en lui-même pour la charge utile - pour des humains à bord, il faudra attendre encore un bon bout de temps), ça risque d’être tout de même tendu. Mais ça promet des images spectaculaires pendant les tests.
Si leurs débris atterrit chez moi, ça me fera une belle jambe de savoir que les chinois seront responsables… Ce genre de truc me laisse pantois.
Il y a dans le passé des événements similaires. Notamment un satellite de l’URSS tombé au Canada et contenant des matières radioactive en 1978 (Cosmos 954). Et c’est bien l’URSS qui a du payer une partie de la facture, après accord entre les deux gouvernements. Dans dans le cas présent, si dégâts il y a, la chine pourrait bien être tenu responsable et devrait possiblement sortir le chéquier (après un temps X passé au tribunal, et si la chine veut bien…).
Pour SpaceX, la compétition Europe/US est plus ou moins biaisée à cause des lois aux USA et des lancement institutionnels, rien n’empêche un pays européen (UE) de lancer un satellite militaire avec les USA (coucou l’Allemagne qui lance avec SpaceX des satellites militaire). Cela n’a pas empêché SpaceX de demander, en 2019, au Département de la justice US s’il était possible d’envisager une plainte devant un tribunal X ou Y à l’encontre d’Ariane 5⁄6 pour son financement… La réponse est revenue négative et cela a fait un peu de bruit, mais ils ne doutent de rien à ce sujet… Rappelons tout de même qu’Elon Musk avait tout de même annoncé qu’il ferait disparaître Arianespace grâce à SpaceX, mais qu’il n’en est rien, cela est-il lié ?
Après, pour les clients actuels de SpaceX, il y a certes la NASA et l’armée, mais le plus gros client actuel est SpaceX lui-même avec les lancements de Starlink, il est même probable qu’ils tournent à perte sur les lancements et comptent se rembourser avec Starlink une fois celui-ci en fonctionnement (pour le moment, il semblerait également que le fonctionnement de starlink soit lui aussi à perte, ne serait-ce que sur les antennes facturées à 500$ qui pourraient coûter plus cher que cela - À confirmer). Pour le reste des clients de SpaceX, cela ne se bouscule pas non plus au portillon… Même si le nombre reste plus élevé que pour Arianespace.
Un autre problème en Europe, outre la non-existence de lois pour favoriser/obliger les lancements étatiques, c’est le retour géographique. Pour X€ de financement par un état, il faut qu’Y% du lanceur soit d’origine de cet état, ce qui peut disperser sur toute l’Europe les centres de fabrication et chaînes de montage… Certains aimeraient bien le voir disparaître, mais parait-il, ce n’est pas du goût de tout le monde.
Tout ceci est pour le moment un “Proof of Concept”, ils procèdent donc étape par étape, avec une difficulté croissante pour être sûr que tout fonctionne correctement pour pouvoir valider le concept et peut-être intégrer ce genre de matériel dans de futures missions sur mars (et possiblement sur d’autres corps du système solaire). Il faut également prendre le temps de recharger la batterie entre chaque vol, le drone ne disposant que de 90s d’autonomie (environ) et doit se recharger avec un petit panneau solaire situé au-dessus des hélices. Ce qui limite fortement les déplacements et les tests.
Normalement, il est prévu un total de 5 vols, les deux suivants inclurons des déplacements plus long et plus rapide et avec d’autres zones d’atterrissage, possiblement choisies automatiquement par l’hélico lui-même avec ses caméras et son système intégré. Et le drone est normalement quasi autonome dans ses déplacements et décisions une fois le programme initial chargé et exécuté par la NASA.
En fonction des résultats des vols qui arrivent, il n’est pas impossible que la mission du drone soit prolongée d’un nombre X de vols (toutefois, il faudra voir avec le temps alloué à la mission et au drone).
Ils ont totalement perdu la partie “2” et une section de la zone “1”. Le reste à l’air “ok” d’après les news récentes, mais il y aura plus d’information d’ici quelques heures en théorie.
Plus le temps passe et plus cet opérateur montre à quel point il est à éviter absolument (“promotion”, “offre spéciale” qui font monter la facture, changement d’abonnement forcé…)…
Attention, il y a un risque de soft-lock le navigateur en faisant la maj et de se retrouver bloqué dans un seul onglet, sans réaction de l’interface et des raccourcis clavier. Possiblement lié au chargement des onglets à l’ouverture du navigateur et/ou au thème customisé utilisé.
il y a déjà quelques personnes ayant le problème sur les forums de la communauté.
Il est bien arrivé chez moi aussi, un plaisir à lire (il y a juste quelques informations qui ne sont pas les mêmes entre le texte et les schémas sur certaines valeurs pour le dossier sur Ariane 6) ! Bravo et merci à toute l’équipe !
Tout de même un point à noter, la fin d’une partie de l’API concernant le blocage des publicités via des plugins… Il est prévu que le support de l’API V2 reste pendant un an, mais certaines applications pour bloquer les publicités vont sans doute moins bien marcher d’ici quelquestemps.
Flash disparaît également, mais ça c’est moins grave (sauf pour les gens qui ont besoin de flash, comme les profs qui veulent utiliser certaines ressources de l’éducation nationale…).
Ne décolle pas, ok, elle est accrochée. Je me demande surtout comment fait la fusée pour résister aux forces liées au fait qu’elle soit justement accrochée, force probablement différentes de celles rencontrées en vol ?
Elle est fixée d’une manière permettant de ne pas la détruire en répartissant correctement les forces, normalement sur les parties les plus résistantes de la fusée. Sachant que, même si une fusée peut sembler fragile compte tenu de l’épaisseur des parois (parfois quelques millimètres seulement), elle peut tout de même résister à plusieurs dizaines de tonnes de pression sans trop de problèmes (le premier étage supporte le second étage - voir le troisième - ET la ou les charges utiles - la condition est que les forces soient correctement appliquées, on a déjà vu quelques fusées ou prototype finir en morceaux à cause de cela…).
Et dans ce test “Green Run”, il n’était pas prévu de faire subir au premier étage toutes les situations de vol, notamment sur les inclinaisons des moteurs pour contrôler la direction, pour justement ne pas créer des problèmes sur la structure de la fusée et risquer d’endommager l’étage qui est celui qui servira pour la première mission Artemis (en théorie fin 2021).
Ici, le test à tout de même permis de valider l’allumage des 4 moteurs en simultanés, ce qui n’avait pas été fait jusqu’à présent (ils étaient utilisés sur les navettes spatiales, mais il n’y en avait que 3). Le moteur semblant poser problème, à confirmer, serait celui qui a servi seulement 3 fois, contrairement aux 3 autres (l’un a même déjà servi 14 fois).
Pour la suite des tests, la NASA à déjà indiqué qu’il serait possible de procéder au remplacement ou aux réparations du moteur sur place, ce qui évite de devoir le déplacer à nouveau à son point d’origine par barge/bateau.
Callisto et Themis sont 2 choses différentes non ?
Oui, Callisto est la première étape de développement pour la réutilisation (2021-2022), Themis arrivera après et profitera des acquis de Thémis (2025 ?), et le tout, à terme, permettra normalement d’enchainer sur ArianeNext qui pourrait être un lanceur réutilisable prenant la suite après Ariane 6 (20320 ?).
Honnêtement, je ne suis pas trop à l’aise à l’idée de croire les propos tenus par Elon Musk et relayés par un fan-site de SpaceX. Ce ne sont pas les sources que j’ai tendance à privilégier quand je recherche des informations.
wagaf a dit:
En fait, ils ont dit a plusieurs reprises que c’est rentable, même si ils ne donnent pas les chiffres précis:
Pour le moment, vis-à-vis de SpaceX, nous n’avons aucune indication nous permettant de dire que le système est rentable. Mis à part les affirmations de l’entreprise et son dirigeant. Et vu que l’entreprise est privée et que le développement se font sous contrat avec des lancements (et non de la R&D) il n’est pas nécessaire de rendre public les comptes et rapport financier, Il n’y a donc aucun moyen de connaître le coût de la réutilisation et la rentabilité à long/moyen/court terme.
Il ne faut pas également oublier que la réutilisation de premier étage (et autres composants d’une fusée/navette) a déjà été étudié et testé il y a quelques décennies par plusieurs pays et/ou société (depuis les années mi-70 jusqu’à SpaceX en 2010). Mais les tests et calculs effectués ont indiqué comme non-rentable, voir même impossible, ce type de lanceur (coût de développement, technologies n’existant pas encore, infrastructures…).
Donc pour le moment, nous ne pouvons faire que des hypothèses et attendre que SpaceX ou une autre société communique les données financières qui vont avec la réutilisation (R&D, coûts de construction, coûts de remise en état, coût du stockage..). Même si nous pouvons supposer que cela puisse maintenant l’être vu le nombre de nouveaux acteurs se mettant à travailler sur des lanceur partiellement ou totalement réutilisable (RocketLab, Blue Origin, plusieurs entreprises chinoise, ArianeEspace…).
SebGF a dit:
[…]Exemple récent avec un contrat avec l’armée US. SpaceX annonçait en 2018 qu’un lancement de Falcon Heavy était dans les 150 millions, et là d’un coup ça passe à 316 millions. L’article évoque aussi le fait qu’ils ont augmenté le coût d’envoi d’un astronaute vers l’ISS (estimé à 55 millions au début, contre 80 pour un Soyouz par astronaute, mais la NASA a quand même contribué à quelques 3 milliards pour le développement de Crew Dragon).
Pour ce lancement-ci, la somme de 316 millions de dollars implique plus que “juste” lancer les charges utiles (deux ou trois selon les sources). Une partie de la somme est normalement utilisée pour la modification du pad de lancement, du bâtiment d’intégration et de la coiffe du lanceur. Mais il y a bien un surcoût sur les factures des lancements étatiques par rapport aux lancements commerciaux sur Falcon Heavy et Falcon 9.
On a eu des infos via le compte google cloud… Twitter
Je cite si vous ne pouvez pas ouvrir twitter au travail :
Today, at 3.47AM PT Google experienced an authentication system outage for approximately 45 minutes due to an internal storage quota issue. This was resolved at 4:32AM PT, and all services are now restored.
(quote:1841380:Aristide Rutilant) Je me posais la question récemment, mais je suppose que Gaia petit aussi recenser un paquet d’objets dans le système solaire, non ?
Oui, Gaia recense pas mal d’objet de notre système solaire (en plus d’objet d’autres galaxies). À priori +14 000 objets de notre système solaire lors de GDR2. À voir ce qui a été rajouté avec GDR3 (cf cet article, il est espéré +100 000 objets du système solaire - “Dans DR3, Chantal Panem attend à trouver des positions, orbites, et variations de luminosité au fil du temps pour plus de 100 000 astéroïdes, contre 14 099 « seulement » dans DR2”).
Enfin le retour/l’arrivée des flux RSS en natif sans passer par des extensions limitées ou payant (je dis retour vu que j’attends ça depuis la “fin” d’Opera^^) !
Pour le client mail, pas le plus important de mon coté, mais à voir à l’utilisation, comment c’est géré dans les majs qui arrivent et s’il y a un risque que cela disparaisse ou non comme on a eu le cas avec des clients mail par le passé (et pas seulement Opera).
Pour le moment, si effectivement ils sont toujours en contrat avec Ariane Espace, ils ont pris l’option Soyouz et non Ariane 6 (Donc plus de charge utile pour le vol inaugural d’Ariane 6…).
C’est déjà officiellement mort pour Ariane 6 en 2021: Next INpact
Ils annoncent mi-2022, ce qui en langage spatial veut dire 2023, et en langage Européen veut dire 2024. Et je réitère mon commentaire de cette news: elle sera obsolète techniquement et commercialement avant même son premier lancement
Damned, j’avais loupé l’info… Après, dans le spatial, du retard pour un nouveau lanceur/grand projet est plus ou moins la norme (Ariane, ISS, Hubble, James-Webb, Falcon 9, Falcon Heavy, Crew-Dragon, Starliner….).S’ils s’en tiennent à 2022, ça ne ferait que 2 ans de retard. Pour l’obsolescence, c’est un débat, mais espérons que la situation actuelle ne ralentisse pas les tests et ce qui doit suivre (Callisto, Thémis & Ariane Next) sur la réutilisation et la réduction des coûts.
Le
18/11/2020 à
14h
13
SebGF a dit:
Il faut espérer que ça ne déteigne pas sur Ariane 6 qui doit faire son premier lancement l’année prochaine. Son carnet de commandes frugal est déjà assez préoccupant comme ça pour ne pas y ajouter des couches supplémentaires.
Pour la réputation, normalement Vega est géré par Avio, en Italie, et n’a pas de lien avec Ariane 5. Mais vu que les composants sont les mêmes pour le premier étage de Vega C et les boosters d’Ariane 6, si des soucis sont détectés sur l’étage au premier lancement de Vega C d’ici quelques mois (en théorie), ça risque de générer pas mal de discussion et un possible retard supplémentaire d’Ariane 6 qui est encore prévu pour mi/fin 2021.
Le
18/11/2020 à
12h
32
matheysin a dit:
Deux plantages coup sur coup, ce n’est plus des erreurs humaines ! C’est du sabotage !
Pas coup sur coup, il y a eu l’échec du VV15 pour une raison de rupture d’un dôme du second étage, mais le VV16 s’est correctement déroulé avec, semblerait-il les corrections suffisantes pour cette histoire de rupture du dôme. Mais l’historique du lanceur et sa fiabilité viennent d’en prendre un bon coup…
À priori cela pourrait venir d’un problème de câblage et de vérification par la suite, et non un problème de design du lanceur. Une erreur humaine qui coûte cher (financièrement parlant et au niveau de la réputation)…
Tellement triste… Dans ce cas là quand une charge utile est détruite est-ce qu’il est envisagé de la reconstruire ou pas du tout ? (On peut penser qu’avec l’expérience cela prendrait beaucoup moins de temps, à moins de la mettre fortement à jour)
Généralement, oui les charges utiles sont reconstruites et relancées par la suite après parfois qqs années. Mais le lancement peut avoir lieu sur un autre lanceur (parfois de la même société, parfois non). Il y a aussi un système d’assurance pour les charges utiles lancées en fonction du prix du lanceur, du prix de la charge utile et de la fiabilité du lanceur pour ce genre de cas.
Le
17/11/2020 à
08h
23
Damned… Les équipes des deux satellites doivent être dans un état, tant d’années qui partent en fumée…
Reste à savoir comment cet échec va modifier les plannings pour Vega-C et Ariane 6 qui vont avoir des composant en commun (même si cette fois le problème semble être lié au dernier étage et non au dôme et composants du second étage comme lors du VV15).
Il est possible qu’une partie des charges utiles de Vega soient reportées sur Soyouz (depuis la Guyane) en attendant les correctifs et Vega-C. Espérons que la conf de presse de cette après-midi apportent quelques réponses, mais si les parties techniques risquent de mettre quelques mois à arriver.
Parachute + hélicoptère…. Il n’y a que moi que ça choque ?
C’est un “petit” lanceur et “assez” léger à vide. L’idée c’est qu’après la rentrée atmosphérique, le lanceur descend en “planant” sous une aile de type parapente (et non parachute) puis est récupéré à la volé via un câble/grappin en dessous de l’hélicoptère. Une présentation en démo “réelle” (étage simulé et laché depuis un autre hélicoptère) ici : YouTubeEntièrement en 3D avec le retour depuis l’espace : YouTube
Si, du point de vue des français, les tarifs ne sont pas engageant, pour l’outre atlantique il en est tout autre chose. Il semblerait qu’il ne soit pas rare de tomber sur des offres adsl ou similaire, avec un quota de X Go par mois, pour un coût similaire à ce que starlink met en place (oui, 99\( pour de l'adsl...). Surtout hors des grandes villes et zones densément peuplées. Donc proposer un bonnement à 99\) pour des débits s’approchant d’une fibre d’entrée de gamme, tout en visant toute la surface des US (et d’une partie du canada ?) et non seulement les grandes villes, ce n’est pas négligeable. Mais il est clair que pour les français, cela reste cher vu que nous avons assez rapidement des offres fibre à 400Mo-1Go/s pour moins de 50€ (voir moins de 30€ avec les offres des opérateurs).
Reste à voir s’ils vont s’adapter aux tarifs des marchés hors Amérique du nord vu qu’ils viennent d’avoir l’autorisation de construire des stations au sol en France (au nombre de 3 pour le moment).
En cas d’exposition (même partielle) de l’ISS, la priorité n1 serai de gérer les débris spatiaux qui sont déjà un problème aujourd’hui, avec des conséquences désastreuses pour l’exploitation des satellites actuellement en orbite basse.
La situation ne serait peut-être pas aussi dramatique que cela pour les débris si cela vient d’une séparation “douce” des modules ou de la structure. L’une des particularités d’une orbite telle que celle utilisée par l’ISS (~400km par 400km) et qu’elle peut être considérée comme “auto-nettoyante”. Il reste encore suffisamment d’atmosphère pour assurer un “retour” sur terre des éléments en orbite en quelques années. L’ISS elle-même doit régulièrement être “remontée” pour éviter qu’elle ne retombe sur terre (Cf la station spatiale chinoise d’il y a quelques années, qui, sans boost régulier, est retombée sur terre). Si par contre, c’est une explosion telle qu’il est possible de le voir dans les films&cie, il est probable que des débris soient éjectés plus haut et puissent rester des décennies, voir siècles, sur des orbites potentiellement utilisées ou utilisable… Mais il est clair que pendant ce temps, l’orbite basse deviendrait plus complexe à utiliser et/ou traverser.
Le
26/10/2020 à
10h
12
Les premiers modules datent bien de 1998, mais les plus récent ont à peine 15 ans (voir même pas plus de 10 ans). Mais l’ISS s’en tire bien pour le moment, profitant de l’expérience acquises pendant les années Mir (qui a faillit mal finir à quelques reprises - incendie et collision) et qui, elle, n’a pas passée plus de 15 ans (1986 - 2001). Mais il est clair que certains modules accusent le coût de l’âge et du temps passer là-haut, malgré l’entretient et les changements ayant eu lieux (changement des batteries externes, des toilettes, des systèmes de recyclage…).
Le
26/10/2020 à
09h
40
La situation actuelle de l’ISS est particulière. Nous sommes sur le bout théorique de la durée de vie (15 ans) et les américains semblent vouloir se décaler vers la lune via la station “Lunar Gateway”, mais même si des contrats semblent avoir été validé (et une bonne partie des modules pressurisés pourraient venir de constructeurs européens), la mise en place pourrait durer encore quelques années (et la politique américaine peut entrer en jeu et compliquer la chose…).
Cependant le prolongement de la durée de vie de l’ISS semble être plus ou moins tacitement acté pour le moment (au moins jusqu’au milieux de la décennie ?). Les russes devraient, enfin, envoyer un “nouveau” module sur place en 2021 (après plus de dix ans de retard…) appelé “Nauka” (il aura fallut faire quelques réparations et modifications, certaines parties ont été utilisées comme réserve de pièces détachées…).
Le tourisme spatial pourrait aider, mais cela ne fera pas tout. Les tarifs peuvent être très limitant (on parle de dizaines de millions de dollars pour quelques jours !). Il y a également des limitations légale, les russes et américains n’aiment pas trop d’un touriste “du camp d’en face” vienne se balader dans leur section… ce qui peut donc limiter les possibilités, à voir comment cela va être géré pour le tournage d’un film dans l’ISS (2021?) et pour la sortie spatiale d’un touriste russe dans les années qui arrivent (2021-2022?). Une autre optique étudiée serait la privatisation partielle de la station, avec ou sans module rajouté et possiblement privés. Soit dans le but de donner des accès spécifiques pour des expériences ou de la publicité (possiblement avec des astronautes qui devraient avoir X% de leur temps de réservé pour cela), soit pour du tourisme.
Par rapport à Google, peux-tu préciser ? J’ai beau chercher dans les crédits et les sources, je ne trouve pas de mention à Google …. Ou alors c’est que je suis très très fatigué …. Pour avoir travailler sur le projet Climate Change Initiative - Sea Level, jamais nos données n’ont été stockés chez Google ….
Et comme dit par @jossy, via “µblock origin” et “µ matrix” on peut voir le domaine (autorisé par défaut avec µOrigin, et bloqué par défaut avec µmatrix - Du coup, rien ne s’affiche sinon un “rond blanc” zoomable qui doit symboliser la terre, sans les filtres proposés).
Malheureusement, la réaction de l’entreprise ne me surprend pas tellement. La sécurité informatique passe après tout le reste depuis déjà de nombreuses années (et pour des raisons diverses et variées telles que le coût, le temps de mise en place, la gêne que cela peut provoquer pour les utilisateurs - méthodes d’authentification contraignantes…). Le petit épisode “Wannacry” il y a quelques années a un peu fait bouger les choses, mais sinon, tant que ce genre d’affaire ne sera pas médiatisée et sanctionnée en bonne et due forme, je crains fort que les choses restent ainsi encore pas mal d’années…
Ça va tourner en rond pendant encore combien d’années ?Si Google veut respecter la loi et ne pas payer, ne peut-il pas de-link tous les sites de presse sur sa partie Fr (tous, pour ne pas faire de favoritisme) et regarder ce qu’il se passe ?
Sans être pour Google (je suis même contre sur certains points), n’est-il pas quelque peu abusé que des sites veulent être payé par les gens/sites mettant des liens vers leur contenu ?
Et là, ce n’est pas seulement Google qui peut être touché, potentiellement tous les sites faisant des liens vers des articles se voient touchés vu que les titres en eux-mêmes sont en train d’être considérés comme tel (à moins que dans la loi, il n’y ai que Google de visé - mais cela ne serait-il pas faire de la discrimination envers Google de procéder ainsi ?) ?
Merci pour cet article, j’ai deux questions au sujet de la préférence européenne mentionnée et souhaitée par cetains organismes : quels sont les freins à sa mise en place et que manque-t-il à cette mise en place ?
Actuellement, la situation est en train de changer petit à petit. Mais il reste encore des soucis…
Le coût est non négligeable et les accords politiques sont parfois compliqués (on peu trouver à moindre prix aux US par exemple - Ariane ou Vega ?) et certains estiment aussi qu’ils ne récupèrent pas assez par rapport à ce qu’ils investissent dans l’ESA/Ariane et n’ont pas envie en plus de rajouter le prix des lancement de leur satellites (fussent-ils militaire…).
Au final, cela reste tout de même une question de politique et d’ego mal placé…
Le
25/11/2019 à
10h
58
La suite du dossier est toujours aussi bien et intéressante.
Un défaut, je pense, pour la politique européenne et la non mise en avant et la non communication sur les projets. On y pense peu, mais l’Europe est au final sur la quasi-totalité des grandes missions étrangère (US, Russie, chine…) et est dans une position charnière car, contrairement aux entreprises US, il n’y a pas d’interdiction de coopération avec la chine. Pour les missions peu voir non mise en avant : Galileo, bepicolombo, SEIS sur mars, Copernicus qui observe la terre 7j/24h et passe sur tous les lieux du globe à intervalle régulier. Au final, beaucoup de projet qui servent pour tous, dont certaines données sont en accès libres mais personne ne le sait… Au final, beaucoup sont promptes à critiquer l’ESA(voir même à demander sa suppression…) sans pour autant connaitre ce qu’elle fait…
Pour l’indépendance de l’accès à l’espace, c’est essentiel. Les US le font, la Chine également, la Russie… Ce n’est pas comme si les US ont déjà démontré à plusieurs reprise qu’ils “aimaient” faire chier l’Europe sur ces projets (lancement de satellite interdit sur des lanceurs US, tentative pour couler le projet Galileo…) et qu’on ne peut pas réellement leur faire confiance.
Et il est tout de même dommage de voir qu’il y a toujours des différents, voir même de “je te pique les contrats” entre Ariane et Vega…
55 commentaires
Pwn2Own 2024 : QNAP et Synology corrigent des failles critiques dans leur NAS
05/11/2024
Le 05/11/2024 à 21h 10
Je n'ai pas eu la maj de "photo" proposée en 7.1, et juste après la maj en 7.2 j'ai bien eu "photo" de mis à jour en automatique.
Constellation chinoise : 18 satellites en orbite… et plus de 50 débris
09/08/2024
Le 09/08/2024 à 11h 10
On est maintenant à +700 débris, et potentiellement +900 le temps que tout soit traité.Avec une dégradation de l'orbite des débris vers les "hauteurs" des Starlink et de l'ISS d'ici X temps (les débris sont actuellement au dessus de ces orbites, mais descendront petit à petit...
Thread de LeoLabs : https://x.com/leolabs_space/status/1821674976245670386
Quand l’ASCII art montre les limites des sécurités des IA génératives
18/03/2024
Le 18/03/2024 à 18h 16
Après le code morse et la base64 pour bypasser les restrictions (il fallait demander à l'IA de ne communiquer qu'en morse (ou base64) pour que cela marche), l'ASCII ART !Article pour la base64 : https://www.linkedin.com/pulse/jailbreaking-chatgpt-v2-simple-base64-eelko-de-vos--dxooe
Plus le temps passe et plus ça va être fun ce genre de découverte. Le jeu du chat et de la souris entre les devs/entreprises et les utilisateurs "malicieux" va durer longtemps !
Fin de mission pour l’hélicoptère Ingenuity sur Mars : « il n’est plus capable de voler »
26/01/2024
Le 26/01/2024 à 09h 12
La dernière frayeur aura été celle de trop, un beau projet qui aura explosé les limites de ce qui été prévu (quelques semaines de vies et 5 vols).J'espère que nous aurons des vues du rover s'approchant d'Ingenuity pour voir les dégâts et immortaliser une dernière fois le petit hélicoptère.
Vivaldi 6.2 se veut nettement plus réactif
01/09/2023
Le 01/09/2023 à 08h 37
Le changement dans les perfs est notable sur PC !
Ça fait du bien, je le trouvais un peu lourd dans certains cas.
Pour Android, je viens de faire la MAJ, pour le moment j’ai l’impression que c’est un poil plus fluide qu’avant.
Le premier vol d’Ariane 6 (encore) retardé à fin 2023
19/10/2022
Le 19/10/2022 à 19h 09
L’article peut sembler assez dur, mais il soulève tout de même des points qui sont important.
La fusée devait décoller il y a déjà quelques années, là n’est pas forcément le problème, les retards dans le spatial sont réguliers et souvent important (SpaceX en a pas mal sur tous ses projets, la SLS est bien connue pour ça, JWST a aussi été décalé de nombreuses années, la New-Glenn n’est n’a toujours pas pointé le bout de son nez…).
Par contre, l’un des points pouvant poser problème, c’est le nombre d’Ariane 5 restant : 3
Après ça, si A6 est encore décalé, il n’y aurait plus aucun accès aux orbites GEO & Cie pendant de longs mois (quelques trimestres ?). Vega-C, même boostée, est fortement limité en termes de charge utile et restreinte à l’orbite basse.
Et pour soyouz… L’actualité Russie/Ukraine est passée par là… (Et RIP la mission martienne européenne/Russe…).
Et il reste encore un point qui fait grincer des dents, la communication. La SLS, même avec de très nombreux retards, a toute une communication dédiée sur les retards et les explications publiques. Pour A6, quasiment rien à se mettre sous la dent. Impossible d’avoir des détails, quelques phrases lâchées ci et là de temps en temps.
J’ai hâte de la voir décoller, mais il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent autour d’A6 (excepté des nouveautés et les tests avec le modèle complet actuellement sur site).
ExoMars : l’ESA met « officiellement fin à la coopération » avec la Russie, d’autres pistes sont à l’étude
15/07/2022
Le 15/07/2022 à 15h 40
Reste à savoir combien de temps de retard il y aura.
Du coup on se retrouve avec un rover sans plateforme d’atterrissage et les russes, de leur côté, se retrouve avec la plateforme d’atterrissage sans le rover + la fusée qui devait servir au lancement.
Déjà que le développement du système de parachute avait posé pas mal de problèmes et était en partie la cause du retard actuel, il va falloir voir ce qui sera proposé dans la conférence du 20 juillet.
Vers un bouton pour permettre au consommateur de résilier son contrat en ligne
15/07/2022
Le 15/07/2022 à 15h 30
Enfin !
On va pouvoir se débarrasser des lettres recommandées pour résilier des abonnements en ligne…
Clap de fin pour la mission InSight, qui va progressivement s’éteindre d’ici la fin de l’année
20/05/2022
Le 20/05/2022 à 14h 14
Le développement de système anti-poussière a certainement été envisagé. Les chinois semblent l’avoir fait de leur coté avec leur sonde actuellement sur mars (mais beaucoup de détail sur le système).
Après, le choix, ou non, de mettre ce genre de système en place dépend sans doute de pas mal de point :
COSMO-SkyMed : SpaceX publie une vidéo de la séparation du premier étage et du largage de la coiffe
07/02/2022
Le 07/02/2022 à 12h 30
Quelques infos de Techniques Spatiales sur le sujet (avec une vue sur le matériel utilisé) : Twitter
À noter également que la vidéo est à priori ralentie en plus d’être stabilisée (la vidéo sans stabilisation est ici : https://twitter.com/SpaceX/status/1488290682364063747)
Mais voir ce genre de vidéo, c’est sublime. Séparation, ouverture de la coiffe…
Concours GeForce RTX 3060 Ti : et le gagnant est…
27/09/2021
Le 15/09/2021 à 12h 43
Why not !
SpaceX prévoit un premier vol orbital de Starship dès le mois de juillet
28/06/2021
Le 28/06/2021 à 09h 38
Compte-tenu du boulot à faire avant le lancement, c’est dans l’espace-temps de Musk^^
Il faut encore assembler le booster, tester le booster précédent, tester le booster du vol, finir les détails sur le SN20, déplacer et tester le SN20, ajouter les moteurs (moteurs optimisés pour le vol atmosphérique et les moteurs pour le vide) pour le SN20 et le booster de vol - voir peut-être ajouter des moteurs sur le booster d’avant vol/de test - possiblement faire un vol du SN16 et finir de préparer la zone d’envol avec la tour, le système de levage, l’assemblage booster + SN…
Quasiment personne ne pense que le vol aura bien lieu en juillet (et même pour le mois d’août ce n’est pas gagné…).
Et en plus, il y a possiblement des études à réaliser/compléter avant (impact environnemental à faire/refaire, ce qui pourrait prendre un temps considérable - possiblement plusieurs années, ils sont en plein milieu d’une réserve et ont déjà provoqué plusieurs incendies importants + du dégazage azote/méthane…).
Et ils ont aussi des soucis avec les autorités locales à propos des fermetures de routes qui dépassent ce qui avait été demandé et obtenu + une possible privatisation de route publique sans autorisation (mais vu que ce sont des routes sans issue et dans la zone de construction des starships…).
Minage sur les serveurs de Shadow : Octave Klaba confirme et donne des détails
10/06/2021
Le 10/06/2021 à 14h 03
Information sympathique…
Par contre le message d’octave sur twitter n’est plus disponible. Il ne reste que la réponse d’octave : Twitter, si quelqu’un sait ce qu’il y a dessus, je suis preneur
Les crypto-monnaies à l’assaut du stockage
17/05/2021
Le 17/05/2021 à 14h 48
Vu les stats des disques qu’il est possible de trouver, ça parlerait de “tuer” un SSD standard (256Go) en 40 jours environs…
Gare au marché de l’occasion pour l’achat des SSD, c’est un coup à se faire refourguer des SSD en toute fin de vie en pensant faire une bonne affaire.
Starship SN15 : cette fois, c’est la bonne pour SpaceX !
06/05/2021
Le 07/05/2021 à 14h 21
À priori, il serait question d’un possible deuxième vol pour le SN15 !
Twitter
Le 06/05/2021 à 15h 56
Merci pour l’article (pour une fois, ce n’est pas pour parler d’une explosion^^) !
Les étapes importantes sont encore en grande partie devant eux :
-> Le booster et les 28 moteurs raptor (à assembler, monter et tester plusieurs fois avant un possible vol)
-> De nouveau le booster, mais en vol + atterrissage (avec ou sans structure pour le rattraper au vol ?)
-> Un possible vol en très haute altitude pour le starship, avec retour au sol
-> Un vol du booster ET du starship assemblé dessus (possiblement un vol orbital ? - Passage à MaxQ !) + retour au sol
-> La rentrée atmosphérique du starship (les tuiles de protections thermiques sont en test depuis quelques exemplaires, mais la vraie difficulté sera sans doute de faire tenir le tout lors d’une rentrée réelle - la navette spatiale marque toujours les esprits de pas mal de monde).
Et en parallèle du programme “SpaceX”, il faudra suivre le programme de la NASA avec la version lunaire du Starship (au moins un vol à vide vers la lune avant de pouvoir faire un vol “Lunar Gateway” -> Lune).
Faire tenir tout ça pour 2023 (sans compter l’aménagement interne du starship en lui-même pour la charge utile - pour des humains à bord, il faudra attendre encore un bon bout de temps), ça risque d’être tout de même tendu.
Mais ça promet des images spectaculaires pendant les tests.
Station spatiale chinoise : après le lancement, l’inquiétude du retour du premier étage sur Terre
05/05/2021
Le 05/05/2021 à 17h 17
Il y a dans le passé des événements similaires. Notamment un satellite de l’URSS tombé au Canada et contenant des matières radioactive en 1978 (Cosmos 954). Et c’est bien l’URSS qui a du payer une partie de la facture, après accord entre les deux gouvernements.
Dans dans le cas présent, si dégâts il y a, la chine pourrait bien être tenu responsable et devrait possiblement sortir le chéquier (après un temps X passé au tribunal, et si la chine veut bien…).
Ariane 6 : vers l’infini et au-delà ?
03/05/2021
Le 03/05/2021 à 19h 31
Pour SpaceX, la compétition Europe/US est plus ou moins biaisée à cause des lois aux USA et des lancement institutionnels, rien n’empêche un pays européen (UE) de lancer un satellite militaire avec les USA (coucou l’Allemagne qui lance avec SpaceX des satellites militaire).
Cela n’a pas empêché SpaceX de demander, en 2019, au Département de la justice US s’il était possible d’envisager une plainte devant un tribunal X ou Y à l’encontre d’Ariane 5⁄6 pour son financement… La réponse est revenue négative et cela a fait un peu de bruit, mais ils ne doutent de rien à ce sujet… Rappelons tout de même qu’Elon Musk avait tout de même annoncé qu’il ferait disparaître Arianespace grâce à SpaceX, mais qu’il n’en est rien, cela est-il lié ?
Après, pour les clients actuels de SpaceX, il y a certes la NASA et l’armée, mais le plus gros client actuel est SpaceX lui-même avec les lancements de Starlink, il est même probable qu’ils tournent à perte sur les lancements et comptent se rembourser avec Starlink une fois celui-ci en fonctionnement (pour le moment, il semblerait également que le fonctionnement de starlink soit lui aussi à perte, ne serait-ce que sur les antennes facturées à 500$ qui pourraient coûter plus cher que cela - À confirmer).
Pour le reste des clients de SpaceX, cela ne se bouscule pas non plus au portillon… Même si le nombre reste plus élevé que pour Arianespace.
Un autre problème en Europe, outre la non-existence de lois pour favoriser/obliger les lancements étatiques, c’est le retour géographique. Pour X€ de financement par un état, il faut qu’Y% du lanceur soit d’origine de cet état, ce qui peut disperser sur toute l’Europe les centres de fabrication et chaînes de montage… Certains aimeraient bien le voir disparaître, mais parait-il, ce n’est pas du goût de tout le monde.
Le transfert de 175 millions d’adresses IPv4 par le Pentagone soulève des questions
27/04/2021
Le 27/04/2021 à 11h 22
Et ils en ont encore d’autres de coté…
L’article cité par
Sur Mars, le drone Ingenuity prend de l’assurance : il va plus vite et plus loin
26/04/2021
Le 26/04/2021 à 10h 06
Tout ceci est pour le moment un “Proof of Concept”, ils procèdent donc étape par étape, avec une difficulté croissante pour être sûr que tout fonctionne correctement pour pouvoir valider le concept et peut-être intégrer ce genre de matériel dans de futures missions sur mars (et possiblement sur d’autres corps du système solaire).
Il faut également prendre le temps de recharger la batterie entre chaque vol, le drone ne disposant que de 90s d’autonomie (environ) et doit se recharger avec un petit panneau solaire situé au-dessus des hélices. Ce qui limite fortement les déplacements et les tests.
Normalement, il est prévu un total de 5 vols, les deux suivants inclurons des déplacements plus long et plus rapide et avec d’autres zones d’atterrissage, possiblement choisies automatiquement par l’hélico lui-même avec ses caméras et son système intégré. Et le drone est normalement quasi autonome dans ses déplacements et décisions une fois le programme initial chargé et exécuté par la NASA.
En fonction des résultats des vols qui arrivent, il n’est pas impossible que la mission du drone soit prolongée d’un nombre X de vols (toutefois, il faudra voir avec le temps alloué à la mission et au drone).
Incendie OVHcloud à Strasbourg : le feu est maitrisé, les dégâts importants
10/03/2021
Le 10/03/2021 à 08h 59
Ils ont totalement perdu la partie “2” et une section de la zone “1”.
Le reste à l’air “ok” d’après les news récentes, mais il y aura plus d’information d’ici quelques heures en théorie.
SFR au sommet de son art en matière de publication légale
09/02/2021
Le 09/02/2021 à 09h 40
Plus le temps passe et plus cet opérateur montre à quel point il est à éviter absolument (“promotion”, “offre spéciale” qui font monter la facture, changement d’abonnement forcé…)…
Vivaldi 3.6 permet une gestion des onglets à deux niveaux
28/01/2021
Le 28/01/2021 à 11h 26
Attention, il y a un risque de soft-lock le navigateur en faisant la maj et de se retrouver bloqué dans un seul onglet, sans réaction de l’interface et des raccourcis clavier.
Possiblement lié au chargement des onglets à l’ouverture du navigateur et/ou au thème customisé utilisé.
il y a déjà quelques personnes ayant le problème sur les forums de la communauté.
Derniers jours pour profiter de nos goodies à prix réduit, nos magazines sont toujours disponibles
05/03/2021
Le 20/01/2021 à 19h 48
Il est bien arrivé chez moi aussi, un plaisir à lire (il y a juste quelques informations qui ne sont pas les mêmes entre le texte et les schémas sur certaines valeurs pour le dossier sur Ariane 6) !
Bravo et merci à toute l’équipe !
Chrome 88 plus proactif sur la qualité des mots de passe
20/01/2021
Le 20/01/2021 à 10h 14
Tout de même un point à noter, la fin d’une partie de l’API concernant le blocage des publicités via des plugins… Il est prévu que le support de l’API V2 reste pendant un an, mais certaines applications pour bloquer les publicités vont sans doute moins bien marcher d’ici quelquestemps.
Flash disparaît également, mais ça c’est moins grave (sauf pour les gens qui ont besoin de flash, comme les profs qui veulent utiliser certaines ressources de l’éducation nationale…).
Virgin Orbit va dans l’espace, la NASA écourte le test de son Space Launch System (SLS)
18/01/2021
Le 18/01/2021 à 14h 18
Elle est fixée d’une manière permettant de ne pas la détruire en répartissant correctement les forces, normalement sur les parties les plus résistantes de la fusée. Sachant que, même si une fusée peut sembler fragile compte tenu de l’épaisseur des parois (parfois quelques millimètres seulement), elle peut tout de même résister à plusieurs dizaines de tonnes de pression sans trop de problèmes (le premier étage supporte le second étage - voir le troisième - ET la ou les charges utiles - la condition est que les forces soient correctement appliquées, on a déjà vu quelques fusées ou prototype finir en morceaux à cause de cela…).
Et dans ce test “Green Run”, il n’était pas prévu de faire subir au premier étage toutes les situations de vol, notamment sur les inclinaisons des moteurs pour contrôler la direction, pour justement ne pas créer des problèmes sur la structure de la fusée et risquer d’endommager l’étage qui est celui qui servira pour la première mission Artemis (en théorie fin 2021).
Ici, le test à tout de même permis de valider l’allumage des 4 moteurs en simultanés, ce qui n’avait pas été fait jusqu’à présent (ils étaient utilisés sur les navettes spatiales, mais il n’y en avait que 3). Le moteur semblant poser problème, à confirmer, serait celui qui a servi seulement 3 fois, contrairement aux 3 autres (l’un a même déjà servi 14 fois).
Pour la suite des tests, la NASA à déjà indiqué qu’il serait possible de procéder au remplacement ou aux réparations du moteur sur place, ce qui évite de devoir le déplacer à nouveau à son point d’origine par barge/bateau.
#LeBrief reviendra le 4 janvier 2021
24/12/2020
Le 24/12/2020 à 13h 13
Bonne fêtes à toute l’équipe et au plaisir de vous retrouver début 2021 !
L’ESA et le CNES signent un contrat pour moderniser le Port spatial de l’Europe
17/12/2020
Le 17/12/2020 à 13h 43
Oui, Callisto est la première étape de développement pour la réutilisation (2021-2022), Themis arrivera après et profitera des acquis de Thémis (2025 ?), et le tout, à terme, permettra normalement d’enchainer sur ArianeNext qui pourrait être un lanceur réutilisable prenant la suite après Ariane 6 (20320 ?).
L’Europe avance sur son lanceur réutilisable Themis, premier vol prévu en 2022
16/12/2020
Le 16/12/2020 à 22h 02
Pour le moment, vis-à-vis de SpaceX, nous n’avons aucune indication nous permettant de dire que le système est rentable. Mis à part les affirmations de l’entreprise et son dirigeant. Et vu que l’entreprise est privée et que le développement se font sous contrat avec des lancements (et non de la R&D) il n’est pas nécessaire de rendre public les comptes et rapport financier, Il n’y a donc aucun moyen de connaître le coût de la réutilisation et la rentabilité à long/moyen/court terme.
Il ne faut pas également oublier que la réutilisation de premier étage (et autres composants d’une fusée/navette) a déjà été étudié et testé il y a quelques décennies par plusieurs pays et/ou société (depuis les années mi-70 jusqu’à SpaceX en 2010). Mais les tests et calculs effectués ont indiqué comme non-rentable, voir même impossible, ce type de lanceur (coût de développement, technologies n’existant pas encore, infrastructures…).
Donc pour le moment, nous ne pouvons faire que des hypothèses et attendre que SpaceX ou une autre société communique les données financières qui vont avec la réutilisation (R&D, coûts de construction, coûts de remise en état, coût du stockage..). Même si nous pouvons supposer que cela puisse maintenant l’être vu le nombre de nouveaux acteurs se mettant à travailler sur des lanceur partiellement ou totalement réutilisable (RocketLab, Blue Origin, plusieurs entreprises chinoise, ArianeEspace…).
Pour ce lancement-ci, la somme de 316 millions de dollars implique plus que “juste” lancer les charges utiles (deux ou trois selon les sources). Une partie de la somme est normalement utilisée pour la modification du pad de lancement, du bâtiment d’intégration et de la coiffe du lanceur.
Mais il y a bien un surcoût sur les factures des lancements étatiques par rapport aux lancements commerciaux sur Falcon Heavy et Falcon 9.
L’ensemble des services de Google était en panne pendant près d’une heure hier
15/12/2020
Le 15/12/2020 à 12h 07
On a eu des infos via le compte google cloud…
Twitter
Je cite si vous ne pouvez pas ouvrir twitter au travail :
Le satellite Gaia « en train d’écrire l’histoire », le catalogue EDR3 en ligne
03/12/2020
Le 04/12/2020 à 12h 29
Oui, Gaia recense pas mal d’objet de notre système solaire (en plus d’objet d’autres galaxies). À priori +14 000 objets de notre système solaire lors de GDR2. À voir ce qui a été rajouté avec GDR3 (cf cet article, il est espéré +100 000 objets du système solaire - “Dans DR3, Chantal Panem attend à trouver des positions, orbites, et variations de luminosité au fil du temps pour plus de 100 000 astéroïdes, contre 14 099 « seulement » dans DR2”).
Vivaldi se dote d’un client email, d’un lecteur RSS et d’un calendrier
25/11/2020
Le 25/11/2020 à 13h 10
Enfin le retour/l’arrivée des flux RSS en natif sans passer par des extensions limitées ou payant (je dis retour vu que j’attends ça depuis la “fin” d’Opera^^) !
Pour le client mail, pas le plus important de mon coté, mais à voir à l’utilisation, comment c’est géré dans les majs qui arrivent et s’il y a un risque que cela disparaisse ou non comme on a eu le cas avec des clients mail par le passé (et pas seulement Opera).
OneWeb renaît de ses cendres : nouveau CEO et lancement de 36 satellites prévu le 17 décembre
24/11/2020
Le 24/11/2020 à 13h 54
Pour le moment, si effectivement ils sont toujours en contrat avec Ariane Espace, ils ont pris l’option Soyouz et non Ariane 6 (Donc plus de charge utile pour le vol inaugural d’Ariane 6…).
Vega : l’échec de la mission VV17 est la conséquence d’une « série d’erreurs humaines »
18/11/2020
Le 18/11/2020 à 19h 50
Damned, j’avais loupé l’info…
Après, dans le spatial, du retard pour un nouveau lanceur/grand projet est plus ou moins la norme (Ariane, ISS, Hubble, James-Webb, Falcon 9, Falcon Heavy, Crew-Dragon, Starliner….).S’ils s’en tiennent à 2022, ça ne ferait que 2 ans de retard.
Pour l’obsolescence, c’est un débat, mais espérons que la situation actuelle ne ralentisse pas les tests et ce qui doit suivre (Callisto, Thémis & Ariane Next) sur la réutilisation et la réduction des coûts.
Le 18/11/2020 à 14h 13
Pour la réputation, normalement Vega est géré par Avio, en Italie, et n’a pas de lien avec Ariane 5.
Mais vu que les composants sont les mêmes pour le premier étage de Vega C et les boosters d’Ariane 6, si des soucis sont détectés sur l’étage au premier lancement de Vega C d’ici quelques mois (en théorie), ça risque de générer pas mal de discussion et un possible retard supplémentaire d’Ariane 6 qui est encore prévu pour mi/fin 2021.
Le 18/11/2020 à 12h 32
Pas coup sur coup, il y a eu l’échec du VV15 pour une raison de rupture d’un dôme du second étage, mais le VV16 s’est correctement déroulé avec, semblerait-il les corrections suffisantes pour cette histoire de rupture du dôme.
Mais l’historique du lanceur et sa fiabilité viennent d’en prendre un bon coup…
Vega VV17 d’Arianespace : « la mission est perdue », le quatrième étage en cause
17/11/2020
Le 17/11/2020 à 16h 28
À priori cela pourrait venir d’un problème de câblage et de vérification par la suite, et non un problème de design du lanceur. Une erreur humaine qui coûte cher (financièrement parlant et au niveau de la réputation)…
Source : Twitteret https://spacenews.com/human-error-blamed-for-vega-launch-failure/
Le 17/11/2020 à 09h 48
Généralement, oui les charges utiles sont reconstruites et relancées par la suite après parfois qqs années. Mais le lancement peut avoir lieu sur un autre lanceur (parfois de la même société, parfois non).
Il y a aussi un système d’assurance pour les charges utiles lancées en fonction du prix du lanceur, du prix de la charge utile et de la fiabilité du lanceur pour ce genre de cas.
Le 17/11/2020 à 08h 23
Damned…
Les équipes des deux satellites doivent être dans un état, tant d’années qui partent en fumée…
Reste à savoir comment cet échec va modifier les plannings pour Vega-C et Ariane 6 qui vont avoir des composant en commun (même si cette fois le problème semble être lié au dernier étage et non au dôme et composants du second étage comme lors du VV15).
Il est possible qu’une partie des charges utiles de Vega soient reportées sur Soyouz (depuis la Guyane) en attendant les correctifs et Vega-C.
Espérons que la conf de presse de cette après-midi apportent quelques réponses, mais si les parties techniques risquent de mettre quelques mois à arriver.
« Retour à l’expéditeur » : Rocket Lab va tenter de récupérer son lanceur
06/11/2020
Le 07/11/2020 à 11h 16
C’est un “petit” lanceur et “assez” léger à vide.
L’idée c’est qu’après la rentrée atmosphérique, le lanceur descend en “planant” sous une aile de type parapente (et non parachute) puis est récupéré à la volé via un câble/grappin en dessous de l’hélicoptère.
Une présentation en démo “réelle” (étage simulé et laché depuis un autre hélicoptère) ici : YouTubeEntièrement en 3D avec le retour depuis l’espace : YouTube
Better Than Nothing : Starlink ouvre davantage sa phase bêta, un abonnement à 99 dollars par mois
28/10/2020
Le 28/10/2020 à 11h 20
Si, du point de vue des français, les tarifs ne sont pas engageant, pour l’outre atlantique il en est tout autre chose.
Il semblerait qu’il ne soit pas rare de tomber sur des offres adsl ou similaire, avec un quota de X Go par mois, pour un coût similaire à ce que starlink met en place (oui, 99\( pour de l'adsl...). Surtout hors des grandes villes et zones densément peuplées. Donc proposer un bonnement à 99\) pour des débits s’approchant d’une fibre d’entrée de gamme, tout en visant toute la surface des US (et d’une partie du canada ?) et non seulement les grandes villes, ce n’est pas négligeable.
Mais il est clair que pour les français, cela reste cher vu que nous avons assez rapidement des offres fibre à 400Mo-1Go/s pour moins de 50€ (voir moins de 30€ avec les offres des opérateurs).
Reste à voir s’ils vont s’adapter aux tarifs des marchés hors Amérique du nord vu qu’ils viennent d’avoir l’autorisation de construire des stations au sol en France (au nombre de 3 pour le moment).
Station spatiale internationale : inquiétudes et pannes en série dans la partie russe, jugée trop vétuste
26/10/2020
Le 26/10/2020 à 10h 46
La situation ne serait peut-être pas aussi dramatique que cela pour les débris si cela vient d’une séparation “douce” des modules ou de la structure. L’une des particularités d’une orbite telle que celle utilisée par l’ISS (~400km par 400km) et qu’elle peut être considérée comme “auto-nettoyante”. Il reste encore suffisamment d’atmosphère pour assurer un “retour” sur terre des éléments en orbite en quelques années. L’ISS elle-même doit régulièrement être “remontée” pour éviter qu’elle ne retombe sur terre (Cf la station spatiale chinoise d’il y a quelques années, qui, sans boost régulier, est retombée sur terre).
Si par contre, c’est une explosion telle qu’il est possible de le voir dans les films&cie, il est probable que des débris soient éjectés plus haut et puissent rester des décennies, voir siècles, sur des orbites potentiellement utilisées ou utilisable…
Mais il est clair que pendant ce temps, l’orbite basse deviendrait plus complexe à utiliser et/ou traverser.
Le 26/10/2020 à 10h 12
Les premiers modules datent bien de 1998, mais les plus récent ont à peine 15 ans (voir même pas plus de 10 ans).
Mais l’ISS s’en tire bien pour le moment, profitant de l’expérience acquises pendant les années Mir (qui a faillit mal finir à quelques reprises - incendie et collision) et qui, elle, n’a pas passée plus de 15 ans (1986 - 2001).
Mais il est clair que certains modules accusent le coût de l’âge et du temps passer là-haut, malgré l’entretient et les changements ayant eu lieux (changement des batteries externes, des toilettes, des systèmes de recyclage…).
Le 26/10/2020 à 09h 40
La situation actuelle de l’ISS est particulière. Nous sommes sur le bout théorique de la durée de vie (15 ans) et les américains semblent vouloir se décaler vers la lune via la station “Lunar Gateway”, mais même si des contrats semblent avoir été validé (et une bonne partie des modules pressurisés pourraient venir de constructeurs européens), la mise en place pourrait durer encore quelques années (et la politique américaine peut entrer en jeu et compliquer la chose…).
Cependant le prolongement de la durée de vie de l’ISS semble être plus ou moins tacitement acté pour le moment (au moins jusqu’au milieux de la décennie ?). Les russes devraient, enfin, envoyer un “nouveau” module sur place en 2021 (après plus de dix ans de retard…) appelé “Nauka” (il aura fallut faire quelques réparations et modifications, certaines parties ont été utilisées comme réserve de pièces détachées…).
Le tourisme spatial pourrait aider, mais cela ne fera pas tout. Les tarifs peuvent être très limitant (on parle de dizaines de millions de dollars pour quelques jours !). Il y a également des limitations légale, les russes et américains n’aiment pas trop d’un touriste “du camp d’en face” vienne se balader dans leur section… ce qui peut donc limiter les possibilités, à voir comment cela va être géré pour le tournage d’un film dans l’ISS (2021?) et pour la sortie spatiale d’un touriste russe dans les années qui arrivent (2021-2022?).
Une autre optique étudiée serait la privatisation partielle de la station, avec ou sans module rajouté et possiblement privés. Soit dans le but de donner des accès spécifiques pour des expériences ou de la publicité (possiblement avec des astronautes qui devraient avoir X% de leur temps de réservé pour cela), soit pour du tourisme.
Climate from Space : l’ESA lance un site dédié au changement climatique, avec 21 couches de données
22/10/2020
Le 22/10/2020 à 11h 58
Toutes les images sont chargées à partir de l’adresse https://storage.googleapis.com/esa-cfs-tiles/0.10.2/basemaps/land/X/X/X.png
On peut avoir la liste complète en allant regarder les requêtes et la console via les outils développeurs du navigateur (à priori dans les 55-80 requêtes “XHR”)
Et comme dit par @jossy, via “µblock origin” et “µ matrix” on peut voir le domaine (autorisé par défaut avec µOrigin, et bloqué par défaut avec µmatrix - Du coup, rien ne s’affiche sinon un “rond blanc” zoomable qui doit symboliser la terre, sans les filtres proposés).
Un « leader européen » des données de santé licencie un lanceur d’alerte pour « faute grave »
02/10/2020
Le 03/10/2020 à 10h 07
Merci pour l’enquête et l’article.
Malheureusement, la réaction de l’entreprise ne me surprend pas tellement. La sécurité informatique passe après tout le reste depuis déjà de nombreuses années (et pour des raisons diverses et variées telles que le coût, le temps de mise en place, la gêne que cela peut provoquer pour les utilisateurs - méthodes d’authentification contraignantes…). Le petit épisode “Wannacry” il y a quelques années a un peu fait bouger les choses, mais sinon, tant que ce genre d’affaire ne sera pas médiatisée et sanctionnée en bonne et due forme, je crains fort que les choses restent ainsi encore pas mal d’années…
Presse en ligne : l’Autorité de la Concurrence contraint Google à négocier les droits voisins
09/04/2020
Le 09/04/2020 à 17h 27
Ça va tourner en rond pendant encore combien d’années ?Si Google veut respecter la loi et ne pas payer, ne peut-il pas de-link tous les sites de presse sur sa partie Fr (tous, pour ne pas faire de favoritisme) et regarder ce qu’il se passe ?
Sans être pour Google (je suis même contre sur certains points), n’est-il pas quelque peu abusé que des sites veulent être payé par les gens/sites mettant des liens vers leur contenu ?
Et là, ce n’est pas seulement Google qui peut être touché, potentiellement tous les sites faisant des liens vers des articles se voient touchés vu que les titres en eux-mêmes sont en train d’être considérés comme tel (à moins que dans la loi, il n’y ai que Google de visé - mais cela ne serait-il pas faire de la discrimination envers Google de procéder ainsi ?) ?
Quand une box internet « défectueuse » brouille des équipements GPS et Galileo
02/04/2020
Le 02/04/2020 à 09h 24
Heureusement que nous sommes le 2 avril et que la news sur le site de l’ANFR date du 31^^
Ariane 6 : il faut dès maintenant « préparer la transition, à terme, vers le réutilisable »
25/11/2019
Le 25/11/2019 à 11h 04
Le 25/11/2019 à 10h 58
La suite du dossier est toujours aussi bien et intéressante.
Un défaut, je pense, pour la politique européenne et la non mise en avant et la non communication sur les projets. On y pense peu, mais l’Europe est au final sur la quasi-totalité des grandes missions étrangère (US, Russie, chine…) et est dans une position charnière car, contrairement aux entreprises US, il n’y a pas d’interdiction de coopération avec la chine. Pour les missions peu voir non mise en avant : Galileo, bepicolombo, SEIS sur mars, Copernicus qui observe la terre 7j/24h et passe sur tous les lieux du globe à intervalle régulier. Au final, beaucoup de projet qui servent pour tous, dont certaines données sont en accès libres mais personne ne le sait… Au final, beaucoup sont promptes à critiquer l’ESA(voir même à demander sa suppression…) sans pour autant connaitre ce qu’elle fait…
Pour l’indépendance de l’accès à l’espace, c’est essentiel. Les US le font, la Chine également, la Russie… Ce n’est pas comme si les US ont déjà démontré à plusieurs reprise qu’ils “aimaient” faire chier l’Europe sur ces projets (lancement de satellite interdit sur des lanceurs US, tentative pour couler le projet Galileo…) et qu’on ne peut pas réellement leur faire confiance.
Et il est tout de même dommage de voir qu’il y a toujours des différents, voir même de “je te pique les contrats” entre Ariane et Vega…