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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 01/02/2019 à 09h 06

« assigner » est pour le quidam.



« attraire » fait partie du jargon juridique : par ex. https://droit-finances.commentcamarche.com/faq/40906-attraire-en-justice-definit…

Le 30/01/2019 à 11h 28



open datas



Tant qu’à utiliser l’anglais, autant le faire correctement :



open data

Le 30/01/2019 à 11h 23







Case_Of a écrit :



Il faut informer les utilisateurs de Firefox de l’existence de Pale Moon !





Même si je l’utilise et que j’y contribue activement (traduction en Fr), je ne fais pas sa promotion pour au moins 2 raisons :



1/ son administration et management sont déficients ;

2/ son développement et (donc) son futur ne sont pas du tout clairs ni vraiment assurés.


Le 28/01/2019 à 18h 10



Où un seul logiciel peut décider de la vie ou de la mort de certaines extensions par un simple choix technique.



Ou comme Mozilla Corp. a laminé 100% de ses extensions.

Le 28/01/2019 à 18h 06



Ces dernières années, de nouveaux acteurs ont émergé ou sont revenus sur le devant de la scène. Il y a bien entendu Firefox de la fondation Mozilla.



Firefox n’est ni nouveau, ni vient d’émerger et encore moins revenu d’outre-tombe : ses parts de marché sont en constante diminution depuis des années, et sont maintenant inférieures à 5%. Autant dire que Mozilla Corp. vise une disparition à brève échéance. Le marché a parlé.

Le 29/01/2019 à 12h 50

L’office va-t-il aussi censurer Youtube parce que une humoriste a osé faire des alexandrins sur Jupiter [1] ?



[1]youtube.com YouTube

Le 29/01/2019 à 12h 23

1/ La mafia usant de la violence pour imposer son racket ressemble trait pour trait à l’État usant de la force pour imposer ses monopoles publiques, avec le même objectif de rente de situation (même si les 2 recourent aux méthodes organisationnelles et de management entrepreneurial pour leurs opérations).



C’est tout l’inverse d’un marché où, dès qu’il existe la moindre possibilité de profit, on accoure de partout pour en… profiter, augmentant de ce fait le partage et la redistribution. C’est toute la différence entre un système vicieux et un système vertueux. De fait le marché redistribue ~98% de la valeur sociétale qu’il crée. Rien ni personne ne peut en faire autant.



2/ Si « l’idéologie » est basée sur des analyses, des mesures, etc. qui l’attestent, elle est valide : globalement, il suffit d’observer l’évolution du cadre politico-institutionnel traduit par une libéralisation de l’entreprise, des marchés et de la globalisation des échanges de la fin du siècle dernier pour s’apercevoir qu’il coïncide exactement, puisqu’en étant la cause, avec l’époque de développement social, économique, sociétal et donc humain le plus rapide et significatif de l’histoire de l’humanité [1]. Donc toute la rhétorique sur le gentil système publique versus le méchant système privé n’est qu’une illusion : les résultats des progrès accomplis sont là pour le prouver.



3/ Tu confonds d’un côté les principes d’organisation hiérarchique, qui n’ont pas nécessairement besoin de « chef » pour émerger et évoluer et de l’autre l’imposition de monopoles qui le requiert obligatoirement. La science des systèmes complexes (dénommée CAS pour Complex Adaptative System) a montré depuis bien longtemps qu’il n’y a pas besoin de « chef », guide, guru, leader, président, etc. pour obtenir un système de relations interdépendantes entre de nombreux agents non seulement viable mais surtout auto-organisé, auto-régulé, adaptable et évolutif, ce qu’est par ex. l’économie de marché avec ses caractéristiques et lois propres (cf [2] pour une introduction.



L’OPEP étant un cartel, c’est à dire un monopole transnational, il n’y a aucune régulation supranationale ou pouvoir politique qui pourrait le « casser » pour la simple raison que ces 2 chimères n’existent pas. Seul le marché pourra y parvenir ; d’ailleurs sous la pression du marché américain, l’OPEP vient de renoncer à limiter sa production, reversant ainsi sa doctrine précédente, alors que les USA préparent activement leur prochaine révolution – fracking 3.0 : le marché redessine le paysage politique.



[1]https://slides.ourworldindata.org/world-poverty/#/title-slide

[2]http://www.uq.edu.au/economics/abstract/335.pdf

Le 26/01/2019 à 20h 53

Aucun de ces ex. n’est ou n’a été un monopole. Les mots ont un sens. (Il existe beaucoup d’arguments contre les lois anti-trusts, mais c’est HS ici.)



Que tu n’arrives pas « à concevoir un marché “anarchique” qui ne finirait pas en monopole » est ton problème : le simple fait qu’il n’existe aucun monopole privé devrait pourtant être suffisant au regard de l’histoire économique. À ce propos, si ton seul ex. de marché privé est la « mafia » ou les « gangs », pas étonnant que tu n’arrives pas « à concevoir » ! Pour élaborer un peu sur ton ex., je t’invites à lire Freakonomics de Levitt et Dubner (Folio n° 132) où il y a un chapitre passionnant (le livre entier est excellent) sur les gangs intitulé « Pourquoi les dealers vivent-ils encore chez leur maman ? » : ces gangs (des milliers rien qu’à Chicago dans les années 1970) fonctionnent réellement comme des entreprises commerciales, mais les gains sont tellement faibles (d’où le titre du chapitre) qu’aucun monopole ne peut exister (et n’a jamais existé) sur le terrain.



Concernant les manquements aux règles/lois commerciales, je suis on ne peut plus d’accord : elles doivent être appliquées et les coupables sévèrement sanctionnés. Mais cela n’a rien à voir avec un monopole, et la « régulation » n’empêchera jamais les tricheurs. Trop de régulations conduit d’ailleurs souvent les agents économiques à les contourner et le résultat est pire que ce que ces régulations voulaient soit disant opérer (on l’a vu avec la crise des subprimes).



De fait la « régulation » au sens où tu l’entends existe déjà : les règles/lois sur le commerce et les contrats ont été créées par le marché lui-même longtemps avant la moindre législation étatique ; les tribunaux de commerce en France sont d’ailleurs « animés » par des acteurs (juges) issus du privé (voir aussi [1] pour une discussion/l’historique sur l’émergence de ces règles/lois dans les pays anglo-saxons). Mais cela est étranger avec le sujet concernant les pratiques de l’ex monopole public qu’est Orange.



Ce n’est pas « ma prémisse », juste une observation. Ton jugement sur ce qui est moral (ou pas) ne fait pas le poids face aux choix quotidiens de milliards d’individus : ils votent avec leur porte-monnaie, c’est bien plus efficace et respectable. Tout comme ton imagination alarmiste n’est pas plus persuasive. Ta dernière phrase est même surréaliste et un complet non sens historique : l’économie de marché et ses us/coutumes prédatent, et largement, n’importe quelle forme d’institution politique digne de ce nom (État/nation/etc.), a fortiori leurs « régulations ».



Ton dernier ex. est assez ironique d’ailleurs : quelles « régulations » (lesquelles, par qui et quand ?) ont cassé » l’OPEP, le seul « cartel du pétrole » multiétatique ayant jamais existé, exactement ? On connaît les dégâts que ces États voyous ont causé par leurs ententes sur le prix du pétrole depuis les années 1970, mais à part le développement du secteur pétrolier privé aux USA (merci au fracking), qui a fait quoi que ce soit contre ce cartel ? Personne. (Je passe sur les « tyrannies/dictatures/monarchies qui seraient du monopole privé », ce contresens ridicule ne méritant aucun commentaire.)



[1]http://myweb.fsu.edu/bbenson/SEJ1989.pdf

Le 26/01/2019 à 13h 40

J’attends toujours qu’on me cite un seul monopole privé ayant existé au cours de l’Histoire. Les seuls monopoles pérennes sont ceux légalement imposés (c’est à dire publics), avec tous les inconvénients de ne pas subir les lois du marché pour le consommateur/contribuable.



Tu fais bien de citer le train anglais : l’eurobaromètre montre régulièrement que le rail en UK devance tous les autres en terme de satisfaction clients [1] ou en regard du faible nombre de morts au km [2] tout en étant l’un des plus dense d’Europe. On peut affirmer que sa privatisation l’a sauvé [3]. Donc révise tes croyances.



De même on ne peut pas honnêtement affirmer que le secteur bancaire soit un ex. particulièrement convainquant d’un marché libre vu la montagne de régulations auquel il est soumis, ce qui explique d’ailleurs ses lamentables performances passées à la moindre petite crise et sa faculté à tomber comme une rangée de dominos du fait de la trop grande homogénéité et donc fragilité en résultant : que les États aient dû aider les banques lors de la dernière est symptomatique que la banque, étranglée par la régulation, est devenu un risque systémique et que l’avoir ensevelie sous encore plus de régulations est équivalent à vouloir traiter un cancer en augmentant les doses d’aspirine.



Un « naufrage » publique coûte à tout le monde, un « naufrage » privé seulement aux investisseurs : le choix est vite fait.





c’est l’intelligence de celui qui dirige, pas que ce soit publique ou privé…

Ce n’est pas un problème d’intelligence mais d’incitation et de motivation. L’espérance de profit est un formidable levier pour réussir, c’est à dire satisfaire le client : par définition le public ne pourra jamais offrir un aussi bon équivalent.



[1]http://ec.europa.eu/commfrontoffice/publicopinion/flash/fl_382a_sum_en.pdf

[2]https://static.guim.co.uk/sys-images/Guardian/Pix/pictures/2013/7/25/13747748116…

[3]https://static1.squarespace.com/static/56eddde762cd9413e151ac92/t/573aee082eeb81…

Le 25/01/2019 à 19h 40

Mon commentaire n’excluait nullement que des (poly)tocards ineptes aient ruiné le processus de privatisation, ou tout au moins l’aient organisé de telle manière à gêner la (future) concurrence suivant la politique débile dite de « champion national » ayant cours chez nos idiots élus.



Enfin on ne va pas faire la fine bouche : sans son retour au marché (sa place naturelle) on en serait toujours au Minitel et au téléphone à cadran pour tous…



Totale obsolescence déprogrammée.

Le 25/01/2019 à 15h 30

On dirait qu’on est toujours en train de payer les pots cassés de l’ex monopole public des PTT.



Quand on vous dit que le monopole public (pardon pour la redondance) est une entrave au développement et un boulet qui coûte cher pendant longtemps…

Le 28/01/2019 à 18h 20

C’est ce qu’a réussi à faire croire la technostructure française quand elle l’a créée. La preuve ? Même les Anglais se sont fait avoir…

Le 25/01/2019 à 16h 08

Non seulement ça, mais les pros doivent payer au poids et les particuliers sont limités dans le nombre de fois où ils peuvent déposer par an. Autant dire que les dépôts sauvages qui étaient la norme il y a quelques années reprennent de plus belle…

Le 25/01/2019 à 15h 06

La probabilité n’est pas nulle que quelques rares crétins se fassent prendre mais ils apprendront à déposer leurs cochonneries un peu plus loin, là il n’y a pas de caméras et où on ne les voit pas, et les idiots au pouvoir pourront s’enorguellir d’une baisse de la délinquance ordurière alors qu’ils n’auront fait que déplacer le problème.



Au final tout ces remuements de bras auront eu l’utilité de tout ce que la pipolitique escrologique est capable de pondre : afficher sa vertu sur le moment pour des résultats négatifs futurs garantis. En même temps™, ce n’est guère étonnant quand on a l’audace de légiférer « pour une économie circulaire » qui est au progrès ce que l’argumentation circulaire est à la discussion.

Le 25/01/2019 à 15h 54

Les modèles du GIEC sont incapables de reproduire le budget énergétique atmosphérique à l’équilibre sans de nombreuses paramétrisations non physiques et avec une erreur systématique moyenne de +7 W/m² dans leur calcul de l’énergie solaire incidente par rapport aux observations [1], et on voudrait nous faire croire qu’un minuscule forçage de +0.5-1 W/m² par le CO₂ est un problème ?



Plus généralement le malthusianisme est si has been avec toutes ses prédictions alarmistes et/ou catastrophistes jamais réalisées qu’on se demande combien de pilules rouges vous devez prendre tous les matin pour maintenir l’illusion. <img data-src=" />



[1]https://link.springer.com/content/pdf/10.1007/s00382-014-2430-z.pdf

Le 25/01/2019 à 15h 41







gg40 a écrit :



Je ne voie pas trop le rapport avec le numérique mais cette histoire de revenu universel m’intéresse.



Idée libérale, idée de gauche (bon elle est libérale aussi), je me demande ce qu’elle pourrait donner dans notre société.

Quel serai la part de personne qui choisirait de rester oisif ?

Le caractère systématique de la mesure ferait économiser énormément en frais de gestion en tout cas.





Il semble que parmi les rares expérimentations dans le monde, très limitées en nombre, participants et durée, le résultat est ~nul en terme économique et vaguement positif en terme « social », ce qui semble logique (contrairement à ce que j’avais indiqué dans un de mes commentaires précédents).



Ici l’expression « revenu de base » n’a que le nom : ce qui est proposé n’est qu’une pseudo simplification administrative. Même s’il était implémenté tel que Friedman l’avait proposé, aucune économie n’en serait retirée en France : le fonctionnariat est trop important électoralement parlant. Et de toute manière les caisses sont vides.


Le 25/01/2019 à 15h 23

Comme la presse mainstream n’est pour sa plus grande part ni libre ni indépendante, la production de contenu par d’autres acteurs réellement libres et indépendants serait effectivement plus que bienvenu.



Il est évident cette presse aux ordres va continuer à manger dans la main du subventionneur pipolitique qui lui renvoie l’ascenseur quand l’occasion se présente. S’arranger avec la démocratie n’a jamais été un problème quand leurs petits intérêts sont en jeu.

Le 23/01/2019 à 19h 35

Les Américains produisent des richesses pendant que l’UE sous la mauvaise influence de l’intelligentsia gallinacée corrompue produit de la législation à tour de bras. Cet empire artificiel finira par éclater comme l’abcès de pus antidémocratique qu’il a toujours été (pur produit de l’intelligentsia), comme tous les autres avant lui et pour les mêmes raisons historiques.



Avec un peu d’ironie, il se pourrait même que les premiers coups de butoir viennent de ce pays de poules s’écroulant sous le poids de ses propres contradictions, quand ceux qui le soutiennent à bout de bras se révolteront enfin pour écraser l’infection.



Il est aussi symptomatique que le soit disant consentement « spécifique, univoque et éclairé », qui suppose doctement que les gens soient capables de savoir ce qu’ils font, d’un côté, est réputé automatiquement acquis quand il s’agit d’extorquer ces mêmes gens (appelés maintenant contribuables) ou de surveiller massivement ces mêmes gens (appelés maintenant terroristes potentiels) parce qu’ils ne savent pas ce qui est bons pour eux, d’un autre côté, alors que ces 2 derniers consentements sont des ordres de grandeurs bien plus cruciaux que le 1er, simple hochet offert en guise d’amuse-gueule, parce qu’ils touchent au problème de la survie.



À l’heure de la désinformation et propagande par les médias de masse, la distribution généralisée de pilules bleues est unanimement acclamée comme une victoire, l’asymétrie de l’importance des consentements et de leurs conséquences ne dérangeant absolument personne ou presque. Les sots, ignares comme jamais, se satisfont de leur propre bêtise et niaisement font le jeu de leurs maîtres, connus depuis toujours.



Pathétiquement prévisible. <img data-src=" />

Le 19/01/2019 à 21h 58







OniriCorpe a écrit :



C’est dingue quand même, toutes les personnes qui s’offusquent de l’écriture inclusive/dégenrée/etc sont des mecs (ne me sortez pas l’excuse de “je connais des femmes qui sont contre !!!!”, oui ça existe, comme les femmes sexistes, et comme les gays homophobes :)).



On ne s’offusque pas, on dit que c’est illisible, illogique, incompréhensible et un vulgaire affront à la beauté.







OniriCorpe a écrit :



Ça ne leur viendrait pas une seule seconde à l’esprit de remettre en cause leur position intrinsèquement privilégiée par la langue, découlant d’une société profondément patriarcale…



Oh une tirade postmoderniste discursive à-la-Derrida ! cela faisait longtemps, surtout ici. Il m’avait semblé que la dernière momie qui nous avait sorti ce genre d’ineptitude débilissime avait coulé corps, âme, esprit et biens quelque part entre la direction “Théorie du pouvoir” et l’arrêt brutal au “Mur de la réalité”. Finalement, je vais reprendre un abonnement au site, le futur risque d’être amusant. <img data-src=" />







OniriCorpe a écrit :



Si on écrit “Vous êtes toutes les bienvenues” au lieu de “Vous êtes tous les bienvenus”, ça va hurler au scandale, mais dès que ça va dans leur sens, dès que ça les met en position dominante tout va bien.



La façon correcte est en fait d’écrire « Vous êtes toutes et tous les bienvenus. ». On apprend les accords en CP, même dans les camps de Rééducation Nationale.







OniriCorpe a écrit :



C’est beau de voir que tous les pleurnichements se résument à une guerre d’ego, pour eux.

Du vulgaire “moi-je moi-je”.



De la part d’un(e) postmoderniste abreuvé(e) (de hiérarchie) de pouvoir, c’est un compliment voire une reconnaissance (même si l’ironie n’échappe à personne).



Merci pour ce moment (fort amusant) !


Le 14/01/2019 à 15h 38

Probablement avec la même efficacité habituelle. Qui a dit Louvois ?



Comme quoi on peut passer son temps à faire des « économies d’échelle » et se prendre des râteaux.

Le 19/01/2019 à 20h 12

Oh, si tu as une « qualité », c’est sans doute ta persévérance à éviter les points qui dérangent. Elle n’est pas très utile pour progresser dans une discussion certes, mais j’imagine que cela doit aider à vivre. C’est le principal.

Le 19/01/2019 à 19h 30







gavroche69 a écrit :



Je me fous des partis politiques (tous) et par dessus tout de ceux qui les représentent.



Leur pouvoir de nuisance et celui du système qui les maintient et qu’on ne t’entend jamais critiquer probablement par conflits d’intérêts est pourtant patent. Mais tout ce qui t’intéresse en fait est de déblatérer (comme la rustine, la maladie autosomique récessive, la réponse qui n’est plus, etc.) sur des choix individuels qui sont contraire aux tiens. Ça doit être dur à vivre un tel décalage entre les idées qu’on se fait et la réalité qui ne veut pas s’y plier…







gavroche69 a écrit :



Je n’ai jamais dit que c’était mieux avant, je dis juste que ça va de pire en pire dans bien des domaine





S’il y a une chose qui transparaît clairement, ce n’est certes pas la cohérence mais la certitude et la suffisance des illusions.



Difficile de trouver la moindre substance ou rapport dans le reste d’une tirade relativiste sur ta pompeuse grandeur.


Le 19/01/2019 à 13h 15

Et sinon à part t’occuper du sexe des anges et du décorum, tes arguments sont ?

Le 19/01/2019 à 12h 31

Merci pour cet intermède météo hors sujet.

Le 19/01/2019 à 11h 57







gavroche69 a écrit :



Ben justement, cette nouvelle forme de communication via les réseaux sociaux entre autres c’est tout sauf une somme de décisions individuelles



Personne n’a forcé ces gens, ils ont tous pris une décision à un moment ou à un autre parce que leur motivation a déclenché un acte : on ne peut pas obtenir un résultat aussi simple sans qu’il soit composé de (et décomposable en) choix individuels. Logic 101.







gavroche69 a écrit :



et c’est justement ça que je trouve inquiétant. D’autant que tout est fait sur ces réseaux pour regrouper les gens qui “pensent” la même chose et qui ne tolèrent pas que l’on puisse penser différemment d’eux.



Un peu comme les partis politiques… où est ta diatribe inquiête sur les dérives (bien réelles celle-là, comme Simone Weil l’a montré) de ces groupes ?







gavroche69 a écrit :



On ajoute à ça ce besoin absolu pour certain(e)s d’avoir des “chefs” ou “idoles” à suivre ce qui fait que n’importe quelle connerie énoncée par n’importe quel connard ou n’importe quelle connasse peut devenir une vérité absolue pour plein de monde.

C’est ainsi qu’est née la mode du complotisme (entre autres) et ça ne va pas en s’arrangeant.



C’est un biais si humain de croire que c’était mieux avant et que l’on est dans une époque si spéciale que les complots, comploteurs, complotistes et dénonciateurs de complots, comploteurs et complotistes viennent juste d’être inventés. Quelle niaiserie. <img data-src=" />







gavroche69 a écrit :



Et à quoi bon voir une “différence de profondeur” si c’est pour rester au fond ?



Cela permet de confronter ses croyances et, éventuellement, d’arrêter de stagner et de progresser individuellement. Chaque incrément de progrès individuel, aussi minuscule soit-il, est cumulatif, diffusé et redistribué par le simple fait qu’il fonctionne (grossièrement il améliore la probabilité de survie). Ce qui fait qu’à chaque instant la fausse problématique de « l’intérêt du plus grand nombre est supérieur au sien dans une société » du bot nommé carbier n’a formellement et définitivement plus aucun intérêt car instantanément réalisée (à moins de supposer erronément que la société n’est pas formée par la somme de ses composants individuels, une position logiquement et scientifiquement insoutenable (mais avec les sots tout est possible), auquel cas plus aucune forme de discussion n’est possible (ce qui est leur but)).







gavroche69 a écrit :



Libre à toi de refuser de voir ça mais je ne suis pas sur que les sots soient systématiquement là où tu crois les voir…



J’observe surtout des rigidités idéologiques qui conduisent à des postures de plus en plus indéfendables. Les sots sont ceux qui persistent dans les paradigmes irréels de leur imaginaire fantaisiste. Ils cessent d’être sots (pas tous) quand leurs actes ne sont plus en accord avec idées, ce qui arrive toujours.


Le 19/01/2019 à 11h 20

Par quel principe(s) démontrable(s) a priori « l’intérêt du plus grand nombre est supérieur au sien dans une société » ? Aucun n’est jamais fourni, la position étant seulement posée là comme une bouse.



Ce qui importe n’est pas de poser, mais d’observer ce qui fonctionne. Et là, le constat est limpide.



Je ne dénigre pas la « climatologie », je dénigre la climastrologie officielle dictée par l’activisme idéologique et le consensus politique. Il y a suffisamment de papiers scientifiques persuasifs et convaincants qui montrent qu’au mieux le problème est inexistant et qu’au pire il est bénéfique.



La « démocratie » actuelle (qui n’a que démocratie que le nom) n’est effectivement que la dictature d’une minorité l’ayant imposée à son avantage exclusif. C’est d’ailleurs pour cette raison que ses marionnettes serviles biberonnées à l’argent des autres (qui commence à se faire rare) sont systématiquement là pour défendre leur système parasite puisque profiteurs eux-mêmes, pendant que les travailleurs qui se font extorquer par le monopole de la violence que les premiers se sont fort opportunément appropriés, sont eux dans la rue pour une question de simple survie.



Ta « démocratie » n’est pas si différente de la monarchie d’antan, avec son roitelet et sa cour tout en haut distribuant faveurs, privilèges, monopoles tout en suçant la sève du peuple harassé. Rien a changé, même pas le décors.



Il est difficile d’échapper à sa servitude d’esclave quand on est si soumis. Il ne faut donc pas s’étonner quand ça vient nous faire la moral sur « l’intérêt du plus grand nombre » alors que celui-ci est précisément (et régulièrement) dans la rue en train de réclamer le fruit de son travail pour juste survivre. Voilà le règne des voleurs endimanchés, des hypocrites et des fumistes à leur solde. <img data-src=" />

Le 18/01/2019 à 16h 48

Comme les opinions majoritaires de pensée (dites de « consensus ») sur l’intérêt général, l’État providence, ou en climastrologie ? Ou celles sur les dernières élections US, du Brexit ? Ou sur la dette et le chômage ? Certainement. De la même manière qu’on n’est largement pas en pénurie de sots qui font nos petits plaisirs.



Dans tous les domaines, une majorité de pensée n’est que croyance, une vue de l’esprit propagée par des escrocs comme artifice pour masquer leur totale absence de logique et de support un tant soit peu ancré dans le réel, une manière de poser une conclusion sans débattre. Alors qu’une somme de décisions individuelles est un phénomène concret (comme un marché) dérivant des actions de chacun et inscrite dans son quotidien. (M. Jourdain faisait aussi de la prose sans le savoir.)



Il y a une différence de profondeur qui t’échappe (et je suis charitable) entre les 2. Mais il y a une constante chez les sots, celle qui vise à soigneusement éviter toute forme de discussion, et qui n’est, finalement, pas si étonnante quand ils ont si peu à offrir.

Le 18/01/2019 à 15h 56

L’addition de toutes les décisions individuelles est collectivement (c’est à dire sociétalement) plus respectable (et optimale) que n’importe quelle décision imposée « d’en haut ». C’est plus clair ?

Le 18/01/2019 à 11h 38

Les préjugés et illusions fumeuses n’engagent que leur croyant : le réel rejette tous les « paradoxes » (par définition). Le « paradoxe », c’est l’inexplication ultime de celui qui n’a pas fait/ne veut pas faire son travail de compréhension. C’est une piètre tentative de rationalisation, ou pire d’intellectualisation, de l’ignare satisfait de lui-même.



Même s’ils sont qualifiés de « paradoxaux » — une position dont les intéressés se fichent éperdument soit dit en passant puisque n’en tenant manifestement pas compte —, les choix individuels sont collectivement (et nécessairement) plus respectables et légitimes que tout ce à quoi on peut les opposer, faux « paradoxe » inclus.

Le 18/01/2019 à 09h 01

Ton « paradoxe » n’est qu’une illusion autoentretenue : quand on a le choix entre d’un côté des propositions libres, gratuites, qui rendent service parce qu’elles fonctionnent, et de l’autre toujours plus d’obligations, d’interdiction, avec des services doublement payants (taxes/impôts + frais d’accès) qui ne fonctionnent généralement pas (ou mal au mieux), et qui ne servent qu’à faire perdurer une clique de parasites (et leurs idiots serviles) en monopolisant la violence pour asseoir leur illégitimité, le choix est vite fait.



D’ailleurs « les gens » sont dans la rue pour te montrer ce qu’ils en pensent de ton « paradoxe ». <img data-src=" />

Le 19/01/2019 à 12h 11



Envoyé Spécial a consacré une émission au glyphosate et le débat autour de son interdiction en France.



Pour qui veut un exemple de désinformation propagée par les médias subventionnés, ce documenteur est un parfait prototype d’inepties et de mensonges.



Tout est faux dans cette parodie de journalisme.



Heureusement que nos chevaliers blancs du monopole publique de la vérité unique, révélée et officielle nous ont pondu une loi anti-fake news efficace. <img data-src=" />

Le 17/01/2019 à 09h 00



D’autre part, à la ligne 114, le texte « for ip in range(0, 255): »





Dans la dernière version du script, c’est ligne 135.



Ce script ne fonctionne pas (il ne trouve rien) avec les anciennes versions de ES Explorer (4.0.5.5 chez moi). Le serveur Web a probablement été installé après (lors du rachat ?).

Le 16/01/2019 à 11h 15

La réponse a été faite en #61. Il est toujours amusant de constater chez certains que la validité de ceci ou cela dépend de qui répond plutôt que d’analyser la réponse elle-même. Cette posture ne laisse transparaître qu’une déplorable illogique intellectuelle. <img data-src=" />

Le 15/01/2019 à 21h 35

Attaque personnelle et 0 argument de ta part, comment doit-on appeler cela ? Ah oui, sophisme.

Le 15/01/2019 à 16h 33

Si c’est factuellement correct, pourquoi pas.

Le 14/01/2019 à 16h 50







zeldomar a écrit :



Pour Daesh : “l’idée” du califat a été trouvé en prison, mais son expansion à l’international (j’entends par là le recrutement d’étrangers et le pilotage d’attentat) repose exclusivement sur le net.





Quelle inculture.



En Islam, l’idée de « califat » est aussi naturelle et ancrée dans le conscient (et l’inconscient) que l’idée de liberté l’est chez le libéral (ou de redistribution coercitive chez le collectiviste). Histoire de l’Islam condensée en 15 minutes :youtube.com YouTube


Le 15/01/2019 à 16h 37

C’était initialement plus une affaire de lecture trop rapide (que de compréhension). Et je n’ai pas de problème à réviser mes positions quand elles sont incorrectes, ce qui était le cas ici.

Le 14/01/2019 à 21h 34

Oui effectivement, la « pensée » de El Minimo est d’une telle profondeur que j’ai mal compris sa déclaration : il affirme en fait que si je ne te mets pas de baffe, tu n’auras pas mal. Impressionnant. <img data-src=" />

Le 14/01/2019 à 17h 02

L’idée était de souligner que El Minimo prétend que taxer n’aura pas de répercussion sur l’utilisation de ces œuvres, alors qu’habituellement la taxe est utilisée pour justement limiter l’utilisation/consommation de ceci ou cela.



Un concept qui fait tout et son contraire n’est qu’une fumisterie, et la dissonance cognitive et l’incohérence intellectuelle des politiques ne dérange plus personne.

Le 14/01/2019 à 16h 13

Ta réponse est HS. Je t’invite à relire mon commentaire

Le 14/01/2019 à 15h 35



cette mesure ne heurtera pas l’utilisation gratuite et libre des œuvres non soumises aux droits d’auteurs



Où sont les études et les analyses pour (tenter de) le démontrer ? Parce que cette position de principe revient à affirmer que toutes ces mêmes « mesures » destinées officiellement (et sous des prétextes généralement punitifs) à heurter la consommation de tel ou tel produit (tabac, boisson, etc.) sont irrémédiablement vouées à l’échec…

Le 10/01/2019 à 12h 16

Il n’y a aucune mention claire de lien de cause à effet dans le communiqué. Il est simplement indiqué le « contexte ». Les fermetures de magasins ne sont aucunement justifiées comme y étant reliées. De même les baisses de visites sont avancées sans aucun contexte historique. Cela ressemble plus à une petite manœuvre pour s’exonérer de mauvais chiffres face à la concurrence en ligne (NB : je ne dis pas que c’en est une).

Le 10/01/2019 à 11h 55

Logiquement et puisqu’apparemment il n’y a pas de races dans l’espèce humaine, il ne peut être question de « racisme » ou de « raciste ». De même, si un juif est nécessairement un sémite, le contraire n’est pas vrai (un arabe non juif est aussi un sémite).



Sur le fond, dans ce pays on peut tranquillement et en toute impunité user de sa position de secrétaire d’État « entre les femmes » pour promouvoir son livre de fiction personnelle et dans le même temps pratiquer la censure à l’échelle législative sans aucun soucis de conflit d’intérêt et de cohérence intellectuelle.



Et on se demande pourquoi les gens sont dans la rue…<img data-src=" />

Le 04/01/2019 à 08h 09

Partout où cela a été expérimenté, on a (re)découvert la même chose : payer les gens à ne rien faire les incite vraiment à ne rien faire. Autant l’appeler par son vrai nom : revenu universel d’inactivité, ce qu’il est.

Le 03/01/2019 à 22h 40

Rien n’oblige à utiliser les dernières versions : pour ma part, j’en suis restée à Thunderbird 12 ESR qui est amplement suffisant, et ai migré sous Pale Moon qui évolue sagement.

Le 03/01/2019 à 22h 33

Et bien quoi ? On ne peut plus exprimer son opinion sur les nullards de chez MozCorp. et du sabotage de leurs actifs sans que Torquemada ne frappe ?

Le 30/12/2018 à 08h 45

Le savoir, la compétence, la qualité de la recherche ou des idées etc. ne se mesurent pas qu’à l’aune des diplômes, fort heureusement.



Sinon, pourquoi qualifier de « fumeuses » des théories alors que tu n’es pas toi-même économiste (et donc, selon ta position, incompétent pour les juger) ?



Il est vrai que la cohérence et l’honnêteté intellectuelles ne sont que peu de choses quand on peut sans effort succomber à ses biais (ou aux sophismes comme le n° 42) …

Le 29/12/2018 à 17h 37

L’exemple était une simple illustration que la précision n’est pas nécessairement un gage de qualité, rien de plus. Je conçois et conviens qu’elle puisse avoir son utilité si tant est que le problème ait un intérêt, soit correctement posé et bénéficie d’une méthodologie adéquate.



Ici, on a plus affaire à du travail de sociologie mineur et anecdotique que d’économie (mais les économistes ont tendance à s’infiltrer partout où on ne les attend pas, et pour ma part vu l’état de la sociologie, c’est pour le meilleur) : les « résultats » étant majoritairement du ressort des compétences individuelles, pourquoi étudier l’accessibilité relativement à ce critère a un quelconque intérêt qui requiert une telle précision m’échappe. Mais je ne suis pas économiste ;)

Le 29/12/2018 à 09h 13

Argument d’autorité (= nul).



Sa réponse est convenable parce que le commentaire auquel il répond indique une échelle « géographique », ce qui est assez vague éviter tout reproche : comme il est difficile de faire plus précis qu’une adresse, et à moins de vouloir étudier des inégalités maison par maison ou individu par individu, ce dont tout le monde se fiche puisque qu’elles sont fort heureusement là pour rester, cette précision « géographique » est largement superflue. Au mieux, la demande d’une telle précision indique que la question est mal posée.



Voire même contre-productive : par ex. le cas d’une étude où ce degré de précision a été utilisé pour raffiner artificiellement un modèle de corrélations et donc augmenter son impact potentiel, alors même que les données sous-jacentes étaient inadaptées (ce qui était reconnu par les auteurs dans un autre de leur papier !), pour évaluer un supposé « problème sanitaire » de pollution. Résultat : des conclusions injustifiables (= erronées) mais largement utilisées politiquement parce qu’allant dans le « bon sens ».

Le 29/12/2018 à 08h 22

Ah, ça sent le vécu !