Pas de comparaison du moins de ma part, comment serait-ce possible d’ailleurs ?, seulement une réflexion sur l’art en général dont l’essence même est une éternelle copie plus ou moins exacte des choses, des idées, de la Nature, des sens, etc. Est un artiste celui/celle qui apporte une valeur ajoutée par rapport à l’existant (en terme d’émotions ou autres).
Au sujet des idées en particulier, je ne suis pas persuadée que de leur adjoindre de (faux) droits de propriété intellectuelles soit une bonne idée sociétalement parlant : cela dit je ne suis pas encore parvenue au terme de ma réflexion sur le sujet, comme on dit.
Le
21/02/2019 à
08h
39
Surtout ne pas discute du fond, reste bien dans le superficiel fallacieux histoire de ne pas trop faire d’effort intellectuel. " />
Le
20/02/2019 à
20h
37
(Picasso aurait dit) Les bons artistes copient, les grands volent.
Toute l’histoire de l’art résumée en quelques mots.
La haine appelle la haine, l’histoire l’a assez montré.
Un peu comme les jeux vidéo violents qui entraînent un comportement violent… qui n’existe pas quand on le mesure. " />
OlivierJ a écrit :
Je te rappelle que les passages à l’acte sont grandement encouragés par les discours de haine, justement.
Et les haineux savent déjà très bien s’exprimer entre eux sans le faire en ligne.
Tu rappelles seulement l’homélie sociologique dominante et fausse (comme souvent chez les croyants). Où sont les études multifactorielles validées, indépendantes et répliquées ? Les études sur les jeux vidéo, qui sont basées sur ce préjugé simpliste démontrent l’absence de tout lien. L’argument est donc erroné et l’hypothèse est à rejeter.
OlivierJ a écrit :
Tu parles à qui là ?
À tous les escrocs qui soutiennent ces fables.
Le
20/02/2019 à
08h
21
carbier a écrit :
Cette libération de la parole n’entraine aucun argumentaire mais plutôt des effets de groupe avec des diffusions de vidéos bidons, de photos truqués et autres théories du complot.
L’expression n’a pas été « libérée », elle a trouvé d’autres voies : la technologie permet la lutte contre son oppression ailleurs (pour employer la rhétorique marxiste).
Ce qui est largement préférable à l’évacuation des ressentiments (sensés ou non) par des comportements physiques et des passages à l’acte. De plus petits maux sont préférables.
Le jour où les constructivistes feront l’effort de comprendre qu’on ne réduit pas la complexité de la psyché humaine à un jeu d’équations simpliste ou un modèle hypothétique pour établir des législations ineptes et inutiles, ils auront fait un énorme pas intellectuel. J’aimerais contempler cela de mon vivant…
Le
19/02/2019 à
20h
31
OlivierJ a écrit :
Lutter contre l’expression publique de la haine, c’est inutile ?
Pas du tout d’accord.
Ce n’est pas « inutile », c’est dangereux, liberticide et contre-productif (et basé sur des suppositions erronées).
L’expression publique devrait être la plus large et laissée telle qu’elle a été formulée pour que le plus de gens possible puissent la comprendre, et la rejeter s’ils l’estiment nécessaire. Par définition, tout ce qui est destructeur fini par disparaître.
Là on va une fois de plus juste cacher le problème sous le tapis et se féliciter de l’avoir résolu.
Le
19/02/2019 à
15h
44
crocodudule a écrit :
Non mais si tu as du voir dans d’autres commentaires, l’amour que je porte aux Juridictions administratives ^^
Certes, mais la question centrale subsiste : sont-ils réellement indépendants du pouvoir qui les financent ?
Des fois il ne suffit qu’un « mur des cons » pour douter…
Le
19/02/2019 à
15h
10
crocodudule a écrit :
1/ On doit pas vivre dans le même monde ^^
2/ Si la question de la rémunération est évidemment essentielle, c’est précisément pour cela d’ailleurs qu’une expertise privée et donc rémunérée par les parties n’a pas la même portée qu’une expertise judiciaire,
3/ Cf. mon post précédent l’arbitrage n’a rien avoir avec la médiation.
1/ Sans doute, mais ce n’est pas un argument. Seuls les résultats devraient compter.
2/ L’exemple des tribunaux administratifs montre que non. Si on accepte leur principe, alors on ne peut pas soutenir que l’indépendance ne pourrait pas aussi exister avec une justice privée. Ce ne serait pas cohérent.
3/ Je n’ai pas dit le contraire. Mon point était que si l’arbitrage privé fonctionne, je ne vois pas pourquoi la médiation, correctement implémentée, ne le pourrait pas. C’est un peu le même problème qu’avec la Sécu : la bobologie sera à terme gérée par le privé.
Le
19/02/2019 à
12h
01
1/ C’est précisément l’avantage : l’obtention de la « puissance financière » résulte rarement du choix de l’incompétence…
2/ Dans un cadre privé, la rémunération serait évidemment privée. Cela n’affecte en rien la question d’indépendance. Ou alors on devrait remettre à plat l’ensemble de la justice administrative.
Je ne suis pas exactement sure que le système US soit meilleur ou plus performant. Les jurys pop. par ex. rendent trop souvent des décisions émotionnelles aussi regrettables qu’une absence d’indépendance.
J’ai lu quelque part (impossible de retrouver le papier) que plus de 90 % des litiges commerciaux étaient réglés en arbitrage, lequel est essentiellement un système purement privé de recours qui apparemment fonctionne correctement (avec ses règles propres). Je ne vois pas en quoi la médiation serait moins performante ou moins indépendante quand rendue par des individus dans un cadre privé.
Le
19/02/2019 à
11h
24
crocodudule a écrit :
S’agissant de la formation, justement “nous” avons demandé que les plateformes qui vont se partager le marché de la médiation (qui sera un préalable obligatoire à saisine d’un Juge dans certains cas) soit soumises à une obligation de compétence (agrées ou labellisées), ca a été strictement refusé par la ministre et la rapportere de la Loi au nom de la liberté d’entreprendre. Donc n’importe qui va pouvoir l’exercer sans avoir la moindre garantie, sans même parler d’assurance.
Le filtre de la compétence fera rapidement le nécessaire, comme ailleurs.
crocodudule a écrit :
Pour ce qui est de la garantie d’indépendance des Juges, elle est pourtant strictement encadrée (et sanctionnée), il est rare que j’ai a demandé la récusation d’un Juge (en fait je ne l’ai jamais fait, me contenant d’aller voir le Juge avant lequel de lui même se déporte), généralement ils se déportent d’eux-mêmes, les sanctions de la CEDH au visa de l’article 6 et 5§3 ont fait le ménagent dans les derniers “vides” de notre procédure.
Pour quelles raisons ce « strict encadrement (et sanctions) » de l’indépendance ne devraient pas apporter les mêmes garanties dans le cas d’une justice rendue par des professionnels privés ?
Le
19/02/2019 à
11h
05
Qu’est-ce qui n’est pas critiqué en France ? Ces tribunaux n’ont même pas de budget, et là je te rejoins sur l’état lamentable de la Justice concernant son financement.
Pour le reste, pourquoi poser la question alors ? Un homme reste un homme, qu’il soit dans une institution ou une autre : son indépendance n’est pas plus garantie dans un cas comme dans l’autre, et ses motivations non plus. L’essentiel est d’avoir une formation appropriée : la concurrence fait le reste.
Parler du régalien en France fait un peu pitié alors que c’est précisément le régalien qui est délaissé par l’État qui préfère micromanager la société.
Giscard 2.0 ? Non, plutôt Friedman 3.0
Le
19/02/2019 à
10h
39
crocodudule a écrit :
La question c’est bien celle-ci : voulez-vous remettre le contrôle de l’exercice de vos libertés entre les mains de groupes privés et d’une prétendue intelligence artificielle développée par ces mêmes groupes ou, malgré ses défauts et ses manques de moyens chroniques (qu’il faut corriger en ne lui allouant pas que 69€ par habitant et par an…, l’Allemagne c’est 122€), à un Juge compétent et impartial ?
Tant qu’on n’a pas essayé l’une et l’autre de ces méthodes (privée versus publique), difficile de comparer, juger et choisir. L’expérience a montré que dans les autres domaines de la production, le privé sait mieux faire, plus rapidement pour moins cher. Pourquoi ne pas expérimenter à grande échelle ?
Note que la justice commerciale est essentiellement privée (rendue par des professionnels au sens privé du terme) en France. Mais je ne t’apprends rien.
Le
18/02/2019 à
19h
04
La posture pseudo morale de toutes ces agitations politico-législative est basée sur un modèle simpliste de psycho-sociologie appelé GAM (ou General Aggression Model) qui présuppose que l’exposition répétée à des contenus violents pourrait favoriser l’émergence de pensées agressives et donc la survenue de schémas cognitifs, émotionnels puis comportementaux violents/agressifs.
Ce qui est ironique mais surtout révélateur est que sur la base de cette hypothèse, est que les personnes supportant cette pathologisation de jure des comportements sont les mêmes qui soutiennent, correctement cette fois, que les études sur les jeux violents ne montrent ni association ni encore moins d’augmentation entre exposition à la violence et un comportement agressif.
D’où on peut conclure que :
1/ la proposition du modèle est fausse ;
2/ les individus qui la soutiennent et la nient en même temps™ sont incohérents et dangereux.
Le
18/02/2019 à
17h
11
Le mot omis mais opératif est « LIBREMENT » : ne pas pouvoir s’exprimer LIBREMENT est en effet une atteinte à penser LIBREMENT.
On nous aurait menti quand on nous affirme que les réseaux sociaux sont les fabriques ultimes à l’individualisme forcené ?
A-t-on réfléchi au fait qu’il valait peut-être mieux laisser les individus s’exprimer en parole et en écrit plutôt qu’en acte ? Mais non, il vaut mieux afficher et légiférer sa fausse vertu et sa noblesse de façade, c’est tellement plus payant à court terme…
J’appelle cela de la pensée et législation gonzo.
Le
18/02/2019 à
16h
55
Une fois de plus, les coquins pondent une loi qui par le miracle de mielleux sentiments va faire disparaître le problème qu’ils ont eux-mêmes créés, encouragés et institutionnalisés. " />
Le droit à la libre expression parlée ou écrite est consubstantiel au droit de penser librement, c’est une valeur canonique. De la même manière qu’on ne peut accepter la physique en rejetant la gravité, on ne peut pas/plus penser librement si l’expression est arbitrairement limitée.
L’ « état d’esprit » n’est pas une métrique fiable ou même bien définie, et qui peut être facilement manipulée en plus.
Je pourrai disserter des pages, mais le plus simple est d’observer ailleurs (dans l’espace et dans le temps) pour y comparer ce qui fonctionne (relativement correctement, la perfection n’étant pas de ce monde). L’Histoire est aussi un bon guide comme l’a sagement recommandé G. Santayana.
Le
20/02/2019 à
07h
59
des échecs économiques et sociaux
Le
20/02/2019 à
07h
53
wagaf a écrit :
Je pense sincèrement que si ça n’est plus possible en France, c’est principalement en raison de la teneur des commentaires aigres ici (dont beaucoup viennent probablement d’acteurs du secteur), bien plus qu’à cause du gouvernement.
Car au final même avec la meilleur volonté et les actions les plus pertinentes de l’État, il faut bien des gens enthousiastes et persévérants derrière pour créer, innover, vendre etc.
Je ne te cache pas que nous sommes beaucoup à faire (ou à ne pas faire) tout ce qui est possible pour avancer au plus vite la chute de ce régime morbide et malsain.
wagaf a écrit :
Et vu l’état d’esprit général constaté ici (et c’est encore bien pire dans d’autres espaces de discussion), on n’a pas la masse critique de gens réellement motivés pour parvenir a quelquechose, malgré le marché et les compétences (qui existent, même plus qu’ailleurs).
Il y a une bonne raison à cette absence de « masse critique de gens réellement motivés » : on les a fait fuir et ils continuent de partir en masse 1. Ceux qui restent profitent des niches fiscales ou des largesses de l’État, tant qu’il y en a.
C’est le problème avec le collectivisme : bien que l’ayant expérimenté en long en large et en travers avec pour seuls résultats des échecs économiques et sociales, on persiste stupidement à vouloir faire des essais. Quand les prémisses sont erronées, on en change.
wagaf a écrit :
Et non, baisser les taxes pour les entreprise de 3% ne changerai pas grand chose à ça.
Effectivement -3% ne changerait rien : -97% serait plus motivant (et le problème structurel du chômage de masse, des déficits sociaux et de la dette seraient réglés en quelques années).
Autant dire que tant qu’il n’y aura pas de renversement du paradigme actuel qui se résume à tout dans l’État, rien hors de l’État, rien contre l’État et sa technostructure archaïque, on continuera d’observer avec amusement le déclin et l’anéantissement volontaire de l’enclos à moutons qu’on nommait France (l’UE aura disparu bien avant) comme on a assisté à ceux des systèmes similaires auparavant. Mêmes causes mêmes conséquences.
Ce n’est qu’une question de temps, et ceux qui ont échappé au système ont tout leur temps.
Toutes choses qui ne sont manifestement pas plus possibles en France/UE.
Personnellement j’ai arrêté d’y croire : à moins de faire drastiquement le ménage dans le système politique et technocratique (celui de l’UE n’est qu’une copie), ce pays et l’UE sont destinés à périr, et le plus tôt sera le mieux.
Le
19/02/2019 à
15h
34
wagaf a écrit :
Singapour s’est développée ces dernières décennies grâce un fort interventionnisme de l’État pour développer des secteurs stratégique pour eux (en mettant pro-activement en place un environnement réglementaire et fiscal favorable au secteur) et ça a plutôt très bien marché, dans un environnement mondial ouvert et compétitif.
Et le rapport est ? Bien sûr qu’un cadre bien ficelé est important. Personne ne le nie. Mais la politicaillerie locale n’en est pas capable.
wagaf a écrit :
La Chine s’est développée en protégeant son industrie numérique de manière proactive par la réglementation, ça a aussi plutôt bien marché pour eux, ça n’a pas vraiment étouffé l’innovation.
On peut se permettre un peu de protectionnisme quand on a une croissance à 2 chiffres. L’innovation chinoise a surtout consisté à piller celles des autres.
wagaf a écrit :
Quand il y a une vision et un objectif clair et atteignable et que la stratégie est pertinente pas de raison de ne pas y arriver.
Amen. Mais laissons les professionnels du marché faire leur travail.
Le
19/02/2019 à
10h
50
Le sinistère de l’économie, cette fabrique à chômeurs et à fonctionnaires, veut tout et son contraire : quand on est le 1er créateur de taxes de la planète, sur la 1ère marche du podium pour la violence de l’extorsion fiscale quantitative, le 1er exportateur mondial de millionnaires et qu’on envisage sans honte aucune de taxer encore plus ceux-là mêmes qui créent ces fameux datacenters, on devrait surtout essayer de la boucler.
Le tout- caméras ne sert à rien (le 14 juillet 2016 l’a prouvé), mais on continue d’autant plus loin dans cette voie, pour encore mieux fliquer la populace!
Commentaire absurde puisque personne n’envisage que le « tout-caméras (sic) ». La caméra est juste un outil supplémentaire.
Le
19/02/2019 à
18h
44
À Nice comme partout ailleurs où la fin justifie les moyens, les petits mensonges et inexactitudes ne portent pas à conséquence quand les preux chevaliers des temps modernes ont décidé que c’était pour le bien de la brave populace trop bête pour comprendre de toute manière.
Aucune justification avancée sur les buts poursuivis (à part le flan habituel), et surtout aucune obligation de mesure a posteriori des conséquences souvent inattendues et pires.
Nul doute que l’expérience sera un succès. Si ce n’est pas le cas, ce sera parce qu’elle n’aura pas été tentée à grande échelle. Comme si on ne nous avait jamais fait le coup. " />
Bien sûr qu’il est dans le cycle, le cycle est seulement plus long dans cette branche-là. Ne doute pas que ce CO₂ a déjà fait partie de l’atmosphère bien avant, quand sa concentration était supérieure [1] d’un ordre de grandeur à celle actuelle, qui est toute proche de la limite basse de l’annihilation du règne végétal.
J’ai dû mal m’exprimer : on ne voit dans l’historique de la concentration globale en CO₂ 1 les nombreuses variations de l’activité économique qui sont justement décrites dans les papiers mis en lien. C’est plus clair ?
Cette courbe fait plutôt penser à un dégazement continu avec des variations saisonnières caractéristiques, probablement en provenance des océans.
Les substrats fossiles ne sont pas moins naturels puisque dérivant du végétal (selon la théorie biogénique usuelle, de moins en moins valide cela dit). Le climat est bien capable d’évoluer tout seul, avec ou sans nous (sauf pour les croyants évidemment).
Si la théorie alarmiste était valide, on devrait voir a minima l’impact de la variabilité économique (qui dépend à 90% des énergies fossiles) dans les émissions de CO². Or on ne voit rien. Conclusion…
la commission qu’ils se prennent sur les transactions permet une marge de plus de 60% …
JACKPOTE a écrit :
mais là la marge est colossale
Tous les business ne peuvent pas être basés sur une marge à 2% comme les supermarchés et il n’y a rien d’immoral à marger quand les agents économiques l’ont eux-même accepté.
C’est même l’un des points les plus importants du système de marché : cela indique qu’il y a des opportunités pour de nouveaux concurrents à faire des profits (et donc à diminuer les coûts) ! La FinTech s’y emploie.
“- L’ISF est un vrai problème qui nuit à tout le monde, pour des raisons de fuites de capitaux et d’investissements manquants. C’est documenté.”
C’est juste faux.
Tiensun petit lienqui te dit le contraire avec plus d’articles qu’il n’en faut pour te prouver le contraire.
Je réponds juste au sujet de l’ISF : ce wiki ne renvoie que vers 2 liens récents (Figaro, fin 2018 et Marianne, 2017).
Le Figaro ne va pas dans ton sens :
A première vue, la suppression de l’ISF ne représente pas un manque à gagner majeur: à l’échelle du budget de l’Etat (291,4 milliards de recettes nettes dans le PLF 2019), cet impôt ne rapportait qu’une somme limitée, de l’ordre de 5 milliards d’euros annuels. D’un point de vue purement comptable, le remplacement de l’ISF par l’IFI représente une perte chiffrée à 3,2 milliards d’euros par la Cour des comptes. De plus, les détracteurs de l’impôt dénonçaient son effet néfaste sur l’investissement et la consommation.
Quant à Marianne, il accumule les HS et les poncifs. Dans le 2nd § (“Les riches fuient la France”) :
le fait que « que les plus riches ne se portent pas si mal dans l’Hexagone » ne les empêche pas de partir en masse [1] : la France est le premier exportateur de millionnaires ;
l’opinion du 1er fiscaliste n’est que cela, pas un fait ou un chiffre ;
les arguments avancés par le 2nd fiscaliste sont sans rapport : ce n’est pas les 10% de recettes perdues qui sont en cause mais les capitaux et investissements qui se chiffrent entre 140 et 200 milliards (suivant les méthodologies) qui ont disparus [2], exactement ce qui disait ton contradicteur.
Le 3ème § (“Supprimer l’ISF est le seul moyen de faire revenir les exilés fiscaux”) de Marianne est tout aussi HS (évasion fiscale). Le 4ème § (“Les exilés fiscaux fuient une fiscalité trop lourde”) avance une étude où il n’est même pas question de l’ISF ! Le 5ème § (“Les grandes fortunes sont pénalisées par l’ISF”) est d’un ridicule et mauvaise foi achevés (G. Zucman est un gauchiste). Et le dernier § conclue dans le sens de ton contradicteur avec un tableau pas à jour !
Bref, dans Marianne aucun argument n’est avancé pour justifier ton “C’est juste faux” alors que les milliers de départs de millionnaires et les centaines de milliards envolés par la faute de l’ISF sont attestés et irréfutables puisque basés sur les chiffres de Bercy [3]. Comme le conclue l’article :
« Si l’on veut faire payer les très riches, mieux vaut les attirer que les faire fuir. »
Pour la petite histoire, ces travaux furent menés par le professeur Pierre Sirinelli, Alexandra Bensamoun, professeur à l’université de Rennes 1. Tous deux siègent notamment au conseil d’administration de la RIDA, la revue internationale du droit d’auteur, présidée par David El Sayegh, secrétaire général de la SACEM. Dernier nom, Josée-Anne Benazeraf, avocate représentant régulièrement la SACEM devant les tribunaux.
Ou quand l’argent public finance la « recherche » puis la législation au profit d’intérêts commerciaux ou assimilés : définition du crapitalisme de connivence qui fait les beaux jours de la technostructure européenne et de son lobbyisme parasite. " />
Étonnant, j’ai toujours cru que c’était en fait l’énorme fiente d’une poule constipée éjectée à une vélocité suffisamment élevée pour vaincre le puits de gravité terrestre et atteindre derechef ce semble-il auguste visage qui m’est inconnu. M’aurais-je-t-on trompée ?
1/ Ce n’est pas ce que dit la mairie (qui ne peut évidemment pas se désavouer elle-même).
2/ Ce sont toujours les individus qui payent (les entreprises ne sont que des intermédiaires fiscalement transparents).
3/ En l’occurrence, ces politiciens sont assez pervers, et les électeurs assez ignares et oublieux, pour faire passer une fois de plus une perte économique pour une victoire politique, ce qui n’a pas manqué d’arriver.
Le
15/02/2019 à
11h
40
Exemption fiscale accordée par les politiciens de la ville de New York eux-mêmes !
De plus selon le dernier sondage en date, une large majorité d’habitants étaient favorables au projet, dont 70% chez les Noirs et 80% chez les Hispaniques, minorités souffrant le plus du chômage.
Les 25 000 non embauchés ne vont pas sûrement voir leur qualité de vie augmenter, les finances de la ville non plus, et la ligne de métro restera très probablement engorgée puisque sans incitation pour l’améliorer. Sacré réussite !
On observe une fois encore l’extrême ignorance économique et la fausse compassion universelle de la politicaillerie gauchiste qui ne s’intéresse qu’à l’argent et aux taxes que pour mieux satisfaire son appétit pervers bassement électoraliste (et idéologique).
Le
15/02/2019 à
10h
19
Je comprends mieux maintenant l’intention initiale, qui n’avait aucun sens stratégiquement parlant, de couper le QG en 2.
Avec cette décision stupide, New York est maintenant connue comme une ville no-business-friendly.
On n’est plus très loin de la pénurie d’insectes, entre autres. Quand je
pense que certains voulaient que notre régime alimentaire les incluent… " />
Je n’ai vu passer qu’une seule étude l’année dernière à ce propos (Lister et Garcia, 2008), et elle était basée sur des données de température incorrectes en particulier un changement d’instrumentation au début des années 1990 non pris en compte et dont l’omission inversait la tendance de la courbe de température, et donc des résultats. La dépublication et suppression de ce papier a été demandée.
TheKillerOfComputer a écrit :
Les malthusiens n’avaient peut-être pas tord au
final.
J’ai peine à trouver une seule de leurs prédictions qui ne se soit pas avérée fausse. Avec un tel bilan, n’importe qui de sensé devrait remettre en cause ses prémisses.
TheKillerOfComputer a écrit :
Quand on voit les scores des dividendes de ces dernières années, permet moi de douter que les entreprises pensent au long terme…
Effectivement, c’est de moins en moins le cas pour une simple raison : les instruments économiques qu’on nommait épargne et taux d’intérêts naturels et qui servaient de base et de référence aux investisseurs pour appréhender si, comment et combien investir à long terme (notion d’horizon temporel) ont été « cassés » par les gouvernements et les banques centrales (politiques néokeynésiennes pour relancer la consommation). Résultat : au lieu de rémunérer l’épargne (c’est à dire les gens, et donc leur travail), on rémunère (plus) le capital. Tu sais qui blâmer maintenant.
Le
12/02/2019 à
15h
28
tpeg5stan a écrit :
Tu as une définition d’ultra-libéral j’imagine ?
Oui, c’est tout ce qui n’est pas ultra-collectiviste (c’est-à-dire ultra-gentil, d’après les ultra-collectivistes).
Exemple binaire simple : une exemption, une absence ou pire une suppression (= ultra-libéral) de taxe (= concept ultra-collectiviste) est une subvention (= ultra-méchant).
Autre exemple : le méchant argent c’est ultra-libéral, sauf quand l’imposition par Saint Fisc le transforme en gentil argent ultra-collectiviste.
Répète ad nauseam pour à peu près tout, et tu obtiens le merdier UE/français actuel.
Le
12/02/2019 à
09h
00
Un exemple de plus de la main-mise/connivence des lobbies et de la technostructure :
L’industrie gaz/pétrole non conventionnels s’est endettée comme tous les activités nécessitant beaucoup de capital au démarrage puis pour sa croissance rapide toujours en cours. C’est correctement abordé ici : cette industrie a restructuré sa dette lors du dernier crash, avec très peu de fermeture de compagnies, ce qui a été suivi par des gains de productivité importants (innovations tech.).
L’argent coule à flot pour une unique raison : la dette est peanuts face aux énormes profits ! Et l’une des raisons pour cela est due à la technique elle-même : 2-3 semaines du forage à la production, puis production autonome pendant des décennies à un coût ridiculement faible (le premier puits de gaz de schiste foré en 1998 produit toujours 20 ans plus tard).
1/ Où sont tous ces intoxiqués/morts depuis 1949, soit depuis 70 ans que la technique de fracking est opérationnelle ? Sur les millions de traitements effectués, aucun cas effectif de pollution de nappes n’a été constaté et rapporté (cf les rapports de l’EPA US). De rares problèmes peuvent survenir lors de la construction d’un puits quelconque [1], pas du fracking dont les opérations se situent bien plus profondément.
D’autant plus que le méthane s’échappe naturellement du sol et des sources d’eau depuis toujours [2], contrairement à ce que pourrait laisser penser la désinformation des documenteurs activistes [3].
2/ « on en parle ? » Pas plus ou pas moins que toutes les mines à ciel ouvert qui existent depuis qu’on mine, ou qu’on ouvre des carrières de pierres ou autres ou plus généralement qu’on exploite la Nature pour survivre partout dans le monde. Et alors ? Tu ne pourrais pas écrire tes inepties si tous les produits de ces mines n’existaient pas – il n’y aurait pas non plus d’éoliennes ou de panneaux solaires, ce qui ne serait pas plus mal vu le gaspillage de ressources que cela entraîne (mais là bizarrement on n’entend plus grand monde).
L’Inde à elle seule (mais tout comme la Chine et bien d’autres pays) a ouvert 52 mines de charbons ces 5 dernières années, cela relativise les enjeux et les trajectoires possibles, mais cela démontre par les actes que les gouvernements préfèrent alimenter l’économie en réduisant la charge énergétique, c’est à dire en favorisant la prospérité des individus, que des chimères climastrologiques.
Et c’est tant mieux pour les plus pauvres. Il ne faudrait vraiment pas avoir de cœur pour leur refuser l’accès à l’électricité bon marché et aux dividendes du progrès.
3/ Je défends surtout mon droit à exercer mon esprit critique et à cultiver mon scepticisme face aux torrents de propagande des escrologistes et de leurs marionnettes. On ne peut pas faire une analyse honnête en se contentant de ne pointer que « ce qui ne va pas en ce bas-monde », une posture avec 0 argument qui permet seulement au croyant d’afficher sa vertu et de soigner son égo pour maintenir son idéologie de la même manière qu’un alcoolique tient à sa bouteille.
Enfin je défends aussi mon droit à comparer, et quand je compare les résultats, j’observe manifestement qu’on sait mieux faire aux USA qu’en EURSS/France en dépit des nombreux donneurs de leçons.
L’activité d’exploitation pétrole/gaz de schistes n’a jamais été « mise de côté : Trump a supprimé les régulations pour l’exploitation sur les terrains fédéraux et autorisés les exportations de gaz liquide, ce qui a boosté l’activité. L’impact environnemental de cette activité est quasi nul de toute manière. Pour le charbon, il a supprimé les régulations débiles mises en place par Obama. Les USA ne sont pas maintenant le 1er producteur de pétrole et de gaz par hasard : le marché fait le travail quand il est libre.
Trump détaille dans le SOTU la palanquée de taxes supprimées : il y en a pour tout le monde.
Qu’on aime ou pas le personnage, sa politique de dérégulations et détaxations donne des résultats en terme concret de pouvoir d’achat amélioré, de chômage au plus bas et d’indépendance énergétique : qui peut en dire autant ailleurs, ici en particulier ? Il a réussi son MAGA que cela plaise ou non.
Le
08/02/2019 à
17h
12
Ponctionner, ponctionner, il en restera comme toujours plus de chômeurs (ou des fonctionnaires, ce qui revient au même).
On peut peut-être reprocher à Trump son approche bulldozer, mais le succès de son bilan économique (voir son discours SOTU) à base de baisses drastiques de taxes et impôts devait faire réfléchir les zétites locales. Non je plaisante, elles sont trop occupées à concevoir leurs nouvelles ponctions pour faire perdurer l’illusion.
La risée du salon a quand même été le débarquement massivement subventionné par vos taxes et impôts de la « French Tech » (un oxymore probablement). Néanmoins le ridicule total aura été évité grâce à l’heureuse absence du pipoplitique. Quant à savoir ce qu’il en restera, comme d’habitude le marché tranchera.
C’est avec ce genre de menu détail technique impossible à résoudre depuis plus de 20 ans sans commissions, votes, assemblées, consultations, rapports et tous les artifices possibles de l’immobilisme en mouvement que l’on se délecte d’avance de l’écroulement inéluctable de l’usine à gaz UE sous son propre inertie technobureaucratique, suivant en cela l’exemple de son modèle français.
UFC n’a plus aucune crédibilité pour demander quoi que ce soit en rapport avec l’escroquerie OP (ses communications alarmistes en contradiction avec ses propres résultats).
L’OP était un problème si urgent, si vaste, si complotiste, avec l’avenir de la planète en jeu… 4 ans après la loi, toujours rien, comme prédit. Et la planète va toujours aussi bien.
Le
05/02/2019 à
16h
35
Kevsler a écrit :
Ah ah ! C’est le mythe quand ça t’arrange, hein ?
L’enquête sur le cartel et le rapport qui a établit le « mythe » est là [1] : bonne lecture.
Je n’ai rien contre ça, contre la limitation de la liberté individuelle d’entreprendre (si on considère qu’une entreprise est le fait d’un seul individu, ou de peu d’individus). C’est un concept qui peut être déconnecté des libertés individuelles. D’autant qu’une entreprise, plus elle est grande et donc plus elle a d’impact social et politique, est toujours composées de plusieurs individus dont la masse majoritaire (les subalternes) serait certainement favorable à la limitation de cette liberté d’entreprise, car elle n’en profite que très peu, relativement.
Une affirmation péremptoire et fantaisiste qui ne résiste pas à l’analyse : ~98% de la valeur de la production issue des entreprises est captée par les consommateurs [1].
Mais comme tous les seringués à cette idéologie mortifère, les collectivistes ne sont jamais pour moins de collectivisme. Surtout quand les données ne veulent pas coopérer.
Il faut voir le verre à moitié plein, c’est toujours moins pire que professeur.e.s
Sinon ça se dit accoucheur, ou maïeuticien si on veut faire intelligent.
Massacrer la langue sans rien apporter à part démontrer et imposer au lecteur son idéologie incohérente (et là je vise spécifiquement le scribouillard qui a osé cet étron linguistique) n’est pas « moins pire » : c’est pareillement incorrect.
Le
04/02/2019 à
17h
44
Ricard a écrit :
Pareil. Moins en moins envie de venir lire sur NXI…
Faut arrêter les conneries un peu.
C’est un lamentable manque de respect non seulement pour l’auteur qui est bien docteur comme l’indique sa thèse, mais surtout pour les lecteurs.
Et on ne peut même pas faire remonter de correction. Décevant, mais pas complètement étonnant.
7067 commentaires
Épinglé pour plagiat, Gad Elmaleh accuse CopyComic de contrefaçon
20/02/2019
Le 21/02/2019 à 08h 54
Le 21/02/2019 à 08h 39
Surtout ne pas discute du fond, reste bien dans le superficiel fallacieux histoire de ne pas trop faire d’effort intellectuel. " />
Le 20/02/2019 à 20h 37
(Picasso aurait dit) Les bons artistes copient, les grands volent.
Toute l’histoire de l’art résumée en quelques mots.
Loi contre la haine : quand le gouvernement rêve d’hygiène sur les réseaux sociaux
18/02/2019
Le 20/02/2019 à 16h 44
Le 20/02/2019 à 08h 21
Le 19/02/2019 à 20h 31
Le 19/02/2019 à 15h 44
Le 19/02/2019 à 15h 10
Le 19/02/2019 à 12h 01
1/ C’est précisément l’avantage : l’obtention de la « puissance financière » résulte rarement du choix de l’incompétence…
2/ Dans un cadre privé, la rémunération serait évidemment privée. Cela n’affecte en rien la question d’indépendance. Ou alors on devrait remettre à plat l’ensemble de la justice administrative.
Je ne suis pas exactement sure que le système US soit meilleur ou plus performant. Les jurys pop. par ex. rendent trop souvent des décisions émotionnelles aussi regrettables qu’une absence d’indépendance.
J’ai lu quelque part (impossible de retrouver le papier) que plus de 90 % des litiges commerciaux étaient réglés en arbitrage, lequel est essentiellement un système purement privé de recours qui apparemment fonctionne correctement (avec ses règles propres). Je ne vois pas en quoi la médiation serait moins performante ou moins indépendante quand rendue par des individus dans un cadre privé.
Le 19/02/2019 à 11h 24
Le 19/02/2019 à 11h 05
Qu’est-ce qui n’est pas critiqué en France ? Ces tribunaux n’ont même pas de budget, et là je te rejoins sur l’état lamentable de la Justice concernant son financement.
Pour le reste, pourquoi poser la question alors ? Un homme reste un homme, qu’il soit dans une institution ou une autre : son indépendance n’est pas plus garantie dans un cas comme dans l’autre, et ses motivations non plus. L’essentiel est d’avoir une formation appropriée : la concurrence fait le reste.
Parler du régalien en France fait un peu pitié alors que c’est précisément le régalien qui est délaissé par l’État qui préfère micromanager la société.
Giscard 2.0 ? Non, plutôt Friedman 3.0
Le 19/02/2019 à 10h 39
Le 18/02/2019 à 19h 04
La posture pseudo morale de toutes ces agitations politico-législative est basée sur un modèle simpliste de psycho-sociologie appelé GAM (ou General Aggression Model) qui présuppose que l’exposition répétée à des contenus violents pourrait favoriser l’émergence de pensées agressives et donc la survenue de schémas cognitifs, émotionnels puis comportementaux violents/agressifs.
Ce qui est ironique mais surtout révélateur est que sur la base de cette hypothèse, est que les personnes supportant cette pathologisation de jure des comportements sont les mêmes qui soutiennent, correctement cette fois, que les études sur les jeux violents ne montrent ni association ni encore moins d’augmentation entre exposition à la violence et un comportement agressif.
D’où on peut conclure que :
1/ la proposition du modèle est fausse ;
2/ les individus qui la soutiennent et la nient en même temps™ sont incohérents et dangereux.
Le 18/02/2019 à 17h 11
Le mot omis mais opératif est « LIBREMENT » : ne pas pouvoir s’exprimer LIBREMENT est en effet une atteinte à penser LIBREMENT.
On nous aurait menti quand on nous affirme que les réseaux sociaux sont les fabriques ultimes à l’individualisme forcené ?
A-t-on réfléchi au fait qu’il valait peut-être mieux laisser les individus s’exprimer en parole et en écrit plutôt qu’en acte ? Mais non, il vaut mieux afficher et légiférer sa fausse vertu et sa noblesse de façade, c’est tellement plus payant à court terme…
J’appelle cela de la pensée et législation gonzo.
Le 18/02/2019 à 16h 55
Une fois de plus, les coquins pondent une loi qui par le miracle de mielleux sentiments va faire disparaître le problème qu’ils ont eux-mêmes créés, encouragés et institutionnalisés. " />
Le droit à la libre expression parlée ou écrite est consubstantiel au droit de penser librement, c’est une valeur canonique. De la même manière qu’on ne peut accepter la physique en rejetant la gravité, on ne peut pas/plus penser librement si l’expression est arbitrairement limitée.
Mais c’est le but, diront-les plus téméraires…
Bruno Le Maire veut faire de la France « la première terre d’accueil des datacenters en Europe »
19/02/2019
Le 20/02/2019 à 16h 33
L’ « état d’esprit » n’est pas une métrique fiable ou même bien définie, et qui peut être facilement manipulée en plus.
Je pourrai disserter des pages, mais le plus simple est d’observer ailleurs (dans l’espace et dans le temps) pour y comparer ce qui fonctionne (relativement correctement, la perfection n’étant pas de ce monde). L’Histoire est aussi un bon guide comme l’a sagement recommandé G. Santayana.
Le 20/02/2019 à 07h 59
des échecs économiques et sociaux
Le 20/02/2019 à 07h 53
Le 19/02/2019 à 18h 28
Toutes choses qui ne sont manifestement pas plus possibles en France/UE.
Personnellement j’ai arrêté d’y croire : à moins de faire drastiquement le ménage dans le système politique et technocratique (celui de l’UE n’est qu’une copie), ce pays et l’UE sont destinés à périr, et le plus tôt sera le mieux.
Le 19/02/2019 à 15h 34
Le 19/02/2019 à 10h 50
Le sinistère de l’économie, cette fabrique à chômeurs et à fonctionnaires, veut tout et son contraire : quand on est le 1er créateur de taxes de la planète, sur la 1ère marche du podium pour la violence de l’extorsion fiscale quantitative, le 1er exportateur mondial de millionnaires et qu’on envisage sans honte aucune de taxer encore plus ceux-là mêmes qui créent ces fameux datacenters, on devrait surtout essayer de la boucler.
Reconnaissance faciale : la ville de Nice n’a pas reçu « d’autorisation » de la CNIL
19/02/2019
Le 20/02/2019 à 08h 28
Le 19/02/2019 à 18h 44
À Nice comme partout ailleurs où la fin justifie les moyens, les petits mensonges et inexactitudes ne portent pas à conséquence quand les preux chevaliers des temps modernes ont décidé que c’était pour le bien de la brave populace trop bête pour comprendre de toute manière.
Aucune justification avancée sur les buts poursuivis (à part le flan habituel), et surtout aucune obligation de mesure a posteriori des conséquences souvent inattendues et pires.
Nul doute que l’expérience sera un succès. Si ce n’est pas le cas, ce sera parce qu’elle n’aura pas été tentée à grande échelle. Comme si on ne nous avait jamais fait le coup. " />
Amazon vise 50 % des livraisons « zéro carbone » d’ici 2030
19/02/2019
Le 19/02/2019 à 15h 57
Bien sûr qu’il est dans le cycle, le cycle est seulement plus long dans cette branche-là. Ne doute pas que ce CO₂ a déjà fait partie de l’atmosphère bien avant, quand sa concentration était supérieure [1] d’un ordre de grandeur à celle actuelle, qui est toute proche de la limite basse de l’annihilation du règne végétal.
[1]https://pbs.twimg.com/media/B6eV3U2CMAAtUeJ.jpg
Le 19/02/2019 à 15h 26
J’ai dû mal m’exprimer : on ne voit dans l’historique de la concentration globale en CO₂ 1 les nombreuses variations de l’activité économique qui sont justement décrites dans les papiers mis en lien. C’est plus clair ?
Cette courbe fait plutôt penser à un dégazement continu avec des variations saisonnières caractéristiques, probablement en provenance des océans.
[1]https://e360.yale.edu/assets/site/mlo_full_record-copy_trimmed1500.png
Le 19/02/2019 à 12h 44
Les substrats fossiles ne sont pas moins naturels puisque dérivant du végétal (selon la théorie biogénique usuelle, de moins en moins valide cela dit). Le climat est bien capable d’évoluer tout seul, avec ou sans nous (sauf pour les croyants évidemment).
Si la théorie alarmiste était valide, on devrait voir a minima l’impact de la variabilité économique (qui dépend à 90% des énergies fossiles) dans les émissions de CO². Or on ne voit rien. Conclusion…
Sinon effectivement, que du BS marketing escrolo.
Visa et Mastercard augmenteraient la commission d’interchange en avril
19/02/2019
Le 19/02/2019 à 12h 35
« Anonymat », haine en ligne… et si on appliquait les textes en vigueur ?
13/02/2019
Le 16/02/2019 à 10h 14
Droit d’auteur : ce que prévoit l’article 13 en fin de négociations européennes
15/02/2019
Le 15/02/2019 à 17h 13
Pour la petite histoire, ces travaux furent menés par le professeur Pierre Sirinelli, Alexandra Bensamoun, professeur à l’université de Rennes 1. Tous deux siègent notamment au conseil d’administration de la RIDA, la revue internationale du droit d’auteur, présidée par David El Sayegh, secrétaire général de la SACEM. Dernier nom, Josée-Anne Benazeraf, avocate représentant régulièrement la SACEM devant les tribunaux.
Ou quand l’argent public finance la « recherche » puis la législation au profit d’intérêts commerciaux ou assimilés : définition du crapitalisme de connivence qui fait les beaux jours de la technostructure européenne et de son lobbyisme parasite. " />
Un faux profil sur un site de rencontres peut transformer un acte sexuel consenti en viol
15/02/2019
Le 15/02/2019 à 16h 53
Étonnant, j’ai toujours cru que c’était en fait l’énorme fiente d’une poule constipée éjectée à une vélocité suffisamment élevée pour vaincre le puits de gravité terrestre et atteindre derechef ce semble-il auguste visage qui m’est inconnu. M’aurais-je-t-on trompée ?
Sous pression politique, Amazon renonce à son quartier général de New York (HQ2)
15/02/2019
Le 15/02/2019 à 13h 56
1/ Ce n’est pas ce que dit la mairie (qui ne peut évidemment pas se désavouer elle-même).
2/ Ce sont toujours les individus qui payent (les entreprises ne sont que des intermédiaires fiscalement transparents).
3/ En l’occurrence, ces politiciens sont assez pervers, et les électeurs assez ignares et oublieux, pour faire passer une fois de plus une perte économique pour une victoire politique, ce qui n’a pas manqué d’arriver.
Le 15/02/2019 à 11h 40
Exemption fiscale accordée par les politiciens de la ville de New York eux-mêmes !
De plus selon le dernier sondage en date, une large majorité d’habitants étaient favorables au projet, dont 70% chez les Noirs et 80% chez les Hispaniques, minorités souffrant le plus du chômage.
Les 25 000 non embauchés ne vont pas sûrement voir leur qualité de vie augmenter, les finances de la ville non plus, et la ligne de métro restera très probablement engorgée puisque sans incitation pour l’améliorer. Sacré réussite !
On observe une fois encore l’extrême ignorance économique et la fausse compassion universelle de la politicaillerie gauchiste qui ne s’intéresse qu’à l’argent et aux taxes que pour mieux satisfaire son appétit pervers bassement électoraliste (et idéologique).
Le 15/02/2019 à 10h 19
Je comprends mieux maintenant l’intention initiale, qui n’avait aucun sens stratégiquement parlant, de couper le QG en 2.
Avec cette décision stupide, New York est maintenant connue comme une ville no-business-friendly.
Article 13 de la directive droit d’auteur : quand la France milite pour un filtrage généralisé
11/02/2019
Le 13/02/2019 à 08h 39
Le 12/02/2019 à 15h 28
Le 12/02/2019 à 09h 00
Un exemple de plus de la main-mise/connivence des lobbies et de la technostructure :
1/ remplacez « filtrage » par « interdiction » ;
2/ remplacez « lobby culturel » par « lobby escrolo » ;
3/ remplacez « culture » par « pesticide » ;
4/ remplacez « contenu culturel » par « glyphosate ».
Et voilà : vous obtenez le canevas de la méthode anti-démocratique de gouvernance en EURSS (basée sur le modèle français).
(Note : cela fonctionne aussi avec « lobby escrolo », « climat » et « CO₂ » et beaucoup d’autres.)
La taxe sur les GAFA, une taxe bien plus vaste
08/02/2019
Le 10/02/2019 à 18h 59
L’industrie gaz/pétrole non conventionnels s’est endettée comme tous les activités nécessitant beaucoup de capital au démarrage puis pour sa croissance rapide toujours en cours. C’est correctement abordé ici : cette industrie a restructuré sa dette lors du dernier crash, avec très peu de fermeture de compagnies, ce qui a été suivi par des gains de productivité importants (innovations tech.).
L’argent coule à flot pour une unique raison : la dette est peanuts face aux énormes profits ! Et l’une des raisons pour cela est due à la technique elle-même : 2-3 semaines du forage à la production, puis production autonome pendant des décennies à un coût ridiculement faible (le premier puits de gaz de schiste foré en 1998 produit toujours 20 ans plus tard).
Le 10/02/2019 à 09h 39
Et là : YouTube
Le 10/02/2019 à 09h 33
Le 10/02/2019 à 09h 32
1/ Où sont tous ces intoxiqués/morts depuis 1949, soit depuis 70 ans que la technique de fracking est opérationnelle ? Sur les millions de traitements effectués, aucun cas effectif de pollution de nappes n’a été constaté et rapporté (cf les rapports de l’EPA US). De rares problèmes peuvent survenir lors de la construction d’un puits quelconque [1], pas du fracking dont les opérations se situent bien plus profondément.
D’autant plus que le méthane s’échappe naturellement du sol et des sources d’eau depuis toujours [2], contrairement à ce que pourrait laisser penser la désinformation des documenteurs activistes [3].
2/ « on en parle ? » Pas plus ou pas moins que toutes les mines à ciel ouvert qui existent depuis qu’on mine, ou qu’on ouvre des carrières de pierres ou autres ou plus généralement qu’on exploite la Nature pour survivre partout dans le monde. Et alors ? Tu ne pourrais pas écrire tes inepties si tous les produits de ces mines n’existaient pas – il n’y aurait pas non plus d’éoliennes ou de panneaux solaires, ce qui ne serait pas plus mal vu le gaspillage de ressources que cela entraîne (mais là bizarrement on n’entend plus grand monde).
L’Inde à elle seule (mais tout comme la Chine et bien d’autres pays) a ouvert 52 mines de charbons ces 5 dernières années, cela relativise les enjeux et les trajectoires possibles, mais cela démontre par les actes que les gouvernements préfèrent alimenter l’économie en réduisant la charge énergétique, c’est à dire en favorisant la prospérité des individus, que des chimères climastrologiques.
Et c’est tant mieux pour les plus pauvres. Il ne faudrait vraiment pas avoir de cœur pour leur refuser l’accès à l’électricité bon marché et aux dividendes du progrès.
3/ Je défends surtout mon droit à exercer mon esprit critique et à cultiver mon scepticisme face aux torrents de propagande des escrologistes et de leurs marionnettes. On ne peut pas faire une analyse honnête en se contentant de ne pointer que « ce qui ne va pas en ce bas-monde », une posture avec 0 argument qui permet seulement au croyant d’afficher sa vertu et de soigner son égo pour maintenir son idéologie de la même manière qu’un alcoolique tient à sa bouteille.
Enfin je défends aussi mon droit à comparer, et quand je compare les résultats, j’observe manifestement qu’on sait mieux faire aux USA qu’en EURSS/France en dépit des nombreux donneurs de leçons.
[1]https://www.thetimes.co.uk/article/fracking-not-guilty-of-water-contamination-x7…
[2]http://archives.datapages.com/data/bulletns/1982-83/data/pg/0067/0003/0500/0539b…
[3] YouTube[4]https://timesofindia.indiatimes.com/india/government-opened-52-coal-mines-to-fue…
Le 09/02/2019 à 19h 04
L’activité d’exploitation pétrole/gaz de schistes n’a jamais été « mise de côté : Trump a supprimé les régulations pour l’exploitation sur les terrains fédéraux et autorisés les exportations de gaz liquide, ce qui a boosté l’activité. L’impact environnemental de cette activité est quasi nul de toute manière. Pour le charbon, il a supprimé les régulations débiles mises en place par Obama. Les USA ne sont pas maintenant le 1er producteur de pétrole et de gaz par hasard : le marché fait le travail quand il est libre.
Trump détaille dans le SOTU la palanquée de taxes supprimées : il y en a pour tout le monde.
Qu’on aime ou pas le personnage, sa politique de dérégulations et détaxations donne des résultats en terme concret de pouvoir d’achat amélioré, de chômage au plus bas et d’indépendance énergétique : qui peut en dire autant ailleurs, ici en particulier ? Il a réussi son MAGA que cela plaise ou non.
Le 08/02/2019 à 17h 12
Ponctionner, ponctionner, il en restera comme toujours plus de chômeurs (ou des fonctionnaires, ce qui revient au même).
On peut peut-être reprocher à Trump son approche bulldozer, mais le succès de son bilan économique (voir son discours SOTU) à base de baisses drastiques de taxes et impôts devait faire réfléchir les zétites locales. Non je plaisante, elles sont trop occupées à concevoir leurs nouvelles ponctions pour faire perdurer l’illusion.
CES 2019 : pas de révolution dans les objets connectés, mais un foisonnement nécessaire
08/02/2019
Le 08/02/2019 à 15h 37
La risée du salon a quand même été le débarquement massivement subventionné par vos taxes et impôts de la « French Tech » (un oxymore probablement). Néanmoins le ridicule total aura été évité grâce à l’heureuse absence du pipoplitique. Quant à savoir ce qu’il en restera, comme d’habitude le marché tranchera.
Consultation citoyenne : faut-il mettre fin au changement d’heure ? Si oui, dans quelles conditions ?
06/02/2019
Le 06/02/2019 à 10h 45
C’est avec ce genre de menu détail technique impossible à résoudre depuis plus de 20 ans sans commissions, votes, assemblées, consultations, rapports et tous les artifices possibles de l’immobilisme en mouvement que l’on se délecte d’avance de l’écroulement inéluctable de l’usine à gaz UE sous son propre inertie technobureaucratique, suivant en cela l’exemple de son modèle français.
« Grand débat » : l’UFC-Que Choisir propose d’allonger les garanties
05/02/2019
Le 05/02/2019 à 16h 45
UFC n’a plus aucune crédibilité pour demander quoi que ce soit en rapport avec l’escroquerie OP (ses communications alarmistes en contradiction avec ses propres résultats).
L’OP était un problème si urgent, si vaste, si complotiste, avec l’avenir de la planète en jeu… 4 ans après la loi, toujours rien, comme prédit. Et la planète va toujours aussi bien.
Le 05/02/2019 à 16h 35
Le 05/02/2019 à 16h 29
Le CNRS revient sur les collisions planétaires et leurs conséquences
04/02/2019
Le 04/02/2019 à 20h 57
Le 04/02/2019 à 17h 44
Le 04/02/2019 à 11h 57
« docteure » : c’est quoi cette horreur ?