Il n’était pas indépendant et travaillait pour le fonds D.E. Shaw & Co au moment de son mariage.
Il est toujours possible de changer de contrat de mariage (ça coûte moins cher que perdre 36 milliards de $), même si aux USA la possibilité de ce contrat dépend de l’État où tu résides ou que tu peux te faire avoir si tu ne le spécifies pas officiellement lors d’un déménagement IIRC.
Le
05/04/2019 à
09h
41
Travailler comme indépendant et ne pas faire de contrat de mariage en séparation de biens est une erreur.
A titre personnel, mon avis ne laisse aucun doute à la lecture de ce commentaire.
Il est heureux que tu n’aies aucun doute sur ton avis. À titre personnel bien entendu. " />
Sinon je l’ai rooté non pour une question de sécurité mais pour contourner les limitations techniques de l’interface : il était incompréhensible de ne pas pouvoir régler la densité d’affichage des icônes sur un téléphone. J’ai donc installé ce qu’il faut (ROM et autres) pour obtenir 7x7 icônes par écran au lieu des malheureuses 4x5 initiales. Je ne sais pas si Android a évolué sur ce point mais les iBidules que je vois autour de moi sont toujours aussi mal servis sur ce point.
Je peux te dire que le suivi des ROM tierces est tout aussi lamentable que celui d’Android d’origine même pour un téléphone aussi diffusé que le mien.
Le
04/04/2019 à
13h
32
La moitié du parc n’est donc plus en capacité de colmater les vulnérabilités.
Et ? Mon Samsung Note rooté (2011 ?) n’a jamais vu l’ombre d’un problème de sécurité ou d’anti-machintruc. Rester prudent(e) est la meilleure défense.
dont on mesure l’importance après l’attentat de Christchurch
Quand on sait que l’individu s’est revendiqué en tant qu’écofasciste, on se demande (rhétoriquement) si le but n’est pas plutôt de cacher les racines du mal.
On sent bien que les politiques et l’État profond sont en mode panique, dépassés par la technologie que s’approprient « les petites gens » hors de l’ancien système qui tire à tout va (au propre comme au figuré) pour protéger ses intérêts et privilèges, ses leviers d’actions et ses prébendes.
Nous voilà dans le domaine de l’incantation religieuse, ce qui n’étonne guère.
En lançant une campagne invitant les citoyens à s’inscrire sur les listes électorales, un gouvernement en mal de popularité pourrait cibler des catégories de population où il serait certain, études à l’appui, de cibler un public potentiellement favorable.
Qui irait penser cela, puisqu’on vous dit que voter c’est pour votre bien ! Alors que de plus en plus d’individus s’aperçoivent que c’est surtout pour vos biens…
perso je vois un magnifique exemple d’une société privée qui prend une décision unilatérale pour autoriser ou non la diffusion d’un texte…
Mon brave carbier, ce que tu vois comme « un magnifique exemple » n’est en fait qu’une décision parmi des millions d’autres qui sont prises quotidiennement par tous les propriétaires de propriétés privées qui appliquent leurs droits sur leur territoire, fut-il virtuel. Tout propriétaire a le droit de refuser l’entrée des barbares chez lui.
Cela peut te sembler incompréhensible à ton niveau, mais le droit de propriété privée préempte tout le reste (ou presque) pour toutes les personnes, y compris morales.
Il aurait plutôt fallu inscrire au fronton de la république : Liberté, Propriété, Bisous. Ça aurait été clair pour tout le monde.
Le
02/04/2019 à
16h
41
« Twitter ne sait pas faire ça aujourd’hui, et a donc décidé d’avoir une politique complètement jusqu’au-boutiste qui est de couper toute campagne dite de nature politique » a expliqué le Service d’Information du Gouvernement à l’Agence France Presse.
Rions aussi un bon coup sur le service de désinformation du gouvernement qui se plaint à un autre service de propagande du gouvernement afin d’alerter l’armée de Pravda subventionnées du gouvernement !
Sauf que les esclaves étaient des humains et que la loi n’était pas la même pour eux…
La loi n’est pas magiquement la même pour tous, elle est la même pour tous quand cela est imposé, sans quoi la “loi” du plus fort s’impose (or ce n’est pas une loi juste l’état naturel).
Quand la loi n’est pas appliquée la situation est la même que si elle n’existe pas. C’est bien la preuve qu’une autorité est nécessaire pour la faire exister.
“le villageois a protesté et a mentionné une interdiction” pourrait être une blague sans conséquence racontée plus tard par la horde de pilleurs, un épiphénomène.
Naturellement, oui, le sentiment de propriété existe, tout comme la tentation du vol quand il est possible. Beaucoup d’autres lois et règles n’ont rien d’universelles et sont des ajustements techniques pour permettre à la société de fonctionner.
L’exemple des Indiens (cf mon lien plus haut) montre qu’il est tout à fait possible d’établir des droits et les faire respecter sans loi et sans autorité. Il n’y a rien besoin d’autre pour démonter ta position de principe
De plus le point concernait plutôt la légitimité de l’autorité, arbitrairement et fort opportunément obtenue par le biais de « consentement » non explicite (c’est à dire un oxymore), plutôt que son existence en tant que telle.
1/ Ce n’est pas « ma conception » mais une description de la réalité historique et de la logique : on ne peut formaliser des lois que si des droits sont d’abord définis. Cela me semble tomber sous le sens.
2/ L’esclavage n’est pas un contre-exemple bien au contraire : les esclaves n’étant pas considérés comme humains ils n’avaient donc aucun droit. Ces droits ne tombent pas du ciel : ils sont l’expression (des conséquences) d’une réalité sociale et donc biologique qu’on retrouve dans plusieurs espèces animales à hiérarchie de dominance, comme certains groupes de primates qui défendent leur territoire de la même manière qu’un humain défend sa propriété.
3/ « opposable à tous » signifie que la loi est la même pour tous. Cela n’implique rien sur les modalités d’application mais requiert que chaque individu y ait consenti au préalable (sinon ce n’est juste qu’un diktat arbitraire).
Il n’y a pas besoin d’aller en Afrique : il existe tous les jours quantité d’infractions à la loi qui ne sont pas punies même avec l’existence d’une autorité et de forces de l’ordre : il suffit de se rendre dans un commissariat de police pour déposer plainte pour s’en convaincre. Avec ta logique on pourrait conclure que la loi n’existe tout simplement pas puisque l’existence même d’une autorité ne prévient nullement la commission de faits qui y sont contraires. C’est évidemment ridicule : une fois formalisée et explicitement consentie la loi existe quels que soit la manière dont elle est appliquée.
4/ Le problème de l’autorité est celui de sa légitimité. La forme actuelle n’en a aucune : elle n’est qu’une fiction artificiellement maintenue par la force et l’usage de la violence armée. Le jour où il sera reconnu et inscrit dans le marbre que les individus ont le droit (et le devoir) de posséder les moyens de se défendre contre les abus potentiels de cette autorité autoproclamée, la balance des droits sera restaurée et la légitimité de l’autorité pourra être négociée point par point.
Le
01/04/2019 à
21h
05
La liberté se gagne et se conserve une révolution à la fois. S’il faut renverser les pouvoirs et leur marionnettes pour y parvenir, cela se fera. Anonymement ou pas. Tôt ou tard.
En attendant, chacun est libre de choisir son camp et ses méthodes.
Et pour ta dernière phrase, si les gens ne font pas la différence, c’est qu’il n’y a en pas (ou plus) à faire. À moins bien sûr de se croire au-dessus de cette « foule de gens », auquel cas mon soit disant « argument d’autorité auto-validant » a certainement plus de poids que ton omniscience factice condescendante.
Le
01/04/2019 à
17h
35
C’est le contraire : les droits sont (comme) des axiomes (c’est à dire des propositions qu’on pose comme vraies a priori sans nécessité de les démontrer — entre autre parce que c’est logiquement impossible) qui sont inscrits dans la loi pour les rendre visibles, lisibles et opposables à tous et par tous.
En d’autres termes, c’est parce que les droits préexistent que la loi a été formalisée. C’est le cas de tous les systèmes légaux connus (droits de propriété -> lois commerciales, droits de l’Homme -> Common laws, etc.). Plus simplement, la législation est soumise à la Constitution qui liste les droits (il existe même un Conseil pour cela).
Cet état de fait n’implique aucunement l’existence d’une quelconque « autorité » décrétée : la manière actuelle violente et centralisée n’est que la continuation historique de l’appropriation des pouvoirs par les mêmes groupes pour les mêmes motifs d’intérêts.
“The world conflict of today is the conflict of the individual against the state, the same conflict that has been fought throughout mankind’s history. The names change, but the essence — and the results — remain the same, whether it is the individual against feudalism, or against absolute monarchy, or against communism or fascism or Nazism or socialism or the welfare state.”
— Ayn Rand
“The State has never been created by a “social contract”; it has always been born in conquest and exploitation.”
— Murray Rothbard. Anatomy of the State
“Tous les grands gouvernements du monde — ceux d’aujourd’hui et ceux d’hier — n’ont été que des bandes de voleurs, associés afin de piller, de conquérir et de réduire leurs frères humains en esclavage.”
— Lysander Spooner
Le
01/04/2019 à
16h
46
wagaf a écrit :
Des règles communes signifie une autorité pour les faire respecter donc une forme d’État ou au moins de force ayant droit a la violence pour les faire respecter. Et cette force doit bien être nourrie ce qui suppose des taxes..
C’est la théorie régalienne : en pratique, on peut constater quotidiennement et à tous les niveaux d’analyse l’étendue du fiasco d’avoir été contraints à se voir retirer nos droits.
D’où l’impératif moral de tout faire pour ne pas se voir dépouiller de celui de s’en plaindre haut et fort sans se voir écraser par les pouvoirs en place, c’est à dire de pouvoir s’exprimer anonymement.
Le
01/04/2019 à
14h
30
Ça donne la possibilité aux pouvoirs en place de consolider leur mainmise sur les nouveaux canaux de diffusion de l’information qu’ils ne contrôlent pas : l’objectif n’est plus d’interdire à la mode soviétique (bien trop voyant), mais d’insidieusement inciter à l’autocensure les positions qui ne sont pas prescrites par ces pouvoirs et donc de plus facilement traquer et réprimer les individus « déviants » si jamais ils leur prenaient quand même l’envie de se positionner publiquement sur un sujet qui fâche.
L’anonymat est un formidable outil pour la liberté d’expression : l’attaque de Jupiter et de ses larbins sur ce sujet n’est pas un hasard.
Bien sûr, on va prétendre comme d’habitude que la nation (ou tout autre fiction) est en péril face aux hordes qui expriment légitimement leur mécontentement.
Cela ne trompe plus personne.
Le
01/04/2019 à
14h
17
Le marché existe bien dans la jungle pour la bonne et suffisante raison que c’est le système global et normal de coopération volontaire des individus entre eux établi selon des règles communes connues par tous, ce qui est l’exact opposé de l’imposition par la violence (= la jungle), fût-elle légale, de diktats d’une divinité fictionnelle prétendument omnisciente (l’État) devant laquelle se prosternent encore des croyants bêlants.
Le
01/04/2019 à
07h
53
wagaf a écrit :
Ce fonctionnement a beaucoup d’avantages mais fait émerger un certain nombre de phénomènes indésirables: l’absence de filtre favorise les idées les plus choquantes et simplistes, favorise les phénomènes de foule (qui peut vite devenir une meute violente, y compris IRL) et permet très facilement un noyautage ou des manipulations par à peu près n’importe qui dans le monde (y compris par des groupes n’ayant pas du tout les même intérêts que la population française).
On ne peut pas exiger de la société un certain nombre de protections et d’avantages (à peu près personne ne peut survivre seul dans la jungle) tout en refusant une forme de responsabilité individuelle. La vérification de l’identité réelle par les plateformes me semble donc être une mesure normale de bon sens, au même titre qu’une banque va vérifier notre identité pour ouvrir un compte.
Groupes dont font partie les élites qui ont le pouvoir et les moyens d’imposer leur volonté par la violence légale, la législation répressive et la désinformation continue quand cela leur chante, ce qui ressemble étrangement à la « jungle » et sa loi du plus fort…
Se faire imposer d’en haut une surveillance généralisée en montrant patte blanche n’est pas une « forme de responsabilité individuelle », c’est sa négation et antinomie pures. Surtout quand cela concerne les relations contractuelles entre entités strictement privées : accepter cela est la porte ouverte à toutes les dérives liberticides.
L’objectif est bien évidemment de bâillonner l’expression et museler les revendications légitimes des individus soumis à l’oppression politico-idéologique des pouvoirs dépassés par la technologie.
La réelle (et seule) responsabilité individuelle consiste à refuser en bloc ces errements totalitaires, quels que soient le mépris, l’arrogance et la propagande affichés par ces élites et leurs marionnettes.
C’est l’équation qui est qualifiée, pas son auteur.
Le
01/04/2019 à
14h
02
Les responsabilités pour l’établissement du système actuel sont partagées : évidemment le côté commercial a été préempté par des entrepreneurs qui profitent des lois (les droits de PI) en vigueur avec un joli marché biface. Difficile de les en blâmer, l’espérance de profit est une formidable motivation.
Les politiques, avec l’aide de scientifiques, ont propagé des mythes pour récolter et drainer les fonds publics même si l’impact sociétal (je ne parle même pas de rentabilité économique) en est plus que discutable.
Il est évident aussi que le prestige pour un scientifique sera de publier dans Nature ou Science plutôt que dans un canard quelconque : le facteur d’impact est devenu la mesure de la réussite et plus il sera élevé plus le financement futur sera important.
Si on prétend que la recherche est publique, alors ses résultats devraient nécessairement être publics. Qu’il en soit autrement montre simplement que le système a été détourné pour les intérêts des seuls participants.
Plus généralement, on touche ici le problème de l’allocation de ressources limitées dans un domaine où l’information est inconnue et sa pertinence (sociétale, économique) difficilement évaluable.
Ce dont on est sûr est que le seul qui soit berné dans l’affaire et qui ne récolte rien est comme toujours le (cochon de) taxé/imposé qui finance toute cette mascarade.
Le
01/04/2019 à
13h
40
Ta dernière phrase confond le territoire avec la carte : il ne visait pas la science mais les scientifiques. Réduire la science aux scientifiques (même intelligents, ce qui est une espèce de plus en plus rare) est osé (euphémisme)…
Le
30/03/2019 à
16h
30
Je sais bien, c’est une des raisons pour lesquels j’ai préféré faire autre chose après le doctorat. Et puis passer 80% de son temps à faire de la paperasse pour soi ou les autres ne me semblait pas la meilleure façon de valoriser le mien.
Les obligations sont toutes relatives : il est toujours possible d’avoir un reprint en demandant à l’auteur et beaucoup mettent leurs publis en ligne sans problème.
Le
30/03/2019 à
13h
14
Juger sur la qualité des revues en se disant qu’elles publient sur le même critère est encore à peu près compréhensible et convenable.
Dans les labos où j’étais la probabilité de recrutement était inversement proportionnelle à la hauteur de la microjupe de rigueur (quand on en mettait !). Dès le printemps, c’était l’ouverture de la chasse avec concours permanent « raz-la-moule et mamelles en liberté » pour séduire le mandarin et les DR. Évidemment en été la mode était en full no string… C’était le bon temps !
Le
30/03/2019 à
11h
00
J’entends bien, mais le principe même des droits de propriété intellectuelle (PI) garantis par la loi est d’établir des marchés captifs sur une ressource (information) qui n’est ni rare ni coûteuse à reproduire. « L’abus » dérive directement de la loi.
Le
30/03/2019 à
10h
51
Je suis entièrement d’accord et à la virgule près (surtout la dernière ligne parce que j’en ai été) !
Mais qui prendra l’initiative de faire disparaître les droits de PI qui sont la plaie (et la base) de ce système ?
Le
30/03/2019 à
10h
42
Je répondais aux inexactitudes et n’avais pas la prétention à autre chose. D’autant plus que les « circonstances » dérivent elles-aussi des droits de PI, que j’aborde.
L’expression « revues prédatrices » existe certes, mais est tout à l’opposé de ce qu’il indique. Dans son esprit profit = prédation (ce qui est semi-débile, mais passons), d’où mon expression finement exagérée de « terrorisme sémantique » dont l’ironie t’a échappée. ¯\_(ツ)_/¯
Le
30/03/2019 à
09h
13
Il y a des inexactitudes.
Aucun chercheur n’a jamais été obligé de publier chez Elsevier ou ailleurs. Ces éditeurs, comme leur nom l’indiquent, font un travail d’édition : l’évaluation de la scientificité des articles est confiée à des pairs du même domaine (d’où le nom peer-reviewing).
Les entreprises d’édition ne sont pas « prédatrices » : encore du terrorisme sémantique qui ne veut rien dire et est faux : elle font un travail d’édition et de mise en avant des publications.
On peut ne pas être d’accord avec ce modèle de fonctionnement, mais ce modèle dérive explicitement des droits de PI qui sont garantis par la loi. Donc si tu veux t’attaquer à ce modèle, vise d’abord correctement : Why Sci-Hub is illegal, and what you can do about it
Cela fait 20° d’écart à la normale, ce qui est quand même beaucoup pour un 1er avril…
Sur le sujet, Zuckerberg va dans le sens du vent politique : l’acceptation voire la demande de régulation des plateformes va les « officialiser », les cimenter. Comme il le reconnaît dans son témoignage devant le Congrès US en 2018, le coût des régulations empêchera de nouveaux entrants de concurrencer l’industrie en place.
L’épisode illustre surtout l’imbécilité de ce dernier concept fourre-tout à définition variable qu’on ressort quand cela arrange ou pas.
L’Europe n’a jamais été conçue que pour servir les intérêts fromagers avant toute chose, les autres l’ont bien compris maintenant, et donc elle n’est qu’un marché d’échange de faveurs. Et ceux qui ne sont plus d’accord partent et nous n’avons plus grand chose à offrir.
Quand l’Allemagne aura décidé que sa période probatoire avant son retour dans la civilisation est terminée, la France pourra demander son annexion volontaire et sa mise sous protectorat économique allemand à moins de vouloir péricliter définitivement.
C’est la meilleure chose qui pourrait nous arriver. Pour l’intérêt général bien sûr !
1/ Le schéma indique clairement que la thèse du réchauffement en haute atmosphère est fausse (et cf ton propre commentaire) : les données empiriques falsifient la théorie. Deal with it!
Objet : pour éviter ou terminer tout débat en ligne et rester dans ta zone de confort idéologique, il suffit d’invoquer le mot magique adapté à la situation :
si tu ne veux pas/plus discuter d’évènements ou de rapprochements troublant, crier au « complot(iste) » permet de dévier le problème en tentant de faire passer à peu de frais le contradicteur pour un parano affabulateur ;
si tu es ignare sur un sujet scientifique quelconque, le plus simple est de te mettre du côté de la majorité : « consensus » fera l’affaire ;
si tu ne veux pas/plus discuter car sans/à bout d’argument face à l’oppression cognitive et la profondeur intellectuelle de l’adversaire, le mot magique est « troll » (surtout si tu es un maton) ;
Le
25/03/2019 à
20h
49
1/ Quel schéma ? Si c’est le 1er du commentaire précédent, les source sont indiquées, il suffit de lire.
2/ Ce n’est pas une réfutation du tout, c’est sans rapport : que vient faire l’ozone ici ? Mystère.
3/ Il s’est passé 20 ans entre 1992 et 2012, la physique a évolué, même si le GIEC non. Je te le fais à ta manière : Visiblement du gouv fr, soit ces données sont sorties de leur contexte, soit elles sont datées/périmées. Facile.
4/ Je n’y peux rien si le niveau est si faible, vois cela avec ceux qui votent.
Le
25/03/2019 à
14h
03
Les conséquences des phénomènes radiatifs sont différentes suivant les longueurs d’onde d’absorption/émission : les graphiques ne sont pas un « habillage » mais des données empiriques pour les comprendre.
La théorie réchauffiste prédit que pour compenser un supposé phénomène d’augmentation des températures en basse altitude et rétablir l’équilibre thermique, une élévation de température (un hot spot) en haute atmosphère doit survenir, mais on ne l’observe pas :http://jonova.s3.amazonaws.com/graphs/hot-spot/hot-spot-model-predicted.gif
La théorie est falsifiée…
PS : même si « l’équilibre avec le soleil » est une supposition non physique (le système climatique est hors équilibre), on est bien obligé de faire avec pour la réfuter.
Le
25/03/2019 à
11h
36
L’« effet de serre » proprement défini, le réel, celui qui fonctionne par suppression de la convection dans toutes les fabriques à légumes/fruits/fleurs dont on augmente la productivité par injection massive de CO2 (soit dit en passant), n’a physiquement rien à voir avec ce qui se passe dans l’atmosphère.
D’où le nom de substitution : « effet atmosphérique ». Parce que les caractéristiques de l’atmosphère dérivent des propriétés des gaz la composant.
Si la température en haut des arbre est la ~même qu’au niveau du sol, cela démontre seulement l’efficacité de la convection à élever et mélanger la chaleur.
Pour le reste, ta terminologie est déficiente tout comme ta compréhension des phénomènes radiatifs :
Je n’ai pas trop envie d’entamer une discussion sur un sujet aussi vaste et qui va de toute manière dégénérer (au mieux). Comme dit, je n’ai pas encore déterminé si les droits de PI sont une bonne chose ou pas. La théorie économique indique que non (il n’y a pas de problème de rareté), mais je réserve mon jugement jusqu’à plus amples informations.
(Note : tes réponses concernant divers sujets annexes ci-dessus laissent à penser que tes connaissances sont partielles et partiales et loin de refléter l’état de la Science (au sens large). Un ex. : l’effet de serre - qu’on devrait appeler effet atmosphérique - se produit à très faible altitude, car près de 100% des radiations émises par le sol sont absorbées dans les 1ers mètres au-dessus, et c’est très facile à démontrer. Il est toujours préférable de savoir de quoi on parle quand on discute.)
Le
22/03/2019 à
13h
09
Doublon
Le
21/03/2019 à
16h
16
1/ Pourquoi ne pas laisser ce problème de rémunération dans les mains des créateurs ? Qui devrait en décider sinon eux-mêmes ? Les autres secteurs économiques se débrouillent bien pour inventer des moyens de faire du profit, pourquoi pas les créateurs ? Note que ma question est toute rhétorique : la réponse est qu’il est bien plus facile de disposer d’une rente de situation (droits PI) garantie par la force et payée par le public (par dessus le marché).
2/ Il suffit de regarder comment fonctionne un marché (suffisamment libre/ouvert) pour voir que ton second point est hors réalité : la concurrence augmente la qualité, et les moins qualitatifs finissent par disparaître.
Le seul arbitre valable et compétent est le client : il vote avec son porte-monnaie.
Le
21/03/2019 à
12h
57
C’est possible (!). Le sujet est vaste et complexe, les données pour ou contre sont souvent partiales (et partielles), difficile de se faire une opinion seulement sur une base empirique.
Le
21/03/2019 à
12h
27
Êtes-vous un fervent défenseur des intérêts privés protégeant les droits de propriété intellectuelle ? Dans ce cas il s’agit d’une bonne nouvelle. Préférez-vous défendre l’intérêt public au travers de l’effectivité des libertés publiques ? Dans ce cas, il y a vraiment de quoi être inquiet.
Il manque la 3ème possibilité : « Êtes-vous un fervent défenseur des intérêts privés et du public rejetant les droits de propriété intellectuelle ? »
Bien d’accord! C’est pour ça que je donnais l’exemple des US.
Et c’est toi qui a parlé de coûts… en insistant sur le fait qu’ils seraient trop élevés en France. Pas moi.
Comparer avec les USA est sans rapport. Je comparais les surcoûts publics avec les coûts plus bas privés versus qualité ceteris paribus : dans tous les domaines la production privée l’emporte. La santé n’est pas un secteur de production plus particulier qu’un autre.
Tiebor a écrit :
Pas d’accord. Un tel indicateur est subjectif et très discutable. Il est indispensable, mais ça ne peut pas être le seul indicateur.
La subjectivité disparaît quand le sondage est fait correctement. Il est discutable parce qu’il ne va pas dans ton sens.
Note que je dis pas que le système de santé français est mauvais : il y a pire, mais il y a mieux. Il se dégrade surtout par trop d’étatisation/centralisation/administration.
Etc. En plus on peut varier d’une année sur l’autre, ce qui fait que le Kamdubien peut multiplier à l’infini ses petites moments festifs payés avec tes impôts pour t’apprendre le vivrensemble.
Écrire avec un peu d’air devrait être possible, même pour un barbu.
La nationalisme est dépassé :
Je propose que la France se prépare dès maintenant et se place dès l’année prochaine sous protectorat économique allemand en échange de la libéralisation immédiate et totale (sauf la police/armée pour une période de transition avant privatisation) de tous les marchés de ce nouveau pays, la République fédérale libre européenne.
La suppression des banques centrales (l’€ sera renommé en Euro Mark) et la disparition pure et simple du complexe et mille-feuille politico-techno-bureaucratique étatique français (et allemand) seront actés au premier jour. Hors État minimal, seuls 2 niveaux administratifs sont conservés : communes, lands/régions.
Le système politique est de fait simple et minimal, en un mot symbolique.
La déconnexion de l’élite autoproclamée est telle qu’un problème majeur comme la formation des futurs cadres de l’État, qui ne vont rien de moins que décider de la future politique économique, va seulement, peut-être, enfin être traité et on va possiblement faire en sorte qu’ils aillent « sur le terrain ».
Attention, pas en entreprises, il ne faudrait pas bousculer les habitudes…
C’est juste grotesque [1]. CPEF
Pour lutter contre la déconnexion réelle ou supposée des technocrates, le gouvernement aimerait voir évoluer la formation de l’Ecole nationale d’administration (ENA), dont beaucoup sont issus. Franceinfo affirme que le ministère de l’Action et des Comptes publics cherche le moyen d’obliger les meilleurs élèves de l’ENA à aller sur le terrain pendant plusieurs années, durant leur formation. Si l’expérience s’avère concluante, ils pourront intégrer les grands corps de l’Etat, l’Inspection des finances, la Cour des comptes ou le Conseil d’Etat.
Je n’ai pas de position sur l’évènement, n’étant pas dans l’espace-temps passé pour en juger correctement.
Le pitoyable niveau en économie est exactement celui de la glorification permanente de l’étatisme par nos glorieux leaders, qu’on fait passer pour de l’éducation à coûts/coup de réformes sur réformes : on fait croire que prendre à Pierre pour donner à Paul permet à tout le monde de s’enrichir pendant qu’on chasse et ruine le substratum qui crée la richesse (les riches) qu’on n’arrive même plus à trouver en taxant les derniers qui produisent : il ne faut pas s’étonner que l’appauvrissement généralisé génère « quelques tensions » quand les seuls sentiments permis sont l’envie et de la jalousie.
On récolte seulement les graines qu’on a semé.
Le
21/03/2019 à
13h
48
Tu as découvert que la relativité existait quant à la définition naturelle de la liberté avec quelques siècles de retard, je ne te félicite pas. Maintenant, intègre l’information incroyable que cette relativité ainsi définie représente 100% de ladite liberté.
~40% des Français sont en faveur d’une révolution, je ne fais qu’imaginer sous quelle forme elle se déroulera [1].
La liberté d’expression n’est ni divisible ni négociable : soit elle est une et entière, soit elle n’existe pas. On a pendu des sauriens démagos réclamant ou supportant ce genre de débilité totalitariste trendy mais puant pour moins que cela. La révolution guette.
7067 commentaires
Divorce des Bezos : Jeff conserve 75 % des actions Amazon et l’intégralité des droits de vote
05/04/2019
Le 05/04/2019 à 13h 07
Le 05/04/2019 à 09h 41
Travailler comme indépendant et ne pas faire de contrat de mariage en séparation de biens est une erreur.
Taxe sur le numérique : les États-Unis demandent à la France de rebrousser chemin
05/04/2019
Le 05/04/2019 à 09h 46
Taxer spécifiquement est l’équivalent d’une déclaration de guerre commerciale. Le retour de bâton devrait être sévère.
Android : un bilan de sécurité 2018 positif, mais imparfait
04/04/2019
Le 04/04/2019 à 17h 18
Le 04/04/2019 à 13h 32
La moitié du parc n’est donc plus en capacité de colmater les vulnérabilités.
Et ? Mon Samsung Note rooté (2011 ?) n’a jamais vu l’ombre d’un problème de sécurité ou d’anti-machintruc. Rester prudent(e) est la meilleure défense.
Loi Fake News : Twitter autorise finalement les publicités encourageant la participation électorale
04/04/2019
Le 04/04/2019 à 13h 43
dont on mesure l’importance après l’attentat de Christchurch
Quand on sait que l’individu s’est revendiqué en tant qu’écofasciste, on se demande (rhétoriquement) si le but n’est pas plutôt de cacher les racines du mal.
Loi Fake news : 6 questions-réponses sur le bras de fer entre le gouvernement et Twitter
03/04/2019
Le 03/04/2019 à 10h 55
Amen.
On sent bien que les politiques et l’État profond sont en mode panique, dépassés par la technologie que s’approprient « les petites gens » hors de l’ancien système qui tire à tout va (au propre comme au figuré) pour protéger ses intérêts et privilèges, ses leviers d’actions et ses prébendes.
Et on s’étonne que ~40% de la population souhaite une révolution.
Le 03/04/2019 à 10h 45
Le vote est sacré
Nous voilà dans le domaine de l’incantation religieuse, ce qui n’étonne guère.
En lançant une campagne invitant les citoyens à s’inscrire sur les listes électorales, un gouvernement en mal de popularité pourrait cibler des catégories de population où il serait certain, études à l’appui, de cibler un public potentiellement favorable.
Qui irait penser cela, puisqu’on vous dit que voter c’est pour votre bien ! Alors que de plus en plus d’individus s’aperçoivent que c’est surtout pour vos biens…
#OuiJeNeVotePas
Loi Fake News : Twitter refuse les campagnes politiques en France, dont celle du gouvernement
02/04/2019
Le 02/04/2019 à 21h 43
Le 02/04/2019 à 16h 41
« Twitter ne sait pas faire ça aujourd’hui, et a donc décidé d’avoir une politique complètement jusqu’au-boutiste qui est de couper toute campagne dite de nature politique » a expliqué le Service d’Information du Gouvernement à l’Agence France Presse.
Rions aussi un bon coup sur le service de désinformation du gouvernement qui se plaint à un autre service de propagande du gouvernement afin d’alerter l’armée de Pravda subventionnées du gouvernement !
#Flock s’évapore
30/03/2019
Le 02/04/2019 à 16h 34
Le 02/04/2019 à 08h 31
À titre d’exemple purement humain et bien documenté (chez les Indiens) de la manière dont peut s’établir le droit de propriété (en réponse aux réalités économiques), voir pages 351-353 de H. Demsetz, 1967. Toward a Theory of Property Rights.
Le 02/04/2019 à 08h 05
1/ Ce n’est pas « ma conception » mais une description de la réalité historique et de la logique : on ne peut formaliser des lois que si des droits sont d’abord définis. Cela me semble tomber sous le sens.
2/ L’esclavage n’est pas un contre-exemple bien au contraire : les esclaves n’étant pas considérés comme humains ils n’avaient donc aucun droit. Ces droits ne tombent pas du ciel : ils sont l’expression (des conséquences) d’une réalité sociale et donc biologique qu’on retrouve dans plusieurs espèces animales à hiérarchie de dominance, comme certains groupes de primates qui défendent leur territoire de la même manière qu’un humain défend sa propriété.
3/ « opposable à tous » signifie que la loi est la même pour tous. Cela n’implique rien sur les modalités d’application mais requiert que chaque individu y ait consenti au préalable (sinon ce n’est juste qu’un diktat arbitraire).
Il n’y a pas besoin d’aller en Afrique : il existe tous les jours quantité d’infractions à la loi qui ne sont pas punies même avec l’existence d’une autorité et de forces de l’ordre : il suffit de se rendre dans un commissariat de police pour déposer plainte pour s’en convaincre. Avec ta logique on pourrait conclure que la loi n’existe tout simplement pas puisque l’existence même d’une autorité ne prévient nullement la commission de faits qui y sont contraires. C’est évidemment ridicule : une fois formalisée et explicitement consentie la loi existe quels que soit la manière dont elle est appliquée.
4/ Le problème de l’autorité est celui de sa légitimité. La forme actuelle n’en a aucune : elle n’est qu’une fiction artificiellement maintenue par la force et l’usage de la violence armée. Le jour où il sera reconnu et inscrit dans le marbre que les individus ont le droit (et le devoir) de posséder les moyens de se défendre contre les abus potentiels de cette autorité autoproclamée, la balance des droits sera restaurée et la légitimité de l’autorité pourra être négociée point par point.
Le 01/04/2019 à 21h 05
La liberté se gagne et se conserve une révolution à la fois. S’il faut renverser les pouvoirs et leur marionnettes pour y parvenir, cela se fera. Anonymement ou pas. Tôt ou tard.
En attendant, chacun est libre de choisir son camp et ses méthodes.
Et pour ta dernière phrase, si les gens ne font pas la différence, c’est qu’il n’y a en pas (ou plus) à faire. À moins bien sûr de se croire au-dessus de cette « foule de gens », auquel cas mon soit disant « argument d’autorité auto-validant » a certainement plus de poids que ton omniscience factice condescendante.
Le 01/04/2019 à 17h 35
C’est le contraire : les droits sont (comme) des axiomes (c’est à dire des propositions qu’on pose comme vraies a priori sans nécessité de les démontrer — entre autre parce que c’est logiquement impossible) qui sont inscrits dans la loi pour les rendre visibles, lisibles et opposables à tous et par tous.
En d’autres termes, c’est parce que les droits préexistent que la loi a été formalisée. C’est le cas de tous les systèmes légaux connus (droits de propriété -> lois commerciales, droits de l’Homme -> Common laws, etc.). Plus simplement, la législation est soumise à la Constitution qui liste les droits (il existe même un Conseil pour cela).
Cet état de fait n’implique aucunement l’existence d’une quelconque « autorité » décrétée : la manière actuelle violente et centralisée n’est que la continuation historique de l’appropriation des pouvoirs par les mêmes groupes pour les mêmes motifs d’intérêts.
“The world conflict of today is the conflict of the individual against the state, the same conflict that has been fought throughout mankind’s history. The names change, but the essence — and the results — remain the same, whether it is the individual against feudalism, or against absolute monarchy, or against communism or fascism or Nazism or socialism or the welfare state.”
— Ayn Rand
“The State has never been created by a “social contract”; it has always been born in conquest and exploitation.”
— Murray Rothbard. Anatomy of the State
“Tous les grands gouvernements du monde — ceux d’aujourd’hui et ceux d’hier — n’ont été que des bandes de voleurs, associés afin de piller, de conquérir et de réduire leurs frères humains en esclavage.”
— Lysander Spooner
Le 01/04/2019 à 16h 46
Le 01/04/2019 à 14h 30
Ça donne la possibilité aux pouvoirs en place de consolider leur mainmise sur les nouveaux canaux de diffusion de l’information qu’ils ne contrôlent pas : l’objectif n’est plus d’interdire à la mode soviétique (bien trop voyant), mais d’insidieusement inciter à l’autocensure les positions qui ne sont pas prescrites par ces pouvoirs et donc de plus facilement traquer et réprimer les individus « déviants » si jamais ils leur prenaient quand même l’envie de se positionner publiquement sur un sujet qui fâche.
L’anonymat est un formidable outil pour la liberté d’expression : l’attaque de Jupiter et de ses larbins sur ce sujet n’est pas un hasard.
Bien sûr, on va prétendre comme d’habitude que la nation (ou tout autre fiction) est en péril face aux hordes qui expriment légitimement leur mécontentement.
Cela ne trompe plus personne.
Le 01/04/2019 à 14h 17
Le marché existe bien dans la jungle pour la bonne et suffisante raison que c’est le système global et normal de coopération volontaire des individus entre eux établi selon des règles communes connues par tous, ce qui est l’exact opposé de l’imposition par la violence (= la jungle), fût-elle légale, de diktats d’une divinité fictionnelle prétendument omnisciente (l’État) devant laquelle se prosternent encore des croyants bêlants.
Le 01/04/2019 à 07h 53
Les principaux FAI français doivent bloquer Sci-Hub et LibGen
30/03/2019
Le 01/04/2019 à 16h 53
C’est l’équation qui est qualifiée, pas son auteur.
Le 01/04/2019 à 14h 02
Les responsabilités pour l’établissement du système actuel sont partagées : évidemment le côté commercial a été préempté par des entrepreneurs qui profitent des lois (les droits de PI) en vigueur avec un joli marché biface. Difficile de les en blâmer, l’espérance de profit est une formidable motivation.
Les politiques, avec l’aide de scientifiques, ont propagé des mythes pour récolter et drainer les fonds publics même si l’impact sociétal (je ne parle même pas de rentabilité économique) en est plus que discutable.
Il est évident aussi que le prestige pour un scientifique sera de publier dans Nature ou Science plutôt que dans un canard quelconque : le facteur d’impact est devenu la mesure de la réussite et plus il sera élevé plus le financement futur sera important.
Si on prétend que la recherche est publique, alors ses résultats devraient nécessairement être publics. Qu’il en soit autrement montre simplement que le système a été détourné pour les intérêts des seuls participants.
Plus généralement, on touche ici le problème de l’allocation de ressources limitées dans un domaine où l’information est inconnue et sa pertinence (sociétale, économique) difficilement évaluable.
Ce dont on est sûr est que le seul qui soit berné dans l’affaire et qui ne récolte rien est comme toujours le (cochon de) taxé/imposé qui finance toute cette mascarade.
Le 01/04/2019 à 13h 40
Ta dernière phrase confond le territoire avec la carte : il ne visait pas la science mais les scientifiques. Réduire la science aux scientifiques (même intelligents, ce qui est une espèce de plus en plus rare) est osé (euphémisme)…
Le 30/03/2019 à 16h 30
Je sais bien, c’est une des raisons pour lesquels j’ai préféré faire autre chose après le doctorat. Et puis passer 80% de son temps à faire de la paperasse pour soi ou les autres ne me semblait pas la meilleure façon de valoriser le mien.
Les obligations sont toutes relatives : il est toujours possible d’avoir un reprint en demandant à l’auteur et beaucoup mettent leurs publis en ligne sans problème.
Le 30/03/2019 à 13h 14
Juger sur la qualité des revues en se disant qu’elles publient sur le même critère est encore à peu près compréhensible et convenable.
Dans les labos où j’étais la probabilité de recrutement était inversement proportionnelle à la hauteur de la microjupe de rigueur (quand on en mettait !). Dès le printemps, c’était l’ouverture de la chasse avec concours permanent « raz-la-moule et mamelles en liberté » pour séduire le mandarin et les DR. Évidemment en été la mode était en full no string… C’était le bon temps !
Le 30/03/2019 à 11h 00
J’entends bien, mais le principe même des droits de propriété intellectuelle (PI) garantis par la loi est d’établir des marchés captifs sur une ressource (information) qui n’est ni rare ni coûteuse à reproduire. « L’abus » dérive directement de la loi.
Le 30/03/2019 à 10h 51
Je suis entièrement d’accord et à la virgule près (surtout la dernière ligne parce que j’en ai été) !
Mais qui prendra l’initiative de faire disparaître les droits de PI qui sont la plaie (et la base) de ce système ?
Le 30/03/2019 à 10h 42
Je répondais aux inexactitudes et n’avais pas la prétention à autre chose. D’autant plus que les « circonstances » dérivent elles-aussi des droits de PI, que j’aborde.
L’expression « revues prédatrices » existe certes, mais est tout à l’opposé de ce qu’il indique. Dans son esprit profit = prédation (ce qui est semi-débile, mais passons), d’où mon expression finement exagérée de « terrorisme sémantique » dont l’ironie t’a échappée. ¯\_(ツ)_/¯
Le 30/03/2019 à 09h 13
Il y a des inexactitudes.
Aucun chercheur n’a jamais été obligé de publier chez Elsevier ou ailleurs. Ces éditeurs, comme leur nom l’indiquent, font un travail d’édition : l’évaluation de la scientificité des articles est confiée à des pairs du même domaine (d’où le nom peer-reviewing).
Les entreprises d’édition ne sont pas « prédatrices » : encore du terrorisme sémantique qui ne veut rien dire et est faux : elle font un travail d’édition et de mise en avant des publications.
On peut ne pas être d’accord avec ce modèle de fonctionnement, mais ce modèle dérive explicitement des droits de PI qui sont garantis par la loi. Donc si tu veux t’attaquer à ce modèle, vise d’abord correctement : Why Sci-Hub is illegal, and what you can do about it
Les quatre idées de Mark Zuckerberg pour réguler Internet
01/04/2019
Le 01/04/2019 à 09h 29
Cela fait 20° d’écart à la normale, ce qui est quand même beaucoup pour un 1er avril…
Sur le sujet, Zuckerberg va dans le sens du vent politique : l’acceptation voire la demande de régulation des plateformes va les « officialiser », les cimenter. Comme il le reconnaît dans son témoignage devant le Congrès US en 2018, le coût des régulations empêchera de nouveaux entrants de concurrencer l’industrie en place.
L’histoire se répète.
Directive Droit d’auteur, gaz à tous les étages
26/03/2019
Le 26/03/2019 à 12h 19
L’épisode illustre surtout l’imbécilité de ce dernier concept fourre-tout à définition variable qu’on ressort quand cela arrange ou pas.
L’Europe n’a jamais été conçue que pour servir les intérêts fromagers avant toute chose, les autres l’ont bien compris maintenant, et donc elle n’est qu’un marché d’échange de faveurs. Et ceux qui ne sont plus d’accord partent et nous n’avons plus grand chose à offrir.
Quand l’Allemagne aura décidé que sa période probatoire avant son retour dans la civilisation est terminée, la France pourra demander son annexion volontaire et sa mise sous protectorat économique allemand à moins de vouloir péricliter définitivement.
C’est la meilleure chose qui pourrait nous arriver. Pour l’intérêt général bien sûr !
Directive Droit d’auteur : les GAFA, des « terroristes Pac-Man » selon Cavada
26/03/2019
Le 26/03/2019 à 11h 59
Ton commentaire est donc automatiquement discrédité vu qu’il existe un lien d’argent entre toi et ce site…
[Interview] L’hébergeur, l’article 13 et la censure
21/03/2019
Le 26/03/2019 à 11h 55
1/ Le schéma indique clairement que la thèse du réchauffement en haute atmosphère est fausse (et cf ton propre commentaire) : les données empiriques falsifient la théorie. Deal with it!
2/ L’ozone est 100% HS en plus d’émettre très peu voire d’absorber en haute atmosphère, les spectres et raies d’émission/absorption de l’O3 (+ O2) et du CO2 ne se recouvrent pas, ce qui implique que l’éventuel émission d’un photon par l’un ne sera jamais absorbé par l’autre. C’est le b-a-ba en physique, revoie les bases [1].
3/ La source importe peu, sauf pour les sophistes. Si tu préfères ce rôle, ce n’est pas la peine de répondre.
4/ Même chose.
[1]http://revue-arguments.com/articles/index.php?id=89
Le 25/03/2019 à 20h 52
Rappel pour les gueux : mémo du cyber-sophiste.
Objet : pour éviter ou terminer tout débat en ligne et rester dans ta zone de confort idéologique, il suffit d’invoquer le mot magique adapté à la situation :
Le 25/03/2019 à 20h 49
1/ Quel schéma ? Si c’est le 1er du commentaire précédent, les source sont indiquées, il suffit de lire.
2/ Ce n’est pas une réfutation du tout, c’est sans rapport : que vient faire l’ozone ici ? Mystère.
3/ Il s’est passé 20 ans entre 1992 et 2012, la physique a évolué, même si le GIEC non. Je te le fais à ta manière : Visiblement du gouv fr, soit ces données sont sorties de leur contexte, soit elles sont datées/périmées. Facile.
4/ Je n’y peux rien si le niveau est si faible, vois cela avec ceux qui votent.
Le 25/03/2019 à 14h 03
Les conséquences des phénomènes radiatifs sont différentes suivant les longueurs d’onde d’absorption/émission : les graphiques ne sont pas un « habillage » mais des données empiriques pour les comprendre.
La théorie réchauffiste prédit que pour compenser un supposé phénomène d’augmentation des températures en basse altitude et rétablir l’équilibre thermique, une élévation de température (un hot spot) en haute atmosphère doit survenir, mais on ne l’observe pas :http://jonova.s3.amazonaws.com/graphs/hot-spot/hot-spot-model-predicted.gif
La théorie est falsifiée…
PS : même si « l’équilibre avec le soleil » est une supposition non physique (le système climatique est hors équilibre), on est bien obligé de faire avec pour la réfuter.
Le 25/03/2019 à 11h 36
L’« effet de serre » proprement défini, le réel, celui qui fonctionne par suppression de la convection dans toutes les fabriques à légumes/fruits/fleurs dont on augmente la productivité par injection massive de CO2 (soit dit en passant), n’a physiquement rien à voir avec ce qui se passe dans l’atmosphère.
D’où le nom de substitution : « effet atmosphérique ». Parce que les caractéristiques de l’atmosphère dérivent des propriétés des gaz la composant.
Si la température en haut des arbre est la ~même qu’au niveau du sol, cela démontre seulement l’efficacité de la convection à élever et mélanger la chaleur.
Pour le reste, ta terminologie est déficiente tout comme ta compréhension des phénomènes radiatifs :
https://pdfs.semanticscholar.org/6682/1fa2f7b73dc67d6010ae59235e9d077c0699.pdf
Le 22/03/2019 à 13h 11
Je n’ai pas trop envie d’entamer une discussion sur un sujet aussi vaste et qui va de toute manière dégénérer (au mieux). Comme dit, je n’ai pas encore déterminé si les droits de PI sont une bonne chose ou pas. La théorie économique indique que non (il n’y a pas de problème de rareté), mais je réserve mon jugement jusqu’à plus amples informations.
(Note : tes réponses concernant divers sujets annexes ci-dessus laissent à penser que tes connaissances sont partielles et partiales et loin de refléter l’état de la Science (au sens large). Un ex. : l’effet de serre - qu’on devrait appeler effet atmosphérique - se produit à très faible altitude, car près de 100% des radiations émises par le sol sont absorbées dans les 1ers mètres au-dessus, et c’est très facile à démontrer. Il est toujours préférable de savoir de quoi on parle quand on discute.)
Le 22/03/2019 à 13h 09
Doublon
Le 21/03/2019 à 16h 16
1/ Pourquoi ne pas laisser ce problème de rémunération dans les mains des créateurs ? Qui devrait en décider sinon eux-mêmes ? Les autres secteurs économiques se débrouillent bien pour inventer des moyens de faire du profit, pourquoi pas les créateurs ? Note que ma question est toute rhétorique : la réponse est qu’il est bien plus facile de disposer d’une rente de situation (droits PI) garantie par la force et payée par le public (par dessus le marché).
2/ Il suffit de regarder comment fonctionne un marché (suffisamment libre/ouvert) pour voir que ton second point est hors réalité : la concurrence augmente la qualité, et les moins qualitatifs finissent par disparaître.
Le seul arbitre valable et compétent est le client : il vote avec son porte-monnaie.
Le 21/03/2019 à 12h 57
C’est possible (!). Le sujet est vaste et complexe, les données pour ou contre sont souvent partiales (et partielles), difficile de se faire une opinion seulement sur une base empirique.
Le 21/03/2019 à 12h 27
Êtes-vous un fervent défenseur des intérêts privés protégeant les droits de propriété intellectuelle ? Dans ce cas il s’agit d’une bonne nouvelle. Préférez-vous défendre l’intérêt public au travers de l’effectivité des libertés publiques ? Dans ce cas, il y a vraiment de quoi être inquiet.
Il manque la 3ème possibilité : « Êtes-vous un fervent défenseur des intérêts privés et du public rejetant les droits de propriété intellectuelle ? »
Des élus LR veulent obliger les hébergeurs à vérifier « l’identité réelle » des internautes
25/03/2019
Le 25/03/2019 à 09h 47
Doctolib lève 150 millions d’euros et devient une licorne
20/03/2019
Le 22/03/2019 à 14h 02
Aujourd’hui, c’est la journée du sommeil et de l’eau
22/03/2019
Le 22/03/2019 à 12h 54
Le WE de/du/des… x52
Les 2, 3, 4,5,6 de/du/des… (je te laisse compter)
La semaines de/du/des… x52
La quinzaine de/du/des… x26
Le mois de/du/des… x12
L’année de/du/des.. infini
Etc. En plus on peut varier d’une année sur l’autre, ce qui fait que le Kamdubien peut multiplier à l’infini ses petites moments festifs payés avec tes impôts pour t’apprendre le vivrensemble.
Publicité en ligne : 1,49 milliard d’euros d’amende pour les pratiques abusives de Google
21/03/2019
Le 22/03/2019 à 08h 24
Quand une 1ère phrase débute avec une ineptie, inutile de lire le reste. Même la gauche ne cautionne pas les absurdités.
Le 21/03/2019 à 17h 10
Écrire avec un peu d’air devrait être possible, même pour un barbu.
La nationalisme est dépassé :
Je propose que la France se prépare dès maintenant et se place dès l’année prochaine sous protectorat économique allemand en échange de la libéralisation immédiate et totale (sauf la police/armée pour une période de transition avant privatisation) de tous les marchés de ce nouveau pays, la République fédérale libre européenne.
La suppression des banques centrales (l’€ sera renommé en Euro Mark) et la disparition pure et simple du complexe et mille-feuille politico-techno-bureaucratique étatique français (et allemand) seront actés au premier jour. Hors État minimal, seuls 2 niveaux administratifs sont conservés : communes, lands/régions.
Le système politique est de fait simple et minimal, en un mot symbolique.
La richesse pour tous est à portée de volontés.
La proposition de loi contre la cyberhaine, ligne par ligne
15/03/2019
Le 21/03/2019 à 16h 40
La déconnexion de l’élite autoproclamée est telle qu’un problème majeur comme la formation des futurs cadres de l’État, qui ne vont rien de moins que décider de la future politique économique, va seulement, peut-être, enfin être traité et on va possiblement faire en sorte qu’ils aillent « sur le terrain ».
Attention, pas en entreprises, il ne faudrait pas bousculer les habitudes…
C’est juste grotesque [1]. CPEF
Pour lutter contre la déconnexion réelle ou supposée des technocrates, le gouvernement aimerait voir évoluer la formation de l’Ecole nationale d’administration (ENA), dont beaucoup sont issus. Franceinfo affirme que le ministère de l’Action et des Comptes publics cherche le moyen d’obliger les meilleurs élèves de l’ENA à aller sur le terrain pendant plusieurs années, durant leur formation. Si l’expérience s’avère concluante, ils pourront intégrer les grands corps de l’Etat, l’Inspection des finances, la Cour des comptes ou le Conseil d’Etat.
[1]https://www.capital.fr/economie-politique/fin-du-cumul-emploi-retraite-transpare…
Le 21/03/2019 à 16h 26
Je n’ai pas de position sur l’évènement, n’étant pas dans l’espace-temps passé pour en juger correctement.
Le pitoyable niveau en économie est exactement celui de la glorification permanente de l’étatisme par nos glorieux leaders, qu’on fait passer pour de l’éducation à coûts/coup de réformes sur réformes : on fait croire que prendre à Pierre pour donner à Paul permet à tout le monde de s’enrichir pendant qu’on chasse et ruine le substratum qui crée la richesse (les riches) qu’on n’arrive même plus à trouver en taxant les derniers qui produisent : il ne faut pas s’étonner que l’appauvrissement généralisé génère « quelques tensions » quand les seuls sentiments permis sont l’envie et de la jalousie.
On récolte seulement les graines qu’on a semé.
Le 21/03/2019 à 13h 48
Tu as découvert que la relativité existait quant à la définition naturelle de la liberté avec quelques siècles de retard, je ne te félicite pas. Maintenant, intègre l’information incroyable que cette relativité ainsi définie représente 100% de ladite liberté.
~40% des Français sont en faveur d’une révolution, je ne fais qu’imaginer sous quelle forme elle se déroulera [1].
[1]https://www.atlantico.fr/sites/default/files/imce_upload/user/86752/17efvuhzv.JP…
Le 21/03/2019 à 12h 45
La liberté d’expression n’est ni divisible ni négociable : soit elle est une et entière, soit elle n’existe pas. On a pendu des sauriens démagos réclamant ou supportant ce genre de débilité totalitariste trendy mais puant pour moins que cela. La révolution guette.