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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 08/05/2019 à 12h 08

1/ Selon l’ANSES, pages 11-12 :

I. Contexte réglementaire et conditions d’utilisation des antibiotiques chez l’animal



1.2. La prescription et les conditions de délivrance

La prescription de médicaments vétérinaires obéit à des règles proches de celles édictées pour ceux destinés à l’homme. Pour les médicaments vétérinaires, les ordonnances sont exigibles dans les mêmes conditions que les médicaments humains. La réglementation des substances vénéneuses est commune au médicament vétérinaire et au médicament humain, seules les exonérations font l’objet d’arrêtés spécifiques. En outre, les obligations de prescriptions vétérinaires s’étendent notamment aux médicaments immunologiques et aux médicaments faisant l’objet de temps d’attente.

La prescription se matérialise par la rédaction d’une ordonnance où figurent, notamment, les noms des médicaments choisis, leur dosage, leur posologie, leur mode d’administration et le temps d’attente si nécessaire. Cette ordonnance doit être conservée 5 ans et incluse dans le registre d’élevage selon les dispositions de l’arrêté du 5 juin 2000 relatif au registre d’élevage (JORF du 25 juin 2000, art. L). Cependant, à la différence des médecins, les vétérinaires peuvent délivrer eux-mêmes les médicaments vétérinaires pour les animaux auxquels ils donnent personnellement leurs soins ou dont ils assurent la surveillance sanitaire et dont les soins leur sont régulièrement confiés (article L 5143-2).

Les pharmaciens sont aussi des dispensateurs au détail des médicaments vétérinaires. Ils ne peuvent délivrer les médicaments soumis à prescription que sur présentation de l’ordonnance du vétérinaire.





Donc « antibios en vente libre » = BS = intox.





2/ Ce n’est pas du « préventif », c’est de l’évitement de contagion :

La plupart des animaux de production ou de rente sont élevés en groupe (volailles, porcs, veaux, bovins …). Pour cette raison, la médecine vétérinaire en élevage est une médecine de population et non d’individus. Quand une maladie apparaît ou lorsqu’il y a un fort risque qu’une maladie se déclare (bactérie présente dans l’élevage), tous les animaux ne sont pas touchés en même temps. Mais compte tenu de la proximité des animaux, le risque de contagion est grand. Le vétérinaire peut être amené à traiter l’ensemble du groupe sans attendre que tous les animaux manifestent des symptômes.





Le législateur reconnaît que l’évitement des risques de contagion est plus important que les autres : il légitime le regroupement parce que c’est la seule manière rentable, et donc économique, de produire.





Tu es véritablement aussi mal informé que tu en as l’air.

Le 08/05/2019 à 08h 10

La réalité brute surprend parfois, mais juridiquement (et moralement), les humains sont définis comme des personnes (physiques) alors les animaux sont soumis au régime des biens (sous le vocable vague et un peu crétin d’« êtres vivants »).

Le 08/05/2019 à 07h 58

1/ Plus depuis 2016.



2/ Les médicaments sont utilisés quand il existe un problème, comme chez l’homme. À t’écouter, il faudrait laisser les animaux en mauvaise santé et crever en souffrance pour satisfaire les pulsions morbides de certains idéologues anti-tout : vous détestez les animaux comme vous détestez vos prochains. <img data-src=" />



3/ Un progrès pour nourrir le monde est toujours vu comme un problème chez les anti-sciences/anti-humains.



4/ J’ai fournis le lien qui les réglemente plus haut, trop difficile à lire probablement.

Le 07/05/2019 à 18h 56







Drepanocytose a écrit :



La viande avec ecchymoses c’est pas grave, 17 types d’antibio differents et ca roule…

Et puis pour les poules, on ecarte celles qui sont mortes ou qui ne peuvent plus se tenir sur leurs pattes et on n’envoie que less autres a l’abattoir… ni vu ni connu…

Ah oui, et pour les vaches, on transforme les crevées en farine pour nourrir les vivantes : les proteines c’est bon pour la santé.





Tu t’es seringué à l’ineptie ou au bio industriel sans le savoir récemment ? Ou c’est une rechute ? Fais attention, tu risques l’addiction par fainéantise.



Les antibiotiques ne sont pas en vente libre (on est en France tout de même) et l’équarrissage est réglementé aussi bien au niveau UE (redondance) que, là encore, français.



Les animaux sur patte, c’est une invention de la Nature pour conserver la viande fraîche. On a juste amélioré le système naturel en le systématisant et l’industrialisant pour que les pauvres puissent en profiter aussi. Autrement dit, le capitalisme c’est l’humanisme en action.


Le 07/05/2019 à 13h 18







Drepanocytose a écrit :



Qu’on commence deja a mettre des cameras chez les bouseux, pour voir comment ils traitent les betes et ce qu’ils leur filent a bouffer.

Certains seraient surpris



Edit : qu’est ce qu’on s’en fout de comment il creve, le bestiau, si toute sa vie il a été maltraité…





On les traite mal en leur donnant tous les déchets de daubes possibles, quand on ne les laisse pas crever de faim parce que c’est plus rentable, et en leur filant des coups de fourches tous les jours pour notre exercice et aussi pour le plaisir : tu penses bien qu’on va les vendre à un meilleur prix et que l’abattoir, cet incompétent, n’y verra (grouic grouic) rien, aussi bien les trous dans le cuir que la viande ecchymosée qui va se vendre plus chère…


Le 07/05/2019 à 09h 03

Quel intérêt, au regard de l’usine à gaz et des restrictions, à part donner bonne conscience aux zélites ?



Comme le succès va forcément être au RV, nul doute que « l’expérimentation » va se terminer en obligation avec raccordement en temps réel chez PETA ou L214 pour faire bonne mesure et un suivi des découpes aux petits oignons (haha !)

Le 08/05/2019 à 08h 20







pgamer a écrit :



ca me fait penser a la banque postale qui te demande maintenant des JUSTIFICATIFS (factures devis svp) pour avoir le droit de retirer de l’argent QUE TU AS sur ton compte que c’est TON ARGENT..MERDE ALORS





Ce n’est plus ton argent dès qu’il est déposé : c’est la propriété de la banque. La banque te donne en échange une promesse de remboursement sous la forme d’un droit de retrait avec des modalités variables. Si ces modalités ne te conviennent pas, change de banque.


Le 04/05/2019 à 08h 25



On se demande tout de même comment l’organisation a pu laisser passer une erreur pareille.



Cela n’a rien d’étonnant quand on voit l’évolution de la part de marché de FF… qui va encore plonger.



Voilà ce qui arrive quand on n’écoute pas les utilisateurs et les développeurs.

Le 06/05/2019 à 08h 13

OCO-3 n’est pas un remplaçant mais vient en plus d’OCO-2 qui continue à fournir des données.

Le 02/05/2019 à 07h 13



Non pas qu’ils soient convaincus que l’intérêt de leurs utilisateurs passe avant tout, mais bien parce qu’après des années d’abus en la matière à leurs profits, leurs intérêts se déplacent.



Touchant de naïveté. Les « intérêts » sont bien compris et acceptés d’un côté comme de l’autre : services+profit contre services+données. Quant à parler « d’abus » de profits, le qualificatif est légalement ridicule et fiscalement incohérent au regard de l’actualité récente…





changer leur modèle économique en profondeur.



Les pets de licornes aussi sont à la mode (comme énergie primaire du XXième siècle). C’est à croire que dans certain monde, l’imagination polémique et l’insinuation stérile ont pris le pouvoir quand une entreprise modifie son business à la marge pour coller voire devancer les attentes clients.

Le 01/05/2019 à 08h 13







Koxinga22 a écrit :



pfoulala … je relis tout ça et … c’est fou comme on voit les choses différemment à 1h30 du mat’ une veille de jour férié !



Bon d’un coté j’ai comme d’hab’ grossi le trait pour faire passer mon idée, après je suis pas contre ce que tu développe (sauf pour l’économie inéluctable, ça c’est le cancer)





J’aurais pu te donner un ex. simple dans mon 1er § pour montrer la différence d’échelle entre une économie collective dans un groupe limité et une économie distribuée dans un groupe illimité : là où j’habite et sur mon lieu de travail (distants d’environ 1000 km) j’observe un nombre non nul de personne qui (pour une raison ou pour une autre) ne souhaite pas emprunter pour construire leur maison.



Tu as 2 cas de figures : celui qui la fait construire par autrui ou celui qui la construit par lui-même. Dans les 2 cas, les maisons prennent des années à être terminées et habitées : dans le premier cas, les fonds ne sont pas disponibles pour payer les entreprises, dans le second cas c’est pareil et/ou la personne préfère réellement tout faire elle-même.



Pourquoi cela prend-il plus de temps ? Simple : au lieu d’acheter du temps (et donc de l’argent) à la banque en empruntant, ils ont appliqué la méthode « cabane », sauf qu’une maison moderne est bien plus complexe à construire et beaucoup plus chère qu’une cabane.



Ces personnes n’ont pas compris que leur temps aurait été mieux employé à faire ce qu’ils savent faire et être mieux payés pour, plutôt que de perdre leur temps à construire la seule maison de leur vie. Dit autrement, la spécialisation qui est à la base de l’économie crée plus de valeur que la non spécialisation : comme on l’observe à toutes les échelles de la société, c’est qu’elle apporte des avantages décisifs.



La morale est qu’emprunter de l’argent à crédit (et donc gagner, ou ne pas perdre, de son propre temps) à des spécialistes (banques) est bien plus rentable que de dépenser son temps (et donc perdre, ou ne pas gagner plus, d’argent) dans des activités non spécialisées (construire 1 maison).



C’est un axiome économique qui est ~impossible à réfuter.


Le 30/04/2019 à 17h 58







Koxinga22 a écrit :



C’est là que nous ne sommes pas d’accord…





C’est la différence entre l’économie du troc, simple, valable et possible dans une société de confiance interpersonnelle, et une économie dans une société complexe où les interrelations se font sur une base de confiance conceptuelle (la monnaie). Par ex., si tu veux financer une maison à la place d’une cabane, aucun salaire, traitement, etc. ne suffira pour ce faire à l’instant t : le crédit n’est qu’un moyen d’échanger une autre chose, le temps, et les intérêts qu’une estimation de la valeur de ce temps. Il n’y a pas de différence autre que l’échange n’est plus sous forme physique mais de temps.









Koxinga22 a écrit :



Ah ! Merci du rappel, j’avais oublié cet exemple…





C’est impossible même (et surtout) en interdisant les banques (commerciales) : comme le plombier ne s’occupe que de plomberie, le banquier ne s’occuper que de monnaie. Mais il est tout à fait possible, et même souhaitable de supprimer les banques centrales (pour des raison trop longues à exposer ici).









Koxinga22 a écrit :



“Y en a qu’on essayé, ils ont eu des problèmes”. Mais en vrai, de manière idéaliste, oui, il faudrait. Le problème c’est qu’avec un œil ou un bras en moins, la vie est moins cool.





C’est parce que l’UE oblige les États, pour éviter trop de distorsion de concurrence. Mais c’est 20% de pouvoir d’achat volé directement aux plus pauvres (les riches s’en fichent).







Koxinga22 a écrit :



Je n’arrive pas à savoir si c’est ironique ou non. Les structures politiques, si factices ou superficielles qu’elles soient, tendent effectivement vers ça. Et ce serait même souhaitable, pour légiférer sur des sujets d’envergure mondiale (écologie, information). On peut légitimement croire qu’un super-gouvernement serait super-corrompu, il y a un problème de forme à résoudre, une graduation des pouvoirs à équilibrer. En pratique, je ne vois pas comment mais en théorie, oui, ce serait souhaitable.





J’ai oublié de mentionner qu’aucun gouvernement mondial ne pourrait gouverner sans légitimité : il serait élu directement, il proposerait des résolutions et le peuple voterait (possible avec Internet). C’est juste une possibilité. On peut aussi imaginer que les individus avec les mêmes dispositions choisissent de s’établir en communautés réduites et autonomes (et morcelées) avec leur propres lois devenant alors de véritables citoyens (ce qu’ils ne sont pas actuellement). Etc.


Le 30/04/2019 à 15h 24







Koxinga22 a écrit :



On distingue tout de même le concept de monnaie d’échange et celui d’économie. Le premier est purement commercial et sert à tout le monde quand le deuxième justifie légalement toujours plus d’injustice sociale.





En pratique, c’est la monnaie qui permet l’échange, les échanges qui sont à la base des marchés qui créent eux-mêmes l’économie. La distinction est purement artificielle. Il n’existe aucun système de production qui ne génère pas d’inégalités. Celui actuel en crée le moins en redistribuant la grande majorité de la valeur sociétale et en égalisant l’accès (de masse) à un niveau de vie suffisant.









Koxinga22 a écrit :



On peut continuer de commercer une fois abolies les règles d’usures.





… dont les taux d’intérêts sont déterminés par les États et le monopole des banques centrales.









Koxinga22 a écrit :



On peut pratiquer la vente et l’achat sans taxes.





Il faut dire cela aux États (TVA).









Koxinga22 a écrit :



On peut faire du libre-échange tout en condamnant les pots-de-vins et l’entre-soi.





Et même supprimer les subventions publiques au privé, tout à fait.









Koxinga22 a écrit :



Marrant, j’ai le point de vue inverse : familles de chasseurs-cueilleurs puis tribus, villages, villes puis cités, royaumes, puis nation, puis regroupement continental. J’ai la nette impression que la tendance historique est au regroupement de plus en plus large.





Et probablement un jour un seul gouvernement mondial (et donc plus d’États/nations).









Koxinga22 a écrit :



Si la notion d’état a du plomb dans l’aile, c’est peut-être parce que les empires industriels deviennent plus puissants (effet pervers de l’économie), ou c’est peut-être parce que les états sont des petites prostituées qui se vendent au premier milliardaire qui passe, aussi.





Ce sont des contre-pouvoirs bienvenus quand ceux qui devraient officier ont été achetés par le pouvoir politique (au moins en France) ou par certaines corporations.


Le 30/04/2019 à 13h 13







gwado a écrit :



Je n’ai aucune certitude sur l’avenir, sur ce qu’il faut faire. Je lis, j’écoute, je cherche, mais clairement en dehors de minimiser mon impact, je n’ai aucune certitude sur le chemin que l’on doit suivre.



Donc il est inutile de remettre en cause mes propos, j’essaye de bien choisir mes mots.



Dans un certain sens, tu as raison, le système actuel est un immense succès… pour nous !

Nous : mâles blancs occidentaux.



Je t’invite à te décentrer un instant pour constater l’échec du système actuel que l’on impose aux autres (la majorité) par la violence (comment sont fabriqués les objets autour de toi ?) uniquement parce qu’il nous profite (la minorité). De plus, le  marché est-il réellement libre et non faussé ? Notre régime politique est-il réellement démocratique ?

Il y a assez de documentaires, de livres et de conférences sur tous ces sujets pour t’éclairer.



À l’inverse, tu peux légitimement défendre le système actuel afin de garder tes privilèges. C’est une vision que je comprends mais que je n’accepte pas et je combats, d’où mes propos.



Comme le dit Koxinga22, si on pense vivre-ensemble, il faut sortir de cette idée que le monde doit tourner d’après notre propre vision actuelle, que celle-ci est juste et universelle.



:)





On doit se féliciter au contraire d’être parvenu les premiers à protéger le seul capital digne de l’être : l’esprit humain en exploitant de mieux en mieux (et relativement de moins en moins) la Nature. En nous imitant, les autres sociétés voient leur nombre de pauvres diminuer (-80% depuis 30 ans) et leur environnement s’améliorer (à partir de 5000$/an/humain).



Il n’existe pas de marché parfait (sauf dans les modèles de certains escronomistes) et la violence est le privilège exclusif et légal (mais pas légitime) de l’État.



Notre système n’est évidemment pas démocratique : seules vraies démocraties utilisent ce terme dans leur dénomination.



J’exige de conserver voire améliorer mon niveau de vie.



Je n’ai aucune idée de la signification du buzzword « vivre-ensemble ». À part en famille et encore pas tout le temps, personne ne vit « ensemble », on vit les uns à côté des autres.


Le 30/04/2019 à 12h 59







Koxinga22 a écrit :



Ce qui compte ce n’est pas le système, c’est la façon de s’en servir.





C’est la façon de s’en servir qui définit le système.









Koxinga22 a écrit :



L’argent, par exemple, en tant que “lubrifiant commercial”, c’est tip top. Par contre, en tant qu’outil de coercition (crédit, au hasard) c’est nul. On peut critiquer la façon dont le pognon circule sans remettre en cause le concept de monnaie.





Les notions de crédit, d’intérêts, de banques, etc. sont consubstantielles au concept de monnaie.









Koxinga22 a écrit :



Quant à la stabilité du système, car évolué depuis les premières tribus, c’est contestable : de une, il n’y a pas un seul système car plusieurs peuples vivent selon plusieurs systèmes. De deux, les systèmes évoluent justement, ce qui implique transformation, on est passé par plusieurs états, pourquoi devrait-on penser que l’actuel est le stade final ?





Tout à fait : en politique, la notion d’État est amenée à se réduire (pour disparaître ?) si on suit le fil de l’Histoire, à mesure que l’individu (re)prend sa véritable place.



En économie, je ne vois pas trop ce qui pourrait remplacer un système multi-millénaire comme l’échange volontaire (le marché).


Le 29/04/2019 à 19h 48



“Il est significatif que le premier nom attesté de l’histoire (« Kushim ») appartienne à un comptable, plutôt qu’à un prophète, un poète ou un conquérant. …



La monnaie est un moyen d’échange universel qui permet aux gens de convertir presque tout en presque tout. … Elle est le système de confiance mutuelle le plus universel et le plus efficace qui ait jamais été inventé. …



La première monnaie connue de l’histoire — le grain d’orge — est apparue à Sumer environ 3000 ans avant notre ère, à la même époque, au même endroit et dans les mêmes circonstances que l’écriture.”

— Yuval Noah Harari, 2015. Sapiens - Une brève histoire de l’humanité, page 152.

Le 29/04/2019 à 19h 24







gwado a écrit :



Aucune idée, je n’ai en tout cas aucune certitude.

La seule que j’ai c’est que les systèmes économique et politique actuels ne fonctionnent pas/plus.

Changeons-les, testons d’autres manières de nous organiser et de vivre-ensemble.





Pour quelqu’un qui n’a « aucune certitude », tu parais bien (trop) certain et confiant en décrétant que « l’économie et la politique actuels ne fonctionnent pas/plus ».



Ces systèmes ne tombent pas du ciel mais ont été sélectionné (= ont émergé) à partir de moult essais précédents infructueux. Ce n’est pas pour dire qu’ils sont absolument parfaits : ils sont simplement bien meilleurs que les autres, et leur existence et propagation sont la conséquence du choix de leur supériorité face à d’autres bien plus mauvais.









gwado a écrit :



Mais pour tenter de répondre à tes questions :

Il ne s’agit pas d’un système mais d’une multitude de communautés autonomes et interdépendantes qui fonctionneront grâce aux choix et volontés des membres. Certaines seront mauvaises, évolueront, s’autodétruiront mais cela n’affectera qu’à la marge d’autres qui peuvent servir de modèles.

Les relations humaines étant perfectibles, il y aura forcément des échecs et certains succès ne pourront fonctionner qu’un temps. On apprendra et on recommencera.





On a déjà expérimenté, appris et recommencé depuis la nuit des temps, c’est à dire depuis que l’Homme vit en groupe : ce qui est ressorti face aux multiples tamis de l’Histoire correspond exactement à ce qui existe actuellement.



Il existe des seuils déterminés empiriquement et appelés nombres de Dunbar en deçà desquels ta description, nous dirons collectiviste, fonctionne pour des raisons biologiques et (donc) sociales : les communautés des amish, des kibboutz, des huttériens, les associations, les petits villages, etc. peuvent fonctionnent de manière collective parce que leur groupe est composé d’un nombre limité d’individus (typiquement inférieur à 150) qui se connaissent tous. Dès lors que ce nombre dépasse la capacité cérébrale (volume du néocortex sur le volume cérébral total) à maintenir des relations personnelles, la cohésion du groupe devient impossible si elle repose sur ces relations. Note que cette limite n’implique aucunement un type d’organisation communiste : les amish par ex. ne pratiquent pas la mise en commun des biens.



Au-dessus de ces nombres, et par conséquent, ta vision idéaliste est une chimère impossible à implémenter sans interférer gravement avec l’individu et ses droits maintenant irréversiblement posés (la possession de sa vie et tout ce qui en découle) : la collectivisation (communisme, socialisme, fascisme, nazisme, etc.) est inéluctablement condamné a répéter ses errements totalitaires du siècle dernier parce que dans les sociétés complexes il faut donc remplacer une confiance personnelle impraticable par autre chose…









gwado a écrit :



En politique et en économie, l’innovation est bloquée par ceux qui contrôlent ces secteurs à pouvoir en nous faisant croire que rien d’autres n’est possible.





En politique c’est une évidente : quand on prétend que les individus ne sont pas assez intelligents pour mener leur existence tout seul, mais qu’ils le sont assez pour élire de beaux parleurs hypocrites qui leur feront payer au pouvoir, il faut s’attendre que ces derniers fassent tout pour continuer à maintenir l’illusion de leur impérative nécessité.



En économie, c’est différent : il n’y a pas 2 ou 3 choix efficaces possibles, bien que l’on ait essayé. Le système actuel, celui de marché, découle de la simple considération que les valeurs et capacité de l’individu lui appartiennent en propre et qu’il est le seul à pouvoir les déterminer efficacement pour mutuellement échanger afin de pouvoir survivre.



De là tout se déroule historiquement pour que les systèmes à la base d’une économie émerge (la monnaie, la numération, l’écriture). Résume en un §

[quote]“Il est significatif que le premier nom attesté de l’histoire (« Kushim ») appartienne à un comptable, plutôt qu’à un prophète, un poète ou un conquérant. …



La monnaie est un moyen d’échange universel qui permet aux gens de convertir presque tout en presque tout. … Elle est le système de confiance mutuelle le plus universel et le plus efficace qui ait jamais été inventé. …



La première monnaie connue de l’histoire — le grain d’orge — est apparue à Sumer environ 3000 ans avant notre ère, à la même époque, au même endroit et dans les mêmes circonstances que l’écriture.”[quote] — Yuval Noah Harari, 2015. Sapiens - Une brève histoire de l’humanité, page 152.



Voilà par quoi l’humanité agrégée en société complexe a remplacé l’absence de confiance personnelle : par un métasystème conceptuel et physique de confiance personnelle universel.


Le 29/04/2019 à 17h 43

Il y a des incohérences de rédaction à chaque ligne de cet article.



Sur le point principal, un article des Numériques de 2018 informe que Testla proposait déjà une assurance exorbitante avec le même discours marketing nommée InsureMyTesla qui ne semble donc pas une nouveauté :



Pourtant, Tesla propose sa propre assurance, InsureMyTesla, qui prend en compte “les caractéristiques de sécurité du pilote automatique (Autopilot), mais aussi les coûts de maintenance”. Mais nombreux sont les propriétaires de Tesla qui ont dénoncé les coûts exorbitants de cette assurance maison plus élevés que ceux de la concurrence.

Le 26/04/2019 à 17h 50



destinés à glorifier certaines sources, pour démagnétiser en creux les non-élus.



Je pressens un joli feu d’artifices (au sens littéral) à qui pourra proposer de l’information comme de la lessive plus blanche que blanche avec triple labels AOC, gouvernement et médias-Pravda et garantie anti-redéposition de plaintes des producteurs de #FakeNews officiels aux consommateurs (dés)abusés.



Cran par cran, le musellement de l’information sans l’imprimatur officiel fait son chemin.

Le 24/04/2019 à 17h 18



à une coopération poussée des entreprises du secteur





Comme Huawei avec le gouvernement Chinois ?

Le 24/04/2019 à 16h 46







vizir67 a écrit :



oui…mais tu NE peux truander QU’UNE 1ère fois !





Je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas répéter l’opération autant de fois que voulu (- 8000 km avant chaque révision des 10 000 km pour reprendre l’ex.). La stratégie pour ne pas se faire prendre est de ne pas retirer plus de km que le dernier kilométrage enregistré en laissant une marge pas trop ridicule non plus.



Le seul intérêt de ce dispositif serait de limiter la fraude « du dernier vendeur », quand la voiture n’a jamais été trafiquée avant.


Le 24/04/2019 à 10h 45







patos a écrit :



Ça la minimise.





Certainement, mais c’est loin du mensonge avancé par le député : « ce qui empêchera toute fraude ».


Le 24/04/2019 à 10h 43







Jarodd a écrit :



Quelles sont les sources de ces chiffres ? <img data-src=" />





Policières selon l’ADAC.


Le 24/04/2019 à 10h 26







Furanku a écrit :



Il me semble qu’il y a un compteur où l’incrémentation ne peut être altérée (ce n’est pas celui affiché sur le tableau de bord).

A vérifier.



Sinon il y a des indices qui ne trompent pas que les garagistes sauront repérer.





Le rapporteur a très clairement écrit dans son rapport le « faible coût du matériel nécessaire à cette fin (la fraude) » [1].



Je suis en train de lire l’étude globale par le même auteur [2]. Les chiffres du préjudice de la fraude sont estimés à 3000 € en moyenne sur le site de la fédération des automobile clubs allemand, cité par l’étude.



[1]http://www.europarl.europa.eu/doceo/document/A-8-2018-0155_FR.pdf

[2]http://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/STUD/2018/615637/EPRS_STU(2018)…


Le 24/04/2019 à 10h 07

En quoi cela empêcherait la fraude ? Si une voiture roule 10000 km en un an et que le propriétaire recule le compteur de, disons, 8000 km avant un passage au garage, comment déterminer la fraude ? Le garagiste ne ferait que l’officialiser au fichier.

Le 22/04/2019 à 16h 43







SebGF a écrit :



“J’utilise la puissance du high tech”



C’est effectivement une de nos visions habituelles dans l’IT : nous ne sommes pas de feignasses qui automatisons tout et facturons 2h pour un script qui met 10min à faire le taff.



Nous optimisons notre temps de travail pour consacrer notre expertise sur des tâches à plus forte valeur ajoutée tout en maintenant la cohésion d’équipe dans un cadre de travail serein et productif. De préférence à proximité de la machine à café.





C’est bien un slogan de mec ça. Elle est où la diversitude inclusive intersectionelle et non binaire ?


Le 21/04/2019 à 12h 34







Mr.S a écrit :



Par rapport au “valeurs limites réglementaires en vigueur” ce qui est alarmant c’est à partir du moment où on arrive plus à être en-dessous, et que ces mêmes limites évoluent à la hausse, pour pouvoir rester “réglementaire” bien sûr. Là on peu se poser des questions de savoir à quoi elles servent finalement…

 

Je dit ça car ces foutu “valeurs limites réglementaires” me rappel celles concernant la pollution de l’eau, et qui au fil des années a toujours été revue à la hausse…





Les limites sont justement qualifiées de « réglementaires » parce qu’elles ne sont que cela. Elles n’ont pas la prétention de remplacer une valeur sanitaire ou un seuil biologique. Elles évoluent donc suivant les découvertes, en conservant généralement un facteur supplémentaire, mais purement arbitraire, à titre de précaution, comme dit plus haut.



Cela est la théorie dans un monde raisonnablement cohérent, mais le plus souvent ces valeurs sont imposées et abaissées de manière fantaisiste et contre productive (nucléaire, PM10/PM25, azote, ondes EM, amiante, pesticides, OGM, climat/CO2, CFC, DDT, etc.) sans autre justification que le seuil précédent a été atteint ou encore sur la base d’études épidémiologiques bidon sans aucun fondement étiologique mais financées par les mêmes prescripteurs publics dans un conflit d’intérêt de pouvoir évident qui ne semble déranger personne, ou plus souvent encore de partis pris complètement non scientifiques parce qu’il serait politiquement peu avantageux de ne pas maintenir « la pression » sur la soit disant mauvaise qualité, voire dégradation irréversible si on écoutait les Cassandres prophétiser leurs inepties ad nauseam sur les médias subventionnés (une fois encore par les prescripteurs publics), de l’environnement alors que tous les indicateurs indiquent le contraire.



Mais c’est là le fumier sur lequel opère l’escrologie politique : la manipulation et la peur.


Le 18/04/2019 à 10h 59







dylem29 a écrit :



Marine Le Pen a remplacé Edouard Philippe ?





La démocratie n’est qu’une porte d’entrée particulière du totalitarisme. Les pouvoirs politiques tenteront toujours de résister à leur propre suppression, et toutes les méthodes (incluant celles de la Gestapo) pour écraser les individus seront bien assez bonnes afin de faire perdurer l’illusion le plus longtemps possible.



Mais les craquelures dans la façade de respectabilité sont de plus en plus nombreuses.


Le 18/04/2019 à 07h 57







ProFesseur Onizuka a écrit :



Et avec la même logique, il n’y a jamais eu de citoyens dans l’UE, que des consommateurs <img data-src=" />





Tout à fait : un citoyen, par définition, fait ses propres lois. Comme ce n’est pas le cas, il n’existe pas de « citoyens dans l’UE ». L’Union Economique n’est de facto qu’un grand marché.



Le 17/04/2019 à 09h 17

Voilà typiquement à quoi aboutissent les monopoles/oligopoles artificiels sanctionnés par l’État français. À cette différence près que quand ils sont directement gérés par l’État son incompétence pathologique résulte en des déficits chroniques, alors que quand ils sont aux mains du privé, leur compétence même conduit à tous les abus possibles pour profiter au maximum du « privilège » accordé.

Le 17/04/2019 à 07h 44







crocodudule a écrit :



Classiquement, la plus part des recherches faites sur ce sujet ne permettent pas de démontrer une réelle efficacité de ces dispositifs mais un déplacement et/ou une adaptation de la délinquance, le tout pour un coût important.



En revanche, un nouvel angle d’attaque de certains travaux est de tenter de démontrer les dérives, et  notamment le fait que ces dispositifs protègent d’abord leurs propriétaires avant la Loi et même parfois contre la règlementation.



Néanmoins et sans vouloir être pessimiste, malgré le coût, malgré l’inefficacité et malgré les dérives, la smartcity (puisque la formule “videoprotection” marche plus) est plus que jamais à la mode, maintenant utilisée pour verbaliser, et tristement les gens en redemandent…





Je ne sais pas pour les recherches, mais j’ai pu constater personnellement que le dispositif des caméras fonctionne si on a les bonnes informations.



Cependant quand la police fait son travail, c’est la justice qui merde grave : dans une affaire de vol avec effraction, les 2 suspects ont été appréhendés quelques heures après leur forfait (grâce aux caméras…) et tous les biens volés restitués. Un des voleurs en était à sa 32ème arrestations pour les mêmes faits (vols) et 31 remises en liberté à la suite : les policiers était plus qu’énervés de travailler autant pour rien.



Le laxisme est patent : il ne faut pas encombrer les prisons avec des faits aussi mineurs que le vol parce que l’idéologie qui prévaut dans les palais est que les voleurs sont des victimes de la société.



La justice est honteusement dévoyée, il ne faut pas s’étonner que les habitants exigent un minimum de protection.


Le 17/04/2019 à 07h 20

Quand on n’est plus concerné, on n’est plus soumis (d’où le verbe « échappe » en titre).

Le 16/04/2019 à 10h 28

Des CGU d’une entité privée qui sont au-dessus de la loi : nous attendons les réactions effarouchées de carbier dans 3, 2, 1…

Le 16/04/2019 à 09h 50







wanou2 a écrit :



Sauf qu’une part significative des prestations sociales sont le retour de cotisations d’un système assurantiel et ne sont donc pas des subventions.





Théoriquement oui. Mais techniquement ce système de type assurantiel n’a que le nom : il est obligatoire, il n’a pas de concurrence et le niveau de cotisation n’est pas décidé par les cotisants : il serait détenu et géré par l’État lui-même que personne ne verrait la différence (le déficit permanent) en pratique.



Donc on peut largement considérer que le système est similaire à celui des subventions dont l’argent provient aussi d’une obligation sans concurrence (taxes, impôts, etc.). Les ministres de l’EdF et les statistiques ne font d’ailleurs jamais la différence, c’est dire.


Le 16/04/2019 à 07h 27







iriondalcor a écrit :



Et pareil pour les subventions aux citoyens ?





Ce qui représente tout de même plus de 700 milliards par an (soit 13 du PIB), « un pognon de dingue » quand on y pense. Avec toutes ces subventions réunies, on pourrait combler les dettes étatiques les plus apparentes en 2 ou 3 ans : magnifique programme pour un prochain candidat !



Sinon, la transparence totale sur les subventions est une bonnes idée, surtout pour faire mieux apparaître les pratiques anti-démocratiques et connivences qui consistent à subventionner avec de l’argent public des officines (ONG et assoc. lucratives sans but) pour pondre des rapports ou organiser des manifestations allant dans le sens attendu des minist(è)res afin d’asseoir une légitimité et une façade démocratique qui n’existent pas : ce genre de lobbyisme vicieux est inadmissible.


Le 15/04/2019 à 12h 08

Il existe un vaste monde entre le catastrophisme larmoyant des croyants fin-du-mondistes et les visions chimériques des utopistes postmodernes.

Le 14/04/2019 à 17h 51







Antwan a écrit :



« Les livres d’histoire seront séparés en deux : avant et après cette image »



Autant je suis bluffé et rêveur à chaque nouvelle avancée scientifique, autant je me dis que l’humanité est tellement irrécupérable que tout ceci n’aura servi à rien si/quand elle s’éteindra d’ici 50100 ans par cupidité et auto-mutilation de son habitat.





Reprend un Tranxène. Ou investit 7,20 € pour combler ton ignorance.


Le 11/04/2019 à 15h 38

On peut rajouter que tout ce travail et résultat dérive de la thèse de doctorat du chercheur Sheperd S. Doeleman, directeur de EHT.

Le 10/04/2019 à 19h 06







Naneday a écrit :



S’améliorer ? Pourquoi ? On sort de l’ère glacière, normal que les glaciers disparraissent.





L’ère « glacière », c’est cet été…


Le 10/04/2019 à 13h 04







Azerty38 a écrit :



Sauf qu’on ne compte jamais les banquises dans la fonte des glaces. (même si ça change pas le résultat 1/ 3000). Par contre le problème  ce n’est pas que sa représente 13000 de la glace, mais qu’il en reste 29993000 a fondre 3000x 27mm (87m environ). Si ça avait représenté 50% de la glace ça aurait été une meilleure nouvelle :-/





Il n’est pas inapproprié de comparer par rapport à toute la glace quand la question concerne les pertes plutôt que le niveau des mers.



Pour obtenir les 87 m à la vitesse actuelle, il faudra entre 25 000 (satellite 3,4 mm/an) et 48 000 (jauges 1,8 mm/an) ans… on n’est pas noyé.


Le 10/04/2019 à 12h 19







Rufh a écrit :



J’aurais préféré que l’on me dise que les glaciers ont perdus tant de pourcent de leur masse. Car la ce sont des gros chiffres mais qui ne veulent rien dire. Est-ce beaucoup ? On en sait rien à la lecture de la news juste qu’il s’agit d’un gros chiffre qui n’est pas mis en perspective.







Glace sur Terre :

170 000 km^3 de glace hors arctique et antarctique soit 170 000 000 000 000 m^3 ou tonne

2 850 000 km^3 de glace arctique soit 2 850 000 000 000 000 m^3 ou tonne

20 000 km^3 de banquise arctique soit 20 000 000 000 000 m^3 ou tonne

26 500 000 km^3 de glace antarctique soit 26 500 000 000 000 000 m^3 ou tonne

12 000 km^3 de banquise antarctique (estimé) soit 12 000 000 000 000 m^3 ou tonne

soit un total de ~30 000 000 km^3 correspondant à ~30 000 000 000 000 000 m^3 ou tonne



à comparer avec ~10 000 000 000 000 de tonne de glace fondue de l’article



soit un rapport de 1 sur 3000 (sauf erreur), l’équivalent d’une erreur d’arrondi.


Le 10/04/2019 à 11h 42

27 ± 22 mm = pas très précis/convaincant comme résultat. Cela fait moins de 0,5 mm en moyenne par an, autant dire ~rien. Même si on prend pour argent comptant les mesures globales, elles n’ont rien d’inquiétant.



Certains glaciers reculent (même pendant le petit âge glaciaire) et certains avancent pendant que d’autres sont stables. L’étude des conditions locales est indispensable pour évaluer la pertinence des mesures et phénomènes. Dans une interglaciale, on s’attend à ce que les températures varient et que les glaciers répondent selon leur environnement.





Si l’élévation de la température des océans reste le principal facteur de la montée du niveau des mers, la fonte des glaces en est le second contributeur le plus important



Sauf que bien souvent la température de l’eau détermine l’évolution du glacier.

Le 10/04/2019 à 18h 21







Norde a écrit :



Oui interdisons le déficit !

Nul besoin de s’attarder sur les causes et les dysfonctionnements, interdisons tout simplement <img data-src=" />



Comme ça plus besoin de tergiverser pour diminuer les droits sociaux et autre contributions au public : ce sera obligatoire !





Les causes sont connues : trop d’État, trop de ponctionnaires, trop de réglementation, trop d’administration, trop de centralisation, trop de bureaucratie, trop de législation, trop de taxes/impôts, etc. en un mot pas assez de liberté.



Venir pleurnicher sur les « droits sociaux et autre contributions au public » quand on fait peser sur les générations futures le poids du remboursement des revenus artificiels actuels issus de la dette est du foutage de gueule.



Si on ne veut pas interdire, on peut utiliser la solution Suisse plus souple : les dépenses ne doivent pas dépasser les recettes sur l’ensemble d’un cycle conjoncturel.


Le 10/04/2019 à 07h 52







Kevsler a écrit :



Tu peux m’en dire plus sur ce lien de cause à effet ? (un lien, par exemple :p)

Ça m’intéresse ;)





Il ne sait pas de quoi il parle : le rapport est inverse en fait. La BCE ne peut pas racheter directement des obligations d’État comme peut le faire la FED/Trésor US (pour simplifier). Pour contourner, la BCE a inventé les Long Term Refinancing Operations (LTRO) qui sont des prêts à long terme accordés aux banques commerciales de l’UE, mais qui ne leur permettent pas (aux banques) de dégager beaucoup de marge (différentiel de taux d’intérêts très faible avec le taux directeur).



Par contre cela permet de soulager les dettes souveraines directement (les États empruntent aux banques) et indirectement par l’inflation : évidemment pour un État, c’est un signal fort pour continuer à faire du déficit.



Le baisé est comme d’habitude le cochon de travailleur/producteur qui voit son pouvoir d’achat monétaire diminuer puisqu’il est le dernier maillon en bas de la pyramide financière, et ses taxations/impositions augmenter pour rembourser les dettes puisque c’est le seul à créer de la richesse.



Voilà comment les politiques ont travesti l’institution bancaire et la finance pour pouvoir continuer à distribuer de l’argent à leurs électeurs.



Édition :https://www.ofi-am.fr/corporate/ajax-support?alias=nouvelle-vague-de-ltro-a-veni…


Le 10/04/2019 à 07h 36







skankhunt42 a écrit :



Bof





Dans un pays avec des institutions modernes, on ne devrait même pas poser la question : tout déficit devrait être strictement interdit par la Constitution.


Le 09/04/2019 à 12h 23







js2082 a écrit :



Un tweet qui résume toute la saveur de ce Grand Débat





75% des gens qui y compris la question, cela fait au moins 25 % d’ignares. Pas de quoi se réjouir.



Le 08/04/2019 à 08h 18

Pour ce qui est de brasser du vent à missionner pendant que d’autres financent depuis des lustres, l’État fromager ressemble à un train sans locomotive pour lequel un cadre de la direction est chargé de retrouver le mode d’emploi qui servira au final à repeindre les wagons.



Autant dire que les propositions, dont les résultats qui ne seront jamais évalués, vont (encore) être du saupoudrage inutile qui fera vivoter 2 ou 3 labos publics pour quelques années supplémentaires et donnera l’illusion qu’on a fait quelque chose.

Le 06/04/2019 à 11h 26







arhenan a écrit :



Mais je trouve ça naze de s’en prendre à elle uniquement parce qu’elle a eu le coup de foudre réciproque envers l’homme qui sera devenu le plus riche du monde. Et franchement, cette histoire ne mérite clairement pas les remarques de bas étage qu’on peut lire ça et là.





Tu as laissé ton objectivité et ton bon sens au vestiaire. Personne ne s’en prend à elle ici : on louerait plutôt ses qualités d’avoir su choisir un mari aussi bon et d’en avoir tiré parti aussi bien ; et on blâmerait plutôt son mari de n’avoir pas su protéger ses intérêts…


Le 05/04/2019 à 16h 28







Krogoth a écrit :



Alors il s’agit d’un couple. Peut importe qu’elle travaille directement a ses cotés. Le simple fait d’avoir la bouffe prête à la maison quand il rentre après d’interminable journées au début de l’entreprise joue un grand rôle. Le simple support moral de son conjoint. La simple acceptation de ne pas partir en vacance car les économies nécessaire sont investie dans l’entreprise…





À part la 1ère phrase (et encore), tout le reste est hypothétique et semble oublier que c’est aussi valable dans l’autre sens.



Chacun gère l’aspect économique du mariage comme il l’entend : un business est une affaire personnelle qui n’engage pas le conjoint si lui/elle-même n’y est pas engagé(e). Je considère que c’est une erreur de mêler le business aux affaires de couples qui ne travaillent pas ensemble : la séparation de biens est idéale pour cela.


Le 05/04/2019 à 13h 20







Krogoth a écrit :



Elle demande une part raisonnable il me semble. Si M Bezos trouve cette demande correcte ca prouve simplement qu’un contrat était inutile et que la confiance dans un couple ca peut marcher…





Si elle travaillait à ses côtés, pourquoi pas.



Sinon ce n’est pas une question de confiance mais de bonne gestion et de prévoyance.