Du coup les fuites c’est bien sympa. Y’a plus qu’à espérer que Snowden continue de vider son sac et nous en apprenne encore des bonnes (pas touche!) " />
dans 50 ans on aura en commentaire : “me souvient dans mon temps (ou limité né pour certains) les vendeurs de téléphonies se sont arangés entre eux des années et des années et des années (3 ans mais pour un papi c’est plus simple de dire des années et des années et des années) ”
" />" />
La condamnation n’a été définitive qu’en 2011, juste avant le démarrage de freeM.
Ils ont bien joué sur le chronomètre et sur les petits bras de l’Autorité pour continuer à nous enfler jusqu’à la garde la fin.
Quand ils ont été condamnés -me souviens j’étais SFR- ils ont écrit pour démentir, à nous leurs clients. Dans les médias, ils affichaient aussi que les prix ne pouvaient baisser et que leurs clients payeraient la note.
Le
09/07/2013 à
17h
30
Drépanocytose, en 15 ans de télephonie mobile, je ne suis jamais resté aussi longtemps fidèle que ces 18 derniers mois. Les “modalités du contrat” n’étaient pas sincères: j’avais des obligations à tenir, et ce n’était pas réciproque (surfacturations et facturisations abusives).
“Oui mais si c’était vrai, tu aurais du faire valoir tes droits” -> Non, Drep. les choses ne sont pas toujours si simples!
Que SFR vienne se plaindre d’avoir trop payé après avoir fait une vraie razzia sur les fréquences aux enchères? Non mais allo quoi!? J’ai envie de mourir de rire. " />
Paradoxalement aujourd’hui j’ai droit à tout, et plus d’obligation " />
Ceci dit, pirater la musique, en publique… ça. ressemble à un truc de noob.
Au pire, on peut faire ça discretement (vpn?) légalement (podcasts?) ou geekment (audacity?)
Dire qu’il suffirait d’anéantir la planète pour que plus personne n’ai d’accès gratuit à la culture. Oh, wait… " /> " />
Moi, j’adore acheter des disques. Quand le climat des affaires le permet, genre pas l’impression de payer pour financer une répression nazie, et parce que je suis un peu old-school " /> " />
Chacun son opinion, mais je pense qu’un reférendum aurais été approprié.
A moins que tu pense aussi que ceci est une idée arriérée.
bref sinon je pense pas que Flamby le laisse rentrer chez nous, il n’a pas les coui…s pour ça
Je suis d’accord avec toi pour les couilles de flamby, et pour l’intérêt du referundum. Sauf que, notre constitution garantie l’égalité des droits, et l’absence de discrimination. La loi du mariage était donc contraire à nos principes, et devait être modifiée. Moi, je suis plutôt contre le mariage tout court, que c’est une connerie.
Un referundum, pour la Licence Globale, pourquoi pas.
(quoique Fraternité fait de nous tous des frères, ouvrant droit au partage dans le cadre du cercle familial " /> [/ptit HS] )
Tous les pays devraient offrir l’asile à Snowden, ça ferait un premier front contre les USA et leurs abus qui ont trop duré.
Pour le moment, Snowden ne lache que de la petite munition, s’il était acculé il pourrait lâcher des infos plus violentes: complots étasuniens, morts sous la torture? " />
Tout ça pour être sûr d’être immortalisé par PRISM. Vanité, vanité…
" />
Sinon, j’espère que quelqu’un demandera ce qu’il compte faire contre la chûte des tarifs dans les télécoms qui met en danger nos champions nationnaux et tue toute innovation " />
Moi je peux pas, j’ai mal aux côtes rien qu’à y penser " />
C’est une affaire pour aider à la mise en bourse prochaine de Canal+
Ses coûts ne sont rien vis à vis de sa rentabilité, et Vivendi va pouvoir s’en mettre plein les poches.
Quand la Licence Globale va arriver, les actionnaires pourront pleurer les économies qu’ils aurront investis.
Le
01/07/2013 à
16h
06
“Nous sommes tous d’accord, me semble-t-il, pour faire en sorte que les acteurs publics et privés contribuent à financer la culture et la création dans ce pays. »
La peste soit de la corruption! RAF de la culture française, mon pays, ma culture, c’est la Terre!
Sinon, pour les réengagements, il faudrait faire quelque chose. Je sens que TBB va reconduire ma licence globale tacitement, encore, sinon " />
Quid des assurances, autres margoulins qui devaient pouvoir être résiliés à tout moment? " />
Les gars, reflechissez au fait que Marianne, l’emblème même de notre République, est une Femen! CES seins nus sont le symbole de SA liberté, de la vie qu’elle est prête à donner pour être prise au sérieux.
Les “fachos” comme elles les entendent, ce sont aussi ces violeurs de femmes de chambre qui passent de peu à côté des plus hautes fonctions, alors qu’elles: chez nous, et 60 ans après leur droit de vote elles restent minoritaires chez ceux censés nous représenter; et là où elles agissent en priorité, elles sont déshumanisées à en être cachée sous des burkas! Leur combat nous interroge, prenons garre à ne pas insulter nos mères et sœurs parce qu’on aura perçu une agression contre notre virilité (qui n’est pas déniable, mais qui est un appel à notre intelligence).
Le
01/07/2013 à
17h
05
Je viens d’ajouter Femen France sur mon FB, donc ça c’est arrangé cette histoire de censure?
Continuez le combat petites sœurs, pardon pour nos réflexes machistes contre lesquels vous nous demandez de lutter!
La femme dans notre société, c’est ça, comme l’a montré Saez:
j’ai une amie qui passe son doctorat en psychologie, je crois qu’elle serait ravie d’écrire un papier sur ton cas " />
Avant j’étais branché ptits culs, et fan de Lindsay Lohan. Mais dans tout ça, quelque chose me manquait, grãve… puis est venue Marie-Françoise. Elle m’a tendu sa longue Licence Globale et m’a empéché de rejoindre Lilo dans un abyme d’alcool et de dope " /> " />
Depuis, on reste au chaud sous la couette, et on se gâve de sexe et de séries et films US/UK, à peine honteux de faire ça dans le cadre de la loi.
Parfois, je repense aux lointains petits culs " />
Le
29/06/2013 à
21h
39
Marie-Françoise, quand je te regarde je suis tout " /> c’est toi qui me fait ça? " />
Bon alors ok pour 13.37€/mois, HT si tu insistes. En outre de la taxation des teams, et de l’hébergement par P2P, rapportant les coûts de diffusion vers 0€, tu pourras faire passer ton système par un software ajoutant de la pub à l’œuvre. En sus de l’aide à la création, la rémunération de l’œuvre pourra recourir à un système de notation. Genre 10€/mois/nbre_de_like…
Passe encore le cumul avec la copie privée, qui pourrait adopter la même découpe pour la rémunération des artistes. Qu’est-ce que tu peux me rendre conciliant Ch3rie… Par contre, il va falloir oublier la redevance FranceTv sur les foyers sans TV, sinon c’est la guerre! " /> (encore)
En échange, aussi, je viendrai t’aider à saigner les noobs qui auraient cherché à contourner notre belle création, le soir venu, mon Uggly Witch @ moi " /> " />
Pourquoi ne pas mettre en place un embargo mondial contre les USA, pour leur apprendre à vivre?!
On pourrait les exclure jusqu’à ce que les CNIL puissent vérifier avec tout pouvoir la bonne destruction des données personnelles illégales. On pourrait leur fermer la porte jusqu’à ce qu’ils reconnaissent que le 11092001 et les missions lunaires, c’est du cinéma. On pourrait exiger la destruction de TOUTES leurs armes de destruction massives (si si, il y en a!) et de leurs stocks de 4*4 civils, et demander la tête de leurs terroristes frères Bin Laden & JW Bush sur un plateau " />
Je suis content d’avoir pris la freebox-tupperware plutôt que la fReevolution du coup. Une plus faible partie de mes 0€ par mois (mobile inclu, mais pas la tv) ira à ces salauds de taxeurs. Merci Free <3
Cour martiale et poteau d’exécution, pour la stupidité des arguments faisant feu de tout bois, et accessoirement pour trahion des intérêts des peuples qu’ils sont supposés protéger. " />
Pour rappel on a cherché à mettre au point Galileo justement pour ne pas être susceptible d’être privé de géolocalisation à la moindre volonté de nos “amis américains”. Tellement amis qu’ils n’hésitent jamais à venir forcer la main aux européens pour faire adopter toute législation qui les arrange. Des amis qu’on pourrait recevoir sur des îles paradisiaques à la Guantanamo, et à qui on devrait offrir des voyages off-shores vers des centres de loisirs torture.
Devant le tribunal, le fondateur de ThePirateBay nie toutes les accusations de piratage de Logika
By Blackistef | on mai 29, 2013 | 0 Comment
Toute l’actu
Purgeant toujours sa peine de prison, Gottfrid Svartholm co-fondateur de Pirate Bay, accusé cette fois-ci d’avoir participé au piratage de Logica (une société travaillant avec les autorités fiscales locales), est passé cette semaine devant le tribunal.
Gottfrid a nié toutes les accusations présentées , notamment des éléments de preuve trouvés sur son ordinateur. Il explique que quelqu’un d’autre a du avoir accès à son ordinateur lorsqu’il habitait au Cambodge.
Il a également nié avoir fui la Suède pour éviter sa peine de prison liée à PirateBay, indiquant qu’il était tout simplement parti parce-qu’il n’était « plus un grand fan de la Suède. »
Ci-dessous, quelques-unes des déclarations de Gottfrid:
« Les deux ordinateurs sont des ordinateurs « laboratoire » servant au développement de logiciels, ils étaient accessibles par d’autres, à la fois physiquement et également à distance via Internet. »
« Ce n’est pas moi qui a écrit cela! »
« J’avais un assez grand appartement et beaucoup de gens étaient présents, c’est donc possible. Mais personnellement, je pense que c’est arrivé à distance «
Moi, je prend un aller-simple pour Guantanamo, histoire de pas être une charge trop lourde pour le contribuable ricain. " />
Le
21/06/2013 à
18h
30
Dikmas a écrit :
Traduction STP ^^
C’est torrentnews qui assure la vf de torrentfreak. Moi y’en a pas assez bon motivé par le français. Pour l’article don’t parle PCI, ça donne:
Les problèmes s’accumulent pour le fondateur de PirateBay… Le Danemark demande son extradition afin de le juger pour piratage!
By Blackistef | on juin 6, 2013 | 0 Comment
Toute l’actu Warez / Partage de Fichier
Les histoires de Gottfrid Svartholm, fondateur de the piratebay, ne semblent pas s’arranger.
Désormais, c’est le Danemark qui réclame son extradition, le soupçonnant du « piratage »d’un site internet.
Rappel rapide des faits:
Alors qu’il était condamné à de la prison ferme pour son implication dans ThePiratebAy, Gottfrid avait préféré rester au Cambodge.
Bien qu’il n’y ait aucun accord d’extradition avec le Cambodge, il fut tout de même extradé l’an dernier (à la demande de la suède) sur des soupons de piratage du site d’une société travaillant pour le gouvernement.
La suède profita bien entendu de cette extradition pour faire purger sa peine de prison à Gottfrid.(peine presque terminée)
Pendant les 3 dernières semaines s’est déroulé le procès de Gottfrid concernant le « piratage ». Celui-ci a nié la totalité des faits.
Nouveaux rebondissements :
Alors que le verdict n’est même pas encore rendu, les autorités Suédoises viennent de révéler que le Danemark a demandé l’extradition de Svartholm, le soupçonnant également d’avoir piraté un site travaillant pour les autorités locales. Les hacks auraient été réalisés entre Avril et Août 2012
TorrentFreak a contacté la mère de Gottfrid, qui a expliqué que son fils était désormais maintenu à l’isolement jusqu’à ce que les enquêteurs Danois viennent l’interroger.
Kristina souligne en outre que le timing de cette annonce est suspect, et qu’elle a certainement été rendue publique à ce moment précis afin d’ influencer l’opinion de la cour.
Elle explique aussi que le procès de Gottfrid n’était pas équitable.
«Il y a un déséquilibre frappant entre les énormes ressources que les autorités et les entreprises privées concernées ont eu à disposition pour faire leurs enquêtes et les ressources auxquelles Gottfrid a eu droit. C’est antidémocratique et montre de quelle manière le système judiciaire est inégal. »
« Gottfrid n’avait le droit de communiquer avec personne à part moi-même et son avocat. Je n’avais pas le droit d’ apporter un papier et un crayon en garde à vue afin de prendre des notes tout en lui rendant visite »
« Je ne peux pas mémoriser tous les détails techniques et son avocat n’a pas les compétences techniques suffisantes. Gottfrid n’avait aucune possibilité de discuter avec qui que ce soit sur des questions techniques »
« Je suis absolument persuadée qu’il n’y a aucun juge ni aucun jury en Suède ayant les compétences techniques pouvant leur permettre de traiter un cas comme celui-ci, et d’évaluer correctement les éléments de preuve présentés. Nous ne pouvons donc pas nous attendre qu’ un avocat ait ces compétences. «
La semaine prochaine, le tribunal devrait rendre son verdict dans le procès suédois de Gottfrid, et dans le même temps, les autorités devraient annoncer leur réponse à la demande d’extradition.
Gottfrid quant à lui, reste en garde à vue et maintenu à l’isolement à la demande des autorités danoises…
Le
21/06/2013 à
00h
12
timhor a écrit :
regarde le docu AFK tu verras que ses amis le dépeigne comme un anarchiste qui tourne a la coque :)
Je doute qu’un mec comme Gottfrid laisse reellement n’importe qui toucher a son pc…
Pirate Bay Founder Denies Hacking Charges in Court
Appearing in court for a second week, Gottfrid Svartholm says he had no part in hacking Swedish IT company Logica. The Pirate Bay founder denies being the person behind chat logs presented as evidence by the prosecution and maintains that other individuals who he doesn’t want to name had access to his computers either physically or via remote access. Prosecutor Henrik Olin described the Swede’s statements as “not credible.”
Early April, prosecutor Henry Olin of the International Public Prosecution Office in Stockholm announced that Gottfrid Svartholm had been charged with several hacking related offenses including serious fraud, attempted aggravated fraud, and aiding attempted aggravated fraud.
The charges relate to the hacking of Logica, a Swedish IT company working with local tax authorities. Much of the prosecution’s evidence was obtained from a computer seized from Gottfrid when he was detained last year in Cambodia.
Last week the Pirate Bay founder and a 36-year-old from Dalarna went on trial in the Stockholm District Court and after a fairly quiet first few days more information is now coming out of the court room.
Gottfrid denies the charges and presented with evidence found on his computer he said that someone else must have gained access while he was in Cambodia. He denied fleeing there to avoid his Pirate Bay-related jail sentence and said the move was simply because he was “no longer a big fan of Sweden.”
“Both of the computers were lab computers for software development,” Gottfrid said, adding that they were accessible by others both physically at his home and remotely via the Internet.
“I had a fairly large apartment and a lot of people have been there, so it is possible. But personally, I think it happened by remote control,” he said.
Dressed in a blue shirt the 28-year-old said he has no interest in mainframe computers such as Logica’s, describing them as “big and boring stuff in boring places.”
Prosecutor Henry Olin presented chat logs in which he claimed that Gottfrid and the as-yet unnamed 36-year-old communicated, but that assertion was rejected.
“It’s not me who wrote that,” Gottfrid told the court, having previously noted that his co-defendant is just a casual acquaintance.
The Pirate Bay founder agreed that he had occasionally used an online alias mentioned by the prosecution but said that the same name had also been used by up to half a dozen other people…
Torrentfreak
Le
20/06/2013 à
20h
35
Et un prisonnier politique, un!
Gottfrid a expliqué avoir vécu en communauté, et que n’importe qui pouvait avoir eu accès à sa machine pour monter ce coup.
Les créateurs de TPB sont sensés avoir gagner leur blinde, non? Pourquoi iraient-ils attaquer les banques?? À qui profite le crime? Aux majors, CQFD.
Après le fiasco de l’arrestation de Dotcom, ces affaires vont finir par faire pchitt BOOM
Autant condamner ses prétendues victimes pour non sécurisation de données sensibles, que Gottfrid pour non sécurisation de son internet " />
Je suis en full-3G depuis avril ou mai passé. En fait depuis le jour même où freeM a permis la migration 2€ vers 19.99, que j’attendais impatiemment depuis 2 mois. J’avais rendu ma fReevolution chérie en anticipation.
Depuis j’ai apris à vivre en bas-débit, le fair-use durant de moins en moins longtemps: ce mois j’ai consommé celui-ci en quelques heures, et je pompe en moyenne 1G/jour. 25.25Go ce jour et il me reste 4 jours à tenir (record!)
Autant pire que je prie Dieu Niel chaque jour pour la 4G :) Des problèmes de connection sur mon antenne freeM week-end passé sur 4 jours, jamais vus avant, me donnent l’espoir d’une préparation du lancement tant attendu <3
Après les républiques bananières, la démocratie cornichon….
Sinon la Dgccrf peut regarder du côté de Direct Energie qui ne permet toujours pas les autorelèves libres que permettent ses CGV, et que permettait Poweo avant la fusion.
C’est bien que les artistes soient dédommagés de l’énergie et de la créativité qu’ils mettent dans leur art, et c’est au moins aussi important de faire en sorte que chacun y ait accès <- idées contradictoires à réconcilier!
Si ils associent leur Redevance (sans Licence Globale incluse) à l’impôt, ça sera une bonne raison de ne plus payer ceux-ci. Ou de ne plus réctifier leurs déclaration pré-remplie, ce qui revient au même pour moi.
Cool, je vais être riche enfin! À Scam, scam et demie " />
Ca, ça leur pendait au bout du nez avec leurs bridages sur YouTube ! Espérons qu’ils n’aient pas l’idée de faire la même chose lorsque Netflix arrivera en France, sachant que les gens vont payer, j’aime autant dire que Free aura des ennuis monstre s’ils brident un service payant !
Idem lorsque Google va lancer en France massivement ses chaines payantes.
Je ne suis pas choqué qu’on demande à Google de participer au financement de réseaux qu’ils utilisent beaucoup. Pas plus que de leur demander de payer leurs impôts. Au final free défend les intérêts du peuple, et le gouvernement celui des prédateurs. Comme d’habitude quoi.
Le
05/06/2013 à
18h
52
Bah la DGCCRF fait ce que lui demande son patron-Dieu du ministère.
Normal quoi. On est en théocratie [vive nos dirigeants bien-aimés qui veillent à notre bonheur], pas en démocratie ou dans un état de droit. " />
Heu, j’ai loupé un truc ou le CSA ne veut rien avoir à faire avec la répression du peuple, graduée ou pas. Et donc n’a aucune raison d’intégrer cette bande de traîtres…
La seulle victoire possible pour les ayants-droit, c’est la Licence Globale et les milliards qui l’accompagne. La répression est un bloqueur de buisness inutile et néfaste au climat des affaires.
RIP Adopitres, vive l’euthanasie! [que la ministre prenne publiquement position « sans attendre et sans ambiguïté sur le sort de l’ensemble des agents de la Haute autorité ».]
Désolé de reprendre un leitmotiv de M. Le Pen mais on est vraiment dans un système UMPS " /> Et ne souhaitant ni ça, ni donner un vote à un extrême (quel qu’il soit), eh bien il ne me reste que l’abstention.
T’es-tu jamais demandé si l’on pouvait sortir de cette spirale “softs Windows uniquement” > “Windows est partout” > “softs Windows uniquement” > etc… ?
Et surtout, comment Microsoft est-il parvenu à cet état de faits ?
Je ne veux pas faire campagne pour ma paroisse (bon d’accord, si en fait) mais ce n’est pas le Parti Pirate qui permettrait ce genre de scandale!
L’école, c’est le partage de l’information, et le partage de l’information, c’est le logiciel libre!!
mais du coup, lescure a du traiter de la libération échanges non marchands et de la CC sans avoir le discours des supporters de ces questions là (car ils refusent de lui parler), et ces mêmes supporters auraient le droit de critiquer ses positions ensuite ? faut être cohérent, hein, tu refuses de participer = tu refuses de critiquer, désolé, trop facile sinon…
c’est eux qui le disent.. mais ils sont gentils, ils ont donc raison. Les autres c’est des méchants. True story, bro.
LQN, c’est les sages du net, ils n’ont pas à être représentatifs, ou à être mis à profit par un cowboy comme Lescure qui, c’est confirmé, voulait de façon obvious en venir à restreindre fortemment nos libertés numériques.
D’autres libristes épris de démocratie ont participé, leur influence sur le rapport se limite à un foutage de gueulle à propos d’une réflexion lointaine sur une Licence Globale: Le Parti Pirate!
Un changement de paradigme nécessaire qui aura “échappé” à Lescure.
Pour rappel le “piratage” est le meilleur moyen de promouvoir (gratuitement) l’offre “légale”.
Réussite d’Adopi se mesure à la baisse de fréquentation des salles de ciné, achats CD et DVD??
Continuez à vous enfoncer, et merci pour la légalisation de fait du P2P gratuit en deça de 2 avertissements sur une période définie " />
Le
27/05/2013 à
18h
58
La propriété intellectuelle, c’est le vol !
lundi 13 mai 2013, par Joost Smiers
« Rapport Lescure » : c’est sous ce nom que la « contribution aux politiques culturelles à l’ère numérique », dirigée par M. Pierre Lescure, est discutée depuis plusieurs mois. Remis aujourd’hui au président Hollande, celui-ci devrait proposer des pistes concernant le financement de la création, la lutte contre le téléchargement illégal sur Internet (Hadopi), voire la taxation des géants américains de la Toile. Une chose est cependant à peu près sûre, contrairement à ce que proposait Joost Smiers en 2001 dans cet article qui suscita de nombreuses réactions, cet « Acte II de l’exception culturelle » ne devrait pas plaider en faveur de l’abolition des droits d’auteur.
Il est légitime que les artistes reçoivent une juste rémunération de leur travail. les droits d’auteur semblent représenter l’une de leurs plus importantes sources de revenu. Pourtant, ceux-ci sont en train de devenir l’un des produits les plus commerciaux du XXIe siècle. Le système n’apparaît plus capable de protéger les intérêts de la majorité des musiciens, compositeurs, acteurs, danseurs, écrivains, designers, peintres ou metteurs en scène… Un constat qui pousse à ouvrir un débat sur les chemins à défricher pour assurer aux artistes les moyens de vivre de leur travail, et à leurs créations le respect mérité.
Les grands groupes culturels et d’information couvrent toute la planète avec les satellites et les câbles. Mais posséder tous les tuyaux d’information du monde n’a de sens que si l’on détient l’essentiel du contenu, dont le copyright constitue la forme légale de propriété. Nous assistons actuellement à une foire d’empoigne des fusions dans le domaine de la culture, comme celle d’AOL et de Time Warner. Cela risque d’aboutir à ce que, dans un futur proche, seule une poignée de compagnies disposent des droits de la propriété intellectuelle sur presque toute la création artistique, passée et présente. Tels Bill Gates et sa société Corbis, propriétaires des droits de 65 millions d’images à travers le monde, dont 2,1 millions sont disponibles en ligne [1]
Le concept, autrefois favorable, de droits d’auteur devient ainsi un moyen de contrôle du bien commun intellectuel et créatif par un petit nombre d’industries. Il ne s’agit pas seulement d’abus qu’il serait facile de repérer. L’anthropologue canadienne, spécialiste des droits d’auteur, Rosemary Coombe observe que, « dans la culture de consommation, la plupart des images, des textes, des motifs des labels, des marques, des logos, des dessins, des airs musicaux et même des couleurs sont gouvernés, si ce n’est contrôlés, par le régime de la propriété intellectuelle [2] »
Les conséquences de ce contrôle monopolistique sont effrayantes. Les quelques groupes dominant l’industrie culturelle ne diffusent que les œuvres artistiques ou de divertissement dont ils détiennent les droits. Ils se concentrent sur la promotion de quelques stars, investissent massivement sur elles et gagnent de l’argent sur les produits dérivés. En raison des risques élevés et des exigences de retour sur investissement, le marketing en direction de chaque citoyen du monde est si agressif que toutes les autres créations culturelles sont évacuées du paysage mental de beaucoup de peuples. Au détriment de la diversité des expressions artistiques, dont nous avons désespérément besoin dans une perspective démocratique.
On observe également une juridisation de tout ce qui entoure la création. Les sociétés qui achètent l’ensemble des droits les protègent par des règles extrêmement détaillées, et elles font défendre leurs intérêts par des avocats hautement qualifiés. Du coup, chaque artiste doit faire attention à ce que ces sociétés ne lui volent pas son travail. Il se voit contraint d’embaucher lui aussi des avocats pour défendre son cas, alors même que ses moyens sont beaucoup plus limités.
Vivre décemment du travail créatif
Avec le système des droits d’auteur, les grandes compagnies font fortune. Mais le piratage qui « démocratise » l’utilisation, chez soi, de la musique et autres matériaux artistiques les menace. Avec un chiffre d’affaires de 200 milliards de dollars chaque année, il gâche l’accumulation de capital [3].Toutefois, la lutte contre le piratage semble vaine avec l’invention du MP3, de Napster et de Warapster, etc. Ces derniers rendent possible le téléchargement en quelques minutes d’énormes quantités de musiques, d’images, de films ou de logiciels dans le stock virtuel de données disponibles dans le monde entier. Un phénomène que l’industrie du disque et son association, RIAA (Recording industry association of America), n’apprécient guère.
Philip Kennicott, un chercheur australien, pense que Napster permet de court-circuiter complètement le processus commercial de la fabrication de la musique. « Les Américains, écrit-il, font l’erreur de comparer un certain style de culture populaire - comme les grosses machines produites par l’industrie américaine - avec la culture américaine, comme si les films à grand spectacle et les disques vendus à des millions d’exemplaires étaient, à eux seuls, représentatifs de la création aux Etats-Unis. Il est tentant de croire que les produits de divertissement sont le ciment culturel qui unit les peuples. Mais cette sorte de culture populaire propriété de firmes culturelles est très différente de la culture du peuple, qui n’appartient à personne [4] »
Par ailleurs, l’ordinateur et Internet donnent une occasion unique aux artistes de créer en utilisant des matériaux venant de courants artistiques du monde entier, du passé et du présent. Ils ne font d’ailleurs pas autre chose que ce que leurs prédécesseurs, Bach, Shakespeare et des milliers d’autres, ont fait avant eux. Il a toujours été normal d’utiliser les idées et une partie du travail des précurseurs. Autre chose est le plagiat.
Sur ce phénomène, le philosophe Jacques Soulillou développe un commentaire théorique intéressant : « La raison pour laquelle il est difficile d’administrer la preuve du plagiat dans le domaine de l’art et de la littérature tient au fait qu’il ne suffit pas seulement de montrer que B s’est inspiré de A, sans citer éventuellement ses sources, mais de prouver aussi que A ne s’est inspiré de personne. Le plagiat suppose en effet que la régression de B vers A s’épuise dans celui-ci, car si l’on venait à prouver que A s’inspire et pour ainsi dire plagie un X situé en position d’antériorité chronologique, la dénonciation de A se verrait fragilisée [5]. »
Son analyse rappelle que non seulement le système de droits d’auteur devient de moins en moins tenable, mais aussi qu’il s’est fondé sur un concept moins évident qu’il n’y paraît. Peut-on imaginer un poème créé sans poèmes antérieurs ? Ainsi Rosemary Coombe se demande à quel point l’image d’une star et sa valeur sont dues à ses propres efforts personnels. « Les images de la célébrité doivent être fabriquées… Les images des stars sont le fait des studios, des médias, des agences de relations publiques, des fans-clubs, des échotiers, des photographes, des coiffeurs, des professeurs de gym, des professeurs, des scénaristes, des nègres, des directeurs, des avocats et des médecins [6] ».
N’oublions pas non plus le rôle du public, à propos duquel Marilyn Monroe déclare elle-même : « Si je suis une star, c’est que le public a fait de moi une star, pas les studios ni personne, mais le public [7] ».
A-t-on besoin d’un système de propriété intellectuelle pour promouvoir la création ? Pas vraiment. De plus en plus d’économistes, travaux à l’appui, soulignent que l’expansion des droits d’auteur favorise plus les investisseurs que les créateurs et les interprètes. En fait, 90 % des revenus collectés à ce titre vont à 10 % des artistes. L’économiste britannique Martin Kretschmers conclut que « la rhétorique des droits d’auteur a été largement portée par un troisième partenaire : les éditeurs et les maisons de disques, c’est-à-dire les investisseurs en créativité (plus que les créateurs), devenus les premiers bénéficiaires de cette protection étendue [8] ».
Le système ne joue pas non plus en faveur du tiers-monde. Comme l’explique l’universitaire James Boyle, pour acquérir le droit de propriété intellectuelle, un artiste doit faire ses preuves. « Cette exigence favorise de manière disproportionnée les pays développés. Ainsi le curare, le batik, les mythes et la danse lambada s’envolent des pays en voie de développement sans aucune protection, alors que le Prozac, les pantalons Levi’s, les romans de John Grisham et Lambada, le film, y reviennent protégés par un ensemble de lois sur la propriété intellectuelle [9] ».
Il serait sensé de réfléchir à un autre système plus avantageux pour la diversité de la création artistique. Rosemary Coombe décrit la contradiction qui devrait être résolue : « La culture n’est pas fixée dans des concepts abstraits que nous intériorisons, mais dans la matérialité de signes et de textes sur lesquels nous nous battons et l’impression de ces luttes dans notre conscience. Cette négociation et cette lutte en cours sur le sens sont au cœur du dialogue. Beaucoup d’interprétations des lois sur la propriété intellectuelle étouffent le dialogue en affirmant le pouvoir de la corporation des acteurs de contrôler le sens, en faisant appel au concept abstrait de propriété. Les lois de la propriété intellectuelle privilégient le monologue au dialogue et créent des différentiels de pouvoir importants entre acteurs sociaux engagés dans une lutte hégémonique [10]. » Le concept central est donc le dialogue.
Second objectif d’un nouveau système : que de nombreux artistes, des pays pauvres ou riches, vivent décemment de leur travail créatif. Pour toutes ces raisons, le maintien du système des droits d’auteur en l’état ne s’avère ni désirable ni réalisable.
La relation directe avec l’artiste, telle que la concevait au départ la philosophie du droit d’auteur, n’existe pratiquement plus. Pourquoi ne pas franchir un pas supplémentaire et abolir ce système ? Pourquoi ne pas le remplacer par un autre qui fournirait une meilleure rémunération des artistes du tiers-monde comme de ceux des pays développés, qui respecterait davantage leur travail et ramènerait le domaine public au centre de notre attention ?
Au premier abord, il peut sembler contradictoire que l’artiste d’un pays développé ou du tiers-monde puisse avoir une position plus confortable sans droits d’auteur. Pourtant, cette option doit être considérée sérieusement. Sans doute l’aspect le plus radical de cette proposition réside-t-il dans le fait que l’enthousiasme suscité par les industries culturelles pour leurs stars déclinera. Elles n’auront plus intérêt à investir massivement dans ces « phénomènes » attirant le grand public si elles ne peuvent plus les exploiter de manière exclusive ; ce qui est, après tout, le principe de base des droits d’auteur.
Dans la situation où ces derniers n’existent plus, il n’y a plus d’industries culturelles monopolistiques, déterminant le goût commun par la promotion de leurs vedettes. Pour l’artiste moyen, la situation redeviendrait « normale » : il pourrait de nouveau trouver des marchés et des publics différents, dans son entourage et à une échelle globale via Internet ; il pourrait ainsi gagner normalement sa vie, et même plus.
Les entreprises et autres utilisateurs de matériaux artistiques seraient libérés du paiement des droits d’auteur et de la paperasserie bureaucratique qui leur est inévitablement reliée. Cela ne veut pas dire qu’il ne faudra pas payer l’utilisation d’un travail artistique. Les entreprises et autres utilisateurs commerciaux de créations artistiques et de spectacles ont recours à la musique, aux images, aux dessins, aux textes, à des films, à des chorégraphies, à la peinture, au multimédia… dans le but de susciter des désirs et d’améliorer leurs bénéfices.
Il devrait alors y avoir un impôt prélevé sur les profits des entreprises qui utilisent du matériel artistique par un moyen ou un autre. Cela concerne la quasi-totalité d’entre elles. L’argent ainsi prélevé pourrait être placé sur un fonds spécial, selon des procédures fixées par la loi, avec trois catégories de bénéficiaires : les groupes d’artistes, les artistes individuels et ceux du tiers-monde. Il n’y aurait donc plus de connexion directe - mesurée en quantité, minutes ou autres - entre l’utilisation actuelle du travail d’un artiste et sa rémunération.
Quant aux droits moraux qui devraient protéger l’intégrité du travail artistique et scientifique de la contrefaçon, reconnaissons qu’ils gèlent la création artistique. La conclusion logique devrait être de s’en débarrasser également. Dans la société occidentale, nous avons créé une situation étrange où nous allons devant les tribunaux dès que nous pensons qu’un droit d’auteur a été violé… Mais s’il n’y a pas de propriété au sens absolu, alors il n’y a rien à violer et à traduire en justice. La question centrale dans nos débats devrait être de savoir si l’utilisation (d’une partie) des œuvres d’autres artistes l’a été avec respect et avec l’apport d’une nouvelle créativité. Ou, au contraire, si elle a été bâclée ou ennuyeuse ou objectivement paresseuse ? Un créateur qui emprunte trop facilement à ses prédécesseurs ou à un de ses contemporains sera stigmatisé comme un artiste mineur.
Imaginons cependant qu’une personne copie le travail d’un autre artiste, prétende qu’il s’agisse du sien et le signe de son nom. S’il n’y a ni adaptation, ni commentaire culturel, ni ajout, ni aucune trace de créativité, il s’agit évidemment d’un vol caractérisé, méritant d’être sanctionné.
Désormais, l’objectif devrait être de créer un nouveau système qui garantisse aux artistes des pays occidentaux et à ceux du tiers-monde de meilleurs revenus, qui donne toute sa chance au débat public sur la valeur de la création artistique, qui se préoccupe de l’entretien du domaine public culturel, qui brise le monopole des industries de la culture, vivant du système de droits d’auteur.
Joost Smiers
Directeur du centre de recherches et maître de conférences de l’université des arts, à Utrecht (Pays-Bas). Auteur notamment d’Etat des lieux de la création en Europe. Le tissu culturel déchiré, L’Harmattan, Paris, 1999.
Euh wait.. 73M en mobile, pour 63 M de personnes en france, et environ 55M de personne en age d’avoir un tel , ça fait 130% c’est quand même énorme , sachant que les enfant de 0 à 12ans (environ) n’ont pas de téléphone, ni grand nombre de personnes âgées .
(je me doute bien que les personnes ayant forfait pro et home augmentent la donne, mais quand même : o )
Genre, moi je pompe sur mon illimité 3G à la maiz, et j’ai un autre abo à 2 balles qui me suis.
Y’a aussi des gens qui ont des abo qu’ils payent parce qu’ils sont trop cons/occupés pour résilier alors que pas d’usage, ceux qui ont un compte pour leur maîtresse…
Et suremment quelques opérateurs qui n’assument pas la loosiness de leurs chiffres?
Et les leucémies des enfants, la mort de 250 poules suite a l’implantation d’une antenne, les antennes retirées avant jurisprudence, c’est de l’effet placebo, va en parler aux parents dont les enfants sont morts, la désinformation aussi c’est un effet placebo tant qu’on y est… Après faut pas se demander pourquoi aux Etats-Unis cette année, ils ont décidés de ne surtout pas installer de wifi dans les écoles, tiens la loi est en passage aussi en Europe, les ondes comme je le disais, on est pas tous sensibles, mais ceux qui le sont, faut les faire souffrir pour le bien de tous ?
Toutes les études scientifiques ont prouvé que les ondes sont bonnes pour la santé " /> " />
En fait, ce serait la secte des tueurs de poules et d’enfants qui croient aux ondes sataniques qui serait dangereuse " />
La culture anglaise est compétitive, et ne demande pas de protection… Peut-être que le jeu de la concurrence nous permettrait à nous aussi d’exporter un peu de cette “culture mondialisée” / au lieu d’absorber impôts sur taxes?
Du coup, on pourrait se concentrer sur la préservation de l’environnement. Ou même la régulation des brevets…
Ca me dégoute mais si je me fais l’avocat du diable, je dirais que c’est aussi complètement anormal qu’on puisse voir une vidéo de qqun qui se fait décapiter sur Facebook, et que ce même Facebook rechigne à la retirer. Après, si des gamins peuvent voir ça, faut pas s’étonner qu’il y ait besoin de régulation (Allez pas me dire que les parents doivent surveiller ce à quoi leurs gamins ont accès sur internet. Là, c’était sur Facebook).
C’est éxactement ce qu’a dit je ne sais plus qui à propos des Google glass. C’est génial, mais il suffit qu’un con en fasse une utilisation illégale ou amorale pour que la chasse aux sorcière commence. C’est pareil pour internet.
La décapitation peut paraitre cruelle. En réalité, c’est un moyen très humain de punir de façon définitive un criminel, ou un élu faisant passer des lois profitant à des intérêts particuliers et/ou antidémocratique.
Face à la corruption générale en Rance, un bon retour de la Terreur, avec diffusion des executions, ne ferait pas forcement de mal à la société française…
Lescure devait évaluer l’action de CSAdopi après quelques années. Pensez à réclamer vos 2 avertissements tout les 18 mois pour faire pression.
Moi, je pars me mettre une balle dans la tête à Notre-Dame pour protester contre ce simulacre de démocratie " />
Au collège, tu devrais apprendre les ordres de grandeur, patience… " />
S’il faut enseigner que l’ordre de grandeur de “près de 15 mois”, c’est 18 mois, il va falloir que je me reconvertisse.
Après parait que free(M) recrutte, donc pourquoi pas.
Il parait aussi qu’ils attendent une petite baisse de régime (saisonnière?) pour lancer une bombe dans de bonnes conditions.
Il est donc probable que la tendance se poursuive au cours de ce second trimestre où nous sommes. Et que freem ait de quoi la prolonger. Ou l’accentuer, parce que là, il faut quand même attendre 2030 pour arriver au monopole concurrentiel…
Des ayant-droits qui cherchent des moyens de faire vivre leurs artistes le mieux possible de leurs oeuvres. Plutôt que des ayant-droit prêts à tout pour s’en mettre plein les poches et corrompre à foison.
Y’a pas à dire, tout les possibles existent. Respect pour la SPEDIDAM " />
Et vive l’amendement Licence Globale voté par les députés, comme pendant DADVSI, mais pas retiré illégalement cette fois " />
Je ne me fais pas trop d’illusions, avant nous avions un gouvernement qui n’a fait que vider les caisses de l’état au profit d’un petit nombre et laisser une ardoise monstrueuse à la France (nous), et maintenant nous avons un gouvernement d’incompétents, incapable d’appliquer leur propre programme pour lequel ils ont été élu, bref tout va bien chez nous, la vie continue. J’imagine déjà les têtes de certains au soir des prochaines élections quand ils seront la troisième force politique derrière le Parti Pirate et l’UMP et surtout le FN.
Tu vois Nick le CSA c’est comme cette Procureuse suèdoise et néanmoins laide:
C’est l’ennemi, qui devrait être banni à vie d’internet.
Comme Jean Dujardin, Patrick Sébastien et leurs accolites liberticides de l’“exception culturelle française” (en fait un gros repère de fonctionnaires dissimulés et payés à produire des étrons).
Tu vois c’est pareil, Nick le CSA! " />
A moins qu’elle veuille dire que les terroristes sont de leur point de vue également des résistants, acculés à la violence? " />
Le financement des séries à l’export représente par exemple plus de 20% pour des séries de HBO, on voit clairement que l’export ça n’est pas 1% et donc que ça a du poids.
Il y a eu effectivement quelques séries, rares, qui ont été prolongés d’une saison car elles marchaient fort à l’étranger, mais bon impossible de continuer si ton marché intérieur suis pas…
comment il faisaient il y a 20 ans ? c’est simple, les couts de production des séries étaient bien moins cher qu’aujourd’hui et donc le marché américain suffisait, l’étranger c’était du bonus…
Maintenant ce n’est clairement plus le cas, le marché international a du poids et la diffusion de la culture US à travers le monde se fait également par leurs séries en plus du cinéma.
Du coup, font-ils jeu double, réprimant le net pour l’asservir, et nous poussant à nous révolter, affaiblissant notre lien avec Notre Culture faite de GOT, de True Blood et de pas mal de zik US?
Devons-nous boycotter ou pas les achats? Ou est l’issue face à leurs malversations?" />
Vive la culture libre et la création foisonnante! " />
894 commentaires
NSA : la « victoire formidable » de l’EFF contre le secret défense
10/07/2013
Le 10/07/2013 à 16h 48
Du coup les fuites c’est bien sympa. Y’a plus qu’à espérer que Snowden continue de vider son sac et nous en apprenne encore des bonnes (pas touche!) " />
Hadopi : la suspension est abrogée, l’échange avec les FAI est automatisé
09/07/2013
Le 09/07/2013 à 20h 07
Tel Wilson Wilson, je suis invisible, et de toute façon, je ne dirais rien!
“-Where is Jessica Hyde
-Where is Jessica Hyde (…)
-She died, there was an accident”
UtopiAdopi powa!
Le premier qui me traite de traître… " /> (Ouda Rab)
SFR estime avoir été floué lors de l’attribution des fréquences 4G en 2011
09/07/2013
Le 09/07/2013 à 18h 42
Le 09/07/2013 à 17h 30
Drépanocytose, en 15 ans de télephonie mobile, je ne suis jamais resté aussi longtemps fidèle que ces 18 derniers mois. Les “modalités du contrat” n’étaient pas sincères: j’avais des obligations à tenir, et ce n’était pas réciproque (surfacturations et facturisations abusives).
“Oui mais si c’était vrai, tu aurais du faire valoir tes droits” -> Non, Drep. les choses ne sont pas toujours si simples!
Que SFR vienne se plaindre d’avoir trop payé après avoir fait une vraie razzia sur les fréquences aux enchères? Non mais allo quoi!? J’ai envie de mourir de rire. " />
Paradoxalement aujourd’hui j’ai droit à tout, et plus d’obligation " />
De la Hadopi au CSA, pourquoi la musique a rejeté l’amende de 60 euros
09/07/2013
Le 09/07/2013 à 16h 29
Mais pourquoi sont-ils aussi méchants? " />
©Restezvivants
Ceci dit, pirater la musique, en publique… ça. ressemble à un truc de noob.
Au pire, on peut faire ça discretement (vpn?) légalement (podcasts?) ou geekment (audacity?)
Dire qu’il suffirait d’anéantir la planète pour que plus personne n’ai d’accès gratuit à la culture. Oh, wait… " /> " />
Moi, j’adore acheter des disques. Quand le climat des affaires le permet, genre pas l’impression de payer pour financer une répression nazie, et parce que je suis un peu old-school " /> " />
Publication imminente du décret supprimant la suspension Hadopi
08/07/2013
Le 09/07/2013 à 00h 39
“Pour ma part ma préoccupation majeure est de garantir les libertés individuelles. »
Et en plus elle est trop canon <3 ©moi
Je vois pas pourquoi vous excluez qu’elle travaille sur la LG… C’est pas comme s’il y avait d’autres issues " />
Snowden : la France contraint le président bolivien à atterrir d’urgence
03/07/2013
Le 03/07/2013 à 19h 12
Le 03/07/2013 à 15h 24
Chômage de masse, épuisement des ressources, dettes collosales… on arriverait à la fin d’un cycle, et on nous dirigerait vers la Guerre?
Contre Ousadam bin Snowden et la puissante Bolivie? " />
Chezpas moa, mais ici ou là-bas… Avec linternet pour pouvoir voir la famille… (tant qu’on nous l’a pas coupé pour nous la couper)
Bolivie-democracy mon amour " /> " />
Snowden demande l’asile politique à plusieurs pays, dont la France
02/07/2013
Le 02/07/2013 à 17h 21
Arnaud Montebourg relocalise son débat sur YouTube
02/07/2013
Le 02/07/2013 à 16h 09
Tout ça pour être sûr d’être immortalisé par PRISM. Vanité, vanité…
" />
Sinon, j’espère que quelqu’un demandera ce qu’il compte faire contre la chûte des tarifs dans les télécoms qui met en danger nos champions nationnaux et tue toute innovation " />
Moi je peux pas, j’ai mal aux côtes rien qu’à y penser " />
L’exception culturelle, le cadenas des abonnés aux chaînes payantes
01/07/2013
Le 01/07/2013 à 20h 16
C’est une affaire pour aider à la mise en bourse prochaine de Canal+
Ses coûts ne sont rien vis à vis de sa rentabilité, et Vivendi va pouvoir s’en mettre plein les poches.
Quand la Licence Globale va arriver, les actionnaires pourront pleurer les économies qu’ils aurront investis.
Le 01/07/2013 à 16h 06
“Nous sommes tous d’accord, me semble-t-il, pour faire en sorte que les acteurs publics et privés contribuent à financer la culture et la création dans ce pays. »
La peste soit de la corruption! RAF de la culture française, mon pays, ma culture, c’est la Terre!
Sinon, pour les réengagements, il faudrait faire quelque chose. Je sens que TBB va reconduire ma licence globale tacitement, encore, sinon " />
Quid des assurances, autres margoulins qui devaient pouvoir être résiliés à tout moment? " />
Les Femen s’insurgent contre la fermeture de leurs pages Facebook
01/07/2013
Le 01/07/2013 à 19h 06
Les gars, reflechissez au fait que Marianne, l’emblème même de notre République, est une Femen! CES seins nus sont le symbole de SA liberté, de la vie qu’elle est prête à donner pour être prise au sérieux.
Les “fachos” comme elles les entendent, ce sont aussi ces violeurs de femmes de chambre qui passent de peu à côté des plus hautes fonctions, alors qu’elles: chez nous, et 60 ans après leur droit de vote elles restent minoritaires chez ceux censés nous représenter; et là où elles agissent en priorité, elles sont déshumanisées à en être cachée sous des burkas! Leur combat nous interroge, prenons garre à ne pas insulter nos mères et sœurs parce qu’on aura perçu une agression contre notre virilité (qui n’est pas déniable, mais qui est un appel à notre intelligence).
Le 01/07/2013 à 17h 05
Je viens d’ajouter Femen France sur mon FB, donc ça c’est arrangé cette histoire de censure?
Continuez le combat petites sœurs, pardon pour nos réflexes machistes contre lesquels vous nous demandez de lutter!
La femme dans notre société, c’est ça, comme l’a montré Saez:
http://saint-epondyle.net/blog/2012/09/21/damien-saez-jaccuse/
Vivent les femmes libres! Vivent les Pussy Riots libres! Vive Radio-Ragazza. Mort au patriarcat! " />
Les rapports sur les 25 % de la copie privée sont incopiables
01/07/2013
Le 01/07/2013 à 16h 16
Une invitation qui ressemble à une journée “portes ouvertes”-fermées de la Hadopi… " />
Etude Hadopi sur le partage non marchand, la Spedidam h.e.u.r.e.u.s.e !
29/06/2013
Le 30/06/2013 à 08h 33
Le 29/06/2013 à 21h 39
Marie-Françoise, quand je te regarde je suis tout " /> c’est toi qui me fait ça? " />
Bon alors ok pour 13.37€/mois, HT si tu insistes. En outre de la taxation des teams, et de l’hébergement par P2P, rapportant les coûts de diffusion vers 0€, tu pourras faire passer ton système par un software ajoutant de la pub à l’œuvre. En sus de l’aide à la création, la rémunération de l’œuvre pourra recourir à un système de notation. Genre 10€/mois/nbre_de_like…
Passe encore le cumul avec la copie privée, qui pourrait adopter la même découpe pour la rémunération des artistes. Qu’est-ce que tu peux me rendre conciliant Ch3rie… Par contre, il va falloir oublier la redevance FranceTv sur les foyers sans TV, sinon c’est la guerre! " /> (encore)
En échange, aussi, je viendrai t’aider à saigner les noobs qui auraient cherché à contourner notre belle création, le soir venu, mon Uggly Witch @ moi " /> " />
Snowden : l’Équateur montre les crocs devant les menaces américaines
28/06/2013
Le 29/06/2013 à 09h 50
Pourquoi ne pas mettre en place un embargo mondial contre les USA, pour leur apprendre à vivre?!
On pourrait les exclure jusqu’à ce que les CNIL puissent vérifier avec tout pouvoir la bonne destruction des données personnelles illégales. On pourrait leur fermer la porte jusqu’à ce qu’ils reconnaissent que le 11092001 et les missions lunaires, c’est du cinéma. On pourrait exiger la destruction de TOUTES leurs armes de destruction massives (si si, il y en a!) et de leurs stocks de 4*4 civils, et demander la tête de leurs terroristes frères Bin Laden & JW Bush sur un plateau " />
Copie privée : Free a versé 30 millions d’euros pour sa Révolution
25/06/2013
Le 26/06/2013 à 00h 09
Je suis content d’avoir pris la freebox-tupperware plutôt que la fReevolution du coup. Une plus faible partie de mes 0€ par mois (mobile inclu, mais pas la tv) ira à ces salauds de taxeurs. Merci Free <3
En plein scandale Prism, la Défense explique ses préférences pour Microsoft
24/06/2013
Le 25/06/2013 à 00h 04
Cour martiale et poteau d’exécution, pour la stupidité des arguments faisant feu de tout bois, et accessoirement pour trahion des intérêts des peuples qu’ils sont supposés protéger. " />
Pour rappel on a cherché à mettre au point Galileo justement pour ne pas être susceptible d’être privé de géolocalisation à la moindre volonté de nos “amis américains”. Tellement amis qu’ils n’hésitent jamais à venir forcer la main aux européens pour faire adopter toute législation qui les arrange. Des amis qu’on pourrait recevoir sur des îles paradisiaques à la Guantanamo, et à qui on devrait offrir des voyages off-shores vers des centres de loisirs torture.
[MàJ] La peine du co-fondateur de The Pirate Bay réduite à un an de prison
25/09/2013
Le 21/06/2013 à 18h 37
Et la traduction demandée
Devant le tribunal, le fondateur de ThePirateBay nie toutes les accusations de piratage de Logika
By Blackistef | on mai 29, 2013 | 0 Comment
Toute l’actu
Purgeant toujours sa peine de prison, Gottfrid Svartholm co-fondateur de Pirate Bay, accusé cette fois-ci d’avoir participé au piratage de Logica (une société travaillant avec les autorités fiscales locales), est passé cette semaine devant le tribunal.
Gottfrid a nié toutes les accusations présentées , notamment des éléments de preuve trouvés sur son ordinateur. Il explique que quelqu’un d’autre a du avoir accès à son ordinateur lorsqu’il habitait au Cambodge.
Il a également nié avoir fui la Suède pour éviter sa peine de prison liée à PirateBay, indiquant qu’il était tout simplement parti parce-qu’il n’était « plus un grand fan de la Suède. »
Ci-dessous, quelques-unes des déclarations de Gottfrid:
« Les deux ordinateurs sont des ordinateurs « laboratoire » servant au développement de logiciels, ils étaient accessibles par d’autres, à la fois physiquement et également à distance via Internet. »
« Ce n’est pas moi qui a écrit cela! »
« J’avais un assez grand appartement et beaucoup de gens étaient présents, c’est donc possible. Mais personnellement, je pense que c’est arrivé à distance «
L’affaire se poursuit.
https://torrentfreak.com/pirate-bay-founder-denies-hacking-charges-in-court-1305…
torrentnews.net/2013/05/29/devant-le-tribunalle-fondateur-de-thepiratebay-ynie-toutes-les-accusations-de-piratage/
Moi, je prend un aller-simple pour Guantanamo, histoire de pas être une charge trop lourde pour le contribuable ricain. " />
Le 21/06/2013 à 18h 30
Le 21/06/2013 à 00h 12
Le 20/06/2013 à 20h 35
Et un prisonnier politique, un!
Gottfrid a expliqué avoir vécu en communauté, et que n’importe qui pouvait avoir eu accès à sa machine pour monter ce coup.
Les créateurs de TPB sont sensés avoir gagner leur blinde, non? Pourquoi iraient-ils attaquer les banques?? À qui profite le crime? Aux majors, CQFD.
Après le fiasco de l’arrestation de Dotcom, ces affaires vont finir par faire pchitt BOOM
Autant condamner ses prétendues victimes pour non sécurisation de données sensibles, que Gottfrid pour non sécurisation de son internet " />
Et si les opérateurs mobiles français proposaient de la data illimitée ?
15/06/2013
Le 16/06/2013 à 08h 19
Je suis en full-3G depuis avril ou mai passé. En fait depuis le jour même où freeM a permis la migration 2€ vers 19.99, que j’attendais impatiemment depuis 2 mois. J’avais rendu ma fReevolution chérie en anticipation.
Depuis j’ai apris à vivre en bas-débit, le fair-use durant de moins en moins longtemps: ce mois j’ai consommé celui-ci en quelques heures, et je pompe en moyenne 1G/jour. 25.25Go ce jour et il me reste 4 jours à tenir (record!)
Autant pire que je prie Dieu Niel chaque jour pour la 4G :) Des problèmes de connection sur mon antenne freeM week-end passé sur 4 jours, jamais vus avant, me donnent l’espoir d’une préparation du lancement tant attendu <3
Justification du blocage : des députés PS confondent charrue et boeuf
15/06/2013
Le 16/06/2013 à 07h 34
Après les républiques bananières, la démocratie cornichon….
Sinon la Dgccrf peut regarder du côté de Direct Energie qui ne permet toujours pas les autorelèves libres que permettent ses CGV, et que permettait Poweo avant la fusion.
Au lieu de prétendre PURifier le net!
Bouygues dépose un recours contre le coût de la 4G sur la bande 1800 MHz
14/06/2013
Le 15/06/2013 à 07h 20
“racket” est d’origine anglo-saxonne?
En bon français on parle de “redevance”.
C’est beau de voir qu’on parle le bon français ici.
Les ondes c’est du vent. Non! C’est encore moins que ça.
Et pour les utiliser, c’est “redevance” sur racket “redevance” " />
Rendre au Peuple ce qui lui appartient: la Liberté de circuler, wireless et racketless included! " />
Hadopi : « un accident de parcours » selon Jean-Michel Jarre
06/06/2013
Le 09/06/2013 à 10h 17
C’est bien que les artistes soient dédommagés de l’énergie et de la créativité qu’ils mettent dans leur art, et c’est au moins aussi important de faire en sorte que chacun y ait accès <- idées contradictoires à réconcilier!
Scam : vers une redevance TV de 160 €, étendue aux PC, tablettes et mobiles
06/06/2013
Le 08/06/2013 à 10h 28
Si ils associent leur Redevance (sans Licence Globale incluse) à l’impôt, ça sera une bonne raison de ne plus payer ceux-ci. Ou de ne plus réctifier leurs déclaration pré-remplie, ce qui revient au même pour moi.
Cool, je vais être riche enfin! À Scam, scam et demie " />
Le siège d’Iliad visité par la DGCCRF, Free Mobile dans le collimateur
05/06/2013
Le 07/06/2013 à 21h 27
Le 05/06/2013 à 18h 52
Bah la DGCCRF fait ce que lui demande son patron-Dieu du ministère.
Normal quoi. On est en théocratie [vive nos dirigeants bien-aimés qui veillent à notre bonheur], pas en démocratie ou dans un état de droit. " />
Aurélie Filippetti tente de rassurer les agents de la Hadopi
05/06/2013
Le 05/06/2013 à 20h 13
Heu, j’ai loupé un truc ou le CSA ne veut rien avoir à faire avec la répression du peuple, graduée ou pas. Et donc n’a aucune raison d’intégrer cette bande de traîtres…
La seulle victoire possible pour les ayants-droit, c’est la Licence Globale et les milliards qui l’accompagne. La répression est un bloqueur de buisness inutile et néfaste au climat des affaires.
RIP Adopitres, vive l’euthanasie! [que la ministre prenne publiquement position « sans attendre et sans ambiguïté sur le sort de l’ensemble des agents de la Haute autorité ».]
Projet de loi sur l’École : le gouvernement ne donne plus la priorité au libre
03/06/2013
Le 03/06/2013 à 20h 14
France Télécom nous dit adieu
28/05/2013
Le 28/05/2013 à 20h 06
Cet été, ils seront tout Orange.
L’été prochain tout Bleus.
En 2015, 5 clients représentativement séléctionnés par Bleu choisiront une couleur.
Puis bientôt, le restant des clients deviendra free :-P
Représentativité : la Quadrature du Net réplique à Pierre Lescure
27/05/2013
Le 27/05/2013 à 20h 18
Pierre Lescure présentera ses conclusions au CNNum le 7 juin prochain
27/05/2013
Le 27/05/2013 à 19h 06
http://www.monde-diplomatique.fr/2001/09/SMIERS/15604
Un changement de paradigme nécessaire qui aura “échappé” à Lescure.
Pour rappel le “piratage” est le meilleur moyen de promouvoir (gratuitement) l’offre “légale”.
Réussite d’Adopi se mesure à la baisse de fréquentation des salles de ciné, achats CD et DVD??
Continuez à vous enfoncer, et merci pour la légalisation de fait du P2P gratuit en deça de 2 avertissements sur une période définie " />
Le 27/05/2013 à 18h 58
La propriété intellectuelle, c’est le vol !
lundi 13 mai 2013, par Joost Smiers
« Rapport Lescure » : c’est sous ce nom que la « contribution aux politiques culturelles à l’ère numérique », dirigée par M. Pierre Lescure, est discutée depuis plusieurs mois. Remis aujourd’hui au président Hollande, celui-ci devrait proposer des pistes concernant le financement de la création, la lutte contre le téléchargement illégal sur Internet (Hadopi), voire la taxation des géants américains de la Toile. Une chose est cependant à peu près sûre, contrairement à ce que proposait Joost Smiers en 2001 dans cet article qui suscita de nombreuses réactions, cet « Acte II de l’exception culturelle » ne devrait pas plaider en faveur de l’abolition des droits d’auteur.
Il est légitime que les artistes reçoivent une juste rémunération de leur travail. les droits d’auteur semblent représenter l’une de leurs plus importantes sources de revenu. Pourtant, ceux-ci sont en train de devenir l’un des produits les plus commerciaux du XXIe siècle. Le système n’apparaît plus capable de protéger les intérêts de la majorité des musiciens, compositeurs, acteurs, danseurs, écrivains, designers, peintres ou metteurs en scène… Un constat qui pousse à ouvrir un débat sur les chemins à défricher pour assurer aux artistes les moyens de vivre de leur travail, et à leurs créations le respect mérité.
Les grands groupes culturels et d’information couvrent toute la planète avec les satellites et les câbles. Mais posséder tous les tuyaux d’information du monde n’a de sens que si l’on détient l’essentiel du contenu, dont le copyright constitue la forme légale de propriété. Nous assistons actuellement à une foire d’empoigne des fusions dans le domaine de la culture, comme celle d’AOL et de Time Warner. Cela risque d’aboutir à ce que, dans un futur proche, seule une poignée de compagnies disposent des droits de la propriété intellectuelle sur presque toute la création artistique, passée et présente. Tels Bill Gates et sa société Corbis, propriétaires des droits de 65 millions d’images à travers le monde, dont 2,1 millions sont disponibles en ligne [1]
Le concept, autrefois favorable, de droits d’auteur devient ainsi un moyen de contrôle du bien commun intellectuel et créatif par un petit nombre d’industries. Il ne s’agit pas seulement d’abus qu’il serait facile de repérer. L’anthropologue canadienne, spécialiste des droits d’auteur, Rosemary Coombe observe que, « dans la culture de consommation, la plupart des images, des textes, des motifs des labels, des marques, des logos, des dessins, des airs musicaux et même des couleurs sont gouvernés, si ce n’est contrôlés, par le régime de la propriété intellectuelle [2] »
Les conséquences de ce contrôle monopolistique sont effrayantes. Les quelques groupes dominant l’industrie culturelle ne diffusent que les œuvres artistiques ou de divertissement dont ils détiennent les droits. Ils se concentrent sur la promotion de quelques stars, investissent massivement sur elles et gagnent de l’argent sur les produits dérivés. En raison des risques élevés et des exigences de retour sur investissement, le marketing en direction de chaque citoyen du monde est si agressif que toutes les autres créations culturelles sont évacuées du paysage mental de beaucoup de peuples. Au détriment de la diversité des expressions artistiques, dont nous avons désespérément besoin dans une perspective démocratique.
On observe également une juridisation de tout ce qui entoure la création. Les sociétés qui achètent l’ensemble des droits les protègent par des règles extrêmement détaillées, et elles font défendre leurs intérêts par des avocats hautement qualifiés. Du coup, chaque artiste doit faire attention à ce que ces sociétés ne lui volent pas son travail. Il se voit contraint d’embaucher lui aussi des avocats pour défendre son cas, alors même que ses moyens sont beaucoup plus limités.
Vivre décemment du travail créatif
Avec le système des droits d’auteur, les grandes compagnies font fortune. Mais le piratage qui « démocratise » l’utilisation, chez soi, de la musique et autres matériaux artistiques les menace. Avec un chiffre d’affaires de 200 milliards de dollars chaque année, il gâche l’accumulation de capital [3].Toutefois, la lutte contre le piratage semble vaine avec l’invention du MP3, de Napster et de Warapster, etc. Ces derniers rendent possible le téléchargement en quelques minutes d’énormes quantités de musiques, d’images, de films ou de logiciels dans le stock virtuel de données disponibles dans le monde entier. Un phénomène que l’industrie du disque et son association, RIAA (Recording industry association of America), n’apprécient guère.
Philip Kennicott, un chercheur australien, pense que Napster permet de court-circuiter complètement le processus commercial de la fabrication de la musique. « Les Américains, écrit-il, font l’erreur de comparer un certain style de culture populaire - comme les grosses machines produites par l’industrie américaine - avec la culture américaine, comme si les films à grand spectacle et les disques vendus à des millions d’exemplaires étaient, à eux seuls, représentatifs de la création aux Etats-Unis. Il est tentant de croire que les produits de divertissement sont le ciment culturel qui unit les peuples. Mais cette sorte de culture populaire propriété de firmes culturelles est très différente de la culture du peuple, qui n’appartient à personne [4] »
Par ailleurs, l’ordinateur et Internet donnent une occasion unique aux artistes de créer en utilisant des matériaux venant de courants artistiques du monde entier, du passé et du présent. Ils ne font d’ailleurs pas autre chose que ce que leurs prédécesseurs, Bach, Shakespeare et des milliers d’autres, ont fait avant eux. Il a toujours été normal d’utiliser les idées et une partie du travail des précurseurs. Autre chose est le plagiat.
Sur ce phénomène, le philosophe Jacques Soulillou développe un commentaire théorique intéressant : « La raison pour laquelle il est difficile d’administrer la preuve du plagiat dans le domaine de l’art et de la littérature tient au fait qu’il ne suffit pas seulement de montrer que B s’est inspiré de A, sans citer éventuellement ses sources, mais de prouver aussi que A ne s’est inspiré de personne. Le plagiat suppose en effet que la régression de B vers A s’épuise dans celui-ci, car si l’on venait à prouver que A s’inspire et pour ainsi dire plagie un X situé en position d’antériorité chronologique, la dénonciation de A se verrait fragilisée [5]. »
Son analyse rappelle que non seulement le système de droits d’auteur devient de moins en moins tenable, mais aussi qu’il s’est fondé sur un concept moins évident qu’il n’y paraît. Peut-on imaginer un poème créé sans poèmes antérieurs ? Ainsi Rosemary Coombe se demande à quel point l’image d’une star et sa valeur sont dues à ses propres efforts personnels. « Les images de la célébrité doivent être fabriquées… Les images des stars sont le fait des studios, des médias, des agences de relations publiques, des fans-clubs, des échotiers, des photographes, des coiffeurs, des professeurs de gym, des professeurs, des scénaristes, des nègres, des directeurs, des avocats et des médecins [6] ».
N’oublions pas non plus le rôle du public, à propos duquel Marilyn Monroe déclare elle-même : « Si je suis une star, c’est que le public a fait de moi une star, pas les studios ni personne, mais le public [7] ».
A-t-on besoin d’un système de propriété intellectuelle pour promouvoir la création ? Pas vraiment. De plus en plus d’économistes, travaux à l’appui, soulignent que l’expansion des droits d’auteur favorise plus les investisseurs que les créateurs et les interprètes. En fait, 90 % des revenus collectés à ce titre vont à 10 % des artistes. L’économiste britannique Martin Kretschmers conclut que « la rhétorique des droits d’auteur a été largement portée par un troisième partenaire : les éditeurs et les maisons de disques, c’est-à-dire les investisseurs en créativité (plus que les créateurs), devenus les premiers bénéficiaires de cette protection étendue [8] ».
Le système ne joue pas non plus en faveur du tiers-monde. Comme l’explique l’universitaire James Boyle, pour acquérir le droit de propriété intellectuelle, un artiste doit faire ses preuves. « Cette exigence favorise de manière disproportionnée les pays développés. Ainsi le curare, le batik, les mythes et la danse lambada s’envolent des pays en voie de développement sans aucune protection, alors que le Prozac, les pantalons Levi’s, les romans de John Grisham et Lambada, le film, y reviennent protégés par un ensemble de lois sur la propriété intellectuelle [9] ».
Il serait sensé de réfléchir à un autre système plus avantageux pour la diversité de la création artistique. Rosemary Coombe décrit la contradiction qui devrait être résolue : « La culture n’est pas fixée dans des concepts abstraits que nous intériorisons, mais dans la matérialité de signes et de textes sur lesquels nous nous battons et l’impression de ces luttes dans notre conscience. Cette négociation et cette lutte en cours sur le sens sont au cœur du dialogue. Beaucoup d’interprétations des lois sur la propriété intellectuelle étouffent le dialogue en affirmant le pouvoir de la corporation des acteurs de contrôler le sens, en faisant appel au concept abstrait de propriété. Les lois de la propriété intellectuelle privilégient le monologue au dialogue et créent des différentiels de pouvoir importants entre acteurs sociaux engagés dans une lutte hégémonique [10]. » Le concept central est donc le dialogue.
Second objectif d’un nouveau système : que de nombreux artistes, des pays pauvres ou riches, vivent décemment de leur travail créatif. Pour toutes ces raisons, le maintien du système des droits d’auteur en l’état ne s’avère ni désirable ni réalisable.
La relation directe avec l’artiste, telle que la concevait au départ la philosophie du droit d’auteur, n’existe pratiquement plus. Pourquoi ne pas franchir un pas supplémentaire et abolir ce système ? Pourquoi ne pas le remplacer par un autre qui fournirait une meilleure rémunération des artistes du tiers-monde comme de ceux des pays développés, qui respecterait davantage leur travail et ramènerait le domaine public au centre de notre attention ?
Au premier abord, il peut sembler contradictoire que l’artiste d’un pays développé ou du tiers-monde puisse avoir une position plus confortable sans droits d’auteur. Pourtant, cette option doit être considérée sérieusement. Sans doute l’aspect le plus radical de cette proposition réside-t-il dans le fait que l’enthousiasme suscité par les industries culturelles pour leurs stars déclinera. Elles n’auront plus intérêt à investir massivement dans ces « phénomènes » attirant le grand public si elles ne peuvent plus les exploiter de manière exclusive ; ce qui est, après tout, le principe de base des droits d’auteur.
Dans la situation où ces derniers n’existent plus, il n’y a plus d’industries culturelles monopolistiques, déterminant le goût commun par la promotion de leurs vedettes. Pour l’artiste moyen, la situation redeviendrait « normale » : il pourrait de nouveau trouver des marchés et des publics différents, dans son entourage et à une échelle globale via Internet ; il pourrait ainsi gagner normalement sa vie, et même plus.
Les entreprises et autres utilisateurs de matériaux artistiques seraient libérés du paiement des droits d’auteur et de la paperasserie bureaucratique qui leur est inévitablement reliée. Cela ne veut pas dire qu’il ne faudra pas payer l’utilisation d’un travail artistique. Les entreprises et autres utilisateurs commerciaux de créations artistiques et de spectacles ont recours à la musique, aux images, aux dessins, aux textes, à des films, à des chorégraphies, à la peinture, au multimédia… dans le but de susciter des désirs et d’améliorer leurs bénéfices.
Il devrait alors y avoir un impôt prélevé sur les profits des entreprises qui utilisent du matériel artistique par un moyen ou un autre. Cela concerne la quasi-totalité d’entre elles. L’argent ainsi prélevé pourrait être placé sur un fonds spécial, selon des procédures fixées par la loi, avec trois catégories de bénéficiaires : les groupes d’artistes, les artistes individuels et ceux du tiers-monde. Il n’y aurait donc plus de connexion directe - mesurée en quantité, minutes ou autres - entre l’utilisation actuelle du travail d’un artiste et sa rémunération.
Quant aux droits moraux qui devraient protéger l’intégrité du travail artistique et scientifique de la contrefaçon, reconnaissons qu’ils gèlent la création artistique. La conclusion logique devrait être de s’en débarrasser également. Dans la société occidentale, nous avons créé une situation étrange où nous allons devant les tribunaux dès que nous pensons qu’un droit d’auteur a été violé… Mais s’il n’y a pas de propriété au sens absolu, alors il n’y a rien à violer et à traduire en justice. La question centrale dans nos débats devrait être de savoir si l’utilisation (d’une partie) des œuvres d’autres artistes l’a été avec respect et avec l’apport d’une nouvelle créativité. Ou, au contraire, si elle a été bâclée ou ennuyeuse ou objectivement paresseuse ? Un créateur qui emprunte trop facilement à ses prédécesseurs ou à un de ses contemporains sera stigmatisé comme un artiste mineur.
Imaginons cependant qu’une personne copie le travail d’un autre artiste, prétende qu’il s’agisse du sien et le signe de son nom. S’il n’y a ni adaptation, ni commentaire culturel, ni ajout, ni aucune trace de créativité, il s’agit évidemment d’un vol caractérisé, méritant d’être sanctionné.
Désormais, l’objectif devrait être de créer un nouveau système qui garantisse aux artistes des pays occidentaux et à ceux du tiers-monde de meilleurs revenus, qui donne toute sa chance au débat public sur la valeur de la création artistique, qui se préoccupe de l’entretien du domaine public culturel, qui brise le monopole des industries de la culture, vivant du système de droits d’auteur.
Joost Smiers
Directeur du centre de recherches et maître de conférences de l’université des arts, à Utrecht (Pays-Bas). Auteur notamment d’Etat des lieux de la création en Europe. Le tissu culturel déchiré, L’Harmattan, Paris, 1999.
Mobile : 2012 est l’année de tous les records selon l’ARCEP
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La culture anglaise est compétitive, et ne demande pas de protection… Peut-être que le jeu de la concurrence nous permettrait à nous aussi d’exporter un peu de cette “culture mondialisée” / au lieu d’absorber impôts sur taxes?
Du coup, on pourrait se concentrer sur la préservation de l’environnement. Ou même la régulation des brevets…
idées comme ça en passant " />
Rapport Lescure : découvrez les futures compétences du CSA du Net
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20/05/2013
Le 20/05/2013 à 07h 55
Et l’autre “avantage” des pros reste de ne pas pouvoir résilier la 2ème année d’engagement comme le prévoit la loi Chatel?
Des millions de “pros” = pigeons donnant leur code SIRET, pour… rien en plus, et plein en moins (y compris en temps pour se défendre) " />
Webcam et sites porno au boulot, une faute grave
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Le 19/05/2013 à 16h 19
Si l’Éta ( Justice compr-om-ise) virait tout les branleurs qu’il paye grassement, c’est lui qui nous payerait des impôts " />
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Free Mobile dépasse les 6 millions de clients, soit 870 000 de plus en 3 mois
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Le 18/05/2013 à 11h 01
Acte 2 : la SPEDIDAM déçue par cette « répression qui ne rapporte rien »
16/05/2013
Le 16/05/2013 à 20h 23
Des ayant-droits qui cherchent des moyens de faire vivre leurs artistes le mieux possible de leurs oeuvres. Plutôt que des ayant-droit prêts à tout pour s’en mettre plein les poches et corrompre à foison.
Y’a pas à dire, tout les possibles existent. Respect pour la SPEDIDAM " />
Et vive l’amendement Licence Globale voté par les députés, comme pendant DADVSI, mais pas retiré illégalement cette fois " />
Filippetti promet un « changement radical de philosophie » sur Hadopi
14/05/2013
Le 15/05/2013 à 18h 31
Piratage : un procureur suédois souhaite un durcissement des sanctions
14/05/2013
Le 14/05/2013 à 18h 20
Tu vois Nick le CSA c’est comme cette Procureuse suèdoise et néanmoins laide:
C’est l’ennemi, qui devrait être banni à vie d’internet.
Comme Jean Dujardin, Patrick Sébastien et leurs accolites liberticides de l’“exception culturelle française” (en fait un gros repère de fonctionnaires dissimulés et payés à produire des étrons).
Tu vois c’est pareil, Nick le CSA! " />
A moins qu’elle veuille dire que les terroristes sont de leur point de vue également des résistants, acculés à la violence? " />
Le CSA et l’amende, les nouveaux masques de la Hadopi
13/05/2013
Le 13/05/2013 à 17h 48
Une société de production réclame 1 million $ à l’hébergeur FileServe
13/05/2013
Le 13/05/2013 à 12h 15
Quoi, les tipiaks ont tué l’inspecteur Colombo?
" /> Bande d’Enculéééés!
:snif: Bon, moi aussi je suis triste et je veux un million de $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$…
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