A masquer la totale nullité de l’algo qui relève visiblement plus de l’arbitraire que de la retranscription des règles fixées pour traiter les dossiers :
Si ce que dit Marianne est vrai alors on est face à un problème important: le programme introduit de la discrimination interdite et sanctionnée par notre code pénal.
En clair, le donneur d’ordre peut être poursuivi au pénal pour les discriminations causées suite aux décisions de Parcoursup.
De plus, ces décisions étant prises sur une base illégale, cela signifie qu’il faudrait les annuler et tout reprendre depuis le début.
On comprend pourquoi ils refusent de rendre ce rapport public
Ce n’est pas la France qui arme les opposants politiques et soutient toute cette merde? " />
Est-ce que les opposants politiques massacrent en masse des civils innocents?
Et pourquoi pas tuer les 5 millions de palestiniens parce quelques uns ont balancé des cailloux à la frontière israélo-palestinienne tant qu’on y est?
hansi a écrit :
@Js2082
Faux : … blabla..
L’intervention française est donc illégale de fait.
Parler de légalité en matière de conflit international…" />
Un conseil, laisse tomber toute idée de droit/légalité dans ce domaine, ça n’a pas de sens.
hansi a écrit :
Le conflit syrien a démarré au moment ou Assad a refusé le passage du pipeline qatari en 2009, et comme par hasard, les premières manifestation anti-Assad, soutenues par la CIA, ont débutées en 2011. Donc si vous en êtes encore au stade de pleurer sur les innocents que l’on vous met sous les yeux pour vous attendrir, posez-vous bien la question de savoir qui a armé les rebelles, et pourquoi on a retrouvé récemment des armes françaises en Syrie chez ces mêmes rebelles.
Ha complot CIA/quatari… je me demandais quand ça allait sortir.
Par delà de ça, peux-tu donc m’expliquer en quoi cela justifie de tuer des centaines de milliers de civils?
En quoi les actions de quelques uns justifient la mort de tous?
CowKiller a écrit :
blablabla…
la mortalité des civils a considérablement diminué et la paix et de retour dans la majorité du pays.
Mais apparemment tous les moyens sont bons pour certains extrêmistes (oui il faut oser dire le mot quand on voit la ferocité des va t’en guerre sous pretexte moral), y compris les moyens les plus pernitieux tel que l’émotion, pour entrainer la population Syrienne dans une nouvelle guerre dont ils n’ont vraiment pas besoin (car c’est ce qui se passera si nous intervenons, la guerre là bas va voir son intensité décupler) voir déclencher une troisième guerre mondiale.
Ben voyons, les morts continuent d’abonder, l’usage d’armes chimiques se fait contre les rebelles et les populations vivants autour, mais la paix est revenue…" />
Et puis c’est pas de sa faute à Bachar s’il doit exterminer toute la population kurde de Syrie (3 petits millions), c’est vrai que c’est pernicieux un kurde, avec ses doigts crochus, son nez pointu et son menton à bouc endiablé… " />
Tiens ça me rappelle le discours des allemands dans les années 40 à l’égard d’une certaine population…
Non, mais sérieux les gars, ça vous dit pas d’arrêter les complots et autres préjugés à la con pour penser au réel et à leurs conséquences désastreuses.
Parce qu’autant vous vous amusez derrière votre écran à élaborer du complot à 2 balles, autant sur le terrain, ce sont des vrais gens qui meurent : imaginer donc 1 seconde que ce soit vos parents, enfants, amis. Vous supporteriez de les voir mourir pour rien et de voir que d’autres états pourrait faire cesser cela mais ne font rien? Non, bien sur que non.
Le
11/04/2018 à
13h
28
Je ne juge pas, je constate.
La Syrie tue des civils en masse. La Turquie tue des civils en masse.
Ce simple fait nous oblige d’agir pour faire cesser les meurtres.
Les Russes les soutiennent et empêchent quiconque d’agir en les menaçant et en bloquant toute intervention internationale.
Si tu veux faire une comparaison avec la France, libre à toi. Après, je ne suis pas sur qu’on tue tous les ans des milliers de personnes.
Le
11/04/2018 à
12h
14
hansi a écrit :
@Js2082
Qui est venu à l’ONU, nous jurer que Saddam avait des armes de destruction massives, pour aller casser de l’irakien, et permettre aux extrémistes religieux locaux d’occuper la chaise vide ? Alors je ne dis pas non plus que les russes ou les français n’ont pas leurs propres outils de propagande - Russia Today a beau être informative et traiter des sujets ignorés par FT et RF, il faut aussi garder à l’esprit qui la soutient financièrement en arrière plan. Mais on est arrivé à un point, en Syrie, où les occidentaux, et notamment les anglo-saxons, cherchent clairement la casse avec les russes, et personnellement, je ne vois pas ce que l’armée française est allée foutre dans ce bordel !
Nous n’avons aucune légitimité juridique, et encore moins éthique, à suivre les chiens de guerre de Washington dans ce qui est clairement des guerres d’agression.
La France s’est impliquée en Syrie afin de faire cesser les actes de Daesh.
Ils ont la même légitimité que n’importe quel pays à intervenir pour cesser cette folie.
Alors que la guerre avec Daesh est finie, Assad continue à perpétrer des massacres contre des civils kurdes, en même temps que Erdogan.
Tuer des gens en masse parce qu’ils ne sont pas de la même éthnie que toi, c’est de la folie là aussi. Il est logique d’intervenir aussi.
Si cela ne concernait que quelques groupes de personnes dangereuses tels Daesh, aucun pays n’aurait eu à redire des interventions turques ou syriennes.
Toutefois, là, on parle de dizaine et même de centaines de milliers de morts civils dont de nombreux enfants…
Ce ne sont pas des soldats, ce ne sont pas des insurgés, ce ne sont pas des terroristes mais des civils, des enfants qui n’ont rien demandé et qui ne comprennent pas pourquoi les militaires tuent.
Tu prétends que les “occidentaux” cherchent la casse avec les russes,
alors que ces mêmes russes ne font rien pour faire cesser ces massacres.
Au contraire, ils les soutiennent en soutenant leurs instigateurs.
A un moment donné, faut faire preuve de réalisme: est-ce qu’on continue à fermer les yeux sur ces massacres de masse d’innocents, ou est-ce qu’on dit stop?
Pour faire un point godwin de comparaison: soutenir la Syrie et la Turquie aujourd’hui, c’eut été la même chose que soutenir l’Allemagne nazie en 1945. Tu sais qu’ils font des meurtres de masse, mais tu les soutiens quand même.
Où est donc passé ton humanité pour agir ainsi?
Le
11/04/2018 à
09h
38
Le gros problème réside quand même dans la caractérisation de cette volonté manifeste de tromper, qui n’est souvent pas si manifeste que ça.
Exemple récent tout simple:
plusieurs attaques a l’arme chimique ont été relevées en Syrie ces derniers temps:
- les médias dits “occidentaux” (terme particulièrement raciste à mes yeux) pro-alliés (otan) accusent Damas de ces attaques,
- les médias “alternatifs” (pro-russie, soutien de Damas) eux accusent les alliés d’avoir procédé à ces attaques ou nient leur existence.
De chaque coté, nous retrouvons des témoignages de personnels soignants confirmant ou infirmant ces agressions chimiques.
Qui dit vrai/qui dit faux? (en l’espèce, c’est vrai qu’il y a de fortes présomptions)
Si cela se trouve, aucun des deux ne ment en affirmant que la partie qu’il défende n’y est pour rien (cela peut être un 3e larron ou une autre cause externe du genre fuite d’une usine chimique).
De même, les témoignages peuvent être de bonne foi mais les personnels soignants ne sont pas forcément conscients que leur conclusion est fausse (du au manque de formation, à des symptômes trompeurs ou encore dans le défaut des matériels d’analyse).
Bref, dans de nombreux cas, la volonté de tromper est loin d’être aussi évidente.
Au final, on se retrouve dans la même situation qu’avant. Il faudra une analyse au fond (donc un long procès) pour sanctionner (comme aujourd’hui quoi).
Rien ne va changer si ce n’est l’identification supplémentaire des contenus sponsorisés.
Au final, ça aura été beaucoup de débats et d’encre versée pour rien.
Heureusement, qu’il n’y avait rien de plus fondamental ni d’urgent à traiter, la France est sauvée…" />
Le pire dans tout ça étant quand même nos parlementaires qui se chamaillent et qui a un mois de la mise en place du RGPD n’ont toujours pas résolus les mille et unes questions d’ordres pratiques auxquelles devait répondre le vote du nouveau texte.
J’avoue que ça me fait quand même un peu marrer de demander aux pros
d’être conforme pour le 25 mai quand les instances de contrôle sont
incapables de l’être et que les textes risquent encore de changer d’ici le 25 mai.
“Lu” est une action humain, pas celle d’un système automatisé.
“exploiter et utiliser” ne sont pas des synonymes de “modifier”
Juridiquement, oui.
Faith a écrit :
C’est là qu’on voit ton problème: tu ne penses qu’en informaticien.
Quelle que soit la plus parfaite écriture de code possible, jamais “tous” pourront le lire et le modifier.
J’avoue que c’est bien la première fois qu’on m’apparente à un informaticien.
Concernant le “par tous”, il s’agit d’une paresse d’écriture. Bien évidemment, je ne parlais pas de tout le monde mais de toute personne ayant un niveau en programmation suffisant lui permettant de lire, comprendre et programmer des fonctions classiques.
Le
10/04/2018 à
12h
43
Tu n’as pas compris:
la réexploitation et la réutilisation aisée dans un standard ouvert par un système de traitement automatisé signifie que le code fourni doit pouvoir être lu et modifié par tous de façon aisée, par le biais de ce système de traitement automatisé.
A défaut le code n’est pas aisément exploitable.
fred42 a écrit :
Sauf que la mention à code source a été ajoutée par la loi du 7 octobre 2016. Il y a plein de logiciels qui ont pu être développés avant sur un système propriétaire tel que décrit par Faith et on ne va pas arrêter subitement de les faire évoluer,ou de les modifier suite à cette loi.
Si tel est le cas, alors le problème vient de l’administration concernée.
Payer pour le développement d’un logiciel et ne pas être propriétaire des sources: c’est une erreur grave voir une faute.
fred42 a écrit :
Les logiciels propriétaires utilisés sont la propriété intellectuelle de leurs auteurs et n’ont pas à être fourni gratuitement ou ouvert.
Non. La loi ne l’impose pas .
Elle impose uniquement une communication des sources dans un standard ouvert, aisément réutilisable et exploitable.
fred42 a écrit :
Ta position est un peu simpliste. Je ne pense pas que l’on puisse conclure ici quelle loi serait prépondérante dans un cas comme celui-ci. En fait, comme il est souvent reconnu que les secrets industriels sont opposables au droit de communication et amènent à la suppression de certaines informations, j’aurais quand même tendance à dire que c’est un cas où on n’aurait pas à publier le code.
La loi s’impose , c’est tout.
Les secrets industriels concernent le privé pas les administrations.
Et comme le précise le L.311-4, les documents administratifs sont communiqués ou publiés sous
réserve des droits de propriété littéraire et artistique.
Sincèrement, je pense que Faith et toi avez une vision restreinte, trop focalisée des choses. Ces textes ont été pensés, créés et rédigés de façon globale, en utilisant des termes suffisamment génériques pour encadrer 99,9999% des cas possibles.
Le
10/04/2018 à
12h
08
Faith a écrit :
Le code illisible ne l’est que parce qu’il est complexe. La loi n’écrit pas “et compréhensible par Mme Michu”.
“réutilisable et exploitable par un système de traitement automatisé.” => le code généré par l’IDE est tout à faite “réutilisable et exploitable par un système de traitement automatisé.”
Il satisfait donc à la demande.
Le code Cobol obtenu précédemment, et du Java générés sont des réponses adéquates à la loi.
Tu oublies le “ aisément ” du texte de loi.
Si le code n’est pas réutilisable ni réexploitable AISEMENT , alors il y a violation de la loi.
“Toute mise à disposition effectuée sous forme électronique en
application du présent livre se fait dans un standard ouvert, aisément
réutilisable et exploitable par un système de traitement automatisé.”
Dans ton cas, le format privé et le code illisible constituent des manquements clairs à la loi. L’IDE graphique et le format devront être fourni/ ouvert.
Le
10/04/2018 à
07h
59
Faith a écrit :
Ca, c’est ce que disent ceux qui ne connaissent pas grand chose à l’informatique.
Le document administratif est “l’ensemble des opérations appliquées aux données de l’utilisateur”.
Cet ensemble est en fait le code compilé du plus bas niveau, pas le code source.
Le code source est un niveau d’abstraction trop haut pour répondre à la demande CADA, sinon les spécifications techniques, voir fonctionnelles (et donc en fait, les règles légales accessibles à tous) seraient aussi une réponse adéquate.
Non, tu as une interprétation beaucoup trop restreinte du document administratif.
Il faut s’en tenir à la définition juridique et non à ta définition “informatique”, basée sur tes préjugés et sur ta conception de la chose.
D’ailleurs, il est bien évoqué le code source comme document administratif.
Et oui, les spécifications techniques et fonctionnelles peuvent aussi en faire partie, du moment que ça rentre dans le cadre dudit article.
Le
09/04/2018 à
16h
31
psikobare a écrit :
Libérer le code source serait plus coûteux que de le réécrire en PL/SQL (comme pour APB) ?
Soit ils ont des choses à cacher, soit ils ont juste honte.
Je pense qu’ils ont tellement honte du code qu’ils préfèrent le cacher.
Faith a écrit :
Je cite NXI: “La loi CADA (pour « Commission d’accès aux documents administratifs »)”
on fait une demande pour un document administratif, certainement pas pour un code source.
Le code source établi par l’administration EST un document administratif (un coup de main?).
Attention à ne pas rester enfermer dans sa vision très restrictive des termes employés.
Le
09/04/2018 à
16h
22
fred42 a écrit :
J’attends qu’ils laissent les personnes vraiment intéressés par le code le demander.
NxI était intéressé, ils ont fait la demande.
Il est où le problème?
fred42 a écrit :
On a bien compris que cela était possible, on n’est pas plus cons qu’eux, donc, si on veut le code, on le demandera nous-mêmes, non ?
Vu qu’il a déjà été demandé, tu n’as plus besoin de le redemander.
Pratique, ça t’a fait gagner plusieurs mois.
fred42 a écrit :
Ce genre d’article qui plaît beaucoup aux fans de NXI, commence à me hérisser, ça fait j’ai trouvé une combine pour faire des articles et je l’applique à fond :
demande CADA
demande de code source, qui n’est qu’une variante du précédent, d’ailleurs.
Je ne considère pas ces articles comme de l’information.
Si pour toi, le code source du calculateur d’alloc de pole emploi n’est pas une info, faudra m’expliquer ce qui en est une.
D’ailleurs, est-ce que tu as déjà trouvé cette info ailleurs sinon?
Quant à prétendre que la demande CADA de ce code source a abouti au même résultat que celle des délibérations commission copie privée (par exemple) ou autre, c’est un peu de la mauvaise foi.
C’est un peu comme prétendre qu’une 4L c’est la même chose qu’un TGV parce qu’ils utilisent tous les deux de l’acier à la base.
Après si ça t’intéresse pas, personne ne t’oblige à lire.
Le gouvernement veut protéger le secret des délibérations pour les décisions pédagogiques, ce qui peut avoir du sens.
Je suis toujours surpris par ce point : quel est donc l’intérêt de protéger le secret des délibérations en matière pédagogique?
Ces décisions ne sont-elles pas censées être prises en fonction des capacités et compétences des élèves? Éléments mesurables et objectifs?
Les équipes pédagogiques ne risquent rien à rendre public ce type de décision.
A moins qu’en réalité ces “décisions” ne reposent que sur du vent, sur les a priori et les préjugés des profs à l’égard des élèves? Dans ce cas, ces délibérations n’ont pas à être secrètes, elles permettraient au contraire de repérer et de virer le personnel qui n’a rien de pédagogique.
Nous avons également suspendu des centaines de comptes pour harcèlement ou manipulation délibérée des conversations
Ha? Twitter aurait donc fermé les comptes d’Emannuel Macron, du gouvernement et de tous ses membres ?
Et j’imagine qu’ils ont défini le compte de Mme Borne comme ayant pour but de « partager délibérément des informations trompeuses et malveillantes » ??
Le coup du “la transformer en SA ne signifie pas privatiser la sncf” m’a bien fait rire mais ça reste juste faux, trompeur, voir malveillant vu le but affiché du gouvernement.
Je suis donc toujours surpris de voir que Twitter ne fait respecter ses règles que quand ça l’arrange.
Je ne sais pas si ça existe, mais réclamer un code bien commenté dans un cahier de charges est tout simplement la base. Bien commenté, cela signifie plus que “quelques commentaires ici et là”. Si je vois les bons exemplaires de code que je peux voir (et comprendre où à peu près), les commentaire expliquent ce que doit faire le bout de code commenté et, éventuellement les réglages possibles.
Si les choses sont bien faites, le manuel doit être fourni avec le code: manuel qui synthétise, explique et reprend l’historique de toutes les modifications apportées au code.
Ça permet ainsi de connaitre, outre la raison de sa rédaction actuelle, tous les changements effectués et de vérifier si les prestations facturées correspondent bien au travail réalisé. (du genre le gars qui te facture 6 heures de travail pour la rédaction de 10 pauvres lignes de code)
Le
04/04/2018 à
16h
10
crocodudule a écrit :
Je profite de ton post pour demander; y a t il une bonne pratique “codifiée” ou “normalisée” dans la présentation d’un code.
Je ne parle pas de l’indentation et de commenter quelques passages mais une sorte de présentation que l’on pourrait demander dans un cahier des charges lorsqu’on demande une prestation de codage. Ca me semble délicat mais si cela existe je suis preneur. Merci :)
Code lisible et conforme aux règles de l’art?
Avec une fonction max par ligne, retour à la ligne, espaces et coloration syntaxique.
Mais j’ai cru comprendre qu’il y avait deux écoles de pensées concernant l’histoire du retour à la ligne/espace, menant à des réactions extrémistes de part et d’autres.
On va éviter les généralisations, le sujet est suffisamment casse-gueule pour éviter de transformer les commentaires en tribune.
Les commentaires de cet article sont un nid à trolls, réflexions de comptoir de commerce et idioties toutes plus sidérantes les unes que les autres.
Je pense qu’il est temps de fermer les commentaires (et supprimer ceux publiés) de cet article avant que ça ne dérape encore plus, ça ne correspond pas du tout à l’esprit du site.
Tu n’as pas vu comment les “promesses” de Macron se sont transformées en joli pied-de-nez à ses électeurs?
Et tu veux sérieusement qu’on te traduise dans la réalité et un par un les points balancés par Macron?
Mais bon, peut-être préfères-tu rester dans ton monde de bisounours et croire que tout va bien se passer.
Le
03/04/2018 à
14h
09
Déjà, rien que la 1ere proposition, c’est du n’importe quoi.
Dans une société où les entreprises sont en concurrence, il croit vraiment qu’elles vont partager leurs données.
Le reste, c’est pas mieux. Ça oscille entre l’idée d’intention marketing (le “Penser la complémentarité humain/machine” est magique) et le foutage de gueule bien prononcé (la “revalorisation des carrières dans la recherche publique…” ha? des sous en plus??… “…en améliorant l’attractivité de la France” Gnéé?? Tu revalorises donc les carrières en comptant sur le tourisme? " />)
Ce truc, ça sent le bullshit macronien qu’on bouffe depuis un an.
Il y en a qui croit sérieusement que ça va donner quelque chose? (à part la création des instituts Interdisciplinaires qui vont donner lieu à des sous-commissions pour placer des amis et leur octroyer un joli pactole chaque mois)
c’etait l’année derniere qu’il fallait reagir, les cryptocurrencies c’est dead now
Faudrait peut-être avertir les revendeurs de CG alors.
Parce que pour le moment, les tarifs de vente continuent leur progression et les mineurs commencent même à attaquer le secteur des gtx1050 et rx560. (LDLC n’a même plus de RX 560 en stock)
Par contre, il ne faut pas sous-estimer le Conseil Constitutionnel, il avait bien compris qu’il s’agissait du prévenu, cela est clair à la lecture de sa décision (mise en lien dans l’article), voir particulièrement le point 8. Je ne partage pas forcément ses conclusions, mais il avait bien compris la question.
Effectivement.
En lisant ce paragraphe, j’avoue être quelque peu sidéré par la suite où le conseil précise :
“ ces dispositions n’ont pas pour objet d’obtenir des aveux de sa part et n’emportent ni reconnaissance ni présomption de culpabilité mais permettent seulement le déchiffrement des données cryptées.”
et juste après
“ En outre, l’enquête ou l’instruction doivent avoir permis d’identifier l’existence des données traitées par le moyen de cryptologie susceptible d’avoir été utilisé pour préparer, faciliter ou commettre un crime ou un délit.”
Il dit un truc et son contraire juste après, sans même se rendre compte de son erreur." />
D’ailleurs, leur argument de la 1er phrase peut être aisément battu en brèche:
Si ces dispositions n’ont pas pour objet
d'obtenir des aveux de sa part, ni
reconnaissance ni présomption de culpabilité, ça signifie qu’elles ne serviront alors à rien pour la procédure.
Pourquoi réclamer le déchiffrage de ces données alors?
Je sens que la condamnation de la France ne va pas tarder.
Le
30/03/2018 à
12h
08
fred42 a écrit :
Il ne reste plus que la CEDH pour reconnaître ce droit dans ce cas-ci. On a déjà vu que celle-ci pouvait être plus protectrice que notre Conseil Constitutionnel.
A ma connaissance, la CEDH a quasi-systématiquement été plus protectrice que notre conseil constitutionnel (excepté dans certains cas où le lobbyisme industriel a fait son œuvre).
La France est condamnée tous les ans pour violation de la convention européenne des droits de l’homme, et tous les ans, plutôt que de corriger ses procédures internes, elle préfère payer des amendes creusant chaque fois un peu plus son déficit.
Le droit au silence est un droit fondamental dans la procédure pénale. Cette loi vient en contradiction pleine et entière avec ce droit. Obliger de donner ses codes, avec ou sans intervention du juge, signifie obliger le prévenu à parler, le forcer à rompre son droit au silence. L’intervention du juge ne changeant rien à cet état de fait.
Les droits de la défense ne sont donc pas respectés.
Le Conseil constitutionnel s’est clairement fourvoyé: je crois qu’il n’a pas compris que ces infos seraient demandées au prévenu et non à des tiers.
La condamnation par la CEDH est quasi-certaine (enfin sauf si les avocats de la défense sont mauvais)
N’empêche: avoir le système principal et sa redondance qui tombent en panne pile poil au moment où tu mets à jour la 2e redondance, c’est vraiment pas de bol.
A ce niveau-là, soit c’est volontaire (attaque sur leurs serveurs) soit c’est un pur hasard. Je pense que tu as plus de chances de gagner au loto que de se retrouver dans cette situation.
Ça tombe bien, il y a 58 millions d’euros à gagner ce vendredi. " />
Donc, selon ton avis, pour faire tel métier, il faut impérativement avoir fait tel parcours d’étude. Par conséquence, tous ceux qui viennent sur tel métier par des voies autres ne sont que … quoi d’ailleurs ? Des amateurs ? Des “petites frappes” ? …. ? Où est le respect ?!
Pour le domaine que je connais, le droit, avoir fait une fac de droit est le strict minimum, autrement, ça donne lieu à des scènes qui frisent le ridicule.
Je vois ça tous les jours au boulot à vérifier des contrats établis par des non-juristes: ça fait peur.
L’exemple le plus flagrant est visible par tous en audience au tribunal, quand certains peuvent se défendre eux-même sans avoir les bases du droit. Le résultat est systématiquement catastrophique et bien évidemment, en leur défaveur.
Ce ne sont pas des amateurs, ni petites frappes. Des profanes plutôt.
En fait, on en revient toujours à la même question:
Est-ce que tu es électrosensible ou est-ce que tu penses être électrosensible?
Et est-ce que cela est du à une impression ou à une réalité mesurable?
Ou est-ce ton cerveau qui te joue des tours parce que tu sais que tu rentres dans une zone que tu considères comme électrosensible?
C’est au final le gros problème avec les maladies ou blessures psychiques: l’absence d’éléments matériels concrets, l’absence de traces visible ne permet pas de certifier l’existence de dommages clairs.
Plus besoin d’eux pour faire un reportage c’est directement la police, les pompiers, les gardiens, … qui publieront les images xD
J’ai ouï dire que des producteurs de télé étaient en train de négocier avec certains services de l’état la possibilité de racheter les images en exclusivité moyennant quelques reportages très flatteurs pour la police…
Je pense que C8 va encore plus nous bombarder de reportages police/pompier/agent entre deux redif’ de hanouna.
C’est pas comme si ça faisait des années qu’on (enfin moi personnellement) alertait tout le monde des dangers des apps et des vols de données personnelles que cela engendre.
Bien évidemment, ceux qui se moquaient de ces avertissements avant sont aujourd’hui les mêmes qui sont horrifiés de voir que Facebook vend leurs données à n’importe qui.
Et une fois le scandale oublié (d’ici 2 semaines) tout ce petit monde reprendra ses mauvaises habitudes jusqu’au prochain scandale.
Le problème n’est pas qu’il a payé sa dette à la société.
Le problème, c’est ce qu’il est, ce qu’il représente, et il ne fait rien pour arranger les choses.
Le
22/03/2018 à
16h
55
le podoclaste a écrit :
Et pourquoi personne n’irait ? Il a déjà fait 2 tournées depuis sa sortie de prison et quelques apparitions en guest lors de concerts d’autres artistes et des gens y sont allés.
Parce que soutenir ce personnage, c’est soutenir les violences faites aux femmes, c’est accepter qu’on peut battre, tuer son conjoint et revenir sur le devant de la scène comme si de rien n’était.
Soutenir ce personnage, c’est soutenir l’ignominie.
Voici pourquoi personne ne devrait y aller
Le
22/03/2018 à
16h
51
Question bête:
Et comment on démontre une éventuelle concertation?
Perce que prouver une entente préalable entre ces personnes pour agir, ça va être légèrement compliqué (à part s’ils ont la bonne idée de créer un groupe facebook ouvert “venez insulter un tel”). Ce qui font le plus de dégâts sont les shitstorm, torrents de haine, souvent pas du tout prévus ni prévisibles.
Au vu de ce texte de loi, je pense qu’il sera très peu utilisé, voir pas du tout.
Dans cette Marseille sécurisée, la municipalité espère pouvoir « identifier les auteurs d’actes de délinquance via une analyse des réseaux sociaux », localiser le nombre de marchés à la sauvette, « détecter la préparation d’évènements sauvages ou d’actes de délinquances », comme des apéros géants, le racket aux abords des écoles…
Heuu… S’ils mettent en prison toutes ces personnes, va plus y avoir grand monde dans les rues de la ville, à moins qu’il ne transforme la ville entière en prison des baumettes.
“il suffirait que toute vidéo tournée dans ces maisons soit systématiquement exclue de l’analyse et immédiatement supprimé” Et comment ce logiciel ferait pour savoir ce qui est privé du public?
Là, on en vient à la partie humaine du process.
1ere partie: récupération de la donnée.
2e partie: tri des infractions
On en vient à la 2e partie où c’est l’œil humain qui va constater (pas juger) s’il y a une infraction avant transmission au procureur.
Durant cette phase, il est aussi facile de constater si les images vidéos ont été prises chez quelqu’un.
Si non, alors transmission au parquet.
Si oui, alors inculpation du “délateur” pour atteinte à la vie privée. (chose plus que normale car c’est lui qui est l’auteur de l’infraction).
De cette façon, les risques d’abus sont limités.
Le
22/03/2018 à
12h
36
Jarodd a écrit :
Je n’ai pas cette compréhension : pour moi la CNIL veut juste éviter le réflexe “il y a une agresssion, un incident -> tout le monde filme”, mettant les personnes filmées en situation de ne pas être secourues, ce qui indirectement peut mettre en danger ceux qui filment. En ayant le regarde accroché au téléphone, on pourrait ne pas voir un autre danger, et créer un sur-accident, ou inciter à des réactions hostiles (“tu filmes mon pote”, “t’es pas la police”,…). C’est ma compréhension du propos de la CNIL, je ne dis pas qu’elle est correcte
Je comprends cela aussi.
C’est juste que la rédaction de la CNIL présente une certaine ambiguïté qui m’a directement fait penser aux malins qui préfèrent accuser la victime plutôt que le criminel. La formulation aurait du être différente, plus claire sur le coup
Le
22/03/2018 à
11h
09
hellmut a écrit :
en fait au lieu de se prendre la tête le mieux c’est de lire l’article L251-3 du code de la sécurité intérieure qui est cité dans “l’argumentation” de la CNIL:
donc non, il ne “suffit” pas.
La 1ere condition est aisée à respecter: utiliser le même logiciel que les autorités pour masquer automatiquement l’intérieur des maisons pour la vidéosurveillance.
La 2e condition aussi: quand tu sors ton smartphone pour filmer, tu es averti de façon claire et en permanence de l’existence de cette vidéosurveillance.
" />
L’argument est comique mais tient la route.
Le
22/03/2018 à
10h
54
« Lors de la pose des caméras de vidéo surveillance, la ville de
Nice s’était engagée auprès de la CNIL à respecter les obligations
réglementaires (article L 251-3 du Code de la Sécurité Intérieure),
c’est-à-dire à ce que les opérations de vidéoprotection ne permettent
pas de filmer l’intérieur des maisons et la vie privée des citoyens et
citoyennes. Avec Reporty, il sera possible de le faire et d’adresser une
image instantanément “visionnable” aux policiers de permanence. Cela
porte manifestement atteinte à la liberté fondamentale qu’est le respect
de la vie privée
Je ne comprends pas cette argumentation: en quoi le fait de filmer avec son smartphone dans un lieu public porterait atteinte à la vie privée?
Si on considère cela possible avec des caméras de surveillance, avec les caméras piétons des policiers, comment peut-on ne pas considérer cela possible avec des smartphones?
Concernant le fait de ne pas filmer l’intérieur des maisons, il suffirait que toute vidéo tournée dans ces maisons soit systématiquement exclue de l’analyse et immédiatement supprimé pour que le logiciel soit conforme à la loi. (même s’il est vrai que cela pose un problème d’atteinte faite par l’utilisateur, mais pas par le logiciel)
En rajoutant un rappel à la loi avant l’utilisation et un rappel de responsabilité de l’utilisateur qui filme dans des propriétés privées sans autorisation, je verrais mal les points d’attaque que pourrait soulever la CNIL.
« s’inscrit en effet difficilement dans le cadre légal actuel de la
videoprotection fixé par le CSI (code de la sécurité intérieure) sur la
voie publique, du fait notamment de l’intégration de terminaux mobiles
des particuliers dans un dispositif public, sous la responsabilité de la
police ». En somme, Reporty ne trouve pas de base légale et est donc de facto considérée comme indélicatesse.
Difficilement ne signifie pas ne pas avoir de base légale.
Au contraire, ce “difficilement” peut être corrigé
Enfin, le dispositif est « susceptible de faire courir des risques
réels pour les personnes dénonçant les incivilités ou la “situation
critique” dont elles sont témoins ou victimes, de nature à porter
atteinte à leur sécurité »
Cette argumentation me met mal à l’aise: la CNIL est quand même en train de dire: “Vous respectez la loi (Article 434-1 et suivants du code pénal), mais ne le faite pas trop parce que ceux qui ne la respectent peuvent vous agresser”.
Du genre, parce que tu respectes la loi, tu deviens responsable de fait que les autres ne la respectent pas.
Sur le coup, la CNIL aurait mieux fait de se taire.
En France, Le Figaro, Les Echos et Le Parisien sont partenaires. Ces deux derniers, appartenant au groupe LVMH, ont d’ailleurs obtenu un financement du fonds DNI de Google lors de son dernier round afin de revoir leur dispositif d’abonnement. Le Figaro et Les Echos ont récemment annoncé des solutions techniques autour d’Assistant et des enceintes connectées Home.
Heuuu, c’est pas ces derniers qui critiquaient google en raison de leur dépendance à celui-ci et sa manie de faire ce qui lui chante?
Pour lutter contre, ils ont donc rien trouvé de mieux que d’accroitre encore plus leur dépendance à google et lui verser une com en plus pour chaque abonnement.
Je crois que ça n’étonnera personne si ces journaux coulent d’ici quelques temps.
(bon en même temps, pour le figaro, ce ne sera pas une grande perte)
Pour fabriquer du low-cost, les usines doivent être implantées dans les pays où la main d’oeuvre n’est pas chère et où les coûts de production sont bas.
Arf, ce mythe!!
Quand la main d’œuvre ne représente même pas 1% du prix de ventedu smartphone, fabriquer en france ou en chine, ça ne change rien.
Le
20/03/2018 à
17h
07
Ricard a écrit :
Juste pour info, Wiko est 100% chinois depuis le début de l’année." />
(en plus de balancer des données en Chine sans le consentement des “clients”)
Wiko : “Mais notre ADN est français, Môôsieur…”
Une chose est sure, il n’y a que des français pour sortir un marketing aussi pathétique.
Le
20/03/2018 à
16h
59
Faudrait arrêter de parler de ces entreprises comme des entreprises françaises.
Elles n’ont rien de français, à part les commerciaux chargés de refourger la camelote.
Si on va dans ce sens, LG, Samsung, Apple, Microsoft aussi sont français…
A ce compte, il suffit qu’une entreprise vende un seul de ses produits sur le territoire pour la dire française.
D’ailleurs, Wiko a bien vite arrêté sa com’ sur le smartphone français, pour ne plus parler que de la marque.
Justement, diverses personnes et moi-même avons présenté des faits et des arguments scientifiques pour te contredire.
(optimum de l’ampoule en terme de rendement et qualité d’éclairage, aucun progrès dans la durée hormis les halogènes, production soviétique du même type, etc.)
Bon là j’arrête vraiment, on tourne en rond.
Les points soulevés sont tous subjectifs et soumis à appréciation variable (optimum varie en fonction des critères de chacun qui ne sont pas les mêmes: tu choisis juste les 2 qui t’arrangent ), et les conclusions à en tirer sont contestables (encore une fois, NON, l’absence de progrès dans l’halogène ne signifie pas qu’on ne peut pas proposer mieux).
Les nombreuses affirmations des ingénieurs de General electric sont elles nettes et sans ambiguïté: l’argument est clair et non contestable. (d’ailleurs, tu ne le conteste jamais)
Je ne comprends pas cette volonté du gouvernement à vouloir toujours s’opposer à la moindre avancée en matière de transparence.
Enfin si, on comprend que s’ils s’y opposent c’est que derrière les manquements/erreurs, voir fraudes doivent être suffisamment nombreux pour remettre en cause de nombreuses décisions contestables par les administrés.
A part cacher un scandale d’état, je ne vois aucune autre raison justifiant ces refus.
« Cette exception n’a pas lieu d’être », insiste la sénatrice dans son rapport. Alors que le gouvernement avait justifié son amendement par la « nécessaire protection du secret des délibérations des équipes pédagogiques »
Les délibérations des équipes pédagogiques n’ont pas à être secrètes.
Tout candidat qui est refusé à le droit de connaitre les raisons de ce refus et notamment ce qui lui faisait défaut. La décision de refus doit être motivée.
Autrement, nous rentrons dans un système de sélection subjectif, pouvant être basé sur des discriminations pourtant interdites par la loi.
Ici, le gouvernement donne l’impression qu’il est pour les discriminations.
Ce qui s’inscrirait dans sa logique depuis le début du mandat Macron, qui n’aime pas trop les étrangers, ni les femmes.
6084 commentaires
Transparence des algorithmes publics : le gouvernement à la manœuvre face aux députés
12/04/2018
Le 12/04/2018 à 11h 49
Le paiement par Internet désormais couplé au forfait de post-stationnement
12/04/2018
Le 12/04/2018 à 11h 36
C’est déjà le cas sur plusieurs stations de RER de Paris, notamment à la gare de Villepinte sur le RER B.
Un arrêt en pleine cambrousse avec parking gratuit à coté: ça fait toujours drôle de passer à coté.
La future loi contre les « fake news » inapplicable avant juillet
11/04/2018
Le 12/04/2018 à 08h 37
Le 11/04/2018 à 13h 28
Je ne juge pas, je constate.
La Syrie tue des civils en masse. La Turquie tue des civils en masse.
Ce simple fait nous oblige d’agir pour faire cesser les meurtres.
Les Russes les soutiennent et empêchent quiconque d’agir en les menaçant et en bloquant toute intervention internationale.
Si tu veux faire une comparaison avec la France, libre à toi. Après, je ne suis pas sur qu’on tue tous les ans des milliers de personnes.
Le 11/04/2018 à 12h 14
Le 11/04/2018 à 09h 38
Le gros problème réside quand même dans la caractérisation de cette volonté manifeste de tromper, qui n’est souvent pas si manifeste que ça.
Exemple récent tout simple:
plusieurs attaques a l’arme chimique ont été relevées en Syrie ces derniers temps:
- les médias dits “occidentaux” (terme particulièrement raciste à mes yeux) pro-alliés (otan) accusent Damas de ces attaques,
- les médias “alternatifs” (pro-russie, soutien de Damas) eux accusent les alliés d’avoir procédé à ces attaques ou nient leur existence.
De chaque coté, nous retrouvons des témoignages de personnels soignants confirmant ou infirmant ces agressions chimiques.
Qui dit vrai/qui dit faux? (en l’espèce, c’est vrai qu’il y a de fortes présomptions)
Si cela se trouve, aucun des deux ne ment en affirmant que la partie qu’il défende n’y est pour rien (cela peut être un 3e larron ou une autre cause externe du genre fuite d’une usine chimique).
De même, les témoignages peuvent être de bonne foi mais les personnels soignants ne sont pas forcément conscients que leur conclusion est fausse (du au manque de formation, à des symptômes trompeurs ou encore dans le défaut des matériels d’analyse).
Bref, dans de nombreux cas, la volonté de tromper est loin d’être aussi évidente.
Au final, on se retrouve dans la même situation qu’avant. Il faudra une analyse au fond (donc un long procès) pour sanctionner (comme aujourd’hui quoi).
Rien ne va changer si ce n’est l’identification supplémentaire des contenus sponsorisés.
Au final, ça aura été beaucoup de débats et d’encre versée pour rien.
Heureusement, qu’il n’y avait rien de plus fondamental ni d’urgent à traiter, la France est sauvée…" />
Isabelle Falque-Pierrotin (CNIL) : avec le RGPD, l’Europe joue sa crédibilité
11/04/2018
Le 11/04/2018 à 14h 50
Les ingrédients sont sur la table : un texte complexe, des acteurs qui
ne sont toujours pas en conformité alors que le règlement a été adopté
en 2016, et le fameux couperet du 25 mai.
D’ailleurs, parmi les acteurs qui ne sont pas en conformité, on citera la CNIL avecses propositions de modèles de mentionqui ne sont pas à jour…
" />
Le pire dans tout ça étant quand même nos parlementaires qui se chamaillent et qui a un mois de la mise en place du RGPD n’ont toujours pas résolus les mille et unes questions d’ordres pratiques auxquelles devait répondre le vote du nouveau texte.
J’avoue que ça me fait quand même un peu marrer de demander aux pros
d’être conforme pour le 25 mai quand les instances de contrôle sont
incapables de l’être et que les textes risquent encore de changer d’ici le 25 mai.
Pôle emploi nous ouvre le code source de son calculateur d’allocations chômage
09/04/2018
Le 10/04/2018 à 14h 15
Le 10/04/2018 à 12h 43
Tu n’as pas compris:
la réexploitation et la réutilisation aisée dans un standard ouvert par un système de traitement automatisé signifie que le code fourni doit pouvoir être lu et modifié par tous de façon aisée, par le biais de ce système de traitement automatisé.
A défaut le code n’est pas aisément exploitable.
Le 10/04/2018 à 12h 08
Le 10/04/2018 à 11h 41
Réponse : article L.300-4 du Code des relations entre le public et l’administration :
“Toute mise à disposition effectuée sous forme électronique en
application du présent livre se fait dans un standard ouvert, aisément
réutilisable et exploitable par un système de traitement automatisé.”
Dans ton cas, le format privé et le code illisible constituent des manquements clairs à la loi. L’IDE graphique et le format devront être fourni/ ouvert.
Le 10/04/2018 à 07h 59
Le 09/04/2018 à 16h 31
Le 09/04/2018 à 16h 22
Transparence des algorithmes publics : vers quelques « ajustements » à l’Assemblée
09/04/2018
Le 09/04/2018 à 11h 59
Le gouvernement veut protéger le secret des délibérations pour les décisions pédagogiques, ce qui peut avoir du sens.
Je suis toujours surpris par ce point : quel est donc l’intérêt de protéger le secret des délibérations en matière pédagogique?
Ces décisions ne sont-elles pas censées être prises en fonction des capacités et compétences des élèves? Éléments mesurables et objectifs?
Les équipes pédagogiques ne risquent rien à rendre public ce type de décision.
A moins qu’en réalité ces “décisions” ne reposent que sur du vent, sur les a priori et les préjugés des profs à l’égard des élèves? Dans ce cas, ces délibérations n’ont pas à être secrètes, elles permettraient au contraire de repérer et de virer le personnel qui n’a rien de pédagogique.
Twitter met en ligne son « Transparency Report » pour fin 2017 et revient sur la fusillade chez YouTube
06/04/2018
Le 06/04/2018 à 11h 45
Nous avons également suspendu des centaines de comptes pour harcèlement ou manipulation délibérée des conversations
Ha? Twitter aurait donc fermé les comptes d’Emannuel Macron, du gouvernement et de tous ses membres ?
Et j’imagine qu’ils ont défini le compte de Mme Borne comme ayant pour but de « partager délibérément des informations trompeuses et malveillantes » ??
Le coup du “la transformer en SA ne signifie pas privatiser la sncf” m’a bien fait rire mais ça reste juste faux, trompeur, voir malveillant vu le but affiché du gouvernement.
Je suis donc toujours surpris de voir que Twitter ne fait respecter ses règles que quand ça l’arrange.
Next INpact en accès libre jusqu’à lundi
05/04/2018
Le 05/04/2018 à 08h 05
N’empêche, les deux derniers paliers proposés font quand même réfléchir.
Le NxI coin, ça peut être pas mal. (Harou va tirer la gueule)
le RPG Next Inpact, c’est un bon argument qui donne envie de sauter le pas.
J’imagine même pas la tronche de l’équipe si ce palier était atteint." />
La France dévoile son plan d’action 2018 - 2020 en matière d’Open Government
04/04/2018
Le 04/04/2018 à 16h 15
Le 04/04/2018 à 16h 10
Une fusillade au siège de YouTube fait plusieurs blessés
04/04/2018
Le 04/04/2018 à 11h 40
Intelligence artificielle : des propositions de Cédric Villani au discours d’Emmanuel Macron
03/04/2018
Le 03/04/2018 à 14h 15
Tu vis dans une grotte depuis un an?
Tu n’as pas vu comment les “promesses” de Macron se sont transformées en joli pied-de-nez à ses électeurs?
Et tu veux sérieusement qu’on te traduise dans la réalité et un par un les points balancés par Macron?
Mais bon, peut-être préfères-tu rester dans ton monde de bisounours et croire que tout va bien se passer.
Le 03/04/2018 à 14h 09
Déjà, rien que la 1ere proposition, c’est du n’importe quoi.
Dans une société où les entreprises sont en concurrence, il croit vraiment qu’elles vont partager leurs données.
Le reste, c’est pas mieux. Ça oscille entre l’idée d’intention marketing (le “Penser la complémentarité humain/machine” est magique) et le foutage de gueule bien prononcé (la “revalorisation des carrières dans la recherche publique…” ha? des sous en plus??… “…en améliorant l’attractivité de la France” Gnéé?? Tu revalorises donc les carrières en comptant sur le tourisme? " />)
Ce truc, ça sent le bullshit macronien qu’on bouffe depuis un an.
Il y en a qui croit sérieusement que ça va donner quelque chose? (à part la création des instituts Interdisciplinaires qui vont donner lieu à des sous-commissions pour placer des amis et leur octroyer un joli pactole chaque mois)
Google sort le fusil contre les extensions Chrome crypto-mineuses
03/04/2018
Le 03/04/2018 à 10h 00
Deux lancements réussis par SpaceX ce week-end : CRS-14 (vers l’ISS) et Iridium-5
03/04/2018
Le 03/04/2018 à 09h 50
Chaque étape en son temps.
D’abord, on lance.
Ensuite, on lance et on récupère.
Puis, on lance, on récupère et on relance.
Après, on lance, on récupère, on relance et on re-récupère.
Etc…
Le but, ce n’est pas de lancer pour récupérer.
C’est d’obtenir un process sur et viable pour que les futurs lancements soient le plus économique possible.
Il ne sert à rien de griller les étapes, ça couterait plus cher et engendrerait des retards supplémentaires.
Netflix serait proche d’un accord pour racheter Europacorp (Luc Besson)
03/04/2018
Le 03/04/2018 à 09h 42
A mon souvenir, ce sont surtout ses salles de cinémas qui ont représenté un gouffre financier important.
Les films quant à eux restent rentables mais pas assez pour permettre de combler la dette accumulée.
Le Conseil constitutionnel impose de passer par un juge pour obtenir les clés de déchiffrement
30/03/2018
Le 30/03/2018 à 13h 00
Le 30/03/2018 à 12h 08
Panne majeure pour Qwant, qui est de retour
29/03/2018
Le 29/03/2018 à 08h 51
N’empêche: avoir le système principal et sa redondance qui tombent en panne pile poil au moment où tu mets à jour la 2e redondance, c’est vraiment pas de bol.
A ce niveau-là, soit c’est volontaire (attaque sur leurs serveurs) soit c’est un pur hasard. Je pense que tu as plus de chances de gagner au loto que de se retrouver dans cette situation.
Ça tombe bien, il y a 58 millions d’euros à gagner ce vendredi. " />
Chez SFR, tout s’accélère (surtout la hausse des prix)
28/03/2018
Le 28/03/2018 à 19h 23
Y a un truc que je ne saisis pas.
Qui est prêt à payer 60€/mois (79€) son abonnement mobile? Même avec le mobile financé?
C’est juste 40 euros plus cher que l’offre équivalente chez les concurrents.
La dernière fois que j’ai vu un tarif aussi élevé, c’était avant 2011.
SFR aurait-il donc oublié que la concurrence existe sur le secteur?
Faut-il instaurer un Capes et une agrégation d’informatique ?
28/03/2018
Le 28/03/2018 à 17h 03
Hypersensibilité aux ondes électromagnétiques : l’Anses publie son (épais) rapport
28/03/2018
Le 28/03/2018 à 13h 10
En fait, on en revient toujours à la même question:
Est-ce que tu es électrosensible ou est-ce que tu penses être électrosensible?
Et est-ce que cela est du à une impression ou à une réalité mesurable?
Ou est-ce ton cerveau qui te joue des tours parce que tu sais que tu rentres dans une zone que tu considères comme électrosensible?
C’est au final le gros problème avec les maladies ou blessures psychiques: l’absence d’éléments matériels concrets, l’absence de traces visible ne permet pas de certifier l’existence de dommages clairs.
Au Sénat, une proposition de loi pour doter pompiers et agents pénitentiaires de caméras mobiles
27/03/2018
Le 27/03/2018 à 19h 45
Données personnelles : SFR, ou l’art de maquiller le recueil du consentement
26/03/2018
Le 26/03/2018 à 16h 24
Un groupement où l’on retrouve Orange,
dont le PDG Stéphane Richard disait pourtant au micro d’Europe 1 il y a
quelques jours « ne rien faire » des données récoltées sur ses clients.
S’il n’en fait rien de ces données, pourquoi il les collecte?
Je suis curieux de savoir si avec les futures lois macron sur les fake news, il sera possible de poursuivre en justice ce type de personnage.
Les journalistes risquent de ne plus pouvoir dire des bêtises : ça va être la crise chez eux bientôt
Historique des appels et SMS : Facebook détaille son recueil du consentement
26/03/2018
Le 26/03/2018 à 08h 05
C’est pas comme si ça faisait des années qu’on (enfin moi personnellement) alertait tout le monde des dangers des apps et des vols de données personnelles que cela engendre.
Bien évidemment, ceux qui se moquaient de ces avertissements avant sont aujourd’hui les mêmes qui sont horrifiés de voir que Facebook vend leurs données à n’importe qui.
Et une fois le scandale oublié (d’ici 2 semaines) tout ce petit monde reprendra ses mauvaises habitudes jusqu’au prochain scandale.
Le délit de « cyber-harcèlement groupé » se dévoile
22/03/2018
Le 22/03/2018 à 18h 02
Le problème n’est pas qu’il a payé sa dette à la société.
Le problème, c’est ce qu’il est, ce qu’il représente, et il ne fait rien pour arranger les choses.
Le 22/03/2018 à 16h 55
Le 22/03/2018 à 16h 51
Question bête:
Et comment on démontre une éventuelle concertation?
Perce que prouver une entente préalable entre ces personnes pour agir, ça va être légèrement compliqué (à part s’ils ont la bonne idée de créer un groupe facebook ouvert “venez insulter un tel”). Ce qui font le plus de dégâts sont les shitstorm, torrents de haine, souvent pas du tout prévus ni prévisibles.
Au vu de ce texte de loi, je pense qu’il sera très peu utilisé, voir pas du tout.
Big Data de la tranquillité : le Minority Report de Marseille
22/03/2018
Le 22/03/2018 à 16h 36
Dans cette Marseille sécurisée, la municipalité espère pouvoir « identifier les auteurs d’actes de délinquance via une analyse des réseaux sociaux », localiser le nombre de marchés à la sauvette, « détecter la préparation d’évènements sauvages ou d’actes de délinquances », comme des apéros géants, le racket aux abords des écoles…
Heuu… S’ils mettent en prison toutes ces personnes, va plus y avoir grand monde dans les rues de la ville, à moins qu’il ne transforme la ville entière en prison des baumettes.
" />
Épinglée par la CNIL, Nice suspend son application Reporty
22/03/2018
Le 22/03/2018 à 16h 28
Le 22/03/2018 à 12h 36
Le 22/03/2018 à 11h 09
Le 22/03/2018 à 10h 54
« Lors de la pose des caméras de vidéo surveillance, la ville de
Nice s’était engagée auprès de la CNIL à respecter les obligations
réglementaires (article L 251-3 du Code de la Sécurité Intérieure),
c’est-à-dire à ce que les opérations de vidéoprotection ne permettent
pas de filmer l’intérieur des maisons et la vie privée des citoyens et
citoyennes. Avec Reporty, il sera possible de le faire et d’adresser une
image instantanément “visionnable” aux policiers de permanence. Cela
porte manifestement atteinte à la liberté fondamentale qu’est le respect
de la vie privée
Je ne comprends pas cette argumentation: en quoi le fait de filmer avec son smartphone dans un lieu public porterait atteinte à la vie privée?
Si on considère cela possible avec des caméras de surveillance, avec les caméras piétons des policiers, comment peut-on ne pas considérer cela possible avec des smartphones?
Concernant le fait de ne pas filmer l’intérieur des maisons, il suffirait que toute vidéo tournée dans ces maisons soit systématiquement exclue de l’analyse et immédiatement supprimé pour que le logiciel soit conforme à la loi. (même s’il est vrai que cela pose un problème d’atteinte faite par l’utilisateur, mais pas par le logiciel)
En rajoutant un rappel à la loi avant l’utilisation et un rappel de responsabilité de l’utilisateur qui filme dans des propriétés privées sans autorisation, je verrais mal les points d’attaque que pourrait soulever la CNIL.
« s’inscrit en effet difficilement dans le cadre légal actuel de la
videoprotection fixé par le CSI (code de la sécurité intérieure) sur la
voie publique, du fait notamment de l’intégration de terminaux mobiles
des particuliers dans un dispositif public, sous la responsabilité de la
police ». En somme, Reporty ne trouve pas de base légale et est donc de facto considérée comme indélicatesse.
Difficilement ne signifie pas ne pas avoir de base légale.
Au contraire, ce “difficilement” peut être corrigé
Enfin, le dispositif est « susceptible de faire courir des risques
réels pour les personnes dénonçant les incivilités ou la “situation
critique” dont elles sont témoins ou victimes, de nature à porter
atteinte à leur sécurité »
Cette argumentation me met mal à l’aise: la CNIL est quand même en train de dire: “Vous respectez la loi (Article 434-1 et suivants du code pénal), mais ne le faite pas trop parce que ceux qui ne la respectent peuvent vous agresser”.
Du genre, parce que tu respectes la loi, tu deviens responsable de fait que les autres ne la respectent pas.
Sur le coup, la CNIL aurait mieux fait de se taire.
Accident mortel Uber : la police publie les vidéos des caméras, les questions qu’elles soulèvent
22/03/2018
Le 22/03/2018 à 11h 28
Avec sa News Initiative, Google veut rendre les éditeurs plus dépendants de ses services
21/03/2018
Le 21/03/2018 à 09h 43
En France, Le Figaro, Les Echos et Le Parisien sont partenaires. Ces deux derniers, appartenant au groupe LVMH, ont d’ailleurs obtenu un financement du fonds DNI de Google lors de son dernier round afin de revoir leur dispositif d’abonnement. Le Figaro et Les Echos ont récemment annoncé des solutions techniques autour d’Assistant et des enceintes connectées Home.
Heuuu, c’est pas ces derniers qui critiquaient google en raison de leur dépendance à celui-ci et sa manie de faire ce qui lui chante?
Pour lutter contre, ils ont donc rien trouvé de mieux que d’accroitre encore plus leur dépendance à google et lui verser une com en plus pour chaque abonnement.
Je crois que ça n’étonnera personne si ces journaux coulent d’ici quelques temps.
(bon en même temps, pour le figaro, ce ne sera pas une grande perte)
Archos, Echo, Wiko : les fabricants « français » de smartphones marquent leurs différences
20/03/2018
Le 20/03/2018 à 18h 20
Le 20/03/2018 à 17h 07
Le 20/03/2018 à 16h 59
Faudrait arrêter de parler de ces entreprises comme des entreprises françaises.
Elles n’ont rien de français, à part les commerciaux chargés de refourger la camelote.
Si on va dans ce sens, LG, Samsung, Apple, Microsoft aussi sont français…
A ce compte, il suffit qu’une entreprise vende un seul de ses produits sur le territoire pour la dire française.
D’ailleurs, Wiko a bien vite arrêté sa com’ sur le smartphone français, pour ne plus parler que de la marque.
La DGCCRF a du leur remonter les bretelles.
#Replay : Stephen Hawking, obsolescence programmée et désinformation russe
16/03/2018
Le 20/03/2018 à 13h 41
Transparence des algorithmes publics : le gouvernement prêt au bras de fer avec le Sénat
20/03/2018
Le 20/03/2018 à 13h 27
Le 20/03/2018 à 12h 14
Je ne comprends pas cette volonté du gouvernement à vouloir toujours s’opposer à la moindre avancée en matière de transparence.
Enfin si, on comprend que s’ils s’y opposent c’est que derrière les manquements/erreurs, voir fraudes doivent être suffisamment nombreux pour remettre en cause de nombreuses décisions contestables par les administrés.
A part cacher un scandale d’état, je ne vois aucune autre raison justifiant ces refus.
« Cette exception n’a pas lieu d’être », insiste la sénatrice dans son rapport. Alors que le gouvernement avait justifié son amendement par la « nécessaire protection du secret des délibérations des équipes pédagogiques »
Les délibérations des équipes pédagogiques n’ont pas à être secrètes.
Tout candidat qui est refusé à le droit de connaitre les raisons de ce refus et notamment ce qui lui faisait défaut. La décision de refus doit être motivée.
Autrement, nous rentrons dans un système de sélection subjectif, pouvant être basé sur des discriminations pourtant interdites par la loi.
Ici, le gouvernement donne l’impression qu’il est pour les discriminations.
Ce qui s’inscrirait dans sa logique depuis le début du mandat Macron, qui n’aime pas trop les étrangers, ni les femmes.