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Herbefol

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217 commentaires

Le 20/05/2016 à 09h 39







XMalek a écrit :



Petit rappel leur dernier achat jeu vidéo c’était acti-blizzard donc pas forcément.





Cette acquisition s’est faite avant (2008) l’arrivée de Bolloré. Et Activision Blizzard s’est acheté son indépendance avant (juillet 2013) la prise de contrôle de Vivendi par Bolloré (juin 2014). Depuis, Activision a même récupéré la participation résiduelle que possédait Vivendi (début 2016). ;-)


Le 18/05/2016 à 15h 19

“il y a une certaine presse qui fait très bien son travail là-dessus”

NextInpact ? :-)

Le 13/05/2016 à 09h 49

“À titre d’exemple, Kepler-452b - qui est considérée comme étant

l’exoplanète la plus proche de la Terre et donc une cible de choix - se

trouve à 1 400 années-lumière”

Je suppose que le “plus proche de la Terre” se veut dans le sens de “la plus similaire”, parce qu’au niveau de la distance on trouve des exoplanètes à des distances bien moindre (jusqu’à une petite dizaine d’années-lumière pour Epsilon Eridani b).



Edit : je vois que l’on a répondu à la question un peu au-dessus. Je pense qu’une reformulation du truc dans l’article ne serait pas un mal. ;-)

Le 28/04/2016 à 08h 32







fred42 a écrit :



Bah oui, cela représente moins de 2 % du parc des iPhones.



Je ne suis pas sûr que l’estimation du parc d’iPhone en service soit correctement évalué. Il ne faut pas confondre le nombre d’iPhone qu’Apple annonce avoir vendu depuis le début avec le nombre d’appareils encore en service. Il y a forcément des smartphones qui sont partis à la benne car je doute que tous les acheteurs passés aient revendu/donné leur ancien modèle lorsqu’ils en ont acheté un nouveau/migré vers un autre système. Bref, le pourcentage est peut-être un peu plus élevé (ou un peu moins vu qu’Apple continue de ne pas donner de chiffres précis). Mais il est vrai que dans tous les cas ça reste une très petite minorité des utilisateurs d’iPhone.



En passant, si j’étais mauvaise langue je dirai que lorsqu’Apple a dévoilé l’iPhone SE, cela faisait à peine six mois que les modèles précédents étaient annoncés, alors qu’avant il se passait au moins un an entre deux annonces. Le signe d’une recherche de dynamique pour compenser la baisse des ventes ?


Le 27/04/2016 à 09h 16

“D’ici mars 2018, le groupe doit dépenser 250 milliards de dollars

de liquidités dans le cadre de ce programme. Cela alors que l’entreprise

dispose de 233 milliards de dollars de réserves.”



La majorité de ces réserves étant planquées dans des paradis fiscaux, ça promet de gros emprunts pour la pomme dans les prochains mois/années. Faudrait que je regarde à quelle vitesse évolue la dette par rapport aux bénéfices chez eux, mais s’ils essuient quelques exercices moyens, ça peut vite devenir pénible pour eux.

Le 27/04/2016 à 09h 07

Je ne vois pas bien en quoi ce transfert (je vais appeler ça comme ça) vers SFR change quelque chose en matière de TVA ?

Le 07/04/2016 à 14h 15







jinge a écrit :



Du temps de Vivendi, SFR devait verser beaucoup de dividendes réguliers. Le seul dividende que SFR a versé à Altice c’est pour payer le rachat (donc équivalent LBO, de la même façon que s’il avait emprunté en interne la totalité dès le départ), et ça fait 1 an et demi qu’il appartient à Altice.

A mon avis, SFR ne versera en dividende annuel à Altice que le strict nécessaire (si ça monte à 200M€ ce sera déjà pas mal). (…)

 

Ca signifie que SFR va se retrouver avec beaucoup plus de cash à investir, et donc il est tout à fait possible qu’ils arrivent leader du THD en France comme annoncé par Drahi il y a quelques temps.

 



 Sais tu combien de dividendes étaient versés par SFR à Vivendi chaque année? (moi non, mais pour avoir étudié les comptes de SFR, je t'assure qu'ils devaient être énormes car sinon SFR serait 3x plus gros aujourd'hui, mais ça devait bien tourner à 1,5 ou 2 milliards par an).     





Là SFR va pouvoir de nouveau investir et retrouver de la croissance, et aura même de la marge pour rembourser un peu de sa dette (400M€/an sans aucun soucis), sans être pressé par les échéances, tout en déployant du TDH fibre ou câble.  Tu devrais t’en réjouir, car de toutes façons à partir du moment où c’est déployé, que l’entreprise coule ou pas ça profitera quand même aux français!





Vu qu’Altice + Numericable ont levé plus d’une dizaine de milliards d’euros en 2014 pour payer l’achat de sfr, même s’ils ont déjà fait une augmentation de capital depuis pour en rembourser une partie, c’est pas à coup de 200 malheureux millions par an qu’Altice va éponger son LBO. Un LBO ça se rembourse en général en épongeant bien la société rachetée et clairement pas en minorant les dividendes, c’est tout le contraire (ayant participé à un LBO, je vois assez bien le truc).

Le plus grotesque, pour moi, c’est que SFR a fait un emprunt pour payer son dividende l’année dernière, autrement dit on a surtout déplacer de la dette entre les éléments de la structure au lieu de générer “vraiment” de la richesse.

Pour les dividendes que SFR versait à Videndi les chiffres que je trouve pour 2012 et 2013 sont de 970 et 980 millions. A comparer au dividende, certes exceptionnel, de 2,5 milliards versé par SFR à l’automne dernier. Et je doute très sincèrement qu’Altice se contente d’un petit 200 millions à l’année.



Pour moi, la stratégie d’Altice est la même que celle de nombreux états : on réemprunte pour rembourser et repousser les échéances sur le capital. Pas viable sur le long terme puisqu’ils font monter le coût de la dette d’année en année.


Le 25/03/2016 à 12h 12







marba a écrit :



Les grands journaux indépendants n’ont pas de pub.



 Tu as des noms de grands journaux indépendants sans pub ?


Le 24/03/2016 à 16h 46

C’est comme un enfant, si on l’endoctrine bien, on finit par lui faire croire n’importe quoi. Le sens critique et le discernement, ça s’apprend. D’un certain point de vue, Tay est assez humaine. :-)

Le 24/03/2016 à 14h 46







XtofChezLesTeutons a écrit :



Il est evident que la machine doit savoir qui vote! 

Sinon, comment elle detecte que tu ne vote pas une seconde fois, ou une troisieme….



Au minimum, elle doit enregistrer “Numero de carte d’electeur XXX a voté”



 et entre enregistrer “Numero de carte d’electeur XXX a voté”, et enregistrer

“Numero de carte d’electeur XXX a voté pou Paul Bismuth”… bien malin qui arrivera a le detecter.



 





ça fait plusieurs fois que je vote sur une machine donc je peux t’expliquer  comment ça se passe :




  • on se fait identifier par les assesseurs, qui vérifient avec leur registre qu’on est bien inscrit dans le bureau et qu’on est bien qui on prétend être.

  • l’un des assesseurs appuie sur un bouton autorisant un vote sur la machine.

  • on rentre dans l’isoloir, on choisit le bouton du candidat de son choix ou le vote blanc.

  • une fois qu’on appuyé sur le bouton, un petit écran affiche le choix pour confirmation.

  • on appuie sur le bouton vote pour confirmer

  • La confirmation du vote s’affiche sur l’affichage que contrôle les assesseurs, qui peuvent prononcer le rituel “a voté”

  • on ressort de l’isoloir et on signe le registre d’émargement.



    Tout ce que la machine peut donner comme information c’est ce que te donne une urne papier : combien de vote pour qui. La seule chose qu’elle pourrait éventuellement fournir si elle est programmée pour, ce serait l’ordre de vote (les gens qui votent Tartenpion se déplacent plus le matin que ceux qui votent Duchmol) et c’est tout.

    Tout comme pour le vote papier, l’urne est dissociée du registre. Et tout comme pour le vote papier, ce sont des humains qui autorise ou pas à mettre un bulletin (papier ou virtuel) dans l’urne.



    CQFD.


Le 24/03/2016 à 12h 38







XtofChezLesTeutons a écrit :



Non, tu n’as aucun moyen de prouver que le logiciel ne va pas enregistrer “Untel a voté X”.

 Donc pas d’anonymat



La machine ne sait pas qui vote et elle n’a aucun moyen de le savoir. Elle sait juste que quelqu’un vote, c’est tout.


Le 23/03/2016 à 16h 08







Patch a écrit :



et que personne ne saura que j’ai voté X (ou si ce n’est pas toi qui le prouves, trouver qqu’un qui le pourra)?



 L’argument peut toujours s’appliquer au papier : prouve nous que personne ne peut savoir pour qui on vote. ;-)


Le 23/03/2016 à 15h 52







Loupton a écrit :



 Je l’utilise sur ma commune, c’est fiable, pour le pirater faut que tout le monde soit d’accord parce qu’à part une prise électrique, y’a pas d’autre connectique accessible, sinon faut la démonter et c’est pas discret. 



 Ça rappelle d’ailleurs bien que dans le cas du vote papier aussi on peut gruger, truquer les résultats, bourrer les urnes, etc. Si tu noyautes bien ta salle de vote, y a pas grand chose d’impossible, quelque soit le système utilisé.


Le 23/03/2016 à 15h 22







marba a écrit :



sans parler du fait que l’on peut espionner qui vote quoi facilement.



 Ça, ça me parait déjà un poil plus compliqué, à moins d’installer une caméra dans la machine.


Le 23/03/2016 à 15h 48







Paladin_Fr a écrit :



Quand on a un pic de pollution les transports en commun deviennent gratuit dans certaines villes.

Ils le seraient en permanence aurait on autant de pic de pollution ?

Peut être pas mais je trouve qu’on pourrait au moins mener une expérimentation dans quelques grands centres urbains.



Pour moi y a deux problèmes avec ça :




  • Le dimensionnement de l’infrastructure de transports en commun. En Île-de-France, la plupart des lignes de métro, rer et train sont bondées, voire saturées, à l’heure de pointe. Pourtant le réseau routier est lui aussi embouteillé au même moment. Comment les automobilistes peuvent-ils se reportent sur les transports en commun, à part à devoir attendre sur le quai et laisser passer deux trains avant de faire le forcing pour monter dans le troisième ? Il y a évidemment la possibilité d’agrandir l’infrastructure, mais ce sont des travaux de longue haleine, très couteux, et qui ont un impact sur le développement urbain. Bref, c’est pas une solution à court terme et pas tellement à moins terme non plus.

  • L’impact des journées transports gratuits sur la pollution. D’une part la pollution atmosphérique n’a pas que la voiture pour origine, d’autre part les pics de pollution sont généralement liés aux conditions climatiques. S’il fait beau et qu’il n’y a pas de vent, on atteint rapidement un pic, alors que s’il pleut et qu’il vente, on a moins de soucis. Donc, est-ce que la pollution redescend parce qu’on a proposé la gratuité de transport ou parce que le vent à fini par se lever et qu’une averse est passée par là ?


Le 21/03/2016 à 08h 43







Z-os a écrit :



On peut aussi laisser comme actuellement sachant qu’une divulgation vers 18h30/18h45 de la tendance ne pourra jamais provoquer un vote des électeurs des grandes agglomérations qui inverse cette tendance. On a bien eu des départements d’outre-mer qui n’avaient pas terminé (voire commencé) à voter avant les 20 heures fatidiques.



Ce qui est marrant c’est que généralement, on voit la tendance dans les QG de campagne à partir de 19 heures 30 (Jean paul en direct du QG : ici il n’y a pas grand monde/ Les gens commencent à arriver…). ce ne serait plus possible.. <img data-src=" /> Les premières estimations sortiraient vers 21 heures. Encore un argument pour le vote électronique ? <img data-src=" />&nbsp;



&nbsp;

Oui, c’est complètement ridicule cette interdiction de communication. Du coup à la télé tu vois bien que tout le monde sait déjà le résultat probable mais personne ne peut en parler. Par contre, pour nous noyer sous les sondages dans les jours précédents, y a pas de problème, faites-vous plaisir.

Bref, tout ça est ridicule. Plutôt que de vouloir changer les horaires de fermeture, réglons la question de l’information et puis c’est marre.


Le 18/03/2016 à 14h 51

La fermeture à 20h c’est un problème pour les petites communes qui doivent trouver des assesseurs pour tenir des bureaux toute la journée. Dans la commune où habite ma mère y a moins d’une cinquantaine d’inscrits sur la liste, mais il faut trouver des gens pour tenir le bureau pendant 10 heures. Si on recule l’heure de cloture sous prétexte qu’on veut pas entendre de résultat avant la grande messe de 20h, il va falloir trouver deux personnes de plus pour tenir le bureau de vote. Et ce style de problème, beaucoup de petites communes l’ont.

Personnellement, je ne vois que deux solutions “acceptables” :




  • Soit on réduit les horaires d’ouverture des grandes villes pour les aligner sur ceux des petites villes et villages (et les parisiens et autres s’adapteront, personnellement je suis en région parisienne et j’attends pas 19h30 pour bouger mon cul).

  • Soit on laisse les horaires comme ils sont et on arrête avec l’interdiction de communication de résultats avant 20h.

    Et si on tiens tant que ça à vouloir maintenir un blocus sur l’info autant faire les choses un peu sérieusement et commencer par interdire les sondages politiques, au moins en période électorale. :P

Le 17/03/2016 à 13h 39







OlivierJ a écrit :



mais ça m’arrive de faire quelque chose de mon dimanche à distance de chez moi et donc de mon bureau de vote.





C’est pareil en province et à la campagne. On reste pas plus cloitré chez soi qu’en région parisienne. Pourtant les gens arrivent à voter avant 18h.


Le 17/03/2016 à 11h 45







OlivierJ a écrit :



J’habite les Hauts de Seine et je suis ravi de pouvoir aller voter entre 19 h et 20 h, en l’occurrence je vote presque toujours vers 19h45, et j’ai participé 2 fois au dépouillement, je ne trouve pas que ça fasse tard (peut-être mon côté parisien).



De l’autre côté, qu’est-ce qui t’empêcherait d’aller voter plus tôt si on réduisait les horaires ?


Le 17/03/2016 à 10h 06







Altair31 a écrit :



En ville, sur de grosses élections comme les présidentielles, c’est intenable.

Pour avoir été président de bureau de vote, c’est pratiquement un flux continu de visiteur de 9h à 19h30 !





Dans les petites villes, donc des communes suffisamment grandes pour avoir plus d’un bureau de vote, c’est 8h-18h et on s’en sort. Pourtant on a pas moins d’inscrits dans un bureau de vote que dans une grande ville.


Le 17/03/2016 à 09h 37

J’ai vécu dans une petite ville de campagne avec bureau de vote fermé à 18h et maintenant je suis en région parisienne avec le bureau de vote qui ferme à 20h et j’avoue que je ne comprends toujours pas pourquoi dans les grandes villes ça ferme plus tard. Je n’y trouve pas de justification valable. Si c’est parce que les parisiens partent dans leur maison de campagne le week-end, ils n’ont qu’à faire un effort ce week-end là.

Maintenir ouvert un bureau de vote pendant 10h (de 8h à 18h) n’est déjà pas toujours facile dans certaines petites communes. Il faut au moins deux assesseurs pendant toute la journée et ce n’est pas évident de trouver des volontaires.

En poussant à l’extrême, je proposerais même qu’on laisse la fermeture à 18h pour les petites communes et qu’on force les grandes agglomérations à fermer plus tôt, du genre 17h, vu que le dépouillement y est plus long. <img data-src=" />

Le 10/03/2016 à 10h 28







Loufute a écrit :



Question qui en découle: quelle différence avec ce que fait iTunes avec la musique? Risquent-ils le même genre de procès?





Je ne sais pas comment fonctionne les tarifs de la musique numérique. Est-ce que l’éditeur fixe le prix pour toutes les plateforme de vente ou est-ce qu’elles ont une marge de manœuvre.

&nbsp;

De plus, il y a une différence majeure entre les deux cas. Apple est l’acteur historique du marché de la musique numérique et a formaté le marché selon ses besoins. La grosse erreur de Steve Jobs ça a été de croire qu’il pouvait faire pareil avec le livre numérique, alors que ce marché avait déjà décollé et était sous le “contrôle” d’un acteur hégémonique. Et la stratégie adoptée (on force les prix à la hausse pour qu’Amazon soit au même prix qu’Apple) était vouée à l’échec, en tout cas dans le contexte économique nord-américain.


Le 08/03/2016 à 16h 58







arkaow a écrit :



Je ne comprends pas où il y a entente. C’est un accord entre un fournisseur et un commerçant. C’est pas comme si Amazon et Apple s’entendaient soit pour faire payer plus cher leurs clients, soit pour acheter moins cher à leurs fournisseurs.



En fait ce sont les éditeurs qui ont fait de l’entente illicite et Apple est complice, c’est ça ?



&nbsp;





En fait tout est parti de Steve Jobs et du lancement de l’iPad. Il a décidé un peu subitement que le jour du lancement de l’iPad il devait pouvoir montrer la “révolution”que ça constituait de pouvoir acheter et lire dans la foulée un ebook sur son iPad (le truc qu’Amazon faisait déjà tranquillement dans son coin). Pour se faire, il fallait une boutique où vendre des ebooks. Problème, Amazon vendait ses ebooks en fixant eux-mêmes les prix (et en payait l’éditeur comme s’ils vendaient à plein tarif, et donc perdait de l’argent).

Apple a alors négocié un deal (à toute vitesse et n’importe comment) avec les grands groupes d’édition pour imposer un nouveau modèle : l’éditeur fixe le prix de vente final du ebook (comme ça se pratique en France). Apple n’aurait jamais pu s’aligner sur les prix Amazon, puisqu’il refuse de vendre sans faire leur 30% de marge. Ils ont donc imposer une hausse du prix des ebooks pour se faire une marge. Le truc c’est fait par entente directe entre Apple et les maisons d’éditions (d’où l’entente sur les prix) et de façon pas super subtile.

Résultat : procès et condamnation.

Au final, Jobs n’avait rien compris au marché du livre et a cru pouvoir y appliquer des méthodes qui n’y étaient pas du tout adaptées : Apple vend des produits cher sur la marque et le design, mais on ne peut pas faire monter le prix du ebook qui est pas essence un produit “bas de gamme” et sans véritable valeur ajoutée. Tout ça dans un marché qui avait déjà été grandement formaté par un acteur hégémonique (Amazon). Et aujourd’hui, Amazon domine toujours le marché outre-Atlantique et Apple continue d’y faire figure d’acteur de seconde zone. :p


Le 10/03/2016 à 10h 23







athlon64 a écrit :



Avant ou après leur suicide ? <img data-src=" />



Ils ont déjà fait le choix de quatre planches au lieu de quatre murs <img data-src=" />





Toutes les tentatives de suicide dans le métro ne sont pas “réussies”. Du peu de chiffres que j’arrive à trouver, plus de la moitié s’en sortent.


Le 01/03/2016 à 15h 36

On n’est même pas obligé de recourir à du cash pour faire une OPA, ça peut se régler par un échange d’action (contre cinq actions Tartempion recevez trois actions Dugenou).



&nbsp;







DahoodG4 a écrit :



Oui, mais faut les poser d’abord les 200 milliards ^^





Pas forcément, on peut racheter 10 € une boite qui possède 10 millions de cash. Rien ne l’empêche. Faut juste convaincre les vendeurs que c’est une bonne idée. :P (ou alors la boite a aussi 10 milliards de dettes).


Le 01/03/2016 à 13h 10







kurgan187 a écrit :



Peut être que ubisoft attende le bon moment pour ce mettre en priver.





Ce n’est pas tant une question de moment que de moyens : il faut pouvoir racheter toutes les actions qui sont sur le marché. En général ça demande de bons moyens en terme de trésorerie et je doute qu’Ubisoft les ai. D’ailleurs, peu d’entreprises ont ce genre de moyens financiers, même pas Apple d’ailleurs. :P



&nbsp;Se retirer du marché permet de plus risquer l’acquisition non voulue par Bolloré ou un autre. Par contre, ça rend aussi plus difficile les possibilités de lever des fonds quand l’entreprise a besoin de se développer.



Après, y a des gens qui sont arrivés à constituer des sociétés importantes sans pour autant ouvrir leur capital, mais c’est tout de même relativement rare, le groupe Mars étant peut-être l’exemple ultime en la matière.


Le 29/02/2016 à 13h 09







Elwyns a écrit :



Hormis la soirée dans un cercle familial . Le reste : les soirées , bals , repas mariage etc , tu es sensé déclarer à la SACEM , mais en général si tu prends un DJ c’est lui qui le fait si y a rien au black



Encore que pour les mariages, c’est pas obligatoire. Dans la mesure où c’est privé (famille et/ou ami proche), que c’est gratuit (on ne fait pas payer l’entrée) et qu’on gère soi-même la musique, alors la Sacem n’a rien à dire.


Le 25/02/2016 à 10h 31







Ph11 a écrit :



L’État n’est pas propriétaire d’une devise, mais la Fed en est productrice. Les propriétaires sont ceux qui en font l’acquisition en échange de leurs services de leurs productions… La monnaie est un bien comme un autre.



Et non, une devise n’est pas un bien comme un autre. Elle dépend d’un état et d’un système de compensation. Si c’était si libre que tu le crois, il n’y aurait pas de problème de devise inconvertible, de taux de change non libre, etc. Sans parler de l’interdiction dans certains pays (dont les Etats-Unis il me semble) de détruire ces billets.


Le 25/02/2016 à 10h 16







Ph11 a écrit :



Avec plus de 3000 pages de code des impôts, il est très facile de faire des broutilles, d’être hors des voies légales sans s’en rendre compte.

Les gens ont autre chose à faire de leur vie que de payer des fiscalistes…



&nbsp;J’ai été gérant d’une boite pendant une petite dizaine d’années et ce genre de soucis on a connu. Et ça c’est toujours réglé tranquillement, parfois en payant un truc loupé, parfois on nous a accordé remise sur notre bonne foi. Le fisc sait que son code est compliqué (tellement que parfois le fisc lui-même se plante). Et si on leur répond rapidement, poliment, etc. bref quand on a une démarche conciliante et (a priori) honnête, ça se passe généralement bien. Par contre, si la boite commence par leur répondre “non et puis c’est tout” ben ça peut très mal se passer (cf. la BNP aux states justement).


Le 25/02/2016 à 10h 11







Z-os a écrit :



Le problème n’était pas que la BNP commerce avec l’Iran et Cuba (je ne pense pas que la France était aussi en embargo avec ces pays) mais que les opérations étaient libellées en dollar. Qui dit dollar, dit compensations bancaires aux Etats-Unis donc les opérations tombaient sous le coup de la loi américaine.



De toutes manières, ils avaient décidé de faire payer une banque française pour quelque chose, restait à trouver quoi. Quand on cherche quelque chose à reprocher en matière légale on finit toujours par trouver. C’est juste tombé sur la BNP.





C’est pas “juste” tombé sur la BNP. D’autres banques françaises ont eu des soucis. Le gros problème de la BNP, outre le volume de transactions ciblés par cette affaire, c’est qu’ils ont essayé de cacher la poussière sous le tapis et ont trainé des pieds le plus possible (pour ne pas dire qu’ils n’ont pas coopéré du tout). Et quand on a ce genre de comportement, ça finit toujours mal (c’est pareil quand on commence à discuter avec l’agent qui vient de vous prendre en excès de vitesse).



De plus, y a pas que les banques françaises qui raquent auprès du trésor américain. Non seulement d’autres banques étrangères prennent des amendes diverses et variées dans la tête. Mais celle qui lâchent le plus de sous au final, ce sont les banques américaines, notamment à la suite de diverses affaires plus ou moins liées à la crise de 2008. Les milliards tombent comme s’il en pleuvait.



On peut juger un peu curieux le “réveil” de certaines autorités fiscales, mais personnellement, je ne me plains pas qu’elles se décident à faire appliquer de manière stricte des règles à des boites qui jouent beaucoup sur le flou.


Le 23/02/2016 à 14h 51

Tu oublies les abonnements purement papier et les ventes au numéro papier. Si j’en croix wikipedia la diffusion papier des Echos est de plus de 100.000 ex. Si c’était vraiment avec les abonnements web qu’ils payaient leur diffusion papier, je pense que le canard serait coulé depuis un moment. :p

Le 29/01/2016 à 12h 54







picatrix a écrit :



regardons sur un site (montgallet) : DD externe 500Gio : 45€



&nbsp;Les commerces de la rue montgallet sont un peu spéciaux. Je me souviens d’une époque où les cd vierges y coutaient quasiment moins cher que la taxe qui s’y appliquait. Ça a quand même eut la réputation d’un secteur où certaines règles n’étaient peut-être pas tout à fait respectées. ;-)


Le 27/01/2016 à 08h 50

« par le contrôle du coeur de la Toile qu’est le système d’exploitation »



C’est moi ou le type n’a compris ni ce qu’est Internet ni ce qu’est un OS ?

Le 26/01/2016 à 11h 33







d3st a écrit :



C’est quand meme assez scandaleux le montant payé sans ce redressement :

20M d’impot/taxe pour 3.8Mds de CA ça fait du 0.5%





Ça dépend de quoi on parle. L’impôt sur les sociétés est due sur les bénéfices que réalise l’entreprise, pas le chiffre d’affaire. Si une société fait un milliard de CA mais qu’elle a 100 millions de perte, elle ne paiera pas d’impôt sur les sociétés (IS). Et c’est justement la base du mécanisme qu’utilise les multinationales qui baisse au maximum la rentabilité des filiales dans les pays à IS “fort” pour augmenter celles des filiales d’optimisation fiscale dans les pays à IS “faible” voire nul.

Après il peut exister d’autres taxes/impôts, comme l’ex-taxe professionnelle remplacée par deux nouvelles taxes (la cotisation foncière des entreprises et la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises), et là évidemment un si faible taux ressemble quand même à du foutage de gueule.


Le 25/01/2016 à 11h 22

“voire aux Bermudes” lesquelles Bermudes sont… un territoire britannique d’outre-mer, tout comme les Caïmans.&nbsp; :P

Le 19/01/2016 à 08h 19







darth21 a écrit :



&nbsp;Apple n’est plus leader depuis un moment (ni sur le matériel, ni sur le soft), et se contente de suivre.



C’est même encore plus que ça : Apple n’a pour ainsi dire jamais été leader sur le marché du smartphone et je ne parle pas en part de marché OS, mais part de marché constructeur. A part deux trimestres en 2011 où ils ont réussi à décrocher la première place, ils sont arrivés soit derrière Blackberry/RIM soit derrière Nokia et ensuite c’est Samsung qui a pris le leadership. Et maintenant les différents constructeurs chinois sont en embuscade derrière la pomme.

Quand à la part de marché OS, iOS a toujours été largement dominé par le leader du moment (RIM ou Symbian puis Android).


Le 18/01/2016 à 08h 14







trekker92 a écrit :



dans dix ans ils seront encore leader (ou 2nd leader)



&nbsp;Leader de quoi ?


Le 31/12/2015 à 18h 23







tmtisfree a écrit :



Plutôt que de jalouser la réussite des autres, fais comme eux. Tu auras au moins démontré tes compétence au lieu de te plaindre de celles d’autrui. Et tu pourras fièrement débuter tes phrase par d’autres mots qu’une auto-flagellation publique…



Ça, c’est du bel argument pourri. Personnellement, j’ai pas envie de développer ma capacité à exploiter autrui sans vergogne tout en cherchant tous les moyens possibles pour que cet argent ne profite à personne à part à moi (et encore pas tant que ça vu que ce serait coincé dans un paradis fiscal dont je ne peux pas le sortir).


Le 31/12/2015 à 18h 15







Drepanocytose a écrit :



Avancer ? Grossir ?



En quoi avancer se limite à grossir et grandir, et rien d’autre ? On peut avancer en se maintenant au niveau où on est, c’est pas incompatible du tout.



Tout à fait. D’ailleurs, quantité de boites meurent parce qu’elles ont essayé de grossir et n’y ont pas survécu, alors qu’elles seraient encore debout si elles n’avaient pas essayer de gagner en taille. Dans d’autre cas au contraire, c’est la croissance de l’entreprise qui lui permet de s’en sortir alors que la stagnation (en taille) l’aurait tué. Parfois, c’est la réduction de taille qui la fait survivre.



Idem pour les marges et la pérennité de la boutique. Une entreprise a juste besoin de faire “un peu” de profit pour se pérenniser. La maximisation du profit c’est au contraire un bon mécanisme pour se foutre dans le décor à long terme, parce que ce genre de mécanisme peut faire mourir le marché dont dépend précisément l’entreprise. La véritable pérennisation, c’est une politique raisonnable et qui sait s’adapter en fonction de l’évolution du marché. Et contrairement à ce que laissent penser les énormes réserves de cash inertes, Apple n’est pas le GAFA le mieux placé pour survivre sur le long terme (trop dépend d’un marché et d’un produit particulier, trop faible diversification des activités, etc.).



Bref, croire que y a un seul raisonnement possible sur la pérennisation des entreprises, c’est ne rien y connaître.


Le 26/11/2015 à 12h 41

Non, on n’a pas besoin d’augmenter la valeur d’une entreprise pour rembourser un LBO, il suffit juste de dégager du bénéfice tous les ans (en gros d’en sortir autant qu’on a besoin de rembourser dans l’année). La valeur de l’entreprise n’a pas grand chose à voir là dedans.

Le 26/11/2015 à 08h 24







joma74fr a écrit :



et d’augmenter continuellement le chiffre d’affaire, afin d’être capable de rembourser les dettes LBO (Leveraged Buy-Out - achat par effet de levier).



Non, c’est la marge qu’il faut augmenter pour rembourser un LBO, pas le chiffre d’affaire. Faire monter un CA c’est pas très compliqué : en général il suffit de baisser un peu les prix et on fait monter les ventes. Mais on fait aussi plonger la rentabilité. Le remboursement d’un LBO représente une charge supplémentaire pour une entreprise, donc il faut réaliser de la marge pour pouvoir le rembourser.

Le must c’est évidemment d’augmenter le CA et la marge, mais s’occuper de la marge sans faire évoluer le CA suffit amplement. On peut même arriver à améliorer sa marge en réduisant légèrement le CA, en se “débarrassant” des affaires non rentables. ;-)


Le 25/11/2015 à 08h 16







DayWalker a écrit :



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Non, le problème, au final, c’est que les gens ont besoin de beaucoup se déplacer pour aller sur leur lieu de travail. La solution, c’est tout simplement de permettre de se loger pas trop loin… et lorsqu’on voit les loyers stratosphériques en région parisienne (un couple travaillant tous deux au SMIC aura bien du mal à se loger par exemple, surtout avec des marmots), forcément, les gens s’éloignent pour leur lieu de vie, et donc deviennent dépendants des transports.



-&gt; Baissons les loyers en ville, facilitons l’accès au logement davantage à proximité de son lieu de travail, et on aura déjà nettement moins de monde à déplacer tous les jours.





C’est simpliste comme solution. En région parisienne, si on ne veut pas être “loin” en temps de transport de son travail (parce qu’en distance c’est quand même beaucoup plus proche que pour beaucoup de provinciaux) il faut habiter dans le pâté de maison d’à côté.

Et ce type de solution implique que les gens se débrouillent pour avoir un travail au même endroit dans chaque famille. C’est déjà assez compliqué de trouver du boulot, si en plus il faut le trouver à peu près au même endroit dans chaque famille pour que personne n’ait besoin de prendre les transports, c’est mission impossible.

En terme de solution plus “réalistes” on a le développement du télétravail, y a plein de métiers dans lesquels c’est possible, mais beaucoup d’entreprises sont assez réfractaires à l’idée. Une autre solution est celle d’une meilleure modulation des heures de travail (en gros que tout le monde ne parte pas travailler à la même heure), ça permettrait de mieux répartir les mouvements sur les lignes de transport. Mais là aussi ça demande un peu d’adaptation, tant de la part des salariés que des entreprises (faudrait que des gens commencent une demi-heure avant ou après d’autres par exemple).

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La recherche d’une urbanisation mieux maîtrisée, moins étouffante, etc. est intéressante, mais là aussi faut pas oublier que ça a un coût de faire des villes moins denses -&gt; plus d’espaces nécessaires, pris en partie sur des terres agricoles, etc. :-)


Le 23/11/2015 à 19h 43







wapamat a écrit :



Et dans ce 13 restant, combien est supporté par le tourisme ?!





Vu que le remboursement des employeurs s’élève à 865 millions d’€ et qu’il représente en principe la moitié du coût de l’abonnement, on peut déjà déduire la même somme aux 2747 millions payés par les usagers. Ça laisse dans les 1900 millions. Mais ça ne concerne pas que les touristes, ça compte aussi tout ceux qui ont un abonnement mais qui ne sont pas salariés (autrement dit les indépendants, les retraités, les chômeurs, les étudiants, les enfants, etc.). Aucune idée du volume que peut représenter les touristes dans tout ça, mais je doute que ça fasse plus de moitié, donc probablement pas plus d’un milliard (ce qui est déjà une somme sympa).

Notons en passant qu’en plus du remboursement à leur salariés les entreprises versent aussi 3610 millions au titre du versement transport (comme quoi les entreprises franciliennes financent déjà beaucoup le système).



Les transports en région parisienne souffrent de plusieurs problèmes. Gratuit ou pas, on peut difficilement faire passer plus de gens dans le réseau à l’heure de pointe. La ligne A du RER est une des lignes de transport les plus chargées au monde (un million de passager par jour de semaine). Les rames sont pleines et se suivent à la queue leu leu à l’heure de pointe. Tout ça génère une usure de matériel prononcé (trains et voies) et donc de l’entretien. Y a des plans d’extensions du réseau très ambitieux (prolongement métro 4, 11, 14, automatisation métro 4, prolongement rer E, création métro automatique 15, 16, 17, etc.) mais ce sont de très gros investissements (on parle de 15 à 30 milliards d’€ sur dix ans).

Le problème vient aussi du fait que Paris intra-muros et une partie de la banlieue sont des zones très densément peuplé (intra-muros on est un peu au-dessus des 20.000 habitants/km²). Quelque soit les solutions de transport envisagé, ça demande de gros moyens et si on ne met pas un peu tout le monde à contribution, ça manque vite du nécessaire pour y arriver. :-)


Le 23/11/2015 à 08h 15

C’est une excuse bien minable de la part de Drahi. Quand on est une PME, en particulier dans les petites structures où le patron fait aussi office de comptable, on peut essayer de se défendre en disant qu’on a du mal à gérer le temps et à s’assurer de tout dans les délais. Quand on est une grande entreprise et qu’on a des employés dont c’est le boulot à plein temps, c’est qu’on se moque du monde. L’amende est petite face au chiffre d’affaire de ces entreprises, mais c’est toujours ça de pris.

Par contre, faudrait peut-être aussi taper sur les doigts de l’état, parce que dans le genre mauvais payeur, ça se place plutôt bien au classement. :p

Le 19/11/2015 à 08h 07







jul a écrit :



Aujourd’hui, il ne reste de tout cela que le design



Et même là-dessus, il y a à redire. L’avis de spécialistes (dont un ancien responsable design chez Apple) :http://www.fastcodesign.com/3053406/how-apple-is-giving-design-a-bad-name


Le 21/10/2015 à 10h 52

Cook nous confirme donc, par absence de communication claire, que la Watch ne se vend pas aussi bien qu’espéré.

Le 10/08/2015 à 07h 36







Vekin a écrit :



Oui, il est irrévérencieux, immature, cinglé, mais c’est le personnage qui est comme ça, ce n’est pas une invention du film.



Si le comics est dans le même ton que la bande annonce, je ne risque pas trop de m’y pencher. Je ne suis pas trop fan d’humour pipi-caca (et pourtant je suis lecteur d’Harley Quinn) et même si j’appréciais, au tarif que coûte le cinéma j’éviterai le film (ce serait plus rentable de s’acheter un tpb).


Le 09/08/2015 à 20h 01







Zeratool a écrit :



“Heureusement, l’année prochaine, la Fox et Deadpool devraient venir tous nous sauver.”

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Il faut l’encadrer cette phrase et la garder pour la sortie du film, car je pense qu’il risque d’y avoir beaucoup de déçus.

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Après cette magnifique BA qui a l’air de dévoiler un scénario exceptionnel piqué d’un post-it à Uwe Boll et un humour à la Iron Man 3, je crois que l’on va bien rigoler mais pas forcément pour les bonnes raisons.

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Peut-être que les scènes d’actions “sauveront” le film, mais bon, si un bon film ça se résumait uniquement à de l’action, ça se saurait.



Au vu de la bande-annonce de Deadpool, c’est clair que je n’irai pas au ciné pour voir ça (même sans payer, ça me coûterait le temps de déplacement). Par contre, l’année prochaine, j’attends beaucoup de Batman v Superman. :-)


Le 07/08/2015 à 19h 27







garn a écrit :



Honnetement je ne sais pas, comme je disais j’ai évité de tester pour l’instant

&nbsp;J’imagine que ca ne fait que virer l’icone, comme pour W8 ? La news ne date pas d’il y a longtemps, donc sauf s’ils l’ont déja patché, je suppose qu’effectivement ca ne fait que le masquer (et qu’il pourrait réapparaitre à la prochaine mise à jour ?&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;)





J’ai regardé un peu la manip montrée par Korben. Candy Crush n’apparait plus dans la liste. Je suis allé jusqu’à trifouillé pour arriver à accéder au répertoire WindowsApp dans Programme Files et y a plus de répertoire Candy Crush. J’en conclu que le click droit suffit à virer l’appli.


Le 07/08/2015 à 09h 13







garn a écrit :



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&nbsp;&nbsp;y a combien de monde qui saura faire ca &nbsp;dans le grand public

&nbsp;Désinstaller candy crush



Je me suis contenté d’un clic droit “désinstaller” sur la tuile de Candy Crush. Mais on va peut-être me dire que ça ne le désinstalle pas vraiment ? Ou alors c’est trop complexe comme procédure. :p