#Le brief du 02 octobre 2020

RGPD : sanction de 35 millions d’euros d’amende contre H&M en Allemagne 

RGPD : sanction de 35 millions d’euros d’amende contre H&M en Allemagne 

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Le Commissaire de Hambourg à la protection des données à caractère personnel a sanctionné le service central de H&M de Nuremberg à plus de 35 millions d’euros d’amende. L’entreprise est épinglée pour avoir enregistré des détails parfois très précis sur la vie privée des salariés.

Que ce soit pour des vacances ou pour cause de maladie, l’employeur, à la suite d’un échange (« Welcome Back Talks ») enregistrait les raisons de ces absences, y compris les maladies et les diagnostics. Lors d’entretiens personnels, d’autres informations personnelles étaient aspirées, comme des problèmes familiaux ou des croyances religieuses. Des informations consultables par plusieurs responsables de l’entreprise. 

« En plus d'une évaluation méticuleuse de la performance individuelle au travail, les données recueillies ont été utilisées, notamment, pour dresser un profil détaillé des employés, jauger et prendre des décisions concernant leur emploi » remarque la CNIL de l’État fédéré.  Pire, ces données ont été rendues accessibles à l’échelle de l’entreprise suite à une erreur de configuration en octobre 2019, pendant plusieurs heures.

Le montant de l'amende a été jugé adéquat et suffisamment efficace pour dissuader les entreprises à violer la vie privée de leurs employés, note l’autorité, qui relève aussi que des mesures correctives ont été mises depuis en œuvre, accompagnées d’une compensation des salariés concernés.

Le 02 octobre 2020 à 08h31

RGPD : sanction de 35 millions d’euros d’amende contre H&M en Allemagne 

L’Assemblée Nationale lance sa plateforme de pétitions en ligne

L’Assemblée Nationale lance sa plateforme de pétitions en ligne

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Petitions.assemblee-nationale.fr « permet d'adresser des pétitions à l'Assemblée nationale et de signer des pétitions déjà enregistrées ». Le site « va permettre aux citoyens français de déposer pour la première fois des pétitions entièrement dématérialisées » indique Open Source Politics

« Grâce au mode anonyme de France Connect il sera possible de signer des pétitions  de manière anonyme. Une garantie de sécurité pour les données personnelles ». Lorsqu’une pétition franchira le seuil de 100 000 signatures, elle sera examinée par une commission. Le député désigné rapporteur pourra décider d’examiner le texte lors d’un débat, ou de la classer. 

« La Conférence des présidents de l'Assemblée nationale peut également décider d'organiser un débat en séance publique sur une pétition ayant recueilli au moins 500 000 signatures, issues d'au moins 30 départements ou collectivités d'outre-mer »  indique l’AN. 

Plusieurs pétitions sont déjà enregistrées : l’une veut ouvrir la location touristique à tout locataire, une autre veut ajouter l’écologie dans les matières enseignées Signalons celle voulant préserver en Europe, le hérisson

Le 02 octobre 2020 à 08h31

L’Assemblée Nationale lance sa plateforme de pétitions en ligne

Scrapping : Facebook attaque deux entreprises accusées d’avoir gloutonné ses données

Scrapping : Facebook attaque deux entreprises accusées d’avoir gloutonné ses données

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Le réseau social porte plainte contre deux entreprises accusées d’avoir « scrappé » ses données, outre celles d’Instagram, Twitter, YouTube, LinkedIn ou Amazon, à des fins marketings notamment. BrandTotal Ltd. (Israël) et Unimania Inc. (Delaware) violent les conditions de ses services, estime le géant. 

Ces deux entreprises auraient contourné les protections locales en s’appuyant sur des extensions pour navigateurs (UpVoice et Ads Feed), « concues pour accéder et collecter des données ». Des extensions qui utiliseraient « des programmes automatisés pour récupérer nom, identifiant, sexe, date de naissance, statut de relation, localisation et autres informations liées aux comptes », pour envoyer les fruits de cette collecte à un serveur partagé entre les deux entreprises.

Ce contentieux « n'est que l’un des moyens utilisés pour lutter contre le scrapping. Nous avons également investi dans des équipes et autres outils pour surveiller et détecter des activités suspectes et d'utilisation non autorisée » indique Facebook, pas peu fière de se présenter comme défenseur de la vie privée.

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Scrapping : Facebook attaque deux entreprises accusées d’avoir gloutonné ses données

Google annonce un partenariat à un milliard de dollars avec des éditeurs de presse

Google annonce un partenariat à un milliard de dollars avec des éditeurs de presse

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Ce montant, le plus important à ce jour, « rétribuera les éditeurs pour qu'ils créent et organisent du contenu de haute qualité pour un autre type d'expérience d'actualités en ligne », indique Google. 

Google Actualités Showcase, nom de ce service, sera déployé d’abord en Allemagne et au Brésil, en sus de l’Argentine, du Canada, du Royaume-Uni et de l’Australie. Il sera étendu ensuite à d’autres pays, indique Sundar Pichai, directeur général du groupe.  Android est le premier système visé. Viendront après iOS, Google Discover et enfin Search. 

Il prendra la forme de volets permettent aux éditeurs concernés de regrouper leurs articles, « en fournissant une narration plus approfondie et plus de contexte ». Des fonctionnalités sont prévues : chronologies, puces et autres articles connexes, accompagnés de vidéo, d’audio et de briefings quotidiens.

« Cette approche est distincte de nos autres produits, elle s'appuie sur les choix éditoriaux des éditeurs s’agissant des articles à montrer aux lecteurs et la manière de les présenter ». 200 publications ont signé avec Google dans ces deux pays. « Showcase et notre investissement financier (…) visent à contribuer à la durabilité globale de nos partenaires de presse dans le monde » se félicite Pichai, qui sait combien les relations avec les éditeurs peuvent être épineuses.

En Europe, fruit de l’article 15 de la directive sur le droit d’auteur, un droit voisin a été reconnu aux éditeurs et agences. Le sujet fait l’objet d’un contentieux devant l’Autorité de la Concurrence où le monde de la presse doute de la bonne foi du service en ligne. Google a contesté sa mise en demeure devant la cour d’appel de Paris

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Google annonce un partenariat à un milliard de dollars avec des éditeurs de presse

Pourquoi la 5G passionne-t-elle autant ?

Pourquoi la 5G passionne-t-elle autant ?

Le 02 octobre 2020 à 08h31

C'est la question que s'est posée l'ingénieur Stéphane Bortzmeyer, revenant sur son blog sur les raisons de cette « controverse socio-technique » où « la machine politico-médiatique » s'est mise en marche. Il rappelle au passage que « beaucoup d'arguments entendus contre la 5G n'ont en fait rien de spécifique à la 5G » et que « de tels sauts se sont déjà produits dans l'histoire des systèmes socio-techniques ».

Il s'étonne par contre de l'absence d'un réel débat de fond sur les véritables évolutions de la 5G qui ne sont pas tant l'utilisation de telle ou telle bande de fréquences, l'évolution des débits et de la latence, mais bien le « slicing » et autres possibilités offertes aux opérateurs.

« Il est frappant de constater que certains sujets semblent plus porteurs, sans qu'on puisse trouver une base objective à l'importance qu'ils ont dans le débat public. Tout homme (ou femme) politique en France aujourd'hui se sent obligé d'avoir un avis sur la 5G, qu'il ou elle ait étudié le sujet ou pas » résume-t-il comme pour inviter à élever le débat, pas seulement sur le plan technique.

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Pourquoi la 5G passionne-t-elle autant ?

Covid-19 : la Cada réduit le délai moyen de traitement de 176 à 114 jours « seulement »

Covid-19 : la Cada réduit le délai moyen de traitement de 176 à 114 jours « seulement »

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Dans un entretien à Acteurs publics, le nouveau président de la Commission d’accès aux documents administratifs (Cada), Jean-Luc Nevache, rappelle « aux fonctionnaires et élus que la Cada est le dernier recours avant le tribunal administratif, et non la première étape avant de communiquer le document ». 

« L’enjeu, explique Nevache, est de faire évoluer les pratiques et postures des administrations, dont la culture est, encore aujourd’hui, davantage celle du secret que de l’ouverture ». Avec des délais moyens de traitement très importants, de l’ordre de 176 jours, et malgré une productivité des agents en très forte augmentation, de l’ordre de 60 %, la Cada a par ailleurs affiché en 2019 des résultats encore une fois bien en-deçà des attentes des requérants et de la loi. 

La crise sanitaire a depuis fait que pendant trois mois, pratiquement aucun dossier n’a été déposé auprès de la Commission. Résultat, dès cet été, le stock de dossiers en attente de traitement avait complètement fondu, rapportant le délai moyen à 114 jours « seulement ».

Un audit interne devrait cela dit être lancé en octobre afin d’identifier des axes d’amélioration de la productivité des agents de la Cada, de sorte de ne plus avoir à gérer du stock, mais du flux.

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Covid-19 : la Cada réduit le délai moyen de traitement de 176 à 114 jours « seulement »

Un message privé sur Facebook peut être retenu contre un salarié pour justifier son licenciement

Un message privé sur Facebook peut être retenu contre un salarié pour justifier son licenciement

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Une employée de Petit Bateau avait été licenciée en mai 2014 pour avoir publié une photo de la nouvelle collection sur un compte privé du réseau social, une information confidentielle soufflée à l’oreille de professionnels pouvant travailler pour des concurrents.

Ce compte était privé en ce sens que seules les personnes autorisées pouvaient y accéder. Une autre salariée avait communiqué à l’employeur le message, avant que celui-ci ne prenne sa décision. La salariée remerciée a contesté son licenciement, armée du principe de loyauté de la preuve. 

La Cour de cassation a estimé que « le droit à la preuve peut justifier la production d’éléments portant atteinte à la vie privée à la condition que cette production soit indispensable à l’exercice de ce droit et que l’atteinte soit proportionnée au but poursuivi ».

Certes, « la production en justice par l’employeur d’une photographie extraite du compte privé Facebook de la salariée, auquel il n’était pas autorisé à accéder (…) constituait une atteinte à la vie privée de la salariée ». Mais cette atteinte à la vie privée a été jugée « indispensable à l’exercice du droit à la preuve et proportionnée au but poursuivi », ici « la défense de l’intérêt légitime de l’employeur à la confidentialité de ses affaires ».

« Tout ce que vous écrirez et publiez sur Internet pourra être retenu contre vous, y compris lorsque c’est dans le cadre d’un espace fermé » commente sur Twitter l’avocat Alexandre Archambault, avant d’ajouter « coucou les chaînes WhatsApp de policiers et  autres groupes Facebook d’avocats en roue libre ».

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Un message privé sur Facebook peut être retenu contre un salarié pour justifier son licenciement

Un député veut exonérer les associations des droits Sacem-Spré, deux fois par an

Un député veut exonérer les associations des droits Sacem-Spré, deux fois par an

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Le député LR Olivier Dassault a déposé une proposition de loi pour dispenser le monde associatif du paiement de la rémunération équitable, ces droits payés lorsqu’une manifestation occasionnelle est sonorisée.

« Et c’est là le bémol ! Quand la musique sonne, la Sacem s’actionne » réagit le parlementaire. « Et peu importe s’il s’agit d’une petite association qui s’implique avec peu de moyens et surtout beaucoup d’énergie des bénévoles, elle passe forcément à la caisse ».

La collecte de ces droits est en effet assurée par la SACEM pour le compte de la SPRé, société cogérée par la SCPP, la SPPF, l’ADAMI et la SPEDIDAM. 

Le parlementaire salue la société, qui a « fait de gros efforts pour simplifier les démarches administratives et diminuer la facture de certains » organismes, mais estime que « la redevance pénalise bien des actions et décourage même certaines réalisations ».

Pour aider le monde associatif, « source inépuisable de cohésion sociale », sa proposition de loi vise à exonérer du paiement des droits l’organisation de deux événements par an, à condition toutefois que l’entrée soit gratuite. 

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Un député veut exonérer les associations des droits Sacem-Spré, deux fois par an

Pass Culture : 95 000 utilisateurs dans 14 départements

Pass Culture : 95 000 utilisateurs dans 14 départements

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Ce sont les derniers chiffres du ministère de la Culture, « soit plus de la moitié du public éligible ». « Le déploiement du Pass Culture initialement prévu en avril 2020 s'inscrivait dans une logique de déploiement progressif et devait bénéficier à l'ensemble des jeunes et des acteurs culturels de la région Grand Est, au même titre que la Bourgogne-Franche-Comté, la Bretagne, l'Île-de-France, l'Occitanie, la Provence-Alpes-Côte d'Azur, La Réunion et la Guyane ». 

Cependant la procédure a été suspendue en raison de l'épidémie de Covid-19. « Malgré cet évènement, la SAS Pass Culture a continué à renforcer ses équipes dans la région Grand Est pour être plus efficace sur le département d'expérimentation actuelle et pour préparer l'ouverture de nouveaux départements ». 

Roselyne Bachelot indique qu’une « réflexion est actuellement en cours pour envisager une nouvelle étape de déploiement qui pourrait également inclure des évolutions du dispositif lui-même, en tirant les conséquences du bilan de l'expérimentation sur les 14 territoires ». 

Des arbitrages « seront portés à la connaissance des parlementaires dans les prochaines semaines, notamment dans le cadre du projet de loi de finances pour 2021 ».

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Pass Culture : 95 000 utilisateurs dans 14 départements

Le gouvernement réfléchit à la dématérialisation de la carte électorale

Le gouvernement réfléchit à la dématérialisation de la carte électorale

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Questionné par le député Marc Le Fur (LR), le ministre de l'Intérieur ausculte actuellement « l'opportunité du maintien de la carte électorale » et « son éventuelle dématérialisation ».

Ce chantier est consécutif à la loi de finances pour 2020 dont un article a demandé à l’exécutif de remettre au Parlement, « dans un délai de neuf mois » un rapport évaluant l'utilité du maintien de la carte. 

Ce rapport le charge également d’examiner « l'importance de ce titre dans la tenue des listes électorales et dans l'exercice du droit de vote ainsi que le coût de sa production et de son acheminement ». Il doit enfin envisager « la possibilité de sa dématérialisation ». 

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Le gouvernement réfléchit à la dématérialisation de la carte électorale

Découpe automatisée des images : Twitter annonce du changement

Découpe automatisée des images : Twitter annonce du changement

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Le service de micro-blogging explique avoir mené de très nombreuses analyses de son système et dit ne pas avoir identifié de biais racial ou par genre mais reconnait que « un risque de préjudice » du fait de la méthode utilisée, sans plus de détails.

« Nous aurions dû faire mieux et anticiper ces possibilités lorsque nous avons conçu ce produit » s'excuse l'équipe qui dit qu'elle va continuer à faire des tests et à partager ses résultats. Cela fait suite à une polémique intervenue le mois dernier.

Et d'ici là ? Tout d'abord, la solution actuelle de découpe automatisée doit être mise au placard au profit de méthode plus manuelles, laissant le choix à l'utilisateur. Plusieurs alternatives sont en test. Aucune date n'a été donnée pour une mise en production.

Bref, il s'agit surtout de déclarations d'intentions pour le moment, Twitter précisant au passage qu'il cherche à renforcer son approche « what you see is what you get », entre la création du tweet et sa mise en ligne, même pour des images ayant un format inhabituel.

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Découpe automatisée des images : Twitter annonce du changement

Enchères 5G : les opérateurs à l’école des fans

Enchères 5G : les opérateurs à l'école des fans

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Suite à l'annonce hier des résultats, chacun y est allé de son communiqué de presse vantant sa prochaine capacité à émettre sur la bande des 3,5 GHz.

« Bouygues Telecom se réjouit particulièrement de l’obtention d’un bloc de 70 MHz » qui le « positionne équitablement [...] lui permet de doubler son patrimoine spectral [et] de proposer à ses clients, particuliers et entreprises le meilleur de l’expérience 5G ». Les propos assez peu enjoués de Martin Bouygues, lorsqu'il cherchait à retarder les enchères, semblent lointains. Désormais, le groupe est heureux de disposer d'« un total de près d’un quart des fréquences disponibles sur le marché » (4G comprise).

Chez Free Mobile, on est également content d'avoir emporté 22,6 % du spectre disponible en 5G (70 MHz), mais on se focalise sur l'aspect financier. Les 252 millions d'euros à payer en 4 ans et les 350 millions d'euros (à prix fixe) étalés sur 15 ans). « Cet investissement, qui s’appuie sur la solidité financière du Groupe iliad, va permettre au Groupe de poursuivre sa croissance sur le marché Mobile en France en lançant prochainement ses offres 5G pour ses 13,4 millions d’abonnés » promet l'ex-trublion.

Outre sa volonté d'une 5G pour tous, l'entreprise rappelle qu'à compter de l'année prochaine elle bénéficiera d’une extension de son spectre sur les 900 MHz (+ 2,6 MHz symétrique) et les 2 100 MHz (+ 9,8 MHz symétrique).

Bien entendu, Orange se félicite d'avoir « remporté la quantité la plus élevée de fréquences 5G en France » du haut de ses 90 MHz. « un investissement industriel crucial pour maintenir et renforcer la position acquise par Orange [...] et conforter [...] sa place de n°1 au bénéfice de ses clients, particuliers et entreprises ».

Son portefeuille de fréquences reste ainsi le premier du parc français : 257 MHz (dès août 2021). Mais surtout, « Orange a obtenu ce leadership sur les fréquences 5G pour un montant total maîtrisé, témoignant d'une gestion rigoureuse de ses ressources permettant de préserver la capacité du Groupe à continuer à investir » dans l'extension de la 4G et de la fibre.

Fort de 80 MHz, SFR dit aussi qu'il va pouvoir « proposer une expérience optimale en 5G à ses clients et préparer dans les meilleures conditions les futurs services innovants attendus avec cette cinquième génération de téléphonie mobile ». Il « dispose désormais de 244,6 MHz dans l’ensemble des bandes de fréquences mises en service en France et conforte son rang de solide numéro 2 du marché », derrière Orange. 

Le groupe Altice, qui doit continuer de rassurer ses investisseurs promet que « ce nouvel investissement dans un actif attribué pour 20 ans est à rapprocher des près de 3 milliards d’euros que SFR investit chaque année dans ses infrastructures Très Haut Débit fixe et mobile pour répondre aux attentes de ses clients et à l’augmentation des besoins en capacité ». 

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Enchères 5G : les opérateurs à l’école des fans

Projet Skara : OpenJDK abandonne Mercurial au profit de Git

Projet Skara : OpenJDK abandonne Mercurial au profit de Git

Le 02 octobre 2020 à 08h31

L'idée n'est pas nouvelle puisque le fait de changer de gestionnaire de versions a été initiée l'année dernière. Cela a néanmoins demandé un gros travail, notamment d'adaptation (des empreintes, outils), pour préserver l'historique et les tags.

L'équipe avait évoqué sa volonté de réduire la taille des métadonnées, mais aussi de profiter de l'écosystème né autour de Git ces dernières années comme motivations principales. La plateforme d'hébergement retenue est GitHub

Le service, racheté par Microsoft il y a quelques années maintenant, se félicite bien entendu de cette initiative, et revient dans un billet de blog sur le projet et les méthodes utilisées.

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Projet Skara : OpenJDK abandonne Mercurial au profit de Git

Epic Games : qui sont-ils, quels sont leurs réseaux ?

Epic Games : qui sont-ils, quels sont leurs réseaux ?

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Empêtré dans une bataille juridique avec Apple autour du partage des revenus issus de Fortnite, l'éditeur à succès est loin d'être une startup. 

Né il y a 30 ans, il a commencé avec des titres qui ont marqué une génération comme Epic Pinball, Jazz Jackrabbit ou celui qui a réellement fait son succès : Unreal doté de son non moins célèbre Unreal Engine. 

Une histoire méconnue de ceux pour qui l'entreprise n'est que le symbole d'une industrie du jeu vidéo vendant des packs virtuels et surfant sur le succès de ses « danses ». Sylvain a donc consacré une vidéo d'un peu moins d'une heure à ce phénomène sans pareil. 

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Epic Games : qui sont-ils, quels sont leurs réseaux ?

Microsoft : un Surface Laptop Go de 12,4″ et un SoC SQ2 (ARM) pour la Surface Pro X 

Microsoft : un Surface Laptop Go de 12,4

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Le fabricant présente sa nouvelle machine Laptop Go comme étant le « Surface Laptop le plus léger », avec un poids de 1,11 kg pour des mensurations de 278,18 x 205,67 x 15,69 mm. Il dispose d’un vrai clavier (1,3 mm de course pour les touches) avec un trackpad. Il dispose d’un écran tactile PixelSense de 12,4" (1 536 x 1 024 pixels) avec 4 ou 8 Go de LPDDR4x et un Core i5-1035G1.

Côté stockage, trois possibilités : 64 Go d’eMMC ou 128/256 Go de SSD. Du Wi-Fi 6 et du Bluetooth 5 sont également présents. Notez que Microsoft a intégré un lecteur d’empreintes dans le bouton power… sauf sur la version avec 4 Go de mémoire et 64 Go de stockage, dommage. La connectique comprend deux ports USB, dont un Type-C. La capacité de la batterie n’est pas précisée, mais l’autonomie annoncée est de 13 h en « utilisation normale ». Toutes les caractéristiques sont détaillées par ici.

Le Surface Laptop Go sera disponible à partir du 27 octobre, pour 629 euros avec 4/64 Go (et donc sans lecteur d’empreintes). Le tarif grimpe à 799 euros avec 8/128 Go et 999 euros avec 8/256 Go, soit 200 euros tout de même pour 128 Go de SSD en plus.

Microsoft annonce aussi une version retravaillée de sa tablette Surface Pro X, qui est pour rappel équipée d’un SoC (ARM) « maison ». Le SQ1 utilisé jusque là s'étant basé sur le Snapdragon 8cx de Qualcomm, il y a de fortes chances pour que le SQ2 annoncé aujourd’hui soit dérivé du Snapdragon 8cx Gen 2 5G. Mais attention, le nom de la tablette reste le même.

Suivant les configurations un SQ1 ou un SQ2 sera utilisé. Les modèles « d’entrée de gamme » (1 170 euros tout de même) restent sur la puce actuelle, il faudra dépenser 1 700 euros minimum pour avoir un SQ2. De quoi casser définitivement l'image de puces à petit prix qui colle aux SoC ARM en raison de leur utilisation sur des machines comme les Raspberry Pi.

Pour rappel, ce genre de machine donne accès à Windows 10 on ARM (WoA) et peut exécuter du code natif en 32/64 bits, ou du x86 émulé mais en 32 bits. Le 64 bits devrait néanmoins arriver à partir du mois prochain en test, selon Microsoft.

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Microsoft : un Surface Laptop Go de 12,4″ et un SoC SQ2 (ARM) pour la Surface Pro X 

F-droid vient de fêter ses 10 ans

F-droid vient de fêter ses 10 ans

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Si vous êtes sous Android ou l'un de ses dérivés, sachez que le Play Store de Google n'est pas la seule source d'application disponible. Il existe des alternatives, comme celle-ci se focalisant sur la mise en avant de projets open source.

Et c'est le 29 septembre 2010 que F-droid voyait le jour. Qui se doutait qu'il existerait toujours une décennie plus tard ? Depuis, Replicant l'a mis en place comme boutique par défaut, la FSF Europe a soutenu le projet comme le Guardian Project qui y diffuse ses applications.

L'équipe en profite pour diffuser deux nouvelles versions de son server et de son client (en alpha pour le moment).

Le 02 octobre 2020 à 08h31

F-droid vient de fêter ses 10 ans

Médiacités lance son Radar « pour contrôler l’action de vos élus locaux »

Médiacités lance son Radar « pour contrôler l’action de vos élus locaux »

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Ce média sur abonnement se focalise sur l'information locale, étant implanté dans plusieurs villes de France. Il propose désormais ce nouvel outil, accessible à tous. 

« Avec nos journalistes, vérifiez si les élus locaux tiennent leurs promesses de campagne et numérisez les décisions votées à chaque conseil municipal et métropolitain. L'objectif : comprendre, avec vous, ce que font les élus locaux durant le mandat à venir » promet l'équipe.

Pour le moment, 1 175 promesses sont suivies, les lecteurs étant aussi impliqués dans la saisie de données, 330 délibérations ayant été analysées. Quatre villes sont concernées : Lille, Lyon, Nantes et Toulouse.

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Médiacités lance son Radar « pour contrôler l’action de vos élus locaux »

Moteurs de recherche alternatifs sous Android : DuckDuckGo se plaint des résultats

Moteurs de recherche alternatifs sous Android : DuckDuckGo se plaint des résultats

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Pour se conformer aux demandes européennes, Google avait ouvert son OS à des tiers, mais sous la forme d'enchères, trois places étant renouvelées chaque trimestre. Les résultats pour fin 2020 viennent de tomber

En France, ce sera Bing, info.com et PrivacyWall. Qwant, qui était un temps présent ne l'est plus qu'au Luxembourg. Une situation ubuesque pour DuckDuckGo qui est aussi l'un des grands perdants. 

« Bien que nous soyons rentables depuis 2014, nous avons été sortis du fait de notre choix de ne pas maximiser nos profits en monétisant nos utilisateurs » déclare dans un billet de blog l'entreprise qui propose un service respectueux de la vie privée.

Ainsi, elle serait incapable d'enchérir autant que ceux qui gagnent, de fait, plus par recherche effectuée. Elle dit avoir contacté la Commission Européenne pour lui fournir des données détaillant comment la procédure exclut de fait des concurrents à Google tels que DuckDuckGo.

L'année dernière Qwant avait déjà fait part de son mécontentement, tout comme Lilo au début de l'année.

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Moteurs de recherche alternatifs sous Android : DuckDuckGo se plaint des résultats

L’arcep met à jour ses données sur la couverture mobile

L'arcep met à jour ses données sur la couverture mobile

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Disponibles en open data, elles sont également diffusées sous la forme d'une carte interactive via le service Mon réseau mobile. La mise à jour concerne la 4G en métropole et la 2G, 3G, 4G en outre-mer. Les données sont celles à date du second trimestre 2020.

« Les déploiements se sont poursuivis à un rythme inférieur au trimestre précédent, effets déjà visibles en début d’année du fait de la crise sanitaire » précise le régulateur.

Il rappelle que « plusieurs échéances majeures du new deal mobile sont prévues d’ici fin 2020 avec les premiers arrêtés du dispositif de couverture ciblée, la généralisation de la 4G sur les sites existants et la couverture des axes routiers prioritaires à l’extérieur des véhicules ». 

L'arcep attend donc des opérateurs « une accélération du rythme des déploiements afin d’apporter aux Français une couverture mobile de qualité ».

Le 02 octobre 2020 à 08h31

L’arcep met à jour ses données sur la couverture mobile

Google rencontre des soucis avec son indexation

Google rencontre des soucis avec son indexation

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Dans une série de tweets, un compte officiel explique que certaines URL sont touchées. Deux problèmes ont été identifiés. Le premier est l'indexation mobile, l'autre avec la gestion de la détection des contenus dupliqués.

L'équipe précise que les éditeurs de site n'ont rien à faire, elle travaille actuellement à résoudre les problèmes détectés « rapidement ». Elle préviendra via le même thread Twitter lorsque ce sera le cas.

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Google rencontre des soucis avec son indexation

World of Warcraft Shadowlands est retardé

World of Warcraft Shadowlands est retardé

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Blizzard vient de l'annoncer, la sortie de l'extension se fera plus tard dans l'année. « Il nous semblait important que vous le sachiez le plus tôt possible » précise Blizzard, qui ajoute qu'aucune date définitive n'a encore été déterminée. 

Si tout est finalisé ou presque, les premiers retours ont incité l'éditeur à revoir sa copie avant de la rendre accessible à tous. Le pré-patch sera néanmoins disponible le 13 octobre prochain, avec certaines des nouveautés attendues.

Le 02 octobre 2020 à 08h31

World of Warcraft Shadowlands est retardé

Ubuntu 20.10 (Groovy Gorilla) : la beta est disponible au téléchargement

Ubuntu 20.10 (Groovy Gorilla) : la beta est disponible au téléchargement

Le 02 octobre 2020 à 08h31

C'était attendu, comme nous l'évoquions la semaine dernière. Il ne s'agit néanmoins que d'une étape supplémentaire dans le processus de finalisation de cette version. 

Chacun peut ainsi la tester, les différentes « flavors » d'Ubuntu devraient aussi rapidement publier leurs ISO. Les dernières finitions doivent désormais être apportées d'ici au 22 octobre prochain, date attendue pour la sortie d'Ubuntu 20.10. 

Parmi les nouveautés, on note bien entendu l'utilisation d'un noyau récent 5.8, de GNOME 3.38. Les applications intégrées ont également été mises à jour. ActiveDirectory intègre de son côté le processus d'installation. 

Comme nous l'avons fait pour Fedora 33, nous aurons l'occasion de revenir sur les améliorations apportées plus en détails dans les prochains jours, après analyse de cette beta.

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Ubuntu 20.10 (Groovy Gorilla) : la beta est disponible au téléchargement

Violences familiales : le bracelet anti-rapprochement sous l’œil de la CNIL

Violences familiales : le bracelet anti-rapprochement sous l’œil de la CNIL

Le 02 octobre 2020 à 08h31

La Commission a ausculté longuement un projet de décret destiné à donner corps au bracelet anti-rapprochement (« BAR »). Institué par la loi du 28 décembre 2019 visant à agir contre les violences au sein de la famille, « le BAR doit permettre de déterminer en temps réel la position du porteur du bracelet par rapport à celle de la personne protégée, à l'aide de dispositifs de géolocalisation remis à chaque partie » détaille sa délibération.

Ainsi, « lorsque le porteur du bracelet s'approchera à une distance déterminée de la personne protégée, le système générera un signal à destination du téléopérateur, qui pourra alors déclencher une injonction au porteur du bracelet de s'éloigner de la personne protégée »

En cas de refus, les forces de l'ordre pourront intervenir et la personne protégée pourra être contactée « afin d'assurer sa mise en sécurité ». Le projet de décret prévoit que « la zone d'alerte ne peut être inférieure à un kilomètre, ni supérieure à dix kilomètres. La détermination de cette zone ne peut aller en deçà d'un niveau de précision de l'ordre du kilomètre ». 

Une zone de pré-alerte est prévue, correspondant au double de la zone d'alerte. « La détermination du régime juridique applicable au traitement BAR est rendue complexe par le fait qu'il présente la particularité de pouvoir être prononcé à titre d'obligation en matière pénale, mais aussi en matière civile dès lors que les deux parties y consentent ».

La CNIL a rendu un avis favorable, sous réserve de plusieurs observations. Elle réclame notamment une mise à jour de l’analyse d’impact et des mesures de sécurité « au regard de la réévaluation régulière des risques ».

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Violences familiales : le bracelet anti-rapprochement sous l’œil de la CNIL

Bachelot pressée de fusionner Hadopi et CSA

Bachelot pressée de fusionner Hadopi et CSA

Le 02 octobre 2020 à 08h31

La ministre de la culture estime qu'elle n'aura besoin que de 30 heures de débats parlementaires en première lecture pour faire adopter un projet de loi regroupant les deux entités, « une estimation très optimiste », considère La Lettre A. 

Un volet sur le piratage des contenus devrait également être inséré dans le futur texte. Le CSA et Hadopi avaient signé en janvier une convention pour jeter les bases de leur fusion, une des mesures les plus avancées de l'ancien projet de loi.

Le 02 octobre 2020 à 08h31

Bachelot pressée de fusionner Hadopi et CSA

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