solstråle : « un service d’installation de panneaux solaires » par Ikea

solstråle : « un service d’installation de panneaux solaires » par Ikea

solstråle : « un service d’installation de panneaux solaires » par Ikea

Pour proposer ce service, le suédois s’est rapproché de Voltalia, un « expert de la production d’énergie renouvelable, notamment solaire, depuis bientôt 15 ans ». Si ce service est nouveau en France, il est disponible depuis des années dans huit autres pays, notamment la Suède, l’Allemagne, la Suisse et la Belgique. Il ne s’agit évidemment pas d’un kit à monter soi-même : 

« Après avoir pris des informations sur IKEA.fr ou en magasin les clients de IKEA France pourront faire une simulation via un outil en ligne et ensuite se faire accompagner de la visite technique jusqu’au service après-vente par les experts de Voltalia, pour bénéficier d’une installation photovoltaïque sur leur toiture.

Avec ce service, IKEA souhaite permettre au plus grand nombre de jouer un rôle actif dans la transition énergétique en France, tout en faisant des économies sur le long terme. L’électricité produite peut-être soit consommée sur place pour faire baisser la facture et/ou revendue au réseau pour générer des revenus ».

La disponibilité commencera cet automne « dans les départements du sud de la France, puis progressivement dans toute la France d’ici fin 2020 ».

Commentaires (35)


Plutôt sino-solstråle. Et dire qu’IKEA est européen… <img data-src=" />


D’un coté on peut se dire que cela fera de la concurrences aux arnaqueurs qui sillonnent les rases campagnes. D’un autre coté on peut s’inquiéter de la qualité du produit final. Chaque maison à ses problèmes et caractéristiques.



&nbsp;Les grandes enseignes n’étant pas connu pour leur promptitude a faire du SAV…

&nbsp;








Idiogène a écrit :



Plutôt sino-solstråle. Et dire qu’IKEA est européen… <img data-src=" />



Pquoi sino? Le groupe Mulliez (qui possède Voltalia) est passé sous giron chinois?









Patch a écrit :



Pquoi sino? Le groupe Mulliez (qui possède Voltalia) est passé sous giron chinois?







Je pense que cela fait référence à l’origine des panneaux solaire qui sont quasi intégralement produits en chine









Dashan a écrit :



Je pense que cela fait référence à l’origine des panneaux solaire qui sont quasi intégralement produits en chine



Comme certainement beaucoup de produits Ikea. Du coup j’ai du mal à voir le rapport.



Voilà un gros concurrent qui arrive sur le marché ^^


Beaucoup ? il faudrait une part chiffrée.

Depuis 2017 Ikea a fait des progrès écolos un peu partout, on y parle même d’économie circulaire… le rapport semble évident : ikea veut se donner une image verte d’ici 2030. L’origine des panneaux devrait donc être cohérente avec le reste si ils souhaitent faire les choses pour de vrai.


Des panneaux solaire en France? ça a intérêt à n’être installé que dans le sud… Un panneau solaire c’est généralement 40gCO2eq/kWh sur sa durée de vie (12g pour de l’éolien , 6g pour le nucléaire et l’hydro). Je ne parle même pas s’il y a un stockage derrière, ça monte à 250gCO2eq/kWh…



Donc non merci! on n’a pas besoin de panneaux solaire photo-voltaique en France, encore moins que de parcs éolien offshore. On a besoin de panneaux solaire thermique éventuellement, d’isolation de nos bâtiments et de construire des pistes cyclables pour favoriser le report modal vers le vélo.


Photovoltaique donc, dommage que ça ne soit pas thermique…








Idiogène a écrit :



Beaucoup ? il faudrait une part chiffrée.

Depuis 2017 Ikea a fait des progrès écolos un peu partout, on y parle même d’économie circulaire… le rapport semble évident : ikea veut se donner une image verte d’ici 2030. L’origine des panneaux devrait donc être cohérente avec le reste si ils souhaitent faire les choses pour de vrai.



en 2011, c’était 30% de produits fabriqués en Asie, dont 22 en Chine. Ce qui reste quand même assez énorme vu le volume des ventes.

Après, je ne sais pas si les taux ont changé depuis, je n’ai pas trouvé plus récent.









Qruby a écrit :



Des panneaux solaire en France? ça a intérêt à n’être installé que dans le sud… Un panneau solaire c’est généralement 40gCO2eq/kWh sur sa durée de vie (12g pour de l’éolien , 6g pour le nucléaire et l’hydro). Je ne parle même pas s’il y a un stockage derrière, ça monte à 250gCO2eq/kWh…



Donc non merci! on n’a pas besoin de panneaux solaire photo-voltaique en France, encore moins que de parcs éolien offshore. On a besoin de panneaux solaire thermique éventuellement, d’isolation de nos bâtiments et de construire des pistes cyclables pour favoriser le report modal vers le vélo.





on parle d’installation en neuf là je suppose ? c’est dur de trouver des expériences basées sur des montages avec des éléments d’occasion. il y a des gens qui ont de la place au sol pour mettre 30 ou 40% de panneaux en plus à production équivalente, pareil en batteries. et avec une empreinte carbone qui serait du coup plus faible.

et tes chiffres sont donnés à l’arrache avec un peu de mauvaise fois : pour l’éolien aussi il faut une batterie pour stocker. et au-delà des chiffres, avoir des panneaux solaires chez soi c’est avoir déjà une réflexion intéressante sur sa conso électrique. si en plus c’est pour être autonome sans être relié à un réseau ERDF/ouatelse il y a aussi des “gains” évidents de fait en terme de pollution et de consommation. et pas que dans le sud.

merci pour la réflexion sur les panneaux solaires thermiques, je n’avais pas vu ça :)









Idiogène a écrit :



Beaucoup ? il faudrait une part chiffrée.

Depuis 2017 Ikea a fait des progrès écolos un peu partout, on y parle même d’économie circulaire… le rapport semble évident : ikea veut se donner une image verte d’ici 2030. L’origine des panneaux devrait donc être cohérente avec le reste si ils souhaitent faire les choses pour de vrai.





Le site d’IKEA ne donne aucune info sur le sujet.

Ils parlent bien de développement durable et économie circulaire mais il ne fournissent aucune info sur le sujet, ne présentent ni ne disposent d’aucune certification, et leur discours peut se lire de plusieurs manières différentes (on fait “travailler” les gens des pays pauvres = on les exploite en vrai)



Bref, beaucoup de blabla marketing mais aucune réalité derrière.

<img data-src=" />

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Qruby a écrit :



Des panneaux solaire en France? ça a intérêt à n’être installé que dans le sud… Un panneau solaire c’est généralement 40gCO2eq/kWh sur sa durée de vie (12g pour de l’éolien , 6g pour le nucléaire et l’hydro). Je ne parle même pas s’il y a un stockage derrière, ça monte à 250gCO2eq/kWh…



Faux.

Le solaire, c’est 11gCO2eq/kWh, c’est l’éolien qui est à 40 (36 si je me souviens bien).

Pour le nucléaire, 66 selon l’Ademe (et P.S: merci d’éviter de polluer cela avec la propagande d’Edf) qui l’a revu pour se caler aux évaluations du GIEC soit 12 gCO2eq/kWh .

Les 6 gCO2eq/kWh pour le nucléaire, c’est une info légèrement trafiquée car évaluée sur la soi-disant gestion efficace du parc nucléaire en France (genre les français font tout mieux que les autres <img data-src=" />, la construction de la centrale de Flamanville le prouve… enfin… s’ils finissent de la construire un jour).

&nbsp;

Je ne parle même pas du cout (dans tous les sens du terme) des déchets nucléaires qui sont une belle saloperie qu’on va laisser aux générations futures (non, leur enfouissement n’est pas une solution, c’est une idiotie équivalente à celle de balancer les futs radioactifs dans la mer)

&nbsp;

Ton affirmation sur le stockage derrière n’a aucun sens.

Faut arrêter de croire n’importe quoi.

&nbsp;

&nbsp;





Qruby a écrit :



Donc non merci! on n’a pas besoin de panneaux solaire photo-voltaique en France, encore moins que de parcs éolien offshore.





Ben si, parce que ce serait idiot de se passer d’une énergie disponible en grande quantité au vu du faible cout que cela représente.



Le éolien offshore n’est pas le mieux mais ça permet déjà d’éviter les niveaux de pollution du pétrole.

&nbsp;

&nbsp;





Qruby a écrit :



&nbsp;On a besoin de panneaux solaire thermique éventuellement, d’isolation de nos bâtiments et de construire des pistes cyclables pour favoriser le report modal vers le vélo.





Ça fait 30 ans qu’on en parle: pas sur que cela soit adopté un jour.



Comme beaucoup de marchands ils comptent sur les réseaux FSC déjà certifiés… après je ne suis pas fan d’Ikea pour d’autres raisons (design nordique très approximatif ) mais là je ne vois pas trop de green washing ou de bisbilles. Ils se sont adaptés à leur clientèle très “bobo”.









js2082 a écrit :



Ça fait 30 ans qu’on en parle: pas sur que cela soit adopté un jour.







Cela fait 10 ans que les connaisseurs en ont. Il suffit de lever la tête.

La seule contrainte est le prix pour du matériel franchement à la portée du premier venu… inutile de préciser que l’usage du cuivre fait grimper le prix à dessein des plombiers…



Ils en sont où au fait, Ikéa, avec leur colle pleine de formaldéhyde ?








Idiogène a écrit :



Inutile de préciser que l’usage du cuivre fait grimper le prix à dessein des plombiers…







Paradoxalement, le prix du cuivre a beaucoup baissé ces derniers temps. J’en ai 450 kg à vendre et j’attends que ça remonte. <img data-src=" />









Estya a écrit :



on parle d’installation en neuf là je suppose ? c’est dur de trouver des expériences basées sur des montages avec des éléments d’occasion. il y a des gens qui ont de la place au sol pour mettre 30 ou 40% de panneaux en plus à production équivalente, pareil en batteries. et avec une empreinte carbone qui serait du coup plus faible.

et tes chiffres sont donnés à l’arrache avec un peu de mauvaise fois : pour l’éolien aussi il faut une batterie pour stocker. et au-delà des chiffres, avoir des panneaux solaires chez soi c’est avoir déjà une réflexion intéressante sur sa conso électrique. si en plus c’est pour être autonome sans être relié à un réseau ERDF/ouatelse il y a aussi des “gains” évidents de fait en terme de pollution et de consommation. et pas que dans le sud.

merci pour la réflexion sur les panneaux solaires thermiques, je n’avais pas vu ça :)





Mes chiffres sont donnés à l’arrache, mais ils sont facilement vérifiables! Et oui pour l’éolien il faut potentiellement le stocker, mais au moins la nuit on doit pouvoir avoir un peu d’énergie avec beaucoup (trop) d’éoliennes.



&nbsp;La source la plus fiable (données mondiales)https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/2018/02/ipcc_wg3_ar5_chapter7.pdf#page=3…

&nbsp;

&nbsp;Une vidéo pour le solaire thermique, qui pour le coup devrait être plus considéré:https://www.youtube.com/watch?v=oDyvDvQ5JkU



Avoir un panneau solaire en France à une latitude supérieure à celle d’Avignon ce n’est pas avoir une réflexion intéressante sur sa conso électrique, mais c’est se donner bonne conscience sans avoir creuser le problème.



Il ne faut pas oublier la dépendance énergétique en amont, pour la construction du panneau solaire, qui est énorme (donc on en reparlera d’autonomie…), et la grosse pollution que cela engendre (oui en Chine, mais c’est de la pollution quand même).

&nbsp;





js2082 a écrit :



&nbsp;

Faux.

Le solaire, c’est 11gCO2eq/kWh, c’est l’éolien qui est à 40 (36 si je me souviens bien).

Pour le nucléaire, 66 selon l’Ademe (et P.S: merci d’éviter de polluer cela avec la propagande d’Edf) qui l’a revu pour se caler aux évaluations du GIEC soit 12 gCO2eq/kWh .

Les 6 gCO2eq/kWh pour le nucléaire, c’est une info légèrement trafiquée car évaluée sur la soi-disant gestion efficace du parc nucléaire en France (genre les français font tout mieux que les autres <img data-src=" />, la construction de la centrale de Flamanville le prouve… enfin… s’ils finissent de la construire un jour).

&nbsp;

Je ne parle même pas du cout (dans tous les sens du terme) des déchets nucléaires qui sont une belle saloperie qu’on va laisser aux générations futures (non, leur enfouissement n’est pas une solution, c’est une idiotie équivalente à celle de balancer les futs radioactifs dans la mer)

&nbsp;

Ton affirmation sur le stockage derrière n’a aucun sens.

Faut arrêter de croire n’importe quoi.

&nbsp;

&nbsp;



Ben si, parce que ce serait idiot de se passer d’une énergie disponible en grande quantité au vu du faible cout que cela représente.



Le éolien offshore n’est pas le mieux mais ça permet déjà d’éviter les niveaux de pollution du pétrole.

&nbsp;

&nbsp;



Ça fait 30 ans qu’on en parle: pas sur que cela soit adopté un jour.





ET non, c’est bin vraihttps://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/2018/02/ipcc_wg3_ar5_chapter7.pdf#page=3…

&nbsp;

Et puis pour le cas de la France, l’Ademe a reconnu que les 66g étaient une erreur et l’a rectifié sur son site, il s’agit bien de 6g :https://www.bilans-ges.ademe.fr/documentation/UPLOAD_DOC_FR/index.htm?convention…



Les coûts des déchets nucléaires sont inclus dans le LCOE et sont très faibles, leur problème est marginal par rapport à l’enjeu climatique ou bien à l’épuisement des ressources pour construire les panneaux solaire par exemple.

&nbsp;

Mon affirmation sur le stockage prend tout son sens lorsqu’on réfléchi au système électrique qui doit être pilotable. Je ne crois pas n’importe quoi, je me renseigne et je communique.



Et “ce serait idiot de se passer d’une énergie disponible en grande quantité au vu du faible cout que cela représente.” s’applique également pour le nucléaire ;)



Le problème du solaire c’est ce qui se trouve en amont: fabriquer les panneaux consomme beaucoup d’énergie, et le taux de retour énergétique est donc faible avec un épuisement des ressources. Réservons les PV pour l’Espagne ou les autres pays qui bénéficient d’un plus fort ensoleillement que la France.









Ricard a écrit :



Paradoxalement, le prix du cuivre a beaucoup baissé ces derniers temps. J’en ai 450 kg à vendre et j’attends que ça remonte. <img data-src=" />







Obtenus comment ? France Télécom ? <img data-src=" />







Qruby a écrit :



Le problème du solaire c’est ce qui se trouve en amont: fabriquer les panneaux consomme beaucoup d’énergie, et le taux de retour énergétique est donc faible avec un épuisement des ressources. Réservons les PV pour l’Espagne ou les autres pays qui bénéficient d’un plus fort ensoleillement que la France.









(…) mais la production des composants se situe toujours principalement en Asie. Globalement l’effet sur l’empreinte carbone de l’électricité photovoltaïque en France reste négligeable.



La valeur retenue sera arrondie à 55 gCO2e/kWh avec une incertitude de 30%. (…) Les valeurs issues de ces ACV varient entre 35 et 85 g équivalent CO2 par kWh du sud au nord et selon les technologies.





Oui. Mais :

Nucléaire : 12 gCO2e/kWh pour le GIEC

La construction de l’Usine Georges-Besse II et la fermeture des usines d’enrichissement énergivores a largement contribué à abaisser le chiffre…









Qruby a écrit :



ET non, c’est bin vraihttps://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/2018/02/ipcc_wg3_ar5_chapter7.pdf#page=3…

&nbsp;



Je constate que les données du GIEC ont changée depuis leur rapport de 2014, et pas en faveur du nucléaire



Quand on lit en détail le rapport, on constate cela:



&nbsp;” The&nbsp; ranges&nbsp; of&nbsp; harmonized&nbsp; lifecycle&nbsp; greenhouse&nbsp; gas&nbsp; emissions&nbsp; reported&nbsp; in&nbsp; the&nbsp; literature&nbsp; are :

-&nbsp; 18&nbsp; –&nbsp;&nbsp; 180&nbsp; gCO2eq&nbsp; /&nbsp; kWh&nbsp; for&nbsp; PV&nbsp; (photovoltaique),&nbsp;

-&nbsp; 9&nbsp; –&nbsp;&nbsp; 63&nbsp; gCO2eq&nbsp; /&nbsp; kWh&nbsp; for&nbsp; CSP&nbsp; (centrale solaire à concentration)

-&nbsp; 4 – 110 gCO2eq&nbsp;&nbsp; /&nbsp;&nbsp; kWh&nbsp;&nbsp; for&nbsp;&nbsp; nuclear&nbsp;&nbsp; power”



puis



&nbsp;” The&nbsp; harmonization&nbsp; has&nbsp; narrowed&nbsp; the&nbsp; ranges&nbsp; down&nbsp; from :




  • 5 – 217&nbsp; gCO2eq / kWh&nbsp;&nbsp; for&nbsp;&nbsp; PV,&nbsp;&nbsp;

    -&nbsp; 7 – 89&nbsp; gCO2eq&nbsp; /&nbsp; kWh&nbsp; for&nbsp; CSP,&nbsp;

  • 1 – 220&nbsp; gCO2eq&nbsp; /&nbsp; kWh&nbsp; for&nbsp; nuclear&nbsp; energy”



    Comparé aux autres&nbsp; performances, (un peu plus loin dans le texte):

  • 2&nbsp; –&nbsp;&nbsp; 81&nbsp; gCO2eq / kWh&nbsp; for wind power,

  • 6 – 79 gCO2eq&nbsp;&nbsp; /&nbsp;&nbsp; kWh for geothermal,

    -&nbsp; 2&nbsp;&nbsp; –&nbsp;&nbsp; 23&nbsp;&nbsp; gCO2eq / kWh for&nbsp; ocean&nbsp; energy,

  • 10 – 30 gCO2eq&nbsp; /&nbsp; kWh&nbsp; for&nbsp; tidal&nbsp; barrages,&nbsp; marine&nbsp; current&nbsp; turbines,&nbsp; and&nbsp; wave power

    &nbsp;

    &nbsp;Le nucléaire fait clairement pale figure face aux énergies renouvelables, il peut représenter le cas le plus polluant comparé à celles-ci.

    &nbsp;



    &nbsp;





    Qruby a écrit :



    Et puis pour le cas de la France, l’Ademe a reconnu que les 66g étaient une erreur et l’a rectifié sur son site, il s’agit bien de 6g :https://www.bilans-ges.ademe.fr/documentation/UPLOAD_DOC_FR/index.htm?convention…&nbsp;&nbsp;





    Attention, les bases de données en lien sont des bases de données complétées par les producteurs d’énergie eux-même, elles n’ont qu’une portée déclarative.

    L’Europe ne fait que récupérer les données fournies sans les contrôler.



    &nbsp;





    Qruby a écrit :



    &nbsp;Les coûts des déchets nucléaires sont inclus dans le LCOE et sont très faibles, leur problème est marginal par rapport à l’enjeu climatique ou bien à l’épuisement des ressources pour construire les panneaux solaire par exemple. &nbsp;



    &nbsp;

    Non, ce n’est pas marginal comme problème.



    Le CO2, on peut le réduire en plantant arbres qui pourront le capter.

    Les déchets eux ne peuvent pas être recyclés, présentent des risques d’irradiation importants, ne peuvent être stockés sans que cela ne nous coute et ne peuvent être enfouis (aucune solution d’enfouissement n’a jamais marché. Sans oublier que derrière, il faudra les conserver pendant plus de 100 000 ans(aucune civilisation n’a duré autant).



    Il est clair que ce problème ressortira amplifié dans le futur si nous ne le résolvons pas maintenant.



    &nbsp;



    Mon affirmation sur le stockage prend tout son sens lorsqu’on réfléchi au système électrique qui doit être pilotable. Je ne crois pas n’importe quoi, je me renseigne et je communique.

    &nbsp;C’est n’importe quoi car ce problème se pose pour toute électricité peu importe son origine.

    Le stockage de l’électricité est un problème général pas limité au seul PV.

    &nbsp;

    Bien évidemment, il est clair que les PV n’ont aucun intérêt dans les villes les moins ensoleillées de France.

    &nbsp; Par contre,&nbsp; A Nice , marseille, montpellier, leur intérêt est fort.

    &nbsp;



J’en profite pour rajouter une couche sur le solaire thermique préférable au photo voltaique :&nbsp;

Ma maison est équipée depuis un peu plus de 10 ans (une belle surface, au sol pas sur le toit). Je suis en haute Savoie, 900m d’altitude, mais orienté plein sud et pas d’autre montagne en vis à vis (ce qui pourrait changer la donne). Depuis l’installation, pendant toute la belle saison je produit mon eau chaude sanitaire grâce au solaire (et comme l’hiver mon chauffage bois produit aussi l’eau chaude je n’utilise jamais l’électrique pour ça). En hiver le solaire apporte un complément non négligeable au chauffage (une belle journée ensoleillée permet de maintenir la maison à 20° la nuit suivante, même s’il fait -15°).

L’installation était relativement onéreuse à l’époque (surtout vu les technologies employées), j’ose espérer que les prix ont baissé un peu.

L’été je suis très loin de consommer toute l’eau chaude que le système pourrait me fournir (il faudrait l’utiliser dans le lave-vaisselle et le lave linge, mais je n’ai pas les appareils adaptés).

Bref de belles économies d’électricité pour un rejet Co2 que j’imagine minime (la fabrication). Ça demande un peu de place à l’intérieur par contre (dans mon cas un peu plus de 1000 litres de stockage).&nbsp;








Idiogène a écrit :



Comme beaucoup de marchands ils comptent sur les réseaux FSC déjà certifiés… après je ne suis pas fan d’Ikea pour d’autres raisons (design nordique très approximatif ) mais là je ne vois pas trop de green washing ou de bisbilles. Ils se sont adaptés à leur clientèle très “bobo”.







Cela fait 10 ans que les connaisseurs en ont. Il suffit de lever la tête.

La seule contrainte est le prix pour du matériel franchement à la portée du premier venu… inutile de préciser que l’usage du cuivre fait grimper le prix à dessein des plombiers…

&nbsp;



Cela fait bien longtemps que l’on est passé aux tuyaux inox flexibles&nbsp; isolés.



Quelqu’un saurait me dire si un puits canadien est capable d’apporter de l’énergie pour chauffer l’eau en utilisant un procédé quelconque d’échange de calories ou s’il n’est utile qu’à la régulation thermique du bâtiment ?



Et est-il possible de savoir quel est le coût carbone de la production d’eau chaude + chauffage au sol d’un appartement 70m² relié à un réseau de chaleur urbain ?








js2082 a écrit :



Je constate que les données du GIEC ont changée depuis leur rapport de 2014, et pas en faveur du nucléaire







Non mais on parle de la France là. En France le nucléaire c’est 6gCO2/kWh.

Les émissions de CO2 du nucléaire peuvent énormément varier d’un pays à l’autre… mais c’est vrai aussi pour le PV et l’éolien. La raison principale c’est que la grande partie de l’énergie qu’on consomme est fossile (pétrole, gaz et charbon). Et même l’électricité à l’échelle mondiale est principalement faite avec du charbon.

Il en résulte que si un pays qui a que des centrales à charbon, décide d’enrichir de l’uranium et de faire une centrale nucléaire, cette centrale aura un bilan carbone dégueulasse car elle fonctionne en s’appuyant sur les centrales à charbon existantes.



En France comme on a 75% de nucléaire et 10% d’hydro on est pas mal decarboné et c’est ce qui nous permet d’être si bas sur le nucléaire par rapport aux moyennes mondiales.

 





js2082 a écrit :



Non, ce n’est pas marginal comme problème.



Le CO2, on peut le réduire en plantant arbres qui pourront le capter.

Les déchets eux ne peuvent pas être recyclés, présentent des risques d’irradiation importants, ne peuvent être stockés sans que cela ne nous coute et ne peuvent être enfouis (aucune solution d’enfouissement n’a jamais marché. Sans oublier que derrière, il faudra les conserver pendant plus de 100 000 ans(aucune civilisation n’a duré autant).







Si c’est un problème marginal, surtout par rapport au CO2.



Dire “il suffit de planter des arbres” c’est mignon mais c’est pas réaliste: on est en train de déforester massivement à l’échelle de la planète. Sachant que le bio est à la mode et requière plus de surface, que les ENR (solaire et éolien) consomment énormément de surface au sol. On est parti pour avoir un concurrence rude sur l’usage des sols: ENR vs agriculture vs habitations vs foret



Dire “Les déchets eux ne peuvent pas être recyclés” c’est faux. Une partie des déchets est actuellement recyclée et on a de la marge de progression. On avait le projet Astrid pour ça, mais il a été arrêté par le gouvernement pour raison économique (<img data-src=" />) et ceux qui dénoncent le problème des dechets s’en sont réjoui (<img data-src=" />).



“présentent des risques d’irradiation importants” =&gt; Non, il ne faut pas confondre risques et danagers. Les déchets dangereux sont des déchets solides produits en faible quantité. Ils sont effectivement dangereux, mais ne présentent pas de risques dans la mesure où personne ne s’en approche (volontairement ou par hasard).

En comparaison le CO2 est moins dangereux, mais on le largue directement dans l’atmosphère et donc on se prend le risque maximum =&gt; on va en chier avec une certitude de 100% et on en prend pour 10 000 ans.







js2082 a écrit :



ne peuvent être stockés sans que cela ne nous coute et ne peuvent être enfouis (aucune solution d’enfouissement n’a jamais marché. Sans oublier que derrière, il faudra les conserver pendant plus de 100 000 ans(aucune civilisation n’a duré autant).





Le coup de gestion, retraitement, etc. des déchets est pris en compte dans le prix de l’électricité nucléaire qui reste moins chère que l’électricité produite par les ENR quand on compare à service rendu équivalent (donc en incluant le stockage).



Si, l’enfouissement a déjà marché. La nature à créée toute seule comme une grande des réacteurs nucléaires naturels, qui ont produits des déchets et qui sont restés enfouis là où ils ont été produits pendant des millions d’années.



Et non pas besoin de les conserver 100 000 ans. Puisque:




  1. On peut les enfouir

  2. La durée de 100 000 ans correspond au temps qu’il faut pour que les déchets retrouve une activité inférieur à celle du minerai d’uranium d’origine. En pratique, les déchets deviennent inoffensif bien avant.



Pour réagir a ton utilisation du solaire thermique (au sol, pas sur le toi), ça serait intéressant d’inclure la surface / volume occupé par une installation pour un rendement énergétique donné.

Dans ce cas, ton eau chaude solaire serait sans doute moins bien classée que le nucléaire.

Et je doute qu’il soit possible de fournir de l’eau chaude solaire a tout le monde dans un coin comme Paris / Lyon / Marseille / Bordeaux en utilisant la même methode ;)

Réduire son empreint carbone c’est une chose, mais si c’est en multipliant de façon inverse les surfaces artificialisées …


&nbsp;





js2082 a écrit :



Je constate que les données du GIEC ont changée depuis leur rapport de 2014, et pas en faveur du nucléaire



Quand on lit en détail le rapport, on constate cela:



&nbsp;” The&nbsp; ranges&nbsp; of&nbsp; harmonized&nbsp; lifecycle&nbsp; greenhouse&nbsp; gas&nbsp; emissions&nbsp; reported&nbsp; in&nbsp; the&nbsp; literature&nbsp; are :

-&nbsp; 18&nbsp; –&nbsp;&nbsp; 180&nbsp; gCO2eq&nbsp; /&nbsp; kWh&nbsp; for&nbsp; PV&nbsp; (photovoltaique),&nbsp;

-&nbsp; 9&nbsp; –&nbsp;&nbsp; 63&nbsp; gCO2eq&nbsp; /&nbsp; kWh&nbsp; for&nbsp; CSP&nbsp; (centrale solaire à concentration)

-&nbsp; 4 – 110 gCO2eq&nbsp;&nbsp; /&nbsp;&nbsp; kWh&nbsp;&nbsp; for&nbsp;&nbsp; nuclear&nbsp;&nbsp; power”



puis



&nbsp;” The&nbsp; harmonization&nbsp; has&nbsp; narrowed&nbsp; the&nbsp; ranges&nbsp; down&nbsp; from :




  • 5 – 217&nbsp; gCO2eq / kWh&nbsp;&nbsp; for&nbsp;&nbsp; PV,&nbsp;&nbsp;

    -&nbsp; 7 – 89&nbsp; gCO2eq&nbsp; /&nbsp; kWh&nbsp; for&nbsp; CSP,&nbsp;

  • 1 – 220&nbsp; gCO2eq&nbsp; /&nbsp; kWh&nbsp; for&nbsp; nuclear&nbsp; energy”



    Comparé aux autres&nbsp; performances, (un peu plus loin dans le texte):

  • 2&nbsp; –&nbsp;&nbsp; 81&nbsp; gCO2eq / kWh&nbsp; for wind power,

  • 6 – 79 gCO2eq&nbsp;&nbsp; /&nbsp;&nbsp; kWh for geothermal,

    -&nbsp; 2&nbsp;&nbsp; –&nbsp;&nbsp; 23&nbsp;&nbsp; gCO2eq / kWh for&nbsp; ocean&nbsp; energy,

  • 10 – 30 gCO2eq&nbsp; /&nbsp; kWh&nbsp; for&nbsp; tidal&nbsp; barrages,&nbsp; marine&nbsp; current&nbsp; turbines,&nbsp; and&nbsp; wave power

    &nbsp;

    &nbsp;Le nucléaire fait clairement pale figure face aux énergies renouvelables, il peut représenter le cas le plus polluant comparé à celles-ci.

    &nbsp;



    &nbsp;



    Attention, les bases de données en lien sont des bases de données complétées par les producteurs d’énergie eux-même, elles n’ont qu’une portée déclarative.

    L’Europe ne fait que récupérer les données fournies sans les contrôler.



    &nbsp;

    &nbsp;

    Non, ce n’est pas marginal comme problème.



    Le CO2, on peut le réduire en plantant arbres qui pourront le capter.

    Les déchets eux ne peuvent pas être recyclés, présentent des risques d’irradiation importants, ne peuvent être stockés sans que cela ne nous coute et ne peuvent être enfouis (aucune solution d’enfouissement n’a jamais marché. Sans oublier que derrière, il faudra les conserver pendant plus de 100 000 ans(aucune civilisation n’a duré autant).



    Il est clair que ce problème ressortira amplifié dans le futur si nous ne le résolvons pas maintenant.



    &nbsp;

    &nbsp;C’est n’importe quoi car ce problème se pose pour toute électricité peu importe son origine.

    Le stockage de l’électricité est un problème général pas limité au seul PV.

    &nbsp;

    Bien évidemment, il est clair que les PV n’ont aucun intérêt dans les villes les moins ensoleillées de France.

    &nbsp; Par contre,&nbsp; A Nice , marseille, montpellier, leur intérêt est fort.

    &nbsp;





    Le range du nucléaire est de 4 - 110 car il y a effectivement une usine d’enrichissement d’uranium en Inde qui tourne au charbon. Mais si tu regarde la moyenne mondiale, elle est bien à 12g et en France on est à 6g car nos usines d’enrichissement tournent à l’électricité décarbonée grâce au nucléaire. L’harmonisation ne change pas radicalement la donne à l’interprétation des résultats.



    Pour le PV on voit que la moyenne est bien plus haute, car la majeure partie de la production mondiale est en Chine où l’électricité est très carbonée.



    Les bases de données en lien sont compatibles avec l’état de la recherche actuelle sur ces sujets.



    Le CO2 ça reste plus de 10000 ans dans l’atmosphère avant d’être absorbé par le cycle carbone (et encore on n’est pas super sûr), ses effets sont mondiaux et super grave pour tout le monde. On en rejette des quantité phénoménales chaque année. Les déchets nucléaires c’est un moindre mal, franchement. Une excellente playlist scientifique sur le sujethttps://www.youtube.com/watch?v=p0zX8eUW_jQ&list=PLhgpBc0hGjSvCZ4Uo9mE1X…



    Le stockage de l’électricité est limité aux énergie électriques intermittentes que sont PV et éolien principalement. Les centrales pilotables n’ont pas ce problème, donc non, ce n’est pas généralisé.



    Je ne dirais pas qu’à Nice, Marseille, Montpellier leur intérêt soit fort. On aurait mieux fait de développer le vélo dans ces villes que d’investir dans du PV.









GehNgiS a écrit :



Non mais on parle de la France là. En France le nucléaire c’est 6gCO2/kWh.





Ça, ce sont les déclarations d’EDF.

Et quand on lit leur calcul ANCV qu’ils ont déposé sur le site de l’ADEME (il faut s’inscrire pour y accéder), ça ne tient pas la route: de nombreux éléments ne sont pas pris en compte (extraction, transport des matières premières, transport de l’électricité, démantèlement, etc…)

Leur chiffre ne tient pas la route.









GehNgiS a écrit :



Dire “il suffit de planter des arbres” c’est mignon mais c’est pas réaliste: on est en train de déforester massivement à l’échelle de la planète.&nbsp; Sachant que le bio est à la mode et requière plus de surface, que les ENR (solaire et éolien) consomment énormément de surface au sol. On est parti pour avoir un concurrence rude sur l’usage des sols: ENR vs agriculture vs habitations vs foret



&nbsp;Méconnaissance et préjugés, les fléaux des temps modernes:




  • il existe de nombreuses initiatives pour planter des arbres: j’imagine que tu n’as jamais entendu parler du principe de neutralité carbone. Fait une petite recherche, tu comprendras ton préjugé,

  • les ENR n’ont pas besoin d’occuper plus de surface, l’intégration dans l’urbain peut se faire sans problème (PV sur les toits, éoliennes pareils) : mettre les enr au à la place de l’agricole n’a aucun sens et est une connerie sans nom,

  • le bio n’a pas besoin de plus de surface, surtout au vu de la pauvreté des sols actuels et encore plus quand tu fais de la permaculture: faut arrêter avec cette croyance que les pesticides aident: ils ont surtout rendu incultivables les sols et poussé à la faillite de nombreux agriculteurs.



    &nbsp;

    &nbsp;



    GehNgiS a écrit :



    Dire “Les déchets eux ne peuvent pas être recyclés” c’est faux. Une partie des déchets est actuellement recyclée et on a de la marge de progression. On avait le projet Astrid pour ça, mais il a été arrêté par le gouvernement pour raison économique (<img data-src=" />) et ceux qui dénoncent le problème des dechets s’en sont réjoui (<img data-src=" />).



    “présentent des risques d’irradiation importants” =&gt; Non, il ne faut pas confondre risques et danagers. Les déchets dangereux sont des déchets solides produits en faible quantité. Ils sont effectivement dangereux, mais ne présentent pas de risques dans la mesure où personne ne s’en approche (volontairement ou par hasard).

    En comparaison le CO2 est moins dangereux, mais on le largue directement dans l’atmosphère et donc on se prend le risque maximum =&gt; on va en chier avec une certitude de 100% et on en prend pour 10 000 ans.



    &nbsp;

    Avec des quantités de plutonium recyclées inférieures à 1&nbsp;% des déchets des centrales atomiques, faut être couillu pour affirmer que les déchets sont recyclés.

    &nbsp;

    Quant à la marge de progression, faut franchement arrêter d’être stupide là: ça fait 70 ans qu’on exploite le nucléaire, 70 ans que les chercheurs bloquent sur le sujet. Les recherches ont été abandonnées car le constat est fait depuis le temps, il n’y a pas de solution miracle.

    Après tu as toujours des petits malins qui prétendent avoir trouvé une solution “rapide, efficace et facile à mettre en œuvre” et qui demandent étrangement beaucoup d’argent pour compléter leurs recherches. Bien évidemment, on les entend plus jamais parler après.

    &nbsp;

    Quant aux risques, ton affirmation serait vraie si nous étions dans un monde parfait. Or ce n’est pas le cas, ce ne sera jamais le cas et les risques d’exposition aux déchets radioactifs sont toujours présents et bien plus dévastateurs que le CO2 contre lequel on peut lutter.



    &nbsp;



    Le coup de gestion, retraitement, etc. des déchets est pris en compte dans le prix de l’électricité nucléaire qui reste moins chère que l’électricité produite par les ENR quand on compare à service rendu équivalent (donc en incluant le stockage).



    Si, l’enfouissement a déjà marché. La nature à créée toute seule comme une grande des réacteurs nucléaires naturels, qui ont produits des déchets et qui sont restés enfouis là où ils ont été produits pendant des millions d’années.



    Et non pas besoin de les conserver 100 000 ans. Puisque:



    1. On peut les enfouir

    2. La durée de 100 000 ans correspond au temps qu’il faut pour que les déchets retrouve une activité inférieur à celle du minerai d’uranium d’origine. En pratique, les déchets deviennent inoffensif bien avant.



      Non, le cout n’est pas entièrement pris en compte car on ne peut estimer les couts pour l’avenir.

      Ces couts deviennent d’autant plus importants que les couts initiaux de démantèlement des centrales ont été largement sous-estimés par EDF et que les nouvelles centrales en construction&nbsp; voient leur cout exploser au regard du budget initial (pour Flamanville, on est passé de 3,4&nbsp;milliards d’euros initialement à 12,4 milliards d’euros sur la dernière estimation en octobre 2019)

      Résultat, le cout du kWh augmente.



      Sur l’enfouissement, tu parles là aussi sans avoir vérifier la chose.

      &nbsp;Tous les essais réalisés jusqu’à présent pour l’enfouissement ont raté: problèmes d’infiltration d’eau causant corrosion et fuites radioactives, structures qui ne tiennent pas, etc…



      Quant à la vie des déchets, c’est pas comme si l’uranium 234 avait une demi-vie de 245 000 ans. Il en faudra du temps avant qu’il devienne inoffensif, tu seras déjà mort et l’humanité sera peut-être déjà éteinte avant ça.



      Je crois que tu n’as pas conscience de ce que représentent les durées de radioactivités de ces déchets.









      &nbsp;




Les surfaces artificialisées débutent avec l’agriculture. Bon courage pour manger sans terres agricoles…



En suite le ratio surface/mw n’a de sens qu’à parcelles dont l’usage est identique. Tu ne peux donc pas comparer une parcelle de culture ayant changée de destination une première fois puis une deuxième avec une centrale dessus avec une parcelle en ville… C’est aussi oublier les travaux de viabilisation nécessaires…



Il est également idiot de comparer ce paramètre sachant que la surface au sol ne correspond pas à la surface de toiture (Pythagore…). Et ce à supposer, ce qui est rarement le cas d’autant que c’est proscrit par les PLU, que la surface de la parcelle soit égale à l’emprise au sol du bâti…



Bref. La vision passive et intuitive de l’énergie dérange en France, on avait bien compris. <img data-src=" />


Pour clarifier : mes panneaux sont au sol pour pouvoir être orientés plein sud (les pentes du toit ne le sont pas) et surtout pouvoir être proche de la verticale, de façon à avoir un meilleur rendement en hiver quand le soleil est bas, et ainsi compléter le chauffage. En été le rendement est moins bon (il faudrait que les panneaux soient plus à plat) mais comme le système est vraiment surdimensioné pour la simple production d’eau chaude, ce n’est pas un souci.

Pour faire des estimations au doigt mouillé, je dirais qu’un logement jusqu’à 3 niveaux habités doit pouvoir produire assez d’eau chaude avec sa toiture (et le double de la capacité d’un chauffe eau classique) pour la période estivale (en fait il faut du soleil, si le ciel est gris, ça ne produit rien).

Pour du logement collectif ça risque d’être plus compliqué, mais ça reste toujours valable de faire un complément, d’autant plus facile avec un chauffage / chauffe eau central mutualisé.

Il faut vraiment voir ça comme une manière de baisser la dépense énergétique d’un logement, pas comme source principale. L’avantage étant qu’une fois installé, ça ne coûte plus rien (un peu d’électricité pour les circulateurs, et pas vraiment d’entretien si pas de fuite).&nbsp;








Idiogène a écrit :



Bref. La vision passive et intuitive de l’énergie dérange en France, on avait bien compris. <img data-src=" />



Profite, c’est vendredi <img data-src=" />



Plus sérieusement, la pose de panneau photovoltaïque au sol n’est pas la solution la plus optimale pour l’utilisation des surfaces. Sur un toit / façade OK.







near667 a écrit :



Pour clarifier : mes panneaux sont au sol pour pouvoir être orientés plein sud (les pentes du toit ne le sont pas) et surtout pouvoir être proche de la verticale, de façon à avoir un meilleur rendement en hiver quand le soleil est bas, et ainsi compléter le chauffage. En été le rendement est moins bon (il faudrait que les panneaux soient plus à plat) mais comme le système est vraiment surdimensioné pour la simple production d’eau chaude, ce n’est pas un souci.



J’espère que la maison n’a pas été construite récemment, sinon c’est bête de ne pas avoir penser a l’orientation du toit !

Maintenant, quitte a les monter presque a la verticale, pourquoi pas aux murs ?










js2082 a écrit :



Méconnaissance et préjugés, les fléaux des temps modernes:





T’es sûr que c’est pas toi qui est dans la méconnaissance et les préjugés ?

Tu semble bien prompte à juger les autres, alors que tu ne les connais pas.







js2082 a écrit :





  • il existe de nombreuses initiatives pour planter des arbres: j’imagine que tu n’as jamais entendu parler du principe de neutralité carbone. Fait une petite recherche, tu comprendras ton préjugé,



    • les ENR n’ont pas besoin d’occuper plus de surface, l’intégration dans l’urbain peut se faire sans problème (PV sur les toits, éoliennes pareils) : mettre les enr au à la place de l’agricole n’a aucun sens et est une connerie sans nom,

    • le bio n’a pas besoin de plus de surface, surtout au vu de la pauvreté des sols actuels et encore plus quand tu fais de la permaculture: faut arrêter avec cette croyance que les pesticides aident: ils ont surtout rendu incultivables les sols et poussé à la faillite de nombreux agriculteurs.







      Oui il y a des initiatives pour planter des arbres, mais ça ne change pas le fait qu’à l’échelle de la planète les forêts perdent en surface. Pour l’instant à cause de l’Homme qui déforeste pour avoir plus de surface agricole, mais dans les décennies à venir on risque de perdre aussi à cause du réchauffement climatique qui va réduire les zones où les arbres prospèrent et augmenter les feux de forêts. A ce moment là on pourra bien replanter, les arbres mourront avant d’avoir pris racine.



      Et si les ENR ont besoin de plus de surface. Oui, on peut les intégrer en partie dans un environnement urbain, mais ça fait décroître leur efficacité. Par exemple, les panneaux solaires sur toit ont une orientation fixe, alors que les parcs solaires suivent l’inclinaison du Soleil. Pour les éoliennes l’efficacité est liée à la surface balayée par les pales, une éolienne efficace est donc grande et donc difficilement intégrable dans un environnement urbain.







      js2082 a écrit :



      Avec des quantités de plutonium recyclées inférieures à 1 % des déchets des centrales atomiques, faut être couillu pour affirmer que les déchets sont recyclés.

       

      Quant à la marge de progression, faut franchement arrêter d’être stupide là: ça fait 70 ans qu’on exploite le nucléaire, 70 ans que les chercheurs bloquent sur le sujet. Les recherches ont été abandonnées car le constat est fait depuis le temps, il n’y a pas de solution miracle.

      Après tu as toujours des petits malins qui prétendent avoir trouvé une solution “rapide, efficace et facile à mettre en œuvre” et qui demandent étrangement beaucoup d’argent pour compléter leurs recherches. Bien évidemment, on les entend plus jamais parler après.







      Le MOX contient 8% de Pu en entrée du réacteur et 4% en sortie. Donc potentiellement on peut réduire par 2 les déchets de Pu.

      Non, ça fait pas 70 ans qu’on bloque sur le sujet et y’a pas de petits malins qui ont trouvé des solutions miracles. Ces recherches sont faites par le CEA et EDF, ça demande de construire des réacteurs expérimentaux comme Astrid. A ce jour tous ces projets ont été avortés suite à des décisions politiques. POur Astrid par exemple c’était le prix bas de l’U qui rendait le projet pas intéressant économiquement à moyen terme. Rien à voir avec un blocage scientifique sur le sujet.



      Par contre sur les ENR, on a plein d’exemple de projets qui prennent plein d’argent pour aboutir sur rien: route solaire, arbre à vent, etc.







      js2082 a écrit :



      Non, le cout n’est pas entièrement pris en compte car on ne peut estimer les couts pour l’avenir.

      Ces couts deviennent d’autant plus importants que les couts initiaux de démantèlement des centrales ont été largement sous-estimés par EDF et que les nouvelles centrales en construction  voient leur cout exploser au regard du budget initial (pour Flamanville, on est passé de 3,4 milliards d’euros initialement à 12,4 milliards d’euros sur la dernière estimation en octobre 2019)

      Résultat, le cout du kWh augmente.





      C’est bien de dire que le coup de démantèlement a été sous estimé, mais quel impact?

      La court des comptes à fait le calcul et à calculer que si on à une augmentation de 100% du budget gestion des déchets, on augment le prix de l’électricité que de 5%.



      Pour l’EPR Fessenheim, oui le budget initial a été explosé, mais un budget n’est qu’une limite fixée arbitrairement. Ca ne permet pas de conclure sur la viabilité du nucléaire.

      Il faut aussi prendre en compte que Fessenheim est un cas à part. Tous les experts s’accordent à dire que le budget initial et temps de construction initial étaient largement sous estimés, ne serait-ce qu’en comparaison du coût et temps de construction des anciennes centrales.

      Fessenheim a aussi des problèmes de gestion de projets et de communication entre EDF et l’ASN, généraliser les problème de Fessenheim à toutes les centrales nucléaires qui sont amenées à être construites c’est un peu malhonnête.







      js2082 a écrit :



      Sur l’enfouissement, tu parles là aussi sans avoir vérifier la chose.

       Tous les essais réalisés jusqu’à présent pour l’enfouissement ont raté: problèmes d’infiltration d’eau causant corrosion et fuites radioactives, structures qui ne tiennent pas, etc…







      Si si j’ai vérifié. Les essais d’enfouissements qui ont été tentés jusqu’à maintenant avaient tous de gros problèmes, comme par exemple la réutilisation de mines existantes, qui n’étaient pas du tout adaptées.



      En aucun cas ça ne veut dire que c’est impossible. Au contraire, comme je l’ai déjà dit, on a un exemple de réacteur naturel qui a produit des déchets, déchets qui sont restés enfouis sur place.







      js2082 a écrit :



      Quant à la vie des déchets, c’est pas comme si l’uranium 234 avait une demi-vie de 245 000 ans. Il en faudra du temps avant qu’il devienne inoffensif, tu seras déjà mort et l’humanité sera peut-être déjà éteinte avant ça.



      Je crois que tu n’as pas conscience de ce que représentent les durées de radioactivités de ces déchets.







      Si si je sais ce que ça représente. Je sais aussi manipuler ce que veut dire la notion de demi-vie radioactive. Ca m’évite de dire “c’est pas comme si l’uranium 234 avait une demi-vie de 245 000 ans” en espérant démontrer quelque chose. Pour parler de durée de vie des déchets, il faut prendre en compte la demie-vie ET la quantité de chaque isotope présent dans le déchet.

      Une fois tout ça pris en compte, les déchets seront revenus à une radiotoxicité inférieure à celle du minerai d’U naturel au bout de ~100 000 ans.



      Et le fait que moi ou l’humanité entière soit morte d’ici là, c’est pas forcement gênant. Les déchets du réacteur naturel d’Oklo ont emmerdé personne pendant 2 milliards d’années et y’avait personne pour surveiller.










Idiogène a écrit :



Obtenus comment ? France Télécom ? <img data-src=" />







Nan, mais quand tu es plombier, ça aide.<img data-src=" />









GehNgiS a écrit :



Oui il y a des initiatives pour planter des arbres, mais ça ne change pas le fait qu’à l’échelle de la planète les forêts perdent en surface. Pour l’instant à cause de l’Homme qui déforeste pour avoir plus de surface agricole, mais dans les décennies à venir on risque de perdre aussi à cause du réchauffement climatique qui va réduire les zones où les arbres prospèrent et augmenter les feux de forêts. A ce moment là on pourra bien replanter, les arbres mourront avant d’avoir pris racine.



Tu confirmes que tu ne connais pas les principes de neutralité et compensation carbone.

Une fois de plus, fais une recherche sur le sujet.



&nbsp;



Et si les ENR ont besoin de plus de surface. Oui, on peut les intégrer en partie dans un environnement urbain, mais ça fait décroître leur efficacité. Par exemple, les panneaux solaires sur toit ont une orientation fixe, alors que les parcs solaires suivent l’inclinaison du Soleil. Pour les éoliennes l’efficacité est liée à la surface balayée par les pales, une éolienne efficace est donc grande et donc difficilement intégrable dans un environnement urbain.



Rien n’empêche d’optimiser le placement des équipements.

De même un panneau photovoltaïque peut être mobile sur un toit.

En urbain, l’idée est d’optimiser les placements en fonction des couloirs de vent que créent les routes et bâtiments.

Et surtout, une éolienne n’est pas forcement un poteau avec des pales, il existe de nombreux modèles différents (horizontaux, en spirale, un poteau seul, etc…) à adapter en fonction de l’environnement.

&nbsp;



Le MOX contient 8% de Pu en entrée du réacteur et 4% en sortie. Donc potentiellement on peut réduire par 2 les déchets de Pu.

Non, ça fait pas 70 ans qu’on bloque sur le sujet et y’a pas de petits malins qui ont trouvé des solutions miracles. Ces recherches sont faites par le CEA et EDF, ça demande de construire des réacteurs expérimentaux comme Astrid. A ce jour tous ces projets ont été avortés suite à des décisions politiques. POur Astrid par exemple c’était le prix bas de l’U qui rendait le projet pas intéressant économiquement à moyen terme. Rien à voir avec un blocage scientifique sur le sujet.

Astrid n’est qu’un projet de réacteur nucléaire, ce n’est pas un projet pour traiter les déchets nucléaires.(du moins, c’est ainsi que le projet est présenté)



Et tu peux être sur que celui qui trouvera le moyen de réduire la radioactivité des déchets à quelques années deviendra l’homme le plus riche du monde: beaucoup d’entreprises et d’états sont prêts à payer des fortunes pour résoudre ce point.

C’est clairement pas la volonté politique qui manque à ce niveau, bien au contraire.



&nbsp;



Par contre sur les ENR, on a plein d’exemple de projets qui prennent plein d’argent pour aboutir sur rien: route solaire, arbre à vent, etc.

En même temps si tu ne cites que les projets qui sont des arnaques marketing, c’est sur qu’on ira pas loin.

(la route solaire, tout le monde connaissait son échec avant même le test, l’arbre à vent lui existe déjà depuis… un siècle)

&nbsp;



C’est bien de dire que le coup de démantèlement a été sous estimé, mais quel impact?

La court des comptes à fait le calcul et à calculer que si on à une augmentation de 100% du budget gestion des déchets, on augment le prix de l’électricité que de 5%.

&nbsp;

Sauf que le cout de la gestion des déchets augmente exponentiellement car ces derniers augmentent d’année en année et s’accumulent sur les sites de stockage sans jamais diminuer.

Ce n’est pas un x2 qu’il faut prévoir…



&nbsp;





Pour l’EPR Fessenheim, oui le budget initial a été explosé, mais un budget n’est qu’une limite fixée arbitrairement. Ca ne permet pas de conclure sur la viabilité du nucléaire.

Il faut aussi prendre en compte que Fessenheim est un cas à part. Tous les experts s’accordent à dire que le budget initial et temps de construction initial étaient largement sous estimés, ne serait-ce qu’en comparaison du coût et temps de construction des anciennes centrales.

Fessenheim a aussi des problèmes de gestion de projets et de communication entre EDF et l’ASN, généraliser les problème de Fessenheim à toutes les centrales nucléaires qui sont amenées à être construites c’est un peu malhonnête. &nbsp;

On voit que c’est pas toi qui paie l’électricité et les impôts chez toi.



Fessenheim a ses problèmes, mais on parle de Flamanville.

Et Flamanville&nbsp; n’aurait jamais vu le jour si le cout initial avait bien été calculé.

Quant à ses problèmes, s’ils en ont, les autres centrales ont forcément les mêmes car ce sont les mêmes personnes/prestataires qui gravitent autour de ce monde (même causes, même effets)



&nbsp;



Si si j’ai vérifié. Les essais d’enfouissements qui ont été tentés jusqu’à maintenant avaient tous de gros problèmes, comme par exemple la réutilisation de mines existantes, qui n’étaient pas du tout adaptées.

&nbsp;

&nbsp;Exemple typique de chauvinisme : “ouais c’est nous qu’on est les meilleurs, les autres étaient tous mauvais…”

<img data-src=" />



&nbsp;



Et le fait que moi ou l’humanité entière soit morte d’ici là, c’est pas forcement gênant. Les déchets du réacteur naturel d’Oklo ont emmerdé personne pendant 2 milliards d’années et y’avait personne pour surveiller.

??? Gnééé

&nbsp;

Un réacteur qui a fonctionné il y a 2 milliards d’années…

Le temps que l’homme apparaisse, ces déchets ont eu largement le temps de voir leur radioactivité réduite à 0.



A l’époque du réacteur par contre et pendant des siècles après, la zone devait&nbsp; être un enfer…



Erratum, lire “EPR de Flamanville” et pas “Fessenheim”.








GehNgiS a écrit :



Et si les ENR ont besoin de plus de surface. Oui, on peut les intégrer en partie dans un environnement urbain, mais ça fait décroître leur efficacité. Par exemple, les panneaux solaires sur toit ont une orientation fixe, alors que les parcs solaires suivent l’inclinaison du Soleil. Pour les éoliennes l’efficacité est liée à la surface balayée par les pales, une éolienne efficace est donc grande et donc difficilement intégrable dans un environnement urbain.







En surimposition oui. Dans le neuf on peut en mettre partout, même en faire des bardages. Le bleu royal peut choquer…







GehNgiS a écrit :



Par contre sur les ENR, on a plein d’exemple de projets qui prennent plein d’argent pour aboutir sur rien: route solaire, arbre à vent, etc.







Comme le reste… projet Pluton, bains au radon, voiture nucléaire…







GehNgiS a écrit :



Si si j’ai vérifié. Les essais d’enfouissements qui ont été tentés jusqu’à maintenant avaient tous de gros problèmes, comme par exemple la réutilisation de mines existantes, qui n’étaient pas du tout adaptées.



En aucun cas ça ne veut dire que c’est impossible. Au contraire, comme je l’ai déjà dit, on a un exemple de réacteur naturel qui a produit des déchets, déchets qui sont restés enfouis sur place.



Si si je sais ce que ça représente. Je sais aussi manipuler ce que veut dire la notion de demi-vie radioactive. Ca m’évite de dire “c’est pas comme si l’uranium 234 avait une demi-vie de 245 000 ans” en espérant démontrer quelque chose. Pour parler de durée de vie des déchets, il faut prendre en compte la demie-vie ET la quantité de chaque isotope présent dans le déchet.

Une fois tout ça pris en compte, les déchets seront revenus à une radiotoxicité inférieure à celle du minerai d’U naturel au bout de ~100 000 ans.



Et le fait que moi ou l’humanité entière soit morte d’ici là, c’est pas forcement gênant. Les déchets du réacteur naturel d’Oklo ont emmerdé personne pendant 2 milliards d’années et y’avait personne pour surveiller.







Tu sais manipuler une demi-vie, ok. Mais tu n’en vois pas les effets.

Même Oklo on extrapole… on ne sait pas grand chose, juste que l’enfouissement peut marcher dans des conditions bien précises qu’on ne retrouve pas partout, comme on dit : il faut creuser. Avec un aléa lié aux séismes qui n’a pas entièrement été résolu comme a pas de données sur les mouvements à de telles profondeurs il faut encore creuser…









js2082 a écrit :



Tu confirmes que tu ne connais pas les principes de neutralité et compensation carbone.

Une fois de plus, fais une recherche sur le sujet.







Non mais on s’en fout des principes de neutralité et compensation carbone. Si à l’échelle du monde entier on déforeste, on émet du CO2.

Planter des arbres c’est bien, ça séquestre du carbone, mais si on brûle plus d’arbres qu’on en plante, ou si les arbres qu’on plante meurent… les résultat net c’est plus du CO2.







js2082 a écrit :



Rien n’empêche d’optimiser le placement des équipements.

De même un panneau photovoltaïque peut être mobile sur un toit.

En urbain, l’idée est d’optimiser les placements en fonction des couloirs de vent que créent les routes et bâtiments.

Et surtout, une éolienne n’est pas forcement un poteau avec des pales, il existe de nombreux modèles différents (horizontaux, en spirale, un poteau seul, etc…) à adapter en fonction de l’environnement.







Ce qui empeche d’optimiser le placement, c’est la baisse de rendement.







js2082 a écrit :



Astrid n’est qu’un projet de réacteur nucléaire, ce n’est pas un projet pour traiter les déchets nucléaires.(du moins, c’est ainsi que le projet est présenté)





L’un des objectifs d’Astrid est de permettre les études dur la transmutation des déchets nucléaires.

Ce qui est logique puisque Astrid est un réacteur à neutrons rapides et les réacteurs à neutrons rapides permettent d’extraire plus d’énergie et donc d’obtenir des déchets beaucoup moins radioactifs.









js2082 a écrit :



On voit que c’est pas toi qui paie l’électricité et les impôts chez toi.







C’est sensé être un argument ça ?



Pour l’instant l’Etat français s’est engagé à dépenser 120 milliards d’€ dans les ENR qui ne feront pas baisser les emissions de CO2 de la France.

Avec cette somme on aurait pu construire plusieurs EPR et fermer les dernières centrales fossiles. Ou remplacer touts les chauffages au fioul et au gaz par des pompes à chaleur.



Et reste que le MWh d’électricité nucléaire coûte moins cher que le MWh ENR (en incluant le stockage pour rendre ça comparable).







js2082 a écrit :



Et tu peux être sur que celui qui trouvera le moyen de réduire la radioactivité des déchets à quelques années deviendra l’homme le plus riche du monde: beaucoup d’entreprises et d’états sont prêts à payer des fortunes pour résoudre ce point.

C’est clairement pas la volonté politique qui manque à ce niveau, bien au contraire.







Blague, pourquoi on a arrété Astrid alors?















js2082 a écrit :



Fessenheim a ses problèmes, mais on parle de Flamanville.

Et Flamanville  n’aurait jamais vu le jour si le coût initial avait bien été calculé.

Quant à ses problèmes, s’ils en ont, les autres centrales ont forcément les mêmes car ce sont les mêmes personnes/prestataires qui gravitent autour de ce monde (même causes, même effets)







Pardon, je pensais Flamanville, j’ai écrit Fessenheim.

Dire que Flamanville n’aurait jamais vu le jour si le devis avait était bien fait c’est un autre débat et il n’y a rien d’évident.

Quant au raisonnement simpliste sur “c’est les mêmes personnes, ça va faire pareil”, c’est aussi EDF qui a fait les centrales des années 70, 80 et 90.

Donc en utilisant le même raisonnement, il n’y aurait pas du avoir de problèmes à Flamanville.









js2082 a écrit :



Exemple typique de chauvinisme : “ouais c’est nous qu’on est les meilleurs, les autres étaient tous mauvais…”

<img data-src=" />





C’est pas une question de chauvinisme.

Des pays on fait ça à l’arrache et s’en sont mordu les doigts.

En France, mais pas que, on est encore en train d’étudier les sites de stockage potentiels, on bénéficie donc du retour d’expériences de ceux qui ont fait ça trop vite.









js2082 a écrit :



??? Gnééé

 

Un réacteur qui a fonctionné il y a 2 milliards d’années…

Le temps que l’homme apparaisse, ces déchets ont eu largement le temps de voir leur radioactivité réduite à 0.



A l’époque du réacteur par contre et pendant des siècles après, la zone devait  être un enfer…











Bah non justement, la zone n’était pas un enfer.

Les scientifiques peuvent retrouver les traces des différent produits de fissions (~dechets) et constater qu’ils ne sont pas sortis de leur couche géologique.

Donc grosso merdo ce réacteur n’a pas eu d’autres effets que de changer la composition des roches et de chauffer un peu le sol.



https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9acteur_nucl%C3%A9aire_naturel_d%27Oklo#Appl…









GehNgiS a écrit :



Non mais on s’en fout des principes de neutralité et compensation carbone. Si à l’échelle du monde entier on déforeste, on émet du CO2.

Planter des arbres c’est bien, ça séquestre du carbone, mais si on brûle plus d’arbres qu’on en plante, ou si les arbres qu’on plante meurent… les résultat net c’est plus du CO2.



&nbsp;

&nbsp;Errare humanum est, perseverare diabolicum.



&nbsp;Bon, je suis sympa,&nbsp; je te renvoie le lien direct vers la définition de la neutralité carbone pour que tu comprennes que tu racontes des âneries.



&nbsp;Si tu persévères dans tes idioties, je ne peux malheureusement rien de plus pour toi.

&nbsp;



Ce qui empeche d’optimiser le placement, c’est la baisse de rendement.

Nope.

C’est juste un manque de réflexion. (et je parle pas de lumière)

&nbsp;



Blague, pourquoi on a arrété Astrid alors?

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Parce que ça coutait extrêmement cher pour un résultat plus qu’incertain…

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Quant au raisonnement simpliste sur “c’est les mêmes personnes, ça va faire pareil”, c’est aussi EDF qui a fait les centrales des années 70, 80 et 90.

Donc en utilisant le même raisonnement, il n’y aurait pas du avoir de problèmes à Flamanville.



Toutes les centrales françaises ont des problèmes récurrents , Fessenheim aussi. Au vu du passif du parc nucléaire français, c’eut été un miracle que Flamanville ne rencontre aucune difficulté.



D’ailleurs, l’ASN n’a pas manqué l’année dernière, de soulever le manque de rigueur d’EDF et la quantité de sous-traitants qui dilue les exigences professionnelles.(même si soi-disant ces problèmes auraient été corrigés).





C’est pas une question de chauvinisme.

Des pays on fait ça à l’arrache et s’en sont mordu les doigts.

En France, mais pas que, on est encore en train d’étudier les sites de stockage potentiels, on bénéficie donc du retour d’expériences de ceux qui ont fait ça trop vite.

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“Je suis pas chauvin maiiiiiis…”

Tu t’enfonces, tu t’enfonces…



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Les scientifiques peuvent retrouver les traces des différent produits de

fissions (~dechets) et constater qu’ils ne sont pas sortis de leur

couche géologique.

Donc grosso merdo ce réacteur n’a pas eu d’autres effets que de changer la composition des roches et de chauffer un peu le sol.

Le site était exposé avant d’être recouvert par des sédiments.

C’est ce qu’il y a écrit dans le paragraphe Physique et biochimique de l’article.

Faudrait peut-être lire les liens que tu donnes, non? <img data-src=" />



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