Covid-19 : le contact tracing aurait coûté plus de 600 millions d’euros
Le 07 décembre 2022 à 06h15
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« Au total, les dépenses liées au contact tracing, notamment de personnel, pourraient dépasser 600 millions d’euros au titre des trois années 2020 à 2022 » explique la Cour des comptes dans un rapport publié ce mardi 6 décembre.
Si la Cour admet que « sans le contact tracing, il est vraisemblable que les contaminations auraient été plus nombreuses ou rapides et leur incidence plus forte sur les hôpitaux », elle rajoute tout de suite que « ces impacts ne peuvent être quantifiés en l’absence d’évaluation scientifique » ce qui l’amène à titrer un des chapitres de son document : « Un dispositif à l’efficacité incertaine dont la disparition est programmée fin janvier 2023 ».
Le bilan en chiffres bruts de ce dispositif fait par la Cour des comptes est que « depuis mai 2020, l’assurance maladie a joint plus de 32 millions de personnes dépistées positives et près de 22,7 millions de personnes contact, d’abord par téléphone puis essentiellement par SMS ou par courriel ».
Si l’Assurance maladie a bien réussi à contacter 9 personnes sur 10 dépistées positives ou déclarées comme cas contact, « seules 70 à 80 % des personnes contact ont été jointes dans les 24 heures suivant leur recensement » explique le rapport.
« Surtout, l’assurance maladie n’est parvenue à recenser qu’une partie potentiellement minoritaire, des personnes contact. En moyenne, une personne dépistée positive sur deux ne lui a déclaré aucune personne contact en 2020 et en 2021 » appuient les rapporteurs.
Finalement, le rapport souligne : « alors que le contact tracing va s’arrêter fin janvier 2023, il convient de procéder à une évaluation scientifique de son impact sur les chaînes de contamination de la Covid 19 afin de concevoir un dispositif plus efficace dans l’éventualité de nouvelles épidémies ».
Le 07 décembre 2022 à 06h15
Commentaires (58)
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Abonnez-vousLe 07/12/2022 à 06h56
J’espère que les modos affutent leurs armes car les trolls vont être de sortie.
Pour essayer d’estimer l’efficacité du contact tracing, il faut d’abord faire une étude par vague et donc par souche.
Ensuite croiser les données entre les personnes contactées et leur statut COVID après x jours. Si les fichiers peut être croisés sans problème juridique.
Par contre clair qu’il faut faire un bilan, notamment en termes d’efficacité pour améliorer le dispositif en cas de nouvelles épidémies.
Le 07/12/2022 à 07h26
Et idéalement avec comparaison à l’échelle de l’Europe.
Le 07/12/2022 à 08h15
dans le cadre d’une étude sérieuse d’un point de vue scientifique, la comparaison devrait se faire dans l’idéal avec l’ensemble des pays comparables à la France, sans se limiter à l’Europe.
Oui, il serait intéressant d’avoir une étude sérieuse sur le sujet !
Le 07/12/2022 à 10h38
Clair, avec la news précédente sur la modération, sortir une news pareille est un bâton pour se faire battre
On dirait qu’ils cherchent un peu à attirer les Trolls
Le 07/12/2022 à 07h45
Page 14 et 15 ? (celui page 14 est pas mal, plus y a d’infecté moins il y a de cas contact)
Améliorer ou abandonner (page 20)
Il y a la théorie et la pratique , mais il faut sortir du laboratoire pour comprendre…
Le 07/12/2022 à 08h00
popcorn
Le 07/12/2022 à 09h09
Tiens en parlant du loup, tu es le premier
1- Je te suggère de relire la page en question.
2 - Le besoin ou l’efficacité du contact tracing évolue suivant le virus.
Exemple: entre un virus qui se transmet par un contact direct, qui n’est transmissible qu’après sa durée d’incubation et un virus qui se transmet par aérosol, qui est transmissible pendant la période d’incubation, l’efficacité du contract tracing ne sera pas du tout la même.
Du coup je pourrais rebondir sur ta dernière phrase, mais je ne le ferais pas.
Le 07/12/2022 à 09h32
Courir après un virus respiratoire, vu sa vitesse de transmission et les directions inattendues qu’il peut prendre dans sa diffusion, c’est juste idiot.
Par contre, l’argent gaspillé dans le “contact tracing” n’a pas été perdu pour tout le monde.
Le 07/12/2022 à 09h41
Le fait qu’une personne sur deux n’ait donné aucun contact, ce n’est pas étonnant. Quand ma femme l’a eu (par moi), elle avait eu les mêmes contacts que moi avant, on n’a pas déclaré en double. Et les enfants, quand ils l’ont eu, on avait déjà prévenu leurs contacts par nous-mêmes avant, sans passer par la sécu.
Mais il n’empêche que c’était quand même important de contacter tout le monde et leur expliquer la procédure. Ça n’a pas empêché certains d’envoyer leur enfant à l’école en sachant qu’il avait le covid, mais j’ose espéré que ça a quand même réduit le phénomène.
Le 07/12/2022 à 09h42
Au contraire : vu le temps d’incubation, les contacts à qui tu as transmis le virus peuvent le savoir et s’isoler avant d’être eux-mêmes contagieux. Là c’était typiquement le cas où c’était pertinent. C’est l’inverse de la varicelle, par exemple, où quand tu vois les boutons, c’est trop tard, tu as déjà contaminé toute la classe.
Le 07/12/2022 à 10h48
Les contacts pourraient le savoir si ça marchait et qu’ils étaient contactés. Quant à s’isoler avant d’être contagieux, difficilement praticable.
Le 07/12/2022 à 10h53
Sur les 1er variants du virus, il y avait en moyenne 3 jours entre ta contamination et le fait que tu sois contaminant. Si pendant ce temps la le contact tracing te prévient et que tu t’isoles: tu coupes la chaine de transmission.
Le 07/12/2022 à 10h56
Tu décris le principe du contact tracing (être contacté).
Après si une fois prévenu tu fais parti de ceux qui s’en foutent et qui continuent de sortir car ils n’ont pas de symptome. Le problème ce n’est pas le contact tracing mais l’être humain.
Le 07/12/2022 à 11h56
Merci
Le 07/12/2022 à 11h19
Le 07/12/2022 à 11h55
J’ai été traceur pendant un an, majoritairement en 2021… Schématiquement, selon les organismes et les régions, soit on remettait les mêmes contacts, soit on ne mettait rien.
Le problème principal avec la base CT était que le modèle de données ne séparait pas la partie identité/coordonnées/contact de la personne et la raison de sa présence, contamination ou lien de contamination potentiel, dans la base (positif, contact, avec qui, etc.)
Du coup, des doublons ignobles, avec une fois le NIR, une autre fois, pas le NIR, pas forcément les mêmes moyens de contact (email, tel, adresse) et le pire était concernant les enfants. SIDEP nous fichait une grouille ignoble en remontant les enfants positifs avec leur NIR propre créé à la naissance et non celui de l’ayant droit (parent… sans compter que si ils avaient deux ayants droits, les enfants pouvaient être en doublon avec une fois le NIR du père et l’autre fois le NIR de la mère)
Du coup, je ne sais pas comment ils ont fait leur stats, mais je vais lire tout ça avec le recul de mon expérience de l’intérieur du tracing.
En tout cas, je profite de ce commentaire pour dire toute ma reconnaissance et mon respect à mes collègues, traceurs d’un moment, et le personnel permanent de l’Assurance Maladie qui n’a pas économisé ses forces lors des débuts difficiles de la bataille du CoVid. J’aurais plein d’histoires à vous raconter, des contes de Noël comme des histoires très tristes… Je suis tenu au secret médical et professionnel même après la fin de mon contrat, ce ne sera donc pas le cas.
Mais sachez qu’il y a plein de personnes qui ont mis leur vie en parenthèse pendant de longs mois pour essayer de limiter la casse et protéger des vies. Parfois de sublimes réussites, parfois de malheureux échecs. On ne ressort pas indemne de ce type d’expérience…
Le 07/12/2022 à 12h23
Sois plus précis.
Oui et?
Pas besoin :
Ça commence a rentrer :]
Le 07/12/2022 à 13h53
Selon la news, ils étaient contacté avec succès dans 80% des cas. Ce n’est pas si mal.
Quant à s’isoler avant d’être contagieux, je l’ai fait.
Le 07/12/2022 à 13h53
Et il y a aussi les cas ou l’Assurance Maladie n’a pas du tout contacté les personnes positives, et n’a donc pas pu faire de traçage
Le 07/12/2022 à 15h40
32 millions de personnes dépistées positive
mais, c’est énorme–> 50% de la population a eu le ‘Covid-19’ !
Le 07/12/2022 à 18h07
Bien plus en fait. Tous les asymptomatiques, les gens gens avec très peu de symptômes, et ceux qui ont préféré le cacher pour X raisons.
Le 07/12/2022 à 17h48
Il y a eu quelques cas multiples, en tous cas si presque 50 % a eu le virus (SARS-CoV-2), heureusement 50 % n’a pas eu la Covid (la maladie), même s’il y a eu plein de formes non graves (et heureusement).
Le 07/12/2022 à 18h17
On n’“a” pas un virus. On “a” une maladie.
Donc, ton commentaire ne veut rien dire.
En plus, il y a un tas de malades qui n’ont pas fait de test et qui n’ont pas vu un médecin parce que non gravement touchés. Il y a probablement plus de 50 % de la population qui a été malade de la Covid-19, mais on ne saura jamais le vrai nombre.
Les testés positifs sont considérés comme malades dans les statistiques.
Le 08/12/2022 à 07h53
moi, j’ai une autre explication pour le ‘LE’:
(pour moi c’est une faute de dire “de la…)
d’ailleurs au début on disait “LE Covid-19, puis d’un seul ‘ces Mrs. ont décidé
que ce sera “LA” ‘ !
Le 07/12/2022 à 17h58
Je suis également très reconnaissant à tout un tas de gens comme ceux dont tu parles, en plus des soignants.
Le 07/12/2022 à 20h56
Ben non, on peut être porteur d’un virus sans être malade. C’est également le cas du HIV (virus) pour lequel on ne développait pas la maladie (SIDA) forcément.
On ne peut pas être malade sans symptôme, ça n’a pas de sens.
Source ?
(sinon, parmi ceux testés positifs, il y en a qui sont malades, et c’est même pour ça qu’ils se testent généralement)
Le 07/12/2022 à 23h28
Évidemment maître troll contre l’humanité frappe en premier, bravo d’aller pile dans le mauvais sens, celui de l’article que j’allais critiquer.
Non, parce que la fin ne justifie pas les moyens, et peut-être qu’on décidera à l’avenir qu’on préférera encore avoir quelques jours de fièvre et quelques décès supplémentaires (éventuellement, si on trouve à ce dispositif une quelconque efficacité indirecte) au fait de subir un dispositif de traçage, surtout qui coûte un montant colossal qui aurait permis de former et d’embaucher du monde.
Le 07/12/2022 à 23h34
On appelle ça les asymptomatiques.
adjectif et nom
“D’un malade”
Et on peut même continuer à le transmettre.
Le 08/12/2022 à 07h43
Je vais faire court et rester constructif (même si c’est pas l’envie qui me manque): toutes les épidémies ne sont/seront pas dues au même virus. Le but ici c’est d’apprendre, de comprendre, d’améliorer et d’anticiper.
Le 09/12/2022 à 01h13
La discussion politique porte sur le choix des paramètres à “améliorer”. Ça peut paraître évident mais ça ne l’est pas.
Le 08/12/2022 à 08h01
Sans compter tout les travers humain et règles perfectibles évoqué ici et la: “je l’ai mais chut”,“je l’ai mais je ne dénonce pas mes cas contacts”,“je l’ai mais je ne le sais pas”,“je l’ai mais je suis vacciné donc j’ai le droit d’aller bosser”,“je ne l’ai pas ou plus mais je resterais bien a la maison” il y a aussi :
« Preuve s’il en est que la mise en place d’une application de suivi des personnes n’est qu’un des éléments de la réponse sanitaire : ce n’est en rien une solution magique », a expliqué Marie-Laure Denis, la présidente de la CNIL, à l’Assemblée nationale. Parce qu’il importe aussi d’« avoir conscience de la réalité sociale et de la fracture numérique : un quart au moins de la population ne dispose pas de téléphone permettant de télécharger des applications. Il est même probable que cela corresponde à la catégorie des personnes les plus vulnérables, celles-là mêmes qui, dans le cadre d’une stratégie de déconfinement progressif, resteraient confinées le plus longtemps. C’est un enjeu social important. »
Next INpact
Attention site complotiste… ( je plaisante )
Certains vous diraient “c’est un outil perfectible mais qui complète d’autres”, donc un outils a l’efficacité relative, complété par d’autres outils a l’efficacité relative tous déficient sur des millions de personnes en France et des milliard de personne a l’étranger.
Que dire ? Assez intelligent pour se contenter de dispositifs partiellement adoptés a l’échelle mondial (et qui a toutes ses chances de le rester) tout en pointant du doigt la sophistication de leur conception a chaque interrogation, mais aussi assez intelligent nous rappeler qu’un petit groupe de personne contaminé suffit a tout remettre en question (sans parler des mutations).
A quand la synthèse ?
Le 08/12/2022 à 09h57
Merci Captain Obvious.
Ça ne change pas ce que je disais. Tu ne vas pas voir le médecin quand tu n’as pas de symptômes.
Ben on le sait depuis longtemps.
Le 08/12/2022 à 10h09
Si, ça change ce que tu disais. Tu disais : On ne peut pas être malade sans symptôme, ça n’a pas de sens.
Et il te prouve que tu as tort quand tu me reprenais en sortant la définition d’asymptomatique.
Reconnais de temps en temps que tu t’es trompé, ça facilitera les échanges et ça n’a rien d’infamant.
C’est comme quand je dis que l’on n’“a” pas un virus et que tu me contredis en utilisant une autre expression “être porteur de” alors que c’était justement sur ta mauvaise utilisation d’une expression que je te reprenais. Tu aurais dû utiliser “être porteur de” la première fois et je ne t’aurais pas repris.
Tu réagis avec moi comme si j’étais un complotiste antivax, moi qui suis vacciné 4 fois ! Arrête donc de te croire investi d’une mission et de tirer trop vite.
Le 08/12/2022 à 18h56
De rien.
Comme l’a dit fred42, il n’y a pas mort d’homme. Je vais pas te mentir en te disant que je n’ai pas pris un malin plaisir à te contredire.
Mais ça s’arrête là.
On a tous tords par moment, c’est pas si grave.
Le 08/12/2022 à 10h00
Non non.
On dit LE virus SARS-CoV-2 parce que “virus” est masculin, et on dit LA COVID car c’est une maladie (comme pour LA rougeole, LA grippe, etc).
Sauf qu’une partie des gens confond le nom du virus avec le nom de la maladie, et pensent que le virus s’appelle COVID-19, et donc disent “le”.
Le 08/12/2022 à 10h35
Si on veut être précis, on disait le covid car on parlait du “corona virus”. Donc “covid” a longtemps été considéré comme étant acronyme de “corona virus”, la règle étant que le genre se base sur le noyau (ici virus), on parlait donc au masculin.
Seulement, l’acronyme veut dire “corona virus disease”, et en français la règle veux qu’en cas de langue étrangère ce soit le genre du mot noyau traduit qui prenne le dessus. Ici “disease” est le noyau, traduit par maladie, donc LA “covid”.
Le 09/12/2022 à 08h18
J’aime la langue française
Le 09/12/2022 à 08h45
Le wifi La recommandation officielle pour sa traduction étant “accès sans fil à l’internet”.
Le 08/12/2022 à 10h56
Si on n’a pas de symptôme, comment tu définis que tu es malade ?
Pour le virus Sars-CoV-2, on parle d’asymptomatique puisqu’on peut être porteur sans être malade (vu qu’on n’a aucun symptôme).
Tu dis que t’as la grippe si t’as le virus dans ton organisme mais que tu n’as aucun symptôme ? Idem pour l’exemple VIH/SIDA.
Je ne pense pas.
Je sais bien que tu ne l’es pas, cette réflexion m’étonne.
En fait on a d’abord parlé du SARS (pour ceux qui se souviennent) pour Severe Acute Respiratory Syndrome, puis là du SARS-CoV-2 (CoV pour Corona Virus), et ensuite on a baptisé la maladie “COVID-19”. Et comme pas mal de gens et de journalistes ont confondu, ça n’a pas aidé.
Tout à fait.
Le 08/12/2022 à 11h03
C’est la définition même d’asymptomatique qui dit que tu es malade, sinon, tu es juste porteur du virus.
Un séropositif n’est pas forcément malade parce que l’on peut être porteur d’un virus sans qu’il t’attaque comme on peut être porteur d’une bactérie pendant longtemps sans être malade et puis, d’un coup, tu tombes malade sans savoir depuis quand tu avais cette bactérie.
Ça se voit que tu ne penses pas.
Le 08/12/2022 à 11h07
Dénoncer ses cas contacts ?
Pas la peine de lire plus loin…
Pour le reste de ta “prose”, une analogie que tu devrais comprendre: en cas d’alerte enlèvement à signaler, la télé n’est pas regardé par tout le monde, les sites en lignes ne sont pas regardés par tout le monde, les radios ne sont pas écoutées par tout le monde.
Aucun canal n’est parfait. Et pourtant, les messages alerte enlèvement envoyés sur tous ces canaux permettent de toucher un maximum de monde et cela fonctionne.
Avec ton “raisonnement”, aucun de ces canaux n’étant parfait individuellement, il ne sert à rien de les utiliser.
Si tu veux une démonstration plus scientifique , je te conseille la théorie des probas.
Le 08/12/2022 à 13h26
Oui “dénoncer” car pour certains c’est perçu comme ça , comment ça pourrait être plus “étrange” que le personnel soignant appelé a aller bosser en étant positif ?
Très mauvais exemple :
Sachant qu’une personne est en moyenne capable d’en identifier une autre a quelques dizaines de mètres sans dispositifs particuliers, un virus…
Le 08/12/2022 à 14h01
Moi je te parle de probas car pour estimer l’efficacité d’un tel dispositif c’est exactement l’angle par lequel il faut l’étudier.
Tu ne sembles pas comprendre ce point essentiel et je n’ai pas le temps de l’expliquer donc fin de la discussion.
Le 08/12/2022 à 20h42
“On a tous tort”(…)
Ça pique moins les yeux. J’espère qu’il n’y a bien pas de “s” au bout
Le 09/12/2022 à 08h26
Je dis le WiFi, à vrai dire j’entends rarement le féminin employé. À mon sens on utilise le masculin car on pense au réseau, qui est masculin aussi, ou Internet qui est masculin (“inter-réseau”) ; de plus, ce “Fidelity” est un peu incongru, je suppose qu’ils ont voulu imiter “HiFi” qui faisait bien.
J’aurais plus vu “WiNe” pour Wireless Network :-) .
Le 09/12/2022 à 12h00
Tu as de la chance si tu entends jamais le féminin.. Mes oreilles saignent souvent, et autant avec des anciens que des jeunes.. (le pire étant ceux qui disent “ y a plus la wifi” alors que c’est juste l’accès Internet qui est en vrac..
En tout cas je suis d’accord avec toi sur la pertinence du mot “fidelity”!
Tu les donc pas d’accord avec toi même :
Fidelity => féminin donc d’après toi LA Wifi
Le 09/12/2022 à 12h42
Non, la recommandation officielle veut que la traduction de WiFi est “accès sans fil à l’internet”. Le noyau est accès, donc le WiFi
La traduction retenue n’est pas nécessairement une traduction littérale de l’anglais ;)
Le 09/12/2022 à 13h16
Recommandation à la ramasse comme d’hab, ça devrait être “réseau sans fil” (noyau masculin, je suis d’accord avec toi), le WIFI ne donne pas forcément accès à Internet non de dious!!
Le 09/12/2022 à 13h56
Je suis d’accord Je ne fais que relayer les propos. Un réseau sans fil c’est très bien en effet.
Le 10/12/2022 à 09h31
Wi-Fi à l’origine ne voulait rien dire, c’est une marque proposée par Interbrand (qui a créé Prozac, Compaq, etc) à la Wireless Ethernet Compatibility Alliance (depuis Wi-Fi Alliance) qui avait besoin d’un nom commercial un poil plus sexy que “IEEE 802.11b Direct Sequencer”.
Le 10/12/2022 à 12h56
Merci pour l’info. Ça me dit vaguement quelque chose.
Le 09/12/2022 à 10h04
c’est une bonne base de relativiser LA chose = “c’est pas grave”
“un décès d’un proche”—> voilà une chose grave, mai ça c’est du pipi d’chat !!!
Le 09/12/2022 à 21h07
Tout à fait d’accord avec toi.
Le 11/12/2022 à 09h40
de toute façon je suis pour l’usage par LE PLUS GRAND NOMBRE !
si on a, seulement, 100 000 pers. qui disent ‘LE/LA’, on NE change pas
MAIS s’il y-a 40 millions de ‘Français’ qui disent ‘LE’ à la place de ‘LA’
la Langue doit s’adapter, c’est ce qu’on appelle ‘une Langue-Vivante’ !
(contrairement au ‘Latin’ = L.Morte)
Le 11/12/2022 à 10h03
exemples–> https://www.radiofrance.fr/franceinter/squelette-poison-affaire-ombre-steppe-automobile-ces-mots-qui-ont-change-de-sexe-5086858
Le 11/12/2022 à 15h43
petit extrait :
Parfois, les académiciens et les linguistes se trompent…
…Quoique fasse et dise l’académie, ‘l’écrivaine’ ou ’la ministre’ sont en train
de s’installer dans les usages
Le 11/12/2022 à 18h54
mais ça n’a rien à voir avec la Covid, ton exemple, c’est une question de féminisation de titre porté par une femme.
Le 12/12/2022 à 08h38
on se posait la Q. s’il fallait dire ‘LE ou LA’ Covid-19 ?
je te l’accorde la discussion à légèrement dérapé
mais ça c’est comme dans la ‘RL.’, un mot en amenant un autre
difficile de garder le cap (tja) !!!