L’annonce est rare de la part de Telegram.
Alors que la Corée du Sud essuie une vague de deepfakes pornographiques visant principalement des écolières et des étudiantes, la plateforme sociale et de messagerie a supprimé certains contenus sur requête de la Commission coréenne des normes de communication (KCSC en anglais), d’après l’agence de presse sud-coréenne Yonhap.
Une décision prise alors que son dirigeant est poursuivi en France, notamment pour son manque de collaboration avec la justice.
Au total, Telegram aurait supprimé 25 publications sur plusieurs milliers, « présenté ses excuses pour avoir mal communiqué sur la question », et fourni une adresse mail spécifique pour de futures communications avec le régulateur des médias, indique Yonhap, citée par l’AFP.
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