Publicités nuisibles et agaçantes : un blocage dans Chrome dès 2018, Google détaille sa stratégie
Contributor is back
Le 02 juin 2017 à 06h30
8 min
Internet
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Google a décidé de bloquer les publicités dans Chrome sur les sites qui ont des pratiques néfastes. De quoi changer la donne pour le secteur, d'autant que les éditeurs ne maitrisent pas toujours leurs espaces. Le géant du Net en profite pour lancer Funding choices qui mettra en avant son service Contributor.
Google passe à l'offensive. Si l'on savait que le géant du Net se préparait à agir contre les dérives publicitaires et la montée en puissance du blocage par les utilisateurs, son plan d'action est désormais en partie officiel.
Comme prévu, cela passera notamment par Chrome. Dans un billet de blog, on apprend ainsi qu'en complément du blocage des pop-ups, certains formats publicitaires ne seront plus autorisés. La société précise que cela concernera aussi bien celles distribuées par ses outils que par ceux de la concurrence, et que les règles seront principalement celles établies par la Coalition for Better Ads, les Better Ads Standards.
- La liste des formats publicitaires à éviter sur mobile
- La liste des formats publicitaires à éviter sur ordinateur
30 jours pour réagir en cas de problème, ou toutes les publicités seront bloquées
Il faudra donc que les éditeurs apprennent à dire adieu aux interstitiels et autres publicités qui lancent du son par défaut ou sont animées de manière trop « active ». Ce blocage sera mis en place début 2018, laissant aux acteurs du marché quelques mois pour paniqu... se préparer.
D'autant que ce blocage, une fois actif, ne fera pas dans le détail. En cas d'infraction, une notification sera donnée par email, et si rien ne change, Google précise que « Chrome filtre les annonces de votre site si l'état de votre rapport relatif à l'expérience publicitaire correspond à "Échec". Par conséquent, quelle que soit la région dans laquelle ils se trouvent, les internautes qui consulteront vos pages avec le navigateur Chrome ne verront pas les annonces qui y sont diffusées ».
Cela interviendra dans les « 30 jours calendaires après l'affichage de la notification dans le rapport relatif à l'expérience publicitaire ». C'est donc le temps qu'un éditeur aura pour corriger les choses et le faire savoir à Google, notamment en demandant un nouvel examen de son site.
Attention, s'il est possible de faire une demande aussi souvent que vous le souhaitez, « à partir de la troisième demande, le démarrage de l'examen est différé de 30 jours ». Notez tout de même que les résultats seront gérés de manière différente pour ordinateur et pour mobile. Une action sur l'un n'entrainera pas forcément une action sur l'autre.
Une tolérance plus ou moins forte selon les cas
Il existe tout de même différents niveaux d'action, notamment avec la notion d'avertissement. En effet, si Google détecte « un certain nombre d'expériences publicitaires qui ne respectent pas les normes Better Ads Standards. Vous devez résoudre les problèmes le plus rapidement possible et soumettre votre site pour un nouvel examen ». C'est seulement si vous ne le faites pas que vous passerez en statut d'échec, et donc dans la procédure vous laissant 30 jours pour réagir.
Notez qu'une situation peut vous mener directement à ce statut : si vous diffusez ce que Google nomme les expériences publicitaires nuisibles. Plusieurs possibilités sont ici évoquées, dont la plupart correspondent à des formats qui faisaient déjà l'objet d'actions de la part du géant du Net. Ce sera ainsi le cas lorsqu'une publicité :
- Fait appel à des logiciels malveillants ou indésirables qui peuvent être installés sur l'ordinateur de l'internaute.
- Conduit à une tentative d'hameçonnage.
- Vise à tromper l'internaute pour l'inciter à télécharger un logiciel (malveillant ou non), ou à installer un logiciel malveillant ou indésirable.
- Entraîne une redirection automatique sans intervention de l'internaute.
- Fait intervenir des composants qui prêtent à confusion (tels qu'un bouton de fermeture qui ne ferme pas l'annonce, mais effectue un clic sur cette dernière ou renvoie vers un autre contenu).
- Présente un contenu trompeur destiné à piéger l'internaute. Par exemple, l'annonce peut sembler correspondre à un message système tel qu'un bouton de mise à jour.
La publicité automatisée va devoir se réformer
Ceux qui connaissent le marché publicitaire savent que cette notion introduit une problématique importante : celle de la programmatique. En effet, désormais les publicités sont placées de manière presque totalement automatisée sur de nombreux sites. Les éditeurs ne savent ainsi par toujours ce qui est affiché, sous quelle forme et de quelle manière.
C'est notamment ce qui est à l'origine de nombreux abus, des centaines de trackers par page aux scripts malveillants. C'est aussi ce qui avait poussé la CNIL à préciser ses règles récemment pour établir les différents cas et les responsabilités de chacun dans de telles situations.
Mais avec la possibilité d'un blocage des publicités par un navigateur aussi présent que Chrome, le contrôle va devoir se renforcer. Une plateforme publicitaire qui laisserait par exemple passer une redirection vers l'App Store d'Apple comme cela arrive encore souvent sur certains sites pourrait mener à un blocage généralisé de ses clients.
Autant dire que ces derniers risquent de renforcer leur vigilance. Certains regretteront d'ailleurs sans doute que Google ait dû commencer à taper du poing sur la table pour que de telles actions soient prises, alors que de nombreux acteurs alertent sur ce sujet depuis des années.
Vendre les données, ses contenus ou des abonnements
Tout cela devrait aussi venir renforcer des tendances fortes dans les modèles économiques du web, et qui sont parfois les unes à l'opposé des autres. Celle qui tend à se déporter de la publicité traditionnelle pour plutôt collecter, utiliser voire revendre les données des visiteurs. Une solution qui va sans doute être freinée par la mise en place d'ePrivacy et du RGPD dès l'année prochaine.
D'autres préfèreront donc vendre plutôt leur influence et leur contenu afin de mettre leurs pages au service de la communication des marques. À l'inverse, ceux qui veulent préserver les données de leurs membres et la neutralité de leurs contenus vont miser de manière croissante sur les abonnements, que ce soit pour la presse ou les services.
Un outil d'alerte mis en place
« Nous savons que de nombreux développeurs tirent la majeure partie de leurs revenus de la publicité en ligne, et nous voulons rendre le respect de ces règles aussi simples que possible » explique Google, qui précise que ces dernières années les utilisateurs n'ont eu de cesse de se plaindre des pratiques du secteur, notamment en installant des bloqueurs en tout genre. 30 % de plus rien que l'année dernière selon PageFair.
Pour simplifier la vie de ceux qui sont concernés, un outil a été mis en place : le rapport relatif à l'expérience publicitaire. Intégré au sein des Web tools de la Search Console, il permettra à chacun de savoir si l'expérience de ses sites n'est pas conforme aux règles sur ordinateur ou sur mobile.
Seuls les propriétaires identifiés d'un domaine peuvent avoir accès aux résultats. « Si notre système d'examen détecte à plusieurs reprises des expériences publicitaires de nature à gêner vos utilisateurs, elles seront répertoriées » précise Google qui détaille les choses sur cette page.
Enfin, notez que Google diffuse un guide des bonnes pratiques publicitaires, accessible à tous :
Funding choices et Contributor pour sensibiliser les utilisateurs (au profit de Google)
Dernière brique mise en place, celle qui intéresse directement Google. Avec Funding choices, la société permet aux éditeurs d'afficher un message d'alerte aux utilisateurs d'un bloqueur de publicité. Un marché occupé un moment par de nombreuses startups qui ont décidé de se lancer dans ce domaine, et qui ne verront sans doute pas d'un bon œil cette nouvelle concurrence.
D'autant que le géant du Net va en profiter pour mettre en avant son service maison qu'il a récemment décidé de relancer : Contributor. En effet, le message aura pour but d'inviter les visiteurs à réactiver la publicité ou à payer via cet outil pour s'en débarrasser. Bien entendu, Google touchera ici sa commission.
Là aussi des sociétés avaient décidé de se lancer sur un tel marché, Eyeo (Adblock Plus) en tête. Mais le poids de Google et ses liens déjà profonds avec de nombreux éditeurs devraient sans doute l'aider à convaincre. Pour le moment, Funding Choices est disponible en version bêta en Allemagne, en Angleterre, en Australie, aux États-Unis et en Nouvelle-Zélande.
Espérons qu'une fois proposé en version finale, il permettra de mettre en avant d'autres alternatives.
Publicités nuisibles et agaçantes : un blocage dans Chrome dès 2018, Google détaille sa stratégie
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30 jours pour réagir en cas de problème, ou toutes les publicités seront bloquées
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Une tolérance plus ou moins forte selon les cas
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La publicité automatisée va devoir se réformer
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Vendre les données, ses contenus ou des abonnements
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Un outil d'alerte mis en place
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Funding choices et Contributor pour sensibiliser les utilisateurs (au profit de Google)
Commentaires (38)
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Abonnez-vousLe 02/06/2017 à 07h13
Le 02/06/2017 à 07h17
Une raison de plus d’utiliser Firefox et µBlock Origin." />
Le 02/06/2017 à 07h27
Le 02/06/2017 à 07h27
Google, le Texas Ranger du web.
Le 02/06/2017 à 07h35
Google est hélas obligé de faire quelque chose pour se démarquer les autres.
Sa position de mastodonte lui permet ce genre d’actions là ou tous les autres -et que Daivid rappelle bien- s’écharpent sur la taille de la police à utiliser ou le placement des virgules.
Le 02/06/2017 à 07h38
Pour un logiciel qui s’installe souvent à l’insu de l’utilisateur et avec une grosse pub sur la page de google.com (enfin j’imagine que c’est toujours le cas), c’est assez comique.
Le 02/06/2017 à 07h43
Le 02/06/2017 à 07h51
Le 02/06/2017 à 08h17
Clairement, Google est à la fois juge et partie dans la problématique
Le 02/06/2017 à 08h17
Entre AMP et ça, comme dit dans le premier commentaire, Google s’arroge des droits vis-à-vis de ce qu’on appelle un navigateur web et non un fournisseur de contenu. Si c’était un module externe, activable par l’utilisateur, ça serait plus éthique.
Le 02/06/2017 à 08h43
Le 02/06/2017 à 08h48
Le 02/06/2017 à 09h14
Google veut assainir le WEB de ceux qui utilisent SON navigateur ? En quoi est-ce un problème ? Il y a des alternatives pour ceux qui le souhaitent, il est donc inutile de leur cracher dessus pour ça (et pourtant, je ne suis pas particulièrement fan de tout ce qu’ils font).
Et honnêtement, surfer sur un smartphone non rooté et vous verrez que vous ne pourrez pas naviguer sur 5 pages sans :
La pollution du WEB est réelle, il est donc urgent que les acteurs réagissent. Alors accusez Google d’abus de position dominante si vous le voulez mais ils ne vous obligent pas à installer Chrome.
Le 02/06/2017 à 09h19
Google abuse encore de sa position, mais cette fois c’est plutôt dans le bon sens. Autant je râle quand ils font de la m#rde, autant pour cette fois je suis plutôt optimiste, c’est peut-être la coup de pied au c#l qu’il fallait pour faire bouger la pub sur le web, devenue invivable sans bloqueur.
Parce qu’en la matière, Google pèse dans le game (ou plutôt Google ~= le game), et ça aura des effets autrement plus mesurables que les déclarations d’intentions de ces dernières années (cf la CNIL), louables certes, mais inefficaces :/
Le 02/06/2017 à 09h28
Il n’y a pas d’abus de position pour le navigateur, l’utilisateur a le choix entre Edge, Firefox, Opéra. Et c’est une plutôt bien que Google fasse le ménage, même si bien sûr c’est pour préserver ses revenus. Si au final on a moins besoin des adblock, no-script, anti-anti abdlock et autre pour naviguer sans pollution, ce sera tout bénèf. Et quand on parle de Chrome, c’est PC et Mobile ?
Le 02/06/2017 à 09h30
Le 02/06/2017 à 07h03
Et Google décide un peu plus chaque jour ce que devrait être Internet pour le commun des mortels, en n’omettant pas bien entendu de pousser ses propres services au passage.
La pieuvre continue de grossir et va certainement un jour être obligée de scinder ses activités sous peine d’attaque pour abus de position dominante.
Le 02/06/2017 à 17h26
Le 03/06/2017 à 08h40
Le 03/06/2017 à 17h00
Avec le minitel on payait pour accéder à un service. Internet est arrivé, on a mis en avant le coté gratuit (je traite pas de l’abonnement il a toujours été à part) mais remplacé judicieusement par la pub = un moyen discret de laisser penser que tout est gratuit aux internautes. Certains ont abusé de la pub (l’appât du gain ?) ça c’est vu et on a découvert le bloqueur de pub ! Donc forcément ça impact Google, et ils veulent réagir.
Parce qu’aucune autre solutions n’arrange la régie google.
Prenons la solution nextinpact c’est finalement un retour aux sources = on paye un service directement (c’est plus la pub qui le fait pour nous).
Ne rien gagner à cause de bloqueur de pub ? Que les sites se rémunère parce qu’ils ne mettent pas de pub ? Dans les deux cas google ne touche rien, c’est donc dans l’intérêt de google le mastodonte de faire son ménage sur son business. Mais le bloqueur de pub est bien implanté et même mes parents savent que ça existe donc le faire désinstaller ça va être compliqué ! La gentil pub n’y changera rien 😁
Le 03/06/2017 à 18h48
Pour rebondir sur ton commentaire, le modèle économique du Minitel n’est pas vraiment mort, notamment sur smartphone et sur TV (AndroidTV) avec les magasins d’applications et de contenus, et de plus en plus avec les objets connectés qui envahissent progressivement les foyers et offrent des services parfois payants.
Je ne veux pas jouer les prophètes, mais j’imagine très facilement Google offrir des services payants de plus en plus nombreux, à l’image de Youtube Red.
Le 03/06/2017 à 19h31
Bah aujourd’hui, clairement, y’a pas beaucoup d’alternatives.
Soit les services sont directement payant et invitent le chaland à ouvrir le porte monnaie. Soit ils sont offerts en échange d’une fouille anale constante.
Et entre deux, il y a le modèle associatif où le client participe de manière plus impliquée aux frais de fonctionnement de ses services.
Et le pire modèle étant le pseudo-gratuit au contenu produit par les utilisateurs et revendus par la plateforme. (coucou les médias sociaux)
Mais le monde du smartphone est effectivement celui qui se rapproche le plus du minitel dans la mesure où le client lambda n’a aucune maîtrise du terminal…
Le 02/06/2017 à 09h33
Le 02/06/2017 à 09h41
Le 02/06/2017 à 10h16
Le 02/06/2017 à 10h19
Le 02/06/2017 à 10h49
Si cela permettra vraiment de ne plus avoir de publicité abusive, c’est très bien. Mais j’attend de voir car entre ce qui est proposé et la réalité il y a toujours une différence.
Le 02/06/2017 à 11h49
Naviguer sur le net sans trop de pubs sur un téléphone non roote est possible: Firefox donne la possibilité d’utiliser un adblocker (que ce soit adblock+ ou uBlock origin)
Le 02/06/2017 à 11h49
Le 02/06/2017 à 12h23
Google aseptise le web. Utilisez Chrome pour une expérience plus propre du web.
(sauf traceurs amis et publicités-maison, car il faut bien vivre)
Le 02/06/2017 à 12h24
Je peux vous garantir de source sur ( moi même ) qu’il y des adsenses qui font la promotion de logiciel de merde ( malware et compagnie ), donc google qui fait le chevalier blanc ca me fait bien bien rire.
Et ne parlons pas non plus de chrome, logiciel installé la plupart du temps à l’insue des gens.
HYPOCRISIE.
Le 02/06/2017 à 12h32
Le 02/06/2017 à 12h49
D’accord, merci pour l’explication, mais, cela dit, je ne vois pas en quoi c’est problématique. Toute entreprise cherche à faire du profit, on sait très bien que Google n’est pas le bon Samaritain. Je ne vois pas en quoi cela gène les gens.
On vient écrire ici que les pubs de Google sont pourries… Oui, l’article précise quand même que la firme fait des efforts dans ce domaine là où d’autres n’en font aucun. Et là-dessus, on vient cracher sur Google ? Pour d’autres raisons, là d’accord, mais pour cette initiative, faut arrêter… Google va bloquer des publicités jugées malfaisantes, probablement même par ceux qui râlent ici même, je trouve ça très bien pour ma part. Après, tout le défi est de ne pas tomber dans l’excès de blocage des publicités non bloquantes juste sous le prétexte que ce ne sont pas des publicités “Google”. Si tel était le cas, alors je serais moi aussi parmi les premiers à m’en offusquer.
Le 02/06/2017 à 13h04
Pour connaitre un peu le milieu, sincèrement tu es à coté de la plaque ( sans offense hein, on peut pas tout connaitre ).
Google est evil, mais genre VRAIMENT, à tout point de vue, dans tout les domaines, internet et IRL compris ( fiscalité).
Quand à leur navigateur de merde, c’est un fait qu’il s’install à la manière d’un malware sans que les gens le veulent vraiment, ils payent un max pour qu’il soit lié à d’autre logiciel, c’est pas une légende urbaine. Ni le trackeur non plus d’ailleurs.
Et si tu savait tout ce qui se trame derrière adword, adsense et analytic lol…. google qui vient se poser en chevalier blanc du web c’est vraiment comique.
Le 02/06/2017 à 13h09
Quand on aime les produits Google (ou les produits Apple ou Microsoft, etc), ce n’est pas important. Chrome, Edge, Safari, etc, peu importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse.
Ceci-dit, c’est comme boire de l’eau minérale régulièrement : parfois on préfère l’eau du robinet, d’autant que boire la même eau minérale pendant une longue période peut être mauvais pour la santé (l’apport en minéraux étant très élevé et déséquilibré suivant le type d’eau minéral).
Le 02/06/2017 à 13h13
Je suis tout à fait d’accord avec toi.
Sauf qu’avec le temps on se rend compte qu’il y a plus beaucoup de concurence dans un paquet de milieu concernant google ( puisque soit il domine largement à peu pret tout ce qu’il touche, soit il rachète les géneurs )
Rien que pour ca il faudrait soutenir qwant et bing……..
Le 02/06/2017 à 14h18
Le 02/06/2017 à 15h04
Et donc ? En quoi suis-je à côté de la plaque ?
Je n’ai jamais dit que Google était tout blanc hein, j’ai juste dit que lorsqu’ils font un truc potentiellement bien, même s’il y a probablement des bénéfices pour eux derrière, faut pas non plus se leurrer, il était logique de ne pas descendre l’initiative.