Comme chaque samedi à 13h37 (ou presque…), Flock pose son regard acide sur l'actualité dans le domaine numérique. Il publie ainsi une chronique regroupant des dessins en rebond sur nos articles.
Flock est un pur produit des années 80. Et il lui semble que la situation actuelle avec l'intelligence artificielle a comme un air de déjà-vu.
Cette chronique est financée grâce au soutien de nos abonnés. Vous pourrez la retrouver en accès libre dès la semaine prochaine, comme toutes les précédentes publications de Flock dans nos colonnes.
Commentaires (53)
#1
#2
Par contre pour l’entrainement de l’IA, ce serait pas inspiré du logo du langage Python ?
#3
Ca m’a fait pensé à ce billet de l’Odieux Connard : https://unodieuxconnard.com/2022/11/09/lintelligence-artificielle-peut-elle-remplacer-les-artistes/
#3.1
C’est juste excellent 🤣 et un peu déprimant
#4
J’adore la 5 sur le “radotage de l’humain” .
Entre autres, je n’ai personnellement jamais compris le retour en force et le succès du disque vinyle dont les défauts évidents sont pourtant toujours bien présents et qui reste nettement inférieur au CD à tous les niveaux.
En tous cas, merci pour cette série qui est quand même assez flippante…
#4.1
Pour le retour du vinyle, perso ce que j’aime bien, ce sont les grandes pochettes, on les utilise comme des affiches chez nous.
Et même si j’écoute principalement de la musique en démat, je trouve l’objet sympa et j’écoute la musique différemment, en démat c’est vraiment de la consommation de musique, en vinyle, je me pose pour juste écouter (je pourrais le faire en démat, mais le support oblige à rester à coté pour changer de face/album, donc je trouve que ça s’y prête plus)
#4.2
Je suis un peu dans le même cas d’usage. J’ai connu le vinyle avant qu’il ne soit une mode de nostalgiques n’ayant pas connu l’époque des platines au son dégueulasse que les parents avaient (et j’ai aussi connu la cassette audio que j’ai poncée au lycée, le CD et le MP3 encodé à la truelle du début des années 2000, autant dire que mon premier baladeur MP3 n’a pas eu pas le même effet “wahoo” que le premier lecteur CD
).
J’apprécie aussi le fait qu’il faille retourner le disque. Quand je suis en télétravail et que je veux me mettre une petite ambiance sonore, ça me permet de lever la tête du guidon pendant une petite minute le temps de. Et ça fait du bien.
Edit : c’est aussi la simplicité de l’appareil qui est parfois salutaire dans ce monde d’interfaces numériques constamment changeantes et bordéliques.
#4.3
Surtout que plusieurs artistes ont utilisé justement le format du disque/K7 pour présenter leurs oeuvres avec une face A comportant certains type de chansons et avec une face B souvent en opposition. On pense bien sur à l’album The Dark Side of the Moon des Pink Floyd, mais les Beatles ou les Who ont beaucoup travaillé dans la manière de concevoir certains concept albums chose bien sur qui disparait avec le CD ou le tout numérique.
#4.5
En effet, le support lui-même permettait de faire des choix artistiques !
Un peu comme les vinyles illustrés qui sont magnifiques. J’ai quelques albums qui datent de leur sortie originale (merci les bourses aux disques, ça permet de trouver des perles rares) et n’ont rien à envier en matière de qualité de fabrication aux éditions modernes (qui sont excellentes aussi, notamment avec les disques plus épais et robustes). En aparté, un côté sympa des bourses aux disques : on trouve de toute origine. J’ai l’album Love at first sight de Scorpions et il s’avère que c’était apparemment un cadeau pour quelqu’un car il y a un petit message écrit dessus à la main. Ca fait son petit effet ce genre de trouvaille et c’est le genre de chose que permet plus facilement la taille du support.
Même si un CD peut avoir sa face illustrée, le problème étant qu’il est généralement enfermé pour des raisons de sécurité avec le laser tu n’en profites pas.
Cela dit, j’aime bien ce que fait Square Enix pour les OST qu’ils produisent : des Blu-ray sur lesquels les versions MP3 sont présentes aussi. Comme ça tu peux soit l’écouter en mode audio pur (y’a aucun DRM sur les MP3), soit sur la TV avec de la vidéo d’accompagnement. Je trouve là qu’ils profitent très bien du support !
#4.4
Je comprends bien ça. Il est évident que l’objet “disque vinyle” est bien plus sympa que l’objet “CD”.
Mais pour moi, ce qui importe le plus sur un support de musique est la qualité avec laquelle il la restitue. Et sur ce plan un bon CD (il y en a des mauvais) est supérieur en tous points à un bon vinyle, d’autant que sur un vinyle, la qualité se dégradera assez rapidement avec le nombre d’écoutes ce qui n’est pas le cas du CD.
Après, je comprends aussi le côté nostalgique voire même le plaisir d’entendre des crachotements qui doivent beaucoup compter dans ce retour du vinyle.
Pour revenir au dessin, il y a hélas des “radotages” bien plus inquiétants que le retour du vinyle qui est anecdotique et même assez amusant. Je pense notamment au retour en force de certaines idéologies pourries un peu partout dans le monde. Ces idéologies n’avaient certes jamais disparues mais là elles semblent plaire de plus en plus à beaucoup de monde, y compris (voire surtout) à des jeunes.
Bon c’est pas de la tech mais il est difficile de pas y penser en voyant ce dessin.
#4.6
Technologiquement le vinyle est dépassé le CD, pourtant les vinyles sont souvent de meilleurs qualités parce qu’ils subissent moins de compression dynamique.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_du_volume
Par exemple sur Toxicity de System of a Down : https://dr.loudness-war.info/album/list/1/dr/asc?artist=system%20of%20a%20down&album=toxicity
Le master audio qui a servi à la fabrication du vinyle est de meilleur qualité sonore que celui qui a été utilisé pour le CD. Le problème est le même pour toute l’industrie du disque, le gap est plus ou moins prononcé selon les albums.
Parfois on peut trouver un mastering de meilleur qualité a des endroits incongrus. Par exemple sur l’album Death Magnetic de Metallica : https://dr.loudness-war.info/album/list/1/dr/asc?artist=metallica&album=death%20magnetic, les pistes extraites du jeux Guitar Hero III ont plus de dynamique sonore que le CD ou le vinyle.
#4.7
Ok pour tout ça, mais ça ne change rien au fait que le CD est techniquement très supérieur au vinyle.
C’est clair que si on y stocke de “la merde”, il restituera de la merde…
Le bidouillage à outrance des masters audios pour les adapter au matériel d’écoute et/ou aux styles de musique, n’a rien à voir avec la qualité du CD.
Il y a plein de gens pour qui ce qui compte c’est que ça fasse bien “boum boum” et ça, le CD n’y est pour rien
#5
Ah merde, l’avant dernière a spoilé le plan projet de Teuf qui compte rebooter PC-INpact.
#6
Sarah Connor, mon personnage de SF préféré. Les films RoboCop (1987) et Matrix (1999) sont aussi des pépites concernant la conscience des machines. D’ailleurs, dans ses films, Paul Verhoeven (RoboCop) a un regard aussi acide que Flock sur nos sociétés contemporaines.
La faillite de la machine est dans l’humain. Ça me fait penser à Jules Verne : la science, le progrès (l’innovation, la disruption qu’on dirait ajd), l’utopie.
#7
Excellent.
#8
excellent
#9
Une série brillante !
ce format BD sur plusieurs dessins 
#9.1
YES !!
#10
Skynet…
#11
Très belle série ! Bravo
#12
Il y a une erreur sur l’image 5 : la vraie mode c’est le tshirt INpact Virtuel
#13
Topissime :)
#14
RAAHHHHHH ! Mort de rire !
#15
He oui Flock, bien vu… et bien dessiné !
#16
Excellent Flock ! Merci
#17
Excellente série, à chaque image je me suis dit “bien vu”!
#18
hahaha j’adore
merci Flock ! 
#19
Merci Flock, c’est fameux !
#20
#21
Le disque vinyl se conserve mieux dans le temps que le CD et la numérisation de l’enregistrement audio n’a pas besoin du CD spécifiquement. La qualité sonore du CD provient essentiellement de la facilité de manipulation de l’objet par l’utilisateur (moins de risque de rayures, plus facile à transporter), pour autant le vinyl restitue le son différemment qu’un CD dont la compression numerique et la mauvaise qualité du support sont trop facile pour réduire les coûts de fabrication.
#22
Le CD a tué la cassette audio magnétique. Le mp3 a tué le CD. Le streaming audio a tué le mp3. Mais aucun n’a tué le disque vinyl (qualité sonore numérisée, objet collector durable).
#23
*«Vinyle» avec un “e” final.
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/vinyle/82056
#24
Le disque vinyle se conserve mieux à condition de ne pas s’en servir…
Concernant le CD, j’en possède un qui date du début des années 90 et je ne saurais pas dire combien de fois je l’ai écouté.
Ce CD (symphonie fantastique de Berlioz en DDD) est toujours en très bon état et l’enregistrement est d’une très haute qualité, qualité que je n’ai jamais entendu sur un vinyle.
Encore une fois, je crois que ça dépend du genre de musique et je pense aussi que l’exigence sur la qualité d’écoute (tous genres confondus) a grandement diminué avec l’avènement du streaming et le matériel sur lequel c’est écouté.
Qu’importe le flacon…
#24.1
Le CD peut être un support qualitatif mais c’est rarement le cas. La qualité du support est très variable. Le CD a surtout remplacé la cassette audio magnétique avec tous les arguments marketing qui ont pu être utilisés pour convertir les utilisateurs :
La réalité est que souvent le CD est fabriqué en plastique bas de gamme. Perso j’ai quelques CD, notamment un de Stephan Eicher, dont la qualité matérielle semble bien meilleure que la plupart des CD que j’ai pu acheter. Et je suis d’accord, on n’a pas toujours besoin d’une qualité d’écoute et de conservation du support ad vitam.
#25
En fait j’aurais plutôt dû dire “qu’importe la qualité pourvu qu’on ait la quantité”.
C’est d’ailleurs pareil pour les vidéos.
#26
#26.1
Blade Runner pose la question de l’humanité des androïdes (simples robots? ou espèce d’humains?). Le thème est moins le niveau de conscience pour atteindre cette humanité que le fait d’avoir un esprit ou une âme. Les Japonais qui sont plus ou moins animistes (même les objets ont une âme ou un esprit) donnent d’autant plus d’importance aux robots dans le domaine du vivant.
D’ailleurs, ces films de science-fiction sont souvent des adaptation de romans des années 1960, une période où les androïdes (les robots d’apparence humaine) étaient une obsession (avec la vie extraterrestre, les Ovnis).
#27
Je passe bien sur sur les pépites du genre -“mais pourquoi j’ai des traces de dents du chien sur le cd”. Bien sur ça fonctionne beaucoup moins bien.
#27.1
Ok, donc tu as des vinyles de plus de 50 ans et bien sûr, aucun crachotement quand tu les écoutes, si toutefois tu les écoutes. Parce que si c’est parce que ils sont toujours ronds et plats que tu les considères comme résistants, c’est pas vraiment ce dont je parle.
Il existe sûrement des CD pourris, des boîtes qui fabriquent de la merde il y en a toujours eu il me semble. Quand je dis pourris, c’est soit leur manque de résistance physique, soit la qualité déplorable de ce qui y est enregistré, soit carrément les 2.
Personnellement je n’ai jamais eu de CD devenus inécoutables avec le temps, comme quoi on a pas tous la même expérience. Par contre, j’ai bien sûr des CD dont la qualité d’enregistrement est loin d’être bonne mais ce n’est pas du tout la majorité en ce qui me concerne.
Je crois que c’est une bonne façon de terminer cette discussion qui tourne en rond (comme les disques)…
#28
C’est vrai aussi pour le disque vinyle, les vieux disques étant souvent plus fins que les disques récents (les 180g) ils avaient tendance à se déformer ce qui entraîne de la distortion. J’en ai des aussi vieux que moi dans ma petite collection et parfois ça me fait peur de les manipuler tellement ils semblent fragiles vis à vis des éditions plus modernes.
C’est l’une des contraintes du support : le conserver proprement pour éviter qu’il ne se déforme.
Au final, ils ont tous leur part d’avantage et inconvénients.
#29
Je trouve que mes CD prennent déjà beaucoup de place, je n’ose pas imaginer si c’était des vinyles. :)
En passant, j’aime bien le robot-journaliste Next Inpact.
#30
La qualité physique du CD n’a aucun impact sur la qualité audio, contrairement au Vinyle. C’est l’avantage du numérique. Il n’y a pas de débat à ce sujet, le CD est objectivement supérieur en terme de qualité audio (pour un même master bien sûr).
L’avantage du vinyle c’est le côté rétro et le style, pas la préservation de l’audio vu qu’il se dégrade à chaque écoute et qu’à la base la qualité est inférieure à du CD.
#30.1
Le CD c’est cool. Je ne possède aucun vinyle pour ma part. Pour autant, je maintiens qu’un enregistrement numérique sur vinyle est plus durable que sur CD : ça crachouillera à la longue sur vinyle, je peux comprendre que ça déplaise. Mais le CD dans la pratique n’est certainement pas plus qualitatif car la plupart ont été fabriqués pour des usages courants, pour un public qui n’a ni besoin de conserver ses enregistrements, ni besoin d’une qualité audio optimale. Après chacun ses goûts, je n’ai pas l’intention de vous dire comment écouter la musique (ni même de vous dire quel style musical écouter), …
… à part de vous abonner à Qobuz et d’acheter un récepteur radio DAB. (humour!)
#31
Perso quand je refais l’historique de ma “vie musicale”, j’ai connu la collection de vinyles de mes parents et de mes grands parents sur des platines ayant des hauts parleurs de plus ou moins bonne qualité (souvent dans le moins en fait) et autant dire que le plus récent devait dater de début années 80. Donc clairement j’ai pas de “nostalgie” de l’écoute.
J’ai poncé des cassettes audio enregistrées depuis la radio ou la TV (c’étaient à peu près les seules sources dont je disposais) dans mon baladeur et ma première chaine hi-fi (qui n’avait de nom vu que c’était un modèle d’entrée de gamme d’hypermarché). J’ai eu un premier baladeur CD à la fin des années 90, mais peu alimenté par le support était cher (en tout j’ai du avoir 5 ou 6 singles et albums, c’est quand j’ai commencé à avoir des revenus que j’achetais vraiment, et c’était plus de la collection qu’autre chose). J’ai commencé à vraiment écouter du CD quand j’ai pu télécharger mes premiers MP3 sur Internet en début 2000, à l’époque où il fallait 3 jours pour en avoir un (et pas que depuis le Japon pour désamorcer une blague éculée) et que j’avais eu mon premier graveur, donc autant dire que la qualité était de la merde.
Bref, tout ça pour dire que j’ai quasi toujours eu du matériel d’écoute ou des sources dégueulasses durant ma jeunesse. Mais comme au final mon besoin était d’écouter ma musique, ça me suffisait (j’étais pas très exigent au lycée, il me fallait juste de quoi ne pas entendre les énergumènes autour de moi).
Et aujourd’hui c’est pareil, même si j’ai un ensemble audio de bonne qualité (home cinéma moyenne gamme avec des enceintes même catégorie, car j’y foutrais pas des cents et des milles), le but est d’écouter de la musique en bonne conditions. Et par rapport à mes attentes, je suis satisfait. C’est pas le matos que j’écoute, mais bien le contenu
Par contre quand le contenu est de qualité dégueulasse, là je râle. Surtout quand les MP3 ont cet espèce de sensation de son qui fait des vagues, ça c’est vraiment désagréable.
#32
Tout à fait ! Sur le rapport des Japonais aux robots, pour aller dans le fil de ce que tu dis, je recommande la série d’OAVs de 2008 : Casshern Sins, où les robots, devenus majoritaires dans un monde en déliquescence, sont touchés par la ruine et veulent à tout prix survivre. Dans cette série, on les rend aussi vivants et donc desespérés par la mort que pourraient l’être des humains.
De la part d’un grand fan de Blade Runner par ailleurs !
#33
Le marché du vinyle aujourd’hui c’est pour caricaturer deux types de consommateurs :
Les hipsters qui aime l’objet rétro mais qui sont mal équipés. L’écoute dans ce cas est souvent dégradé, et l’intérêt par rapport au CD est discutable.
Les perfectionnistes maladifs qui ont les moyens. Ces gens là on du matériel de très haute qualité, prennent soin de leur galette, rachètent plusieurs fois les vinyles d’occasion pour concerner celui qui a le moins été dégradé.
Dans le cas des perfectionnistes, c’est un marché de luxe entretenu par des passionnés. Et dans ce cas là, même avec du matériel de qualité équivalente, l’écoute sera de meilleur en vinyle qu’en CD.
Si vous avec de la chance et que vous savez où chercher. Vous pouvez trouver des albums rippés provenant de vinyles effectués à partir de matériel de bonne qualité.
#34
Mouais, c’est un peu longuet Casshern Sins, sur le sujet je pense que Ghost in the Shell est plus pertinent (que ce soient les animés ou les mangas)
Sinon, la fréquence d’échantillonnage max du CD est un peu juste (2 fois 22 kHz) je pense que ce n’est pas suffisant pour couvrir tout le spectre musical (même si à mon age on ne perçoit plus les hautes fréquences les pros échantillonnent à 4 fois 24 kHz). Et personnellement, ce qui me gène le plus c’est qu’ils y a trop de basses sur un mixage 100% numérique, ça fini par écraser les médiums. Je préfère les mixages à l’oreille par un professionnel.
Sinon, je profite de ce message pour féliciter Flock pour tout ce qu’il fait (quand l’abonnement est terminé il n’est plus possible de le remercier)
#35
Le pire c’est Metallica, les derniers albums sont enregistrés saturés : y’a rien à faire, l “ingé” son a tellement poussé la compression et le volume pour que-ça-rende-un gros-son-sur-un-téléphone-en-main-libre que tu entends clairement les saturations à tous les niveaux (aigus, medium).
#35.1
C’est aussi un détail qu’on oublie, la qualité du master d’origine. Y’a des albums qui ont été mal enregistrés et donc peu importe le support, le son ne sera pas terrible.
C’est le soucis de “Cruelty and the Beast” de Cradle of Filth. Bien que ce soit un de leurs meilleurs albums à mes oreilles, il a souffert d’une production dégueulasse et en a résulté une mauvaise qualité.
#36
Non mais c’est clairement fait exprès, l’enregistrement est très certainement fait dans les meilleurs conditions, et c’est bien un choix de production de niveler par le bas / détériorer volontairement le son HiFi au profit du rendu smartphone / enceinte Bluetooth premier prix : Dans les années 80⁄90, les ingés sont avait un petit poste transistor à bas coût, pour vérifier comment ça rendra dans la cuisine de madame Michoux.
Sur vinyle, si il y’a un mix différent, il n’y a pas cette contrainte de rendu correct sur une enceinte boîte de conserve, donc l’ingé son peut faire un mix qui rend mieux sur du bon matos, car la majorité des gens qui va écouter le vinyle a du matos un minimum correct.
C’est l’intérêt (théorique) des master high res sur Qobuz, en théorie c’est un remaster depuis l’enregistrement multitrack. En pratique rien ne dit que c’est pas un bête upscale depuis le master du CD
#37
Toi, tu n’as jamais eu de mange-disque.
#37.1
Mais si :p
Je parlais des productions récentes, et il me semble que plus personne n’utilise de mange-disque actuellement.
#38
Jamais un produit n’a aussi bien porté son nom tellement tu avais peur qu’il mâchouille et recrache la galette en miettes. Et pour le coup, c’est une constante peu importe la galette (vinyle / CD / DVD / Blu-ray).
Je me rappelle du sursaut la première fois avec la PS3 tellement le bruit du lecteur n’était pas rassurant.