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“Contradiction is not a sign of falsity, nor the lack of contradiction a sign of truth.” (Blaise Pascal)

1772 commentaires

Collectif La Barbe

Hier à 17h 46

J'abandonne, tu ne veux définitivement pas expliquer ce qui te permet d'affirmer que le fait que ce soit une femme a une quelconque incidence dans le cas présent. Tu n'as fait qu'affirmer que c'était le cas sans en apporter aucune preuve en partant du principe que "puisque ça existe a un niveau global alors ça s'applique partout".

J'affirme que c'est un enjeu sociétal et libre à toi d'en faire une affaire de personnes. Ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit.
J'ai été suffisamment clair dès le départ et je ne t'oblige pas à te sentir concerné donc laisse-moi en dehors de tes jugements et on pourra rester cordial.

Le 25/04/2024 à 07h 14

Peut-être parce que médecin obstétricien est plus valorisant que sage femme ?

Le 25/04/2024 à 07h 09

Ca ne m'explique toujours pas en quoi on peut affirmer cela dans le cas présent. Ca pourrait aussi bien être uniquement une volonté de ne pas être la cible de ce genre de remarque peu importe que cela provienne d'une femme ou d'un homme.

J'insiste bien sur "le cas présent". Que cela existe ailleurs et est applicable dans d'autres situations est un autre sujet.

C'est pas une question individuelle mais un sujet global de société. On peut prendre toute remarque pour une diffamation ou une injure, il faut alors prouver l'intention de nuire.

Le 25/04/2024 à 07h 03

Choisir une photo et un article avec des individus bien identifiables, dont tu ne connais d'ailleurs strictement rien à leurs vies, leur mettre une cible de misogynie et tirer, puis venir dire:"Bah non ,je ne parlais pas de vous en particulier mais je généralisais.". Dans les faits, ces sont eux et leurs sociétés qui sont dans la sauce du bad buzz, et pas "on".

Assumer ses actes et s'expliquer, c'est bien aussi. Faudrait pas confondre la dignité et l'orgueil.

Le 25/04/2024 à 07h 01

non le sujet c'est que la dev ici bache un rasso full h sans connaitre le contexte.
Et comme c'est fait en public, elle prend un taquet en retour.

On n'a pas la même notion du bashing. Je ne sais pas ce qu'est un taquet pour toi mais ça m'a pas l'air très fairplay.

Le 23/04/2024 à 16h 40

Tout à fait d'accord, on ne pourra jamais avoir une parité h/f sur tous les secteurs professionnels.

Exemple aussi de mon côté, équipe de dev & ba, la seule femme dev presta est partie, on a cherché et même demandé explicitement aux commerciaux des devs femmes => peu de cv reçus, elles ne convenaient pas au poste donc on a ensuite pris un homme.

donc si demain mon chef se fait toper sur linkdin sur une photo de l'équipe full h, je peux comprendre la plainte pour diffamation.

Concernant un objectif de parité h/f, je suis tout à fait d'accord : même si c'était l'objectif visé, ce serait totalement illusoire et inutile.
Le sujet est d'écarter des femmes et se contenter de la situation en niant l'intérêt de féminiser les équipes.
Concernant la supposée diffamation de la publication de la développeuse, il n'y a aucune volonté de nuire, juste une remarque factuelle comme dit précédemment. Si ton chef se prend une remarque désagréable, il pourrait réagir intelligemment comme le ferait une personne responsable qui se respecte.

Le 23/04/2024 à 12h 29

Si tu avais lu l'article, les excuses publiées par la développeuse exprime bien qu'il s'agissait de pointer un fait général d'hégémonie masculine latente et d'absence ordinaire de diversité.
Le status quo, qui a l'air de te convenir à toi, ne satisfait visiblement pas tout le monde.

Le 23/04/2024 à 11h 24

Je ne vois pas ce qui te permet d'affirmer que le fait qu'elle soit une femme importe ici, pourrais-tu étayer tes propos ?

Les femmes sont invisibilisée de l'espace public, du débat public par différents phénomènes sociaux. Notamment, ce qu'on appelle le mansplaining (expliquer comment les choses fonctionnent alors qu'on n'y connaît rien, à une femme qui s'y connait mieux) ou comme ici où un homme demande à une femme de se taire.
Cela-dit, bien sûr qu'il arrive que des hommes soient l'objet de tels comportements et bien sûr que des femmes ont leurs petits effets d'autorité, mais rien à voir avec l'autorité masculine et l'agressivité masculine plutôt favorablement admises socialement (alors que les femmes sont admises plus consensuelles, voire timides en public).

Le 22/04/2024 à 15h 31

Je me rends compte que sur les médias sociaux, mais aussi dans la vraie vie en présentiel, ceux et celles qui ne connaissent pas un sujet (et s'en fichent) parlent plus fort que ceux et celles qui ont de vraies remarques à faire. Pourtant, on est dans une époque où on parle sans cesse d'horizontalité, de participation, de données ouvertes, etc, mais pas le droit de critiquer négativement, la blessure d'égo est plus forte. En politique, c'est pareil (démocratie participative mais sans remise en cause du projet).

Portrait de Thierry Breton mis en perspective avec un meme par Guénaël Pépin

Le 24/04/2024 à 08h 33

je ne connaissais pas le terme “doomscrolling”.

Tant qu'à faire, je préfère le terme adopté par les Québécois : défilement morbide.

Moi c'est l'abréviation CEO (directeur/trice générale) et le mot hard pour parler de matériel qui m'agacent le plus, mots très usités dans le monde informatique.

Le 23/04/2024 à 18h 33

TokTok Lite, c'est comme le cash back ou les points fidélité dans le commerce. Dans le cadre d'une activité compulsive, c'est pire que rendre captif l'utilisateur, c'est comme si la FDJ permettait de cumuler des points à chaque ticket de jeu acheté régulièrement au risque de créer des troubles compulsifs.

Édit: je ne connaissais pas le terme “doomscrolling”.

Facebook

Le 21/04/2024 à 20h 31

La visibilité des statuts des « amis » est beaucoup plus importante que celle des publications des pages dans le fil d'actualité et un commentaire déposé sur une page est visible sur le fil d'actualité de ses « amis ». Pour augmenter le reach d'une page facebook, il suffit d'augmenter les interactions de ses abonnées (partager, liker, commenter) mais pour ça il faut souvent payer au départ. Les interactions entre « amis » servent surtout à Facebook pour générer de l'activité (collecte de données) et de l'audience (audience vendue aux annonceurs).

Le 19/04/2024 à 15h 25

Le Reach Facebook, c'est quoi ? – Marketing Système 2.0 sur LinkedIn (30/03/2022)

En gros, le reach est la visibilité d'une publication sur le fil d'actualité Facebook (ou Instagram). Et Meta est rémunéré pour ça (ciblage publicitaire, mise en avant de publications, etc).

Le 18/04/2024 à 20h 03

C'est un peu hors-sujet mais ça arrive conjointement avec ce « payer ou accepter » : depuis peu facebook réduit les fonctionnalités de son site mobile, l'application est nécessaire pour répondre aux stories et dernièrement un petit bandeau permanent s'affiche en bas de l'écran en cours de navigation sur mobile pour recommander l'application.

Le 21/04/2024 à 20h 21

« Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres, et à donner l’apparence de la solidité à ce qui n’est que vent. »
George Orwell

Le 19/04/2024 à 18h 51

Je voulais indiquer qu'à la vue de la masse importante de données qui transite sur les réseaux sociaux, peu importe les filtres qu'on peut mettre en place, il y aura a fortiori certains qui réussiront à passer entre les mailles du filet.

Meta n'est-il pas ainsi responsable de ce qu'il diffuse ?

Meta ne publie pas les contenus, ce sont les utilisateurs des réseaux sociaux qui décident de publier tel ou tel contenu.

Meta ne fournit que la plateforme.

En ce sens, Meta ne peut être tenu responsable des contenus publiés par autrui.

Mais Meta doit respecter les lois et notamment les notifications de suppression/blocage de contenus illicites (au sens de la loi) qui lui auront été signalés.

Si on considère que Meta, en temps que fournisseur de plateforme, est responsable de tous les contenus alors on peut également rendre responsable les fournisseurs d'internet responsables, mais également les hébergeurs de sites web ou encore les outils de publication comme Wordpress.

Et c'est clairement une porte à ne surtout pas ouvrir, si on veut conserver un minimum de liberté d'expression.
Dans le cas contraire, c'est un monde à la 1984 qui s'offrira à nous...

Juste une mise au point : s'il y a quelque chose qui ressemble aux thèmes du roman 1984, c'est la société Meta elle-même.

Le 19/04/2024 à 00h 02

Il y a deux sujets qui se chevauchent ici:

* Le problème du harcèlement en ligne, bien réel. Bien sûr rien ne justifie le harcèlement, les menaces etc.

* Le débat de société sur le rôle des "sensitivity readers", la nature des programmes DEI etc. Même parmi les mouvements dits progressistes aux US il y a eu des évolutions ces dernières années, le débat n'en est plus au niveau de 2019. Il faut savoir aussi garder la tête froide, faire la part des choses et ne pas se laisser emporter par les émotions. Malgré les outrances, le harcèlement, la polarisation politique etc. certaines critiques concernant le travail de Sweet Baby sont pertinentes. Le problème n'est pas d'insérer de la diversité mais la manière ouvertement outrageante dont c'est parfois fait, un peu comme les programmes DEI qui obligent tout le monde à déclarer qu'il est raciste, ce type de manière de faire est en perte de vitesse car évidemment ça empire la situation au maximum possible, ça divise les gens, et ça polarise tout le monde de manière entièrement contre-productive.

Un employé de Sweet Baby Inc. a réagi de manière discutable à une liste de boycott, ça a créé un effet Streisand, mais ça ne justifie évidemment pas le harcèlement dont lui et Sweet Baby ont été victimes par la suite.

Il ne faut pas confondre panique morale et préjudice moral. C'est parfois difficile à admettre, je l'avoue. Mais du sang froid et un pas de côté peuvent permettre d'en reprendre conscience.

Le 18/04/2024 à 23h 16

Comparer la situation d'une entreprise à celles des filles harcelées dans la rue, c'est ridicule et déplorable.

Mais allons-y franchement : vu qu'il apparaît clair que la polémique n'aurait pas existé sans cette action de ces deux employés, euh comment dire... oui, clairement. Car des listes de ce genre doivent sûrement exister pour d'autres raisons, et on n'en entend pas spécialement parler. C'est juste dommage pour tous les autres employés de l'entreprise si jamais elle doit fermer suite à cette histoire.

Sans compter qu'il s'agissait de lister les jeux considérés « génants » selon une grille idéologique spécifique à la base, bref rien de bien méchant en soi quand le groupe ne représentait pas grand monde. Certes j'imagine qu'ils devaient recevoir parfois des e-mails ou tweets discutables comme plus ou moins toutes les entreprises de nos jours, mais on est sûrement loin du cyber-harcelement qu'ils doivent subir MAINTENANT vu que la taille du groupe a été multiplié par 37X par leur propre fait.

En 2024, ignorer le risque de l'effet Streisand c'est tendre le bâton pour se faire battre.

Se défendre de comportements problématiques, c'est tendre le bâton pour se faire battre ? Créer une liste de jeux à cibler, c'est rien de bien méchant ?


« Le harcèlement est la répétition de propos et de comportements ayant pour but ou effet une dégradation des conditions de vie de la victime. Cela se traduit par des conséquences sur la santé physique ou mentale de la personne harcelée.

La loi punit toutes les formes de harcèlement, en tenant compte de la fréquence et la teneur des actes.

Il s'agit par exemple des actes suivants :

Actes ou propos vexatoires
Menaces
Propos injurieux ou obscènes
Appels téléphoniques, SMS ou courriers électroniques malveillants
Visites au domicile ou passages sur le lieu de travail »

service-public.fr

Le 18/04/2024 à 22h 53

Si c'est Sweet Baby Inc. qui aurait tenté de brigader pour bannir quelqu'un de Steam, ce n'est pas une question de respecter ou non les règles de Steam. Après tout, cette tactique ne fonctionne pas trop mal sur Youtube, alors pourquoi pas ailleurs ?

Cependant faisons ce qu'il dit et « usons de notre cerveau »... et de Google.

Si j'ai bien cherché (et je peux m'être fait avoir), il semblerait que ce n'est pas Sweet Baby Inc. mais un EMPLOYÉ de Sweet Baby Inc. qui a fait une tentative de doxxing du concepteur du groupe Steam jugé problématique, et apparement suivi par un autre peu après.

On notera sur ce 2ème lien qu'il n'y avait que 10.000 joueurs d'inscrits alors que le groupe avait un mois d'existence avant que les employés en question ne s'en plaignent.

Le résultat est un retour de flamme façon effet Streisand, et aujourd'hui c'est 375 K.

Surtout qu'au final quel était le problème ? Que des joueurs n'aiment pas leur implication dans certains jeux et fondent une liste des jeux à éviter ? La belle affaire, sans compter que s'ils étaient fiers de leur travail alors ils ne devraient pas être génés par 10.000 clampins.

Le résultat est qu'ils sont scrutés à la loupe, avec en bonus les projections que beaucoup ne manqueront pas de réaliser. Genre cette petite vidéo qui incite les développeurs souhaitant de leurs services à faire pression à leur boss pour l'obtenir : certains n'ont pas hésité à extrapoler et dire qu'il s'agit de menaces claires.

Bref... A ce stade je serai le CEO de Sweet Baby Inc., je procéderai au licenciement immédiat des deux employés qui ont causé ce désastre. Ceci d'autant que je ne suis pas certain de trouver des clients après cela, car les développeurs d'un jeu ne voudront pas prendre le risque de faire partie d'un Gamergate 2.0 même si la raison est peu claire.

Quand à se plaindre du cyberharcélement en 2024... Je veux dire qu'il faut être contre, mais à notre époque le cyberharcélement est limite concomitant avec les réseaux sociaux, et s'en plaindre quand en plus on tire en premier est assez étonnant à lire.

Quand au « jeu qui ne plaît, n'y joues pas », c'est plus compliqué que cela quand la passion s'en mêle. Un seul jeu raté peut tuer une licence entière même avec de grandes cuvées en son sein. Dès lors si une raison quelconque apparaît pour expliquer un échec (ici Sweet Baby Inc.) alors il y aura des joueurs qui n'hésiteront pas à la viser, peu importe le niveau réel de responsabilité.

Enfin bon... Je ne suis pas sûr qu'il y ait vraiment une volonté de formatage idéologique de la part de Sweet Baby Inc. (l'accusation principale), par contre il y a clairement un cas d'étude concret sur les stupidités à ne pas faire si on tient à son emploi.

Merci pour ce cas d'école d'inversion des rôles.
En réalité rien, absolument rien ne justifie la violence ou le harcèlement. Le harceleur ou la harceleuse est seul(e) totalement responsable de ses propres actes malsains.

Le 18/04/2024 à 19h 29

Les goûts et les couleurs… Visiblement, même dans les commentaires de Next, ça rend agressif quelques-uns alors qu'il s'agit de loisirs et de culture. Un peu de fair-play messieurs (les dames sont sûrement peu présentes dans les commentaires comme dans les stades de foot où on est obligé de bannir des clubs supporters pour des raisons semblables).

Le 18/04/2024 à 09h 24

Mélenchon qui n'est même pas élu, la liste LFi aux européennes qui fera au mieux 8 % des voix en juin prochain (source: sondages d'intentions de vote). Mais tu peux toujours indiquer des livres qui parlent des influences internationales qui profitent à LFI, ça m'intéresse vraiment perso.

Le 17/04/2024 à 12h 43

Il est à noter que l'accusation d'utiliser le « whataboutisme » peut devenir elle aussi une manière de ne pas répondre aux arguments, par exemple certaines comparaisons.


🙃

Vu le pavé que tu as écrit sur ce fil de commentaires, on comprend bien que tu aimes comparer et opposer tes propres valeurs aux autres. On dit aussi que « comparaison n'est pas raison », c'est-à-dire que raisonner exige d'étudier plus profondément un sujet que l'invalider par une mise en parallèle qui n'analyse rien et ne démontre rien.

Le 17/04/2024 à 12h 20

S'il fallait être exhaustif pour traiter d'un sujet, il n'y aurait plus rien à dire. L'objectivité ne dépend pas de l'exhaustivité ou d'une soit disant vérité absolue et même pas d'une pseudo neutralité (qu'on défend généralement en faisant confusion avec de la convivialité, du conformisme, de l'uniformité).

Des coches bleues à foison

Le 16/04/2024 à 14h 56

Sur X, si je comprends bien, il y a les nouveaux comptes avec peu de fonctionnalités et les comptes premium (ceux qui sont là depuis longtemps, qui ont une forte activité ou qui paient un abonnement). Ça ressemble un peu au fonctionnement de LinkedIn même si X est un peu confusionnant dans les objectifs de cette coche bleu (et d'autres éléments de X qui sont très discutables).

Des chercheurs en noir et blanc regardent une fiole sur laquelle est écrit "Perlimpimpin" en jaune.

Le 12/04/2024 à 22h 09

Julien Bobroff et Viviane Lalande, mes 2 références pour le néophyte que je suis.
J'ai aussi repéré la page Facebook « Épicurieux » avec (entre autres) Jamy Gourmand. À voir aussi sur Youtube, TikTok, ….

le logo d'instagram

Le 12/04/2024 à 16h 28

A Souchon a tout a fait raison : du vécu.
Meta ne propose que du virtuel instagrammable, du "live" déconnectable d'un clic. Instagram et TikTok sont régulièrement accusés de favoriser la dépression, le mal-être et parfois les idées suicidaires.

Le 12/04/2024 à 14h 03

Pas d'anti-spam pour ce genre de services de mise en relation. Je me souviens des messages anti-fakenews de Meta pendant la période Covid totalement inutiles.

Maintenant, je n'ai plus de compte instagram. Sur facebook les profils et les Reels sexuellement suggestifs complètement créés de toutes pièces inondent mon fil d'actus. Je ne consulte plus facebook sauf quelques minutes par semaine pour voir les interactions d'une partie de la famille et voir la page de la mairie.

Meta me fatigue et c'est pas demain la veille que j'achèterais un casque Quest.

Le 10/04/2024 à 19h 20

Ha bon je suis miso ??? Putain avec les 2 amis que j'ai...

D'une : il n'y a pas que des nanas qui sont victimes et / ou membres d'associations / fondations pour la défense des femmes ou d'aides aux victimes. C'était exclusif d'après toi ? hmmm... Ça biaise.

Ce serait des mecs qui feraient un truc du genre "ni macho ni proxos" que j'en penserai pareil. Ce sont toujours des concepts stigmatisant et exclusif. Parce qu'ils ne trouvent leur pseudo-légitimité que par l'opposition à X. Ça marche mieux. C'est nettement plus facile de convaincre. Et tout le monde tombe dans le panneau (aller... 9 fois sur 10).

2 / Bizarrement dans ces associations et/ou collectifs il n'y pas tant que ça de "psy" qui sont eux les professionnels APTE à aider les personnes victimes de ce genre de choses. Aussi bien garçon (et oui ça arrive aussi) que fille.

3 / L'efficacité de ce genre de mouv' ne se mesure que dans le temps et à l'inverse de la quantité de merchandising vendu. Bon, le dépôt légal c'est ??? hmmm pas très vieux à vrai dire.

---

Alors en fait tu ne dis pas le mot mais tu parle bien de féminisme. Alors on pourrait faire un gros débat la dessus mais il faudra parler politique et remonter aux années 60 (même si c'est bien plus vieux).

Pour faire simple c'est le même schéma antagoniste. Mais au delà de cela; quelque soit la cause il faut toujours se poser la question suivante : Qui ne s'en plaint pas et se frotte les mains dans un coin ?

Bonnes recherches ! Elles te seront utiles et source de révélations lumineuses.

Soleil sur toi (Mais trop sur le SIF quand même).


Tu n'as pas compris qu'il s'agit d'un enjeu sociétal et d'égalité de genres. Pour toi, c'est un problème psy : comprendre que tu ne te sens pas concerné. Tu pourrais quand même te sentir concerné en te questionnant sur les violences que subissent les femmes de ton entourage (mais elles pensent certainement comme toi). Cela-dit, tu as le droit de t'en balek. Obviously personne ne dit que les mecs ne subissent pas de violences.

Quant à ton opinion sur les engagements associatifs, on a bien compris que tu n'en avais aucun. Et si tu en as, je pense probable que c'est un centre d'intérêt que je n'ai pas (je ne vais pas pour autant dire que ton asso éventuelle qui reçoit peut-être des subventions de ta mairie n'a aucune efficacité sociale).

Ce commentaire ne te concerne pas exclusivement.

Le 09/04/2024 à 11h 32

Pour avoir un peu suivi l'édition 2022 du Zevent, je suis fasciné par ces « marathon caritatifs » où les égos se rassemblent pour collecter du pognon, de la maille, du flouze, des pépettes et battre des records de cumul de dons. C'est un peu Pékin Express qui rencontre le Téléthon, mais avec le gaming et le streaming politique (Jean Massiet, Samuel Étienne ont participé au Zevent, par exemple).

Le 09/04/2024 à 15h 14

Vu l'intérêt stratégique des « terres rares » pour l'industrie électronique et vu la faible concentration dans la nature de ces métaux (ce qui veut dire pollution des sols et gros besoin en eau pour leur extraction), c'est clair qu'avoir des filières de recyclages serait bénéfique.
Mais avant le recyclage, il y a le réemploi des objets électroniques et électriques (dont le reconditionnement, le rétrofit).
D'ailleurs, en parlant de recyclage des DEEE ou D3E (Déchets d'équipements électriques et électroniques), une vidéo YouTube à ce sujet et un lien Wikipedia sur Agbogbloshie (Ghana)

lexique IA parodie

Le 06/04/2024 à 18h 40

Cet article lexical me fait penser à un épisode de « La Science, CQFD » intitulé « Terminator : 40 ans, toujours pucé » (04/04/2024 – franceculture.fr) :

« Au panthéon des films cultes : Terminator. Le premier opus sorti en 1984 fête ses 40 ans. Pourquoi sa réflexion sur l’intelligence artificielle fait-elle encore écho aujourd’hui en 2024?
Si l’œuvre de James Cameron est si culte, c’est parce qu’elle porte à l’écran un grand nombre de fantasme et de paranoïa : l’apocalypse nucléaire, la fin de l’humanité, le voyage dans le temps et l’éveil d’une IA qui se retournerait contre ses créateurs. En six films, la franchise interroge aussi la limite entre l’humain et la machine, avec, au fil de la saga, un T-800 qui s’humanise au point d’être capable de sourire, de ne plus avoir de mission, et qui finit par boire des bières. »

Téléphone tenu par une personne avec une jauge de début affichée à l'écran

Le 06/04/2024 à 10h 11

À ce propos, il est possible de désactiver la 2G sur les terminaux Android récents. Utile pour éviter les systèmes de surveillance type « IMSI catchers » ou pour éviter l'empilement technologique si on se situe en zone de couverture 3G/4G.

Malheureusement, les autorités publiques n'ont pas l'idée d'interdire la vente de mobiles 2G neufs, vu que l'arrêt de ce réseau est en cours de mise en oeuvre par les 3 opérateurs en France.

structure de fils métalliques interconnectée

Le 02/04/2024 à 07h 04

Pour information, fdn est un FAI, le service VPN est en principe payant.
https://www.fdn.fr/services/vpn/

Le 28/03/2024 à 09h 42

bah justement je cherchais quels blocages en France, si blocage il y'a c'est probablement une loi à laquelle FDN devra aussi se confronter. En 4G / 5G peut-être ?

Par contre ydamiain a trouvé la raison majeure : les wifi publiques.

C'est clair qu'en Union européenne, il y a un encadrement de la "net neutrality" plutôt clairement défini. Ce n'est pas le cas dans d'autres régions du monde. Si on se place en France, on a pu aussi voir des cas de DNS menteurs (il y a longtemps) et des restrictions de streaming, par exemple.

NB: ce n'est pas les restrictions le problème, c'est l'exercice du pouvoir sur une population qui n'a rien demandé, l'abus de pouvoir.

Edit: la répression gouvernementale passe rarement par la loi ou par le refus de siéger à l'Onu, ce sont les pratiques qui permettent l'autoritarisme.

Le 28/03/2024 à 08h 10

Un vpn peut permettre de se protéger des pratiques de certains FAIs ou gouvernements pas très « propres » vis-à-vis de l'accès du public ou du consommateur aux services de communication électronique.

Le 29/03/2024 à 18h 04

Étonnante, l'injonction contradictoire de nos responsables politiques à vouloir la croissance économique, l'austérité de la dépense publique et une sobriété (ou une transition écologique) des usages des ressources.

La publicité par exemple : la consommation compulsive, les promotions commerciales (parfois défendues pour un meilleur pouvoir d'achat). On n'interdira jamais la publicité ciblée et la collecte de données personnelles.

Hier, j'ai vu une vidéo du service numérique de France inter dans laquelle une journaliste interviewait un prof d'histoire-géo qui vit sans smartphone, sans mobile, juste un ordinateur portable pour ses mails. Ce que ça impliquait en terme d'acceptation sociale est quand même fou. C'est comme moi, qui vit sans voiture.

France inter organisait une journée spéciale « Smartphone : tous accros ! Comment dompter nos écrans ? » le jeudi 28 mars 2024, hier.
https://www.facebook.com/100064360762529/posts/pfbid02FDYBTG8oa9PWHQWoEVv5HuavMYosb7mydM16un2F6P1GuHsntBNVcSSogwaXe6wHl/

Monstre de consommation numérique s'auto-alimentant

Le 28/03/2024 à 21h 38

Ce que l'ARCEP appelle « consommation instantanée », exprimée en Watts, j'ai toujours cru que ça se nommait « puissance ». La consommation électrique s'exprime en Wh (Wattheure).

Ensuite, je suppose que l'ARCEP utilise ce subterfuge lexical pour ne pas faire de tests de consommation électrique. Parce que entre la puissance d'un appareil et sa consommation dans le temps, il peut y avoir des variations (notamment entre la veille éventuelle et la période de fonctionnement). C'est important surtout si on doit comparer les consommations entre appareils.

Le 28/03/2024 à 14h 30

La présentation des offres dans les résultats du test d'éligibilité de free.fr a agréablement été améliorée : plus synthétique, plus d'infos en 1ère page de présentation des offres, et pour ma part l'offre Révolution Light a disparu (reste 3 offres avec 3 niveaux de prix mensuel).

des journaux

Le 26/03/2024 à 18h 45

representation onirique du pouvoir et de l'argent qui circule en ligne grâce aux outils numériques.

Le 25/03/2024 à 12h 12

Les Briefs parus en cours de journée apparaissent dans #LeBrief du jour suivant. Ça permet de ne pas rater l'info au petit déjeuner. ☕

Drapeau de l'Europe

Le 22/03/2024 à 22h 38

On parle des députés européens, pas nationaux.

Je fais juste une comparaison avec l'Assemblée nationale : c'est à un cheveux de ressembler au Parlement européen, même si la séparation des pouvoirs est respectée. Mais désolé de déborder du sujet de la décision de la CJUE.

Le 22/03/2024 à 10h 54

Au contraire, elle dit "c'est bien ""légal"", vous pouvez continuer, mais vous vous êtes planté dans le process d'adoption de la loi. Vous avez deux ans pour mettre ça au propre, sinon la loi tombera". C'est pragmatique.

Dans un système judiciaire ordinaire, un vice de forme provoque l'annulation de la décision. C'est un principe de protection des individus face à l'administration.
Ici, une juridiction d'un État-membre pose une question à la justice européenne, ce n'est pas un individu qui demande à la justice européenne de faire respecter ses droits (ce qui serait le cas devant la CEDH, qui est extérieure à l'UE, union d'États européens).

Le 22/03/2024 à 10h 47

Alors les membres de la Commissions sont nommés par les chefs d'état (élus) et confirmés par l'Assemblée Européenne (élus). Les membres du Conseil sont des chefs d'états (élus).
Ou est le déni de démocratie ?
Enfin pour le Parlement, il peut amender les textes proposés par la Commission, et il peut aussi en proposer, via les commissions composés de parlementaires.

Un législateur doit pouvoir avoir l'initiative de la loi, délibérer et voter la loi. Le Parlement européen n'est pas une assemblée législative. D'ailleurs, si le Parlement vote le budget, il n'est pas compétent en matière de fiscalité et dans d'autres domaines qui exigent parfois l'unanimité des États-membres au Conseil. Bref, il n'y a pas de constitution européenne, seulement des traités qui prévoient des procédures de coopération.

Le 22/03/2024 à 09h 49

à la douane et au poste de police, c'est peut-être plus efficace de contrôler les empreintes digitales que de mettre en garde à vue les gens le temps de tester leur ADN ? Pour le taux d'alcoolémie, je crois qu'on teste d'abord le taux dans l'air expiré et si c'est positif, on fait éventuellement un test sanguin.

Le 22/03/2024 à 09h 37

C'est démocratique : on élit des députés. Bon, ils n'ont même pas le droit de proposer eux-mêmes des textes, mais le citoyen est content, il a glissé son bulletin. Pour le reste, laissez faire les grandes personnes de la Commission et du Conseil européens :fumer:

En France, les députés de l'AN ont la capacité de proposer des lois mais si le gouvernement n'est pas d'accord, la proposition n'a aucune chance ou presque d'être adoptée. En France, l'initiative est au pouvoir exécutif. Heureusement que le gouvernement peut faire l'objet d'une motion de censure (sic).

des journaux

Le 22/03/2024 à 19h 58

R Saadé, futur propriétaire de Altice Média, l'un des plus grands groupes de TV-radio et d'information en continu en France.
D'ailleurs, Marsactu est un média local en ligne, comme Mediacités et Rue89.

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Le 22/03/2024 à 18h 46

En soit, cela n'est pas le problème. Les utilisateurs on quand meme pu choisir le telephone qu'il voulais. Ce n'es pas leur succès qui est reproché, mais leurs méthodes. Il y a aussi énormément de smartphone tournant sur Android aussi dans ces 2 pays.

C'est juste pour dire qu'en Europe, ce n'est pas le cas. Samsung et Xiaomi tiennent la rampe.

Le 22/03/2024 à 13h 26

Aux US et au Japon, l'iPhone règne en maitre.

femme recherchant un livre dans une bibliothèque

Le 21/03/2024 à 19h 22

De la même manière que next.ink propose un tarif « organisations » (pour les entreprises, les associations, etc), les bibliothèques achètent des livres et des périodiques sous conditions. Je parle pour la France, les US ont peut-être d'autres systèmes de financement (d'ailleurs, le copyright anglo-saxon est différent du droit d'auteur en France).
https://actualitte.com/article/115665/bibliotheque/une-bibliotheque-municipale-combien-ca-coute

Le 21/03/2024 à 19h 12

Je parle essentiellement des livres anciens dont l'auteur(e) est décédé ainsi que son conjoint (et n'a aucun enfant scolarisé) ce ne sont que des tirages type photocopie (ça pourrait être moins cher mais surtout les éditeurs pourraient en contrôler la qualité…
Pour les documents récents OK il est normal que la diffusion soit contrôlée et respecte le droit et que l'auteur soit correctement rémunéré et aussi la prise de risque de l'éditeur.
Bon cela dit, il y a des éditeurs malhonnêtes, à mon avis, qui pour l'édition électronique d'un roman (à 30€, papier) le découpe en deux parties (électroniques) à 17€ chacune alors qu'il n'y a plus de papier, plus de distribution, plus d’imprimeur… question : l'auteur dans ce cas reçoit-il des subsides supplémentaires en cas de vente de la version électronique ou le magot est uniquement pour la boite d'édition ?
Autre question : en moyenne combien de % sur les 30€ pour l'auteur ???

Tu veux dire que les éditeurs se font de la maille sur le dos des auteurs (ou des lecteurs) ? OK c'est noté.