#Replay : turpitudes des géants du Net, climat et mauvais films
Ambiance dégooglisation
Le 02 novembre 2018 à 17h00
5 min
Société numérique
Société
Ces derniers jours, le petit écran a retracé l'intrusion rapide des géants du Net dans notre quotidien, s'est inquiété du sort des travailleurs d'Amazon et a suivi une expédition en Arctique. Il a aussi ressorti des placards deux nanars des années 50, au charme intact.
Chaque semaine, nous vous proposons une sélection manuelle de ce qu'il ne fallait pas manquer dans vos programmes TV. Garantie sans sponsoring et autre tracking de vos habitudes, vous permettant de savoir ce qu'il y a d'intéressant à regarder en replay ce week-end (surtout s'il ne fait pas beau et que votre séance de VTT tombe à l'eau).
Nous utilisons ainsi seulement nos petits bras et éventuellement vos suggestions. Si vous repérez une émission qui mérite selon vous de paraître dans notre sélection, vous avez deux possibilités :
- Publiez un tweet en mentionnant @nextinpact avec le hashtag #Replay
- Contactez directement la rédaction en mentionnant #Replay dans votre message
Notez que la sélection se limite pour le moment aux replays de programmes TV, mais pourra s'étendre à d'autres médias. Nous avons pour le moment quelques idées et ferons sans doute des essais dans les semaines à venir. Mais n'hésitez pas à nous proposer vos suggestions, cette chronique évoluant pour vous et avec vous, à ciel ouvert ;)
Pommes, Frankenstein et mode du futur
Cette semaine, Consomag de France 2 vous explique pourquoi sécuriser vos objets connectés (jusqu'au 7 novembre), vous donne les rudiments de la gestion des mots de passe (jusqu'au 8 novembre) et donne quelques pistes pour échapper aux escroqueries sur Internet (jusqu'au 9 novembre).
Sur France, le Doc du dimanche s'inquiète du sort des pommes. Selon le documentaire, les fruits commercialisés sont de plus en plus standardisés et les variétés mises en vente s'appauvrissent. De quoi mobiliser des passionnés, qui tentent de faire vivre cette diversité.
Arte s'intéresse au sort de Sue, un fossile de tyrannosaure au centre d'une longue bataille judiciaire pour déterminer son propriétaire. La chaine propose de se replonger dans l'histoire de Frankenstein, avec une rétrospective sur sa conception (en ligne jusqu'au 29 décembre), avant la diffusion du film Frankenstein junior le 16 novembre.
Xenius d'Arte propose « Canada : les baleines du Saint-Laurent en péril » (jusqu'au 27 janvier). Arte Découverte diffuse sur YouTube son documentaire « Lions, l'apprentissage de la vie », disponible jusqu'au 8 novembre. RMC part à la découverte des secrets de la ligne Maginot (jusqu'à ce soir), alors que Le Dessous des cartes explore « le cyber, nouvel espace géopolitique » (jusqu'au 25 décembre). Enfin, la série Rêver le futur de France 5 se penche sur l'avenir (prédit) de la mode, jusqu'au 6 novembre.
Regard critique sur les géants du Net (jusqu'au 8 novembre)
France 2 enchaine deux enquêtes sur les Gafa (Google, Amazon, Facebook et Apple). D'un côté, « Google, Apple, Facebook, les nouveaux maitres du monde » revient sur la conception et la montée de ces grands groupes numériques, leur rôle dans le façonnement de nos usages et leur responsabilité dans la surveillance. Malgré la mise en scène grandiloquente, il apporte peu de nouveautés sur le sujet, se concentrant sur la vulgarisation de faits connus.
« Faut-il avoir peur d'Amazon ? » explore (une nouvelle fois) le versant caché du modèle du cybermarchand, en premier lieu l'exploitation des employés dans les entrepôts et les cadences qui leur sont imposées. L'émission s'intéresse aussi aux 10 000 vendeurs tiers référencés sur la version française d'Amazon, et le traitement de certains d'entre eux par la plateforme.
- Regarder Google, Apple, Facebook, les nouveaux maitres du monde
- Regarder Faut-il avoir peur d'Amazon ?
En quête du dernier millénaire de l'Arctique (jusqu'au 25 novembre)
Dans ce documentaire, Arte suit une expédition dans le continent de glace, destinée à prélever des algues au fond de la glace. Ils comptent étudier le dernier millénaire et obtenir un nouveau point de vue sur l'évolution du climat. Ils emprutent un voilier spécialisé dans ces voyages, pour naviguer dans ces eaux.
L'émission s'attarde principalement sur le voyage en lui-même et les outils conçus pour récupérer les précieux échantillons... ainsi que les aléas de ces travaux.
Nanars robotiques en série (jusqu'au 4 janvier)
Loin des documentaires plus ou moins anxiogènes, Arte a mis en ligne deux films des années 50, qu'elle présente comme certains des plus mauvais de l'époque. D'un côté, Robot Monster raconte l'histoire des derniers survivants terriens face aux terribles robots Ro-Max, qui ont exterminé les humains avec un rayon cosmique.
La Momie aztèque contre le robot est un des représentants de la trilogie mexicaine de la momie aztèque, relève Arte. Ici, un docteur tente d'obtenir le bracelet attaché au monstre, qui ne se laisse pas faire. Entretemps, un créateur fou conçoit un robot tueur, qu'il s'agira d'arrêter.
#Replay : turpitudes des géants du Net, climat et mauvais films
-
Pommes, Frankenstein et mode du futur
-
Regard critique sur les géants du Net (jusqu'au 8 novembre)
-
En quête du dernier millénaire de l'Arctique (jusqu'au 25 novembre)
-
Nanars robotiques en série (jusqu'au 4 janvier)
Commentaires (44)
Vous devez être abonné pour pouvoir commenter.
Déjà abonné ? Se connecter
Abonnez-vousLe 04/11/2018 à 12h06
Jocker à moi aussi pour l’ensemble de votre oeuvre sur ce fil de commentaires.
Le 04/11/2018 à 12h43
Le 04/11/2018 à 13h29
Le plus simple est que tu expérimentes par toi-même : rejette entièrement ce méchant capitalisme et cet argent honni qui te cause tous ces pustules. Revient à la Nature, ne fais plus tes courses ni en grande surface, ni chez le marchand du coin (un bourgeois encore plus fourbe que tous les autres), n’achète plus de biens et services de tous ces capitalistes qui t’irrite. Plante tes légumes (tu te débrouilles pour trouver les graines hein ?), élève tes vaches (il doit bien en rester quelques unes à l’état sauvage, non ?) et fais tes propres sandwiches 1 et soupes (tu fabriques bien sûr ton propre matériel pour être cohérent avec toi-même, cela va de soi).
Commence d’abord par débrancher et jeter cet ordinateur, suppôt du capitalisme US.
Et revient nous voir dans 6 mois. Si tu n’es pas mort avant bien sûr.
[1]http://www.slate.fr/story/107003/faire-sandwich-soi-meme-six-mois
Le 04/11/2018 à 13h32
Le 04/11/2018 à 14h44
Le 04/11/2018 à 14h45
Il y a surtout trop d’artisans qui ne servent à rien ou qui font un travail bâclé, en France.
Le 04/11/2018 à 14h48
Trop de collectivités territoriales en France, c’est clair : Régions/départements, départements/agglo-métropoles, agglo-métro/communes, il va falloir choisir un jour.
Le 04/11/2018 à 16h09
Ben il y a au moins un snowden aux US, en France on en cherche encore, la France est un pays de collabos…
Le 04/11/2018 à 16h15
Toujours la même rengaine ridicule, alors parce que les infirmières font partie de la fonction publique tout les fonctionnaires sont indispensable. Il y a au moins millions de fonctionnaires inutile en France. Plus qu’inutile ils sont nuisible de par leur consommations énorme de ressources et de par leur actions délétères sur la société at travers de multiples vexations, pertes de temps et réglementations stupides. Il est urgent de les envoyer vraiment gagner leur vie utilement.
Le 04/11/2018 à 16h18
Grotesque et démontrant l’épuisement de tes arguments. Si tu avais lu le commentaire avec les yeux en face des trous, tu aurais perçu que ce n’est pas mon propos. Mais bon pourquoi t’en demander tant ?
Pire que tout… une référence Slate… Franchement t’es parti te faxer au fin fond du classement avec ce genre de références. Je ne suis pas très exigent sur le sérieux mais bon sang… Slate… faut arrêter. C’est le point GodWin de la fumisterie.
… pour toujours et à jamais.
Le 04/11/2018 à 16h26
De france voulais je dire " />
Le 04/11/2018 à 16h29
Le 04/11/2018 à 16h36
« plus puissantes que les états »
j’aime bien l’exagération des gauchistes qui dès qu’une société semble ne pas être totalement à la merci du politbureau étatique devient une menace pour le système. j’attends encore de voir des sociétés privées envoyer des commandos armée pour récupérer leur pognon ou refuser manu militari de payer leurs impôts ou allez bombarder les pays qui refusent leur implantation. Ces allégations ridicules ne marqueront jamais le fait que nos états en sont que des tyrannies déguisés dont le fonctionnement est tellement proche du système mafieux qu’il est impossible de les distinguer. Google, apple, microsoft, amazon ont infiniment plus de légitimité que n’importe quel gouvernement même élu, ces société n’existe que parce qu’elle ont proposé des produits et des services que des gens ont librement acheté contrairement aux gouvernement qui imposent leur décisions à des millions d’individus sous couverts de “démocratie”.
Le 04/11/2018 à 16h46
La “gestapo étatique” comme tu l’appelles est en réalité en grande
partie due à une très forte puissance des sociétés privées qui défendent
leur bout de gras souvent avec des moyens politiques très puissants.
D’ailleurs l’UE ce n’est que ça : des sociétés et des politiques.
C’est typiquement un dérive d’état omnipotent et omniprésent : la corruption.
Si les états n’avaient que très peu de pouvoir économique et se contentait d’assurer le bon fonctionnement de la justice la connivence avec les grande société ne pourrait pas exister.
Le 04/11/2018 à 17h03
Et si on commençait par les comités Théodule qui a eux seul dépenses 50 millards d’euros par an? et les ministères? la France est un des rares pays au monde soit disant démocratique ayant un ministères de la culture (on pourrait aussi l’appeler le ministère des danseuses, des copains ou de la propagande). la SNCF devrait être cassée en morceau et privatisé par ligne, idem pour les aéroports, EDF, la caisse des dépôts (qu’on pourrait aussi appeler le porte monnaie des copains). La liste est longue comme le bras de privilégier qui se gaves en emmerdant le monde.
Le 04/11/2018 à 17h05
En fait le fond de l’histoire à mes yeux, c’est plutôt la mauvaise gestion de l’argent public (les budgets sur/sous évalués, le gaspillage pour maintenir des dotations, les subventions accordées sans réel contrôle, etc) et que la centralisation du pouvoir et des instances décisionnaires est encore trop forte pour avoir une gestion locale des collectivités suffisamment représentative.
Le 03/11/2018 à 00h51
Un pays qui n’a pas été capable d’encourager ou de créer le moindre géant Internet dans son pays ne devrait pas avoir le droit de critiquer les GAFA. La France donc. Critiquer les autres c’est facile, inover, créer quelque chose dans son pays, ça demande en revanche de se sortir les doigts, c’est certes plus compliqué que d’augmenter les taxes d’essence pour payer toujours plus de fonctionnaires inutiles.
Le 03/11/2018 à 02h02
Edward Snowden est citoyen des Etats-unis d’Amérique. Il a parfaitement le droit de critiquer le comportement délétère et délateur des GAFA qui menace la démocratie dans son propre pays.
Le 03/11/2018 à 06h54
Le 03/11/2018 à 08h42
Le 03/11/2018 à 09h31
« aussi fortes que les états » : au niveau financier (comme si il n’y avait que l’argent dans la vie), la mesure de leur profit signifie que leur contribution à la société est positive. On ne peut pas en dire autant de l’État dont la seule contribution est de voter toujours plus de taxes/impôts contre les travailleurs pour des motifs de redistribution électoraliste parasite tout en cumulant des dettes immenses.
« plus puissantes que les états » : il faut bien un contre-poids aux Gestapo étatiques. La vie d’un client est certainement plus élevée que la vie d’un simple citoyen. Si l’État passait son temps à appliquer la Loi plutôt que de pondre de la législation punitive à la tonne, on aurait confiance. Mais plus maintenant.
« création d’entreprises monopolistiques » : les seuls qui peuvent se permette d’imposer des monopoles sont les États eux-mêmes. En pratique dans un système économique normal (= sans intervention étatique) un monopole (s’il en a existé un seul je cherche encore) n’est pas durable. En fait on peut même soutenir que la recherche d’un monopole est le seul objectif digne d’intérêt de tout chef d’entreprise (même si l’objectif est en pratique, je le répète, ~inatteignable).
La Suisse a certes un système intéressant dont on devrait s’inspirer (on peut rêver), mais a aussi des géants mondiaux dans nombre d’autres secteurs économiques qui n’existent pas en France.
Le « capital risque » : est un type d’investissement privé comme un autre et les startups un système qui a toujours existé. Difficile de produire quoi que ce soit sans risquer du capital.
Le 03/11/2018 à 10h04
Le 03/11/2018 à 21h40
Comme quoi tenter de fabriquer des hydrocéphales depuis trente ans a fini par payer.
Le plus drôle étant qu’il y a un tas de Français expat’ qui bosse plus ou moins directement pour ces grosses boites… Amusant.
Le 03/11/2018 à 23h23
En réalité tous les marchés hyper-innovants font souvent plusieurs années en monopole : la technologie Oled par exemple est uniquement produite chez LG.
Mais cette histoire de monopole on s’en fiche un peu en fait sur des marchés spécialisés. Non le problème c’est que les grosses sociétés n’ont rien de petites sociétés de niche : Bayer/Monsanto, Kraft, Unilever, ou Bell sont très puissantes par exemple, elles ont un impact sur de nombreux marchés et ont montré qu’elles avaient à cœur de violemment arnaquer leur client en usant d’arguments faux pour soutenir un marché qui leur serait favorable et souvent contraire aux volontés clientes, ce qui est un non-sens absolu d’un point de vue libéral et capitaliste.
La “gestapo étatique” comme tu l’appelles est en réalité en grande partie due à une très forte puissance des sociétés privées qui défendent leur bout de gras souvent avec des moyens politiques très puissants. D’ailleurs l’UE ce n’est que ça : des sociétés et des politiques.
Dans les marchés de concurrence pure et parfaite les grosses boites n’existent pas et l’État peut jouer son rôle de régulateur en augmentant de façon régulière les standards qualité permettant de créer de l’innovation et des cercles vertueux amenant la croissance. D’ailleurs la France a longtemps regorgé de sociétés puissantes à des niveaux locaux mais assez peu au niveaux nationaux d’où une législation qui a longtemps fait la part belle à une conservation de la qualité -malheureusement souvent au mépris de la santé des employés-.
Cela étant il y a un monde entre posséder les plus grandes sociétés informatiques du monde comme les USA et perdre tous ses cerveaux et tuer la totalité de ses initiatives à cause d’une législation inadaptée comme en France, mais cet état il ne faut pas aller le chercher bien loin puisque ce sont les grosses sociétés en place qui ont montré leur structure et bloquent les modifications.
En fait c’est triste, ce qui se passe en France actuellement sur les nouvelles technos c’est ce qui est arrivé à Kodak au début des années 2000, sauf que là c’est pas un suicide, c’est carrément l’UE et la France qui s’y mettent ensemble pour maintenir un système en retard et qui touche tout le système de l’information.
Sinon des Netflix on en aurait plusieurs rien qu’en France. J’ai vu moi-même disparaitre des Netflix potentiels à cause de la législation.
Bon après… des sociétés en informatique on en créé hein ! mais bon soit elles coulent soit elles se font racheter par Rakuten group et sont plus ou moins liquidées dans la foulée alors bon…
Le 04/11/2018 à 00h12
1/ Le 1er exemple n’est pas un monopole puisque d’autres type d’écrans similaires qui remplissent précisément les mêmes fonctions existent aussi.
2/ La « logique » d’une société qui voudrait tromper ceux qui font sa réussite financière, qui voudrait volontairement saboter son image de marque et volontairement ruiner son futur commercial en arnaquant ses clients n’a pas très persuasive. Peut-être devrais-tu acheter quelques actions de n’importe quelle entreprise et assister à une AG pour voir comment une grande entreprise prend des décisions.
3/ La solution est toute trouvée : supprime le politique. Le marché s’occupera du reste.
4/ Le seule rôle, au pire, que l’État pourrait jouer serait de maintenir les règles du jeu. Full stop. Tout autre intervention est illégitime avec un seul résultat attendu, le chaos et la misère à plus ou moins brève échéance.
Le marché s’autorégule comme un grand, il n’a pas besoin de guide qui n’a aucune information pour réguler. (En passant, la « concurrence pure et parfaite » n’existe pas, c’est une idéalisation économique abandonnée depuis longtemps.)
5/ Les institutions et la culture expliquent ce constat : aux USA on respecte l’économie (l’entreprise et l’argent pour faire court). En France quand tu parles d’économie capitaliste (une redondance, je sais bien, mais certains pensent toujours erronément qu’il existe d’autres types d’économie) tu es accusé de conspirer socialement.
6/ Ce ne sont pas la « France » ou « l’Europe » : ce sont les politiciens français et européens élus par les français et européens : gens cons => élus cons => lois débiles => résultats catastrophiques. Chercher à s’exonérer est hypocrite.
Rien à voir pour Kodak : c’est de la destruction créatrice (cf Schumpeter), une opération caractéristique et nécessaire du capitalisme (en gros ce qui ne fonctionne pas/plus est éliminé). Les problèmes en France sont mentionnés en 5/.
7/ Voir aussi l’exemple de Dailymotion que le politique a tout simplement ruiné. Et qui produit de la législation au km comme de la saucisse industrielle sinon le politique ?
8/ Il nous reste quelques rares secteurs pas encore atteints par le cancer étatique (jeu vidéo par ex.).
Le 04/11/2018 à 09h19
Le 04/11/2018 à 09h29
Comme indiqué la triche (*) concerne les tests, pas les clients.
(*) On pourrait arguer que ces tests administratifs étant hors des réalités économiques, la firme s’est contentée de rester les pied sur terre en contournant sagement le problème.
Le 04/11/2018 à 09h41
Le 04/11/2018 à 10h11
Le 04/11/2018 à 10h18
Les tests ne sont pas définis par les clients, mais par des organismes dépendant financièrement des normes qu’ils établissent selon des critères discutables (euphémisme) qui dérivent de politiques non moins discutables (c’est peu dire) basées sur la pseudo science (toxicologique et climatoescrolologique entre autres) et imposées par la technostructure FR ou UE pour des motifs fantaisistes.
Tu sais, ces mêmes décideurs qui ont favorisé le diesel pendant des décennies pour retourner jaquette dernièrement en augmentant les taxes sous couvert de lutte contre la pollution qu’ils ont eux-mêmes favorisée.
Où participe le client ici à part payer les surcoûts normatifs et administratifs, les erreurs politiques et les taxes fiscales ? Le client est l’oublié de toute cette chaîne qui s’en fiche pour la bonne raison que ce n’est pas elle qui va payer la facture finale : c’est le client.
L’industriel ne fait qu’adapter sa réponse économique aux contraintes inutiles et injustifiées qu’on lui impose.
D’où il s’en suit que la diminution des coûts est un bénéfice pour le client.
Le 04/11/2018 à 10h50
Le marché ne peut pas se réguler tout seul quand le marché n’existe pas ou est surréglementé à la courte laisse politique comme l’est la finance et l’immobilier (aux USA comme ailleurs). Je n’ai aucune envie de refaire une nième explication sur les racines et les causes politiques de la crise de 2008 [1].
Ce n’est pas le gouvernement australien qui exploitent les mines, mais les capitalistes australiens… Et si l’Australie a peu de dettes, c’est surtout que l’Australie est un pays plus économiquement libre 2 et mieux gouverné, c’est à dire plus capitaliste que les autres comme la France 2 qui sont perclus de dettes [3]…
La richesse (maison et alimentation comprises) ne tombe pas du ciel, il faut la créer à partir d’un capital existant pour qu’elle se distribue, ce qui se fait naturellement [4]. Le marché sert à cela : échanger une valeur contre une autre, créant de la richesse au passage. Et l’économie étudie ce phénomène : tu ferais bien de prendre quelques leçons.
Le reste ressemble à une tirade collectiviste des années 60, donc joker.
[1]https://www.nber.org/papers/w18609
[2]https://www.heritage.org/index/
[3]http://datawrapper.dwcdn.net/3wtDl/1/
[4]https://www.nber.org/papers/w10433.pdf
Le 04/11/2018 à 10h58
Raisonnement absurde.
Le 04/11/2018 à 17h17
Des tests imposés pour des raisons purement politiques sont comme les lois qui vont à l’encontre de la liberté : illégitimes. l’état n’a pas a se mêler des décisions des entreprises et des choix des clients, si il y a abus c’est à la justice d’intervenir.
les états se prennent pour le papa et la maman de la population et décide de ce tout le monde doit faire ou pas comme dans une bonne vieille dictature, qu’ils tombent les masque et cesse de joué au plus con en faisant semblant de croire que les élections servent à quelques chose. Soit les gens sont apte à faire leurs propre choix et a en assumer les conséquences et donc les états n’ont pas à intervenir dans les dits choix soit les individus sont irresponsables et les faire voter est ridicule et le leur régime viable est la tyrannies. Le problème avec la tyrannies c’est que ceux qui diriges deviennent responsables des problèmes qu’ils génèrent et éventuellement peuvent subir les conséquences. En démocratie nos dirigeants se réfugies derrière la volonté du peuple pour masquer leur errement et échapper à toutes leur responsabilités. La démocratie représentative est l’ultime avatar de la tyrannie, de loin le plus vicieux…
Le 04/11/2018 à 17h23
qu’ils s’occupent de leur cul!! les clients obtiendront toutes les infos utiles à leur achat par eux même. A force de leur tenir la main même les adultes ont finit par devenir des enfants esclaves de l’état, incapable de prendre aucunes décisions par eux même, c’est totalement gerbant.
Cette dictature technocratique entend régenter chaque millimètre carré de notre existence et faire de nous de parfait petit esclave volontaire soigneusement abêti et émasculé qu’on mène à la baguette dans les riante prairies certifié ISO, éco compatible et équitablement médiocre.
Le 04/11/2018 à 17h33
Je l’ai lu et je l’ai trouvé affligeant de factoïdes fumoïdes collectivistes qui font immanquablement penser au livre de Druon « La France aux ordres d’un cadavre ». Pour ne pas perdre un précieux temps, je t’ai répondu de mettre en pratique tes théories momifiées avec pour illustration un lien dont c’est la vidéo qu’il fallait voir " />
Le 04/11/2018 à 17h41
Quelle belle tartine de poncifs politiquement correct à la Française…
1/ les USA ne sont pas plus endetté que les Français et si regarde leur track record on peut globalement dire qu’ils ont beaucoup plus de chance de rembourser leur dette que la France
2/ TOUTES les crises économiques d’ampleur ont TOUJOURS pour origine l’intervention des états et 2008 ne fait pas exception. Mais bien sur JAMAIS aucun dirigeant, ni aucun gouvernement n’avouera avoir fait de conneries non c’est toujours la faute de ce con de peuple, des vilains capitalistes, du méchant marché libre (qui n’existe pas puisque ultra réglementé) et la solution c’est TOUJOURS plus de régulation car cette fois ci promis jugé les problèmes seront définitivement réglé , on gère. fermé le banc, fermé vos gueule et laissez nous continuer à faire joujou avec les trucs qu’on fait semblant de comprendre.
Le 04/11/2018 à 17h58
“Visiblement les faits me donnent raison. ”
Ben non la finance est le secteur le plus régulé au monde dans tout les pays. les banques, dans la pratique ne sont que des extension de l’état, des genres de percepteurs privés. On peut véritablement parler de consanguinité tellement le milieu politique et financier est perméable.
le secteurs bancaires ressemble trait pour trait à une industrie d’état de l’ère soviétique avec ses apparatchiks
Quand à l’argent sale parlons en. l’argent le plus sale c’est celui qui est obtenu par les état en rackettant leur peuple. c’est argent là oui il est vraiment sale. ne parlons même pas de l’argent obtenu par l’état de par la vente des cigarettes qui ravale pablo escobar à l’état de petit minable, des armes (les états sont de loin les plus gros trafficants d’armes), sur le carburant (les états se sucre sur le dos de la planète ppur ceux qui croit à ces contes pour les enfants)
Le 04/11/2018 à 18h03
Le 04/11/2018 à 18h10
Le 04/11/2018 à 19h17
Le 04/11/2018 à 19h22
Le 04/11/2018 à 19h31
Le 04/11/2018 à 20h46
Le 04/11/2018 à 23h54