Bilan Q1 et Odyssée 2024 de Free : des annonces, mais pas (encore) de nouveautés
Mais quand reverrai-je ?
Le 07 mai 2019 à 08h14
7 min
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Au premier trimestre, les revenus d'Iliad augmentent doucement, tandis que le nombre d'abonnés est encore en baisse. Après avoir chamboulé ses offres en juin, le groupe trace les grandes lignes de ses ambitions... d'ici 2024.
Iliad vient de dévoiler son bilan pour le premier trimestre. Le fournisseur d'accès se vante d'un « chiffre d’affaires Groupe en hausse de 7,7 % » et d'un « retour de la croissance en France avec notamment une très bonne performance du Mobile ». Mais derrière ces annonces se cachent des baisses du nombre d'abonnés sur le fixe et le mobile.
La tendance à la hausse est donc surtout renforcée par l'intégration de Jaguar Network et des revenus en Italie. Afin de renforcer son bilan et disposer d'une rentrée d'argent frais, Iliad annonce être en discussions exclusives pour la vente de ses filiales Iliad TowerCo (infrastructures passives) à Cellnex, pour un total de 2 milliards d'euros.
Le groupe en profite pour dévoiler son plan Odyssée 2024, des grandes lignes et des objectifs, sans détails pour le moment.
Italie, Jaguar et équipements fixes « sauvent » le bilan
Les revenus d'Iliad sont de 1,293 milliard d'euros sur les trois premiers mois de l'année, contre 1,201 milliard au premier trimestre 2018. Ils sont donc en hausse de 92 millions d'euros, dont 81 millions proviennent du développement en Italie. Un bon score pour le groupe, mais pas pour sa branche française.
En effet, dans l'Hexagone la hausse est de 12 millions d'euros, dont 10 millions pour Jaguar Network récemment racheté. À périmètre constant, la hausse des revenus en France est donc plus modeste : 2 millions d'euros (+ 0,2 %).
Dans le détail, les services sont en baisse de 0,4 % – et même 1,3 % hors Jaguar Network – plombés par le fixe qui chute de 2,7 % en passant de 672 millions d'euros à 654 millions. Par contre, sur le mobile, le chiffre d'affaires facturé aux abonnés augmente de 5,2 % à 487 millions d'euros permettant de limiter la casse.
Les équipements (fixes et mobiles) rapportent 30 % de plus à Iliad, pour un montant de 73 millions d'euros. Ce dernier point est largement boosté par la vente du Player de la Freebox Delta. Iliad explique que « la baisse du chiffre d’affaires équipements sur le Mobile se poursuit, en raison d’une politique plus stricte sur les offres de location mise en place en 2018 ».
66 000 clients de moins en trois mois
Sur le mobile, Iliad perd 50 000 clients en trois mois, contre 16 000 sur le fixe. Plusieurs bonnes nouvelles tout de même. Tout d'abord, l'ARPU (revenu moyen par abonné) de la Freebox grimpe de 70 centimes pour arriver à 32,5 euros, certainement grâce aux nouvelles Freebox Delta et One, plus chères.
Sur le fixe, le FTTH progresse de 150 000 abonnés en l'espace de trois mois et dépasse le million de clients. Sur le mobile ensuite, le nombre de forfaits Free illimités augmente de 75 000 pour arriver à 7,858 millions. Enfin, 3,309 millions de clients étaient recensés en Italie au 31 mars 2019, soit 472 000 de plus en trois mois.
Voici les principaux chiffres à retenir :
- Free Mobile : 13,391 millions abonnés (- 50 000 en trois mois)
- Dont 7,858 millions (+ 75 000 en trois mois) au forfait illimité
- Freebox : 6,411 millions abonnés (- 16 000 en trois mois)
- Dont 1,133 millions en fibre (+ 150 000 en trois mois)
Cellnex va racheter 70 % d'Iliad TowerCo
En marge de ses résultats, Iliad annonce un partenariat « industriel stratégique » avec Cellnex autour d'Iliad TowerCo. La société est ainsi « entrée en négociations exclusives pour la cession de 70 % de la société gérant ses infrastructures passives de télécommunications mobiles et comprenant 5 700 sites ». Une opération déjà réalisée par Altice/SFR.
Le but est évidemment de disposer d'une rentrée d'argent, qui sera majoritairement utilisée pour « renforcer la structure du bilan du Groupe ». Parmi les pistes mises en avant par Iliad : « renforcer la capacité d’investissement du Groupe qui entre dans un nouveau cycle de croissance et d’innovation » et « conforter la solidité financière d’Iliad en réduisant le levier d’endettement d’environ 1x l’EBITDA ». Il faut dire que les enchères pour la 5G arrivent à grands pas.
« L’opération envisagée valorise Iliad TowerCo à une valeur d’entreprise de 2 milliards d’euros », affirme Iliad. De son côté, « Iliad TowerCo sera à même d’offrir des services à l’ensemble des opérateurs ». La transaction devrait être finalisée durant le quatrième trimestre 2019. Une autre opération du même genre est lancée en Italie, avec Iliad Italia TowerCo. Cette fois-ci, le groupe a conclu un accord avec Cellnex pour céder 100 % de sa filiale, qui serait ainsi valorisée 600 millions d'euros.
Au total, Iliad espère ainsi récupérer 2 milliards d'euros (1,4 milliard en France, 600 millions en Italie).
Après la traversée du désert en 2018, l'Odyssée jusqu'en 2024
La société de Xavier Niel profite de la publication de ses résultats pour dévoiler sa feuille de route pour les cinq prochaines années. Une annonce attendue, qui arrive avec trois semaines de retard sur le calendrier initial. Iliad commence par une autocritique : « 2018 a été une année difficile pour le Groupe, marquée par de mauvaises performances commerciales, un manque d’anticipation et des retards d’adaptation ».
Les nouvelles offres lancées en juin dernier (lire notre analyse) « commencent à porter leurs fruits comme en témoignent les résultats du 1er trimestre et permettent au Groupe de présenter aujourd’hui son plan Odyssée 2024 ». Ce dernier repose sur « un renforcement de la présence du Groupe sur le marché de la Fibre, une montée en puissance sur les réseaux 4G et 5G, un développement sur le marché des entreprises en France et une forte croissance des activités en Italie ».
Des paroles, sans les actes
Iliad vise ainsi « 30 millions de prises raccordables en 2024 – avec une présence sur l’intégralité du territoire et notamment tous les RIP où la part de marché est aujourd’hui faible »... il faut donc s'attendre à de multiples annonces sur le sujet, Iliad étant le roi de la découpe. Pour rappel, Orange a également annoncé son arrivée sur l'ensemble des RIP.
Le cas de la Freebox Delta n'est pas détaillé, alors que de nombreuses nouveautés étaient attendues pour le début d'année, sans évolution concrète pour le moment. Pas un mot non plus sur la complexité de l'offre fixe et son éventuelle refonte.
Sur le mobile, « l’ambition est de conquérir la place de 1er opérateur alternatif sur le très haut débit mobile 4G et 5G ». Le groupe veut construire 2 000 nouveaux sites en moyennes par an, tout en continuant à « favoriser la montée en gamme de nos abonnés vers l’offre data 4G puis 5G ». D'ici 2024, Free Mobile veut ainsi 80 % d'abonnés sur son forfait haut de gamme, contre seulement 58 % actuellement.
Toujours sur le mobile, Iliad veut « adresser de manière ambitieuse l’actuel marché dit du "subventionnement" qui aura été ouvert à une nouvelle concurrence ». Pour rappel, et après plusieurs années de batailles judiciaires, Free a récemment gagné en appel contre SFR sur cette question. Par contre, pas un mot sur la manière dont Free Mobile compte justement adresser ce marché.
Sur le B2B, Iliad veut « créer un nouvel opérateur d’envergure nationale », notamment poussé par le rachat de Jaguar Network. Le groupe espère représenter 4 à 5% de part du marché entreprise à l'horizon 2024, pour 400 à 500 millions d’euros de chiffre d’affaires. Il va donc entrer en concurrence directe avec Bouygues Telecom, qui rachète aussi des sociétés pour se renforcer sur ce segment.
Fort de son succès au lancement en Italie, Iliad affirme enfin son intention de devenir un acteur de référence « à la fois dans le fixe et dans le mobile ». Si les forfaits de téléphonie sont connus, ce n'est pas le cas des abonnements sur le fixe pour l'instant ; aucune date n'est même évoquée.
Bref, plein de promesses dont on attend maintenant de voir comment elles vont se concrétiser.
Bilan Q1 et Odyssée 2024 de Free : des annonces, mais pas (encore) de nouveautés
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Italie, Jaguar et équipements fixes « sauvent » le bilan
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66 000 clients de moins en trois mois
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Cellnex va racheter 70 % d'Iliad TowerCo
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Après la traversée du désert en 2018, l'Odyssée jusqu'en 2024
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Des paroles, sans les actes
Commentaires (19)
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Abonnez-vousLe 07/05/2019 à 08h26
Bref, ils continuent à oublier leurs clients de la première heure.
Le 07/05/2019 à 08h36
Iliad commence par une autocritique : « 2018 a été une année difficile pour le Groupe”,…
c’est assez rare dans ce milieu pour être souligné !
(quand on entend, les autres Opérateurs, : ‘tout va bien’ ) " />
c’est que les 1ers clients………………..
Le 07/05/2019 à 08h47
Je doit être trop con mais j’ai du mal à comprendre ces acteurs des télécom qui vendent (même à prix d’or) les actifs stratégiques (bien que onéreux en entretien & location) que sont les points hauts / pylônes, quand on sais la difficulté à les avoir.
Ca me parait prendre un très gros risques sur l’avenir: Que ce passe-t-il si la société qui achète (ici , Cellnex) revend ses parts (et donc son contrôle) à un tiers en conflit d’intérêt ? Si Free ne peux plus accéder physiquement à ses équipements ? Si Cellnex , en position de monopole local, renchéri ses prix des 500% ?
Sachant que les opérateurs ont aussi des contraintes réglementaire de couverture, une couverture qui va devoir se renforcer avec la 5G…?
Ca me fait furieusement penser à Orange qui a laissé son réseau cuivre en déliquescence (car le terrain c’est pas “noble” comme la finance , et ça se sous-traite à des grouillots) , une attitude dont tout le monde paie les pots cassés lors des installations FTTH & leurs retard…
Le 07/05/2019 à 08h54
tu ne comprends pas ?
on appelle ça “le court terme”
" />
Le 07/05/2019 à 09h04
Si on interprète un peu à l’arrache les infos de Free ce matin, on peut estimer(*) les players vendus à +/- 35400 (ligne “Equipements” de leurs comptes).C’est bien sur une estimation mais à priori assez fiable car eux-mêmes disent que cette ligne est impactée par ledit player !-> “Avec […], le Groupe enregistre le chiffre d’affaires généré par la vente du Player à l’abonné”
Perso, ça me semble plus un flop commercial qu’une réussite si cette estimation est vérifiée…
(*) J’ai extrapolé de l’info suivante : ventes équipements passées de 56 à 73 Millions donc 17 millions / 480 Euros le player soit 35417 unités.
Le 07/05/2019 à 09h05
C’est surement encore le cas, mais tu les apelle, tu insiste bien sur le fait que tu souhaiterais résilier car [insérer le nom d’un concurrent moins cher] est moins cher, et tu souhaite soit avoir un geste commercial, soit savoir la procédure de résiliation.
En insistant un peu, ils font un geste commercial de -15 euros sur 10 mois. (ça fonctionne qu’en dégroupé, les campagnards non dégroupés doivent surement couter trop cher).
Le 07/05/2019 à 09h08
J’imagine que les contrats faits avec ces mêmes sociétés ont des clauses et des conditions sur le long terme pour éviter ça.
Je crois qu’on parle plus des pylones “physiques” que des équipements en eux même. Si on regarde, la majorité des supports de free sont sur des pylones TDF, orange, SFR, plus que free en lui même… ça à l’air d’être assez commun dans le domaine, et ça n’aurait pas grand interet commercial que de refuser du jour au lendemain une rente mensuel de location de pylones pour le prestataire (cellnex, tdf…)
Le 07/05/2019 à 09h14
mais ça à l’air d’être un flop commercial:
La delta S à l’air de plus interesser que la delta en elle même pour ceux qui veulent plus que du gigabit.
Pour ceux qui veulent du triple play avec TV déjà chez free, la v6 ou 4K restent suffisantes…
Je connais beaucoup de fan de free qui n’ont pas migré, c’est trop cher, et ça ne correspond pas à leur besoin. C’est compliqué de faire mieux que la v6 pour le même prix, mais ils s’attendaient plus à une mise à jour “toujours plus pour le même prix”. Au final, ça flope.
Il n’y à qu’à voir la page d’accueil de free aussi, au début, ils mettaient en valeur la freebox delta, maintenant ils mettent en valeur la promotion pour la freebox mini 4K pendant 1 an. Il semblerait que la fibre à petit prix d’appel fasse beaucoup plus recruter que la delta en fait.
Quand on regarde le 10 gbps, c’est interessant, mais encore marginal pour les usages… Et la freebox delta n’est pas vraiment “prête”, il faut investir beaucoup pour avoir un LAN en fibre ou SFP cuivre, le switch ne fait que du gigabit sinon, et le “super wifi” n’est même pas compatible avec la dernière norme wifi AD, ni avec des sattelites mesh.
Si j’étais aujourd’hui elligible à la fibre, si je devais choisir free, c’est :
la mini 4K (juste pour du gigabit et la reduction sur le mobile)
un nas synology
du wifi mesh avec du orbi ou ubiquiti pour avoir une bonne couverture dans la maison/appart.
Je serais interessé par la delta, uniquement pour du 10 gbps, mais il faut le budget de l’abonnement puis le budget d’un nouveau pc, carte réseau, switch 10 gbps, fibre, et SFP+, c’est pas donné !
Concernant le player devialet, c’est un ovni qui ne sert à rien: le son n’est pas très bon et pas spacial, le player n’est pas compatible avec le dolby vision ou HDR+, ni compatible avec le dolby atmos, ni compatible avec les application les plus populaires (canal, molotov, spotify en version complète, compatibilité avec les autres app android tv). C’est cher alors qu’au final, une bonne smart TV ou une android box avec une barre de son dolby atmos ferait beaucoup, beaucoup mieux le job pour pas forcément plus cher.
Le 07/05/2019 à 10h07
Niel avait dit qu’on pourrait le tenir responsable si ça ne marchait pas, c’est bon maintenant ?
Le 07/05/2019 à 10h32
Le 07/05/2019 à 11h00
Le 07/05/2019 à 11h27
La seule bonne nouvelle c’est leurs recrutements fibre donc.
A voir si ça suffit pour le long terme, ils ont tellement pris de retard alors qu’ils semblaient super bien placés au début, l’arcep les suivait sur le ftth, ils avaient fait les démarches papier pour fibrer plein de logements… orange les a grillés et les résultats variables en qualité téléphonique ont un peu écorné leur réputation de leader technique.
Le 07/05/2019 à 11h30
Je pense qu’au début ils voulaient fibrer un peu à tout va, après ils ont du se rendre compte que ça coute cher, ils ont laissé orange, sfr et les RIP le faire, et maintenant, ils attendent les mises en service pour simplement “dégrouper” comme ils l’ont fait avec l’adsl en étant présent au PM et dans les NRO.
Le 07/05/2019 à 11h37
Tu as probablement raison sur le fond de ce qu’ils prévoient mais ce qui ne colle pas pas c’est le “ils ont du se rendre compte que ça coute cher”.
C’étaient des pros de l’infrastructure depuis une décennie, avec un backbone fibre en propre etc. là où sfr était encore en herzien dans plein d’endroits, les coûts (+/-150euros du ML de chaussé ouverte) ils les connaissaient.
Pourquoi un tel revirement et pourquoi s’être laissé griller la priorité ainsi? Et pourquoi se financer pour fibrer si l’idée est de sous louer aux autres au max. Il y a une incohérence à un moment dans leur stratégie et j’aimerai bien savoir pourquoi.
Peut être je les surestime juste dans leur capacité à entreprendre, ce n’est pas parce qu’on a quelques coups de génie qu’on fait toujours les bons choix.
Le 07/05/2019 à 11h44
Pour la fibre ils avaient décidé de faire différemment et se sont rendus compte que ce n’était peut-être pas la bonne solution
Plutt que d’utiliser les adductions et autres passages oû se trouvait le cuivre , ils ont creusé les trottoirs puis sont passés par les égouts.
J’ai eu la chance de voir les 2 procédés utilisés puisque j’ai 2 opérateurs d’immeuble pour le vertical ( Free et FT) ( ça fait riche je sais mais c’est assez sympa au jour le jour " />)
Le 07/05/2019 à 12h03
Je pense que ça coûte beaucoup moins cher pour eux d’utiliser les infras “finales” déjà existantes de SFR, orange et justement d’utiliser leur backbone interne.
Il y a une différence entre le backbone et le réseau de distribution client/FTTH. Si ils ont pas la capacité financière de construire le réseau de distribution, ils on pu décider que c’était moins cher de venir dessus, de le sous louer, ou de le cofinancer.
Aussi, ils avaient prévu une montée en puissance dans la fibre, mais je pense qu’ils n’avaient pas les reçources necessaires pour assurer dans le mobile. Ils ont privilégié le mobile, et maintenant que les 2 fibre/mobile arrivent à un point où ils faut assurer la qualité de service, ils essayent de dire qu’ils vont assurer pour les 5 ans à venir.
Le 07/05/2019 à 12h10
Et du coup ta fibre sort des toilettes? " />
Je ne pense pas que nationalement free comptait avoir la même technique de déploiement partout. Il y a des endroits ou des fourreaux sont accessibles facilement en suivant les transports en commun, des endroits où le sol est +/-facile à creuser, des endroits où les câbles sont encore aériens, des densités différentes d’habitations etc.
Tu tiens ça d’où cette info qu’ils avaient décidé de faire “différemment”?
Le 07/05/2019 à 14h53
Les poseurs de fibres qui étaient les même que ceux que j’ai utilisé à mon boulot me l’ont expliqué
Par exemple chez moi ( Paris intramuros) ils ont dans l’ordre :
acheté des locaux dans une rue adjacente
creusé le trottoir jusqu’à ma rue car il n’y avait pas d’égouts entre les 2 rues)
passé le faisceau dans les égouts de ma rue
sont entrés dans mon immeuble par la ou passent les tuyaux des égouts et l’arrivée d’eau
installé les 2 boites dans le local des eaux ( une pour Free et une pour les autres et c’est ça qui était radicalement différent aussi) et ensuite ont fibré tous les étages ( ils n’ont hélas installé le NRO que bien plus tard " />)
FT est arrivé par son chemin habituel passé par les mêmes adductions que le cuivre et installé sa boite unique dans le parking du sous sol. Et SFR est arrivé par le même chemin, et il y en a un autre.
Du coup la deuxième boite de Free n’est jamais utilisée puisqu’à un autre endroit que les arrivées concurrentes et celle de FT est assez perturbée par les nombreuses interventions de tous les opérateurs qui se pointent pour un nouveau client
( il n’est pas rare qu’un intervenant pour un FAI perturbe la jarretelle du voisin sur le même FAI ou un autre)
Le 07/05/2019 à 16h25
L’achat à crédit est assuré par Younited Crédit. Free touche intégralement le montant de la Delta puis charge à Younited Crédit d’assurer le recouvrement des dettes comme toute boite de crédit.