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Apple consentirait à régler une ardoise de 318 millions d’euros au fisc italien

Pourtant Tim Cook n'y voyait que « des foutaises politiciennes »

Apple consentirait à régler une ardoise de 318 millions d'euros au fisc italien

Le 31 décembre 2015 à 07h30

Il y a un peu plus d'une semaine, Tim Cook balayait d'un revers de la main sur le plateau de l'émission 60 Minutes les accusations d'évasion fiscale qui gravitent autour d'Apple. Aujourd'hui, la marque à la pomme a soldé un contentieux avec le fisc italien, pour 318 millions d'euros.

Mi-décembre, lors de son apparition sur le plateau de l'émission américaine 60 Minutes, Tim Cook, le PDG d'Apple a tenté de faire valoir la position de son entreprise quant à ses mécanismes d'optimisation fiscale. Le dirigeant réfutait alors violemment les accusations du Congrès américain. Il expliquait que ce ne sont que « des foutaises politiciennes » ou encore qu'« il n'y a rien de vrai là-dedans, Apple paie chaque dollar d'impôt qu'elle doit » tout en clamant que la société « paie plus d'impôts que n'importe qui d'autre dans ce pays ».

Un grand bol d'Eire

C'est peut-être le cas aux États-Unis, mais en Europe, Bruxelles a les yeux rivés sur la marque à la pomme. Dans le collimateur de la Commission européenne, un accord scellé entre l'entreprise et le gouvernement irlandais grâce auquel le géant américain a pu négocier un régime fiscal sur mesure. Selon le Financial Times, cela permettrait au créateur de l'iPhone de profiter d'un taux d'imposition d'environ 2 % au lieu des 12,5 % normalement en vigueur dans le pays. Un traitement sélectif pas vraiment compatible avec la législation européenne.

Outre cette épineuse question, Apple fait également face à plusieurs enquêtes dans divers pays européens. Parmi eux, l'Italie, dont le fisc local cherche à récupérer 879 millions d'euros qui lui seraient dus au titre de l'impôt sur les sociétés pour les exercices 2008 à 2013.

La pomme s'en tire à bon compte

Selon nos confrères de Reuters, un accord a été conclu aujourd'hui entre les deux entités, pour un montant de 318 millions d'euros. Il prévoit également la signature d'un autre accord encadrant les taxes à régler pour les exercices à partir de 2015. Les autorités italiennes se sont contentées de préciser qu'« Apple a accepté notre demande ».

Si ce montant se vérifie, le géant américain s'en tirerait plutôt bien en ne réglant qu'un tiers du montant initialement prévu. Il n'y a dans tous les cas pas de quoi affoler Apple, dont les réserves de liquidités (plus de 200 milliards de dollars) ne devraient pas souffrir d'une ponction aussi minime.

Commentaires (77)

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Moi et la finance ça fait 2,mais pourquoi quand un bénéfice est réalisé sur le sol d’un pays via boutique ou site Web, ce ne sont pas les taxes et impots du pays qui s’appliquent tout simplement ? La loi est à ce point mal faite ?

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Non, surement pas.

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“Irlande…taux d’imposition…12,5 % normalement en vigueur dans le pays.”



L’Irlande est entrée dans la CEE en 1973… qu’ont fait les députés européens, payés une fortune avec notre argent, pour harmoniser l’impôt en 42 ans? Sans ça l’Europe (du libre échange) n’existe pas <img data-src=" />



ils étaient trop occupés à légiférer sur la taille des pommes de terres? <img data-src=" />

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Il y a des montages possibles … par exemple dire que tous les brevets Apple sont possédés par une société dans un pays chez qui les revenus liés aux brevets sont très bas.



Donc logiquement les autres sociétés Apple doivent “payer” à cette entreprise qui a tous les brevets, donc légalement cette partie des revenus ne peux pas aller au pays où cette vente est faite …



encore mieux, en France par exemple, si une boite fait des pertes dans une de ses succursales étrangères, elle peux défiscaliser ses pertes !

http://www.fiscalonline.com/Utilisation-des-pertes-subies-par,2808.html



J’imagine que c’est pour ça que malgré des boutiques Apple store en France qui font un carton, Apple France enregistre des pertes tous les ans !



http://www.macplus.net/depeche-72371-apple-retail-france-pertes-en-2012-employes…



Tu peux pas imposer Apple France, ils font des pertes <img data-src=" />

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Qui a rendu les règles fiscales des entreprises complexes? et dans quel but? Nos politichiens qui travaillent pour les milliardaires fils de et rentiers <img data-src=" />

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knos a écrit :



C’est la qu’on vois que le système a un gros problème. Les grosses boites peuvent négocier leurs taux d’impôts sous menace de ne rien payer. Alors que les états devrait les obliger a payer sois menace d’interdiction de vente.






la démocratie c'est le pognon, bienvenue dans la réalité     





à toi de choisir ton suppositoire&nbsp;la pilule rouge ou la bleu&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;&nbsp;


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Apple c’est la boite qui refuse de répondre aux journalistes, qui préfère les grandes messes où c’est elle qui fait les questions et les réponses, qui a donc des choses à cacher à ses clients <img data-src=" />

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ça s’appelle l’esclavage: dés la naissance tu dépends du bon vouloir de quelques héritiers rentiers que tu devra servir pour survivre <img data-src=" />



C’est un concept économique qui a même acheté le cœur de notre “gauche” <img data-src=" />

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Bienvenu dans la réalité <img data-src=" />

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Olbatar a écrit :



Désolé mais le dumping fiscal c’est ni réglo, ni éthique, ni légale, ni rien du tout!





Il est légal, et une entreprise n’a pas pour finalité les questions éthiques ou ‘réglo’. Son but est de maximiser sa profitabilité. Le reste dans une démocratue doit appartenir à la sphère politique. Insteuction civique 101.







Cartmaninpact a écrit :



qu’ont fait les députés européens, payés une fortune avec notre argent, pour harmoniser l’impôt en 42 ans?





Ils ont fait avec le pouvoir et la légutimité que leur donnent les citoyens via leur mandat octroyé par les résultats des urnes.

Si l’UE n’est qu’une grosse machine technocratique au bout de 50 ans plutôt qu’un véritable acteur politique, c’est avant tout la responsabilité des peuples qui pensent (et votent) avec leurs pieds.



En démocratie, on a le pouvoir politique qu’on mérite.


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brazomyna a écrit :



Son but est de maximiser sa profitabilité





Non.

Ca c’est l’acceptation neolibérale moderne qui veut faire croire que le but d’une entreprise c’est forcement le profit le plus grand, et rien d’autre, et ceci par nature.

Eh bien non.


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Drepanocytose a écrit :



Non.



 Ca c'est l'acceptation neolibérale moderne qui veut faire croire que le but d'une entreprise c'est forcement le profit le plus grand, et rien d'autre, et ceci par nature.       

Eh bien non.








Absolument pas. L'entreprise est un acteur économique. A partir de là, sa raison d'être est de péréniser son activité pour en tirer les fruits, et donc maximiser sa rentabilité, en suivant les règles (ou en s'exposant aux sanctions en cas de manquements).      






D'autres attributions reviennent à d'autres formes de pouvoir dans une société ; typiquement les questions éthiques, sociales, etc... sont de l'ordre de la sphère politique (et c'est fondamental dan une démocratie, puisque ces questions qui conduisent à l'établissement de normes et de contraintes doivent être gérées par une émanation de la volonté du peuple).      






C'est bien à l'émanation du pouvoir politique de définir les règles et autres contraintes en matière économique dans le but de mettre en oeuvre une vision ethique, morale, etc... décidée collectivement par l'ensemble des citoyens via les mandats qu'ils accordents au représentants politiques pour les mettre en oeuvre.     



&nbsp;



Ces quelques principes fondamentaux sont la base de ce que n’importe quel citoyen d’une démocratie devrait avoir compris et intégré dès son plus jeune âge. Malheureusement, plus les choses avancent, moins ça semble évident.

&nbsp;


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brazomyna a écrit :



Absolument pas. L’entreprise est un acteur économique. A partir de là, sa raison d’être est de péréniser son activité pour en tirer les fruits, et donc maximiser sa rentabilité





Le souci est dans ton “donc”.

Pérenniser (rester vivant) ne signifie pas se goinfrer le plus possible.

Ca signifie assurer suffisamment (mais pas “le plus possible”, juste suffisamment) de rentabilité pour maintenir l’activité et en tirer les fruits qu’on souhaite en tirer…



Et c’est sur ce qu’on souhaite en retirer qu’on peut discuter, donc le “but” de l’entreprise :




  • pour beaucoup le pognon

  • pour certains un rôle social (entreprises coopératives, etc.)

  • encore plein d’autres buts possibles : maintien d’une activité patrimoniale (eh oui), d’une affaire familiale, etc.

    L’entreprise c’est certes le pognon en bonne partie, mais ce n’est certainement pas QUE le pognon, et encore moins LE PLUS de pognon possible.


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Drepanocytose a écrit :



Le souci est dans ton “donc”.



 Pérenniser (rester vivant) ne signifie pas se goinfrer le plus possible.








Maximiser sa profitabilité est le meilleur moyen pour évoluer, grandir, innover, en un mot "avancer".      

Si une entreprise se "goinfre" (*), ce n'est pas à elle de s'auto-réguler, c'est qu'il y a un défaut dans règles et normes définies par le regulateur de la sphère économique ; et le régulateur en question est la sphère politique, dont chaque citoyen est responsable.





Aller dans le sens inverse (ie. où on voudrait que ce soit l’entreprise qui s’auto régule, c’est à dire qu’elle s’impose des contraintes plus fortes que ses petites voisines), c’est:



&nbsp;- délaisser les notions de morale, d’éthique, etc… à la sphère économique (donc aux “intérêts privés”), alors que c’est au citoyen, donc au pouvoir politique que doivent revenir ces attributions.

&nbsp;

&nbsp;- un non sens: demander à une entreprise de se saper sciemment sa compétitivité, c’est comme lui demander de se mettre elle-même des bâtons dans les roues vis à vis de toutes les autres entreprises concurrentes qui auront décidé que leur notion à elle d’éthique, de morale ou de jenesaisquoi est plus permissive. Et donc c’est l’assurance de favoriser les moins disants (ie. moins une entreprise ne s’impose de contraintes, plus elle sera avantagée vis à vis de sa concurrence).

&nbsp;



(*) v'la le truc indéfinissable et hautement subjectif au passage.

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brazomyna a écrit :



Absolument pas. L’entreprise est un acteur économique. A partir de là, sa raison d’être est de péréniser son activité pour en tirer les fruits, et donc maximiser sa rentabilité, en suivant les règles (ou en s’exposant aux sanctions en cas de manquements).




 D'autres attributions reviennent à d'autres formes de pouvoir dans une société ; typiquement les questions éthiques, sociales, etc... sont de l'ordre de la sphère politique (et c'est fondamental dan une démocratie, puisque ces questions qui conduisent à l'établissement de normes et de contraintes doivent être gérées par une émanation de la volonté du peuple).       






 C'est bien à l'émanation du pouvoir politique de définir les règles et autres contraintes en matière économique dans le but de mettre en oeuvre une vision ethique, morale, etc... décidée collectivement par l'ensemble des citoyens via les mandats qu'ils accordents au représentants politiques pour les mettre en oeuvre.      

&nbsp;





Ces quelques principes fondamentaux sont la base de ce que n’importe quel citoyen d’une démocratie devrait avoir compris et intégré dès son plus jeune âge. Malheureusement, plus les choses avancent, moins ça semble évident.

&nbsp;





tes principes fondamentaux, ce sont ceux des capitalistes qui ne pensent

qu’à leur gueule et qui se foutent royalement du système et des autres……



je dois être trop con de penser que chacun peut participer à la vie collective en payant sa part d’impôts sans chercher à “gruger” le système et sans attendre que les politiques tape sur les doigts en disant “attention, c’est pas biennnnnnn de pratiquer l’optimisation fiscale!”


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brazomyna a écrit :



Il est légal, et une entreprise n’a pas pour finalité les questions éthiques ou ‘réglo’. Son but est de maximiser sa profitabilité. Le reste dans une démocratue doit appartenir à la sphère politique. Insteuction civique 101.





Ils ont fait avec le pouvoir et la légutimité que leur donnent les citoyens via leur mandat octroyé par les résultats des urnes.

Si l’UE n’est qu’une grosse machine technocratique au bout de 50 ans plutôt qu’un véritable acteur politique, c’est avant tout la responsabilité des peuples qui pensent (et votent) avec leurs pieds.



En démocratie, on a le pouvoir politique qu’on mérite.





Absolument pas d’accord.



Le jour où les politiques devront signer leur programmes et si le programme n’est pas rempli à au moins tant de % ne peuvent être réélu, là je serais d’accord avec toi.



Actuellement nous ne pouvons que nous baser sur leur bonnes paroles lors des éléctions, une fois élu tu n’as aucune possibilité de pouvoir contrôler ce que fait ton député, encore moins de pouvoir lui imposer des choix qui devrait découler de ses promesses et non des choix dictés par des lobby une fois le mandat obtenu.


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Quelle générosité d’accepter de payer un &nbsp;tiers de ses impots sans broncher.



N’importe quelle boite classique (et solvable) aurait du payer la totalité plus des montants faramineux de retard. Je dis ca je dis rien.

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L’eclaireur a écrit :



Quelle générosité d’accepter de payer un  tiers de ses impots sans broncher.



N’importe quelle boite classique (et solvable) aurait du payer la totalité plus des montants faramineux de retard. Je dis ca je dis rien.





Apple était “soupçonné” (et donc non coupable, vu qu’aucun jugement n’a été rendu et que l’Italie est un pays avec des lois) d’avoir fait passer une partie des bénéfices réalisés en Italie via sa filiale irlandaise. Les 879 millions d’euros peuvent très bien avoir été évalués au doigt mouillé, afin de faire pression sur Apple mais sans espoir de récupérer réellement cette somme. D’ailleurs, on peut noter l’emploi du subjonctif dans “le fisc local cherche à récupérer 879 millions d’euros qui lui seraient dus”.


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C’est la qu’on vois que le système a un gros problème. Les grosses boites peuvent négocier leurs taux d’impôts sous menace de ne rien payer. Alors que les états devrait les obliger a payer sois menace d’interdiction de vente.

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knos, les choses ne sont pas aussi noires / blanches.

Dans le code fiscal, il y a “trop” de règles. Qui parfois se contredisent, laissent la place à l’interprétation, voire sont silencieuses.

Genre (ultra trop trivial, bien sûr) “Les boites qui font plus de 2M€ de CA doivent payer 10%”. Un peu plus loin “Les boites qui font moins de 1M€ doivent payer 5%”. ah,&nbsp; et celles entre 1 et 2, elles payent combien ??? Zut, c’est pas écrit.

OK, ma boite décide donc que ce sera 5% lorsqu’elle fait ses déclarations. Le fisc va dire “ben non, c’est 10%”. Et là, hop, “négociations”, j’explique au fisc qu’on pouvait légitimement interpréter comme je l’ai fait, celui-ci me dit que non, je dis “ben, met moi devant un tribunal, ta loi elle est mal écrite”. le fisc me dit “je peux surtout refaire la loi je te rappelle -même sans effet retro-actif”. moi : “bon, OK, je cède, mais on laisse tomber les pénalités de retard et la mauvaise foi”. Le fisc : “OK, signe-là et fais moi un chèque”.



Bon, je simplifie à l’extrême, hein.

(et selon moi, si les différents codes étaient plus simples, ça résoudrait bien des problèmes !)

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Normalement, quand on a du retard dans les paiements des impôts, c’est une majoration qu’on a, pas une réduction. <img data-src=" />

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un accord scellé entre l’entreprise et le gouvernement irlandais grâce auquel le géant américain a pu négocier un régime fiscal sur mesure. Selon le Financial Times, cela permettrait au créateur de l’iPhone de profiter d’un taux d’imposition d’environ 2 % au lieu des 12,5 % normalement en vigueur dans le pays.





tipaul a écrit :



knos, les choses ne sont pas aussi noires / blanches.

Dans le code fiscal, il y a “trop” de règles. Qui parfois se contredisent, laissent la place à l’interprétation, voire sont silencieuses.

Genre (ultra trop trivial, bien sûr) “Les boites qui font plus de 2M€ de CA doivent payer 10%”. Un peu plus loin “Les boites qui font moins de 1M€ doivent payer 5%”. ah,&nbsp; et celles entre 1 et 2, elles payent combien ??? Zut, c’est pas écrit.

OK, ma boite décide donc que ce sera 5% lorsqu’elle fait ses déclarations. Le fisc va dire “ben non, c’est 10%”. Et là, hop, “négociations”, j’explique au fisc qu’on pouvait légitimement interpréter comme je l’ai fait, celui-ci me dit que non, je dis “ben, met moi devant un tribunal, ta loi elle est mal écrite”. le fisc me dit “je peux surtout refaire la loi je te rappelle -même sans effet retro-actif”. moi : “bon, OK, je cède, mais on laisse tomber les pénalités de retard et la mauvaise foi”. Le fisc : “OK, signe-là et fais moi un chèque”.



Bon, je simplifie à l’extrême, hein.

(et selon moi, si les différents codes étaient plus simples, ça résoudrait bien des problèmes !)







C’est plus ce point qui ma fait tiquer. Des grosse boite assise sur un tas d’or qui ne participe plus a l’économie qui les fait vivres.



A quoi bon stoquer des millier de milliard qui ne serve a personne même pas eux.


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knos a écrit :



un accord scellé entre l’entreprise et le gouvernement irlandais grâce auquel le géant américain a pu négocier un régime fiscal sur mesure. Selon le Financial Times, cela permettrait au créateur de l’iPhone de profiter d’un taux d’imposition d’environ 2 % au lieu des 12,5 % normalement en vigueur dans le pays.



C’est plus ce point qui ma fait tiquer. Des grosse boite assise sur un tas d’or qui ne participe plus a l’économie qui les fait vivres.



A quoi bon stoquer des millier de milliard qui ne serve a personne même pas eux.





Sauf que l’Irlande du coup récupère plus d’impôts que si ils avaient laissé le taux de base, puisqu’Apple rapatrie l’argent fait dans les autres pays européens. C’est gagnant-gagnant, sauf pour les quelques centaines de millions d’européens qui ne vivent pas en Irlande <img data-src=" />


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Si les codes sont aussi compliqués c’est aussi à cause des lobbys qui font tout pour après intervention auprès de leurs “amis” députés/sénateurs.

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Leur problème, c’est surtout que leur tas d’or est dans des paradis fiscaux et pas aux USA.

Ils peuvent pas le rapatrier sans payer un max de taxe (30% de tête). Ils tentent régulièrement de faire du lobbying pour diminuer le montant de ces taxes mais ça n’a rien donné pour l’instant.


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lysbleu a écrit :



C’est gagnant-gagnant, sauf pour les quelques centaines de millions d’européens qui ne vivent pas en Irlande <img data-src=" />





Ces quelques centaines là ont leur destin en main, mais elles ont manifestement décidé de ne rien en faire.


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Optimiseur fiscal, un métier d’avenir <img data-src=" />



(au salon des métiers, dites “banquier” pour trouver le bon stand)

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A créer de la pauvreté, et faire fonctionner la roue du capitalisme : La masse d’argent globale n’est pas infinie, elle est finie a un instant T. Une masse dormante nécessite l’augmentation de la masse global, ce faisant elle provoque de l’inflation et donc mécaniquement va dévaluer le “travail” global.

En dévaluant le “travail” tu créer de la pauvreté (si péquin moyen commence a lui aussi stocker, il ne pourra survivre, puisque sa richesse est insignifiante, même a 1 million d’euro par exemple), se faisant pour combler le trou les gens doivent travailler s’il veulent continuer a consommer.

La quantité d’argent en circulation n’étant plus gérée par les états … Je te laisse mesurer les dégâts.



Je précise que c’est grossier comme explication, on peut malheureusement pas faire dans la concision sur ce point là, mais ça reste un point de vue et une explication valable : la richesse n’est plus indexée sur la quantité globale du “travail” (qu’il soit humain où autre) ni sur quelque chose de tangible/palpable.

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Non ce pour quoi ils militent c’est une “amnistie fiscale” : vous baissez fortement les taxes pendant une courte période et on rapatrie tout



et ils le veulent … parce que c’est déjà arrivé

http://www.alternatives-economiques.fr/etats-unis—350-milliards-de-profits-rap…



<img data-src=" />

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the_frogkiller a écrit :



et quelle est la répartition des 98%?





Le papier ne s’intéressait qu’à la fraction de valeur captée par les méchants capitalismes.



 







the_frogkiller a écrit :



moué qui est vraiment le parasite dans notre système… On profite du système mis en place par l’état mais on fait tout pour ne pas participer aux infrastructures. Ne me dites pas qu’on leur arrache le cœur dans le cas d’Apple avec 200millards dans des paradis fiscaux et des bénéfices de l’ordre de 60 milliards si mes souvenirs sont bons.





Le « système mis en place par l’état » n’est qu’un système de pillage et de blanchiment des fruits du labeur des travailleurs, l’État étant bien incapable de produire autre chose que de la dette.



Concernant Apple, 200 miyards n’est que la partie émergée de l’iceberg. Quel est le montant de la valeur, dans le restant de l’économie, de l’ensemble des richesses qui ont été permises par les innovations d’Apple ? Rien que la somme de la valeur retirée personnellement par chaque individu ayant acheté un produit Apple est supérieur à son CA (sinon par définition les gens n’auraient pas acheté). Ce qui est caché est souvent bien plus vaste que ce qui est visible. D’où la répartition 2%-98%.











the_frogkiller a écrit :



et non ils sont pas forcement rationnel. Quand on est rationnel on prend en compte l’ensemble des choses et pas seulement le biais du rendement économique à cour terme. un exemple la grande distribution. Vous trouvez ça rationnel leurs comportements via leur centrale d’achat? asphyxier les producteurs leur est très profitable à cour terme, a moyen et long terme c’est autre chose…





Qui a permis l’existence de ce cartel en distribuant des faveurs (avec les collectivités locales), en manipulant le marché avec des lois anti-économiques réduisant la concurrence pour appliquer sa vision de favoriser la création de « champions nationaux » sinon l’État. Pareil dans le secteur des FAIs, pareil dans l’immobilier, pareil dans le domaine de la santé, pareil partout où l’idéologie dogmatique et obsolète du planisme a tenté de remplacer les mécanismes économiques du marché qui fonctionnent par le culte du command and control.



Nous payons le prix de ce dévoiement tous les jours.


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Surtout ce passage :&nbsp;

Concernant Apple, 200 miyards n’est que la partie émergée de l’iceberg. Quel est le montant de la valeur, dans le restant de l’économie, de l’ensemble des richesses qui ont été permises par les innovations d’Apple ? Rien que la somme de la valeur retirée personnellement par chaque individu ayant acheté un produit Apple est supérieur à son CA (sinon par définition les gens n’auraient pas acheté). Ce qui est caché est souvent bien plus vaste que ce qui est visible. D’où la répartition 2%-98%.&nbsp;Ok, de la valeur est crée, mais n’aurait-elle pas été crée de toutes manière sans les produits ? La répartition 298 est bonne si on prend l’aspect fiduciaire, mais en termes réels, l’investissement est juste inversé, le bénéfice de productivité est de 2%.C’est un peu un biais suivant la prise de vue, la relativité appliquée a l’économie. D’un point de vue brut, le train va plus vite que la personne qui le regarde, mais les deux vont infiniment plus rapidement a tel point que ça réduit le gain de productivité a néant. En gros, les innovations, tant qu’elles ne profitent pas a tous, restent socialement un gain nul. Maintenant, on va continuer dans la relativité : plus la masse fiduciaire augmente par rapport a la richesse réelle, plus le gain social ralentit. jusqu’à atteindre une masse critique qui fait que l’énergie dépensée par l’Homme ne pourra plus maintenir la masse financière.

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  • 1



    J’envie les pays nordiques pour leur manière complètement différente de faire de la politique (on a les politiques que l’on mérite).



    A Hénin Beaumont, lors d’élections municipales, il y a quand même eu 5-10% de personnes pour voter pour l’ancien maire qui avait été en prison pour détournement de fond et autres…



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tmtisfree a écrit :



Je suis d’accord avec tes 5 premiers mots, surtout quand tu fais semblant d’oublier que les possibilités d’optimisation n’existent que de par l’empilement législatif vermoulu bâti par les politiques eux-mêmes au cours du temps pour siphonner de plus en plus de la valeur de l’activité des travailleurs et producteurs.




Chercher à éviter le parasite en utilisant les failles de ce vol en bande organisée de l'entreprise lucrative sans but social qu'est l’État n'est que pur bon sens pour un agent économique rationnel. On n'atteindra le nirvana collectiviste qu'avec une somme d'individus prospères, pas en le décrétant avec du nivellement par le bas.







très sympa comme façon d’insulter les autres…. vraiment classe…



pour ce qui est du “nirvana collectiviste”, tu me fais sourire avec tes individus prospères comme solution miracle….. c’est quoi un individu prospère? Apple avec ses 200 milliards en cash ou Bettencour et sa fortune de 30 ou 40 milliards? Dans les 2 cas ça nous fait une belle jambe…..



je crois que tu n’as rien compris au principe des impôts et que tu n’en as rien à faire de la collectivité. De là à penser que tu serais un de ces experts comptables / financiers véreux toujours à la recherche du profit démesuré en se foutant de l’individu et de la société, il n’y a qu’un pas….


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KissFC a écrit :



Ok, de la valeur est crée, mais n’aurait-elle pas été crée de toutes manière sans les produits ?





Le divine providence n’existe que dans les contes pour enfants.









KissFC a écrit :



La répartition 298 est bonne si on prend l’aspect fiduciaire, mais en termes réels,





Comment peut-on compter autrement qu’avec des nombres la répartition de la valeur créée ? Quelle est la définition opérationnelle et/ou économique de l’expression « termes réels » ?









KissFC a écrit :



l’investissement est juste inversé, le bénéfice de productivité est de 2%.C’est un peu un biais suivant la prise de vue, la relativité appliquée a l’économie. D’un point de vue brut, le train va plus vite que la personne qui le regarde, mais les deux vont infiniment plus rapidement a tel point que ça réduit le gain de productivité a néant. En gros, les innovations, tant qu’elles ne profitent pas a tous, restent socialement un gain nul.





Le papier (un des rare à traiter ce sujet avec des chiffres) démonte justement ton point : le partage de la valeur créée est définitivement et largement en faveur de la société. Sinon tu vivrais encore dans les arbres à picorer des vers. Plus vraisemblablement tu serais déjà mort violemment, de maladie ou de malnutrition. Les pleureuses du bon vieux temps des cavernes ne mesurent pas leur chance de vivre à cette époque.









KissFC a écrit :



Maintenant, on va continuer dans la relativité : plus la masse fiduciaire augmente par rapport a la richesse réelle, plus le gain social ralentit. jusqu’à atteindre une masse critique qui fait que l’énergie dépensée par l’Homme ne pourra plus maintenir la masse financière.





Tu te rends compte que tu débutes ton affirmation en rejetant « l’aspect fiduciaire » puis discoures plus de la moitié du commentaire sur les méfaits supposés de la « masse fiduciaire ». <img data-src=" />



Sinon sur le fond, ta critique est celle de la financiarisation. Cette dernière n’a été rendue possible qu’à partir des années 70 quand Nixon (note : un politicien) a décroché le $ de l’étalon or afin, entre autres, de pouvoir financer sans limites les dépenses du gouvernement US. Les américains peuvent se permettre de dépenser autant pour leur politique car leur économie est capable de générer une quantité faramineuse de richesses tout en utilisant une partie du nouveau capital créé pour investir sur les marchés mondiaux. Ce n’est pas le cas des économies administrées comme la notre.



La financiarisation et les manipulations monétaires par la fixation arbitraire du prix de l’argent et de sa quantité ne sont que de la responsabilité des banques centrales aux ordres des États qui profitent de l’aubaine pour financer leurs dettes colossales par l’inflation (la perte du pouvoir d’achat). Les crises à répétition ne sont que la conséquence de :

1/ l’étouffement du système économique avec ce trop-plein d’argent issu de cette financiarisation, et

2/ de décisions politico-idéologiques anti-économiques imposées en subventionnant des secteurs non-rentables avec de l’argent issu de cette financiarisation.



Pour conclure, les agents économiques (producteurs, consommateurs) ne sont pas responsables de cet état de fait. Tu sais maintenant à qui t’adresser pour te plaindre ou quoi faire pour changer ce système pervers.


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jeje07bis a écrit :



pour ce qui est du “nirvana collectiviste”, tu me fais sourire avec tes individus prospères comme solution miracle….. c’est quoi un individu prospère? Apple avec ses 200 milliards en cash ou Bettencour et sa fortune de 30 ou 40 milliards? Dans les 2 cas ça nous fait une belle jambe…..





Plutôt que de jalouser la réussite des autres, fais comme eux. Tu auras au moins démontré tes compétence au lieu de te plaindre de celles d’autrui. Et tu pourras fièrement débuter tes phrase par d’autres mots qu’une auto-flagellation publique…









jeje07bis a écrit :



je crois que tu n’as rien compris au principe des impôts et que tu n’en as rien à faire de la collectivité. De là à penser que tu serais un de ces experts comptables / financiers véreux toujours à la recherche du profit démesuré en se foutant de l’individu et de la société, il n’y a qu’un pas….





Tout à fait : mon intérêt personnel est le seul qui vaille la peine. Parce que je vis pas pour les autres et je n’attends pas des autres qu’ils travaillent pour moi. Ils ne sont pas mes esclaves tout comme je ne suis pas le leur. Je ne demande pas leur sacrifice à mes besoins tout comme je ne me sacrifierai pas aux leurs. C’est pourtant du bon sens simple à comprendre (sauf pour les parasites professionnels bien sûr).





“Faire intervenir l’État, lui donner pour mission de pondérer les profits et d’équilibrer les fortunes, en prenant aux uns, sans consentement, pour donner aux autres, sans rétribution, le charger de réaliser l’œuvre du nivellement par voie de spoliation, assurément c’est bien là du Communisme. Les procédés employés par l’État, dans ce but, non plus que les beaux noms dont on décore cette pensée, n’y font rien. Qu’il en poursuive la réalisation par des moyens directs ou indirects, par la restriction ou par l’impôt, par les tarifs ou par le Droit au travail ; qu’il la place sous invocation de l’égalité, de la solidarité, de la fraternité, cela ne change pas la nature des choses ; le pillage des propriétés n’en est pas moins du pillage parce qu’il s’accomplit avec régularité, avec ordre, systématiquement et par l’action de la loi.”




  • Frédéric Bastiat, 1863.


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tmtisfree a écrit :



Plutôt que de jalouser la réussite des autres, fais comme eux. Tu auras au moins démontré tes compétence au lieu de te plaindre de celles d’autrui.





jalouser une entreprise qui pratique l’optimisation fiscale à outrance au point d’avoir 200 milliards en cash dans des paradis fiscaux tout en payant de gentils chinois 300 ou 400 euros par mois? c’est ça pour toi la réussite : exploiter les autres et se moquer ouvertement de la collectivité? belle mentalité…..

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tu es sur d’avoir compris de quoi on parle?





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tmtisfree a écrit :



Tout à fait : mon intérêt personnel est le seul qui vaille la peine. Parce que je vis pas pour les autres et je n’attends pas des autres qu’ils travaillent pour moi. Ils ne sont pas mes esclaves tout comme je ne suis pas le leur. Je ne demande pas leur sacrifice à mes besoins tout comme je ne me sacrifierai pas aux leurs. C’est pourtant du bon sens simple à comprendre (sauf pour les parasites professionnels bien sûr).





mentalité à gerber…. Tu oublies juste que les impôts servent entre autres à financer l’école de tes enfants, les transports publics, les hopitaux et tout le système de santé, etc etc….

bref, tu es le parfait exemple d’égocentrique qui ne pense vraiment qu’à lui et qui se fou royalement de la collectivité et qui n’a rien compris aux impots


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Drepanocytose a écrit :



Avancer ? Grossir ?



En quoi avancer se limite à grossir et grandir, et rien d’autre ? On peut avancer en se maintenant au niveau où on est, c’est pas incompatible du tout.



Tout à fait. D’ailleurs, quantité de boites meurent parce qu’elles ont essayé de grossir et n’y ont pas survécu, alors qu’elles seraient encore debout si elles n’avaient pas essayer de gagner en taille. Dans d’autre cas au contraire, c’est la croissance de l’entreprise qui lui permet de s’en sortir alors que la stagnation (en taille) l’aurait tué. Parfois, c’est la réduction de taille qui la fait survivre.



Idem pour les marges et la pérennité de la boutique. Une entreprise a juste besoin de faire “un peu” de profit pour se pérenniser. La maximisation du profit c’est au contraire un bon mécanisme pour se foutre dans le décor à long terme, parce que ce genre de mécanisme peut faire mourir le marché dont dépend précisément l’entreprise. La véritable pérennisation, c’est une politique raisonnable et qui sait s’adapter en fonction de l’évolution du marché. Et contrairement à ce que laissent penser les énormes réserves de cash inertes, Apple n’est pas le GAFA le mieux placé pour survivre sur le long terme (trop dépend d’un marché et d’un produit particulier, trop faible diversification des activités, etc.).



Bref, croire que y a un seul raisonnement possible sur la pérennisation des entreprises, c’est ne rien y connaître.


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tmtisfree a écrit :



Plutôt que de jalouser la réussite des autres, fais comme eux. Tu auras au moins démontré tes compétence au lieu de te plaindre de celles d’autrui. Et tu pourras fièrement débuter tes phrase par d’autres mots qu’une auto-flagellation publique…



Ça, c’est du bel argument pourri. Personnellement, j’ai pas envie de développer ma capacité à exploiter autrui sans vergogne tout en cherchant tous les moyens possibles pour que cet argent ne profite à personne à part à moi (et encore pas tant que ça vu que ce serait coincé dans un paradis fiscal dont je ne peux pas le sortir).


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J’en viens donc au but de mon message qui n’était pas plus d’argumenter que d’amener ceci : l’accélération de se que tu appel la financiarisation fait que “le papier” (et ses chiffres ;) ) ont de moins en moins raison. &nbsp;Puisque les études récentes montrent qu’une diminution des évolutions est a prévoir dans les années a venir (je parlerai plus de stagnation que de recul. Certains y allant vraiment trop fort) et ne pourront donc soutenir la demande d’évolution (qui devient un produit comme un autre, alors qu’avant c’était une résultante).



&nbsp;Pour le reste même si je suis globalement d’accord, selon mon point de vue, ça reste une hypothèque sur les générations futures. Mais ça, on ne pourra pas le savoir avant d’y être puisqu’il n’y a aucuns modèle fiable capable de prédire les évolutions de notre société (tout ceux que j’ai pu voir, en big data ou manuel sont assez loin de la réalité, et heureusement parce que celui qui l’inventera, s’il existe un jour, sera le roi du monde :O)

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Herbefol a écrit :



Ça, c’est du bel argument pourri. Personnellement, j’ai pas envie de développer ma capacité à exploiter autrui sans vergogne tout en cherchant tous les moyens possibles pour que cet argent ne profite à personne à part à moi (et encore pas tant que ça vu que ce serait coincé dans un paradis fiscal dont je ne peux pas le sortir).





Tu me fais penser au bon mot si véridique de l’économiste Deirdre McCloskey :

“The only thing worse than being exploited by a capitalist is not being exploited by a capitalist.”




  • Deirdre McCloskey


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KissFC a écrit :



J’en viens donc au but de mon message qui n’était pas plus d’argumenter que d’amener ceci : l’accélération de se que tu appel la financiarisation fait que “le papier” (et ses chiffres ;) ) ont de moins en moins raison.  Puisque les études récentes montrent qu’une diminution des évolutions est a prévoir dans les années a venir (je parlerai plus de stagnation que de recul. Certains y allant vraiment trop fort) et ne pourront donc soutenir la demande d’évolution (qui devient un produit comme un autre, alors qu’avant c’était une résultante).





Ta prose est difficile à déchiffrer. Je suppose que par « papier » tu vises la monnaie-papier (ou l’or-papier, etc). Mais de quoi parles-tu par « diminution des évolutions » et « demande d’évolution » ? Évolution et demande de quelle variable ? Il manque des mots ou c’est incompréhensible.









KissFC a écrit :



Pour le reste même si je suis globalement d’accord, selon mon point de vue, ça reste une hypothèque sur les générations futures.





Tu fais référence aux dettes monstrueuses qu’on leur laisse en préemptant leur avenir, je suppose. Cela ne dérange pas les étatistes et les politiciens professionnels outre mesure (leur horizon temporel est à 5 ans au mieux). Après eux le déluge, comme on dit.









KissFC a écrit :



Mais ça, on ne pourra pas le savoir avant d’y être puisqu’il n’y a aucuns modèle fiable capable de prédire les évolutions de notre société (tout ceux que j’ai pu voir, en big data ou manuel sont assez loin de la réalité, et heureusement parce que celui qui l’inventera, s’il existe un jour, sera le roi du monde :O)





Les outils mathématiques n’existent pas encore pour cette classe de système (Complex Adaptative System).


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&nbsp; Déjàque cette boite vend du matériel bas de gamme a fort prix (merci la FNAC pour ta servilité sans pareil).

En plus qu’elle ne paie même pas ses impôts.

Ce serait un c contribuable lambda ,il serait en prison.

oui,mais voila,c’est une entreprise à la solde des états unis.

du coup tant qu’apple rapatrie ses ouvriers aux US,tant qu’apple délivre le message d’Obama,alors tout le reste est avalisé par la maison blanche.



faut se rappeler qu’en 2008 les US ont décrété 3 choses:





  • l’énergie çà doit&nbsp; passer par les US.(développement hors raison du solaire,gaz,etc,mais toujours commandé par les US,il n’y a qu’a voir les solaires récemment vendus par la chine et qui commencent à arriver en France à vil prix,aidé par l’état français!!).

    -le cout horaire de production industriel doit être inférieur à la chine (réalisé depuis peu,car l’entretien des machines vaut moins cher que la main d’œuvre chinoise).

    &nbsp;-la production doit être localisée sur le sol des US. (apple a rapatrié ses usines aux US afin d’obtenir le marché de la défense renouvelé à cette époque).



    Après ça,les impôts pas payés en Italie.bah c’est bien,ça fait rire.



    sinon faudrait qu’il y ait un peu moins de cnnrds en france qui achète cette mrd* d’apple ,même si d’après apple ca rend beau d’acheter apple.

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tmtisfree a écrit :



Si c’était vrai, pourquoi le capitaliste ne conserve-t-il qu’un peu plus de 2% de la valeur de son activité, et donc qu’il en redistribue sociétalement pas loin de 98 % ? Les mécréants ne sont pas là où tu croies.





Ton équation correspond juste à la même règle que le moustique: prélever suffisamment pour vivre mais suffisamment peu pour ne pas tuer. 2% de parasitage permet au parasite d’exister. Le reste de l’activité est vital pour pouvoir jouer le rôle de parasite sans tuer l’hôte.

Bref, l’équation te profite peut être, mais c’est un mécanisme qui ne marchera pas de tous temps.

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barlav a écrit :



Ton équation correspond juste à la même règle que le moustique: prélever suffisamment pour vivre mais suffisamment peu pour ne pas tuer. 2% de parasitage permet au parasite d’exister. Le reste de l’activité est vital pour pouvoir jouer le rôle de parasite sans tuer l’hôte.

Bref, l’équation te profite peut être, mais c’est un mécanisme qui ne marchera pas de tous temps.

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Déjà, ce n’est pas une équation, mais le résultat d’un calcul (tu sais : 1+1=2, ce genre de chose). Ensuite, sa logique et celle de la situation t’échappe complétement : le moustique ne produit pas les 98% de sang restants de l’hôte, alors que c’est bien le capitaliste qui produit et redistribue 98% de son activité. <img data-src=" />



Sans lui, tu serais encore en train de sucer du sureau pour tout repas.


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Je ne sais pas ce que tu as contre le sureau, c’est très bon en confiture d’ailleurs.

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Sinon pour le reste de ton “calcul”,l’usure varie entre 0 et 20%. Hors il est faux d’affirmer que dans le cas 0% le “capitaliste” redistribue 100% de son activité.

Il ne fait que récupérer ses 100% et non 102% ou 120%.



Bref, comme tu dis le moustique ne produit pas de sang, comme le capitaliste ne produit rien, il demande aux autres de le faire pour lui.

Après, tant que ça marche, … <img data-src=" />

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Je n’ai pas voulu rentrer dans les détails mais c’est exactement ça : une amnistie fiscale !!


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C’est sur que choisir quelle marionnette va se faire enfumer par les lobbys à tes frais va forcément changer le monde.

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Super de l’argent en moins pour la R&D de Apple. Les Bobos italiens iront pas se plaindre que l’Iphone 7 est moins bien que prévu…. Pfff….

On pourrait laisser ces entreprises tranquilles, grâces à leurs innovations, on chance l’humanité.





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C’est sur que ce discours plein de bonne foi va forcément changer le monde 8D

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Ils ont dû recevoir un petit coup de fil de Sicile pour leur expliquer ce qu’est le pizzo…



Bon sinon, là, à quand une vraie action globale au niveau européen contre l’Irlande et les régimes d’imposition spéciaux ?

Ou bien même, si l’Europe ne frappe pas, à quand une vraie action forte de la part d’un gros membre de l’UE envers MS, Apple, et tous les autres (même, et surtout, hors NTIC) ? Quelqu’un qui donnerait l’élan, quoi….

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Cara62 a écrit :



Super de l’argent en moins pour la R&D de Apple. Les Bobos italiens iront pas se plaindre que l’Iphone 7 est moins bien que prévu…. Pfff….

On pourrait laisser ces entreprises tranquilles, grâces à leurs innovations, on chance l’humanité.





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oui oui bien sur quand on a 200 milliards de coté qui ne leur servent à rien et qu’on rechigne à payer 800 millions… oué les pauvres ils sont martyrisés… faites moi rire pour leur R&D ils ont largement de quoi faire


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Shhhhh faut pas dire ça malheureux! Les siciliens ont des oreilles partout!

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Cara62 a écrit :



Super de l’argent en moins pour la R&D de Apple. Les Bobos italiens iront pas se plaindre que l’Iphone 7 est moins bien que prévu…. Pfff….

On pourrait laisser ces entreprises tranquilles, grâces à leurs innovations, on chance l’humanité.





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Bah de toute manière vu comment chez Appel ça pompe tous ce que les autres font leur service&nbsp; R&D sera vraiment payé en fonction de leur pompage&nbsp; comme d’hab&nbsp; quoi

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tipaul a écrit :



knos, les choses ne sont pas aussi noires / blanches.

Dans le code fiscal, il y a “trop” de règles. Qui parfois se contredisent, laissent la place à l’interprétation, voire sont silencieuses.

Genre (ultra trop trivial, bien sûr) “Les boites qui font plus de 2M€ de CA doivent payer 10%”. Un peu plus loin “Les boites qui font moins de 1M€ doivent payer 5%”. ah,&nbsp; et celles entre 1 et 2, elles payent combien ??? Zut, c’est pas écrit.

OK, ma boite décide donc que ce sera 5% lorsqu’elle fait ses déclarations. Le fisc va dire “ben non, c’est 10%”. Et là, hop, “négociations”, j’explique au fisc qu’on pouvait légitimement interpréter comme je l’ai fait, celui-ci me dit que non, je dis “ben, met moi devant un tribunal, ta loi elle est mal écrite”. le fisc me dit “je peux surtout refaire la loi je te rappelle -même sans effet retro-actif”. moi : “bon, OK, je cède, mais on laisse tomber les pénalités de retard et la mauvaise foi”. Le fisc : “OK, signe-là et fais moi un chèque”.



Bon, je simplifie à l’extrême, hein.

(et selon moi, si les différents codes étaient plus simples, ça résoudrait bien des problèmes !)







Oui mais non! Dans le cas d’Apple, ici, ce n’est clairement pas ce qu’il s’est passé.



Apple a négocier avec l’Irlande pour faire domicilié des bénéfices la bas (et sans doute d’autre pays fiscalement plus clément comme les pays bas) en leurs faisant miroiter quelques pourcent de leurs bénéfices en impôts s’il sont conciliant, sinon? Ben c’est rien du tout et il vont au plus offrant…et c’est exactement, ce à quoi knos faisait référence.



L’histoire de la fiscalité compliquée c’est du blabla tout comme les déclaration de Cook qui troll juste comme a son habitude, ces boîtes la payent des expert fiscaliste qui pourrait très bien avoir une politique fiscale réglo, mais le problème n’est pas là.



Le problème est que pour celui qui ne veut pas payer d’impôts, peu importe le montant c’est toujours trop!



A l’heure où les supers riches américains comment à comprendre qu’une fiscalité trop faible pour les (très) haut revenus n’a pas les effets escompté (effet de ruissellement), et militent pour un retour a un taux &gt;80% (en France a 50% les médias criaient au scandale je le rappelle…) la politique de dumping fiscale d’Apple est juste inacceptable!


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Effet de ruissellement ?

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Comme toujours, les plus riches sont les plus radins. Je ne comprends pas qu’on ne soit pas plus inflexible avec ces tricheurs/magouilleurs ! Tant qu’il y aura corruption à tous les niveaux, cela ne changera pas.

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Leur politique fiscale est réglo mais pas forcément éthique.



L’optimisation fiscale est légale. Nos législateurs feraient mieux de s’attaquer à ça au lieu de pousser des cris d’orfraies concernant les impôts des GAFA.

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Comment crois tu qu’ils restent riches ? <img data-src=" />


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le concept que laisser de l’argent aux riches/entreprises (donc ne pas les imposer), fait qu’ils consomment des biens /services du pays, qui donnent de l’emploi, qui paye des moins riches, qui consomment eux aussi donnant de l’emploi qui paye les moins riche … faisant “vivre l’économie”.



Plutot que de prendre l’argent des riches, les donner aux tres pauvres qui n’ont pas de travail =&gt; augmentant le nombre de tres pauvres vu qu’il n’y a pas de travail …



C’est un concept économique “plutôt de droite” <img data-src=" />


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durthu a écrit :



Leur politique fiscale est réglo mais pas forcément éthique.



L’optimisation fiscale est légale. Nos législateurs feraient mieux de s’attaquer à ça au lieu de pousser des cris d’orfraies concernant les impôts des GAFA.







Désolé mais le dumping fiscal c’est ni réglo, ni éthique, ni légale, ni rien du tout!



Surtout que je que convaincu qu’une boîte comme Apple pourrait domicilié ses actifs aux us, quitte à payer bonbon, mais ça serait bénéfique pour leurs image, il pourrait produire made in america, et vu les écarts de entre les super riches et les plus pauvres dans ce pays, un peu plus d’apport de richesse pour lutter en faveur des plus démunis ne serait pas un mal…


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Cara62 a écrit :



Super de l’argent en moins pour la R&D de Apple. Les Bobos italiens iront pas se plaindre que l’Iphone 7 est moins bien que prévu…. Pfff….

On pourrait laisser ces entreprises tranquilles, grâces à leurs innovations, on chance l’humanité.





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rassure moi, c’est du 25ème degré????



non parce que Apple c’est quand même actuellement 200 milliards de dollars en cash qui dorment dans des paradis fiscaux. Alors jouer les pleureuses pour pleurer quelques centaines de millions d’euros d’impôts le tout en employant de gentils employés aux yeux bridés payés 300 ou 400 euros par mois, si ça c’est pas du foutage de gueule…..

le pauvre péquin moyen qui a la malchance d’être à son compte, ou même le particulier, on ne lui fait aucun cadeau, lui

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brazomyna a écrit :



Maximiser sa profitabilité est le meilleur moyen pour évoluer, grandir, innover, en un mot “avancer”.





Avancer ? Grossir ?



En quoi avancer se limite à grossir et grandir, et rien d’autre ? On peut avancer en se maintenant au niveau où on est, c’est pas incompatible du tout. En faisant autre chose, ou en perfectionnant ce qu’on fait déjà, ou en faisant autant (pas plus) mais moins cher (donc plus de profit, sans fatalement grossir)…



Disons un boulanger qui nourrit sa famille et assure son confort avec son petit business, en plus de donner du taf à 2 ou 3 personnes, doit-il fatalement devenir plus gros pour vivre heureux ?


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jeje07bis a écrit :



tes principes fondamentaux, ce sont ceux des capitalistes qui ne pensent



 qu'à leur gueule et qui se foutent royalement du système et des autres......







C’est pas faute d’avoir argumenté en espérant avoir la même “qualité” de réponses en retour <img data-src=" />



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alkashee a écrit :



Le jour où les politiques devront signer leur programmes et si le programme n’est pas rempli à au moins tant de % ne peuvent être réélu, là je serais d’accord avec toi.





Mais ce pouvoir existe déjà au travers du bulletin de vote. Il suffirait de l’utiliser.

&nbsp;

Tu crois réellement que si demain chaque citoyen s’engageait vraiment à ne plus donner une seule voix à un représentant politique qui aurait renié ses promesses, les politiques ne feraient pas plus attention à la soupe qu’ils ‘vendent’ ?



Tu as des exemples concrets de démocratie où ces choses là (ne sont jamais parfaites, mais) fonctionnent bien mieux que chez nous. Où celui qui promet de raser gratis, qui promet du spectaculaire ou du populiste au détriment des positions raisonnées, ne sera jamais élu ; pas besoin d’aller bien loin ; à peine quelques centaines/milliers de km vers le nord de l’Europe.

&nbsp;

Nous on en est encore à voter pour des Balkany.

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Drepanocytose a écrit :



Avancer ? Grossir ?



En quoi avancer se limite à grossir et grandir, et rien d’autre ? On peut avancer en se maintenant au niveau où on est, c’est pas incompatible du tout. En faisant autre chose, ou en perfectionnant ce qu’on fait déjà, ou en faisant autant (pas plus) mais moins cher (donc plus de profit, sans fatalement grossir)…



&nbsp;

D’une façon générale, avancer inclut de répondre de la façon la plus efficiente possible à l’ensemble du marché sur lequel on opère (y compris ses (micro) spécificités), et ça implique donc le plus souvent de ‘grossir’.

&nbsp;

Mais enlève le ‘grossir’ puisque tu veux absolument mégoter sur les mots, ça ne change rien aux fondements du raisonnement.

&nbsp;


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En instaurant un délai max de 2 ou 3 ans pour rapatrié ces sommes, les gouvernements serait gagnant. En instituant une sanction de 5% par an sur les sommes non rapatriés, cela serait rentable.

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jeje07bis a écrit :



tes principes fondamentaux, ce sont ceux des capitalistes qui ne pensent

qu’à leur gueule et qui se foutent royalement du système et des autres……





Si c’était vrai, pourquoi le capitaliste ne conserve-t-il qu’un peu plus de 2% de la valeur de son activité, et donc qu’il en redistribue sociétalement pas loin de 98 % ? Les mécréants ne sont pas là où tu croies.









jeje07bis a écrit :



je dois être trop con de penser que chacun peut participer à la vie collective en payant sa part d’impôts sans chercher à “gruger” le système et sans attendre que les politiques tape sur les doigts en disant “attention, c’est pas biennnnnnn de pratiquer l’optimisation fiscale!”





Je suis d’accord avec tes 5 premiers mots, surtout quand tu fais semblant d’oublier que les possibilités d’optimisation n’existent que de par l’empilement législatif vermoulu bâti par les politiques eux-mêmes au cours du temps pour siphonner de plus en plus de la valeur de l’activité des travailleurs et producteurs.



Chercher à éviter le parasite en utilisant les failles de ce vol en bande organisée de l’entreprise lucrative sans but social qu’est l’État n’est que pur bon sens pour un agent économique rationnel. On n’atteindra le nirvana collectiviste qu’avec une somme d’individus prospères, pas en le décrétant avec du nivellement par le bas.


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tmtisfree a écrit :



Si c’était vrai, pourquoi le capitaliste ne conserve-t-il qu’un peu

plus de 2% de la valeur de son activité, et donc qu’il en redistribue

sociétalement pas loin de 98 % ? Les mécréants ne sont pas là où tu

croies.



et quelle est la répartition des 98%? &nbsp;



&nbsp;





tmtisfree a écrit :



Chercher à éviter le parasite en utilisant les failles de ce vol en bande organisée de l’entreprise lucrative sans but social qu’est l’État n’est que pur bon sens pour un agent économique rationnel. On n’atteindra le nirvana collectiviste qu’avec une somme d’individus prospères, pas en le décrétant avec du nivellement par le bas.





&nbsp;moué qui est vraiment le parasite dans notre système… On profite du système mis en place par l’état mais on fait tout pour ne pas participer aux infrastructures. Ne me dites pas qu’on leur arrache le cœur dans le cas d’Apple avec 200millards dans des paradis fiscaux et des bénéfices de l’ordre de 60 milliards si mes souvenirs sont bons.

et non ils sont pas forcement rationnel. Quand on est rationnel on prend en compte l’ensemble des choses et pas seulement le biais du rendement économique à cour terme. un exemple la grande distribution. Vous trouvez ça rationnel leurs comportements via leur centrale d’achat? asphyxier les producteurs leur est très profitable à cour terme, a moyen et long terme c’est autre chose…


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J’aurais juré qu’on était jeudi pourtant

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Gritou a écrit :



J’aurais juré qu’on était jeudi pourtant





c’est une fin d’année, ça vaut bien l’équivalent d’une bonne cinquantaine de fin de semaines <img data-src=" />


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Pas faux, en plus demain c’est férié, faut bien rattrapper le trollage

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imposer ? des sanctions? de quel droit ? <img data-src=" />



la société est à l’étranger … elle paye les impots qu’elle doit au pays tout à fait légalement …

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Apple n’est plus aux usa?

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Ami-Kuns a écrit :



Apple n’est plus aux usa?





Les filiales qui font peu de bénéfices, oui. Et elles paient leurs impôts aux USA.



Les filiales sur lesquelles sont reporté la majorité des bénéfices ne sont pas aux USA, et à ce titre ne doivent rien aux USA en l’état actuel des règles fiscales.


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Apple oui, mais la société “gérée par Apple inc” qui siége en Irlande ne l’est pas … de même que l’état Americain n’a pas a faire payer des impots à MacDonald France …



Aussi Apple USA ne va pas payer des impots sur de l’argent qu’elle a dépensé en brevets … que l’argent aille à une société “Apple Irlande” ou chez Samsung ou Microsoft …


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et j’ai vu et j’ai cautionné … parfois je me dégoutte <img data-src=" />

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Idée que j’ai avancée pour évité que l’argent dors à l’extérieur du pays de sa société mère pendant des années , si les Fisc des pays des différentes sociétés effectuant le même type de pratique légale veulent que l’argent profite à leur économie.

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Il faut que les associations anti-corruption italiennes portent plainte contre les mecs qui ont négocié et permis au peuple Italien de perdre les 2 autres tiers d’impots non payés par Apple. Le montant réel du : 318 millions x3&nbsp;

Apple consentirait à régler une ardoise de 318 millions d’euros au fisc italien

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