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Ubuntu 17.04 disponible : une évolution douce, avec quelques améliorations notables

Le changement, c'est pas maintenant

Ubuntu 17.04 disponible : une évolution douce, avec quelques améliorations notables

Le 13 avril 2017 à 14h25

Ubuntu 17.04 est désormais disponible au téléchargement. Zesty Zapus clôt ainsi l’alphabet, avant que la distribution Linux ne retourne à la lettre A. Les améliorations de cette mouture sont surtout internes et, globalement, sont plutôt douces pour l’utilisateur.

Maintenant que l’on sait ce qu'il adviendra d’Ubuntu dès l’année prochaine, la version 17.04 apparaît comme l’avant-dernière mouture de la distribution à être encore basée sur Unity. La 18.04 rebasculera en effet sur GNOME, Canonical abandonnant ses efforts sur la convergence. Pour l’heure, on reste donc sur ce que l’on connait.

Unity 7 toujours aux commandes

Visuellement, Zesty Zapus ne provoquera guère de cassure dans les habitudes. Unity n’a pratiquement pas bougé, et seul le passage à GNOME 3.24 pour certains composants et les applications pourra réserver quelques surprises à ce niveau. On y trouvera ainsi un nouveau mode nuit, une application de recettes, une meilleure prise en charge des tablettes Wacom, une configuration plus simple des imprimantes (nous y reviendrons), un centre de contrôle largement remanié, etc.

Répondons tout de suite aux questions principales. Ubuntu 17.04 est toujours fournie avec Unity 7 par défaut. Son support sera de 9 mois, comme n’importe quelle mouture non-LTS. Zesty Zapus recevra donc des mises à jour jusqu’à fin janvier 2018. C’est Ubuntu 17.10 qui prendra le relais dans six mois. Rappelons que les moutures LTS sont supportées pendant cinq ans. Les décisions récentes n’y changeront d’ailleurs rien.

Un noyau Linux 4.10 particulièrement important

La distribution embarque le noyau Linux 4.10 qui contient bon nombre d’améliorations – on se rappelle d’ailleurs d’une gestation plus longue que prévu. Signalons ainsi le support des pilotes Nouveau Boost (NVIDIA), celui du Turbo Boost Max 3.0 d’Intel, une meilleure prise en charge des Surface et Raspberry Pi 3, le support du Fail Fast, des corrections pour le HDMI avec les processeurs Skylake ou encore de meilleures performances globales pour le Wi-Fi. On y trouve également de quoi gérer les spécificités de Ryzen et une amélioration générale de la consommation pour les ordinateurs portables.

On enchaine avec la valse habituelle des paquets mis à jour, tant pour les applications que pour les composants. LibreOffice continue ainsi de régner sur les distributions Linux, ici en version 5.3.2. Contrairement à la phase bêta d’Ubuntu, la plupart des applications GNOME fournies sont désormais en mouture 3.24, à l’exception notable de Nautilus et de sa recherche plus rapide. On notera d’ailleurs la présence de chrome-gnome-shell, chargé de faire le lien entre les navigateurs (Chrome, Chromium, Opera et Vilvadi) et les extensions GNOME Shell.

Plus de partition swap, les imprimantes utilisables sans pilote

Si on creuse un peu plus sous le capot, on trouve cependant des modifications plus importantes, mais pas forcément visibles par l’utilisateur. L’une des plus significatives est la disparition de la partition de swap, au profit d’un fichier.

Il y a principalement deux avantages : on ne monopolise pas tout un segment du disque, et le fichier peut varier en taille selon les besoins. Attention toutefois en cas de chiffrement via LVM, car il faudra alors préserver cette partition. Dans tous les cas, la modification est faite pour prendre appui sur les configurations modernes, où la RAM est beaucoup plus souvent suffisante pour se passer de swap en utilisation quotidienne.

Côté gestion des imprimantes, ça bouge également. Tous les modèles compatibles Apple AirPrint et IPP Everywhere devraient être ainsi utilisables sans installation du moindre pilote spécifique, au moins pour toutes les fonctionnalités de base. Mieux, Ubuntu 17.04 doit les détecter automatiquement, qu’elles soient installées en réseau ou reliées en USB.

Le train des évolutions se ralentit

Pourtant, en dépit de quelques changements importants, la liste des nouveautés principales s’arrête là. Depuis maintenant plusieurs versions, Ubuntu n’introduit que peu d’apports vraiment notables, l’évolution étant globalement assez douce. Les changements annoncés récemment ne peuvent que ralentir les développements, surtout quand on sait qu’une partie des développeurs est actuellement licenciée, alors même que Mark Shuttleworth, fondateur de l’entreprise, reprend les rênes.

Le fait d’avoir investi tant de ressources dans le travail sur Unity 8 et le serveur d’affichage Mir (tous deux toujours testables dans une session d’essai) a mathématiquement freiné toute arrivée d’autres composants. Puisque Canonical ne compte pas revenir pleinement à GNOME avant l’arrivée d’Ubuntu 18.04 dans un an, il y a peu de chances que le support de Wayland soit poussé avant. Un écart qui se creuse avec la concurrence, surtout quand on sait que Fedora 25 utilise le nouveau serveur par défaut (la première distribution à le faire).

Toutes les variantes d'Ubuntu ont été mises à jour

Quoi qu’il en soit, tous les téléchargements d’Ubuntu 17.04 sont prêts, dans les multiples variantes habituelles. Depuis la page de téléchargement du site officiel, on retrouve ainsi les moutures Desktop, Server, Cloud (avec OpenStack Autopilot) ou encore Core. Cette dernière est pour rappel entièrement bâtie autour des paquets Snap, avec des mises à jour transactionnelles. Elle est conçue pour les environnements de type cloud et les objets connectés.

Tous les « parfums » habituels d’Ubuntu sont également présents : Kubuntu, Lubuntu, Budgie, GNOME, Kylin, MATE, Xubuntu ou encore Ubuntu Studio sont également disponibles. À chaque fois, l’utilisateur pourra choisir entre les architectures 32 et 64 bits. Notez que les secondes sont toujours recommandées dès lors que la machine possède 4 Go de mémoire vive ou plus.

Commentaires (26)

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Le début de la fin pour Ubuntu ?

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Faut dire qu’une fois que l’OS fait ce pour quoi il a été créé, faire tourner le bousin et les logiciels qu’on y installe… quoi faire de plus ? De nouvelles fonctionnalités c’est bien, utile c’est mieux.



 Ubuntu est plutôt mature maintenant, faudrait pas que ça devienne un bloatware juste pour gonfler les releases notes.

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Finir en même temps que les lettres de l’alphabet c’est beau.

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maintenant que unity 8 est abandonné, peut etre que je remettrai la version 18.04

j’etais passé a mint, et j’ai installé “pour voir”, une debian stretch sur un pc a coté afin de gouter aux avancée de gnome/wayland/mesa et trouver des alternatives à ce qui manquait par rapport a ubuntu (PPA et pilotes propriétaires)

j’etais parti pour, peut etre, passer a debian en 2018.

 

du coup, l’avancement des version intermédiare m’interresse a nouveau, et qui sait ? je reviendrai peut etre a une ubuntu stock :)

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Si mais il détecte si tu es sur un OS 32 bits ou 64 bits. Le site gamingonlinux.com est une vraie bible sur le sujet.

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Pour info, cette version embarque enfin Xorg-server 1.19 :)



Pour les possesseurs de puce Nvidia Optimus comme moi, cette version corrige pas mal de choses, notamment les problèmes de tearing avec les drivers propriétaires. Hâte de tester ça !

 

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Il me semble aussi que le noyau 4.10 permet un support de version supérieur d’OpenGL pour les pilote open-source AMD pour le GPU.

Si l’on est sur un noyau stable de la version précédente on est en ogl 3.3 et avec 4.10 on monte à 4.x.

Enfin tout cela est à vérifier, mais il me semble bien quand même.

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Alors en fait on passe de 4.1 à 4.5.

Ça aide pas mal dans les jeux récents quand même.

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Tant mieux qu’ils se concentrent sur le peaufinage de l’existant. Ça partait un peu en vrac ces derniers temps.



Pas de variante Cinnamon au passage, un peu dommage, mais il y a Mint pour ça… À suivre quand même.

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Pour info, à l’heure où j’écris, le dépôt FR à pas encore fait son rsync.

remplacez donc “fr.archive.ubuntu.com” par “fr2.archive.ubuntu.com” qui lui est déjà ok, dans le cas où ça ne vous propose pas de mise à jours.

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C’est pas totalement vrai. Déjà, parce que dans les évolutions de l’OS il y a d’abord le support de nouveaux matériels (et l’adaptation éventuelle de l’interface à ce matériel), et ensuite, car certes Ubuntu fait ce qu’il doit faire mais il ne ne fait pas toujours de manière bien intuitive et pratique. Il y a donc toujours de la place pour des améliorations, et je comprends ceux qui en attendent un peu plus à chaque release.

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« la disparition de la partition de swap, au profit d’un fichier.



Il y a principalement deux avantages : on ne monopolise pas tout un segment du disque, et le fichier peut varier en taille selon les besoins »



Cela apporte également un inconvénient : un fichier dont la taille « varie en fonction des besoins » provoquera de la fragmentation sur le disque dur (cet inconvénient n’existe pas sur un SSD).

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l’inconvénient que je vois, c’est qu’on a toujours dit que c’était plus lent qu’une partition swap (sur HDD) pour la raison que tu évoques j’imagine, quelque chose a changé?

Et il est déconseillé de mettre un swap sur un SSD car ça limite fortement sa durée de vie

Je ne vois pas pourquoi ils vont dans cette direction, peut être la simplicité de la configuration automatique.

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Sylvain_Blandel a écrit :



Cela apporte également un inconvénient : un fichier dont la taille « varie en fonction des besoins » provoquera de la fragmentation sur le disque dur (cet inconvénient n’existe pas sur un SSD).





Après, installer un OS en 2017 sur un HDD…


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Heureusement, il y a Optane <img data-src=" />

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Ouais enfin j’ai toujours laissé le swap sur mes SSD perso et aucun problème après plus de 5 ans. Dans la pratique je n’ai jamais vu de panne de la mémoire sur un SSD (j’ai quand même tenu un magasin d’informatique pendant 5 ans). C’est le contrôleur ou les condensateurs éventuel qui lâchent. Vu le nombre de cycles encaissé, un SSD de 240GB va falloir longtemps pour que la mémoire soit tuée.

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David_L a écrit :



Heureusement, il y a Optane <img data-src=" />





The futur is here!&nbsp;<img data-src=" />


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“Il y a principalement deux avantages&nbsp;: on ne monopolise pas tout un

segment du disque, et le fichier peut varier en taille selon les

besoins. Attention toutefois en cas de chiffrement

via LVM, car il faudra alors préserver cette partition. Dans tous les

cas, la modification est faite pour prendre appui sur les configurations

modernes, où la RAM est beaucoup plus souvent suffisante pour se passer

de swap en utilisation quotidienne.”



Non seulement l’inconvénient n’existe pas sur un SSD, mais au contraire ça permet de profiter (à nouveau) d’un swap sur SSD.&nbsp;

En effet, la séparation par partitionnement étant physique, tu obligeais auparavant ton système à écrire toujours sur la même portion, réduisant ainsi à néant les mécanismes de répartition d’usure du SSD. En tout cas c’était vrai il y a 3 ans, j’ai testé (et désapprouvé XD un ssd usé avant l’heure). Comme par ailleurs avec assez de RAM (par rapport à ses besoins) on peut s’en sortir sans swap, depuis j’avais installé mon système sans /swap.* Un peu hardcore mais ça passe la plupart du temps. En revanche effectivement, il m’est arrivé de saturer la mémoire et là sans fichier swap le système n’est pas content.



Désormais plus de soucis. \o/

&nbsp;

@Marc tu pourrais rajouter cet avantage éventuellement. ;)



* Je suis bien certain qu’il existe depuis des années d’autres systèmes de swap basés sur des fichiers que l’on peut installer sous Linux, mais honnêtement j’avais pas envie de me prendre la tête. <img data-src=" />

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Citan666 a écrit :



* Je suis bien certain qu’il existe depuis des années d’autres systèmes de swap basés sur des fichiers que l’on peut installer sous Linux, mais honnêtement j’avais pas envie de me prendre la tête. <img data-src=" />





Il y a même moyen de faire un fichier swap partagé entre Linux et Windows. J’avais lu ça dans Linux Magazine il y quelques temps… Enfin, quelques temps, c’était il y a longtemps, c’était dans les premiers numéros de Linux Magazine, autrement dit, ça remonte <img data-src=" /> (c’était un temps où Mandrake Linux était cool, où RHEL n’existait pas encore et où Debian distribuait des patates sur 3 ou 4 CD).


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Citan666 a écrit :



j’avais installé mon système sans /swap.





Sans swap, pouvais-tu mettre ton ordinateur en hibernation ?





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Hmm “mettre en veille” ne m’a jamais posé de problèmes (je parle là du mode -pour moi- où la diode de l’ordi reste allumée par intermittence, donc je suppose qu’il garde assez de jus pour conserver la mémoire vive).



En revanche, maintenant que tu me le dis, à chaque fois que mon système a essayé de se mettre en veille prolongée du fait de batterie critique, il est mort soudainement. J’avais toujours mis ça sur le compte d’une mauvaise configuration de ma part / problème d’évaluation du niveau de batterie (genre pas assez de jus pour soutenir toute l’opération) mais peut-être qu’en fait c’était dû à ça… <img data-src=" />



(Sinon, en théorie, je serais tenté de dire qu’effectivement tu ne peux pas faire de veille prolongée sauf à bien bidouiller ta config, mais je doute que la config par défaut dans les distribs prévoit un contournement en cas d’absence de fichier d’échange accessible. Donc si c’est un besoin pour toi… ;))

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Possible de virer le swap après une upgrade de la 16.10 ?

Et est-ce préférable de le faire si on n’a que 4go de RAM ? (mais un bon SSD en relai).

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Sylvain_Blandel a écrit :



Cela apporte également un inconvénient : un fichier dont la taille « varie en fonction des besoins » provoquera de la fragmentation sur le disque dur (cet inconvénient n’existe pas sur un SSD).





Ça veut plutôt dire que si tu augmentes ta RAM, il te suffit d’agrandir le fichier de swap.

Par ailleurs sous Linux la fragmentation n’a jamais été un problème.







jaguar_fr a écrit :



l’inconvénient que je vois, c’est qu’on a toujours dit que c’était plus lent qu’une partition swap (sur HDD) pour la raison que tu évoques j’imagine, quelque chose a changé?

Et il est déconseillé de mettre un swap sur un SSD car ça limite fortement sa durée de vie







  1. un fichier de swap est plus lent car il y a la couche filesystem en plus à gérer, après, la différence n’est pas forcément très importante

  2. un SSD se satisfait très bien d’une partition de swap, il faut arrêter avec ce mythe en 2017 (qui doit dater d’avant 2010).







    FREDOM1989 a écrit :



    Ouais enfin j’ai toujours laissé le swap sur mes SSD perso et aucun problème après plus de 5 ans.





    Idem. j’ai même le même SSD depuis 2009 pour mon système, pas eu de raison d’en changer.







    Citan666 a écrit :



    Non seulement l’inconvénient n’existe pas sur un SSD, mais au contraire ça permet de profiter (à nouveau) d’un swap sur SSD. 

    En effet, la séparation par partitionnement étant physique, tu obligeais auparavant ton système à écrire toujours sur la même portion, réduisant ainsi à néant les mécanismes de répartition d’usure du SSD.





    Mais non, ça fait belle lurette que les algorithmes de répartition d’usure gèrent ça très bien. Tu as eu un SSD qui avait un défaut.







    Citan666 a écrit :



    Comme par ailleurs avec assez de RAM (par rapport à ses besoins) on peut s’en sortir sans swap, depuis j’avais installé mon système sans /swap.* Un peu hardcore mais ça passe la plupart du temps. En revanche effectivement, il m’est arrivé de saturer la mémoire et là sans fichier swap le système n’est pas content.





    En effet, Linux marche très bien sans swap, pour peu qu’on ait assez de mémoire par rapport à son usage.

    NB : j’ai même testé pendant 1 an sur un (vieux) portable de bureau Windows XP que j’avais passé de 2 à 3 G de RAM, jamais vu un Windows aussi réactif.



    Je garde une petite partition de swap (512 M ou 1 G) juste parce que je ne redémarre que rarement mon système et que ça permet d’encaisser plus longtemps les petites pertes mémoire de certains logiciels, ainsi que Firefox quand il devient obèse au bout de plusieurs jours et qu’il bouffe en résident plus de 2 G de RAM sur les 4.


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Sylvain_Blandel a écrit :



Sans swap, pouvais-tu mettre ton ordinateur en hibernation ?





En effet ça empêche.



Remarque, une solution pour le faire rapidos en cas de besoin, c’est de créer un fichier de swap juste avant, si le disque est rapide et la mémoire pas démentielle, ça ne devrait pas mettre trop de temps.



Pour ma part je ne mets jamais mon portable en hibernation, seulement en veille. La durée est limitée mais elle dépasse 24 h tranquillement donc ça ne m’a jamais gêné. Et j’ai tendance à le rebrancher aussi.







Citan666 a écrit :



En revanche, maintenant que tu me le dis, à chaque fois que mon système a essayé de se mettre en veille prolongée du fait de batterie critique, il est mort soudainement. J’avais toujours mis ça sur le compte d’une mauvaise configuration de ma part / problème d’évaluation du niveau de batterie (genre pas assez de jus pour soutenir toute l’opération) mais peut-être qu’en fait c’était dû à ça… <img data-src=" />





<img data-src=" />







CNek a écrit :



Possible de virer le swap après une upgrade de la 16.10 ?

Et est-ce préférable de le faire si on n’a que 4go de RAM ? (mais un bon SSD en relai).





C’est possible de virer la swap depuis toujours, même avec 2 Go de RAM. Tu as moins le droit de déborder après, cela dit la swap c’est un pis-aller, c’est très lent si ça sert souvent.



NB : je voulais le signaler dans mon commentaire précédent : la swap c’est plus une sécurité pour quand on a une application gourmande qui peut avoir besoin de mettre des zones mémoires de côté (c’est le système qui le fait bien sûr, pas l’appli qui n’en a pas conscience), typiquement un navigateur avec plein d’onglets ouverts mais seulement 4-5 qu’on utilise vraiment pendant un moment ; ça permet aussi de swapper des données froides et d’utiliser la RAM comme cache disque (ou pour l’application) pour plus d’efficacité.



Mais en fonctionnement normal, la swap ne devrait avoir que peu d’activité en I/O, sinon votre machine va ramer. Ça vaut encore plus pour des machines de production. Cela est vrai depuis très longtemps pour Unix et donc Linux.


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D’un autre côté quelqu’un qui veut utiliser Steam sous LInux doit maintenant avoir une distro 64 bits, d’autant que tous les jeux récents exigent un Linux 64 bits (bien plus que sous W—–s).



Sous un Linux 32 bits il est impossible d’accéder au store.

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Je me trompe peut-être, mais le client steam lui-même n’est-il pas fourni en 32bits par valve ?

Ubuntu 17.04 disponible : une évolution douce, avec quelques améliorations notables

  • Unity 7 toujours aux commandes

  • Un noyau Linux 4.10 particulièrement important

  • Plus de partition swap, les imprimantes utilisables sans pilote

  • Le train des évolutions se ralentit

  • Toutes les variantes d'Ubuntu ont été mises à jour

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