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Romaindu83

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818 commentaires

Le 12/03/2018 à 14h 01

Qu’est-ce qui peut bien définir qu’un film n’a pas été un succès en salle ? J’ai bien ma réponse. Aux Etats-Unis, le succès d’un film dépend des recettes accumulées. En France, le succès d’un film dépend du nombre d’entrées. Un système objectif quand le système américain est subjectif. Le succès d’un film ne peut se définir que par le nombre de personnes qui se sont déplacées pour aller le voir et non pas par les recettes qu’il accumule.



Concernant la chronologie des médias, il faut bien comprendre que celle-ci doit contenter tous les acteurs du marché. Ainsi, vous ne pouvez pas décider que les DVD/Blu-ray/VOD de films à succès puissent être proposés à l’achat moins de trois mois après leur sortie en salle. Les salles obscures doivent pouvoir profiter des rentrées d’argent des blockbusters. Je sais bien qu’ici, une horde d’Internautes viendra me dire qu’elle ne va plus dans les salles de cinéma. Mais qu’importe : les salles obscures doivent pouvoir vivre.



Quand à la Société des auteurs et compositeurs dramatiques, je me demande bien si elle a été un jour satisfaite de la chronologie des médias. Ainsi, fut une époque où la VOD et les blu-ray étaient inexistant. La sortie d’un film en DVD avait été raccourcie de six mois à quatre mois. La SACD était déjà mécontente. Certes, la SACD existe pour protéger les intérêts des auteurs et compositeurs dramatiques. Elle oublie que c’est nous, potentiels acheteurs, qui les faisons vivre.

Le 12/03/2018 à 13h 36

Je n’ai jamais transmis mon numéro de téléphone à Facebook et à Tweeter. En revanche, Google le connaît puisque j’utilise la validation en deux étapes.



Ainsi, si je ne me trompe pas (je ne l’ai essayé qu’une fois), la version mobile de Facebook n’oblige pas l’utilisateur à lui communiquer son numéro de téléphone. Pourquoi le faire ?



D’une façon plus générale, les Internautes devraient savoir que lorsque les sites ne requièrent pas un numéro de téléphone pour être utilisé, mieux vaut s’en abstenir ou le faire au cas par cas.



Mais… une fois de plus, je suis sûr que ceux qui donnent facilement leurs numéro de téléphone sont les adolescents…😕

Le 28/02/2018 à 20h 12







Minikea a écrit :



donc, ta conclusion c’est de ne pas faire confiance au dev et de ne pas le rémunérer?



 perso, je pense que l'idée de départ de  alpha\_one\_x86  

était la bonne mais son implémentation et la communication autour était

mauvaise. comme souvent, c'est un problème de communication qui fout en

l'air une idée prometteuse.






 Maintenant que le projet a eu un      

petit coup de pub, je pense qu'il pourrait mettre en place des

solutions annexes: donner directement son adresse BTC pour lui faire des

dons en cryptomonnaie, dev un logiciel de minage en prenant une com

(beaucoup de logiciels de minage prennent 5% de com), ...








 Je préfère et je préfèrerais toujours qu'un développeur propose une  version payante de son logiciel plutôt qu'il implémente un mineur de  crypto-monnaie.      






A titre personnel, je préfère sortir ma carte  bleue et payer ainsi le développeur, même si c'est un abonnement mensuel ou annuel.       






Je dois avoir une quinzaine d'applications sur  Android que j'ai acheté ou auxquelles je me suis abonné : TouchPal  (abonnement), Drupe (abonnement), Nova Launcher, Podcast Addict, Textra,      

SoundHound, Batterie HD, ect... A ce jour, je n'ai plus aucun logiciel que j'utilise illégalement sur mon PC : Windows 10, O&O Defrag 21 Professionnal Edition, Revo Uninstaller 3.2.0, Office 2016 (abonnement), Bitdefender Total Security 2018,  PowerDVD 17 Ultra. Pour tous, ma carte bleue a été crédité d'un certain montant. Je te laisse aller voir les prix.






Bref, ce n'est pas moi qu'il faut critiquer. Je finance le travail soit de  développeurs indépendants, soit le travail de grosses sociétés. Je leur  fais confiance et j'ai compris que tout travail mérite salaire. Je vais  avoir 35 piges au mois d'octobre. L'époque où j'utilisais "à donf" des  logiciels piratés est révolue.      











alpha_one_x86 a écrit :



Là, le code est open source. Peu tu dire réellement que l’argent recu par paypal est utilisé pour le développement?



 



La réciproque est également vraie. Peut-tu m'apporter la preuve que l'argent que reçoit Paypal n'est pas utilisé pour le développement ? Ni toi ni moi avons la réponse à ta question et à la mienne. Tu peux prétendre que Paypal est le Diable incarné. En tout cas, et même si le service se finance en prélevant des commissions (rien d'anormal), il rend service à de nombreuses personnes, dont des développeurs indépendants, qui passent par ce service, faute de pouvoir proposer un paiement par carte bancaire.      











alpha_one_x86 a écrit :



Je suis CEO d’une SARL de 10 employé et aussi professionnel que les autres entreprises du secteur. Donc le faites de placé Ultracopier sous la tutelle de mon entreprise devrai éloigner ce genre de crainte ;) Et Microsoft comme beaucoup d’autre peuvent fermer, c’est la ou l’open source prends tout son sens: tout le monde peu continuer le développement.






Certes, une entreprise comme Microsoft peut mettre la clé sous la porte mais ce n'est pas demain la veille que cela se produira. Mais je te l'accorde, c'est un risque.      






Mais le risque existe aussi dans l'open source. Une communauté peut se diviser, se dissoudre ou, faute d'être assez grande, abandonner un logiciel. Cela s'est déjà produit. Alors, certes, l'avantage est que l'utilisateur n'aura pas déboursé un centime. Mais le final sera le même que pour une grosse entreprise : le logiciel disparaîtra.      






Ce que tu m'avances au sujet d'Ultracopier me rassure quand à un possible achat de ton logiciel. A voir ! J'ai bien acheté d'autres logiciels, alors pourquoi pas le tien ? Tu sembles "solide", si tu vois ce que je veux dire. Et ça pèse beaucoup dans ma balance.      






       







127.0.0.1 a écrit :



Mais le temps de minage/cpu/cerveau/travail c’est une forme de paiement.



 C'est juste que ce n'est pas une valeur monétaire euro/dollar/e-coin.       






 J'ai l'impression que les gens sont davantage prêt à payer en temps de XYZ qu'en monnaie. Ils ont acceptés de payer en temps pour la pub tv/web, les recaptcha de Google, les "répondez a ce questionnaire pour télécharger ce fichier", etc.








En général, les gens sont plus enclins à payer avec leur carte bleue qu'à accepter un mineur de crypto-monnaie, pour peu qu'ils sachent de quoi il s'agit. Ni plus ni moins.      






Peut-être que les mentalités, dont la mienne, doivent encore évoluées pour accepter ce mode de financement ? Peut-être... Pour le moment, les utilisateurs préfèrent ou la publicité ou la carte bleue... ou le piratage.

Le 28/02/2018 à 15h 57

J’utilise la version gratuite d’Ultracopier depuis l’abandon de Supercopier par sfxteam. Cependant, et sans rentrer dans les détails, je trouve qu’Ultracopier ne lui arrive pas à la cheville. Niveau interface, ergonomie et même rapidité, je pense qu’Ultracopier a encore du chemin à faire pour égaler Supercopier.



Ceci étant dit, j’ai donc utilisé Ultracopier lorsque son développeur avait mis en place un mineur de crypto-monnaie. Mais cela était pour une autre version, que je n’utilisais pas. Et pour cause…



Même si il y a un message d’avertissement et que cela est désactivable, l’implémentation dans un logiciel d’un mineur de crypto-monnaie peut être perçu comme étant intrusif. Il faut ajouter à cela qu’un utilisateur peut se demander ce qui se trame derrière ce mode de financement. Autrement dit, est-ce réellement pour financer le développement ? Un mineur de crypto-monnaie comme mode de financement peut être un moyen sournois de se rémunérer, car il ne montre jamais le bout de son nez, contrairement à de la publicité ou à l’option d’acheter une version  payante.



Le développeur a arrêté la version d’Ultracopier qui comportait un mineur de crypto-monnaie. Bien que je puisse comprendre que cela reste le meilleur moyen de rémunérer son travail, il n’en reste pas moins que sur le plan éthique, je trouve cela discutable. Je préfère qu’un développeur propose, comme il le fait, une version payante de son logiciel. Au moins c’est clair, net et précis et donc à l’abri de toute polémique.

 

Le problème que j’ai avec la version payanye d’Ultracopier, c’est… jusqu’à quand le développeur maintiendra Ultracopier ? Ce n’est pas un professionnel comme Microsoft. La vie peut réserver de bonnes comme de mauvaises surprises et l’obliger à stopper du jour au lendemain le développement d’Ultracopier. Je remarque cela régulièrement avec les applications gratuites et payantes sous Android. De quoi avoir les nerfs, surtout lorsque je sors la carte bleue…

Le 27/02/2018 à 20h 32

Je suis en France, pays où la langue officielle est le français depuis 1539, date à laquelle François Ier imposa, par ordonnance royale, l’utilisation du français en lieu et place du latin.



479 ans… oui, 479 ans que le français est la langue officielle de la France. Il est normal que les termes anglais qui sont utilisés couramment en France soient francisés par des commissions ou par la respectueuses Académie françaises.



De fait, “fake news” n’a absolument pas sa place dans la langue française. Pas plus que “mail”, “ community manager”, “shareware”, “people review”, ect…



L’anglais envahie la langue française. Pire, il l’abîme, avec l’utilisation du franglais, qui ne veut rien dire. Les Français sont très mollassons concernant ce sujet. Comme bien d’autres d’ailleurs. Les Québecois prêtent bien plus d’attention à la langue française. Ils se sont battus pour que, dans un pays anglophone, leur langue officielle soit le français. Et ils protègent leur langue officielle, notamment via la Charte de la langue française. Nous, Français, géniteur de langue française, ne prêtons absolument aucun intérêt à notre langue. Il vrai que dire “shopkeeper” plutôt que cadre, “showroom” plutôt que zone d’exposition, “task force” plutôt que de dire “force opérationnelle”, ça fait mieux, beaucoup mieux………….

Le 08/02/2018 à 19h 28

Et maintenant ? Il faut construire le nouvel USS Enterprise, qui voyagera dans l’espace, à une vitesse subliminale, afin d’aller là où nul homme est déjà aller.



 Plutôt que de fabriquer des fusées, la NASA devrait voir les choses en grand !







… Ah mince, Star Trek, c’est de la science-fiction ? OK….

Le 08/02/2018 à 17h 37

A chaque fois qu’un opérateur mobile souhaite installer une antenne relais, les personnes habitant prêt de l’endroit où sera cette antenne traîne en justice l’opérateur mobile. Il n’est pas question ici pour moi de dire si ces personnes ont tord ou raison. Ce n’est pas le sujet. Parfois, les riverains gagnent, parfois c’est l’opérateur mobile qui gagne. Dans le dernier cas, ce qui est certain, c’est que cela peut parfois retarder de plusieurs années l’installation de cette antenne relais au point que l’opérateur mobile peut abandonner ce projet.



Bref, si l’installation d’une antenne-relai de téléphonie mobile est soumise à une réglementation très sticte, notamment pour les champs électromagnétique qui sont générés, cela ne permet pas de rassurer les riverains, qui font appelle au principe de précaution.



Les antennes-relais sont indispensables pour la couverture mobile. Que l’association des Régions de France demande une plus grande couverture mobile, cela s’entend évidemment. Lorsque je regarde le site Internet couverture-mobile.fr, je vois clairement que des zones sont très mal desservie et qu’il existe encore des zones blanches dans des endroits qui ne devraient pas l’être. Mais l’association des Régions de France ne pourra pas s’opposer aux riverains qui contestent l’installation d’une antenne-relai à proximité de leur habitation. Aujourd’hui, de plus en plus de gens ne veulent pas ou plus d’antennes-relais prêt de chez eux et, de fait, cela a un impact sur la couverture mobile. Il reste la solution d’augmenter les émissions des antennes-relais déjà présente, mais notre réglementation l’interdit.



En résumé, l’association des Régions de France veut une meilleure couverture mobile. Les Français réclament eux aussi une meilleure couverture mobile. Mais sans avoir d’antenne-relais prêt de chez eux. A moins qu’une nouvelle technologie face sont apparition, ceux sont deux désirs qui s’opposent l’un et l’autre et qui ne peuvent satisfaire personne. Une véritable schizophrénie.

Le 07/02/2018 à 18h 55

Je suis consterné. Oui, consterné… non pas par la justice de mon pays mais pas la naïveté, la stupidité et l’incrédulité des Internautes. Comment peuvent-ils penser qu’ils sont libres de dénigrer librement sur les réseaux sociaux les entreprises qui les emploient, leurs patrons, leurs responsables et leurs collègues de travail ?



Enfin, il est évident que si vous laissez ouvert une session privée d’un réseau social, celle-ci sera accessible à tout à un chacun… Suivant d’où vous vous connectez, il faut toujours fermer sa session. C’est plus prudent.



Et, de toute façon, hormis si vous êtes community manager, un lieu de travail n’est pas l’endroit pour consulter des réseaux sociaux, à part peut-être ceux du même type que Yammer.

Le 24/01/2018 à 21h 23







sebazerty a écrit :



C’est quoi des journaux officiels dignes de confiance?? Perso j’ai une théorie qui fait mouche à tous les coups: “c’est toujours celui qui paye qui décide”, ce qui amène à: “ne mords pas la main qui te nourrit”





Les journaux officiels, c’est par exemple Var-Matin pour mon journal local, ce sera aussi Le Nouvel Observateur, Le Figaro, Le Monde, ect… A cela, tu peux ajouter les journaux télévisés comme ceux du groupe France Télévision ou les journaux des différentes radios.



Les journaux que je viens de citer sont des médias de masse, qui véhiculent différentes informations. Chacun de ces médias de masse à une ligne éditoriale différente. Ainsi, Le Figaro a une ligne éditoriale de droite et Le Monde a une ligne éditoriale de centre-gauche. Pour autant, est-ce que le Gouvernement les dirige d’une main de maître ? Jusqu’à preuve du contraire, non. Enfin, leurs propriétaires ont naturellement des sensibilités politiques différentes. Ils peuvent être également proche de certain partis politique. De là à m’affirmer que leurs journalistes ne peuvent donc pas être libre… autant me dire que nous vivons encore sous la censure.



Cependant… à chacun son avis. Inutile donc de s’acharner sur moi. Mais si une personne pense que les médias de masse ne sont pas digne de confiance, je l’invite à se diriger vers des médias alternatifs, qui sont par définition indépendants. Mais, clairement, dans les médias alternatifs, il y a de tout et de n’importe quoi. Il faut bien les choisir. En effet, certains médias alternatifs sont passés maître dans l’art de générer des fausses actualités. Des fausses informations parfois très mal élaborées. Avec un peu de jugeote, une fausse informations est décelable à des kilomètre à la ronde. Pourtant, nombreux sont ceux qui se font avoir. Les complotistes se frottent les mains.


Le 24/01/2018 à 19h 29

Et la responsabilité individuelle dans tout cela ? Est-ce qu’une loi est nécessaire contre les fake news ?



Si les gens arrêtaient de lire les actualités officieuses provenant de site louches, ce serait un grand pas. Sauf que les gens, notamment les jeunes, ont une nette tendance à ne plus croire les actualités provenant des journaux officiels. Comme si tous les journalistes étaient à la solde du Gouvernement. De plus en plus de gens remettent en cause la liberté de la presse… Je le déplore.



Les réseaux sociaux sont aussi très pourvoyeurs de fake news. Les Internautes ne prennent pas le temps d’aller se renseigner ailleurs pour avoir la confirmation que ce qu’ils ont lu est véridique.



Au pire, si les gens ne sont pas satisfait du traitement de l’information fait par les journaux officiels, il y a des médias indépendants très sérieux. Je pense à Mediapart, Agoravox, Les moutons enragés, Alternatives économiques, ect…



Mais ce n’est pas en allant sur Egalité & Réconciliation, Sputnik ou encore RT qu’ils s’informeront correctement… Hélas, ces sites connaissent une affluence indigne de la qualité rédactionnelle de leurs articles, qui sont souvent des contre-vérités.



Enfin, les fakes news sont alimentés et alimentent les théories du complot. Les complotistes usent souvent de fakes news pour démontrer qu’ils ont raison. Des fakes news qui proviennent de sites louches, tel que ceux que j’ai cité dans mon précédent commentaire. Malheureusement, contrer des complotistes est une tâche très compliquée. En plus, généralement, les complotistes cassent systématiquement les débats. Les complotistes n’apportent rien à la société. Ils sont un fléau, même si je respecte la liberté d’expression.

Le 24/01/2018 à 19h 01







127.0.0.1 a écrit :



Quand on critique le choix fait par la majorité des gens (la “masse”), c’est qu’on fait soi-même partie d’une minorité d’opinion.



A méditer. <img data-src=" />





Est-ce que la masse a forcément raison ? La majorité n’a pas le droit d’imposer sa connerie à la minorité.


Le 23/01/2018 à 16h 32

La dégooglisation de notre société prendra du temps… Google a réussit à imposer à la masse son écosystème pernicieux.



Il faut dire que cette masse recherche la facilité. Pourquoi s’embêter à chercher un autre moteur de recherche, à le tester et éventuellement à l’utiliser ? Le moteur de recherche de Google est dans plus de 90% des cas proposé par défaut. Cette masse s’en contente parfaitement, sans se préoccuper de la collecte des donnée et de ce qu’en fait la firme de Mountain View.



Ensuite, l’écosystème de Google fonctionne très bien. Les relations entre les différents services qu’il propose se font sans heurt. Cela fait oublier à la masse tout le coté obscur de Google.



Enfin, la grande majorité des smartphones sont équipés d’Android, le système d’exploitation pour mobile de… Google. La plupart des utilisateurs de Google utilisent donc les applications de Google sur Android (Chrome, Youtube, Play Musique, Google+, ect…). Ils ne vont pas chercher à utiliser des applications concurrentes. Or, sur Android, faut-il le rappeler, utiliser les applications de Google n’est pas une obligation, à part peut-être le Play Store.



En résumé, pour qui le veut bien, il n’est pas nécessaire de devenir esclave de Google pour bien utiliser Internet et un smartphone sous Android.



Vu que la masse cherche la facilité, si un autre moteur de recherche est proposé par défaut, plus respectueux de leur vie privée, celle-ci s’en contentera, abandonnant le moteur de recherche de Google. L’idée de ces députés n’est donc pas si idiote que cela. Mais je préfèrerais que cette masse réfléchisse par elle-même et coupe le cordon ombilical que le lie à Google. Cela s’appelle la responsabilité individuelle.

Le 16/01/2018 à 17h 44







Patch a écrit :



Non.



J'ai été administrateur de forum par le passé, je n'avais pas accès aux MP.








Je n'y crois pas une seule seconde. :fumer: J'ai connu des administrateurs qui avaient accès à la messagerie privée, ce qui leur a permis d'ailleurs de foutre dehors des éléments perturbateurs.    





Et si ce n’est pas l’administrateur qui y a accès, il y a toujours une personne au-dessus de l’administrateur. Il s’agit de l’hébergeur. Un hébergeur doit avoir accès à tout le contenu qu’il héberge, y compris la messagerie privée.



Une messagerie privée n’a de privée que son qualificatif.


Le 16/01/2018 à 13h 53







Drepanocytose a écrit :



C’est une bonne question ça. Est-ce que NXI a acces à nos MPs ! Et nous balanceraient ils sans vergogne sous injonction judiciaire ?






Que l'équipe n'aille pas me jouer de la flute en me disant qu'aucun des employés n'y a accès. NextINPact n'échappe pas non plus à la règle. Certaines personnes de l'équipe ont ces accès. Il faut être naïf pour croire que les messages privés sont réellement privés, quelque soit le lieu où tu te trouves. A moins d'utiliser une messagerie cryptée, mais là, c'est autre chose.

Le 16/01/2018 à 13h 48

Ce qui est certain, c’est que le ou les administrateurs des sites Internet/forums ont accès aux messages privés des utilisateurs. Ils sont tout en haut de la hiérarchie : ceux sont les responsables de ces sites Internet/forums. A ce titre, ils les gèrent et les maintiennent en cas de problème technique. Pour ce faire, ils ont tous les accès à leurs dispositions, dont la lecture des messages privées de leurs utilisateurs. Eventuellement, d’autres personnes peuvent avoir cet accès, mais ils se compteront sur les doigts d’une main.



Twitter n’échappe pas à cette règle. Cependant, je me doute bien que tous ses employés n’ont pas accès à ces messages privés. Comme c’est le cas sur les autres sites Internet/forums, seules quelques personnes les ont. C’est à dire les plus hauts gradées. Suivant le poste occupé par une personne, cet accès lui est inutile. Ainsi, à quoi bon les modérateurs (et il y en a sur Twitter) aient un tel accès ? Ils ont déjà fort à faire à surveiller les publications/commentaires des uns et des autres.



D’ailleurs, l’un des portes-paroles de Twitter ne nie pas que quelques employés ont cet accès. Cependant, effectivement, il reste très flous concernant en quelles occasions la lecture de ces messages privés peuvent avoir lieu.



Mais pensez-vous que cela soit plus clair ailleurs ? Les sites Internet/forums peuvent mettre en place toutes les règles du monde. Dès lors qu’un employé à accès aux messages privés des utilisateurs, qu’est-ce qui peut l’empêcher de les lire ? La moral ? Les principes ? Quand je vois ce que notre société fait de la moral et des principes, autant que je me dise que mes messages privés peuvent être potentiellement lu, où que je me trouve.

&nbsp;

Le 15/01/2018 à 17h 57







manu28 a écrit :



&nbsp;Et pour le “ toutes ces entreprises vendent nos données ” &gt; oui, &nbsp;et c’est pour ça que leurs services sont gratuits pour la plupart, on fournit nos données en échange d’un service. &nbsp;Si on aime pas le service, on ne leur donne pas nos données.&nbsp;





Oui, le “gratuit” n’existe pas, sauf pour des programmes libre de droit. Contre du gratuit, il y a toujours un prix à payer. Souvent, l’exploitation de données personnelles.



Par exemple, Facebook ou Tweeter sont gratuits, mais en échange, nous leurs confions nos données personnelles, notamment via nos publications.



&nbsp;





Groupetto a écrit :



Bon sinon dommage que le parti socialiste n’existe plus, j’aurais bien voté pour eux aux prochaines elections. Problème de timing, c’est ballot….&nbsp;





Le PS est déjà passé par des bas, même lorsqu’il s’appelait encore SFIO. Ce n’est pas les premières défaites qu’il rencontre et il s’est toujours relevé. Certes, des personnes comme Julien Dray ne permettront pas au PS de renaître de ses cendres. Mais de là à dire que le PS est mort et enterré, je ne me risquerais pas.


Le 15/01/2018 à 15h 32

La fiscalité du numérique, en France, est du grand n’importe quoi. Il n’y a rien de bâti. Tout a été construit avec des châteaux de cartes. Il n’est question que de taxes : taxes sur les FAI, taxe sur les revenus de la publicité… Taxe par ici, taxe par là…

Il faut rajouter qu’il y a un cruel manque d’équité entre chacun des acteurs du numérique. Quand certains ne paient pas assez, d’autre paient trop et il ne faut pas oublier toutes les entreprises qui échappent, tout ou en partie, à la fiscalité française en faisant notamment de l’optimisation fiscale.

&nbsp;

Bref, en France, dans le monde de la fiscalité du numérique, tout est à refaire de A à Z.



Et ce n’est pas avec des personnes comme Julien Dray que la situation va s’améliorer. Notre conseiller régional devrait se faire conseiller par des experts… Ou plutôt devrais-je dire que lui comme d’autres devraient arrêter de sortir de leurs chapeaux des proposition électoralistes. Je rappelle que Julien Dray envisage de se présenter à la présidence du Parti Socialiste, ce qui, si cela lui réussit, pourrait lui ouvrir la voie à la présidence de la République française.



Ce n’est pas une taxe qu’il faudrait imposer au GAFA mais la fiscalité française. Les GAFA doivent être soumis au même régime fiscal que les sociétés françaises. Qu’elle se nomme Google, Ikea, Amazon, Nike, Apple, ect…, il faut leur faire cesser leur optimisation fiscale, quand ce n’est pas de l’évasion fiscale. Les Etats-Unis arrivent à récupérer les impôts que leurs doivent les GAFA, alors pourquoi pas la France ? Parce qu’il y a l’Union Européenne ? Dans ce cas, aux électeurs de prendre leurs responsabilités et d’élire les bons députés européens (et de s’intéresser aux élections européennes, ce qui est loin d’être le cas en France).

Le 15/01/2018 à 14h 57







Nozalys a écrit :



Le HDD 4To annoncé sur cdiscount à 131.98 EUR et soldé à 99.90 EUR, c’est sûr que c’est impressionnant, woaw la bonne affaire… sauf qu’il est vendu de base à 109.96 EUR sur ldlc, site pourtant réputé pour être plus cher que la moyenne (mais avec un bon SAV). De 32 EUR d’économie annoncées, on retombe à 10 EUR. C’est toujours ça de pris, mais c’est l’exemple tellement classique du prix gonflé…





L’arnaque classique des soldes, qui ne se retrouvent pas seulement sur les sites de commerce en ligne. Tous les produits peuvent être potentiellement touchés par l’arnaque des soldes aux prix gonflés.



Tu es méfiant mais beaucoup ne le sont pas. Lors des périodes de soldes, beaucoup d’acheteurs ne prennent pas le temps d’aller voir les prix de base des produits soldés, d’autant plus lorsque les sites de commerce en ligne annoncent que les quantités sont limités.

Il est aussi utile de faire jouer la concurrence, même en période de soldes. Parfois, les différences de prix sur un même produit soldé peuvent être importante.


Le 07/01/2018 à 16h 45







tpeg5stan a écrit :



&nbsp;Woah, ça vend du rêve <img data-src=" />





Du rêve ? Oui et non.



La plupart des produits présentés dans les CES n’arriveront chez les particuliers que dans plusieurs années. La démocratisation du high tech prend du temps. Or, à écouter les discours des constructeurs, c’est pour demain.&nbsp; C’est faire fi des prix des produits qu’ils présentent. Ils sont nouveaux et coûtent donc encore très chers. Et c’est faire fi de l’intérêt que peuvent susciter leurs produits, d’autant plus que tout le monde n’est pas geek ou technophile.



Les CES, c’est aussi beaucoup de marketing pour des produits dont le commun des mortels n’a pas besoin mais que les constructeurs veulent rendre indispensables. Les constructeurs aux CES sont également présent en pensant aux bénéfices que peuvent leurs apporter leurs produits. Personnellement, ça me dégoûte. Mais c’est le cas dans tous les salons du même type. L’intérêt financier n’est jamais bien loin.



Les produits qui y sont présentés arriveront dans les chaumières françaises si les Français veulent bien les adopter. Et ils arriveront le moment venu.


Le 19/12/2017 à 18h 04

Je suis chez Orange et je suis obligé de désactiver l’IPv6 lorsque je télécharge des applications via le Play Store. Sinon, les téléchargements sont longs, voir ne se réalisent pas. Je ne sais pas d’où vient exactement le problème mais c’est lié à l’IPv6.

Le 15/12/2017 à 16h 29







Drepanocytose a écrit :



Pkoi aller ailleurs que sur amazon ?

Tte façon en France on est nuls, on ne sait pas faire aussi bien que les ricains, frenshbashing toussa…

Et vivent les emplois précaires si je peux payer ma guillotine a saucisson moins cher





Lorsque je peux privilégier des enseignes françaises, je le fais. Je me suis ainsi rendu compte que les produits vendus sur La Fnac dépassaient souvent de seulement quelques euros les mêmes produits vendus sur Amazon. Parfois les prix sont mêmes identiques. La Fnac n’est plus synonyme d’arnaque depuis longtemps. Effectivement, l’enseigne a eu sa période pendant laquelle elle vendait cher ses produits, par rapport à ses concurrents. Mais pour pouvoir justement faire jeu égal avec eux, elle a du réviser sa politique tarifaire.


Le 14/12/2017 à 21h 59







t0FF a écrit :



Sur NXI il n’y a aucune publicité dans un format génant, je ne vois pas ce que tu trouves de nauséabont là-dedans.&nbsp;





Au yeux de beaucoup d’Internautes, la publicité est gênante car la publicité n’est pas choisie. Elle est subie. C’est pareil à la télévision ou à la radio. Crois-tu sérieusement que les téléspectateurs ou les auditeurs sont ravis d’avoir à se coltiner de la publicité entre chacun de leurs programmes, quand ce n’est pas pendant leur programmes ? Et je pourrais en dire autant des panneaux publicitaires qui polluent le paysage, notamment dans les villes.



Bref, même à faible dose, la publicité est un élément perturbateur. La publicité est un nuisible, qui emmerde la plupart des gens. Et quand ces gens le peuvent, comme sur Internet, ils utilisent des bloqueurs de publicités, sans faire de distinction de sites Internet.



Etre contre la publicité dans une société de consommation, cela peut paraître paradoxal. Et si justement les gens n’avaient pas besoin de publicité pour consommer ? Les annonceurs ne sont pas vitaux, même dans une société de consommation.


Le 13/12/2017 à 18h 50







Furanku a écrit :



Quand je parle de “service payant” je pense à un modèle comme celui de NXi. Ou par un financement participatif , etc.



 D'où le fait que je cite le Libre à la fin, qui se rapproche bien plus d'une culture du gratuit respectueux, avec possiblement du payant ayant une vraie valeur ajoutée :)       






 Perso je ne suis pas contre la pub ou le tracking en tant que tel. Mais contre leur usage abusif et le détournement qui en est fait.       

Afficher une pub ou me faire tracker sur un site comme NXi ne me dérange pas. Ce qui n'est pas le cas sur un site comme Clubic par exemple (pour ne citer que lui, même si je ne m'y rend jamais :transpi: ).






 Du moment qu'il y a une vraie transparence, que les usages ne sont pas abusifs, et les données anonymisées autant que possible.       

Ce qui est loin d'être le cas encore dans une grande majorité des cas :)








 Le propriétaire de Clubic est M6. Comme toutes les chaînes de télévision commerciales privées, M6 se finance par la publicité. Il en est de même pour son site Internet. L'Internaute a droit à une profusion de publicités, si il ne dispose pas d'un bloqueur de publicité. Cela rend nauséabonde sa navigation sur Clubic.      






Mais crois-tu que cela soit mieux sur Next INPact ? Parce que je suis abonné à ce site, je devrais l'encenser ? Mon cul, oui... La publicité est tout aussi nauséabonde sur Next INPact, bien que moins présente que sur Clubic. C'est pour cela qu'avant que je m'y abonne, je n'éprouvais aucun remord à utiliser un bloqueur de publicité, même si je savais que je faisais perdre de l'argent à INPact MediaGroup SARL.   Par définition, la publicité est nauséabonde. A partir de là...   






Cela fait depuis bien longtemps que les sites Internet savent que la publicité n'est pas un modèle économique viable... et fiable. Se reposer sur la publicité pour se financer, c'est avoir une épée de Damoclès sur la tête, notamment parce que la publicité peut être contournée via des bloqueurs de publicité. Les Internautes n'ont que faire de naviguer sur un site sérieux comme Next INPact. La plupart d'entre eux répugnent la publicité et la bloqueront, sans faire de distinction entre les sites Internet. Pourquoi les sites Internet s'évertuent donc à utiliser ce modèle économique ? Je n'en sais rien et ce n'est pas à moi de leur trouver le modèle économique qui les fera vivre.      






Dans la même veine, actuellement, sur Youtube, il y a une gronde des Youtubeurs. Ils rapportent tous une baisse drastique de leurs revenus depuis que les annonceurs boudent Youtube, suite au passage de leurs publicités sur des contenus non appropriés. Hypocrisie ou pas de la part des annonceurs ? En tout cas, là aussi, cela permet de mettre en évidence que le modèle économique de la publicité n'est pas viable et fiable. En plus, même pour Youtube, apparaissent des bloqueurs de publicité.      






Internet doit arrêter de prendre la publicité comme une source de revenu pérenne et sûre.      

&nbsp;

Le 13/12/2017 à 16h 34

Quelle crédibilité à Ghostery ? C’est une extension propriétaire, qui est financé par les compagnies de publicité elles-mêmes. C’est pour cela d’ailleurs que je lui préfère désormais uBlock Origin et Privacy Badger.



Que l’étude de Ghostery soit très documentée et donc très très complète, c’est très bien. Mais tout ça tombe à l’eau lorsque nous savons qui finance Ghostery. Un beau conflit d’intérêt !



Dans le même genre, il y a aussi Adblock Plus, qui est à fuir comme la peste !

Le 05/12/2017 à 18h 16







Stel a écrit :



T’en conclus donc que la solution est de taxer le consommateur ?

Bravo, c’est digne d’un politicien.





Chez Airbnb, beaucoup trop de consommateurs profitent du système mis en place. Quand tu dis “taxe”, moi je dis “dérive”, car c’est bien des dérives qui ont lieu chez Airbnb. Notamment des particuliers qui deviennent des professionnels en restant des particulier. Autrement dit, des dérives qui entraînent de la concurrence déloyale pour les hôtelier. Après, si tu veux, nous pouvons continuer à fermer les yeux…


Le 28/11/2017 à 20h 01







joma74fr a écrit :



Mais la contribution à l’audiovisuel public (CAP) est un impôt comme un autre : voté par le Parlement, versé au budget de l’État. Que les députés et les sénateurs s’arrachent les cheveux à savoir s’il faut élargir l’assiette de la CAP ou s’il faut la supprimer n’est pas de la responsabilité de Delphine Ernotte (qui ne peut que faire du lobbying pour justifier la hauteur de son budget).




La TV et la production audiovisuel, ce sont surtout des coûts fixes : ça ne veut pas dire qu'on est obligé de ne s'informer qu'à travers la TV (mais il faut pourtant la financer toute l'année).







Quand Delphine Ernotte demande que la redevance audiovisuelle soit élargi aux nouveaux écrans (tablettes numériques, smartphones et ordinateurs) et que son montant soit rehaussé, elle ne fait ni plus ni moins que son travail de présidente de France Télévisions. Elle défend les intérêts de son groupe. En revanche, elle devrait revoir la gestion des ressources humaines, qui est désastreuses à France Télévisions, au point d’en arriver à des drames.



France Télévisions est un service public. Même si elle est présidente, ce n’est ainsi pas Delphine Ernotte qui décide du budget de France Télévisions mais par le Parlement, via les projets de loi de finance que présente l’exécutif. C’est comme son salaire. Ce n’est Madame qui le fixe.



France Télévisions et Radios France sont des services publics. Comme tous les services publics, ils sont financés par les contribuables. Rien d’anormal.


Le 28/11/2017 à 17h 53







Sans intérêt a écrit :



Par ailleurs, je ne comprends pas l’intérêt d’une télévision et d’une radio d’État en France. Non pas que j’aie des reproches à leur faire, mais plutôt que le secteur privé semble tout à fait apte à assumer seul les rôles de divertissement, de culture et d’information qu’assument finalement tous les médias, quel que soit leur mode de diffusion. Le rôle de l’État serait peut-être plus pertinent à réguler le marché, s’il devait en avoir besoin, plutôt que d’être juge et partie dans un secteur très concurrentiel…





Je t’explique : les chaînes privées de la TNT sont là pour faire du fric. Or, aujourd’hui, ceux sont les programmes débilitants qui permettent de faire du fric. Il suffit de regarder les parts de marché des divers programmes pour s’en rendre compte.



Au contraire, la culture n’est pas rentable. Il y a certes des contre-exemples : “L’Odyssée de l’Espèce” ou la série des “Apocalypse”. Mais ils sont rares. Depuis que le monde est monde, le retour sur investissement de la culture a toujours été bien moindre que sur les produits idiots.



Pour avoir des programmes intelligents, c’est à dire des programmes qui te cultives, qui t’apprennent quelque chose, il faut se tourner ou vers France Télévisions ou vers les chaînes à péage. Or, tout le monde ne peut pas se payer un abonnement à un opérateur de télévision. Avoir un service public à la télévision qui permet de combler les manques des chaines privées, notamment en termes de programmes culturels, est une nécessité. France Télévisions est payé par les impôts. De fait, cela n’a aucune importance pour lui si les programmes culturels ne rapportent pas d’argent. Diffuser de la culture fait partie des missions de France Télévisions. Ce n’est pas la mission des chaînes privées.



Il en est de même pour Radio France. Les programmes de Radio France sont des programmes qui ne font pas des cartons d’audience. Par exemple, sur France Inter, j’adore “Affaires sensibles” et “Secrets d’info”. Sur France Culture, j’apprécie énormément “Le magazine de la rédaction”. Il s’agit de programmes qui ne trouveraient pas leurs places dans les radios privées, car celles-ci n’y trouveraient aucun intérêt, faute d’avoir un retour sur investissement.



Bref, France Télévisions et Radio France ont leur raison d’être. Après, je veux bien discuter sur leur gigantisme et sur leur gestion. A-t-on besoin d’avoir deux paquebots publics à la télévision et à la radio ? Pourquoi ne tient-on jamais compte des rapports de la Cour des comptes, qui critiquent énormément la gestion de ces deux services publics ? Cependant, ce n’est pas parce tel est ce constat qu’il faut forcément les privatiser.


Le 27/11/2017 à 18h 47

Je me sers de Google lorsque j’utilise mon smartphone, qui tourne sous Androïd. Cependant, j’ai désinstallé ou désinstallé la plupart des applications issues du monde de Google. Je n’utilise ainsi plus que le Play Store et Play Musique. Pour le reste, où je n’en avais pas l’utilité ou j’ai trouvé des alternatives, gratuites ou payantes.



De Google, j’utilise également Gmail comme adresse mail secondaire. Et puis, en utilisant Androïd, je suis obligé d’avoir une adresse Gmail pour notamment pour utiliser le Play Store.



Je ne pense pas qu’un utilisateur puisse se dégoogliser totalement. Mais il peut le faire à plus de 50%. Les services de Google ne sont pas des obligations et il existe des alternatives. Utiliser les services de Google est une facilité pour la plupart des utilisateurs, car ils ne veulent pas aller chercher la concurrence. C’est une perte de temps pour eux. Dommage…

Le 27/11/2017 à 17h 06

Du Brazzers Network ou du Naughty America en passant par du Sapphic Erotica pour ceux qui veulent de la douceur, ces sites existent parce que nous avons besoin de voir nos fantasmes sexuels retranscris dans des vidéos. La pornographie n’existe d’ailleurs pas qu’en vidéos. A ses débuts, c’est dans des théâtres que les gens pouvaient la voir. Il existe aussi la pornographie littéraire. Même si la pornographie est une industrie, elle a sa raison d’être. Si dans les vidéos pornographiques (et encore pas toutes) les femmes sont réduites à de simples objets, répondant aux pulsions sexuelles des hommes (et parfois, c’est l’homme qui est un objet), il ne faut pas oublier que la pornographie n’est pas la vraie vie.



Aujourd’hui, à l’heure d’Internet, il est impossible de réguler la pornographie. Les gamins peuvent y avoir accès librement, via des sites comme PornHub, xnxx ou encore xHamster. La pornographie est aujourd’hui à portée de main. Face à ce constat, plutôt que de s’affoler quand ils découvrent que leurs rejetons se masturbent devant des vidéos pornos, les parents devraient savoir parler de sexualité avec leurs enfants. Sauf qu’aujourd’hui, dans les familles françaises, la sexualité est un sujet tabou. Il ne faut pas que ces parents s’étonnent ensuite que leurs adolescents pensent que ceux qu’ils voient en vidéo se passe dans la vraie vie.



Et je pourrais dire la même chose en ce qui concerne les jeux vidéos. Que les parents parlent à leurs enfants. C’est dès la pré-adolescence que les enfants vont commencer à poser des questions sur ce qu’ils observent. Des questions qui peuvent parfois être sensibles, dérangeantes. Qu’ils leurs répondent, avec des mots adaptés à leur âges, plutôt que de balayer d’un revers de main leurs questions.



Les enfants sont trop souvent les symptômes de leurs parents, qui ne savent pas discuter avec eux….

Le 24/11/2017 à 21h 50







Dryusdan a écrit :



Justement, les ventes de la télévision baisse, et les “programmes” que regarde les jeunes sont le streaming, le replay des chaines privées et Netflix.

De plus, les chaines privées se débrouille très bien sans cette redevance…



Et je ne trouve juste pas logique que les personnes qui ne regarde pas la TV doivent la payer, c’est juste illogique…

C’est comme la taxe sur la copie privée… Mes clées USB ne transporte rien qui nécessite des copyright et je suis taxé dessus…



Et hormis Arte qui a évolué, je n’ai pas vu le moindre mouvement ailleurs…





En France, la redevance audiovisuelle touche toute personne qui possède au moins un poste de télévision. La redevance audiovisuelle permet de financer les groupes France Télévisions et Radio France. Depuis sa création, il n’y a pas de cas par cas concernant les détenteurs d’au moins un poste de télévision. Autrement dit, lorsqu’une personne achète un poste de télévision, l’Etat estime que celle-ci peut potentiellement regarder les chaînes du groupe France Télévisions. L’Etat n’est pas en mesure de contrôler ce qui est fait de chaque poste de télévision que possèdent chaque contribuable. J’ai cherché sur Internet et je n’ai trouvé aucun pays (qui a au moins une chaîne de télévision publique) qui a réussit à créer un système permettant d’effectuer ce contrôle. En effet, c’est bien plus compliqué que d’écrire de simples mots sur un site Internet.



Les chaînes de télévision publiques se rémunèrent comme tous les services publiques : avec les impôts. Je bute ici contre des avis totalement opposé au mien. Je pense que France Télévisions et Radio France sont des services publics. A ce titre, c’est donc l’argent des contribuables qui permet de les financer. Après, nous pourrons parler de la qualité des programmes de France Télévisions et Radio France ou encore de leurs gigantisme. Ceux sont d’autres débats.


Le 24/11/2017 à 20h 59

Toujours aussi sensible le sujet de la redevance audiovisuelle…



Le mode de consommation de la télévision change… et même a déjà changé, notamment chez les moins de 30 ans. La télévision se consomme de plus en plus via les smartphones, les tablettes numériques ou les ordinateurs.



La redevance audiovisuelle telle que nous la connaissons aujourd’hui fonctionne toujours… pour nos “vieux”. Mais chez les nouvelles générations, elle ne sert à rien. Les ventes de télévisions baissent chaque année. J’ai même lu&nbsp;ici que constructeurs eux-mêmes sont surpris de cette baisse des ventes. Preuve que chez les nouvelles générations, le poste de télévision est un appareil archaïque. Tout au plus l’achat d’un poste de télévision servira-t-il à jouer à une console de jeu vidéo. C’est autrement que les nouvelles générations regarderont les chaînes de télévision, qu’elles soient publiques ou privées. Et je vous signale que cela ne concerne pas que la France.



De mon avis (et je ne suis pas assujetti à la redevance audiovisuelle car je n’ai pas de poste de télévision), il n’est donc pas anormal que la redevance audiovisuelle puisse être élargi à ces nouveaux écrans, à ces nouveaux appareils qui permettent de consommer la télévision.



Là où vous voyez des personnes qui veulent toujours vous soutirer plus d’argent, j’y vois des personnes qui veulent adapter la redevance audiovisuelle à des nouveaux usages.

Le 20/11/2017 à 13h 38

Qu’est-ce que fout un mioche avec une montre connectée… ou tout autre objet connecté, voir même un smartphone ? Je parle évidemment de gamin : des enfants qui vont de 0 ans (<img data-src=" />) à la pré-adolescence.



Nous vivons dans un monde où la high tech est prédominante et fait partie désormais de notre vie quotidienne. Est-ce que pour autant nos rejetons doivent y être plongé dès leurs naissances ?

Le 20/11/2017 à 13h 27







SebGF a écrit :



C’est étonnant car toute construction dont le permis a été délivré depuis 20102011 se doit d’être raccordée à un réseau de télécommunication très haut débit par fibre optique. C’est justement le cas de mon immeuble, dont le permis a été délivré avant l’obligation, et qui n’a donc été relié qu’au réseau câble à sa livraison (en 2015). Résultant du fait qu’on a du initier une convention de fibrage avec Orange.

Ou alors le quartier de l’immeuble n’est pas fibré horizontalement peut-être ?



Quant à l’ancien, c’est une obligation depuis 2016 en cas de travaux de rénovation soumis à permis de construire et dont les frais de raccordement ne dépassent pas 5% du coût des travaux, à la charge des propriétaires.





Après vérification… mon immeuble est bien éligible au très haut débit, mais par câble seulement. Il faudrait donc que je me renseigne auprès des FAI concernés, sauf que pour le moment, je ne souhaite pas quitter Orange.



Lorsque je vais sur la carte de l’observatoire du plan “France Très Haut Débit”, celle-ci me confirme que je ne suis pas éligible à la fibre optique. Un petit message m’indique que des travaux sont en cours pour le déploiement de la fibre optique, afin de rendre mon immeuble éligible à la fibre optique d’ici… 18 mois.<img data-src=" />



J’en reviens à ce que je disais : une France à deux vitesse… et encore, j’ai la chance d’être dans une grande ville et de voir arriver la fibre optique dans des délais “respectables”.


Le 18/11/2017 à 17h 35







darth21 a écrit :



Ce n’est pas un hasard si les recrutements se font sur du très haut débit maintenant, et pas sur l’ADSL.






 Ce que je n'ai pas précisé lors de mon précédent commentaire, c'est que je pense que le nombre d'abonnés à la fibre optique va autant se tasser que celui des abonnés à l'ADSL.      






J'habite dans une ville de 166 000 habitants, sur la Méditerranée : Toulon. La fibre optique est en train de se déployer dans ma ville. Je remarque cependant qu'il y a de grosses disparités selon les quartiers, voir même des paradoxes.      

J'habite dans un immeuble dont le chantier a démarré fin 2015, pour une remise des clés le 25 juillet 2017. Il s'agit donc d'un immeuble moderne, aux dernières normes. Pourtant, il n'est pas fibré. Orange me l'a confirmé.

Mes parents habitent aussi à Toulon, mais dans un immeuble construit dans les années 70.&nbsp; Il s'agit donc d'un immeuble ancien. Orange a récemment raccordé la fibre optique à cet immeuble... ancien. Mais pour le mien, qui est très récent, aucun FAI n'a encore fait ce raccordement. Ah mais j'oubliais de préciser que mes parents habitent dans un quartier qui a totalement été restructuré, notamment depuis que le nouvel hôpital publique de Toulon s'y est installé. En fait, si tu habites dans une zone merdique d'une grande ville, tu pourras toujours attendre la fibre optique...






Les habitants des petits villages et hameaux n'ont eux aussi pas le droit à la fibre optique puisque personne ne s'intéresse à eux. Ils habitent dans des zones peu rentables. Et que dire des DOM-TOM, où la fibre optique n'est qu'une légende inventé par les Hexagonaux... Peut-être que dans plusieurs siècles, quand l'Hexagone sera passé à d'autres technologies plus modernes, ils auront droit enfin à la fibre optique, qui sera alors devenu totalement archaïque.      






J'aime à le rappeler : nous ne sommes pas tous égaux en ce qui concerne la fibre optique. Parfois, cela s'apparente même à de la discrimination. Le nombre d'abonnés à la fibre optique ne pourra pas éternellement augmenté, tant qu'elles ne couvrira qu'une partie du territoire.      






Au 30 juin 2017, selon l'ARCEP, 8 900 000 logements étaient éligibles à la FTTH. Sur 35 756 communes, 2 079 sont éligibles à la fibre optique ou au câble. Autrement dit, il y a encore du boulot... si la fibre optique ne se déploie pas plus vite, je ne vois pas comment le nombre d'abonnés au très haut débit pourra continuer à augmenter aussi "rapidement". Une France à deux vitesse ? Pour le moment, c'est bien le chemin que nous prenons....

Le 16/11/2017 à 21h 16







yvan a écrit :



On sent que le marché est en train de basculer, le mobile suffisant désormais pour la plupart des usages.



Ils ont intérêt à ne pas trop rater le coche de la fibre (genre à booster les débits vers netflix) si ils veulent rester en bonne place sur le fixe.





Je pense ne pas me tromper en disant que nous sommes ici tous encore attachés à l’ordinateur. Cependant, je te rejoins : je constate qu’autour de moi, de plus en plus de gens navigue sur Internet via leurs smartphones principalement. J’ai beaucoup de mal à comprendre comment ces gens peuvent trouver un quelconque plaisir à naviguer sur Internet avec un si petit objet mais bon…



Il n’est pas étonnant que Free, comme ses concurrents, perdent des abonnés concernant le fixe. Nous sommes désormais dans l’ère du sans-fil, dans l’ère de la mobilité, où consulter un site Internet, ses courriels, ses comptes bancaires, regarder Youtube, ect… se fait désormais avec un smartphone.



Le fixe reste cependant incontournable pour certains usages comme… le téléchargement illégal, lol ! Mais pas que : par exemple, la télévision sur Internet passe mieux avec la fibre optique qu’avec l’ADSL. Je pense donc que la chute des abonnés du fixe va s’arrêter assez rapidement.


Le 16/11/2017 à 20h 11

Cela fait un moment que j’ai adopté Qwant. Certes, les résultats ne sont pas à la hauteur de Google, qui indexe beaucoup plus de sites Internet. Mais il m’est suffisant et c’est bien le principal. Auparavant, j’étais chez Google mais me cherchant à me dégoogliser un maximum, je me devais de quitter le moteur de recherche de Google. Je suis passé à Bing et c’est via une actualité sur NextINPact que j’ai découvert Qwant. J’ai alors abandonné Bing pour lui préférer le moteur de recherche franco-français.

Le 15/11/2017 à 18h 49







trexmaster a écrit :



Mouais, moi j’ai le problème inverse en général : je suis celui à qui on vient péter les couilles toutes les 5 minutes pour savoir quand le problème sera résolu (parce que franchement tout le monde se fout de savoir d’où il vient, le problème). Ce à quoi j’ai tendance à répondre que déjà quand on arrêtera de m’interrompre toutes les 5 minutes je pourrais continuer à chercher d’où vient le problème et qu’une fois que j’aurais trouvé ce sera probablement résolu en moins de 5 minutes.





En même temps, il faut que admettes qu’aujourd’hui, beaucoup d’opérations se font via Internet ou Intranet. Le monde des entreprises mais aussi celui des particuliers ne tourne plus très rond lorsque les réseaux informatiques sont en panne. Notre monde est devenu dépendant des réseaux informatiques et cinq minutes de pannes peuvent paraître une éternité pour une personne qui n’a plus d’accès à Internet/Intranet.



Surtout, pour les entreprises, une panne sur un réseau informatique peut engendre des pertes d’argent substantielles. Ainsi, cette panne entre Orange et Level 3, totalement anodine à première vue, a certainement eu des effets colatéraux qui couteront chers à certaines entreprises.



Enfin, pour finir… si ton boulot est bien celui que je pense, il est normal qu’on t’embête lorsqu’une panne intervient. Tu est là pour réparer… dans les brefs délais. Et comme je l’ai dit plus haut, la dépendance à Internet/Intranet fait que cinq minutes sont déjà trop long pour des professionnels.


Le 14/11/2017 à 20h 25







GTO a écrit :



blablabla… <img data-src=" /> faut arrêter de toujours justifier tout ce que fait Mozilla sous prétexte qu’ils font du libre et qu’ils respectent “un peu +” (mais pas beaucoup) notre vie privée que Google! <img data-src=" />



Perso je resterais encore un bon moment sous FF 52 ESR, car j’ai des extensions, surtout une, dont je ne veux absolument pas me passer : “gestionnaire de session” qui me permet d’enregistrer régulièrement la liste de tout mes onglets ouverts car j’en ai beaucoup et il m’est arrivé que FF plante et ne soit pas en mesure de restaurer ma session. A propos, sur des navigateurs comme Vivaldi il est possible d’avoir une extension qui fasse cela? Ou sur quel autre navigateur je peux trouver ça?



&nbsp;




Evidemment, si tu ouvre moins de 10 onglets à la fois tu ne risque pas d'avoir de problèmes... :roll:  



&nbsp;Vous me faites marrer les gars… Ceux qui sont toujours là à dire qu’ils n’ont jamais eu de soucis avec FF sont ceux qui l’utilisent pas à fond (c’est à dire avec un grand nombre d’onglets ouverts) donc c’est normal que vous n’avez aucun souci avec! <img data-src=" />





Mozilla avait pris trop de retard avec Firefox. La concurrence était déjà passée devant lui depuis belle lurette. Mozilla devait donc réagir, quitte à imposer un changement brutal, notamment en ce qui concerne les modules.



Mozilla a choisit d’adopter les WebExtensions. La fondation de Mountain View a pris le soin de prévenir à l’avance les développeurs de modules, afin qu’ils puissent se préparer en conséquence. Comme c’est souvent le cas, beaucoup s’y sont pris au dernier moment. D’autres ont également jeté l’éponge, refusant l’adoption des WebExtensions.



Pour le reste, Mozilla a offert à Firefox un bon lifting, qui se fait déjà ressentir concernant la fluidité. C’est déjà un bon début, car, à ce sujet, Firefox était à la traîne. Je ne justifierais jamais tous les choix de Mozilla concernant Firefox sous le simple prétexte qu’il est libre de droit. Bien au contraire, je trouve qu’un logiciel libre de droit qui dispose d’une grande communauté très active comme celle de Firefox devrait pouvoir systématiquement rivaliser avec la concurrence. Or, avec Firefox, la communauté active était paradoxalement peu active concernant son évolution.



Ce dont je suis certain, c’est qu’un programme/logiciel est fait pour évoluer. Les changements ne seront pas appréciés de tous, mais il faut aller de l’avant. Trop longtemps Firefox a stagner sans proposer de réelles nouveautés ou améliorations. Mozilla ne pouvait pas se permettre de continuer à faire perdurer cette situation. De toute façon, les conséquences auraient été pire que celle d’un changement brutal comme celui avec Firefox 57.


Le 14/11/2017 à 18h 03

Je ne vais pas évaluer la nouvelle version du navigateur que j’utilise depuis si peu de temps. Ce qui me saute au yeux, c’est la fluidité et la rapidité, qui ont été amélioré. Du moins, chez moi, cette amélioration est sensible. Pour le reste, ce sera sur le moyen terme que je pourrais me faire une idée.



Concernant les modules… effectivement, beaucoup de développeurs auront attendu le dernier moment pour mettre à jour leurs modules. Je note tout de même qu’un nombre non négligeable d’entre eux propose toujours des versions obsolètes pour Firefox 57 et suivant. D’autres également ont déclaré qu’ils ne proposeront pas de mise à jour de leurs modules pour que ceux-ci soient compatible avec Firefox 57 et suivant. Ces développeurs ont jeté l’éponge lorsqu’ils ont appris que Mozilla abandonnait les extensions se basant sur XUL et XPCOM pour leur préférer les WebExtensions.

A mes yeux, les modules représentent le talon d’Achille de Firefox. Mozilla a toujours mis en avant la modularité de son navigateur Internet. A moins que cela ait changé, c’est ce que recherche les utilisateurs : un navigateur Internet qu’ils peuvent personnaliser grâce à des modules/extensions. Sauf que… lorsqu’un utilisateur ne peut plus utiliser un ou plusieurs de ses modules, il pourra éventuellement aller voir la concurrence.

Cette évolution du modèle des modules peut paraître anodine face à tous les apports de cette nouvelle version, mais elle ne doit pas être pris à la légère.



Pour finir, j’espère qu’avec cette nouvelle version, ainsi qu’avec les suivantes, Mozilla regagnera ses lettres de noblesse dans le domaine des navigateur Internet. A tout point de vue, la concurrence est passée devant Firefox depuis longtemps. Pire, le ravin est devenu un gouffre. De la part d’un navigateur Internet libre de droit, qui évolue grâce à une grosse communauté très active, cela fait tâche.



Mais plus que de repasser devant ses concurrents, Mozilla doit s’attacher à proposer un navigateur Internet moderne, afin de conserver la plupart des ses utilisateurs actuels, qui sont ses portes-paroles, ses soutiens. Je ne crois pas que Firefox repassera devant son principal concurrent, Chrome. Ce dernier a pris beaucoup trop d’avance et il jouit d’un marketing féroce, notamment en étant proposé lors de l’installation de certains programmes ou en étant proposé par défaut sur Androïd. L’intérêt pour Mozilla n’est désormais plus de faire la course. Etre deuxième ou même troisième, mais en proposant un navigateur de qualité n’est pas une honte.

Le 06/11/2017 à 20h 31







skankhunt42 a écrit :



D’ailleurs il y à quelques semaines un mec de 40 ans et quelques à fouré une gamine de 11 ans consentante et n’a eu aucun problème avec la loi… Quand même nimp alors que la pornographie est interdite à cet age et qu’il faut au moins 13 ans pour créer un compte fb…





Dans le cas de l’affaire que tu cites, l’homme est âgé de 28 ans et la fillette est âgée de 11 ans. A la sortie de son collège, Sarah a suivit cet homme qui l’a abordé. Il l’a conduit vers un immeuble où il a eu une relation sexuelle avec Sarah. Pour les détails, il y a eu une fellation et une pénétration.

&nbsp;La famille de Sarah a porté plainte pour viol mais le parquet de Pontoise n’a pas retenu cette plainte, estimant que la fillette avait été consentante. En effet, le parquet de Pontoise estime que cette relation sexuelle n’a pas été faite sous la contrainte, la menace, la violence ou la surprise. A aucun moment Sarah ne s’est débattue ou a crié. Le parquet de Pontoise a décidé de poursuivre l’homme de 28 ans pour atteinte sexuelle sur mineur de moins de 15 ans qui est puni, au maximum, de cinq ans de prison et de 75 000 euros d’amende. Pour information, un viol sur un mineur de moins de 15 ans est passible, au maximum, de 20 ans de prison et de 150 000 euros d’amende.

Le parquet de Pontoise n’a fait que suivre un article de notre Code pénal. En France, la jurisprudence indique qu’un enfant de moins de cinq ans est considéré automatiquement comme non consentant. Au-delà de cet âge… ceux sont les tribunaux qui décideront.



Mais pour revenir à l’actualité… est-ce que des réseaux sociaux comme Twitter ou Facebook sont des endroits où les gamins devraient se trouver ? Aujourd’hui, pour les mineurs, les réseaux sociaux sont devenus une seconde cour de récréation, à la différence que celle-ci n’est pas surveillé par des adultes. En effet, outre la modération de ces réseaux sociaux qui laisse à désirer, les parents sont souvent totalement dépassé par ces nouveaux usages. Sur les réseaux sociaux se trouve le pire comme le meilleur mais pour les mineurs, c’est trop souvent vers le pire qu’ils se dirigent. Souvent, ils se servent des réseaux sociaux pour se faire remarquer et faire éclater leur colère au monde entier. Les mineurs sont également fascinés par les théories du complot et les fausses actualités. Leur cerveau est très malléable : vous pouvez les endoctriner facilement. Franchement, à 13 ans, un mineur n’a rien à faire sur un réseau social, à moins que ses parents aient un contrôle total sur ses publications.


Le 06/11/2017 à 13h 31

Tous les réseaux sociaux grand public restent ambigus concernant leurs conditions d’utilisations. Eux-même sont ambigus lorsqu’ils s’agit de les appliquer.



Et les conséquences sont… faut-il vraiment que je les énumère ? Les personnes qui utilisent à bon escient les raisons sociaux se rendent compte chaque jour de ces conséquences.



A force de jouer avec la liberté d’expression (c’est à dire modérer mais pas trop quand même), les réseaux sociaux grand public sont devenus des réseaux sociaux populistes : haine, racisme, endoctrinement, pensées mortifères, dénigrement, fausses actualités, théories du complot, ect… sont le lot quotidien de ces réseaux sociaux. Bien évidemment, c’est sous des pseudos, c’est à dire via l’anonymat, que tous les abrutis de la Terre entière viennent s’en donner à coeur joie. Quel courage lorsqu’il s’agit d’assumer ses propos….



Les personnes qui souhaitent les utiliser à bon escient ont beaucoup de mal à y trouver leur place et à pouvoir s’exprimer sans être agresser. Twitter vient de clarifier ses conditions d’utilisation. Et après ? Qu’est-ce que cela va changer ? La haine, le racisme, l’endoctrinement, les pensées mortifères, le dénigrement, les fausses actualités, les théories du complot, ect… font-ils partie de la liberté d’expression ? Ont-ils leur place sur des réseaux sociaux ? Sur les forums, de tels commentaires sont rapidement supprimés ou alors ces fils de discussions sont rapidement verrouillés. Il serait temps que les réseaux sociaux adoptent les mêmes démarches, quitte à perdre un nombre assez conséquent de leurs utilisateurs.

Le 06/11/2017 à 12h 59

C’est dans des moments comme cela que j’envie le système américain. Une action en justice peut obliger les Etats-Unis à rendre publics des dossiers contenant parfois des données sensibles.



Mais en France… c’est tout le contraire qui se passe… Et ca ne me fait pas rire. Faut-il être étonné que les opérateurs de transports publics ne soient pas motivés à l’idée de transmettre au grand public certaines données ? Elles pourraient révéler beaucoup de failles, ou plutôt de manquements, même si le grand public en a déjà connaissance par toutes les problèmes qu’il peut rencontrer.



Quand à l’Union Européenne, je vois qu’elle est très frileuse en matière d’Open data. Il ne faudra pas compter sur elle…



Ah… l’Open data… j’en reviens au début de mon commentaire. Si, aux Etats-Unis, c’est une réalité depuis le 4 juillet 1966 grâce au Freedom of Information Act, c’est encore loin d’être le cas sur le continent européen. Les espoirs des Européens, et notamment des Français, sont en train de tomber à l’eau.

Le 01/11/2017 à 17h 18







Citan666 a écrit :



“Il faut arrêter de faire les hypocrites”.

Commence donc par toi-même !!!



Oser dire que sous prétexte qu’on “peut” techniquement regarder la télévision sur l’ordinateur il est “logique” de taxer, c’est faire preuve d’exactement la même ultime mauvaise foi intellectuelle que le coup de la taxe copie privée sur les supports professionnels.



Taxer la simple possession d’une télévision au profit de la télévision publique fait sens parce que tu ne peux à priori rien faire d’autre avec. (je mets à priori car les gens qui cherchent juste un écran de très grande taille pour console/pc se font bien baiser, mais c’est effectivement une minorité de la population).

Donc, si tu l’as acheté, c’est qu’à priori tu comptais regarder la télévision. Partant de là, la probabilité pour que tu regardes, même sporadiquement, une chaîne publique peut être suffisante pour justifier la taxe (enfin, perso je ne trouve pas, mais je comprends la logique du raisonnement surtout pour l’époque : très peu de chaînes, 0 moyen efficace de jauger les usages).



 Là, on parle d'ordinateurs et de téléphones, sur lesquels regarder la télévision n'est ni l'usage principal, ni l'usage secondaire, ni même probablement l'usage tertiaire.      



Même en termes de consommation de contenus vidéos, les chaînes publiques ne doivent pas représenter plus de 0,1% de toutes les vidéos vues dans une période donnée : le gros, c’est Youtube + Netflix & co + Twitch.

&nbsp;Au-delà de ça, il serait extrêmement facile aujourd’hui de s’assurer que la télévision publique n’est pas regardable sans payer la taxe : soit en joignant les informations fiscales, soit en faisant un accès par abonnement.



Arrêtons de prendre les gens pour des pigeons / portefeuilles sur pattes, surtout pour quelque chose d’aussi accessoire que la télévision publique quand on a tellement de sujets mille fois plus importants pour lesquels prendre l’argent du contribuable (éducation, recyclage, urbanisation écolo, etc).





Je ne fais pas preuve de mauvaise foi. Au contraire, je suis pragmatique. Du moment qu’un smartphone, qu’une tablette numérique ou qu’un ordinateur permet de regarder la télévision, je ne trouve aucune raison qu’ils ne soient pas assujettis à la redevance audiovisuelle.



Oui, lorsque tu achètes un smartphone, une tablette numérique ou un ordinateur, ce n’est pas pour regarder principalement la télévision. Cependant, tu pourrais être amener à le faire. Le mot “principalement” n’est pas une négation. Sans vouloir me faire l’avocat du Diable, je comprend donc que le Ministère de la Culture s’intéresse à l’élargissement de l’assiette de la redevance audiovisuelle à ces appareils.



Bref, sur le principe, cet élargissement ne me dérange pas. Maintenant, je peux creuser dans les intentions du Ministère de la Culture. Nous savons tous ici que la Cour des Comptes émet régulièrement des rapports dénonçant la mauvaise gestion de France Télévisions et Radio France. Autrement dit, chez ces deux mammouth, c’est la gabegie ! Entre les personnes qui sont surpayés, le trop plein d’employés, les investissements foireux, ect…, France Télévisions et Radio France ont besoin de toujours plus d’argent. Le gigantisme de ces deux services publics devient également problématique. France Télévisions, c’est six chaînes, auquel il faut ajouter les antennes régionales et locales. Radio France, c’est sept radios, auquel il faut rajouter les antennes régionales, les orchestres, le choeur, les festivals, ect…

&nbsp;

Oui, tout cela à un coût et si le Ministère de la Culture réfléchit à élargir l’assiette de la redevance audiovisuelle aux smartphones, aux tablettes numériques et aux ordinateurs, c’est plus dans un souci de ponctionner toujours plus d’argent à toujours plus de monde, plus que dans un souci de répondre aux nouveaux modes de consommation de la télévision et de la radio.



Comme je l’ai dit dans un précédent commentaire, il serait temps de réformer France Télévisions et Radio France, sans pour autant les privatiser.


Le 31/10/2017 à 21h 15







Stel a écrit :





  • et maintenant futur redevance tv pour tous, parce que hooooo faut pas déconner, il faut bien financer l’abrutissement générale de la population.



    &nbsp;

    Cela n’engage que toi. Et si tu veut prendre ce chemin, n’importe quel média, même celui où toi et moi intervenons, peut contribuer à l’abrutissement de la population.



    Ah mais attends… j’avais oublié que l’ORTF existe encore… abrutissement de la population ? Je comprend mieux…


Le 31/10/2017 à 19h 40







Kazer2.0 a écrit :



Faut arrêter de traiter les gens d’hypocrites, il est effectivement absurde d’élargir la redevance au ordinateur, smartphone et tablette alors qu’un système avec un compte (FranceConnect ?) pour avoir accès serait plus logique.



Je ne paye pas la redevance car ça fait un peu plus d’une décennie que je ne regarde plus la TV au profit de VOD / SVOD et compagnie. Ils essayent de t’avoir en faisant genre le replay est accessible librement donc tu payes dès que tu as internet, que tu l’utilises ou pas au lieu de faire les choses proprement afin de séparer ceux qui effectivement la regarde par le net et les autres avec un système de compte ou carte (comme certains FAI).



Parce que ça risque d’être très chaud pour moi de devoir résilier mon abonnement internet et téléphone mobile ….





Je maintiens que les gens sont des hypocrites concernant le sujet de la redevance audiovisuelle. Quantifier le nombre de personnes qui contournent le paiement de cette redevance en utilisant un ordinateur, un smartphone ou une tablette est impossible. Cependant, je ne vis pas au fond d’un trou et je sais qu’essayer de contourner le paiement d’un impôt est un sport national chez nous. Sur les réseaux sociaux et sur les forums, les gens cachent de moins en moins le fait qu’ils passent par des appareils non soumis à la redevance TV pour profiter des chaînes publiques. C’est tellement facile… Inutile de se planquer en Suisse pour la contourner…



Or, les chaînes publiques vivent grâce à la redevance. C’est le principe de l’impôt qui finance les services publics. Sans la redevance audiovisuelle, il n’y aurait pas de chaînes publiques ni de radio publique. Qu’il faille dégresser les deux mammouths que sont France Télévisions et Radio France, je suis d’accord. Cependant, je suis contre leur privatisation. Les chaînes publiques et la radio publique diffusent des contenus culturel, mais également diverses émissions à différentes thématiques, qui certes ne rencontre pas un grand succès, mais qui sont intéressants. Ces contenus continuent d’exister car il n’y a pas de recherche de profit. Ils servent l’intérêt général. Sur une chaîne ou une radio privée, du contenu qui fait très peu d’audimat est rapidement supprimé, quand bien même ce contenu soit un bouillon de culture.



Pour finir, je tiens à te dire que des personnes possèdent un téléviseur sans pour autant regarder la télévision. Ce téléviseur va leur servir pour regarder des films et/ou jouer à leurs consoles de jeux vidéos. Et pourtant, ils paient la redevance audiovisuelle. Je ne vois donc pas où serait le problème d’élargir l’assiette de la redevance audiovisuelle aux ordinateurs, aux smartphones et aux tablettes numériques. Le modèle allemand, vers lequel semble voir prendre exemple le Ministère de la Culture est la simplicité même, qui ne demande pas l’ouverture d’un quelconque compte, qui pourrait complexifier la situation. Les Allemands paient la redevance audiovisuelle dès lors qu’il possède au moins un appareil pouvant capter les chaînes ou radio publiques. Les Allemands n’ont jamais rien eu à redire concernant ce système. Ah mais j’oubliais… nous sommes un pays latin…


Le 31/10/2017 à 17h 17

Il faut arrêter de faire les hypocrites. Moi-même je n’ai pas de télévision et je ne paie pas donc pas la redevance audiovisuelle. Cependant, je sais très bien qu’avec un ordinateur, un smartphone ou une tablette numérique, il est possible de regarder la télévision. Il n’est donc pas absurde de penser à élargir l’assiette de la redevance audiovisuelle à ces appareils.



Parlez-moi donc des contenus des chaînes TV publiques et des radios publiques plutôt que d’un débat de faux-cul où chacun s’insurge que les ordinateurs, les smartphones et les tablettes numériques pourraient rentrer dans l’assiette de la redevance audiovisuelle. Je suis certains qu’ici même, des membres contournent la redevance audiovisuelle en regardant la télévision sur ces appareils. Et ceux sont les premiers à pousser la gueulante…



Le gros problème, en France, c’est le gigantisme que représentent France Télévisions et Radio France. La première est composé de France 2, France 3 et de toute ses antennes régionales et locales, France 4, France 5, France Ô et le Réseau Outre-Mer 1ere. En 2015, 9 932 personnes y étaient employées. La seconde est composée de FIP, France Bleu et de toutes ses antennes régionales, France Info, France Inter, France Musique et Le Mouv’. En 2015, 4 300 personnes y travaillaient. Il n’y a que la France pour posséder deux aussi gros paquebots publiques dans le domaine de l’audiovisuel. Pire, ils sont très mal gérés, la Cour des comptes émettant régulièrement des rapports à ce sujet.



En revanche, concernant les contenus… c’est une affaire de goût et de couleur, comme toujours. En tout cas, il ne faut pas perdre de vue que France Télévisions et Radio France n’ont pas été créé pas dans le but de faire des profits. C’est la raison d’être d’un service public, en tout cas en France. Proposer un service organisé dans une intention d’intérêt général, sans une recherche de profit. C’est donc par les impôts, ce qu’est la redevance audiovisuelle, que sont financés nos services publics.

Le 24/10/2017 à 16h 46

Pourquoi ne suis-je pas étonné qu’une telle crise éclate chez Kaspersky ? Il existe des théories du complot qui décrivent un Kaspersky intimement lié au FSB. En plus, Kaspersky a été créé en 1997, soit seulement deux ans après le FSB. Certains pensent que le domaine de la sécurité chez Kaspersky n’est qu’une couverture, qui lui permet de cacher des activités d’espionnage et de renseignement. Ces complotistes n’ont pas attendu le Gouvernement américain pour émettre des doutes sur les véritables intentions de Kaspersky.



En effet, comme le dit l’article, l’utilisateur est obligé de faire confiance à un logiciel de sécurité, en lui accordant le droit de fouiller son ordinateur et d’avoir accès, de fait, à ses données privées, voire sensibles. Quoi de mieux qu’un antivirus ou qu’une suite de sécurité pour mener à bien ce travail ?



Quoiqu’il en soit, ce qui est certain, c’est qu’un antivirus ou une suite de sécurité ne peut qu’être intrusif pour fonctionner normalement. Il doit surveiller les faits et gestes de l’utilisateur pour le protéger des programmes malveillants. C’est une relation de confiance qui doit se créer entre l’utilisateur et l’éditeur de logiciels de sécurité. Ou alors, comme le font toujours certains utilisateurs, il faut utiliser son ordinateur à poil, en étant conscient des risques qui sont pris.



Qu’est-ce que je pense de cette affaire ? Elle me fait rire parce que les Américains sont eux aussi très forts en matière d’espionnage. J’y vois là simplement une résurgence de la Guerre Froide. Les Américains et les Russes ont beau s’être rapproché l’un et l’autre, ils continuent de se méfier mutuellement. Kaspersky est un éditeur russe et tout ce qui russe en matière d’informatique a toujours éveillé les soupçons du Gouvernement américain.

Le 18/10/2017 à 21h 07







KP2 a écrit :



Le financement des films par le CNC, c’est vachement bien pour notre soit-disante “exception culturelle”. le problème est qu’aujourd’hui, sans le CNC, le cinéma français n’est pas rentable (à part qq exceptions).

Et le pire est qu’un film français se monte joyeusement avec de l’argent public et si il se vautre, tout le monde s’en fout. Par contre, si il marche, les bénéfs sont privatisés directs.

C’est pour ça qu’on se retrouve avec des acteurs français qui ne jouent QUE dans des films français qui ne sortent QU’EN France pratiquement aussi bien payés que certaines stars mondiales US qui jouent dans des films à (très) gros budget et qui sortent dans le monde entier.



Là-dessus, les cinémas ont une obligation de proposer 30% de films français mais en échange ils ont un monopole sur les sorties pendant 3 mois pour alimenter ce système bancal et clairement pas en faveur du consommateur.



Y’aurait un sacré coup de balai à foutre dans ce merdier. Déjà, il faudrait que le CNC soit financé par les résultats des films auxquels il participe (un peu comme un système de dividendes) et non pas une taxe sur les entrées. Et qu’il soit un peu plus regardant sur la production (comme n’importe quel investisseur). Ensuite, il faudrait que le budget d’un film soit un peu plus autonome (comme n’importe quel business) plutôt que reposer presque entièrement sur l’Etat.

D’un coté ça permet de diversifier l’offre artistique sauf qu’en vrai, j’ai pas le sentiment que la production française soit si impressionnante d’un point de vue artistique donc je suis pas convaincu que ça marche si bien…



Moi, je veux bien qu’on mette en place des mécanismes pour subventionner quasiment un secteur entier mais je tolère ça pour l’agriculture ou l’énergie qui sont des secteurs ultra-stratégiques.

Pour le cinéma, par contre… hum quoi…







Le système des subventions dans le 7eme Art français a des effets pervers. En effet, des films français sont déjà rentabilisé avant même leur sortie en salle et certains acteurs sont surpayés, au regard du budget qui a été alloué au film.



Cependant, malgré ces défauts, il suffit de regarder ne serait-ce que l’état désastreux de la production cinématographique italienne pour se rendre compte que sans subventions, le cinéma français ne serait que l’ombre de lui-même. En effet, les Français portent peu d’intérêt à leur propre production cinématographique et ce ne sont pas eux qui la soutiendrait. Ainsi, et pour ne donner qu’un exemple, il fut un temps où le cinéma d’horreur français commençait à rebattre de l’aile, avec des films comme “Martyr” (2008), “Frontière(s)” (2008), “A l’intérieur” (2007), “Vertige” (2009), “Captifs” (2010) ou encore “La horde” (2010).&nbsp; Sauf que les spectateurs français sont drogués à Hollywood et ne savent plus apprécier les films qui viennent de chez eux. Les films d’horreur que j’ai cité n’ont rien à envier à ceux d’Hollywood… Parce que les spectateurs français ont boudé ces films, le cinéma d’horreur français est retombé dans l’oubli…



Cette exception culturel française a permis de sauvegarder le 7eme Art français, qui ne pourrait pas lutter avec Hollywood. Dans cette exception culturelle française, il du bon, du moins bon et du mauvais. Il ne faut pas retenir que les mauvais points. Le Centre National du cinéma et de l’image animé est un établissement public, dont les missions sont notamment de soutenir le cinéma français et de le promouvoir. Devrait-il soutenir financièrement que les films français qui ont une chance d’être rentables ? La bonne blague… quel film français peut se targuer d’être rentable ? D’un, ils s’exportent très mal mais, après tout, est-ce la raison d’être du cinéma français ? De deux, les spectateurs français boudent leur propre propre production cinématographique, en amenant souvent des arguments foireux. Ils la dénigrent, tout simplement.



En résumé, je n’ai qu’une chose à dire : il n’y a pas que les Etats-Unis qui produisent de bons films… C’est là que je fais la différence entre un spectateur et un cinéphile. Entre les deux, il y a un gouffre…


Le 18/10/2017 à 15h 28

Ce qui est sûr, c’est que la chronologie des média est devenue archaïque. Beaucoup de gens n’ont pas la patience d’attendre que les films ou les série TV sortent en DVD/Blu-ray/VoD/SVoD. Ils téléchargeront les contenus illégalement bien avant que les sorties légales.



Vous rajoutez à cela que dans cette proportion de personnes, beaucoup préfèrent le dématérialisé. Or, les tarifs des plates-formes de VoD et de SVoD sont relativement chers. Egalement, leurs catalogues ne sont pas exhaustifs, contrairement à ceux des plates-formes de musiques. Ces personnes ne se tourneront pas vers l’achat de DVD et/ou de blu-ray, puisqu’ils ne veulent plus avoir de vidéothèques chez eux. Là aussi, ils passeront donc par le téléchargement illégal.



La chronologie des médias a été créé pour soutenir les salles de cinéma. Pour faire court, la France a créé cette chronologie des médias pour inciter les gens à aller consommer des films dans les salles obscures et non pas chez eux. Et il y a un intérêt derrière tout cela : une partie du prix d’une place de cinéma est reversé à au Centre National de Cinématographie. Autrement dit, le spectateur soutient le 7eme Art français.



Aux Etats-Unis, il n’existe pas de chronologie des médias. Les producteurs passent des accords avec les plates-forme de VoD et de SVoD ainsi qu’avec les éditeurs et distributeurs. Il n’existe donc aucune loi qui vient légiférer un délai pour la première exploitation. Tout se passe via des accords contractuels.

Le 17/10/2017 à 20h 13

Microsoft vient de publier une nouvelle version de son outil Media Creation Tool. Celui-ci ne renvoie plus à ce message absurde qui est de télécharger la dernière version de l’outil alors que l’utilisateur dispose, justement, de la dernière version.



Je vais donc pouvoir télécharger l’iso et faire une installation propre, comme je l’ai fait avec les précédentes mises à jour majeures de Windows 10. Un formatage du disque dur et une réinstallation de Windows 10 avec la Fall Creators, c’est ce qui me convient le mieux. A chacun de choisir : l’update ou l’installation propre. J’ai fais mon choix.