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wykaaa

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297 commentaires

Le 13/09/2015 à 08h 58







Faith a écrit :



Soit, et tu as soigneusement oublié cette possibilité, la génération automatique de code ne répond pas aux exigences des métiers.





Ce que tu m’as cité en exemple n’était pas des fonctionnalités répondant à des exigences métier mais du simple affichage. Je suis d’accord que les exigences métiers restent à coder mais toute la “sauce” autour, à savoir la manipulation des bases de données, les différents protocoles réseaux pour les architectures n-tiers, les couches de présentation, etc. peuvent aisément être générées automatiquement et ça fait déjà beaucoup de code…

 

Je ne fais pas de pub, c’est juste à titre d’exemple, mais en utilisant des outils comme celui-ci :http://www.objecteering.fr/solutions_code_generation.php on peut accélérer à la fois le développement et augmenter la qualité du code. ET puis il y a MDA (Model-Driven Architecture) de l’OMG qui existe depuis 15 ans maintenant. Il y a énormément d’outils associés à cette démarche aujourd’hui. Il y a aussi des outils pour décrire des processus métiers qui génèrent automatiquement du code. Bref, rester dans le “tout manuel” aujourd’hui est une perte de temps et même une aberration.


Le 12/09/2015 à 18h 41







eliumnick a écrit :





Oui j’ai enseigné l’informatique, c’est vrai, mais j’ai aussi participé et piloté de nombreux projets, j’en ai audités aussi. J’ai travaillé pour l’armée de Terre (j’étais habilité confidentiel Défense et OTAN), EDF, RATP, ministère des finances, BULL, etc.

 

J’ai codé et piloté des projets dans les compilateurs (C, PL/1, Fortran, Pascal, ADA).

 

Ce que tu décris comme la “triste” réalité du travail de développement logiciel n’est pas inéluctable et ce qui mine le métier c’est le “moins-disant”. Il y a beaucoup de la faute des informaticiens eux-mêmes car la majorité, comme Faith, se complaisent dans le bricolage, se comporte comme des “artistes” au lieu de professionnels responsables, mettent leur égo dans le code au lieu de faire de la “programmation sure” et fiable. Bref, l’informatique est uns industrie qui est encore, malgré les apparences, dans l’enfance. Elle n’est pas mature et nous n’en sommes, au mieux, qu’à l’âge de la pierre.

 

Je suis membre de IEEE et de l’ACM et quand je vois les efforts qu’on déploie pour élaborer des standards, des normes de développement (je fais parti de TCSE : Technical Council on Software Engineering au sein de l’IEEE) pour les résultats constatés sur le terrain avec des managers totalement incompétents, des informaticiens (et pas seulement les développeurs) formés à la petite semaine pour la plupart et qui ne veulent subir, comme Faith, aucune contraintes industrielles, je suis vraiment effaré. Il devrait y avoir un ordre des informaticiens comme il y a un ordre des médecins pour l’éthique parce que, avec le boum de l’intelligence artificielle et de la robotique, nous courons clairement au-devant de catastrophes, la société devenant de plus en plus automatisée.

 

Il devient nécessaire de confier le codage à des spécialistes (l’inverse de ce qu’on fait actuellement) pleinement responsable et éthiquement sans reproche. On est très, très loin du compte et ce n’est pas en introduisant le codage à l’école qu’on va s’en sortir. Au contraire c’est une décision extrêmement néfaste pour la profession. Ce qu’il faut apprendre à l’école, c’est comment utiliser le numérique (c’est bien plus vaste que Internet), apprendre à utiliser correctement un traitement de texte, un tableur, apprendre à chercher sur Internet et à utiliser correctement les résultats. Il y a un immense travail à faire en amont. Hélas, la société prend la mauvaise voie car je ne comprends pas à quoi ça sert que tout le monde sache (mal) coder.

 



 Donc, s’il te plaît, un peu de décence sur tes à priori qui ne correspondent qu’aux poncifs véhiculés par les médias mais pas à la réalité de notre métier, malmené à la fois de l’extérieur par les médias qui ne savent pas en parler et maltraité par les acteurs même de la profession ou qui s’auto désignent comme tels et qui adoptent des comportement indignes loin de ce que devraient être leurs responsabilité.


Le 12/09/2015 à 14h 16







Faith a écrit :



  Yes ! Bricolage, c’est le mot. C’est ce qui rend l’informatique passionnante et excitante: pouvoir manipuler, triturer, maltraiter des lignes de codes et en tirer un résultat surprenant, voir imprévu.   C’est ça l’informatique pour moi. 

  Tout le reste n’est que littérature et… travail industriel. 

 

 



Non ce n’est pas cela l’informatique car un logiciel c’est un produit industriel comme un autre : il doit être maintenu, pouvoir évoluer, etc. Les développeurs n’ont donc pas à mettre leur égo dans le code comme tu sembles le professer en disant “pouvoir manipuler, maltraiter…”. Tu es le type même d’informaticien qui détruit l’image de l’informatique et si on paye encore depuis 15 ans au moins des gens pour faire des choses qui sont générées automatiquement c’est que soit les managers sont nuls, soit les développeurs ne sont pas à l’état de l’art, soit, comme toi, ils veulent “bricoler”.

 

Tu fournis une image détestable de l’informaticien et tu sembles en être fier. Il n’y a pourtant pas de quoi. Imagine que tu achètes une voiture et que la direction casse au premier virage. C’est le genre de logiciel que tu fournis avec tes méthodes d’amateur. Quant aux méthodes Agile, dans 95% des cas elles sont mises en œuvre n’importe comment et il ne faut pas s’étonner si 40% des projets partent à la poubelle.

 

Je pense que tu n’as jamais trempé dans des projets importants où les bugs peuvent entraîner des pertes de vies humaines comme pour l’avionique, les centrales nucléaires, les navettes spatiales, etc. Tu raisonnerais certainement autrement et tes fameuses “méthodes” sont totalement bannies dans ces milieux où, effectivement, le travail doit être fait de façon industrielle.

 

Tant que tu trouves des jobs et des projets où on te laisse “t’amuser” dans le bac à sable, profites-en bien…


Le 11/09/2015 à 20h 47







Faith a écrit :



 Ca, c’est un pisseur de ligne de code ! (et il n’y en a plus beaucoup, même en Inde et en Pologne)

 Un informaticien est force de proposition: il développe, identifie certains problèmes, certains non-dits, fait des choix ou demande aux clients de faire ces choix.



 Faire des spécifications sans failles, ni non-dit, ni erreurs, c’est non-rentable: ça prend très longtemps, coûte très cher, immobilise de nombreux experts et ça empêche de commencer en parallèle le développement.

 

C’est quoi le nom de l’algo qui permet d’afficher un écran avec 8 champs dont 1 avec un format “montant” et un petit texte en italique, fait des vérifications de cohérence et de validité sur ces champs, puis manipule une machine ou remplis une BD ?





Non un informaticien n’a pas à faire des choix. Il peut aider le client à élaborer ses besoins, les décrire de la façon la plus précise possible mais il ne fait pas de choix lui-même.

 



 Dans les grands projets (plusieurs millions de lignes de code, plusieurs dizaine d’homme/an), le codage représente moins de 20% de l’ensemble du projet, les tests 40 à 50% et les spécifications et la conception 30 à 40%. Si ces proportions ne sont pas respectées, le projet est soit voué à l’échec, soit non maintenable. Pour les systèmes d’armes, la durée de vie est au minimum de 35 ans. Dans ce type de projet, il est hors de question de faire du développement agile.

 

 Quant à l’algorithmique peut-on qualifier d’algorithme l’affichage de 8 champs alors que ceci peut être généré automatiquement par n’importe quel outil aujourd’hui. Valider les champs, c’est pareil, ça peut être généré automatiquement. Remplir une BD c’est pas difficile non plus et il y a quantité d’outils et de librairies qui savent faire ça. De plus avec le “design pattern” on a tout ce qu’il faut pour rendre indépendant la BD et l’applicatif (pattern “bridge”, “DAO”, etc.) et pour les BD la seule chose qu’il faut connaître ce sont les primitives CRUD (Create, Read, Update, Delete). Il ne doit y avoir rien d’autre comme fonctionnalités dans l’interface avec la BD surtout si on a une approche orientée service (SOA : Service Oriented Architecture). Dans de telles architectures on séparera les objets métiers, les services métiers, les processus métier, les objets qui implémentent les objets métiers et on utilisera le motif d’architecture MVC (version 2) qui sépare le modèle de données, les vues et le ou les différents contrôleurs qui font le lien entre les vues et le modèle. Même si on fait de la conception objet (en UML), la plupart des ateliers logiciel aujourd’hui et depuis un certain temps déjà, savent même générer automatiquement le SQL.

 

En combinant plusieurs “design patterns” (en français motifs de conception) j’ai réussi à rendre indépendant un applicatif du type de base de donnée utilisée. Les développeurs de l’application n’avaient pas à savoir si la BD était relationnelle, objet ou XML. Par contre ils devaient parfaitement se conformer aux fonctions de l’interface “BD générique” qui leur était fournie.

 

Pour finir, afficher un texte en italique n’est certainement pas ce qu’il y a de plus complexe à coder puisqu’il y a des outils pour le faire automatiquement. Bref, ce que tu décris peut entièrement être généré automatiquement à condition d’utiliser les outils adéquats permettant de faire la conception. Tout le reste n’est que littérature et… bricolage.

 

Dans mes commentaires, quand je parle d’algorithmique, je parle de “vrais” algorithme, ceux qu’on décrit dans la littérature mais pas de simples affichages d’interface depuis longtemps résolus par des outils ni des BD pour lesquelles il n’y a aucun secret depuis leur invention avec les formes normales (qu’on optimise en général et il y a abondance de littérature sur le sujet) pour les SGBDR où les bases de données objet avec la sérialisation, les clusters, etc. ni même avec les BD XML avec tous les outils et les standards qui décrivent comment manipuler l’XML.

 

Si tous ces outils sont utilisés correctement, on est loin du “pisseur de ligne de code”. Ceci dit dans ma longue carrière d’informaticien j’ai vu plus de “pousseurs de caractères” que de réels programmeurs.


Le 11/09/2015 à 19h 58

Rassure-toi, je suis en retraite et je donne toujours des cours sur les architectures logicielles pour systèmes complexes à logiciel prépondérant et je ne me plains pas des tarifs que j’ai moi-même décidés et qui sont acceptés par mes clients. Je fais aussi des audits de code (C, C++, Java) et je vois souvent des “horreurs”.

Le 11/09/2015 à 17h 06

Le parser était dans ma vie professionnelle et non pas universitaire. J’étais dans les langages et les compilateurs.

 

La définition de “connaître réellement” est facile, c’est connaître parfaitement la sémantique de chaque trait de langage et les “patterns” les plus communs du langage (les enchaînements dans tous les contextes). Que dirait-on d’un menuisier qui ne sait pas très bien utiliser ses outils ? Pourtant en informatique, on trouve trop souvent le cas, hélas. Quant à l’algo, c’est pas compliqué. Les développeurs réinventent sans cesse la roue. Plus de 98% des algos qu’on utilisent se trouvent dans la littérature et les développeurs ne devraient faire que des adaptation. Aucun développeur n’invente d’algo. Ce sont les chercheurs qui inventent des algos et, en général, ils portent le nom de celui qui l’a découvert : algorithme d’Earley, de Boyer-Moore, d’Agrawal-Saxena-Kayal, Deker, Petterson, Gouraud, etc. Bien sur il y a aussi des noms d’algorithme générique pour les tris par exemple ou le hash-coding, mais ils n’ont jamais été, ou très rarement, inventés par des développeurs.

 

Quant aux librairie externes, pour faire des erreurs, il faut que la doc soit mauvaise sinon c’est vraiment lambda car il suffit de lire les specs des fonctions.

 



 Un développeurs n’invente pas. Il met en œuvre les exigences des clients (l’expression des besoins), mises en forme en termes de spécifications, en les traduisant et en les implémentant dans un langage formel (le mot formel est très important) qu’il est censé maîtriser parfaitement (ce qui est rarement le cas…).

Le 11/09/2015 à 15h 03

Pratiquement oui. Je me rappelle d’un “parser” que j’avais écrit après en avoir fait la conception (globale et détaillée). Il faisait plus de 6ààà lignes de code. En test, je n’ai découvert qu’une erreur et en plus de 10 ans personne n’a jamais découvert d’erreur en l’utilisant.

 

A l’époque où je codais, je considérais la programmation comme la démonstration d’un théorème, le programme devant réaliser ce qui était indiquer dans les spécifications. J’ai toujours codé quasiment sans erreur car je ne programmais qu’après être certain que ce que j’avais conçu était sans faille. Il faut quand même que je dise que ma spécialité est la sémantique des langages de programmation et que, donc, les langages formels n’ont aucun secret pour moi.

 

Durant mes 40 années de vie professionnelle j’ai constaté, sans faire de statistiques précises, qu’environ 90% des programmeurs ne connaissent pas RÉELLEMENT le langage dans lequel ils programment et que leur seul échappatoire est la méthode “essai/erreur”.

Le 11/09/2015 à 14h 53

Entièrement d’accord avec vous, du coup ;-)

Le 11/09/2015 à 14h 51

Au niveau international, je suppose que vous écrivez en anglais et que, peut-être, vous faites moins de fautes car la grammaire est plus facile ;-)

Sans rancune, j’espère.

Le 11/09/2015 à 14h 21

Bof : eval et apply c’est pas la mort et un peu de car et cdr pour montrer que “ça marche”…

 

1h c’est bien suffisant.

Le 11/09/2015 à 14h 16

Il s’agissait de quel langage B ? celui de Ken Thompson (ancêtre du C) ou celui de Jean-Raymond Abrial issu de sa méthode B, utilisé pour concevoir et programmer toutes les parties sécurité de la ligne de métro 14 http://download.gna.org/brillant/docs/Dorian.Petit-These/main009.html). C’est pas du tout pareil ;-)

Le 11/09/2015 à 14h 08

Tu ne dois pas avoir beaucoup de mémoire alors. Je me souviens de tous les langages dans lesquels j’ai codé et j’en connais une bonne vingtaine.

Le 11/09/2015 à 14h 04

Quand je pense qu’en mastère d’informatique, dans le cours de sémantique des langages, je parlais de relation d’ordre strict et que je me plaignais qu’aucun bac+5 n’était capable de m’en donner les propriétés, j’étais loin de penser qu’ils n’avaient pas encore touché le fond. La règle de 3 !!!!! (warf, warf)

Le 11/09/2015 à 13h 53

Ce que tu décris est l’absence de méthode c’est à dire la méthode “essai/erreur” qui fait tant de mal dans les équipes de développement inexpérimentées (environ 90% des équipes). C’est certainement pas comme ça qu’il faut programmer (je déteste le terme “coder”, très péjoratif). Quand on code, on réfléchit avant. As-tu déjà entendu parler de conception détaillée et de pseudo-code ?

Le 11/09/2015 à 11h 02

“Dans le supérieur, on n’utilise pratiquement pas la calculatrice (ceux

qui ont fait un peu de maths après le bac comprendront…), voire on

l’interdit.”

 C’est justement ça qui est d’une connerie sans nom. J’étais ingé informaticien et je possède une licence de maths aussi. J’ai aussi enseigné, d’abord au lycée pendant mes études et ensuite dans des mastères informatiques ou en entreprise pour des ingénieurs d’étude. L’expérience que j’en tire c’est que le “par cwour” ne sert à rien et que ce qui compte c’est la compréhension. Avoir tout le savoir de la Terre (Internet) mais ne pas savoir l’utiliser ne sert à rien. Tous ceux qui sont contre l’utilisation d’Internet aux examens soit n’ont pas fait beaucoup d’études et font preuve de “populisme”, soit sont des adeptes du fameux “contrôle de connaissances” en lieu et place du “contrôle de compréhension”.

 

Et pour ceux qui pensent que l’enseignement en France est nul, je leur indique que nombre de mes étudiants se sont fait embaucher aux US dans la Silicon Valley : Sun et Dec (à l’époque), Oracle, Apple, Microsoft, etc.

Le 11/09/2015 à 10h 49

Aux US, le niveau des jeunes en géographie, par exemple, est nul (ils sont avant-derniers et les français 4ème) :

&nbsphttps://scribium.com/gabrielle-narcy/a/les-americains-mauvais-eleves-en-geograph…

 

 Renseigne-toi…

Le 11/09/2015 à 09h 42

Se rappeler les formules, comme vous dites, ce n’est pas forcément savoir les utiliser correctement dans un contexte. La compréhension est de toute façon nécessaire. Le “par cœur” ne suffit pas. Donc un grand OUI à l’utilisation d’Internet pour TOUS les examens.

Le 11/09/2015 à 09h 31

Vous, vous avez besoin de retourner à l’école pour l’orthographe. Si vous avez des diplômes vous voyez qu’actuellement ils ne servent pas à grand-chose vous concernant…

Le 11/09/2015 à 09h 27

Enfin des recommandations adaptées à l’ère numérique. Dans la “vraie vie” on utilise abondamment Internet. Je suis à la retraite mais j’ai passé toute ma carrière dans l’informatique : développeur, chef de projet, directeur de projet, consultant senior expert dans les systèmes complexes, enseignant en mastère, etc. Sans Internet, on n’est plus rien aujourd’hui, professionnellement parlant. Le “par cœur” c’est terminé et ça ne sert d’ailleurs à rien pour la compréhension. On peut très bien apprendre toutes les formules de trigonométrie et les utiliser (à peu près) correctement sans rien comprendre au pourquoi du comment. Ferait-on confiance, aujourd’hui, à un ingénieur de génie civil pour faire tous les calculs de résistance de matériaux sans consulter Internet et utiliser un ordinateur mais seulement sa mémoire et des calculs manuels ? Non. Évidemment que, de ce fait, les sujets d’examen vont être différents mais la pédagogie en classe aussi. Nous ne pouvons qu’y gagner à aller vers toujours plus de compréhension de la part des élèves et des étudiants au lieu du “par cœur”. Tout est à revoir de fond en comble. Ceux qui pense que ça dévalorisera les diplômes se trompent lourdement. Au contraire, les diplômes n’en auront que plus de valeur car on sera sûr que ceux qui les détiennent ont compris ce qu’ils avaient appris. Aujourd’hui, on n’est sûr de rien et même plutôt sûr du contraire.

Le 12/09/2015 à 09h 02

Heureusement, tous ces requins n’en ont plus pour très longtemps à vivre. L’exemple de la musique ne lui suffit pas ?

 

Ils ne comprennent rien à l’ère numérique et vont disparaître rapidement.

Le 09/09/2015 à 16h 37

J’ai un iPad avec un clavier Apple Bluetooth, c’est un peu comme un ordinateur hybride, non ? sauf que là, c’est la tablette que je transforme en ordinateur, hi, hi !

Le 25/08/2015 à 14h 57

“Ca prone la laïcité mais ca diffuse tout les dimanche matin la messe hahaha”

 Pas seulement la messe. et c’est payé avec une partie de notre redevance, si, si !

 

Et moi je suis athée et je n’ai que faire (pour rester poli) des religions, toutes…

 

Où est le bug ?

Le 25/08/2015 à 14h 54

2 € par mois par chaîne ? c’est de la folie : 100 chaînes : 200 €/mois !!!! (avec Canalsat j’en ai pour 37 € par mois pour plus de 100).

Le 19/08/2015 à 12h 13

Ah, ah, ah, ah, ah. Faut quand même être con pour acheter quoi que ce soit avec des DRM depuis un moment, mais les joueurs invétérés n’écoutent rien…

Le 14/08/2015 à 10h 00

Fleur Pellerin est la mère maquerelle des ayants droit. Si le “clic droit” ne fonctionne pas il n’y a qu’à faire une capture de l’image (avec l’outil capture sur Mac OS X).

Le 08/06/2015 à 08h 05

Le débat, débile, sur Google montre, une fois de plus, que les politiques ne comprennent strictement rien à l’ère numérique.

Le 31/05/2015 à 09h 58

Fleur Pellerin est tellement acoquinée avec les lobbies des ayants droits qu’elle n’a aucun égard pour le partage de la culture pour le peuple. Comme tous les énarques elle a une vision élitiste de la culture et il ne faut rien attendre d’elle pour faire entrer la culture dans l’ère numérique à laquelle elle ne comprend d’ailleurs rien.

Le 10/03/2015 à 10h 21

Tous ces projets de taxes sur le numériques sont ridicules, obsolètes avant d’avoir été créés car, que les politicards le veuillent ou non, nous sommes entrés dans l’ère numérique et vouloir taxer à tout va cette activité, c’est se tirer une balle dans le pied du point de vue économique.

Le 27/02/2015 à 08h 20

Quel retard par rapport à Apple !

Le 24/02/2015 à 12h 19

L’attitude des ayants droits français et de la France, outre qu’ils on plusieurs métros de retard par rapport à l’ère numérique, ne fait qu’encourager le piratage.

Nous devenons un des pays les plus ringards d’Europe sur toutes ces questions. Probablement l’effet ENA !!

Le 23/02/2015 à 19h 26

Ce que l’on constate, c’est que pour les ayants droits , la mondialisation ne doit fonctionner que dans un seul sens. A quand la fin des  zones, par exemple ?

C’est fou le nombre de “décideurs” (un bien grand mot pour des nuls) qui ne comprennent rien à Internet ou qui font semblant de ne pas comprendre. Et après ça gueule contre le piratage. Pauvre monde, pauvre époque !

Le 12/02/2015 à 23h 35

Qu’ils disparaissent tous ces parasites, ces rapaces, jamais rassasiés, voraces, cupides !

Le 07/02/2015 à 20h 00

Pas d’Eurosport et d’Eurosport 2 ? Melody à 4,5 euros/mois. Les chaînes classiques pour 8 euros/mois ?

Mais ils se foutent de qui, là ?

Le 05/02/2015 à 09h 23

Pour la voiture, ayant une prise USB, j’ai une clé de 32 Go. Je ne la change jamais lors d’un voyage…

Qui sauvegarde encore sur support optique de 4,7 Go, c’est ridicule comme capacité. Ça ne peut même pas contenir un film en HD un peu long et pas très compressé.

J’ai un NAS Synology de quatre fois 2 To pour mes sauvegardes en raid hybride.

Le 02/02/2015 à 09h 50

Fleur Pellerin décrédibilise sa fonction. Elle est totalement acquise aux lobbies. Elle se fout du peuple et du partage de la culture.

Le 27/01/2015 à 12h 53

Enfin ! il est grand temps !!

Le 16/01/2015 à 11h 20

Qu’est-ce que c’est que ce vocabulaire d’état complètement déviant concernant le numérique :




  • codeur (ce qui est méprisant pour un informaticien) au lieu de programmeur

  • culture digitale au lieu de culture numérique

  • code informatique au lieu de programme source

  • etc.

    On peut supposer qu’il n’y a pas de conseiller vraiment à la hauteur au gouvernement.

Le 16/01/2015 à 11h 11

Le cloud est une vaste fumisterie puisque tout redevient centralisé, la preuve. C’est un gigantesque bond en arrière pour moi qui ai connu l’informatique centralisée des années 70. Le clou, c’est une régression totale car, contrairement aux serveurs des années 70 qui étaient “propriétaires” (époque d’IBM et les 7 nains), donc sécurisés, aujourd’hui on a perdu cette sécurité au profit d’un “semblant” de sécurité qui n’est qu’un rideau de fumée.

Le 16/01/2015 à 11h 05

Franchement, Gameblog on s’en fout. Il y a bien plus important.

Le 05/12/2014 à 08h 58

La défense de vieux modèles économiques obsolètes par des lois anti ceci anti cela est pathétique et absurde alors qu’on entre de plain-pied dans l’ère numérique et que tout est à réinventer.

Le 04/12/2014 à 10h 31

Justement, c’est parce que j’ai une excellente mémoire (je lis 5 pages et je les connais pratiquement par cœur sans aucun effort) que je constate que ça ne sert pratiquement plus à rien.

Le 01/12/2014 à 10h 34

Et si on prenait le “problème” à l’envers. On part de l’hypothèse qu’il est impossible d’empêcher les candidats de tricher à cause des technologies de plus en plus sophistiquées qu’on peut mettre en œuvre. Dans ce cas, on donne des épreuves qui tiennent compte du fait qu’on peut communiquer avec l’extérieur. on encourage même les candidats à utiliser Internet en leur fournissant les moyens de s’y connecter. A notre époque, le “par cœur” est une absurdité puisqu’on dispose de tout le savoir de l’humanité au bout des doigts. Heureusement que dans la vie professionnelle on ne fait pas confiance à la mémoire des gens mais qu’on leur fournit les moyens de travailler (hier fascicule de formules sur la résistance des matériaux pour les ingénieurs en génie civile, par exemple. Aujourd’hui connexion Internet). Le problème de cette approche des examens c’est qu’en amont toute la pédagogie est à revoir puisqu’il faut utiliser, partout et tout le temps, les réseaux et les technologies numériques. C’est un vaste chantier pour l’apprentissage mais ce serait plus intelligent que d’essayer de mettre en œuvre, lors des examens, des technologies contre la tricherie qui seront, de toute façon, inopérantes ou trop coûteuses, au moins à terme.

Le 27/11/2014 à 16h 36

Encore une occasion manquée de l’Europe envers ses citoyens. Décidément il devient urgent de quitter cette Europe du fric qui ne gouverne que pour les lobbies et l’énarque Fleur Pellerin, compte tenu de sa formation, ne va pas les contredire, bien au contraire.

Il y a longtemps que les castes au pouvoir ont abandonner les intérêts des citoyens au profit des leurs.

Le 25/11/2014 à 19h 05

Fleur d’oranger va encore frapper. Cette énarque nullissime, acoquinée aux lobbies comme c’est pas permis vient foutre la merde dans quelque chose qu’elle ne comprendra jamais.

Le 22/11/2014 à 08h 07

Vous n’avez jamais travaillé en entreprise, vous…

Le 22/11/2014 à 08h 03

Je ne suis pas pour le “pack office” mais ayant essayé à maintes reprises d’utiliser libre ou open office, j’ai toujours eu des ennuis qui ont fait que je n’ai jamais réussi à utiliser ces suites de façon professionnelle :




  • Word : avec certains clients, je dois utiliser leurs macros pour mettre en forme des documents dans le cadre de leur assurance qualité : ça bogue avec les logiciels libres

  • Powerpoint : impossible d’inclure des vidéos, quelques fois des diapos fusionnent, certains traits de mise en forme ne fonctionnent pas très bien comme la transparence, par exemple, etc.

  • Excel : grosses applis avec du vba ne fonctionnent pas ainsi que des liaisons entre des feuilles de calcul et des documents word.

    Bref il m’est impossible d’utiliser les suites bureautiques libres et je suis autoentrepreneur et, donc, loin d’utiliser toutes les fonctionnalités qui peuvent l’être en entreprise.

Le 06/11/2014 à 08h 57

Je suis ancien utilisateur d’Arpanet, bien avant le Web car dès 1985. Je suis également un utilisateur du Web de la première heure. J’utilise AdBlock Plus au maximum. Je ne veux pas de publicité. Qu’est-ce qu’on était tranquille en 1993 quand il n’y avait pas de pub dans les pages Web. Il faudrait un second réseau pour ceux qui veulent regarder des vidéos ou la télé sur le Web qui n’a pas été fait pour cela.

C’est toujours pareil, dès que les marchands entrent dans le temple, c’est le bordel. Exit la pub !

Ceci dit j’utilise principalement le Web pour ma veille techno et je ne vais jamais sur des sites comme ceux des télés. J’accepte de payer pour des dossiers de fond sur certains sujets qui m’intéressent. Je préfère, de loin, cette solution plutôt que la pub.

En résumé, pour moi, toute solution sauf celles qui incluent la pub.

Le 31/10/2014 à 08h 42

Mais quand est-ce que les politiques vont laisser vivre Internet tranquillement et se mêler que de ce qui les regardent à savoir prévoir les changement majeurs induits par l’avènement de l’ère numérique qui ne se résume certainement pas à taxer, taxer et encore taxer.

Il semble que les gouvernements, à l’échelle de la planète, sont gangrénés par les lobbies financiers, les ayants droits, bref la mafia mondiale qui met le monde sous la coupe de leur dictature !!!

Le 16/10/2014 à 19h 17

Waouh, l’iMac Retina. Je le veux !

Le 11/10/2014 à 17h 03

Le concept est peut-être intéressant mais l’émission est mal ficelée (je n’ai regardé que la première émission). Trop de blabla. Candidats qui ne chantent rien d’original. Animateurs pas à leur place, sans aucun charisme.

Cette émission montre que même avec laide d’Internet et des réseaux sociaux, la télé est un média en voie d’obsolescence car il y a bien plus intéressant sur le réseau, au niveau de l’inventivité musicale et surtout pas de linéarité (c’est ce qui tue la télé).