votre avatar Abonné

V_E_B

est avec nous depuis le 8 novembre 2009 ❤️

1436 commentaires

Le 09/09/2014 à 12h 58







Ph11 a écrit :









Globalement d’accord, juste :





Ph11 a écrit :



En plus, si rouler trop vite diminue les chances d’éviter les accidents (car la vitesse ne crée les accidents, mais l’incapacité de les éviter), rouler trop lentement relache l’attention, provoque la somnolence.





On ne saurais trop rappeler l’importance des distances de sécurité. Je me sent plus en sécurité à 130 en respectant la distance qu’à 50 collé au derrière d’un autre véhicule.

J’ajouterai que plus que la basse vitesse, c’est la régularité qui amène la somnolence. Rouler à une vitesse irrégulière mais basse (par exemple en centre ville, dans les villes ou c’est possible <img data-src=" />) maintient mieux l’éveil qu’une vitesse de croisière à 130 sur une longue durée, sans obstacle, dépassement ou ralentissement.


Le 09/09/2014 à 12h 47







OlivierJ a écrit :



Tu joues sur les mots. Bien évidemment que le changement de vitesse n’est pas notable. Quand ta voiture passe insensiblement de 130 à 140 en une minute, c’est impossible à remarquer. J’ai vu ça avec un ami sur autoroute un jour où on avait loué une voiture qui avait juste un limiteur (à mon avis ça ne sert à rien, c’est le régulateur qui est vraiment utile), et systématiquement on faisait biper le truc au bout d’une minute ou 2 (on redescendait à 130 et on se retrouvait à 140).





Je ne joue pas sur les mots : vitesse et accélération sont deux notions différentes, et leur détection se fait aussi de manière différente.

Personnellement, je ne saurais pas dire dans un véhicule à quelle vitesse je roule. Par contre, je trouve facile de déterminer si j’accélère, décélère, ou maintient ma vitesse. A partir de ça, il suffit de vérifier son compteur de vitesse de temps en temps (et pas toutes les 10 secondes) pour s’assurer de ne pas dépasser. Que tu n’y arrive pas ne veut pas dire que c’est impossible, simplement que ce n’est pas assez générique pour constituer une solution acceptable. Donc, idéalement, limiteur/régulateur, qui eux sont universels.







OlivierJ a écrit :



Amortir l’accélération, ça ne veut rien dire. Quand tu accélères avec une voiture haut de gamme tu le sens autant qu’avec une Twingo (voire plus évidemment vu la puissance :) ). C’est le confort de ce genre de voiture, avec le moteur qu’on entend peu et les bruits de roulement et de vent, qui fait qu’on se rend encore moins compte de la vitesse.





Je crois que tu as très bien défini “amortir l’accélération”. A savoir, atténuer les signes détectables : bruit, vibrations, pression du siège dans le dos…

Ne conduisant pas une voiture haut de gamme, je veux bien croire que ces véhicules permettent de mieux s’isoler des signaux de conduite (ce qui n’est pas nécessairement une bonne chose d’ailleurs <img data-src=" /> ), mais ça ne change pas qu’on est en droit de s’attendre à un limiteur ou régulateur à ce niveau.







OlivierJ a écrit :



Je m’arrange pour mettre le régulateur de vitesse à 73 km/h réels sur le périphérique parisien (limite à 70 depuis peu <img data-src=" /> ), histoire d’avoir une marge avec les 75, le régulateur de ma voiture n’étant pas parfait.





J’ai une question qui va paraître bête, mais pourquoi ne pas mettre le régulateur à 70 dans une zone limitée à 70 ? <img data-src=" />


Le 09/09/2014 à 11h 53







Reparateur a écrit :



c’est pas le régulateur qu’il faut utiliser mais le limiteur





Erreur de ma part, je voulais dire limiteur, bien vu <img data-src=" />

Après, un régulateur peut remplir la fonction de limiteur sur voie rapide.







knos a écrit :



Bah non la fatigue comme l’alcool est une cause d’accident. Tu ne contrôle plus ta voiture. La vitesse elle, aggrave l’accident. Mais oui faudrait taper partout. Justement par rapport a la fatigue au volant. Déjà le fait d’avoir une allure plus faible et constante diminue l’attention. Mais ensuite les gens ce dise de plus en plus comme je roule moins vite je vais m’arrêter moins souvent. Et c’est la que finalement on arrive a un stage ou réduire la vitesse n’est plus forcement productif.





La fatigue et l’alcool ne provoquent pas directement d’accident. Si tu dévies de ta voie, mais que les autres voies sont vide : pas d’accident. Si tu t’endors au volant et ralenti doucement sur la voie d’arrêt d’urgence (improbable mais possible), pas d’accident. Si tu roule trop vite sur une route vide, sèche et droite : en général, pas d’accident. Tout est une question de contexte.

La vitesse, tout comme l’alcool, n’est pas binaire. Tu n’es pas “ivre” ou “sobre”, tu es affecté différemment selon ton métabolisme, la quantité consommée, la fatigue, être à jeun ou non… La vitesse accentue les risques selon l’état de la route, des pneu, de fatigue, de visibilité…

Bref, je ne vois pas de raison de classer la vitesse différemment des autres facteurs de risque. L’excès, par définition, c’est pas bien, que ce soit d’alcool ou de vitesse <img data-src=" />


Le 09/09/2014 à 11h 33







knos a écrit :



En vrai la vitesse n’est jamais la cause d’accident. C’est juste ce qui augmente sa violence. La cause c’est la perte d’adhérence des pneus, un mec mal situé sur la route, une absence de contrôle. Mais bon c’est sur quand faisant baisser ce paramètre on diminue l’importance des autres.





Un élément unique n’est jamais une cause suffisante d’accident. Un mec mal situé sur la route, si tout le monde roule à 10 km/h, il n’y a pas d’accident. La vitesse est autant un élément de cause que la fatigue, par exemple. D’où effectivement l’importance de limiter chaque facteur, vitesse comprise, pour éviter le risque composé.

Maintenant, trop limité cause un agacement ou une inattention chez bon nombre de conducteurs, rendant le problème épineux ^^’







OlivierJ a écrit :



Tu en as de la chance, ça ne marche pas du tout en général, on n’est pas fait pour sentir la vitesse, surtout avec le confort d’une voiture moderne, et tout le monde se retrouve au bout d’un moment au-dessus de la limite, surtout avec les voitures actuelles (le parc est nettement plus puissant qu’il y a 30 ans par ex).





On n’est pas fait pour sentir la vitesse, non. Mais le changement de vitesse est assez facilement notable. Sauf si il est très ténu, mais dans ce cas le contrôle de vitesse de temps en temps le rattrape avant que l’excès ne se fasse.

J’imagine que des voitures haut de gamme amortissent efficacement l’accélération, mais je m’attend à trouver un régulateur de vitesse dessus aussi.

Régulateur qui est la meilleure solution à mes yeux, je le rappelle :)


Le 09/09/2014 à 10h 03







tazvld a écrit :



Est ce que tu conduit souvent ?

Voiture sans régulateur de vitesse (et quand bien même) il m’arrive de ne pas remarquer que j’ai pris quelques km/h de trop (quelques vallons, emporté par d’autres fil, changement entre autoroute et route nationale …). Je suis obligé de jeter un oeil sur mon compteur toutes les 30secondes, tu crois vraiment que ce n’est pas dangereux ?





Je conduis souvent. Quelques kilomètres de trop ne déclenchent pas les radars (du moins pas ceux dans ma région). Et avec l’habitude, le contrôle des excès de vitesse ne requiert pas de regarder le compteur en permanence : le corps ressent les accélération. Quand tu roule à 90 et que tu te sent accélérer, là tu regardes le compteur. Pas toutes les 30s. C’est un coup à prendre, mais ça marche étonnamment bien.

Après, je préconise quand même le régulateur de vitesse fiable autant que possible. Je ne connais pas l’état de l’art à ce sujet, mais pour moi c’est clairement la meilleure solution, puisque indépendant des capacités individuelles et des habitudes. Et idéalement, ce genre de système pourrait enregistrer des logs pouvant servir de preuve en cas d’amende injustifiée.


Le 09/09/2014 à 09h 52







GeX-R a écrit :



Ni l’un ni l’autre.

Quelqu’un de nouveau, qui ne sort pas du même moule et qui veut vraiment remonter la France sans penser qu’à sa gueule, c’est pas possible ???





Tu penses à qui, que je vote pour lui ? <img data-src=" />


Le 09/09/2014 à 09h 47

Rah, pas ce genre de news en dehors d’un dredi <img data-src=" />

On a encore droit aux hurlements à la dictature parce qu’on ne peut plus contourner la loi en paix, et que ceux qui tue c’est forcément les autres (quelque soit la catégorie ou on se trouve, c’est toujours les autres : ceux qui roulent trop lentement, trop vite, les vieux, les jeunes, les pingouins arboricoles d’amazonie centrale…). Pas bon pour le cœur, ce genre de sujet en semaine <img data-src=" />









luxian a écrit :



Moi, c’est le régulateur de vitesse de ma caisse qui, une fois fixé à 90km/h se balade entre 80 et 100 km selon la montée ou descente !



Il suffit d’un radar mal placé et paf, planté alors que je respectait la limitation.





Si tu étais à 100 sur une route à 90, par définition tu ne respectais pas la limitation <img data-src=" />







chaps a écrit :



Griller les feux en vélo est interdit (car dangereux), il serait bon de le rappeler <img data-src=" />





Tout à fait. Mais dans certaines villes, à certaines intersection, il est autorisé aux cyclistes d’ignorer le feu rouge si ils suivent la voie la plus à droite (et ne coupent donc pas de voie de circulation). Bon à savoir aussi <img data-src=" />


Le 08/09/2014 à 08h 25







ci4ice a écrit :



(…)





Je crois qu’on peut résumer ça en disant que Halo a non pas révolutionné le FPS, mais révolutionné le FPS console, en rendant populaire un genre jusque là absent de ce type de plateforme. La plupart de ce qu’il faisait avait été vu ailleurs… sur PC. Le rendre jouable et agréable sur console était par contre quelque chose de jamais vu (bien que maintes fois tenté).


Le 05/09/2014 à 10h 04







Papa Panda a écrit :



mouais ,

un jeu solo où on ajoute du multi…j’ai tjs peur de ce procédé.





Ça peut donner des bons trucs, comme Orcs Must Die! 2 <img data-src=" />


Le 02/09/2014 à 15h 22







panda09 a écrit :



Pas faux si on se souvient des propos de Frédéric Lefebvre…



http://www.marianne.net/Frederic-Lefebvre-violeurs-drogues-prostitues-bienvenue-…



Comme quoi il n’y a pas qu’en Iran qu’on diabolise l’Internet.





Ce n’est pas ce zouave qui qualifiait internet des “égouts de la démocratie” ? Un vrai gagnant ! <img data-src=" />


Le 02/09/2014 à 15h 13







tass_ a écrit :



Ne pas croire une existence est différent de croire en une non existence.

Tout comme ne pas manger une coupe de glace est différent de manger une coupe de glace vide.





Tout a fait. L’un est l’agnosticisme, l’autre l’athéisme. Ne pas manger ta glace est l’agnosticisme pur. Manger la coupe vide est l’athéisme. Cf la définition de ces mots.


Le 02/09/2014 à 14h 59

J’apprécie l’ironie du type qui m’accuse de ne pas comprendre le français quand il se contredit dans son propre message et nie la définition du dictionnaire <img data-src=" />



@ ASSKICK :

L’argument de “j’utilise des mots au pif et si on me corrige ça prouve que j’ai raison” est tellement bien senti que je ne vais pas faire l’outrage aux gens sensés et ouvert à la discussion de développer. Bataille contre les moulins religieux avec ton chapeau en papier alu tout seul.

Le 02/09/2014 à 14h 21







ludo0851 a écrit :



Si on pense que les Dieux n’ont d’autre existence que celle qu’ils acquièrent en tant que “concepts” auprès de ceux qui veulent bien y croire.

Et si on pense, en parallèle, que l’origine de ce “concept” n’est que l’attribution à “appelons le comme on veut” de phénomènes qu’on n’a pu s’expliquer à une époque où la science n’était pas aussi avancée et dont l’idée a été propagée par des personnes qui avaient bien compris que se présenter comme représentant/interlocuteur de cette entité omnipotente pouvait leur valoir quelques faveurs,

on est quoi?

entre agnostique ou athée (con, débile, abruti et leurs équivalents n’étant pas les réponses attendues)





Le point de vue que tu semble présenter (je n’exclue pas une erreur de compréhension de ma part) pointe vers un déni de l’existence d’être de nature divine. Donc de l’athéisme.

La différence est simple :




  • le théiste croit en l’existence d’une ou plusieurs entité divine(s).

  • l’athée croit en la non existence des entités divines.

    En parallèle :

  • l’agnostique reconnait son incapacité à prouver l’existence ou l’absence de dieux.

  • le gnostique pense que le divin est démontrable/démontré, dans son existence ou son absence.

    Ce sont de simples définitions du dictionnaire, il ne faut pas y lire de jugement de ma part <img data-src=" />



    Par contre je ne vois pas bien ce que “con,débile ou abruti” vient faire là. Ces qualificatifs sont transverse à la question : on peu être con, débile ou abruti [i]et[/] théiste/athéiste, agnostique/gnostique <img data-src=" />


Le 02/09/2014 à 12h 45







ASSKICK a écrit :



Un athéiste n’est pas convaincu de l’absence de dieu, mais de la fausseté des pseudo-arguments qui sont censé prouver son existence, et là est la différence.





Dictionnaire de l’académie française, 9ème édition :

Athée : Personne qui nie l’existence de toute divinité.

Ne pas croire aux arguments en son existence relève plus de l’agnosticisme : la doctrine professant qu’il n’est pas possible en l’état de définir l’existence ou la non existence de divinité.







ASSKICK a écrit :



La nature même de la croyance est d’affirmer une chose quel que soit les preuves, un croyant n’avouera jamais que sa déité n’existe pas, l’athéisme ne peut être une croyance car il se base sur le fait que toutes les preuves présentées sont fausses, c’est une conclusion basée sur des faits. Un athéiste changera son point de vue si une preuve irrévocable est présentée.





Toujours dans le même dico :

“La croyance consiste à accorder une confiance sans réserve à une parole, à un témoignage.”

Rien dans la définition de la croyance n’empêche de changer d’avis, ceci ne relève que de l’individu, pas du principe. Oui, des croyants sont des idiots bornés incapables de se remettre en question. Mais affirmer que tous sont comme ça est simplement absurde et anti-scientifique.

Et à moins que tu n’ai de preuve de la non-existence de toute divinité (et dans ce cas publie les, la gloire est assurée !), l’athéisme n’est pas basé sur des faits, en faisant justement une croyance (non religieuse). L’agnosticisme, par contre, est basé sur des faits. Et l’agnosticisme est compatible avec le théisme autant que l’athéisme : “je ne sais pas si un dieu existe ou non, mais je crois que c’est/n’est pas le cas”.

L’honnêteté intellectuelle et l’esprit scientifique ne sont pas les seuls apanages des athées, il n’y a qu’a demander à Descartes ce qu’il pense de la science.







ASSKICK a écrit :



Mauvais exemple avec le boson de Higgs, la théorie de son existence à du coller avec notre perception de la réalité, si la théorie ne se basait pas sur des faits, elle n’aurait jamais passé en science. Son existence n’était pas une croyance, mais une théorie basée sur des faits. <img data-src=" />





Tu as raté mon argument. J’avance que des éléments extrêmement complexes et difficilement observables ont été ignorés pendant des millénaires par l’humanité. Pourquoi une divinité ne pourrait pas en faire partie ? L’absence de preuve (du boson ou d’un dieu) n’est pas une preuve de l’absence. Le boson s’est finalement avéré exister. Un dieu pourrait aussi s’avérer exister.







tass_ a écrit :



Désolé j’ai été élevé par des gens qui m’ont appris à réfléchir.





Soit tu troll (un individu raisonné ne tiendrai pas tes propos en toute bonne fois), soit tu te trompes sur ce point. Les généralisations à outrance et les insultes ne sont pas les caractéristiques d’un individu mature et réfléchi <img data-src=" />


Le 02/09/2014 à 10h 20







tass_ a écrit :









Ok, on tient soit un méga troll, soit l’équivalent “non croyant” des fondamentalistes religieux. Balancer des demi-vérité, des mensonges et des suppositions comme des faits ? Check. Insulter les opposants ? Ignorer les arguments contraires ou volontairement mal les interpréter ? Check.



Bon voyage au royaume du fondamentalisme <img data-src=" />


Le 02/09/2014 à 08h 17







js2082 a écrit :



(Les religions) ont toujours servi à répandre le mal, elles le font encore et le feront toujours. La laïcité, jusqu’à preuve du contraire n’a encore tué personne, bien au contraire.





C’est marrant, j’aurais cru que la Terreur faisait parti du programme d’histoire <img data-src=" />

Quand au Secours Catholique et autres ONG religieuses, elles n’existent pas, ce sont des complot judéo-maçoniques, c’est bien connu.



En religion comme en tout, ce qui compte au final, c’est les humains. Si on en prend des mauvais, le résultat est terrible.







ASSKICK a écrit :



Justement, y en a pour qui c’est une croyance non pas de pas croire en un dieu mais de croire en l’absence d’un dieu





Corrigé, et encore une fois la deuxième partie ne fait aucun sens, faux raisonnement.

Je me permet de désapprouver. De par la définition même de croyance, être convaincu de l’absence de toute entité divine (aka l’athéisme) est une croyance (on ne peut le prouver ou l’infirmer, tout avis n’est basé que sur des suppositions). Mais ce n’est pas une religion (pas de rituel ni de dogme accompagnant la croyance).

Il faut bien garder à l’esprit que le terme “croyance” est très, très large, et pas particulièrement péjoratif. “Je crois qu’il va bientôt pleuvoir” est bien une croyance (supposition sans fondement factuel) mais n’a aucun rapport avec la religion.

Pour ce qui est de l’argument “mais on ne peut pas prouver l’inexistence…”, bien que (globalement) vrai, il est sans rapport. L’absence de preuve d’existence n’est pas une preuve de l’absence d’existence. Il y a plusieurs siècles, on était bien en mal de prouver l’existence du boson de Higgs, mais ça ne l’empêchait pas d’exister.







tass_ a écrit :



1 : Tu as des gens sensibles aux champs magnétiques





<img data-src=" />


Le 01/09/2014 à 12h 57







FrenchPig a écrit :



Exact



Oui sinon les sports de précisions (tir à l’arc, à la carabine, curling, pétanque…) ne seraient pas considérés comme des sports.





Méfiance : le tir à l’arc est beaucoup plus demandant que ce qu’on en voit. Essaye de tenir plusieurs kilos à bout de bras une journée complète, ça qualifie vite d’effort <img data-src=" />

Et ça, c’est sans parler de bander l’arc, juste de le tenir en position <img data-src=" />

(pour les autres sports mentionnés, je laisse les pratiquants en parler )







tass_ a écrit :



Oui enfin ‘sport cérébral’ ça me fait tout autant rire. Je vois bien les neurones en train de faire des pompes xD





Note mon utilisation de guillemets <img data-src=" />

Si je devais m’aventurer à faire une conjecture sur l’origine du terme (totalement non vérifiée, avis aux amateurs :P ), je penserais que le terme de “sport cérébral” vient du parallèle fait entre la pratique compétitive des sports et celle tout autant compétitive et à l’organisation similaire d’autre loisirs (tel les échecs, l’un des plus connus). Dans ce contexte, les jeux vidéos sont exactement aux même niveaux que les échecs : une pratique de loisirs qui gagne un statut supérieur par la professionnalisation et l’audience apportée au genre.







tass_ a écrit :



Ca existait déjà du temps de Quake et cie, et pourtant tout le monde aurait bien rit à l’époque si on avait considéré que c’était du sport….



Et si on monte des ligues/ championnats mondiaux / …. de cap’s on pourra dire que c’est du sporT ?





Et pourquoi pas ? Si les pratiquants sont clairement très entraînés, capables de prouesses inaccessible au commun, ira-t-on dire “ça ne compte pas parce qu’à une époque, ce n’était qu’un loisir pratiqué par des étudiants fauché” ? Ce n’est pas parce que “à une époque ça aurait fait rire” que c’est ridicule dans l’absolu.

Franchement, il y a seulement cent ans, tu aurais dit que les homosexuels pourraient se marier, ça t’aurais valu des regards bizarres <img data-src=" />


Le 01/09/2014 à 12h 09







tass_ a écrit :



Me dit pas que tu compares le sport à haut niveau (qui demande des années et des années de vrais sacrifices) et le “eSport”.



Rien que ce nom me file la gerbe : un pur produit marketing pour déculpabiliser des sédentaires en surpoids de ne pas faire de sport.



Et pourtant je joue aux JV depuis 25 ans.





Une meilleure comparaison serait avec les “sports cérébraux” comme les échecs.

Sans qu’il y ait d’aspect “sportif”, l’organisation compétitive est comparable à celle d’un sport, avec des ligues, des championnats du monde, des classements mondiaux…

Et attention au raccourci “ne pas suer 20 litres = ne pas faire d’efforts”, sinon n’importe qui ferait polytechnique <img data-src=" />


Le 01/09/2014 à 09h 43







anagrys a écrit :



Pour en ajouter une couche (même si les précédentes me semblent très bien, mais j’ai envie de mettre la mienne aussi !), tu dis dans ton message que les fournisseurs utilisent un schéma. Eh oui, en parlant de “traiter 27 formes différentes de retour”, ça veut dire qu’il y a 27 schémas.





Là j’utilise un langage (le français, modulo les fautes :P ). Pourtant je n’ai pas définit le langage utilisé. Plus tard je pourrais parler anglais plutôt que français. Si quelqu’un s’attend à du français, il ne comprendra pas, quand bien même c’est un message valide.

De même, on peut extraire un schéma de tout fichier XML, mais si il n’est pas explicité ça n’apporte aucune information de traitement. Si une entreprise utilise 27 formats différents, même si ils peuvent êtres validés via un schéma, si le schéma n’est pas fixé et transmis à l’organisme récepteur, il n’y a pas fonctionnellement de schéma. Basiquement : “je respecte des règles, mais je suis le seul à les connaître !”.







supercolino a écrit :



Ce qu’il veut dire, à juste titre, c’est que si chaque compagnie envoie son XML selon une structure différente, il est difficile de savoir à quoi correspond chaque balise.



C’est du même acabit que ne pas se mettre d’accord sur les en-têtes de colonnes pour un CSV.





Oui et non. Comme il l’a été fait remarqué, le XML est une sérialisation de données. Son schéma est censé respecter celui de la source. Si on connait le format de la source, on peut se passer de XSD. Ça rend de plus le traitement moins sensible aux évolution des données sources.

Maintenant, je trouve ça aussi plus propre et sûr de transmettre un schéma explicite (je disais dans mon commentaire initial que ne pas le faire serais une mauvaise idée <img data-src=" /> ).







Yangzebul a écrit :



Oui tu peux valider que les données sont correctement sérialisées.

Mais tu ne peux pas valider les données.



D’un point de vue transport : c’est un format de donnée

D’un point de vue applicatif : ce n’est pas à proprement parler un format, juste une sérialisation.





Valider les données n’est pas le rôle du XML, même si il en est capable. Se baser sur le seul XSD pour s’assurer de l’intégrité des données est très risqué.



Après, mon commentaire initial voulais simplement rappeler que l’absence de schéma n’est pas invalide en soit. Pas “bien” ni “pratique”, mais valide (j’ai dû travailler avec du XML sans schéma, ça se fait. C’est relou, mais ça se fait). Simple détail technique sans importance vis-à-vis de la news <img data-src=" />


Le 01/09/2014 à 08h 39







Yangzebul a écrit :



-1

Non ce sont juste des sérialisations, tu ne peux rien en faire sans plus de specs.





Un XML n’a pas besoin de schéma pour être valide et traité. C’est juste plus compliqué sans.

La norme XML définit bien le XSD comme optionnel, bien que recommandé.


Le 01/09/2014 à 07h 32







Bylon a écrit :



De toute façon aucun des 3 formats ne veut dire quoi que ce soit en l’absence d’une spécification plus complète (j’imagine qu’elle existe).





Le CSV et le XML (le XLS je ne sais pas ^^’ ) veulent bien dire quelque chose même sans schéma. Ce dernier ne sert qu’à s’assurer que le récepteur comprend bien le message de la même manière, il n’est pas nécessaire.

Après, je suis d’accord que dans ce cas précis, ne pas fournir de schéma cible serait une mauvaise idée. Traiter 27 formes différentes de retour… vive les surcouts <img data-src=" />


Le 20/08/2014 à 13h 12







IhazHedont a écrit :



Y’a même pas une semaine, Microsoft disait bien que 1080p n’était qu’un nombre non ?





Comme indiqué dans le chapô de l’article.


Le 19/08/2014 à 13h 52







knos a écrit :



(après comme je l’ai dis je comprend bien le risque du mec qui casse tout mais pour moi dans ce cas le locataire est responsable)





Cas n°1 : après quelques niveau de sous-location, le logeur actuel est un dealer de crack qui frappe sa femme. Les voisins appellent la police, qui intervient et doit défoncer la porte et attaquer au fumigène. Les frais de réparation sont pour le logeur, à moins qu’il ne se retourne contre le logé et gagne un procès au civil après une durée et des frais de justice inconnus. Bref, il l’a dans l’os.

Cas n°2 : Jim sous-loue à Bob, une lointaine connaissance qui avait besoin d’un point de chute. Pas de chance, Bob est un sagouin qui ravage l’appart, et notre gentil Jim, étudiant fauché de son état, n’a pas de quoi rembourser. C’est ça responsabilité ? Peut-être, mais il est quand même insolvable. Et un logeur doit maintenir son logement dans un état de salubrité. Il est coincé : faire les réparations est obligatoire, mais il sait qu’il n’aura pas (ou très loin dans le futur) de compensation.



Chaque niveau de sous-location diminue la capacité du propriétaire à estimer le risque pris en louant son bien, sans lui apporter aucun bénéfice. La plupart tranche donc simplement en interdisant la pratique. La sous-location n’est pas illégale, mais le logeur est dans son droit en l’interdisant.


Le 19/08/2014 à 07h 38

“Être dans la loi et protéger les citoyens, c’est trop cher, alors on a fait sans.” Vraiment, c’est ça votre excuse ? Wow. Juste… Wow <img data-src=" />









fred131 a écrit :



Dans le genre, toutes les victimes qui ont fait des signalements (et il y a du y en avoir un certain nombre, le filtre du commissariat étant levé) vont se voir, probablement, opposer un vice de procédure ou de forme devant un juge.





J’imagine que les signalement sur la plateformes ne donnent pas lieu à des poursuites au nom du plaignant. C’est plus l’équivalent de “signaler un spammer/botter” dans les MMORPG : ça permet aux admins (à la police des polices ici) d’ouvrir un dossier sur un individu suspect, mais le rôle du joueur/citoyen s’arrête là. Il n’est pas responsable de ce qui se passe ensuite (ban dans un jeu, poursuites judiciaires IRL).


Le 14/08/2014 à 14h 11







Natsume a écrit :



hexagones =&gt; carrés





C’est tout ? J’ai du mal à considérer ça comme une “simplification poussée à l’extrême” <img data-src=" />

Il y a peut-être autre chose qui fait réagir les gens ?


Le 14/08/2014 à 13h 48

Je ne me rappelle que de peu de différence de gameplay entre le 3 et le 5. Quelqu’un peut me rafraichir sur ce qui a été passé à la hache ?

Le 13/08/2014 à 13h 23







Jean_Peuplus a écrit :



Tu perds toute crédibilité quand tu sors ce genre de comparaison digne des ayant droits les plus malhonnêtes.





J’ai du mal m’exprimer : je ne compare pas les actes. J’établis simplement que la praticité n’implique pas la licéicité, avec un exemple manifestement extrême pour éviter les “oui amis dans tel cas ça pourrait…”. Le vol est assez universellement reconnu comme illégal <img data-src=" /> (mais effectivement mal choisi au vu du passif du vocable des majors).

Bref, je voulais juste dire que si “c’est plus pratique” justifiait l’acte, on serait bien dans la m*rde. Mais comme dans le cas du piratage les risques sont très limités et les conséquences pour autrui invisibles (si existantes, mais c’est un autre débat), pas mal de gens n’y voient pas de problème. Et donnent aux majors leur argument “piratage = vol”, dans un débat qui mérite mieux que ça.







Jean_Peuplus a écrit :



Et juste pour le plaisir de rebondir malgré tout sur ton exemple de merde, piquer un portefeuille reste nettement moins pratique que de retirer de l’argent à un DAB ou de payer avec sa carte bancaire.





Pas si tu n’as pas de DAB au pied de chez toi mais un voisin vieux et riche <img data-src=" />



Plus sérieusement, l’aspect pratique est là avec Amazon. C’est le Steam des livres, dur de faire plus simple. Et quand bien même l’achat en ligne de livre était complexe, ça ne rendrait pas l’argument de “c’est cher/pas pratique donc je pirate” valable (pour rappel, ce que j’avance c’est que cet argument est pourri, pas que les majors sont gentil/les pirates des voleurs). La conséquence logique à “c’est trop cher” c’est “je n’achète pas”, pas “je prend quand même mais sans payer”.


Le 13/08/2014 à 12h 29







Jean_Peuplus a écrit :



Subventions qui viennent au final de ? <img data-src=" />





De la communauté. Et qui seraient utilisées à autre chose sinon. Fermer une bibliothèque ne fait pas d’économie, ça déplace des coût, au détriment de la culture. J’ai du mal à adhérer <img data-src=" />

Après, j’imagine (j’espère, même :P ) que ta remarque sur l’économie était plus à prendre comme une boutade.



Maintenant, je ne dirais pas non à la mise à disposition des œuvres en e-book par ces mêmes bibliothèques, mais c’est un autre débat <img data-src=" />



Côté justification vs explication : le piratage est simple à expliquer : c’est pratique. Pas besoin de plus. On n’a pas à sortir de chez soi, de trouver la carte bleu, de fouiller des catalogues limités par les droits… Mais ça reste illégal, autant que de faucher le porte monnaie de quelqu’un dans la rue (ce qui est pourtant très pratique et rentable !).

Et quand des alternatives viables et 100% légales existent (comme les bibliothèques), j’ai du mal à comprendre que des gens déclarent pirater comme si c’était parfaitement normal. Ça ne l’est pas.







JeanBourrin a écrit :



La logique qui veut qu’on doit posséder, que c’est bon et valorisant, n’a pas que des bons côtés on dirait.





Je vais citer un film : “il dit qu’il ne voit pas le rapport” <img data-src=" />


Le 13/08/2014 à 10h 06







Jean_Peuplus a écrit :



C’est le genre de bouquin qu’on trouve dans n’importe quelle bibliothèque municipale, donc maintenant, que je le télécharge illégalement ou que je l’emprunte, où est la différence ?

Si ce n’est les économies que je fais faire à la communauté en évitant les transports et en utilisant pas les ressources de la bibliothèque en question ?

C’est ça le progrès <img data-src=" />





Et bien, pourquoi ne pas l’emprunter, donc ? Tu aurais quand même le bouquin, sans alimenter l’argumentaire des ayants-droits. Et ne pas utiliser une bibliothèque ou les transports en commun ne fait pas d’économie à la communauté, c’est l’inverse! Le service est fournit qu’on l’utilise ou pas. Mais si on ne l’utilise pas, il risque de perdre ses subventions et de se dégrader. C’est ça le progrès ? <img data-src=" />







Jean_Peuplus a écrit :



Et puis tu imagines bien que si j’ai fait l’effort de regarder le prix c’est que je l’aurai acheté si à un prix décent, un prix supérieur au prix du livre matériel, c’est indécent.





Vrai, mais aucun rapport. La logique voudrait que “si c’est trop cher, je m’en passe”. Pas “si c’est trop cher, je l’acquiert illégalement”. Le produit est disponible légalement, facilement, mais tu n’acceptes pas une des conditions (prix trop élevé ou la flemme de se déplacer en bibliothèque). Ça ne justifie pas l’obtention illégale.

Pour en revenir à mon point initial : c’est typiquement la mentalité du voleur, quand bien l’acte n’est pas légalement du vol. Tant que les gens penseront ça, ils continueront à se faire traiter de voleur par les ayants-droits. Vous pourrez toujours discuter que “légalement, c’est de la contrefaçon”, vous nuisez quand même l’ouverture de la culture, en donnant des armes à l’opposition par facilité.


Le 13/08/2014 à 08h 54







Jean_Peuplus a écrit :



Tiens dernièrement j’ai voulu attaquer hyperion, une vieille saga de SF, je regarde le premier tome sur la boutique kobo : 14 €



<img data-src=" />



Bon bah j’ai piraté la série. <img data-src=" />





Et c’est exactement ce genre de comportement qui fait qualifier les pirates de “voleurs”. “Je n’aime pas le prix, donc je prend sans payer”, c’est la mentalité du voleur. Même si il n’y a pas d’objet physique soustrait, la motivation est la même.

C’est si dur de se dire “c’est trop cher, je vais faire une croix dessus”, comme pour n’importe quel autre achat ? <img data-src=" />


Le 08/08/2014 à 07h 54







Fuinril a écrit :



Des mods ! Y en a tout un tas pour BG.(…)





Ok, merci <img data-src=" />


Le 07/08/2014 à 15h 58







Fuinril a écrit :



Bah euh… si c’est une aberration. Autant dire que Deus Ex est le digne successeur de BG à ce compte là, après tout y a des éléments RPG aussi <img data-src=" />

D:O a plus à voir avec XCom qu’avec BG….





J’ai hésité à mettre le disclaimer… j’aurais dû.

Disclaimer : pour moi, un RPG n’est pas “un jeu avec quelques éléments de RPG”. Borderlands, Diablo ou Deus Ex ne sont pas des RPG, malgré le concept de “niveau” ou de choix de dialogue.







Fuinril a écrit :



Les goûts et les couleurs hein… Encore le gameplay de DO serait transcendant je dis pas, mais en l’état au bout de 5h max tu piges le truc et tous les combats se ressemblent (foutre des zones partout, faire en sorte que les ennemis y soient et les CC, attendre en les tapant tout en faisant en sorte que nos persos ne soient pas dans les zones).

Et pour le coup le gameplay de BG est plutôt bon. On est loin d’un arcanum <img data-src=" />

Après t’aime pas les règles de DD… bah c’est con mais dans ce cas là pourquoi jouer à un jeu basé dessus ?





Le gameplay de BG, sa profondeur… bof. Tank avec tes CaC/heal jusqu’à que tes nukes soient castés par les mages. Rince et répète. Il y avait quelques combat intéressant, mais ce n’était pas le cas général. Le gameplay d’Arcanum était plus prometteur amha (plus de possibilités), mais le jeu était encore plus mal équilibré que BG <img data-src=" />

Pourquoi jouer à un jeu avec des règles D&D ? Parce que, comme indiqué dans le premier poste, le jeu était bon. Très bon. Mais ce qui le rendait bon (à mes yeux, goûts et couleurs effectivement), ce n’était pas “un gameplay soigné”, “une histoire totalement originale” ou “une réalisation technique irréprochable”. C’était un mélange de facteurs, de feelings, de gestion de l’ambiance, du rythme… qui donne un jeu au final fun, malgré quelques défauts. Et c’est ce que je demande d’un jeu <img data-src=" />









Fuinril a écrit :



J’ai fait le jeu plusieurs fois (y compris en caster), jamais eu de problèmes particuliers. C’est un peu plus dur au début du jeu mais rien d’insurmontable non plus.

Et tout est OP en late game, pas que le mage. Le pire que j’ai fait c’était un multi-classé kenzai/mage : j’ai solo BG1 et BG2 avec, ne gardant les compagnons que le temps des quêtes.

Après je dis pas c’est un des problèmes de BG…. mais tu sais quoi c’est encore bien bien pire sur divinity !





Le kensai est une classe ajoutée dans BG2, comme la majorité des vraies classes pétées (qui permettent de soloter le jeu calculé pour une équipe de 6, preuve en est que l’équilibrage…). Comment tu as joué au 1 avec ? (vrai question, ça m’intéresse comme manip :) ).

Jouer un mage pur en commençant dans le 1, ça signifie 1D4 PV et un seul sort au démarrage. L’assassin de Brasamical t’agresse avec un sort à 1D6 de dégâts. Ça peut passer, à la chance, mais ce n’est pas ce que j’appelle un bon choix gameplay.







Fuinril a écrit :



Joué en version 1.0 plusieurs fois (internet ça courrait pas les foyers à l’époque), jamais eu le moindre problème (du moins pas ceux là… de l’équipement qui avait disparu de l’inventaire oui).





Bug corrigé dans BG 2 v23037, comme constatable ici*. Premier bug mentionné. Si tu ‘las esquivé, soit tu avais une version prépatchée, soit tu étais très chanceux, car j’ai eu le problème à 100% de mes runs (comme tu le fais remarquer, internet à l’époque… <img data-src=" />).



* edit : la balise url n’aime pas le format, l’adresse est la suivante :web.archive.org Archive.org://www.bioware.com/games/shadows_amn/support/patches/

Edit 2 : même en plain text il fait n’importe quoi ^^’ faut copier/coller l’adresse, pas cliquer dessus


Le 07/08/2014 à 07h 56







Fuinril a écrit :



Non BG n’est pas le jeu parfait. Mais D:O n’a juste rien à voir avec BG, si ce n’est que c’est 2 RPG. Les forces de DO sont d’ailleurs plutôt les faiblesses de BG… et inversement.





Bah ce sont deux RPG, c’est déjà plus de point commun qu’entre la majorité des jeux, hein ^^

Dire que D:O est un “digne successeur” de BG est peut-être une exagération, mais pas non plus une aberration je trouve.







Fuinril a écrit :



(et en tant que fan de RPG papier je préfère de loin BG, DO, à part le gameplay, y a pas grand chose)





En tant que fan de RPG papier, je défèque sur le système D&D, donc un gameplay meilleur est un gros bonus pour moi <img data-src=" />

Quand à l’histoire, BG1 m’avais bien pris, mais BG2 et son extension, c’est du convenu de chez convenu. Du convenu bien raconté, mais du convenu quand même. Pour moi, rien en remplace un vrai RPG papier, donc je suis moins exigeant sur l’histoire que le gameplay dans les jeux vidéo (disclaimer : ça ne veux pas dire que ça n’a pas d’importance <img data-src=" /> ).









Fuinril a écrit :



Ceci étant je n’ai pas eu de bugs bloquant au cours de mes parties de BG. Et le jeu est équilibré pour un groupe (parce que pour le coup un guerrier pur ça pue méchant en end game).





Le jeu est équilibré pour un groupe, sauf que tu commence BG1 seul, puis accompagné d’une voleuse. Rendant l’early game pour squishy une vraie plaie. Si tu va direct à Brasamical avec un perso mage et Imoen tu pleures du sang, et les autres alliés dispo à ce stade sont… plus que discutables. Et en late game dans le 2, le mage nuke tout seul, rendant le groupe assez obsolète. Je ne parle même pas du mage entropiste du 2, définition même des termes “OP”, “abused”, “broken”. La plupart des problèmes d’équilibrage sont liés au système D&D, que j’exècre comme mentionné plus haut (entre autre à cause de ces problèmes), donc je pense que BG aurait été une meilleure série avec son propre gamesystem.

Côté bug, les versions patchées étaient tout à fait correctes (ce qui sera peut-être le cas de D:O aussi, on ne peut comparer que la version 1.0), mais la version “out of the box” de BG2 était atroce. Un bug faisait que les PNJ refusaient de parler aléatoirement. Les PNJ majeurs étaient bien entendu concernés, bloquant totalement la progression sans préavis ni contournement possible.


Le 06/08/2014 à 08h 50







Fuinril a écrit :



Un digne successeur de Baldur’s Gate… Ce qu’il ne faut pas lire….



C’est un bon jeu, me faites pas dire ce que j’ai pas dit (du moins il le sera quand il sera patché), de là à le comparer à Baldur’s Gate il y a un pas IMMENSE !



PS : j’ai refait les 2 BG + extensions (off et DSotSC et darkest day) l’année dernière. Ce n’est pas la nostalgie qui parle.





Oui enfin… BG, c’était pas le jeu parfait non plus, loin de là ^^’

Déjà ils partaient d’une base existante (AD&D 2.5 et les Royaumes Oubliés), donc pas besoin de créer 90% du gameplay et du lore (même le manuel du jeu était en bonne parti un extrait direct du manuel D&D). De bons bugs bien bloquant (mention spéciale pour BG2 ou les PNJ critiques refusent de te parler, faut croire que tu pues). Certains personnages horripilant (Oui, Imoen, je sais que c’est toi…). Un early game bien hardcore pour les mages (youpi, j’ai deux sorts dans le bouquin, dont un seul en mémoire, et 2 PV), mais l’endgame est risible pour les mêmes mages (désintégration de dragon en un round, wow, much challenge, so hard).

J’ai adoré ces jeux, mais dire qu’un autre jeu n’est pas à ce niveau car imparfait… ça me semble tiré par les cheveux. J’ai même envie de dire, si le jeu est bon malgré les bugs/imperfections, il en est d’autant plus proche d’un BG (ou d’un Fallout, qui entre pour moi dans la même catégorie).


Le 07/08/2014 à 08h 33

Manque vraiment un emote :facepalm: sur NXI.

Le 06/08/2014 à 08h 27

Ils en avaient parlé sur Nolife il y a un moment. Il avaient expliqué en passant que le titre est un jeu de mot entre “heartful” (~émotionel, en anglais) et le mot japonais pour “pigeon”, qui se prononcent pareil là bas.

Cracked avait aussi fait un article dessus, apparemment y’a une fin cachée bien fucked up (japooooon !).

Le 01/08/2014 à 08h 14







Umineko a écrit :



Vu les différentes affaires sur les drones volant en ville (exemple 1,exemple 2), ce n’est pas prêt d’arriver, il n’y a même pas besoin de se poser la question<img data-src=" />





À la grosse différence que dans ces exemples, les gens étaient condamné pour opération illicite de drone, par pour opération de drone. Il auraient suivi les règles, ça serait passé.

De même que quelqu’un qui conduit sans permis risque une amende/confiscation du véhicule, mais conduire un véhicule est en soit légal.


Le 31/07/2014 à 14h 13







Jed08 a écrit :



et puis d’après l’article, on a aucune preuve qu’elle a pas essayer de s’interposer





Bah, c’est simple, vu son copain. Est-ce qu’elle est couverte de bleu ? Si oui, c’est qu’elle a essayé de l’ouvrir plutôt que de rester dans la cuisine.


Le 31/07/2014 à 14h 04







monpci a écrit :



Pour l’avoir tester c’est vrai que c’était la galère

le cas du néant est un bon exemple : faut -il laisser la case vide taper néant / Néant /NEANT/NÉANT

(…)

edit : autre exemple euro/Euros/euros /€





Ce genre de permutation, si anticipée par le développeur, se détecte relativement bien automatiquement. Les tests de nullité, la pluralisation, l’accentuation et la casse ne sont pas des nouveaux problèmes en informatique :)


Le 31/07/2014 à 13h 59







jb18v a écrit :



<img data-src=" /> chapeau pour trouver autant de noms en tout cas <img data-src=" />





Mon préféré : FerretCannon. Ça, ça envoie du poney musclé qui défouraille ! <img data-src=" />


Le 24/07/2014 à 10h 12







FrenchPig a écrit :



l’état a autorisé ces pratiques, via des lois, et baisse son froc dès que les taxis ouvrent leur bouche. Ils sont donc tout aussi responsables.





D’où le “si ce n’est par inaction”. Ils ont laissé faire à l’époque (et pour le quota, le contexte pouvait justifier la mesure), et n’ont pas revisité quand ils auraient dû.


Le 24/07/2014 à 09h 10







TheFelin a écrit :



Exacte, d’autant que les licences à la base ont été donné gratuitement et le son encore aujourd’hui, d’accord il faut 20 piges pour en avoir une, le problème c’est donc au niveau de l’état…. Donc ça va bien les petites magouilles…





Ça n’est même pas au niveau de l’état.

Les licences étaient initialement délivrées rapidement et gratuitement par l’état. Mais les taxi ont milité (en 1936, pas récent) pour imposer un quota de taxi. Du coup, l’état ne peut délivrer de licence que quand une lui est retournée. Mais les taxi on à nouveau milité, pour pouvoir les revendre à des particulier plutôt que de les remettre à l’état après la fin de l’exercice. Du coup, plus aucune licence ne se libère, l’état ne peut pas en délivrer, et le seul accès est le rachat auprès des taxis existant, qui les revendent à prix d’or (entre autre pour couvrir leur propre frais d’achat auprès du taxi précédent).

Donc effectivement, ça va bien les petites magouilles. Juste que l’état n’est pas responsable, si ce n’est par inaction.


Le 22/07/2014 à 14h 46







karim.s a écrit :



Bien sûr, tiens cadeau





Merci ;)


Le 22/07/2014 à 14h 23







karim.s a écrit :



Ah, mais j’ai pas dit poursuivi, tu m’as cité pourtant tu as vu que j’ai utilisé le terme “convoqué”.

Ah bon ben ok, si c’est juste être convoqué ça va alors <img data-src=" />





Je ne crois pas t’avoir attribué le terme “poursuivi”. Je faisais remarqué que cela n’avait pas été (pour l’instant du moins) jusqu’à des poursuite, qui sont plus chargées qu’une simple convocation. Une convocation, c’est très vague et à très peu de poids : j’ai vu un proche convoqué pour se voir faire un rappel d’un point mineur du code de la route. Pas d’amende, pas de retrait de point, pas de casier, pas de suite quelconque. Bref, un non événement.

Si les preuves de persécution se limite à un article sans contexte mentionnant une convocation au commissariat, et bien, oui, “ça va alors”. Il ne s’est effectivement rien passé.

Maintenant, si tu as d’autres sources, plus solides (j’imagine que tu n’as pas basé ton opinion sur la base d’une seule brève), n’hésite pas à partager <img data-src=" /> (et ce smiley là n’est pas ironique, ça m’intéresse vraiment ^^)


Le 22/07/2014 à 09h 00







karim.s a écrit :



J’avais en tête les actes d’un pays qu’on ne peut plus critiquer en France sous peine d’être convoqué au commissariat.







karim.s a écrit :



Je t’invite à taper les mots suivants dans google news : critique et commissariat

Critique ou insulte? Cela dépend pê de quel côté on se place.





Si on parle bien du même article, tu noteras que la personne est convoquée, pas poursuivie. Pas de menottage, pas de garde à vue, pas de perquisition. Le mouvement n’est pas très rassurant, mais pas encore problématique en soit. Il faut prendre en compte le contexte du lieu et du moment (que je ne connais pas et qui n’est pas mentionné dans l’article), qui laissaient peut-être craindre des débordement.

Bref, il est dur de conclure au vu du peu d’infos.

Je penses qu’on doit pouvoir trouver de meilleurs exemples d’abus ?


Le 17/07/2014 à 07h 46







Cypus34 a écrit :



Je suis parfaitement d’accord avec toi sur le fait que la justice est censée être impartiale.

En revanche, qu’il puisse gagner et se faire des sous grâce à ses actions passées ça me foutrait un peu la nausée.

Parce que comme dit plus haut, si Hitler avait des ayants droits, ça me paraîtrait pas super correct qu’ils puissent se faire du fric sur tous les docus, jeux, livres, films, mugs, serviettes de plages… qui utilisent son image !

Mais ce n’est que mon avis <img data-src=" />





Sauf qu’il ne se ferait pas d’argent “grâce à ses actions passées”, mais “grâce à sa représentation dans un jeu sans son accord”. De ce que j’en comprend, il base son attaque sur des actions qu’on lui attribue dans le jeux qu’il dénie, donc c’est un peu le contraire de valoriser son passé <img data-src=" />


Le 10/07/2014 à 13h 12



« Imaginez qu’un de ces jeux soit mis en cause par des associations familiales dans le cadre d’un fait divers. Ce serait dévastateur »



Comprendre : “il est normal de ne pas faire notre boulot, parce que sinon ça risquerai de nuire à notre image dans une hypothétique situation.”

Du grand art…

Le 10/07/2014 à 08h 30







philoxera a écrit :



http://article-50.eu/wp-content/uploads/2013/03/Friends_Season_9-front.jpg





Ça semble démontrer qu’il y a peu de corrélation entre temps de parole et résultat, plutôt que le contraire :




  • Le Pen et Mélanchon ont eu moitié plus de voies que de temps de parole (x1,5) ;

  • Dupont-Aignan en a eu deux fois plus (x2) ;

  • Éva Joly en a eu à peine la moitié (x0,5) ;

  • Nathalie Artaud en a eu moins du tiers (x0,33) .

    Les “gros” candidats” (Sarkozy et Hollande) ont eu plus de temps de parole et de voie, mais il est plus probable que le temps de parole soit la conséquence que la cause du nombre de voies : les médias aiment peu parler de ce qui n’intéresse qu’une minorité.

    J’en veux pour exemple la quasi absence d’infos sur Hadopi/Dadvsi lors des dbats parlementaires : ça concerne beaucoup de monde, mais ça en intéresse peu.


Le 09/07/2014 à 08h 42







berne a écrit :



Disons plutôt que Twitter se SOUVIENT DE son appli. Ou se la rappelle, transitif.







  1. l’exemple serait plus parlant avec “se rappelle l’appli” qu’avec “se la rapelle”. Là on saisi mal le problème à première vue.

  2. le bouton “signaler une erreur” existe <img data-src=" />


Le 08/07/2014 à 09h 59







jb18v a écrit :



j’ai rien contre les anglicismes, mais à mon avis dans ce cas c’est créer/inventer un nouveau mot alors que ce n’est pas nécessaire.. Cela dit dans “selfie” on a aussi la notion de partage vers les réseaux sociaux, ce que le terme “autoportrait” n’inclut nullement, restant plus cantonné au domaine de l’image :)





Je pense que le terme “selfie” vient avec de nombreux sous-entendu absents de “autoportrait”.

Quand on parle de selfie, on imagine généralement une image prise avec un téléphone portable, contenant un nombre indéterminé de personnes (dont au moins le possesseur dudit téléphone), sans qualité artistique intrinsèque, dont l’intérêt (tout relatif :p) dérivera principalement du cadre, des personnes accompagnantes, et/ou de l’aspect partage social.

Alors qu’un autoportrait, on a une implication de démarche artistique (travail de photographie d’art ou de peinture), focalisée sur l’auteur.



Pour moi, bien que dans les deux cas on ai une représentation de l’auteur, les deux actes sont très différents dans leur objectif, leur moyens et leur réalisation. Justifiant, à mes yeux, l’emploi de termes dédiés différents.