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Okki

est avec nous depuis le 11 novembre 2009 ❤️

Bio

Linuxien depuis 1996, actuellement sous Fedora avec l'environnement de bureau GNOME.

I ❤️ systemd, Flatpak, PipeWire, Wayland… et toutes les nouveautés qui font hérisser le poil des grincheux (sauf si ça vient de Canonical 😝)

1318 commentaires

Le 14/07/2016 à 07h 03







Cedrix a écrit :



Dans le second cas, ne reportes pas les conséquences de ton fanboyisme sur Microsoft….







Nous dis le gros hater de passage…



N’étant pas moi-même un utilisateur de Skype, quand on a regardé ensemble si elle pouvait retrouver ses applications (Firefox, VLC… plein de logiciels libres, puis Skype…), on ne pouvait pas deviner que bien qu’officiellement supportée, notre plateforme était en réalité complètement délaissée depuis plusieurs années.



Et que je sache, ce n’est pas moi l’éditeur de l’application, qui possède des centaines de milliards en banque, qui vante une disponibilité multi-plateforme, tout en étant incapable de mettre ne serait-ce qu’un développeur à plein temps sur le coup.



Mais encore une fois, il vaut mieux positiver et se dire que ça sera peut être bientôt de l’histoire ancienne.


Le 13/07/2016 à 20h 16







Mr.Nox a écrit :



Sinon les mécontents, vous utilisez pas, vous lisez pas la news et vous ennuyez personne. <img data-src=" />







Je pense qu’il aurait mieux valu ne pas faire d’annonce prématurée, et attendre d’avoir quelque chose de particulièrement complet et utilisable avant de se lancer. La surprise et l’effet obtenu auraient été à mon avis bien plus conséquents.



Par exemple, mon amoureuse qui utilise Skype sous Linux, peste régulièrement parce qu’il est tout moche et foireux, rapport à ce qu’elle connaissait sous Windows. Après avoir vu l’annonce de Microsoft, ça faisait plusieurs jours que je lui disais qu’avec un peu de chance, tout serait bientôt réglé.



Sauf qu’à l’arrivée, on obtient une alpha inutilisable, et qu’il faudra peut-être attendre encore quelques mois avant de pouvoir bénéficier d’un produit finit.



Alors même si ça reste une bonne chose de constater que nous n’avons pas été oubliés, en attendant, je peux comprendre la frustration de certains.


Le 11/07/2016 à 02h 37

Une fois le matériel mis en place, ça se passe comment, pour la communication / le transfert des données avec le reste du réseau ? Ça construit un réseau maillé, ou il faut que ce soit relié à une connexion fibre déjà existante, ce qui limiterait sans doute fortement sa démocratisation ?

Le 03/07/2016 à 14h 56

Relis bien ce qu’il dit. Le shell, c’est ce que tu vois à l’écran. Donc non, Unity ce n’est pas GNOME. Sous GNOME, on peut supprimer ou déplacer la barre supérieure. Maintenant, ce qu’il dit, c’est qu’ils ont remplacé le shell de GNOME par Unity, mais qu’ils continuent d’utiliser les applications GNOME (ce sont deux choses différentes), tout en continuant de proposer GNOME Shell dans les dépôts, pour ceux qui préfèrent ce dernier.



Et c’est d’ailleurs bien pour ça qu’il existe Ubuntu et Ubuntu GNOME, puisque ce sont deux environnements différents, qui proposent des expériences utilisateur différentes.

Le 30/06/2016 à 15h 57

Au sujet du fork des applications X-Apps, un développeur GNOME a récemment indiqué sur son blog qu’il s’agissait d’un gros gaspillage de ressources et que ça serait sans doute difficilement maintenable sur la durée, tout en proposant une autre approche qui aurait permis d’arriver bien plus facilement au même résultat.

Le 30/06/2016 à 20h 01

Il semblerait que les belges aient été plus intelligents que nous, puisque la liberté de panorama semble en passe d’être adoptée chez eux. Ce qui semble être confirmé par Wikimedia Commons.

Le 29/06/2016 à 08h 23

Toujours plus de béton. C’est triste :(

Le 28/06/2016 à 11h 19

Si le satellite appartient à la NASA, les photos sont dans le domaine public ?

Le 23/06/2016 à 09h 10







Gigatoaster a écrit :



Allez, chacun y va de son commentaire narquois et donneur de leçon…si vous êtes si bon à gérer vos infras et vos sauvegardes, on vous retient pas d’aller les aider…à c’est sûr c’est plus difficile que de cracher dans la soupe.



Si cela vous arrive dans le futur, qui fera le malin?







Je n’ai pas encore commenté, mais personnellement, ce que je trouve drôle, c’est qu’en tant que simple particulier, quand j’ai ouvert mon petit site web personnel, la première chose que j’ai faite, c’était de mettre en place un système de backup de la base de données et des fichiers, de faire une sauvegarde quotidienne tout en gardant les quinze dernières sauvegardes, puis de synchroniser tout ça par sftp sur un serveur distant.



À tout moment, j’ai donc les sauvegardes des quinze derniers jours sur deux sites distincts.



Encore une fois, simple particulier, et je paie tout moi-même. Alors que des professionnels dont c’est le métier et qui sont payés pour ça n’arrivent pas à sécuriser à ce point les données de leurs clients, je trouve ça fort.


Le 23/06/2016 à 08h 30

Donc, à te lire, t’es égoïste, rien à foutre des autres, et tu prônes un comportement illégal. Génial.



Et non, Adobe n’est pas non plus intouchable. Surtout quand on voit le succès remporté par Affinity Photo, développé par une petite équipe de développeurs. Ou le fait que Krita commence de plus en plus à faire ses preuves, alors qu’ils ne sont que deux développeurs à plein temps.



Et puisque tu parles de flyer, ça me fait penser que dans le domaine de la publication, j’ai oublié de citer Scribus, qui semble lui aussi avoir son petit succès.



Maintenant, mon propos n’a jamais été de dire qu’Adobe ne faisait pas de bons logiciels, ou que le libre pouvait parfaitement répondre à tous les besoins. Mais même s’ils sont moins nombreux (avec de plus en plus d’universités qui se mettent à enseigner sur du logiciel libre, ça finira peut être par changer), un certain nombre de professionnels utilisent des solutions libres au quotidien et en sont pleinement satisfaits. Et encore une fois, tout pourrait aller bien plus vite s’il y avait plus de sponsors et de dons.

Le 23/06/2016 à 08h 11







Grocell a écrit :



En ce qui me concerne moi très personnellement mon outils principal c’est After Effects, je vous met au défi de trouver un logiciel libre qui lui arrive à la cheville et pour lequel il existe des plug-ins aussi puissants … Cette fois les limites du libre dans les softs professionnels sont plus claires pour vous ?







Sur OCS-Mag ou sur Krita.org on trouve plein d’interviews de professionnels qui utilisent des logiciels libres pour leur activité et qui en sont pleinement satisfaits.



Le libre n’a potentiellement aucune limite. Par contre, il avance bien plus vite quand il est subventionné (ce qui est le cas de G’MIC ou de Natron, financés respectivement par le CNRS et par l’Inria) ou quand il réussit ses campagnes de financement participatif (Krita en est déjà à la troisième), puisque malheureusement, les utilisateurs (ce qui inclut également les entreprises et les administrations) ne donnent jamais rien.



Et c’est d’ailleurs bien dommage que Gimp ne prenne pas exemple sur Krita, ce qui lui donnerait un sérieux coup de boost.


Le 22/06/2016 à 23h 33

Je ne vais pas te réciter tous les avantages que peut procurer le libre, mais si on regarde l’histoire d’Adobe, je peux déjà en citer 2-3 qui auraient pu changer bien des choses.



En 2005, ils ont racheté Macromedia. Suite à ce rachat, Adobe a préféré abandonner un certain nombre d’applications qui faisaient concurrence à ses propres solutions (FreeHand, Authorware…), qui ne leur rapportaient plus assez d’argent, ou peu importe. Si ça avait été libre, d’autres auraient pu reprendre le flambeau.



Le choix des plateformes supportées. Même si j’étais prêt à payer, Adobe n’a pas jugé bon de prendre en charge Linux. L’utilisateur est donc obligé d’adhérer aux solutions imposées, à la fois par Adobe et par Apple ou Microsoft, en utilisant un système relativement récent de l’un de ces deux éditeurs.



Les traductions. Bon, en tant que francophones, on a de la chance de parler une langue, à la fois populaire de par le monde, et qui se trouve également être la langue principale de certains gros marchés. Mais quand c’est libre, la question ne se pose même pas. Il suffit juste qu’il y ait quelques personnes motivées pour que des applications soient traduites dans plusieurs dizaines de langues, y compris des langues régionales comme le corse ou le breton.



Le prix. On est d’accord, pour une activité professionnelle, le prix de la suite Adobe peut paraître dérisoire. Maintenant, un jeune, qui n’est pas forcément encore étudiant dans la bonne filière (ça peut être un simple collégien) et qui n’a pas droit aux licences étudiantes proposées par certains éditeurs, pourra se sentir exclu. Quand j’étais minot, je n’aurais pas osé demander à ma mère de me payer des abonnements ou des licences à plusieurs centaines, voir milliers d’euros annuels, pour pouvoir m’essayer à telle ou telle discipline.



Avec le logiciel libre, peut importe le système utilisé, notre âge, notre langue, nos moyens… on est tous égaux. Et je trouve ça nettement mieux ;)



C’est donc dommage que la plupart des gens n’aient qu’une vision court-termiste (aussi bien les particuliers que les entreprises ou les administrations), en se disant qu’à cet instant, la meilleure solution est propriétaire, et qu’il faut donc tout miser sur cette solution, plutôt que d’aider à faire décoller une solution libre alternative qui aurait pu mieux répondre aux besoins du plus grand nombre.



Et pour conclure sur le parallèle avec les jeux vidéos, je pense qu’il s’agit de deux choses bien différentes. Dans le cas d’applications utilitaires, tu pourras avoir le même type de fonctionnalités sur deux applications libre et propriétaires, qui répondront aux mêmes besoins. Par contre, dans le cas de créations artistiques, que ce soit un jeu vidéo, un film, un roman ou un album, elles seront toutes uniques. Même en faisant un remake à l’identique d’un film déjà existant, ça sera au final deux ouvres bien différentes, chacune étant unique.



Même si je ne peux pas m’empêcher de penser que s’ils étaient libres, les jeux vidéos pourraient être plus facilement traduits. Quand j’étais minot, tous les jeux de rôle japonais n’étaient disponibles… qu’en japonais, et plus rarement en anglais. À l’époque, le marché français n’intéressait absolument pas les éditeurs. Ou tout simplement disponibles sous Linux, qui est encore bien trouvé souvent oublié.

Le 22/06/2016 à 18h 22

Il n’y a pas que Gimp. En équivalent à Lightroom, t’as darktable qui est très bon. Pour du dessin bitmap, t’as Krita et pour du vectoriel, Inkscape. Pour de la 3D (modeling, animation…), t’as l’excellent Blender. Et pour finir sur la vidéo, Kdenlive pour le montage et Natron pour le compositing.



Je me permet également de citer l’incroyable greffon G’MIC (développé par des français), qui offre un nombre incroyable de nouvelles possibilités aux différents logiciels libres qui l’utilisent (Gimp, Krita…). Son développeur principal poste également des articles particulièrement complets sur LinuxFR, qui illustrent les différentes nouveautés de chaque nouvelle version.



Sinon, le souci, comme d’habitude, c’est le financement. S’il y avait plus de gens pour donner à des projets libres qu’à de grosses multinationales comme Adobe, ça avancerait incroyablement plus vite, tout en bénéficiant, de façon perpétuelle, et non pas tant qu’on a les moyens de payer, à l’ensemble de l’humanité.

Le 22/06/2016 à 18h 50







lorttam a écrit :



Si vous aimez les polices bien baveuses Fedora est fait pour vous.







L’article n’en parle pas, mais il y a eu de gros progrès de faits à ce niveau. Fedora Magazine a récemment publié un article (en anglais) sur le sujet, Font improvements in Fedora 24 Workstation.



Ce n’est par contre pas encore parfait par défaut, à cause d’un brevet qui devrait enfin expirer au 1er janvier 2018. Mais tu peux toujours installer freetype-freeworld depuis RPM Fusion pour obtenir le même résultat que sous Ubuntu.


Le 17/06/2016 à 11h 12







Joto a écrit :



Euh, je me rappelle à l’époque sur une Gentoo je croyais naïvement pouvoir remplacer bash par zsh (excellent soit dit en passant), et pour alléger le système, j’avais viré bash.







bash n’occupant que 6,18 MiB sur disque, ce n’est pas ça qui aurait allégé quoi que ce soit. Je pense qu’il valait mieux le laisser, puis d’installer zsh en parallèle pour ton compte utilisateur. Sinon, zsh possède un mode de compatibilité bash, mais à la lecture de ton commentaire, j’imagine qu’il fallait configurer quelque chose :)







Da_real_Guinioul a écrit :



Cela a été dit par un intervenant à juste titre : sous win7 (qui est “vieux”) ben pourtant installer la dernière version du soft machintrucchouette ne pose AUCUN problème, essayez donc de faire la même sous une vieille 10.04…







Il y a plusieurs grosses différences entre Windows et Linux. Faire une mise à jour d’un Windows à l’autre, c’est payant. Sous Linux, c’est gratuit. Microsoft assure la sécurité de ses Windows bien plus longtemps que la plupart des distributions Linux, mais par contre, il faut s’occuper manuellement de mettre à jour tous ses logiciels. Sous Linux, tu mets à jour tout le système et les applications d’un coup. Sous Windows, les pilotes de périphériques sont à part. Sous Linux, ils font parti du noyau / Sane / CUPS, dont les dernières versions seront proposées lors de la mise à jour du système…



Par conséquent, si tu souhaites un système à jour et sécurisé, pouvoir utiliser n’importe quel périphérique que tu pourrais acheter, ne pas subir de cassage d’API en devant réagir après coup (ce qui arrive généralement toujours au mauvais moment, quand t’es pressé…) le mieux à faire, c’est tout de même d’appliquer les mises à jour de la distribution quand elle te le propose.


Le 16/06/2016 à 14h 25







A33 a écrit :



Non, je n’ai pas à justifier mes besoins. Trop long. Et puis quelle importance?

Ce qui me saoule avec Linux, c’est justement que les distros veulent trop penser pour nous pour notre propre bien. Merci, mais non merci. Je me sens trop contraint.



Malheureusement, c’est possible. Mais aucun système ne me convient vraiment. Ce n’est pas comme si je trouvais Windows formidable. C’est juste le moins mauvais à mes yeux, mais ça reste pas terrible, et pire encore avec W8/10.







C’est tout de même étonnant d’entendre ça. Sous Windows, t’as un binaire sur lequel tu n’as strictement aucun contrôle sur la plupart des options. À l’inverse, avec des distros comme Gentoo, tu contrôles absolument tout. Quelles bibliothèques seront utilisées quand le choix est permis en amont, quelles fonctionnalités seront activées ou non à la compilation, où installer tout ça…



Pour moi, il n’y a franchement aucune comparaison possible.


Le 16/06/2016 à 14h 17







A33 a écrit :



C’est l’existence même des distros, avec leurs paquets pas à jour, pas “vanilla”, le sac de nœuds sans fin des dépendances et les écueils des applis pas vraiment compatibles entre elles, qui me fait fuir Linux.







Rien ne t’oblige non plus à utiliser des distributions avec sorties à date fixe. Il existe également des rolling release (Arch, ou sa version pour débutants, Manjaro), qui proposent les toutes dernières versions vanilla des applications / bibliothèques.



Après, si tu souhaites encore plus adapter tout ça, t’as également Gentoo.


Le 16/06/2016 à 12h 11







2show7 a écrit :



Je trouve que le shell de Linux est moins souple que le cli d’amiga







La plupart des distributions GNU/Linux proposent bash par défaut, mais le shell n’est qu’une brique parmi tant d’autres. Tu peux très bien le remplacer par zsh ou tout autre shell. Certains ont peut être les fonctionnalités auxquelles tu penses.



Wikipédia propose une petite comparaison des principaux shells.


Le 16/06/2016 à 12h 00







Commentaire_supprime a écrit :



Je vois les choses comme ça et je pense ne pas être le seul. Votre avis ?







Ça ne remplacera jamais les dépôts des distributions. Par contre, pour les applications propriétaires qui ne sont pas proposées dans ces dépôts, pour les applications libres qui ne sont pas encore disponibles dans ces dépôts, ou les applications en cours de développement qui proposent des nightly builds qui ne seront jamais dans ces dépôts, ça peut être intéressant.



Plus simple à récupérer (on ne se pose plus la question de savoir si l’on doit choisir le DEB ou le RPM ou autres questions de dépendances) et à installer, meilleure sécurité (on se souvient de l’application Steam qui supprimait tous les données de l’utilisateur).



Puis avec des nightly builds facilement utilisables (dans le cas d’un environnement de bureau, c’était plus chiant à mettre en place que de récupérer un simple binaire, comme c’est le cas pour Firefox, par exemple), on peut espérer qu’il y ai plus de testeurs, et donc une meilleure qualité à l’arrivée.







imrage a écrit :



Par contre le nombre d’APP est encore très faible et leurs installations ne se fait qu’en ligne de commande pour l’instant. Pas évident pour tout le monde.







À terme, ça sera bien évidemment faisable directement depuis la logithèque de chaque environnement. Dans le cas de GNOME, Logiciels doit complètement le prendre en charge avec la version 3.22 prévue pour le mois de septembre. J’espère que ce ne sera pas ces quelques mois de différence qui feront que Snap réussira à s’imposer.


Le 16/06/2016 à 11h 35







Rozgann a écrit :



Par contre, GNOME a développé un système équivalent, Flatpack (anciennement XDG-Apps). KDE supporte également cette solution. Comme les Snaps, ça marche mais il y a certaines limitations. La plus visible est que les applications Flatpack ne suivent pas le thème défini par l’utilisateur, du fait du sandboxing. LibreOffice est dispo uniquement dans sa version qui ne dépend pas de Java, mais je pense que c’est pareil pour la version Snap.



Je sais pas si il y a des différences majeures entre Flatpack et Snappy. Après le schisme deb/rpm, est-ce qu’on aura également un schisme Flatpack/Snappy ?







Même si ça a été initialement développé par GNOME / Red Hat, il s’agit d’un projet Freedesktop adopté par la communauté, à l’inverse d’un Ubuntu Snap dont Canonical tente encore de faire le forcing pour imposer sa techno.



Au niveau des différences, il y a déjà le principe des runtimes adopté par Flatpak (un runtime pour chaque version de GNOME, KDE… un runtime Freedesktop ou whatever), ce qui permet de créer un paquet Flatpak prévu pour GNOME 3.20, et de pouvoir l’utiliser sur une distribution n’ayant que GNOME 3.14. Et à la différence d’un Snap, s’il y a des corrections de bugs ou de sécurité sur les bibliothèques GNOME, seul le runtime sera mis à jour, et non toutes les applications qui contiennent toutes les bibliothèques, comme c’est le cas avec Snap.



Meilleure sécurité, et paquets bien plus légers.



Ensuite, j’ai vu que Flatpak / GNOME (il en ira bien évidemment de même de KDE et consorts) avaient prévus des mécanismes d’autorisations. Par défaut, les applications étant sandboxées, il n’y a aucun accès aux fichiers, réseau, périphériques, process en dehors de la sandbox, services (X, D-Bus, PulseAudio…). Maintenant, si ton application a par exemple besoin de pouvoir accéder à la webcam (pour une application comme Cheese, ça serait pas mal :) il faut que l’environnement de bureau puisse en faire la demande auprès de l’utilisateur : « l’application tartampion souhaite pouvoir accéder à la webcam, souhaitez-vous ou non l’autoriser ? » tout en gérant ensuite tout ça bien comme il faut (accorder ou non l’autorisation, s’en souvenir pour cette application, permettre de révoquer l’autorisation après coup…)



En tant que projet Freedesktop, tout a été bien pensé côté Flatpak pour que toutes les distributions et environnements de bureau puissent implémenter tout ça. À l’inverse, Snap étant orienté Ubuntu dès le départ, je le vois venir gros comme une maison pour que toutes ces questions soient gérées à l’arrache. On se souvient d’Unity, qui n’a jamais réussi à fonctionner correctement ailleurs que sur Ubuntu (la faute à des bibliothèques patchées dans tous les sens plutôt que de faire en sorte que les changements soient acceptés upstream).



Côté GNOME :



* Content and Device Access

* Application Access Control


Le 14/06/2016 à 15h 08

Appli alerte attentats : «Il faut que la France respecte les standards internationaux»









KP2 a écrit :



Non, justement, même si l’appli a couté qq centaines de milliers d’€ (voire 1 ou 2 millions), c’est tres certainement bien en dessous de ce que devrait couter une infra d’alerte par SMS qui impacterait les operateurs.







Faut savoir ce qu’on veut. Pas cher et que personne ne soit prévenu, ou un peu plus cher, et qu’un maximum de gens puissent être prévenus. D’après l’article ci-dessus, des pays bien moins riches que nous, tels que le Chili, ne semblent pas avoir eu de mal à le mettre en place…







Jarodd a écrit :



C’est une vraie excuse, la saturation du réseau ?







À la lecture de l’article ci-dessus, on apprend que des standards existent déjà, et que les messages d’alerte sont prioritaires sur le reste du contenu envoyé.







thomgamer a écrit :



Autant sur le coût je suis sceptique, il me semblait juste que les opérateurs avaient bien précisés que cela était faisable assez aisément, le problème était plus d’ordre légal et aussi d’éviter le sur-attentat car forcément les terroristes seraient prévenus aussi et plus enclin à tout faire péter (même si de toute façon c’était déjà leur but…)







C’est surtout idiot de vouloir limiter ça au terrorisme, alors qu’un système d’alerte standard pourrait tout aussi bien prévenir d’un séisme, d’une avalanche, d’un tsunami (la France ne se limite pas à la métropole), d’inondations ou que sais-je encore. À l’heure actuelle, il faut installer cinquante applications pour être prévenu de tous les dangers.


Le 13/06/2016 à 09h 57

Ouais, enfin. Il y a deux ans de ça, en réaction à Heartbleed, la Linux Foundation avait déjà lancé le projet Core Infrastructure Initiative, en réussissant à convaincre un certain nombre d’entreprises (Amazon, Cisco, Dell, Facebook, Google, HP, IBM, Intel, Microsoft…) d’y contribuer.



Projet qui semble toujours d’actualité, puisque la fondation publie régulièrement des communiqués sur les nouveaux programmes. Au début du mois, il y en avait encore un sur le financement d’outils permettant de mieux découvrir les problèmes de sécurité lors du développement d’applications web.



Je serais donc curieux de savoir si le programme de Mozilla apporte réellement quelque chose en plus, ou si c’était uniquement pour pouvoir se mettre en avant.

Le 13/06/2016 à 08h 39

Le souci, comme bien souvent, c’est que tu n’aimes pas GNOME, qu’il ne répond pas à tes besoins, et que par conséquent, t’en tires la conclusion qu’il ne plaira à personne.



J’aime GNOME. Mon amoureuse, récemment passée sous Linux, a tout d’abord testé Unity et Xfce, avant de passer sous GNOME, qu’elle préfère finalement.



Et il y a quelques jours, je suis tombé sur le billet de blog d’une personne qui avait quitté GNOME pour Xfce, avant de finalement y revenir. Puis dans les commentaires, on voit bien que certains apprécient justement GNOME pour sa simplicité.



Tout le monde ne peut pas aimer, mais ça tombe bien, contrairement aux environnements imposés sur les systèmes propriétaires, sous Linux nous avons le choix. Et je trouve très bien que GNOME puisse exister. Sans ça, ben nous n’aurions quasiment que des clones réutilisant invariablement les même paradigmes.

Le 12/06/2016 à 13h 42

Pas trop compris ton délire autour des extensions. Celles de Chrome ou Firefox sont également proposées sur des sites externes, plutôt que d’être livrées directement avec le navigateur. On peut voir ça comme des applications tierces. Et comme n’importe quelle application, les distributions peuvent les packager si elles le désire.



Pour le reste, tu sembles comparer le noyau Linux, auquel 1600 développeurs y contribuent en moyenne (avec pas mal de nouveaux arrivants à chaque fois), qui a le soutien de grandes entreprises qui emploient un grand nombre de développeurs à temps plein, avec GNOME, dont les développeurs payés pour bosser dessus doivent se compter sur les doigts de la main. Les moyens ne sont clairement pas les mêmes.



Ils ont donc fait au mieux avec leurs faibles moyens. Et comme n’importe quel logiciel libre, ça ne pouvait pas être parfait dès le départ. Maintenant, on ne peut que reconnaître que ça s’est grandement amélioré au fil des versions.



Ensuite non, n’aimant vraiment pas Cinnamon, je suis bien content que GNOME n’ait pas fini ainsi. Exemple tout bête, le gestionnaire de fichiers. Nombre de fois, on a entendu dire que Nemo, le fork de Cinnamon, était supérieur parce qu’il proposait 2-3 fonctionnalités en plus. Ben, personnellement, je préfère l’approche de GNOME, qui a passé énormément de temps à réécrire des pans entier de code qui posaient problème, obtenant ainsi une base robuste sur laquelle ils peuvent désormais implémenter proprement de nouvelles fonctionnalités.



Franchement, je préfère avoir un peu moins de fonctionnalités, mais que ce soit super stable, que je puisse avoir une totale confiance dans les applications que j’utilise.



Enfin bon, c’est libre. Comme à son habitude, Cinnamon finira bien par récupérer le travail des développeurs GNOME, voyant ainsi leurs fans raconter à quel point ce projet est génial, qu’ils ont accompli ce qu’aurait du faire GNOME… XD

Le 11/06/2016 à 06h 52







yl a écrit :



d’ailleurs dans une distro par ailleurs packagée de manière centralisée et cohérente, une force de Linux parfois copiée jamais égalée… et Gnome qui fait sa mauvaise tambouille dans son coin voudrait que cela prenne?







Absolument rien ne t’oblige à passer par le site de GNOME, puisque la plupart des distributions proposent des paquets pour les extensions les plus importantes.



Par exemple, sous Arch t’as gnome-shell-extensions qui contient alternate-tab, apps-menu, auto-move-windows, drive-menu, launch-new-instance, native-window-placement, places-menu, screenshot-window-sizer, user-theme, window-list, windowsNavigator, workspace-indicator…



Après, en recherchant gnome extension sur AUR, on en trouve plus de 70…



J’ai également jeté un oeil dans la logithèque (graphique) de Fedora 24, et la recherche d’extensions GNOME me propose bien plusieurs dizaines de résultats (qui ont sans aucun doute été testés et validés pour cette distribution).



Ensuite, vu les vidéos que je vois passer sur YouTube, avec des gens qui utilisent des panels ou des docks sous GNOME, faut croire que c’est bel et bien adaptable aux besoins des gens et qu’ils en sont satisfaits.



Petite vidéo qui montre qu’on peut rapidement obtenir une expérience radicalement différente de celle proposée par défaut.


Le 10/06/2016 à 18h 45







gokudomatic a écrit :



tant que Mint n’a pas de taskbar vertical, aucune chance que je l’essaie.











kvasir a écrit :



Tu peux m’expliquer comment mettre le dock d’Unity dans une Ubuntu 16.04 à droite de l’écran de façon simple?











vinceff a écrit :



Une autre solution serait de redéfinir pourquoi vouloir le mettre à droite ?



Quand j’utilise un gnome c’est à gauche de base… et j’aime bien







Sous GNOME, avec l’extension Dash to Dock, vous pouvez facilement placer le dock où vous voulez, avec tout plein d’autres options de personnalisation.



Petite démo.


Le 10/06/2016 à 18h 28







yl a écrit :



Gnome n’aurait pas déconné ainsi que Ubuntu avec son Unity, ces environnements nés du vide laissé n’auraient jamais existé. Les vrais responsable de la dispersion sont eux.







Sauf que GNOME 3 permet dès le début d’utiliser un mode classique avec menu démarrer, barre des tâches, icônes sur le bureau…



Il suffisait donc de contribuer à ce dernier.


Le 08/06/2016 à 09h 04

Il y a clairement un souci. Tu devrais tester le tout nouveau « about:performance », parce qu’avec bien plus d’onglets que toi, je consomme infiniment moins.

Le 08/06/2016 à 08h 08

C’est le projet Electrolysis, qui est pour le moment activé dans la branche Nightly. Par contre, je ne pense pas qu’il y ait encore de date pour un passage en stable.

Le 06/06/2016 à 06h 45

Apparemment, ils ont déjà sorti des versions de développement qui corrigent un certain nombre de problèmes (voir les liens en bas de page).

Le 06/06/2016 à 06h 41

Aucun souci sous Linux (ah ah).



Je n’ai pas entendu parler de problèmes de virus, et une recherche Google sur Krita + ton virus ne donne rien non plus. Ton antivirus est bien à jour ? T’es bien allé sur ce site pour le téléchargement ?



Quant au crash, ils ont un forum dédié à la version Windows dont plusieurs sujets semblent en parler : Krita 3.0 immediate crash, ainsi que KRITA RC1 3.0 - APP CRASH. Si t’as une tablette, ça pourrait venir d’un problème de driver.



Les versions majeurs ayant toujours leur lot de problèmes, j’imagine qu’ils sortiront rapidement une première révision corrective.

Le 05/06/2016 à 09h 50

Mon amoureuse adorait Paint.NET du temps qu’elle était sous Windows. Malheureusement, ça a beau être développé en C# / .NET, ce n’est pas multi-plateforme pour autant (faudrait que je vois si une version plus ancienne arriverait tout de même à tourner avec Mono).



En attendant, il y a bien Pinta, qui se veut un clone libre (et qui lui, tourne bien partout), mais d’après elle, ça possède bien moins de plugins ou d’options.



Tout ça pour dire que personnellement, je conseillerais plutôt d’utiliser dès le départ des logiciels libres. Ça évite de se former sur des technologies propriétaires et d’être emmerdé lors d’un changement de système, l’abandon par son éditeur ou que sais-je encore.

Le 01/06/2016 à 20h 59

T’as la possibilité de peindre symétriquement ou par effet miroir, et t’as également des modes de transformation sympas.

Le 01/06/2016 à 14h 32







Poppu78 a écrit :



Avec Pepper & Carrot pour illustrer l’article, excellent choix M. Hermann !







OCS-Mag a d’ailleurs récemment publié une interview de David Revoy. Puis dans la continuité, ils en ont également publié une d’Evelyne Schulz au sujet de GIMP.


Le 01/06/2016 à 14h 28







Soriatane a écrit :



L’équipe de développement de GIMP est extrêmement réduite, 3-4 développeurs. Il en a combien sur Krita ??







Ils ne sont pas nombreux non plus. Maintenant, la grosse différence, et c’est bien pour ça que j’ai énormément de mal à comprendre que GIMP ne fasse pas la même chose, c’est qu’avec leurs campagnes de financement participatif à répétition qui sont à chaque fois des succès, ils ont pu embaucher un ou deux développeurs à plein temps.



Et un développeur passionné qui va donc pouvoir se concentrer sur son bébé, en fera infiniment plus et bien plus rapidement qu’un développeur bénévole qui ne pourra y consacrer qu’une heure ou deux par-ci par-là.



Si GIMP lançait une telle campagne, je serais le premier à donner. Je fais dors et déjà quelques dons PayPal ponctuels, mais ça n’aura jamais le même engouement qu’une campagne Kickstarter avec des objectifs bien définis, de la pub sur les réseaux sociaux et tout le tralala.


Le 04/06/2016 à 00h 29

Même quand le client a le choix, ce n’est pas un réel choix complet entre tous les opérateurs. Quand il s’agit d’un cofinancement entre deux opérateurs (par exemple Orange et SFR), t’auras accès à ces deux opérateurs, mais pas les autres (Bouygues, Free…).



Dans leurs statistiques, ils vont écrire qu’il y a bel et bien du choix, alors qu’ au final, il y a fort à parier que tu n’aies pas accès au fournisseur que t’aurais voulu.

Le 11/05/2016 à 08h 51







code a écrit :



Je vais encore me faire taper dessus , mais pour quand la version Linux ?

Car viber est dispo sur Ubuntu.







Nombre de bénévoles arrivent sans problème à développer et maintenir des applications libres multi-plateformes, mais malheureusement (ou pas, selon les points de vue), Linux est toujours le parent pauvre quand il s’agit d’applications propriétaires.



Et même quand c’est dispo, c’est souvent bâclé, voir complètement à la ramasse. Une copine récemment passée sous Linux a pris peur en voyant la tronche de la version Linux de Skype…


Le 04/05/2016 à 23h 18

En même temps, il s’agit d’une version d’il y a quatre ans. Entre temps, il y a eu de gros efforts de faits sur la prise en charge matérielle et la qualité des pilotes.



Normalement, les différentes révisions des versions LTS apportent des kernels mis à jour, mais je ne pense pas que dans la foulée ils en fassent de même pour CUPS (les imprimantes), SANE (les scanners)…



Je serais donc d’avis de mettre à jour vers la 14.04.4 LTS ou, s’il peut attendre encore un peu, de passer directement à la 16.04.1 prévue pour le mois de juillet. Après quoi, je suis prêt à parier que ses différents problèmes se seront envolés.

Le 28/04/2016 à 17h 03

C’est bon, je ne suis apparemment pas le seul à avoir reçu cinquante fois le mail de confirmation <img data-src=" />



Me voilà rassuré <img data-src=" />

Le 12/04/2016 à 19h 19

Tu peux aussi lire l’article. C’était sur une base volontariste, et ceux qui préféraient rester sous Windows ont pu garder leur système.

Le 12/04/2016 à 18h 39

ah ah, p0wned <img data-src=" />

Le 12/04/2016 à 18h 04

La Mairie de Fontaine migre 600 ordinateurs sous GNU/Linux



Encore tout plein d’utilisateurs qui n’ont finalement aucun problème à utiliser Linux sur leur poste de travail <img data-src=" />

Le 12/04/2016 à 17h 38







linconnu a écrit :



Le problème de Linux c’est le côté anti Microsoft des développeurs. A ne pas vouloir intégrer des technologies parce qu’elles viennent de Microsoft ils s’excluent eux-mêmes. Le principal problème de Linux c’est l’absence de DirectX. Tant que les développeurs n’adapteront pas DirectX à Linux, Linux ne marchera pas.







La bonne blague. DirectX est une technologie propriétaire développée par Microsoft, qui a tout contrôle dessus, et dont la licence interdit de pouvoir être repris par d’autres.



Déjà qu’à chaque nouvelle version de Windows, Microsoft lui réserve l’exclusivité de la dernière version de DirectX, délaissant les utilisateurs d’anciennes versions de Windows, il ne faut pas rêver, jamais ils n’accepteront que ce soit repris par d’autres plateformes.


Le 12/04/2016 à 14h 48







slave1802 a écrit :



La première fois, c’était avec une mandrake, mon modem n’a jamais été reconnu.







Ce n’était donc pas un véritable modem, mais un modem logiciel prévu pour fonctionner de concert avec Windows, d’où leur difficile prise en charge sous Linux. Puis bon, c’était il y a plus de dix ans. Une autre époque, qui n’est absolument plus comparable à la situation actuelle.







slave1802 a écrit :



La dernière fois, l’an passé, c’est mon interface audio externe (M-audio Firewire) qui n’était pas reconnu. Je l’ai changé depuis, mais mon critère premier pour sa remplaçante était la qualité des pré-amplis, le nombre d’entrée sortie et le prix. J’ai pris une Motu Ultralite et ce que j’ai lu sur les forums me décourage tout à fait de tenter un nouveau switch. De toute façon, vu le nombre de DAW qui tourne sous Linux…







T’as tout de même des besoins bien particuliers nécessitant du matériel exotique. On est loin de l’utilisateur de base qui va se contenter du chipset audio onboard, du Wi-Fi intégré, et de finalement tout ce qui est livré de base sur sa machine. Et pour ceux-là, Intel et d’autres constructeurs contribuant activement au développement de pilotes libres, il ne devrait désormais plus vraiment y avoir de problème de reconnaissance matérielle. Désormais, par exemple, on en est plus à s’assurer que les capteurs de lumière ambiante sont bien pris en charge par l’environnement de bureau…


Le 12/04/2016 à 14h 16







slave1802 a écrit :



Et malheureusement la liste de matériel non compatible avec Linux est longue comme une barbe de geek.







J’ai personnellement plusieurs fois rencontré le cas de périphériques (imprimante, scanner, lecteur de cartes…) qui n’étaient plus pris en charge sous Windows, alors qu’ils étaient pleinement fonctionnels sous Linux.



Donc oui, Windows a plus de chance de voir les tous derniers modèles bien pris en charge, mais sur la durée, je trouve qu’il y a moins de soucis sous Linux, qui garantit plus facilement qu’un pilote libre soit toujours fonctionnel au fil des versions.


Le 12/04/2016 à 13h 31







blackdream a écrit :



La majorité des gens peuvent installer un logiciel sur windows sans avoir besoin de faire une recherche sur internet puis suivre un tuto. 



Sous linux c’est à peu près l’inverse.







Les logithèques Linux sont riches de plusieurs milliers d’applications. En général, quand ce n’est pas disponible, c’est soit qu’il s’agit d’une application propriétaire dont l’éditeur n’a pas jugé utile de passer un accord avec l’éditeur de la distribution (Ubuntu, la plus populaire, le permet pourtant), soit que l’application est anecdotique.



Mais comme tu parles de la majorité des gens, je pense qu’on peut dire que cette même majorité se contente très bien des applications pré-installées (la plupart des distributions pré-installant une suite bureautique, un client BitTorrent, une application avancée de retouche photo et tant de choses encore) ou de celles facilement accessibles dans la logithèque, que c’est finalement plutôt rare de devoir se prendre la tête en dehors de l’écosystème déjà prévu.


Le 12/04/2016 à 13h 21







blackdream a écrit :



Heu non… Déjà, interdire la vente liée c’est obligé les gens à installer eux même leur OS. 90% des gens ne savent pas faire (ou en tout cas le pense), et dans les 10% des gens qui reste, y’en a encore une bonne parti que ça fait chier.







Tu n’es pas non plus obligé de proposer un disque entièrement vierge et d’inviter tes clients à se démerder par eux-mêmes. On peut très bien imaginer une solution technique où le client allume sa machine pour la première fois, et se voit proposer un ballot screen comme pour le choix du navigateur sous Windows, avec une liste de quelques systèmes d’exploitation, accompagnée de leur prix et d’un court descriptif. Une fois le choix effectué, une copie de l’image disque correspondante se mettrait en place, rendant la machine finalement utilisable.


Le 12/04/2016 à 13h 13







statoon54 a écrit :



Malheureux, certainement pas c’est pas un bon exemple . Pour installer correctement un .deb il faut surtout avoir les dépendances installées et ça c’est pas forcément toujours le cas . De plus les dépendances évoluent tellement que 6 mois après le même paquet ne fonctionnera plus . Essaye d’installer virt-manager à partir du dépôt git sur une Mint par exemple , tu vas t’arracher les cheveux.







Les applications non libres sont généralement liées statiquement aux bibliothèques. En gros, toutes les dépendances dont elles ont besoin sont présentes et forment un gros binaire. Ensuite, il existe des solutions comme gdebi qui permettent d’installer des .deb tout en gérant les dépendances. Mais l’avenir est aux sandboxs, que des environnements comme GNOME ont déjà commencé à mettre en place. Un éditeur peut désormais proposer son application, qui contiendra la liste des dépendances (application prévue pour telle version de tel environnement), et peu importe que l’utilisateur n’ait pas ça par défaut dans sa distribution, ça récupérera automatiquement tout le nécessaire.







statoon54 a écrit :



Pour moi le salut de Linux sur le desktop repasse par une unification vers un seul environnement et une approche applicative peut être différente quant à l’installation de logiciels propriétaires, il y a des bonnes idées dans les différents environnements proposés mais actuellement c’est trop dispersé, les manques sont cruels, des fonctionnalités simples et utiles sont cachés aux yeux des utilisateurs,et si on ajoute des performances dégradées selon le matériel ou un développement et une intégration calamiteuse selon la distribution , on se retrouve avec un OS non taillé pour le Desktop. Google l’a compris avec Android, Apple avec OSX, Microsoft avec Windows …







Bof. On perdrait toute la richesse qui fait la force du libre. Certains adorent KDE pour ses possibilités de personnalisation, quand d’autres préfèrent GNOME pour sa simplicité, Xfce pour sa légèreté, Cinnamon pour sa ressemblance à Windows… Si on m’imposait un environnement qui ne me convient pas, GNU/Linux perdrait clairement de son attrait.



D’autant plus que rien n’empêche les constructeurs d’opter pour une unique distribution populaire. Ce qui est finalement déjà le cas avec Ubuntu.



Par contre, je n’ai pas trop compris à quels manques cruels tu faisais allusion, ou quelles étaient les fonctionnalités simples et utiles qui étaient cachées. J’utilise personnellement GNOME, et vais donc parler de ce dernier, qui fournit par défaut tout le nécessaire pour couvrir les besoins de base : navigateur, agenda, contacts, visualiseur d’images (qui est également capable de recadrer, appliquer des effets…), lecteur audio / vidéo (avec gestion de la collection de médias, le téléchargement des sous-titres et tout le tralala), horloges (alarme, chronomètre, minuteur…), cartographie, gravure, gestion de documents, utilitaires disque, gestion de notes, outil de numérisation, extraction audio… et bien évidemment, sous GNOME, tout est pensé pour être simple et efficace







statoon54 a écrit :



La pauvre madame Michu elle te répondra, je peux faire apt-get install Witcher3 ? Un moment il faut arrêter dire des conneries. C’est pas parce que tu peux installer des outils via dépôt que tout reste simple sous Linux.







Il y a bien évidemment des jeux dans la logithèque, mais j’imagine que pour des jeux plus évolués, elle fera comme un certain nombre de windowiens, elle installera Steam, lui permettant ainsi de pouvoir accéder rapidement et facilement à un catalogue riche de plusieurs milliers de titres.


Le 12/04/2016 à 11h 24







Nonor3 a écrit :



Le vrai problème des desktop Linux n’est pas l’ergonomie (qui sans être terrible, est tout de même convenable), mais la discontinuité de l’expérience utilisateur qu’une machine tournant sur GNU/Linux propose au fil des années. Ca manque de cohérence, ça bouge trop, c’est renouvelé trop souvent, et les mises à jour apportent toujours autant de nouveautés que de régressions et nouveaux bugs. Résultat une machine Linux est un semi bac à sable permanent et l’utilisateur qui n’a plus de temps à y consacrer au quotidien ou par passion finit par s’en détourner.







Suffit d’opter pour une distribution de type LTS. Avec Ubuntu, t’es tranquille cinq ans. Devoir mettre à jour une fois ou deux tous les dix ans, on a vu pire.







hurd a écrit :



Il y à une petite boîte française qui fait une version pour malvoyant/aveugle et propose du support et tout et tout j’ai malheureusement pas réussi à retrouver le lien.







Ça ne serait pas Hypra ?







maestro321 a écrit :



Tant que les barbus ne comprendront pas que l’on doit pouvoir se servir de linux (et effectuer les opérations de maintenance de base) SANS JAMAIS toucher une ligne de commande ça n’aura aucune chance de percer chez le grand publique.







C’est tout de même marrant cette aversion pour la ligne de commande, sachant qu’un bête copier coller sera toujours infiniment plus simple et rapide que de suivre un tuto pouvant rapidement contenir des dizaines de captures d’écran, indiquant qu’il faut cliquer là, puis ensuite là, et encore là…







maestro321 a écrit :



Si j’ai un soucis mineur, je trouve toujours un commentaire/message/tutoriel pour résoudre mon problème.

Et dans 99% des cas, le problème peut-être réglé en utilisant uniquement des interfaces.



Le jour ou on pourra en dire autant de linux il aura sa chance auprès du grand publique.







Tu surestimes le grand public, qui ne sait généralement même pas quelle version de Windows il utilise, qui ne sait pas forcément décrire correctement son problème, et qui aura donc bien du mal à trouver le bon tuto, pour ensuite le suivre convenablement. Pour avoir déjà dépanné des windowsiens, faut voir les problèmes particulièrement basiques sur lesquels ils bloquaient. Sans parler du fait que bien souvent, ils ont peur d’intervenir par eux-même, de peur d’aggraver la situation.



J’en arrive donc à la conclusion qu’un néophyte, qu’il soit sous Windows ou Linux, fera de toute façon appel à une personne tierce. Et pour ceux qui n’ont pas peur de bidouiller par eux-même, ils y arriveront tout aussi bien sur l’un ou l’autre. La doc existe, et je la trouve même particulièrement foisonnante. Le point bloquant sera plutôt la langue. Les anglophobes étant effectivement particulièrement désavantagés.


Le 11/04/2016 à 22h 08

Mint, Ubuntu, Fedora. J’en compte trois. J’utilise personnellement Arch (à laquelle on peut associer Manjaro, comparable à ce qu’est Ubuntu vis-à-vis de Debian :) mais ce n’est clairement pas pour les Michus. Toutes les autres, pour une utilisation desktop et à destination de débutants, n’ont aucun intérêt.