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maestro321

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4258 commentaires

Le 27/10/2015 à 14h 57







OlivierJ a écrit :



Par la non-magie des différentes marges prises par les différents intervenants : le fabricant, le grossiste, le revendeur, la TVA. C’est pareil pour tout et depuis très longtemps, un copain me parlait du prix de fabrication brut d’un snowboard et du prix final pour un client lambda.





Oui, enfin j’ai quand même du mal à le croire. Que ce soit le fabricant, le grossiste, le revendeur ou la TVA (sans doute le pire) on parle de marge de quelques dizaines de pourcents, si c’est sans doute significatif pour les petites entreprises et les petits volumes, je doute que les constructeurs d’électro-ménagé se laissent bouffer 1000% de marge par les intermédiaires…


Le 27/10/2015 à 14h 39







OlivierJ a écrit :



De manière générale, je pense que si tu devenais fabriquant, tu serais bien emmerdé car il faut faire des compromis sans quoi tes produits ne se vendraient pas (trop chers, et plein de gens se moquent que ça dure plus de 5 ou 10 ans, même sans être “riche”), ou alors à une niche. Le terme compromis ici n’est pas dans un sens péjoratif. Note que quand tu développes un logiciel pour un client ou que tu réponds à un appel d’offre, le même problème se pose. Ajouter des tests pour augmenter la qualité a un coût important.





Comment peux-tu affirmer que le compromis correspond au besoin sachant que les éléments de décision (concernant la qualité) ne sont pas explicitement connu par le demandeur?



Si je te vend un site à 1000€ sans détails sur la qualité du serveur d’hébergement et qu’une autre boîte te vend le même site à 1100€ (sans plus de détails sur la qualité du serveur d’hébergement).

Tu me dira que tu as choisi en toute connaissance de cause et que le site à 1000€ correspond plus à tes besoins en terme de qualité serveur que le site à 1100€?

On ne peux donc pas parler d’optimum qualité/prix, seulement d’optimum du prix puisque c’est la seule donnée commune connue.



Après on peut effectivement considérer que la qualité n’est pas un élément déterminant pour le demandeur (et je pense que c’est souvent le cas), mais j’ai du mal à le croire pour l’électro-ménagé quand on voit le nombre d’extension de garanties qu’arrivent à vendre des distributeurs comme darty..


Le 27/10/2015 à 14h 25







OlivierJ a écrit :



Pour l’électroménager on a généralement une idée de la fiabilité des marques.





Mon réparateur n’est pas de cet avis.<img data-src=" />

La dernière fois que je lui ai demandé un conseil pour une marque de lave vaisselle (sachant qu’il n’en vend pas) sa réponse : Ha! aujourd’hui vous savez toutes les marques se valent, mis à part le haut de gammes, mais la différence de prix n’est pas forcément justifiée à long terme.. En même temps ce n’est pas surprenant, la plupart des marques utilisent les mêmes composants en interne (a gamme équivalente)..

Vive la concurrence..









OlivierJ a écrit :



En interne les marques effectuent ce travail, j’ai une copine qui a travaillé à la tête du suivi qualité chez Brandt par exemple.





Et bien évidement ça reste en interne..







OlivierJ a écrit :



On a les journaux de consommateurs qui régulièrement font des études ou des sondages sur le sujet.





Oui, mais ça reste très parcellaire et c’est souvent payant !

Pourquoi pas une structure publique à l’échelle européenne?


Le 27/10/2015 à 14h 02







OlivierJ a écrit :



Parfois je te l’accorde ça va probablement trop loin car le consommateur devrait préférer payer disons 30 E de plus pour un joint de porte de frigo qui va tenir 5 ans de plus, mais en principe les fabricants ont un comportement rationnel, et les clients savent que globalement le haut de gamme a tendance à être plus fiable car on mégote moins sur la qualité des composants (exemples typiques : Miele, Mercedes, Leica, ou haut de gamme non allemand aussi bien sûr).





Le seul comportement rationnel qu’ils ont c’est de faire un maximum de bénéfice (entreprises à but lucratif), leurs prêter d’autres intentions tiens juste de la naïveté.

S’ils pouvaient te vendre de la merde au prix de l’or ils le ferrait sans hésiter, la seule chose qui les en empêche c’est la concurrence (encore faut-il que celle-ci soit effective, et que l’offre soit détaillée), et les réglementations imposées sur les marchés (garantie minium par exemple).


Le 27/10/2015 à 13h 49







OlivierJ a écrit :



Eh bien tu serais étonné de l’impact du prix des composants. J’ai bossé avec un fabricant de périphériques pour ordinateurs il y a longtemps, et le moindre franc additionnel au départ se traduisait par quasiment 10 francs de plus sur le prix final pour le consommateur. Donc comme on bosse dans un milieu concurrentiel, on cherche à gratter sur tous les points.





Par quelle magie? Une taxe à 1000%?



Lorsque l’on parle de réduire les coûts, c’est bien souvent du coté du constructeur que c’est significatif. Reporté au prix a l’unité du produit c’est insignifiant (tant qu’il n’y a pas de réel changement de gamme). (voir “Ma chaîne hi-fi sans fusibles” de l’article que tu donnes)


Le 27/10/2015 à 13h 11







OlivierJ a écrit :



Ben oui merci Captain Obvious, c’est une question de prix. C’est toute la question quand tu es un industriel et que tu veux fabriquer des biens qui vont se vendre, plus tu augmentes la qualité des composants, plus ça augmente le prix, et il y a un optimum qui permet de vendre. Et comme plein de gens ne sont pas prêts à mettre 1,5 ou 2 fois plus cher dans un produit, ça ne sert à rien de faire des trucs de super qualité si ça ne se vend pas.





Et ce fameux optimum ce devrait être au demandeur de le choisir (par l’intermédiaire du marché), pas au constructeur.. Mais pour ça il faut qu’il y ai un minimum de transparence pour le demandeur. (ce que les constructeurs ne semblent pas avoir l’intention de faire…)



Si le constructeur fixe lui-même des spécifications (condo de merde) sans les communiquer au demandeur, le jeu de l’offre et de la demande est faussé (le demandeur ne connais que vaguement le produits qu’il achète). Le produit ne répondra donc que partiellement aux exigences du demandeur.



Alors a moins d’avoir une confiance aveugle envers les constructeurs (et que ceux-ci soient honnête et ai une connaissance parfaite des besoins) je ne vois pas comment l’on peut affirmer que les produits actuels correspondent à un quelconque optimum..


Le 27/10/2015 à 12h 50

Oui enfin faudrait pas non plus exagérer, le grand publique n’a pas besoin d’une qualité à toute épreuve.

Pour reprendre l’exemple des composants, un condo de qualité (sans parler d’un truc qui va dans l’espace) ne ferra pas significativement changer le prix d’une TV.

Idem pour le joint de porte de frigo, pas besoin qu’il soit résistant aux radiations des vents solaires, simplement qu’il tienne plus de 5ans… ou qu’il soit aisément remplaçable..

Le 27/10/2015 à 09h 30







darkbeast a écrit :



doubler le prix non mais éviter d’acheter les articles premiers prix si





Suite :

Pour avoir un peu plus de transparence je pense qu’il faut justement mettre la pression sur les constructeurs.

S’il y avait un suivi/contrôle indépendant et sérieux des taux de retour / causes de pannes / taux réparabilité / par constructeurs et par modèles consultable par les clients ça forcerais rapidement les constructeurs a limiter les pratiques douteuses.

Ça ne serait pas simple a mettre en place, mais ça n’a rien d’impossible (commençons par l’électroménager). Et pour une fois ce serait une mesure écologique réaliste, durable et dans l’intérêt du client..


Le 27/10/2015 à 09h 15







darkbeast a écrit :



doubler le prix non mais éviter d’acheter les articles premiers prix si





Acheter un produit plus chère de quelques euros ne me garanti en rien que certaines pièce n’ont pas été sous-dimensionnée, ou que celui-ci sera réparable dans 5ans..


Le 26/10/2015 à 20h 45







darkbeast a écrit :



A tous ceux qui veulent des appareils qui durent 20 ans, vous êtes prêt à payer le prix ?





Payer quelques euros pour un joint de porte de qualité sur un frigo, c’est vraiment trop demandé?



Idem pour les histoires de condos qui claquent, aujourd’hui on sais les produire à bas prix, ceux utilisés dans l’informatique sont d’ailleurs souvent de bonne qualité.



On ne me ferra pas croire qu’il est nécessaire de doubler le prix pour gagner significativement en durée de vie.<img data-src=" />







dapoussin a écrit :



Peut-être parce que l’obsolescence programmée n’existe pas… du moins à grande échelle. Ca doit bien exister dans quelques boites peu scrupuleuses, mais n’importe quelle entreprise digne de ce nom privilégiera la qualité.





Les boîtes aux pratiques peut scrupuleuses à grande échelle ça n’est pas nouveau et ça existe.

C’est sûre que tant que le délit obsolescence n’est pas défini et qu’il n’y a pas de contrôles elles ne risquent pas de se faire attraper..


Le 26/10/2015 à 16h 08

Pff les frigo c’est une vrai honte.



Si tu tapes dans le bas de gamme tu peux être certain que le joint de porte se détériorera dans les 5ans.. Sans pièces de rechange évidement..

Le 26/10/2015 à 16h 02







renaud07 a écrit :



Tout ce qui ne dure pas minimum 5 ans devrait entrer dans le cas de l’OP. Et pour certains appareils comme électroménager, je dirais 10 ans.





En encore, je me demande si l’on ne peut pas doubler, voir tripler ces valeurs.



Je me souviens avoir visité une usine qui faisaient des contacteurs/interrupteurs à destination de l’aéronautique. Ils nous disaient fièrement qu’ils avaient des durée de vie 100 à 10000 fois supérieur comparé aux contacteurs/interrupteurs destinés au grand publique.



C’est sans doute pas le même prix, mais ça montre bien qu’il est tout a fait possible d’exiger des fabricants une amélioration de la durée de vie de l’électronique..



Edit: Des trucs comme ça


Le 23/10/2015 à 12h 22

Merci !

Je viens de trouver mon prochain smartPhone!

Le 22/10/2015 à 14h 51

Je comprend pas trop comment ça marche d’une manière générale?

Si je vend des pommes contre les poires (et inversement) il y a application de la TVA, mais si je vend des bitcoin contre des euros (et inversement) ça ne s’applique pas c’est bien ça?

Dans le premier cas il y a marchandise, alors que dans le second il n’y a que du service?

Le 22/10/2015 à 12h 26







Niktareum a écrit :



Dans certaines familles, ce genre de pubs ont vraiment vocation a eduquer….

Mais bon, je fais ma langue de pute !





Je vois ce que tu veux dire, mais par extension ça laisse les publicitaires de l’agroalimentaire faire l’éducation alimentaire des enfants les moins privilégiés (en terme d’éducation).

Hors les industriels n’en ont rien à foutre que les gens mangent sainement, ils veulent avant tout que tu consommes leurs propres produits.

L’argument du “manger sainement” n’est repris par les industriels que lorsque ça leur est imposé ou qu’il peuvent en tirer un argument publicitaire.



Ils n’ont d’ailleurs aucun intérêt à ce que l’on mange sainement puisque les plus gros succès commerciaux sont rarement des produits saints (pâte à tartiner, sodas, chips, céréales petit déjeuné, biscuits, gâteaux, bonbons, plats préparés etc..).


Le 22/10/2015 à 11h 32







Niktareum a écrit :



Les enfants doivent bien se nourrir donc pub poru yaourt, yop, produit laitiers, jus de fruits, compotes etc…





Et c’est évidement à la pub de faire ce travail d’éducation a l’alimentation..

De plus, c’est bien connu, ce sont les enfants qui font les courses, il est donc indispensable que ceux-ci soient bien informés des produits disponibles sur le marché.<img data-src=" />


Le 22/10/2015 à 10h 16

C’est pour ça que je demande une source, si le lien n’a pas été démontré c’est bien qu’il y a une étude derrière?

Le 22/10/2015 à 10h 13







Daew a écrit :



Et le coup du lien entre écran et obésité c’est mignon, mais je vois pas le rapport avec la pub.





Pub de d’industrie agroalimentaire =&gt; incitation a consommer des produits la plupart du temps gras et/ou sucré =&gt; obésité

Mais apparemment le lien n’est pas démontré.

M’enfin quand ça touche à l’industrie agroalimentaire il faut se méfier des énormes lobby qui sont derrière.

Ils sont prêt à tout pour conserver leurs intérêts.







Daew a écrit :



Les gamins regardent les programmes, pas la pub…





<img data-src=" />


Le 22/10/2015 à 09h 05

Tiens d’ailleurs, pour les parents (et grand curieux) qui ne sont pas au courant, c’est pas sorcier s’est remonté sur le web sous le nom de l’esprit sorcier.

Ça change un peu des chti.. et c’est sans pub..

Le 22/10/2015 à 08h 42



L’obésité infantile n’a pas reculé là où la publicité destinée aux enfants a été interdite.



Source?

Il y a eu des essais de suppression de la pub de la TV pour les enfants en France?

Le 21/10/2015 à 14h 39







Galoo a écrit :



Je ne vois aucun problème à ce que le gagne-pain des artistes soit protégé, et il l’a d’ailleurs toujours été, l’infraction de contrefaçon existant depuis belle lurette et dont la nature d’infraction pénale de base assurait le traitement égal (personnalisation de la peine tout ça). C’était peut-être long et fastidieux pour les ayants droits, mais c’était équilibré d’un point de vue juridique et ça faisait aussi peur à l’internaute moyen. Les affaires qui voyaient le jour démantelaient des réseaux entiers de piratage d’œuvres plutôt que de sanctionner, comme HADOPI dans certains cas, le mec qui en téléchargeant un MP3, peut-être par curiosité, a fait perdre 1€ à Universal Music qui a connu une variation de patrimoine positif de près de 2% entre 2013 et 2014.





A la différence qu’a l’origine, il s’agissait de protéger les artistes des entreprises (type radio , maison de disque etc..) pour s’assurer que celles-ci reversent bien une part à l’artiste.



Depuis, il y a eu un changement de paradigme (naissance des ayants-droits). Maintenant, il s’agit de protéger les artistes de leurs public..


Le 21/10/2015 à 14h 17







Faith a écrit :



L’argument est donnée: qu’il y en ait beaucoup ou peu, ceux qui veulent affirmer que c’est un échec trouve un moyen de présenter les choses comme un échec (tout comme ceux qui veulent prouver que c’est une réussite)   

Pour info, je suis le sujet depuis 20052006 avec la DADVSI. J’ai été un des rares à manifester (en vrai, hein, pas derrière mon clavier) pour exiger l’intervention d’un juge. 

En 2006, notre communauté était encore raisonnable, mais chaque année depuis 2006, la communauté devient de plus en plus stupide. 

On a pu assister à toutes les phases:  




  • avant le lancement =&gt; “encore un report ! ridicule ! il n’y aura jamais le moindre mail envoyé !”

  • après quelques mail =&gt; “seulement 1000 mails ! ridicule ! il n’y aura jamais le moindre recommandé envoyé !“ 

  • après recommandés mail =&gt; “seulement 50 recommandés ! ridicule ! il n’y aura jamais la moindre transmission au parquet !“ 

  • après quelques transmissions au parquet =&gt; “seulement 10 transmissions ! ridicule ! il n’y aura jamais la moindre condamnation !“ 

  • après quelques condamnations =&gt; =&gt; =&gt; c’est aujourd’hui: les ânes trouvent un autre moyen de se moquer. 



    Hadopi, ça passe par un juge, ce n’est plus la sanction automatique et injuste prévue au départ =&gt; ça respecte la constitution.





    Hadopi, ça calme bon nombre de partageurs du dimanche. Pas par la simple peur de recevoir un mail, mais APRES avoir reçu le mail. C’est ça le principe de la pédagogie. 

    Moi même, après le premier mail, j’ai levé le pied pendant 6 mois.

     

    Hadopi, au final, c’est une version propre et respectueuse de nos habitudes, à mille lieues de ce qui avait été prévu au départ. Ca nous laisse une marge de tolérance énorme, tout en luttant contre la trop grande généralisation du piratage.



    Soyons sérieux un peu: nous savons tous que le piratage légalisé causerait un grand tort aux grosses productions, c’est à dire justement celles qui sont partagées ET surveillées. 

    Hadopi est un mal nécessaire (et encore, pas un mal bien méchant)





    Répression à deux vitesses, les “connaisseurs” passent entre les mailles du filet, et le seul moyen de contrôle de Mr tout le monde c’est par la peur du gendarme.. (faute d’être capable de réformer la diffusion des œuvres ou d’être capable de mettre en place une plateforme complète, uniforme et accessible)

    Protection des artistes à deux vitesses, les “banquable” sont “protégés” leurs œuvres sont surveillées (par le contribuable), tandis que les petits artistes doivent trouver des moyens de gérer ça par eux-même.

    L’égalité à deux vitesses à la Française… un mal nécessaire.<img data-src=" />


Le 21/10/2015 à 14h 32

Oui, mais les pauvres sont des voleurs, la preuve : ils sont pauvres..

Le 21/10/2015 à 12h 43







js2082 a écrit :



Mêmes causes, mêmes effets, à croire que certains ne veulent pas apprendre de leurs erreurs passées.





Oui sont chiants ces visiteurs à ne pas se soumettre à la pub.

Quand comprendront-ils enfin que la pub c’est bon pour la croissance et que la croissance c’est bon pour eux?


Le 21/10/2015 à 12h 07







KMD55 a écrit :



Je ne vois pas l’intérêt pour les publicitaires.





Principe de répétition.

Même si le message n’est que partiellement transmis, à partir du moment ou t’as réussi à placer un logo/slogan/gimmick etc.. c’est quand même valable (publicitairement parlant).


Le 21/10/2015 à 11h 57

Reste les contenus spécialement dédié à une vidéo, ça ne me choque pas que youtube, arte+7, daylimotion ou un autre lancent leurs vidéos en automatique.



En tout cas la lecture automatique des vidéo de LIDD je ne serais pas contre, là pour le coup je trouve que ça a sa place (tant que l’onglet est actif)

Lorsque l’on est sur une page dédié comme içi :http://www.lidd.fr/lidd/19744-comment-boire-vrai-cafe et que l’onglet est actif, je trouverai ça plutôt appréciable que ça se lance automatiquement (exemple).



Edit: en gros il manque “Oui, si le contenu est dédié à cette vidéo”

Le 21/10/2015 à 11h 47

Ya aussi le problèmes des vidéos ajoutées en début ou en fin d’article qui se lancent toute seule et qui n’ont rien a voir avec le contenu de l’article en question..

Le 20/10/2015 à 13h 38

Depuis quand Facebook se limite à collecter des infos seulement via ce que tu postes?



Lorsque tu te ballade sur un site sur lequel il y a un bouton facebook (autrement dit 95% des sites), facebook est alors au courant de ta navigation. Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autre…



Aujourd’hui, je pense que le plus grand risque avec facebook (mais c’est pareil pour GAFA) c’est cette fausse sensation de contrôle des infos.

La plupart des infos perso qu’ils détiennent doivent d’avantage être issu d’un comportement “involontaire” que “volontaire” de l’utilisateur.



Et estimons nous heureux qu’il n’y ai encore que peu de croisements de bases et que la puissance des machines/algo ne permette de pas encore un profilage trop précis..

Le 20/10/2015 à 13h 24







yyouf a écrit :



D’autre part, je trouve ça tellement présomptueux de penser que les état en ont quelque chose à foutre de notre petite vie insignifiante à l’échelle planétaire…





Au contraire, l’erreur c’est de croire que ça ne les intéressent pas..


Le 19/10/2015 à 07h 03

Il y a aussi des suggestions lorsque l’on est pas connecté au store avec un compte?

Le 16/10/2015 à 15h 56







Bejarid a écrit :



Si les préteurs n’ont pas “d’interêt” à preter, ils ne preteront plus.C’est à dire qu’on quitte la capitalisme (puisqu’il n’y aura plus de mouvement de capital) et qu’on passe au communisme.





Bha ça dépend ce que tu appels communisme, pour celui qui à été mis en place, c’était surtout du capitalisme d’état mais ça restait bien du capitalisme.<img data-src=" />

fr.wikipedia.org Wikipedia







Bejarid a écrit :



Si les préteurs n’ont pas “d’interêt” à preter, ils ne preteront plus. C’est à dire qu’on quitte la capitalisme (puisqu’il n’y aura plus de mouvement de capital) et qu’on passe au communisme.





Il y a d’autre formes d’intérêt que la spoliation…

-L’intérêt social : si je te prêtes de l’argent pour devenir boulanger, une fois que tu m’auras remboursé (sans intérêt) je pourrais t’acheter du pain, je peux donc bien y trouver un intérêt sans pour autant avoir du pain gratuitement.

Mais cet aspect là on l’oublie vite..



-Si je ne prêtes pas (et que je n’en ai pas l’usage), ceux qui en ont vraiment besoin vont venir me déposséder de force, j’ai donc tout intérêt a prêter le plus possible.


Le 16/10/2015 à 14h 35







Faith a écrit :



C’est vrai.  Mais c’est une phrase qui n’a pas de sens si on ne s’intéresse pas à la constitution de leur patrimoine. 

Il est composé de: 




  • cash et or pour une faible part de leur patrimoine =&gt; Valeur effectivement partageable.

  • prêts (obligations d’état, d’entreprises, prêts directs) =&gt; cet argent, ils l’ont déjà donné (enfin prêté) à des entreprises/états pour que ceux-ci puissent payer leurs employés/fonctionnaires/citoyens, bref, c’est déjà retourné dans notre poche.





    Bha non pas vraiment non.<img data-src=" />

    Si je te prête ma voiture celle-ci ne t’appartient pas, c’est mensonger de dire ça, si tu en a effectivement l’usage immédiat, ça n’en fait pas pour autant de toi le propriétaire de celle-ci.<img data-src=" />







    Faith a écrit :



    C’est vrai. Mais c’est une phrase qui n’a pas de sens si on ne s’intéresse pas à la constitution de leur patrimoine.

    Il est composé de:

  • cash et or pour une faible part de leur patrimoine =&gt; Valeur effectivement partageable.

  • prêts (obligations d’état, d’entreprises, prêts directs) =&gt; cet argent, ils l’ont déjà donné (enfin prêté) à des entreprises/états pour que ceux-ci puissent payer leurs employés/fonctionnaires/citoyens, bref, c’est déjà retourné dans notre poche.





    Tu fais bien de reprendre le terme ils ne donnent rien du tout ils prêtent. Et dans un prêt il y a un intérêt.

    Le prêteur s’attend donc à récupérer sa somme (en fin de compte) plus un intérêt.



    1)Rien ne justifie le prêt a intérêt, c’est de l’usure déguisée (seul les frais de gestion sont justifiables).

    On parle “d’usure acceptable”. Reste à déterminer à quel point on la veut profond..

    2)Une fois le prêt remboursé ils peuvent faire un prêt encore plus gros (effet boule de neige).

    3)L’intérêt est une spoliation du travailleur, le préteur gagne de l’argent (intérêt) à ne rien faire (contraire à la méritocratie tant ventée par le capitalisme).



    Rien que le fait de remettre en cause le principe d’intérêt permet d’éviter la spoliation (et la concentration) des nouvelles richesses crées (faute de pouvoir redistribuer celles existantes) par les “primo-possédants”.


Le 16/10/2015 à 07h 06

Comme pour les gains de jeux. Pourtant il n’y a pas de contrepartie en cas de perte…

De plus, cette mesure est censée être “exceptionnelle et temporaire”.<img data-src=" />

Le 15/10/2015 à 14h 48

Rien que le fait d’être couvert en parti est totalement injustifiable.

Le 15/10/2015 à 14h 41







Faith a écrit :



Bon, je pense qu’il est inutile de continuer. 

Amusez vous bien.





Rhoo si on peut plus troller.<img data-src=" />


Le 15/10/2015 à 14h 16

Et alors?

Le risque est couvert par l’état, si l’investisseur perd de l’argent au cours d’un investissement mal géré l’état lui fera gentiment une petite ristourne sur sa prochaine fiche d’impôt.

Le 15/10/2015 à 13h 59







Faith a écrit :



Le faible gain dont tu parles (et qui se réduit) est un gain court terme.





Et un gain a court terme, donne forcément un plus gros gain à long terme (puisqu’il peut-être réinvesti). Combien et pendant combien de temps des dirigeants ont profité de cette “faille”? A croire que l’on ne s’en serait pas rendu compte avant..

Bien que le gain soit faible il est (était surtout) bien là, et je ne doute pas que rien n’est été réclamé rétroactivement..


Le 15/10/2015 à 13h 54







PtaH a écrit :



Quand je vois des gars ici se plaindre de la répartition des richesses, bien au chaud chez eux, en tappotant sur l’un de leurs nombreux appareils multimédia…





C’est un peut comme l’histoire du con, on est tous le riche de quelqu’un d’autre.<img data-src=" />



Cependant, je préfère voir des gens s’en plaindre et critiquer cet état de fait plutôt que d’en faire un idéal ou d’y être indifférent..<img data-src=" />


Le 15/10/2015 à 13h 10



A. Avantages des dividendes

l’imposition des dividendes est plus légère : le dirigeant bénéficie à titre personnel d’un abattement de 40% avant imposition à l’impôt sur le revenu



http://www.lecoindesentrepreneurs.fr/imposition-des-dividendes/

ça a peut-être été ajusté depuis?



Edit: D’après ce que j’ai compris, c’était plus valable avant 2012, mais petit à petit les réformes “réduisent” les avantages des dividendes (et c’est normal).

Le 15/10/2015 à 13h 02







Faith a écrit :



Un point à ajouter sur le dividende: il s’agit parfois du principal mode de rémunération des fondateurs de la boite ils ne peuvent pas se permettre de se payer un salaire (qui mettrait en péril l’entreprise), et optent donc pour le versement éventuel de dividendes (il faut que la société génère du bénéfice).





Mhhh…

Les dividendes permettent tout simplement de payer moins d’impôts (rabattement). C’est juste une magouille de plus pour ne pas cotiser, rien à voir avec une hypothétique mise en péril de la boîte..<img data-src=" />


Le 16/10/2015 à 11h 37

Merci.<img data-src=" />

Le 16/10/2015 à 08h 56

Ok, mais du coup quel est l’intérêt par rapport à un terminal de paiement classique?

C’est moins chère pour le commerçant?

Le 16/10/2015 à 08h 03

Je comprend pas comment ce genre de solutions peuvent percer.<img data-src=" />



Si je veux payer par carte sur un terminal mobile je saisi mon numéro de carte… terminé..

Pourquoi ajouter un lecteur de carte?

C’est pour s’éviter la saisie du numéro de carte?

Le 16/10/2015 à 07h 52







j-c_32 a écrit :









A vrai dire t’as raison, c’est pas si simple que ça.

J’ai fait quelques recherches, et tout ce que l’on peut conclure c’est qu’il y a un manque fragrant d’études des rôles et des répercutions économiques de la publicité!



Le seul postulat semble être que celle-ci participe à la croissance (puisqu’elle stimule la consommation) mais savoir s’il y a une répercutions positive/négative sur les prix pour le consommateur pour un produit donné semble beaucoup moins évident..


Le 15/10/2015 à 14h 09







j-c_32 a écrit :



En effet:

 sans publicité:

 année 1: prix 10 euros

 année 2: prix 9 euros

 année 3: prix 8 euros

 année 4: prix 7 euros

 année 5: prix 6 euros

 année 6: prix 5 euros

Le consommateur paie 1 produit tout les ans, total: 45 euros

 avec publicité:

 année 1: prix 10 euros

 année 2: prix 8 euros

 année 3: prix 6 euros

 année 4: prix 5 euros

 année 5: prix 5 euros

 année 6: prix 5 euros

Le consommateur paie 1 produit tout les ans, total: 39 euros





Tu as juste oublié de retirer le prix de la pub dans le prix du produit.<img data-src=" />

A bénéfice égale, la marge ne devrais pas être la même.

Si l’on considère que la pub coute 1€ par produit, dans le premier cas il faut retirer 6x1€ on arrive donc sur un prix final de 39€ <img data-src=" />

Bref, l’exemple ne sert pas à grand chose, les chiffres sont trop arbitraires.<img data-src=" />



Je comprend l’idée que tu évoques, et c’est peut-être vrai tant que le marché n’est pas “mature”, mais une fois celui-ci mature (pas de variation significative de qualité/prix a attendre comme pour la lessive) je ne vois vraiment pas où le client peut encore y trouver un intérêt économique?



Edit: Surtout dans ce cas…


Le 15/10/2015 à 10h 15







j-c_32 a écrit :



Pour le cas 1:

Non, le concurrent ne va pas rien faire: soit il a les reins assez solide et contre-attaque, soit il abandonne.

Et c’est là l’astuce: tout les petits producteurs abandonnent.

Tu

passes d’un cas (sans pub) où tu autorises une situation où tu as 1’000

marques de lessives (chacun se concentrant à 3-4 sur une seule région)

à

un cas où tu as ~10 marques de lessive, mais qui ont une production

100x plus élevées, et cela a un impact sur le coût, même s’ils se font

une guerre de publicité.





Oui, sauf que cette concentration des acteurs bien qu’elle soit favorisée par la publicité n’est pas inhérente à celle-ci.

C’est d’avantage le contexte économique et la situation de concurrence qui concentre le marché (et réduit les coûts).

Dans l’absolu, la pub ne fait qu’accélérer ce processus, mais n’en est pas la source.

Si l’on prend les agriculteurs, la concentration des exploitations n’est pas vraiment dû à la pub qu’ils font..


Le 14/10/2015 à 12h 15







j-c_32 a écrit :



Pourtant, l’exemple donné PROUVE qu’on peut avoir une situation où le consommateur ne paie RIEN de plus, simplement parce que TOUTE la pub est payée par le gain en part de marché.

Le gain en part de marché permet aussi de vendre moins cher, car on produit plus.



 Déjà une partie des frais de production n’est pas proportionnel au nombre produit (la preuve: lorsque 2 entreprises fusionnent, c’est habituellement suivi de licenciements):

si je dois payer X euros peu importe la production et que je vends 10 produits, je dois les vendre Y+(X/10), tandis que si je vends 100 produits, je dois les vendre Y+(X/100). En pratique, je les vends Y+(X/50), c-à-d que je diminue le prix TOUT en augmentant mes bénéfices.

 

Mais ensuite, l’entreprise a tout intérêt à baisser ses prix, car ça empêche à un nouvel acteur de rentrer sur le marché:

le nouvel arrivant a du emprunter de l’argent pour son entreprise, et doit rembourser cet argent, et doit prendre des parts de marché. si l’acteur principal a une grande part de marché, non seulement le produit lui coutera moins cher à produire, mais en plus il pourra se permettre de gagner moins sur chaque vente tout en gagnant au total plus.



Donc, c’est faux de dire que la pub ne permet pas de faire diminuer les prix.

Si MacDo est si peu cher, c’est parce qu’ils économisent énormément d’argent vu qu’ils produisent en gros.

Si ce n’est pas le cas, prouve le moi en créant une entreprise qui concurrence avec succès MacDo (et évidemment, n’hésite pas à utiliser des ingrédients tout aussi mauvais, cela ne changera rien).

La publicité permet à MacDo de gagner et conserver les parts de marché, et donc de vendre à bas prix.



Cela ne veut pas dire que la pub, c’est bien (au contraire, je dis que c’est très mauvais pour les petites entreprises). Je dis juste que dire que le problème est juste que le consommateur paie plus est faux. Le consommateur ne paie pas forcément plus, parfois, il paie moins grâce à la pub (et c’est la diminution des frais de production et le gain en part de marché qui le paie)







Les prix de production n’est pas dépendant de la pub, mais du volume de production/part de marché comme tu dis.

Si la pub permet effectivement d’augmenter la part de marché (et donc de pouvoir faire des économies d’échelle) elle ne permet en aucun cas de faire faire des économies au client, je m’explique:



Je vais me placer dans un contexte général de publicité (pour un marché déjà établi): la lessive.

S’ils vendent plus avec de la pub c’est pour deux raisons :

1)Soit ils piquent des parts de marché aux concurrents

Mais attention, il ne faut pas croire que le concurrent va se laisser faire, il va donc à son tour faire une campagne de pub etc.. etc..

Dans ce cas c’est bien le client qui finance la guéguerre publicitaire interminable entre les concurrents (combien de millions de dépensé en pub pour la lessive depuis le temps ?).



2)Soit le client achète plus que “nécessaire” sous la pression psychologique de la pub (client qui n’aurait pas non plus fait l’achat même chez un concurrent s’il n’avait pas vu la pub) avec une promo par lot par exemple.

Le client “surconsomme” il dépense donc plus que s’il n’avait pas vu la pub… C’est une extension artificielle du marché, si le client paie le produit moins chère à l’unité c’est uniquement parce qu’il en achète plus (globalement)..



Donc ni dans un cas, ni dans l’autre la pub ne fait faire d’économie au client..

En même temps ça ferrait longtemps que les industriels arrêterais de faire de la pub si le client dépensais moins (globalement).<img data-src=" />


Le 13/10/2015 à 15h 11

Tout à fait d’accord, je ne dit pas que je comprend ce choix à long terme, seulement que compte tenu du marché je comprend les éditeurs à court/moyen terme.

Pas facile de se démarquer avec un business modèle à priori moins attractif et accessible de paiement directe.

Le 13/10/2015 à 15h 04







j-c_32 a écrit :



En pratique, c’est plus compliqué que ça.





Non <img data-src=" />





j-c_32 a écrit :



La pub de A lui a fait augmenter son bénéfice de 100 à 110 euros, alors que le consommateur a dépensé exactement la même chose.

Celui qui a payé la pub, c’est le concurrent, qui n’a plus fait qu’un bénéfice de 40 euros.





Ça ne démontre rien du tout à part montrer que les entreprises font de la pub et que la pub permet de récupérer les parts de marché du voisin.

Dans les deux cas c’est le consommateur qui paie, que ce soit chez A ou B.



Si A et B faisaient moins de pub, ils pourraient réduire leurs marges (but de la concurrence) et dans ce cas le client final paierait ses pâtes moins de 10€…


Le 13/10/2015 à 13h 23







wanou2 a écrit :



Je ne trouve pas ça complètement choquant, si tu veux bénéficier d’un contenu qui a un coût (serveurs, salariés, …) tu dois payer et le site t’offre deux solutions

on paie pour toi (la publicité)tu paie toi même (la publicité)

tu paie toi même (l’abonnement)



C’est pas comme les sites qui imposent forcément de la publicité, chez Bild on a le choix !





Il ne faudrait quand même pas oublier qu’au final, la publicité, c’est le client qui la paie dans les produits qu’il achète.



Si je peux comprendre pour un éditeur l’intérêt de fournir les deux modes de financement (direct ou indirecte via la pub). Pour un client il est grand temps qu’il comprenne que le financement par la pub lui coute plus chère que le financement directe (Il faut payer les intermédiaires, et en plus supporter la pub et le tracking associé).