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fred42

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Bio

Je n'ai rien à cacher, mais ce n'est pas une raison pour m'exposer.

Le 42 n'est ni mon âge, ni mon année de naissance, ni mon département.

18368 commentaires

Le 16/10/2024 à 13h 43

La fin de toute les mises à jour.

Sauf pour les entreprises qui paieront un service spécial.

Le 16/10/2024 à 11h 47

Un admirateur d'ExperimentBoy ? :fumer:
Drôle de réaction. Il est interdit d'avoir un avis sans être juge comme tu dis ?
Il est condamné pour corruption de mineur.
Article 227-22 : puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende
vs
2 ans de sursis

Même question que lui ; quelle aurait été la condamnation appropriée ?

Nota : je ne connais pas cet individu.
Nota 2 : Du sursis lors d'une première condamnation, c'est très courant. Les 5 ans étant la peine maximale, là aussi, c'est assez fréquent d'avoir une peine plus faible en cas de première condamnation.

Nota 3 : Le parquet avait réclamé 10 mois avec sursis.

Le 16/10/2024 à 11h 34

On est surtout trop endetté. Comme les gens ne veulent pas d'impôts en plus, on supprime des dépenses.

Le 16/10/2024 à 11h 16

La différence essentielle est que sur les BBS, tu téléphones directement aux serveurs. Alors qu'avec Usenet, c'est internet : tu téléphone à ton FAI, puis les paquets sont routés par IP.

Usenet (1979) a commencé avec le protocole UUCP (sur ligne téléphonique avec modem) qui ne nécessitait pas d'avoir Internet.
NNTP n'est arrivé qu'en 1986.

Le 16/10/2024 à 11h 01

C'est juste pour dire que leur travail est bien protégé par la loi sur le Copyright.

Le 16/10/2024 à 10h 59

la lettre des avocats du journal accuse Perplexity d'utiliser son contenu, notamment pour créer des résumés et d'autres résultats, et donc de violer ses droits en vertu de la loi sur le Copyright.
Je suis perplexe !

Créer des résumés ne serait pas du fair use ? Un résumé transforme assez fortement un texte. Pour les "autres résultats", j'ai du mal à avoir un avis. :D

Le 15/10/2024 à 09h 36

Pour les terminaux Android, ça se termine avec Google Family sur chaque terminal,
=> Donc un compte pour l'enfant obligatoire , tracké par google qui peux ainsi construire son réseau relationnel.... Faut que ce soit un choix conscient & assumé des parents & de l'enfant.

Perso j'utilise une appli opensource qui impose les règles sans besoin de réseau (encore moins de compte) avec un appareil Lineage dé-googlisé , mais qui est capable de faire ça , et surtout c'est pas du tout répandu à la vente , même en reconditionné..

Pour moi Google Family c'est un piège (je connais pas les technique Apple, je suppose que c'est +/- équivalent).

Ceci dit, tu proposes quoi ?

Le 14/10/2024 à 12h 48

Concept intéressant: la police ne peut pas quadriller tout le territoire 24/24h, donc elle ne sert à rien.

Et donc ?
Je te laisse à ton imagination.
Exemple: les banques mettent des règles spécifiques pour les CB de mineurs.

Depuis quand la police a recommencé à quadriller le territoire ? On a remis en place la police de proximité ? La police fait la loi dans les territoires de deal ?

Je ne serais pas loin de dire qu'effectivement, elle n'est pas efficace. Et on pourrait dire la même chose du contrôle de majorité par CB, même si celui-ci serait probablement plus efficace que notre police.

Mais en fait, le problème de ce moyen provisoire qui ne doit durer que 3 mois dans 3 mois, c'est justement qu'il a une très faible durée, va nécessiter un développement jetable et qu'il ne sera pas complètement efficace.
Personnellement, j'aurais attendu les 6 mois pour une vérification d'âge plus conforme au RGPD. On n'est plus à 3 mois près vu l'ancienneté du problème de l'accès des mineurs à la pornographie et l'autre solution existante : le contrôle parental sur tous les terminaux vendus.

Le 14/10/2024 à 12h 37

Ca veut dire avoir une fonctionnalité ou application dédiée sur le périphérique qui contrôle l'âge, peut être via une CNI ou une CB et que cette appli délivre un jeton qui sera transféré au site ou à l'application qui demande un contrôle d'âge. Ca permet d'avoir une interaction "transparente".

Le service, par exemple X, demande un jeton pour valider que l'utilisateur a bien l'âge requis pour l'accès à ses services (le détail ou la nature de ce service n'a pas besoin d'être donné à l'app de vérification), l'app de vérification génère un jeton de validation grâce à un élément qui permet de vérifier cette info, le service reçois l'autorisation et donc donne accès au service.

Maintenant, en quoi consisterait cette application ou ce service de confiance qui ne ferait que recevoir une demande de vérification d'âge et qui ne stockerait pas d'informations sensibles et serait totalement hermétique à ce que tu consultes, c'est encore autre chose.

Donc, à la lecture de ton dernier paragraphe, ça veut dire : rien de réalisable.
Le point le plus complexe étant de faire savoir à cette application que l'utilisateur est mineur. Il serait facile que les parents ou assimilés des mineurs indique cela à l'application via la date de naissance, mais dans ce cas, un contrôle parental suffit et ça tombe bien, la loi française impose qu'il soit préinstallé sur les terminaux, il ne reste aux parents qu'à prendre leurs responsabilités et l'activer.

Ça ne réglera pas tous les problèmes : marché gris de revente de terminal configuré sans contrôle parental par exemple ou parent qui ne prend pas ses responsabilités au sérieux, mais une appli de ce type qui dit que l'utilisateur est mineur ne le fera pas mieux.

Le 13/10/2024 à 12h 43

C'est la loi qui ne va pas.
Au lieu de matraquer les sites, ils feraient bien de changer la loi pour interdire purement l'accès aux sites X aux ados, comme on leur interdit d'acheter de l'alcool, comme on leur interdit de conduire, évidemment il y a toujours des dérives, et des moyens de contournement..

Je ne sais pas comment fonctionne réellement le contrôle parental sur les objets connectés, si c'est quelque chose facile à contourner, parce que les ados sont doués avec la technologie (souvent bien + que les parents).

Mais hélas en évitant les biais cognitifs en tout genre, on se rend bien compte qu'aucune loi ne sera parfaite, et toujours possible d'être contournée...

Au lieu de refaire le débat fait ici maintes fois, allez donc lire les nombreux articles sur le sujet écrits sur Next et aussi sur la version précédente du site Next INpact (les articles ont été récupérés sur ce site). Lisez aussi les commentaires et bon courage, il y en a souvent beaucoup.

Mais de grâce, éviter d'inventer un état policier où tout est surveillé alors que la responsabilité première appartient aux parents. Et non, les ado actuels ne sont pas doués avec la technologie, ils savent utiliser un smartphone avec quelques applications, aller sur les réseaux sociaux, mais ils sont beaucoup moins doués que les générations précédentes, dont celle de leur parents.

Un Internet façon Chine ou Russie, aucun pays démocratique n'en veut vraiment.

Le 12/10/2024 à 09h 16

Non, pas durée indéfinie. C'est juste 3 mois.
Mais d'accord avec toi pour le reste.

Et c'est idiot cette période transitoire : on n'est plus à 3 mois près.

Le 14/10/2024 à 15h 37

@SebGF l'a déjà signalé.

Je ne comprenais pas trop le problème de par mon utilisation du site.

Je garde souvent la page d'accueil longtemps ouverte et comme mon navigateur rouvre les fenêtres et onglets qui étaient ouverts à la fermeture, je devrais avoir le même problème que vous.

Et effectivement, en regardant l'onglet où la page d'accueil était ouvert, j'ai vu une URL de ce type.

Maintenant, voilà pourquoi ça ne me gène pas : parce que je mets à jour cet onglet non pas par F5 ou autre CTRL-R, mais en cliquant sur le NEXT en haut à gauche de la page et ça remet l'url next.ink Next

Donc, en faisant ainsi, vous n'aurez pas de problème non plus...

Le 14/10/2024 à 15h 19

Ce n'est pas le substantif "fork" mais le verbe « forker » (d'où les guillemets) qui est conjugué.

Et pour remonter les erreurs, il y a une fonction sur le site, même sur mobile, surtout quand on fait des bisous.

Le 14/10/2024 à 13h 53

Matt se justifie en s'appuyant sur le point 18 des guidelines des plugin de WP.

Mais il a oublié de prendre en compte la dernière ligne de ce point :
In return, we promise to use those rights sparingly and with as much respect as possible for both end users and developers.

Le 14/10/2024 à 15h 14

Bordel... J'avais écrit un pavé, je cherchais des sources, le js de NEXT a réinitialisé le commentaire. Sérieusement ? Je suppose que c'est un bug ?
Bref.

En plus court du coup.
Logiciel libre = TOUT le monde a accès à TOUT le code. Y COMPRIS ET SURTOUT les évolutions (bonnes comme mauvaises d'ailleurs ^^).
- Tu veux apprendre à coder ? Tu peux étudier ce logiciel parmi d'autres pour confronter ta compréhension et ton savoir-faire.
- Tu as besoin d'une évolution, les devs "d'origine"

Logiciel open source = à n'importe quel moment, quiconque peut décider de réserver ses modifications à une version propriétaire et obfusquée. Ce qui est le cas le plus courant.

=> Perte de culture commune (puisque les autres n'ont plus accès à tes évolutions).
=> Perte de souveraineté (puisque l'utilisateur n'a plus la maîtrise du code et devient complètement dépendant de l'éditeur ayant publié ces évolutions, ou son format : si l'éditeur refuse une évol, ou se casse la gueule, tu peux juste pleurer et repartir de la dernière version publique qui aura potentiellement plusieurs années de retard).

On peut y rajouter perte d'efficacité au niveau sociétal puisque différents éditeurs ou utilisateurs vont faire leurs correctifs ou évolutions dans leur coin sans reverser puisque a) ça demande un minimum d'effort et de qualité b) ce n'est pas requis par les "licences libres" les mal nommées.

Parmi les nombreux exemples de dérives auxquelles on a abouti pour avoir laissé la confusion s'installer et la mentalité de rapiat s'installer...

- Le scandale de l'outil Log4j maintenu par deux gus dans un garage sans vrai budget alors que l'outil est utilisé plus que largement à travers le monde (on pourrait aussi évoquer OpenSSh qui de mémoire a fait mini-scandale il y a quelques années pour cause de faille critique, alors que le nombre de sociétés qui y contribuent se compte sur les doigts des deux mains).

- Le scandale Microsoft Word avec le format OpenXML qui n'a plus de standard que le nom (version initiale standardisée, extensions propriétaires rajoutées).

- Le scandale Atlassian dont la licence commerciale était techniquement open source (vous aimiez la version on-premises ? Elle nous rapporte pas assez. Maintenant vous n'aurez que du cloud).

- Le scandale Adobe (arf, notre licence propriétaire nous autorise désormais à exploiter vos données pour notre profit, ah, vous connaissez que nos solutions avec code et format propriétaires, oooh comme c'est dommage).

Pour le dire autrement : dans un monde où les décideurs seraient majoritairement des gens intelligents, cultivés et réfléchis, le modèle open source comme modèle à promouvoir irait parfaitement car l'appropriation serait réservée aux cas réellement critiques (type secret défense). Actuellement, ça nourrit juste en majorité les pires dérives du capitalisme et ça fait collectivement perdre une thune et un temps de dingue.

D'ailleurs tu noteras que les pages "Licence libre" et l'associée "Licences logiciels" ont été créées fin 2018 ce qui est extrêmement tardif. Si tu cherches de vieux articles français ou anglais datant de max 2010 tu pourras constater que personne ne faisait cette confusion "licence libre = licence open source" comme le présente le schéma de ces pages.

C'est précisément parce que plusieurs entreprises privées dont certaines françaises (je citerai pas de nom en public mais je pourrais te donner une demi-douzaine d'exemples en privé) avaient besoin de cette confusion pour pouvoir promouvoir leurs solutions non-libres au moment où une première prise de conscience des enjeux de l'usage du logiciel libre se faisait ressentir chez les utilisateurs finaux (notamment les administrations publiques).

La différence de vue entre la licence GPL et la licence BSD date de la création de la première en 1989, la seconde étant antérieure (1988).

La licence BSD est une licence libre puisqu'elle respecte les 4 libertés et ce n'est pas par hasard que ça soit une université qui l'ait créée, inutile de refaire l'histoire en la faisant partir au mieux de 2010 !

Et inutile de faire un gros pavé avec plein de hors sujet.

Le 14/10/2024 à 13h 15

"C'est quand même énorme d'être tellement attaché à la liberté que de vouloir supprimer des libertés à l'auteur !"

Tu n'as donc définitivement rien compris. Ni à l'histoire du logiciel (notamment le logiciel libre), ni aux enjeux de cultures commune et de souveraineté.

Parler de "licence libre" pour parler de logiciel open source, c'est créer une confusion avec le "logiciel libre". D'où le fait qu'il ne faut pas. Ce n'est pas plus compliqué.

Si, si, j'ai bien compris. Ce n'est pas parce que j'ai un avis différent que je suis un con. Je suis juste moins dogmatique.

Par contre, je ne comprends pas ce que vient faire la souveraineté dans un débat sur les licences libres. Idem pour la culture commune.

Le 09/10/2024 à 10h 45

Justement non, ce n'est pas une licence libre. C'est une licence open source. Merci de ne pas contribuer à la confusion qui s'est installée depuis des années grâce au prosélytisme forcené d'entreprises à qui profite le crime.

Et elle n'est justement pas "vraiment libre" puisque toutes ses évolutions peuvent être verrouillées. La licence de "logiciel libre" c'est justement celle qui empêche quiconque de se l'approprier au fil des évolutions (sachant pour info que même la GPL échoue dans une certaine mesure depuis l'arrivée des SaaS, raison pour laquelle l'Affero GPL a ensuite été conçue).

Va donc corriger Wikipédia ici et .
Une licence libre est une licence s'appliquant à une œuvre de l'esprit par laquelle l'auteur concède tous les droits ou une partie des droits que lui confère le droit d'auteur, en laissant au minimum quatre droits considérés fondamentaux aux utilisateurs :
Usage de l'œuvre ;
Étude de l'œuvre pour en comprendre le fonctionnement ou l'adapter à ses besoins ;
Modification (amélioration, extension et transformation) ou incorporation de l'œuvre en >une œuvre dérivée ;
Redistribution de l'œuvre, c'est-à-dire sa diffusion à d'autres usagers, y compris commercialement.
Ces libertés peuvent être soumises à conditions, notamment l'application systématique de la même licence, ou d'une licence prodiguant les mêmes droits aux utilisateurs, aux copies de l'œuvre et aux œuvres dérivées : un principe nommé à réciprocité, ou copyleft.
C'est quand même énorme d'être tellement attaché à la liberté que de vouloir supprimer des libertés à l'auteur !

Si l'auteur décide qu'il vaut mieux que son logiciel puisse être utilisé dans un logiciel propriétaire sans garder la même licence, c'est son droit le plus strict et ça n'enlève aucun droits aux utilisateurs, ça leur en donne même d'autres que la GPL ne donne pas.

La pile TCP/IP de l'université de Berkeley a été diffusée sous licence BSD. C'était le premier développement de ce protocole. Cette licence a fortement joué sur son adoption à un moment où il y avait des protocoles propriétaires en concurrence. Elle a même été utilisée par Microsoft avant qu'ils ne développent leur propre pile.
Avec une licence Copyleft, TCP/IP ne serait peut-être pas devenu le standard.

Le 14/10/2024 à 13h 19

Amusant que le journal de 20h de France 2 d'hier ait abordé le même sujet. Ça doit être dans l'air du temps.

Le 14/10/2024 à 12h 57

Merci d'avoir développé ce que je disais bien plus rapidement le mois dernier.

Le 13/10/2024 à 12h 53

C'est ChatGPT qui l'a prédit ?

Le 13/10/2024 à 12h 28

L'immatriculation est une donnée considérée comme identifiante, au même titre qu'une adresse postale. C'est pas du 100% fiable, on est d'accord, mais suffisamment significatif pourtant.

Je sais que la CNIL la considère comme cela, mais ce n'est pas le RGPD qui le dit et tu n'as pas choisi la meilleure page de son site pour l'illustrer : publier sur Internet rend la donnée particulièrement disponible et si comme dans l'exemple pris par la CNIL, c'est pour dénoncer le comportement du conducteur, c'est particulièrement grave, pas seulement du point de vue du RGPD, le code pénal peut être pris considération.

Dans le cas du LAPI d'un parking privé, si elle ne sert qu'à établir le temps passé dans ce parking (détruite à la sortie ou gardée quelques jour en cas de contestation), elle pourrait être considérée comme non identifiante, d'autant plus que les sociétés privées ne peuvent pas interroger elles-même le fichier des immatriculations. Et si elle est utilisée dans le cas d'un abonnement, là, le traitement sera licite car nécessaire à l'exécution du contrat.

Le 12/10/2024 à 15h 04

+1, surtout quand on sait que la plaque est considérée comme une donnée personnelle par la RGPD...

Et moi qui pensais qu'une plaque d'immatriculation identifiait un véhicule !

Tu peux me préciser l'article du RGPD qui parle de cela ?

Je rappelle aussi que le consentement n'est qu'une des 6 conditions pour la licéité d'un traitement.

Le 11/10/2024 à 20h 45

I feel LAPI
Joli !:dix:

Le 12/10/2024 à 11h 07

On va pas se plaindre, ce sont ces utilisateurs qui financent les services, et qui permettent à ceux avec un bloqueur de pubs d'en profiter.
(Ce qui me fait penser que j'avais pas désactivé le mien pour le domaine next.ink :transpi: )

(Ce qui me fait penser que j'avais pas désactivé le mien pour le domaine next.ink :transpi: )
Ce qui est inutile : il n'y a pas de pub sur next.ink

Le 10/10/2024 à 16h 08

Un juge américain n'est pas de ton avis.
Lien présent dans une brève de début Août. Accroche-toi, il y a 286 pages. C'est un peu plus que tes 3 lignes.

Le 11/10/2024 à 20h 17

Avec le premier amendement, ça m'étonnerait qu'il y ait ça dans leur législation.

Le 11/10/2024 à 20h 14

Pareil : je ne savais pas qu'il y avait des créateurs sur X, mais je n'y suis pas sauf quand un lien pointe dessus.

Le 10/10/2024 à 14h 02

Je ne savais même pas qu'Amazon avait un 'vrai' concurrent en France.
De qui parle-t-on ? De LDLC/Materiel.net/..., de la Redoute/3Suisses, ou de Vinted, autres ?

En France on avait des entreprise de vente par correspondances qui étaient plutôt spécialisées, et donc pas concurrents 'direct' de Amazon.

De plus, à part LDLC qui dès le début a démarré sur Internet, ne se sont pas rendu compte à temps que leur modèle de vente par catalogue était dépassé et se sont obstinés à continuer comme 'avant'.

Mais ces entreprises sont toujours là, et sous la pression d'Amazon ont du faire évoluer leur façon de faire avec leurs clients. Avant, il y avait des frais de port exorbitants, les temps de livraison étaient très longs, il était quasiment impossible de renvoyer un produit, et si on pouvait le faire il fallait payer le port, etc. ... Et je ne parle pas du support client après-vente ...

Un peu comme Uber avec les taxis parisiens, Amazon a au moins eu le mérite de faire réfléchir ces anciens mastodontes de la vente en ligne pour plus prendre en compte les besoins de leurs clients.

Enfin, le rapport avec leur fournisseurs : je ne sais pas ce qu'il y a de vrai la-dedans, mais je pense que cela se passe toujours de la même manière dès que l'on as un gros distributeur (grandes surfaces ou revendeur en ligne) : est-ce que une petite entreprise est prête à vendre moins cher plus de produits tout en se faisant mieux connaître ou il vaut mieux vendre moins mais plus cher ??

Cdiscount est généraliste. Je ne connais pas ses parts de marché, mais il est quand même bien présent.

Le 10/10/2024 à 10h 58

Isshhhh alors tu ne dois pas utiliser un cellulaire Samsung :) (impossible de désinstaller les applications préinstallées, juste les mises à jour :( ).
Je ne vois pas sous quel prétexte on pourrait obliger Microsoft de ne pas fournir Edge, c'est un peu normal qu'ils tentent de privilégier leur propre écosystème.
Si tu n'aimes pas Edge il te suffit de ne pas l'utiliser.

c'est un peu normal qu'ils tentent de privilégier leur propre écosystème.
Non.

Le 08/10/2024 à 16h 58

Signe que la loi est bien faite?
Je trouve qu'elle vise juste.

Le 10/10/2024 à 10h 57

Ton lien est intéressant. On pourrait donc tous vivre comme dans un des pays dont la consommation est < ou = à 1 ...
Ensuite, dire que la demande augmentera structuellement, c'est ne pas remettre en cause le système.
Je te recommande te t'intéresser aux théories sur la décroissance et la post-croissance (le fameux donut).

Prenons les pays à 1 :
Myanmar (Birmanie) : population rurale à 70 %, dictature, Rohingya

Niger : agriculture à 50 % du PIB et source de revenu pour 80 % de la population mais suffit à peine à nourrir la population quand il n'y a pas de catastrophe (sécheresse ou criquets), dictature, dans les 10 pays les plus pauvres du monde

Lesotho : le 168e pays au classement du PNUD et très fortes inégalités de revenu

J'arrête là, mais la plupart des pays à 1 sont des pays très pauvres.

Je doute que tu veuilles y vivre malgré tes leçons répétées.

Par contre, l'Inde à 0,8 n'est pas si mal. Son PIB est le 4e en parité de pouvoir d'achat après les États-Unis, la Chine et le Japon. Par contre, le régime est devenu autoritaire.
L'autre pays très peuplé, la Chine, est par contre à 2,4 et est très mauvais.

Quand on raisonne sur ce qu’il faut faire pour la planète, la démographie est importante. Chine et Inde sont les plus significatifs, que le Qatar et le Luxembourg soient à 9 et 8,2, on s'en fiche en fait puisque :
Cette statistique illustre le nombre de planètes Terre nécessaires si la population mondiale vivait comme les habitants de différents pays en 2022. Cette année-là, si les terriens vivaient comme les habitants du Qatar, il faudrait neuf planètes Terre pour subvenir à nos besoins. À titre de comparaison, la population mondiale actuelle consommerait 1,75 planète Terre en 2022.

Le 10/10/2024 à 10h 02

Plusieurs arguments en réponse :
1- j'ai vu des livres dont le titre parle des licornes. Que dois-je en déduire ? 😉
2- je sais bien que le code en question a le mot "propriété intellectuelle" dessus. Pourtant, le mot "propriétaire" n'est pas dedans. Cela interroge, et mon point est que justement c'est parce que ce terme est inadéquat. C'est un oxymore : il associe des contraires. Notez qu'en allemand, ce terme n'est pas le terme consacré ; on parle de "droit des biens immatériels". On est donc en droit de questionner la pertinence de l'usage du terme.
3- en droit d'auteur, on parle de la personne "titulaire des droits", et donc habilitée à les exercer. La personne détient les droits. Le raccourci avec ayant droit" est ici naturel. Votre définition est tout autant réductrice, car les ayant droits comprennent également les sociétés de gestion collective, qui n'appartiennent pas à la famille.

Votre définition est tout autant réductrice, car les ayant droits comprennent également les sociétés de gestion collective, qui n'appartiennent pas à la famille.
Non. La loi définit très précisément ce que sont les ayants droit (ayants au pluriel et droit au singulier (c'est important ce singulier)) dans le cadre de la propriété intellectuelle.
Je sais que ce terme a été utilisé ici, mais à tort. Il faut dire pour excuser Marc, qu'il reprenait le terme utilisé par les sociétés dont tu parles. Il faut dire qu'il est flatteur pour eux.

Quant aux licornes, quand on en parle ici, il s'agit de startups dépassant le milliard de dollars de valorisation.

Le 08/10/2024 à 10h 56

Le fait qu'un mot soit usité ne veut pas dire qu'il soit pertinent. Par exemple, parler de licence "propriétaire" est inadéquat, car il n'existe pas de régime de propriété (au sens de la possession) sur les biens immatériels. C'est pour cela que le droit d'auteur parle d'"ayant droit" (et non pas de "propriétaire"), que la loi " informatique et libertés" parle de "personne concernée", etc.
Le terme de "contaminant" est, comme je l'ai dit, biaisé, et incite les personnes à se détourner de ces catégories de licences, qui ont pourtant leur utilité pour mettre en œuvre certains modèles économiques.
Quand on parle de "licence diffusives/diffusante", on s'attache à définir le caractère propre de cette catégorie de licences, pas ce que l'utilisateur en fait (la rediffusion du logiciel modifié est un droit, pas un devoir). Peut-être un autre terme peut-il mieux convenir mais, en tout cas, " contaminant" est le mot de l'adversaire. :neutral:

C'est pour cela que le droit d'auteur parle d'"ayant droit" (et non pas de "propriétaire")
Quand on fait des leçons sur le vocabulaire, on essaie d'utiliser les bons termes soi-même.

Un ayant droit en terme de droit d'auteur, c'est un héritier de l'auteur.

Tu voulais probablement parler des titulaires du droit d'auteur (Chapitre III : Titulaires du droit d'auteur (Articles L113-1 à L113-10) du code de la propriété intellectuelle).

Édit :
il n'existe pas de régime de propriété (au sens de la possession) sur les biens immatériels
Il n'existe tellement pas que le code qui régit cela contient le mot propriété dans son nom !

Le 07/10/2024 à 19h 11

Par contre j'ignorais que les licences étaient incompatibles entre elles :eeek2:
Heureux homme ! :D

Il y a même pour je ne sais plus quels logiciel et bibliothèque une exception pour rendre compatible des licences qui ne l'étaient pas.

Le 09/10/2024 à 23h 24

Je pense que discuter avec une IA a quelque chose de rassurant. Ça ne nous dit que ce que l'on veut entendre. Y compris lorsqu'on choisit un bot sarcastique. Plus aucune aspérité. Pire : plus de contacts physiques non plus, je ne parle pas forcément sur le plan sexuel mais juste le fait de se prendre dans les bras par exemple.

Moi aussi, ça m'inquiète et je crains fort que ça nous fabrique une belle brochette de névrosé.e.s...!

Un métier d'avenir : psychiatre. :D:D

Un métier d'avenir : psychiatre. :D:D
Pour les IA, oui. :D

Le 09/10/2024 à 18h 42

Il me semble que toute expression de deux caractères soit une abréviation.

Voici la réponse de Perplexity quand j'ai demandé si un domaine de premier niveau non éligible pouvait être attribué comme nom de domaine 'commercial':

Si un pays ou un territoire n'est plus éligible à conserver un nom de domaine de premier niveau (ccTLD), il n'y a pas de processus automatique pour le transformer en nom de domaine "commercial". La gestion de ces situations est complexe et dépend de plusieurs facteurs :
Processus de retrait
Lorsqu'un pays ou territoire n'est plus éligible pour un ccTLD, l'ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) suit généralement un processus spécifique :

Évaluation de la situation
Consultation avec les parties prenantes
Décision sur le futur du domaine

Options possibles
Plusieurs options peuvent être envisagées pour le futur du ccTLD :

Maintien du statu quo : Dans certains cas, le ccTLD peut être maintenu pour des raisons historiques ou pratiques.
Retrait progressif : Le domaine peut être progressivement retiré, avec une période de transition pour les utilisateurs existants.
Réattribution : Dans de rares cas, le ccTLD pourrait être réattribué à une autre entité ou pour un autre usage.

Transformation en domaine "commercial"
La transformation d'un ccTLD en domaine générique (gTLD) "commercial" n'est pas courante, mais elle n'est pas non plus impossible. Si une telle transformation devait avoir lieu, elle serait soumise à :

Une décision de l'ICANN
Des consultations approfondies avec la communauté Internet
Un processus de candidature et d'évaluation rigoureux

Période de latence
Si une transformation était envisagée, il y aurait très probablement une période de latence significative. Cette période permettrait de :

Gérer la transition des utilisateurs existants
Mettre en place de nouvelles politiques et procédures
Assurer la stabilité et la sécurité du système de noms de domaine

Il est important de noter que chaque cas est unique et serait traité individuellement par l'ICANN et la communauté Internet mondiale, en tenant compte des implications techniques, politiques et économiques.

Quel intérêt de poser une telle question à un générateur de baratin et de recopier ici sa réponse ?

Le 09/10/2024 à 18h 34

Ça serait juste un effet de bord, un dommage collatéral.

Le 09/10/2024 à 18h 18

On a bien compris votre proposition @fred42 et @Wosgien : il n'y a rien à faire, donc surtout restons en là, c'est très bien comme ça, ne bougeons pas pour ne pas risquer de changer quoi que ce soit dans le mauvais sens.

Et sur un point particulier que je viens de lire, au-delà des affirmations anthropologiques au doigt mouillé, l'attirance supposée des jeunes filles pour les bad boys est socio-culturel aussi (comme le genre), basé sur ce que la société propose aux femmes en terme de masculinités. Du côté des hommes, ça a longtemps été l'attirance pour le modèle de la blonde à forte poitrine (la potiche, l’hôtesse qui prend la pose), et à regarder de près les publicités actuelles, ça ne change pas beaucoup (mais arrêtons de dire que la pub et les médias sexualisent le corps des femmes, ça va donner des complexes aux hommes par rapport à leurs désirs).

Bref, il est question de modèle culturel et de modèle de société (patriarcat, quel méchant mot envers les hommes), à l'image de l'alcool festif dans les fêtes étudiantes où une proposition de la Mission interministérielle dont parle l'article, est d'encourager le « mouvement global de la société (faire la fête et célébrer sans abuser de l’alcool) … afin notamment de protéger les étudiants, en particulier les jeunes femmes » (cf communiqué de presse en lien dans l'article).

Non, tu n'as pas compris mon propos, mais ça ne m'étonne pas de toi.

Je suis juste intervenu parce que j'ai vu que le propos de @SebGF avait été mal interprété. D'ailleurs, il vient de le confirmer.

Le 09/10/2024 à 15h 21

C'est fatiguant l'épouvantail :) (https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89pouvantail_(rh%C3%A9torique) mais bon si Next était peuplé de gens qui ont une réelle envie d'échanger et pas juste d'écraser l'autre, ça se saurait. (donc pour les deux du fond de la classe qui ont pas suivi, tu caricatures et dénature mon propos, montrant ainsi une mauvaise fois digne d'un ministre).

La stigmatisation continue des femmes en les culpabilisant au lieu de les considérer à juste titre comme des victimes (ce à quoi ce discours mène) sert justement à éviter toute forme d'effort dans l'éducation des hommes. C'est voulu. Pensé comme tel, et est un instrument dans la panoplie du patriarcat.
Mais bon je t'apprends rien, je pense.

Je te pose que question à laquelle tu ne réponds pas.
On fait quoi en attendant ?

On est tous les 2 d'accord sur l'éducation des hommes mais il y a un passif à gérer.

Le 09/10/2024 à 10h 52

Apprendre aux filles qu'il faut être méfiante parce que les mecs sont des prédateurs ?

Non.

Ca inverse la charge mentale. Après tu leur demanderas aussi de s'habiller de façon pas provoquante parce que tu comprends les mecs sont des prédateurs (c'est à peu près la justification utilisée par les religions pour forcer les femmes à s'habiller selon des règles débiles. Qu'il faut pas sortir le soir, qu'il faut sortir que avec un mec pour la "protéger"... bref bienvenu chez les talibans cathos.

Il faut juste que l'éducation, et la justice si besoin, écrasent avec force le sentiment de domination masculine. Une femme doit pouvoir se balader à poil dans l'espace public sans se faire emmerder autrement que lui proposer de l'aide, parce que bordel il commence à faire froid.

Fun fact : il y a mille ans, la doxa disait que c'était les femmes et non pas les hommes qui étaient prédatrices, mensongères, viles tentatrices, promptes à l'adultère, etc... et donc c'est tout naturellement aux FEMMES qu'on demandait de s'habiller sobrement pour ne pas agresser les hommes de leurs charmes.

Quelle que soit la pseudo-justification, c'est toujours aux femmes qu'on tente d'imposer un comportement.

Tu préfères donc qu'en attendant que l'éducation des hommes donne des résultats, elles découvrent que certains hommes sont des prédateurs et qu'elles se fassent violer ?

C'est un fait qu'il y a des agresseurs. C'est important de les informer, de leur apprendre à les repérer en même temps que l'on va éduquer les hommes.

Le 09/10/2024 à 11h 01

Elle fait un concours avec Emmanuel ?

Le 08/10/2024 à 18h 26

Non. la période de 3 ans est présente 9 fois dans le PDF en lien juste après ta citation.
Elle concerne différentes décisions du juge qui permettent à la concurrence de s'imposer plus facilement sur Android. L'idée derrière est probablement que ces 3 ans suffiront pour que la concurrence s'installe. C'est ce que Martin a dû vouloir résumer par "de façon effective".

Le 08/10/2024 à 16h 42

Le FT voit dans cette délocalisation une illustration « frappante » du découplage des chaînes d'approvisionnement technologiques mondiales par rapport à la Chine.
Moi, j'y vois plutôt une fabrication au plus près de la demande US.

Le 08/10/2024 à 13h 52

Avec la mode des objets connectés, ça finira par ne plus étonner personne. Maintenant il est probable qu'Israël cherche d'abord à décapiter les utilisateurs de tondeuses à barbes.

Il va falloir que je me méfie alors.
Ça fout la trouille ! :stress:

Le 08/10/2024 à 13h 37

On peut, par contre, s'étonner du classement en « physique » de tels travaux qui relèvent de l'informatique.
On a donc la réponse à l'édito d'hier : il fallait l'appeler « physique ». Merci au comité Nobel !

Le 08/10/2024 à 10h 33

J'ai toujours préconisé d'utiliser rm -fr et j'expliquais que le -fr était pour avoir un résultat en français. :fumer:

Remarque : autant, le R est valide comme le r, autant l'option F en majuscule n'existe pas, c'est f.

Le 07/10/2024 à 19h 15

qui intervient le jour de l'anniversaire de Vladimir Poutine
Pourquoi parler d'une cyberattaque alors que ce sont les Russes qui ont tous voulu souhaiter en même temps un bon anniv à Vladimir ? :fumer:

Le 08/10/2024 à 10h 27

C'est pas facile non plus. Comment faire pour emmener efficacement un document au boulot quand on l'a travaillé à la maison? Quand tu n'as pas de poste dédié, pas de compte dédié, que l'espace cloud est un enfer à utiliser et que l'ordi est effacé presque chaque jour?

On ne fait pas. Quand autant de précautions sont prises pour que les documents restent sur des serveurs, on ne les met pas sur des clés USB.
On ne fait pas. L'entreprise doit fournir les moyens pour travailler à la maison si c'est dans le cadre du télétravail, pour les autres cas, le nombre d'heures de travail est réglementé (hors postes de direction) et les entreprises doivent contrôler ce nombre d'heures (et les payer accessoirement).

Le 08/10/2024 à 10h 19

Si on part du principe que les électrons font à la fois l'aller et le retour, 5A répartis sur 4 brins, ça fait 2.5A par brin.

Si on part du principe qu'on se renseigne avant de faire des hypothèses, on évite de dire n'importe quoi.

Les 4 brins VBUS qui amènent la tension sont doublés de 4 masses GND. Il faut donc bien diviser par 4 l'intensité.

Le 07/10/2024 à 19h 27

D'accord pour presque tout sauf le fait de refuser le qualificatif d'"intelligent" aux modèles actuels ou même passés.

Comme tu fais remarquer l'humain n'est pas la seule espèce intelligente. On qualifie d'"intelligence" des comportements de bactéries ou de plantes dont le fonctionnement est pourtant relativement simple, beaucoup plus simple que les modèles actuels.
Si on veut parler de "raisonnement", on peut dire que les LLM raisonnent dans la mesure où pour calculer chaque mot, l'historique des mots préalablement générés est pris en compte (le modèle "voit" ce qu'il a lui même généré et utilise ça pour générer la suite).

Pour la distinction IA vs algo, plutôt d'accord dans l'ensemble, mais il y a des cas limites, notamment quand l'algo construit et utilise un modèle statistique. Par ex. PageRank est-il un algo ou de l'IA ?

Bien vu pour les cas limites. En lisant la page Wikipédia de PageRank, je dirais que c'est bien un algo malgré l'aléatoire sur lequel il s'appuie.
Je reste quand même sur ma définition s'appuyant sur le déterminisme en incluant la graine (seed) du générateur d'aléa dans les données d'entrée de cet algo. :D

Et je comprends ton objection sur "intelligent". Je situais l'intelligence au-dessus des bactéries et des plantes.