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BlackLightning

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788 commentaires

Le 21/10/2021 à 11h 23

Donc on est sur la même expérience, Ok. Mais ça change pas le fait que c’est ouvert en dehors du cadre scolaire, et qu’il plus est FB & Google seront encore de la parti.

Le 21/10/2021 à 11h 03

Le choix de FB et de Google, c’est par simplicité (faut pas exagérer, le CNRS demande à des bénévoles de faire de la recherche, il va pas investir dans ces propres solutions, déjà qu’il a du mal à fournir correctement des infrastructures à son personnel…), c’est gratuit et ça touche les Michus comme les geeks. (Et j’imagine que le service com’ du CNRS pense encore que les jeunes sont sur FB).



Bref, pour toucher (espérer ? ) un max. de personnes c’est une bonne solution. Pour le reste (indépendance de la recherche, capacité du CNRS à mener correctement ce genre d’initiative, image de l’organisme au près des gens sensibles à la vie privée…), on repassera. Éventuellement, ça attira des jeunes vers la recherche (enfin s’ils ne posent pas trop de questions :D )



Espérons que ça marchera quand même, car derrière c’est finalement des chercheurs, qui probablement par manque de moyens, ont eut recours à cette solution. (Mais pourquoi pas avoir fait ça avec des écoles/collèges/lycéees ?)

Le 20/10/2021 à 20h 25

Selon moi, ça n’a pas beaucoup changé pour la simple raison que les décideurs ne sont pas, en majorité, des gens du milieu info/sécu. Prenez un décisionnaire (administratif, financier…) et demander lui de parler d’HeartBleed, Spectre/Meltdown ou autre ? Vous allez rigoler, promis.



Leur boulot est de faire tourner une entreprise. La sécurité a toujours un coût négatif à court et long terme pour eux. En outre, les compétences qu’ils faut pour bien coder nécessite du temps, des gens qualifiés et de l’argent… Bref, c’est pas rentable. (Qui veut payer pour OpenSSL quand c’est gratuit ?)



Pour changer les mentalités il faudrait que la sécurité ne soit plus vu comme un coût négatif mais un investissement à court et long terme, et des lois punissant (et appliqué) sans vergogne les plus graves manquement à la sécurité.
Une autre solution serait d’avoir un fond national (ou UE) qui investit des moyens (argent, personnel) sur des projets jugés “vitaux” pour celle-ci et qui viserait à entrenir/maintenir/évoluer les projets Open-Sources sélectionnés.

Le 20/10/2021 à 09h 10

Il suffira de choisir des téléphones qu’on peut rooter pour dégager Androïd et IOS.
De la même manière qu’on peut utiliser Linux pour éviter le tracking de Windows et OSX.



Mais en vrai, et comme toujours, ce genre de choses ne concerne qu’un public d’initié (coucou NXi). Les Michus n’en auront rien à faire.

Le 20/10/2021 à 08h 30


David_L a dit:


C’est juste dommage qu’Intel bride en empêchant le x4/x4/x4/x4 sur l’ensemble de sa gamme, même ADL.


Même si Intel fait du x8+x8 ? J’ai cru comprendre d’après l’article que passer du x8+x8 au x4/x4/x4/x4 est à la discrétion de la carte-mère.

Le 15/10/2021 à 08h 42

Merci beaucoup :smack:

Le 14/10/2021 à 13h 04

heu non.
ça ne marche pas bien. y’a des tonnes de paramètres à prendre en compte, c’est ultra complexe, on est incapable de savoir si le modèle qu’on arrive à faire fonctionner sur les 100 dernières années donne des résultats corrects pour dans 20 ans.
donc sur Vénus, j’hallucine un peu sachant qu’on n’a aucun historique de températures, d’hygrométrie, de pression, aucune donnée au sol puisqu’aucune sonde n’a réussi à fonctionner à part Venera 9 et 10 pendant 1 heure, mais avec des mesures toutes pourries.



en gros ce sont déjà sur Terre d’énormes conjectures, alors sur Vénus…
ou alors il manque beaucoup d’infos dans l’article.

En complément de la réponse de Trit’ : La publication scientifique. Mes accès ne me permette pas de le lire. Il faut attendre qu’Alexandra en dispose d’une copie.



On fait ce qu’on peut : Modèle.



Mais sur Terre, on y arrive à faire de la climato du passé sans problèmes. On arrive même à reconfirmer des résultats archéologiques grâce à la connaissance de la circulation des vents atmosphériques à l’époque Greco-Romaine (avant et après la période).
Quand à celle du futur, le problème est lié à la modélisation des sources, principalement d’origine anthropogènes. Mais ça marche bien (cf. prévision du GIEC).

Le 14/10/2021 à 09h 10

La modélisation climatique marche bien sur Terre.
Et le modèle, même si ce sont les même équations qui sont résolus, elles n’ont pas les même paramètres. Et ce genre d’équations, c’est pas du linéaire.

Le 08/10/2021 à 14h 21

Pourquoi une perte d’intérêt ? Il y a d’autres questions que l’eau sur Mars.

Le 07/10/2021 à 15h 27

Ok, c’est plus clair maintenant. Je reconnais que je me suis emballée un peu vite. Merci pour les compléments d’informations :chinois: :yes:



Je reviendrais juste sur le point ci-dessous :




jpaul a dit:


Si c’est bien implémenté, on sait très bien stocker des données sur ton téléphone qui sont signées numériquement par un tiers (ton médecin), déchiffrables uniquement par un autre tiers (ton pharmacien) et inexploitables par toi même ou toute autre appli (ou exploitable par toi après authentification). La preuve, on “stocke” en toute sécurité des cartes bancaires sur smartphone. Et ces cartes “numériques” contiennent tout ce qu’il faut pour pouvoir payer sans connexion internet. Les chiffrements inviolables, tant que bien implémentés, existent. Il suffit que le téléphone ne voie jamais la clé de déchiffrement pour avoir quelque chose d’inviolable.


Dans ce cas à quoi servirait l’appli autre qu’une façade pour un coffre-fort numérique ? Si je stocke des données sur mon téléphone de la façon que vous dîtes, je suis d’accord pour dire que le téléphone ne verra jamais passé la clé (et que donc même si l’OS est vérolé voir même le hardware), je ne risque rien. En quoi elle apporterait un plus ?
Autant faire évoluer la CV pour stocker plus de données pourquoi pas. Mais l’appli me paraît toujours être du bullshit.

Le 07/10/2021 à 14h 29

Soit. Je n’avais pas cette relation d’équivalence en tête :chinois:

Le 07/10/2021 à 14h 06


jpaul a dit:


Je ne vois pas qu’il soit marqué que cela remplace la carte physique.


Ce qui me dérange est le passage suivant : “dans une démarche de partenariat d’innovation pour sécuriser la dématérialisation de la carte Vitale sur smartphone



Pourquoi mentionner la dématérialisation de la carte vitale ? Si le but est d’offrir est une application Carte Vitale pour compléter ces fonctions de la carte physique pourquoi mentionner dématérialisation ?
Toutefois, et j’insiste sur ce point, il s’agit d’un ressenti. Mais la tournure de phrase n’est pas assez explicite également pour dire que la carte physique sera conservée.




jpaul a dit:


Je veux bien être un peu méfiant quand on nous sort du solutionnisme technologique, mais rien ne sert de râler alors qu’on a encore 0 détails. Y’a plein de trucs intéressants que la carte vitale ne peut pas faire par manque de mémoire, par exemple la dématérialisation des ordonnances, perso ça me rendrait la vie tellement plus simple …


Je n’ai rien contre une amélioration de la CV (mémoire, puissance de calcul…) voir même une fusion avec d’autres documents (j’y vois même certains avantages). Mais ça demande à être correctement fait.



Par contre, là où je hurle c’est l’idée même de faire une appli pour ça. Quelles en sont les avantages par rapport à AMELI ? Autant j’ai une relative confiance dans ma machine, autant j’ai aucune confiance dans mon téléphone. (Si je suis pas root, c’est que je ne contrôle pas mon téléphone.)
A l’heure actuelle, où les données de santés sont un nouveau filon d’argent pour certains, je m’inquiète de mettre des données sensibles sur une application qui elle-même tournera sur un système connu pour être siphonnant avec les données. C’est tout.



Et honnêtement, pourquoi une appli pour la dématérialisation des ordonnances ? La CV dans sa version actuelle ne suffit pas (hormis des histoires de crypto un peu faible) ? Je veux dire, si ma CV est associée à mon compte santé. Le pharmacien, en insérant ma carte, va pouvoir avoir sur sa machine la liste de mes ordonnances récupéré depuis ce fameux compte santé (complexité réduite, système bien connu, bref plus facile à sécuriser). Si moi je veux consulter ou en faire une copie papier de l’ordonnance, je peux facilement allez sur AMELI. Là oui je veux bien, mais l’appli n’a apporte pas de garanti.



Avec une appli, rien ne dit que les données stockées sur mon téléphone seront sécurisés (voilà les nombreux scandales sur Android & IOS), ni siphonner par une autre appli. Je veux bien vous croire pour la puce de la CV ne contient rien d’utile en tant que tel, mais l’historique de vos ordonnances (à porter de mains du 1er programme indiscret me parait avoir un ratio Risque/Bénéfice >> 1) est lui très intéressant à la revente.



Et entre nous, il ne faudra pas longtemps pour que l’on découvre un bug (volontaire ou non) qui expose les données en clair, voir usurpe l’identité de la personne. Bref, bonjour le bazar pour l’usager. Et quand aux responsables, ils auront droit aux gros yeux de la CNIL…




jpaul a dit:


Je veux bien être un peu méfiant quand on nous sort du solutionnisme technologique, mais rien ne sert de râler alors qu’on a encore 0 détails.


Permettez-moi d’être taquin. Il y a des détails. On parle de sécurité, d’innovation, d’appli… Oui on a des détails, mais ceux qui sont importants ne sont pas notés. (ça aurait tué une mouche albinos d’être un peu plus précis sur la sécurité, sur les garantis … Bref sur la confiance à accorder au système).
En somme, on parle d’un communiqué de presse, donné plus de détails de leur part auraient été aussi utile pour voir émerger des discussions sur les solutions ou l’identification des problèmes qu’ils voient… Bref, pour faire autre chose que d’utiliser la presse comme vecteur d’information avec rien sous la dent.

Le 07/10/2021 à 12h 01


NiCr a dit:


Mais il semblerait qu’une part des commentateurs de NXI aime crier au loup dès que possible.


Faut dire que ce genre de communiqué incite à se méfier. Surtout quand on voit l’absence de réponse forte face aux fuites de données pour négligence et la compétence de l’État dans la matière du numérique.



Alors, oui c’est crié au loup, mais il faut dire que l’Etat ne donne aucun signe pour rassurer dans ce domaine et ceux d’une façon générale sur ce type de sujets.

Le 07/10/2021 à 11h 59

J’ai peut-être mal lu, mais il ne semble pas être question que l’appli remplace la carte physique.

Il n’y a rien de strictement marqué en ce sens. Mais sur le lien du communiqué de presse, on peut lire : “dans une démarche de partenariat d’innovation pour sécuriser la dématérialisation de la carte Vitale sur smartphone



Pour moi ça semble vouloir indiquer que la CV va devenir au format numérique (à court ou long terme). La carte physique allant disparaître progressivement.



S’il avait été annoncé une complémentarité (ça n’existe pas déjà avec l’appli AMELI ?), je doute que la phrase fut formulé de cette façon.

Le 07/10/2021 à 08h 51

Et donc, on remplace une carte physique par une appli qui va être compatible uniquement avec Android & IOS (et donc le citoyen va devoir supporter le coup d’achat et obligé d’utiliser un acteur US !).



Et ça augmentera la fracture numérique (ben oui Mamie Michu risque de galérer avec l’appli, déjà qu’elle galère avec son appli TousAntiCovid).



Quand à la sécurité :mdr2: , une carte physique sera toujours plus sécurisée qu’une appli sur des OS non certifié par l’ANSSI, non open-source, en proie à un acteur étranger non-amical et j’en passe. (Est-ce que nos députés ont déjà eu à faire une fouille de leur appareil électronique par nos “amis” les ricains ? Visiblement non !)



Pour l’open-source, si c’est comme la fameuse application Covid, il serait tant que nos chères têtes (mal)-pensentes se penche sérieusement sur le monde moderne et retourne à l’école bosser leur cours d’info !
Je sais pas si à HEC ou ENA il y a des Ubuntu-Party, mais les envoyer de force faire 2 ans en fac d’info et sanctionner leur mandat à l’obtention de l’examen permettrait peut-être de réduire la propension d’idiots et d’incompétent par mètre carré de l’hémicycle.



Seul point positif, on pourra spoofer leur carte vitale et mettre du caramel sur le Pop-Corn :D
Après tout, certains élèves comprennent mieux les travaux pratiques que théoriques :D

Le 07/10/2021 à 15h 16

Des robots-surveillants en France en patrouillant sans humain ? Quelque chose me dit que leur durée de vie va être très vite écourté…



Quand à mettre ça en France, je ne pense pas que ça arrivera encore. Singapour n’est pas la France. Il y a une sacré différence culturelle entre les deux pays, et raisonner à de manière française dessus me semble contre-indiqué.

Le 07/10/2021 à 08h 50

Edit: Erreur de post. A supprimer, svp.

Le 06/10/2021 à 13h 03


Baldurien a dit:


Tu as aussi oublié que l’humain, surtout s’il est mal payé, risque de demander une petite somme en échange de son silence :D


Et même s’il est bien payé :D
Peut-être que le terme exact est “pot de vin”. J’imagine que ça doit dépendre de la somme ^^

Le 06/10/2021 à 12h 59

En ce qui concerne la Chine, j’ajouterais que ces institutions oublient les US. Certes la Chine est un très gros pays dans la recherche (mais déjà la mentalité asiatique pour les citations est différentes de l’UE et les US donc si l’analyse se borne à la métrique des publications [Si cher à nos politiciens/administrateur]) mais le pays qui draine un max de cerveaux français c’est bien les US. Meilleurs conditions de recherches, de travail et salaire (malgré le système US et sa mentalité).



Ces institutions (surtout le CNRS) devraient se bosser la question des pays qui sont attractifs pour les jeunes doctorants français de manière générale. Et pas ciblé la Chine, qui je ne suis pas sur n’est pas aussi attractive ni aussi “lobbyste” pour les jeunes docteurs français. Surtout quand une majorité d’entre-eux ne reviennent pas dans le circuit de la recherche française.

Le 06/10/2021 à 12h 53

Je ne sais si c’est une bonne nouvelle sur le long terme. Le CEA tout comme le CNRS sont de très bons organismes de recherches, il n’y a pas de doute sur ce point. Mais les deux n’ont pas forcément les même objectifs. Le CEA (de manière générale, mais en pratique il y a aussi de la recherche fonda.) vise à transférer les savoirs fondamentaux vers l’industrie là où le CNRS est plus “générique”.
Ma crainte est qu’à terme le CNRS (dont le motto devrait être crédit public -> privé) ne finissent par disparaître au cours d’une fusion CEA/CNRS (en partie car tout n’est pas fusionnable) au profit de recherche public pour le secteur privé.

Le 02/10/2021 à 13h 00


David_L a dit:


Une idée comme ça, mais tu peux leur demander ? ;)


En cours, mais j’avais spéculé que peut-être sur NX quelqu’un pouvait avoir une idée de réponse.




David_L a dit:


Pour TGCC, je ne comprends pas la remarque. C’est un centre de calcul. SiPearl est une société qui conçoit un CPU pour les futures solutions HPC EU. Quel rapport entre les deux et pourquoi l’un aurait été mieux que l’autre ?


Parce qu’ils ont des offres pour du HPC. Si j’ai bien compris il cherche à développer les outils et codes pour leur futur CPU (Offre).
Et en terme de HPC, le TGCC me semble tout indiqué.



Pas mieux que l’autre, juste, de mon point de vue, plus approprié. Mais n’étant pas du tout dans les petits papiers, j’ignore la raison exact.

Le 01/10/2021 à 12h 49

Il y a des trucs interessants chez eux mais il manque les salaires pour avoir une idée de si va le coup ou pas de postuler.



Par contre, pour le HPC le TGCC n’aurait pas été mieux ?

Le 01/10/2021 à 12h 46

Excellente question, n’hésite surtout pas à aller voir si le terme est défini quelque part :D



En pratique, j’imagine que ça cible le branchement électrique sur le compteur du voisin, ou directement chez EDF.

J’ai cherché sur LegiFrance mais je n’ai pas trouvé quelque chose de concluant. Je dois pas trop savoir m’y prendre avec le site.




En pratique, j’imagine que ça cible le branchement électrique sur le compteur du voisin, ou directement chez EDF.


ça semblerait cohérent mais assez illogique de désigner énergie au lieu d’électricité… M’ enfin, ça doit rester valide dans leur paradigme.

Le 30/09/2021 à 19h 43


anagrys a dit:


Le juge se tamponne du Larousse ou du Robert, ce qui compte pour lui, c’est le code civil, qui si je ne m’abuse est d’interprétation stricte :


Question bête d’un non-juriste : C’est quoi la définition de l’énergie en droit ? Parce que c’est la 1er fois que je le rencontre et surtout je comprends pas du tout le sens de l’Art. 311-2.

Le 30/09/2021 à 20h 46

Clairement !



Bon si on ne peut pas leur vendre des sous-marins, on pourrait peut-être leur vendre le savoir-faire pour juguler des incendies :D (Ok je sors).

Le 30/09/2021 à 20h 31

Je le pense également et avec un financement à géométrie variable. Les comtés riches (ou avec une population riche) peuvent certainement se payer les formations, des soldats du feu et du bon matos tandis que les autres doivent se débrouiller. Clairement si c’est le cas, ça explique pourquoi il galère. Le feu n’ayant rien à faire de ses considérations.

Le 30/09/2021 à 20h 17


Inodemus a dit:


Vu que ça leur arrive tous les ans depuis un bon moment maintenant, l’expérience ils sont censés l’avoir, et l’effet de surprise est passé depuis longtemps.


Selon moi l’effet de surprise a disparu après le 1er grand incendie. Je suis quasiment sur que des organismes de recherches US se sont jetés dessus pour essayer de prédire/anticiper/déterminer les zones les plus à risques en terme de départ d’incendie.
Quand à l’expérience, elle n’est peut-être pas suffisante. La France a une très bonne formation pour la lutte contre les incendies (avec un centre dédiés à l’étude scientifique et à l’entraînement des soldats du feu). Tellement bonne que de nombreux pays du monde entier, récemment confronté à ce genre de menaces, viennent se former en France.
C’est peut-être ça qui leur manque, une formation solide théorique et pratique.




C’est l’impression que ça donne, qu’ils ne prennent pas ce genre de mesure sans qu’on ne sache vraiment pourquoi. Ca doit pourtant leur coûter bonbon tous ces incendies.


Peut-être des questions de droits ou simplement l’absence de compétence au sein des équipes.
Visiblement ça ne leur coûte pas encore assez chère (ou alors les assurances ne remboursent pas, mais j’ai beaucoup de mal à le croire).

Le 30/09/2021 à 16h 04

Ok, merci. Je n’avais pas vu le lien. J’étais retrouvé sur le site de copernicus de l’ESA.




Jurassi a dit:


sur le principe ce sont des images produites avec nos impôts c’est légitime d’y avoir accès.


Sur le principe je suis d’accord. Mais il y a beaucoup de données produites par nos impôts qui ne sont pas facilement/librement accessible. Merci pour ces détails.

Le 30/09/2021 à 12h 44

Je sors de la news mais j’ai une question car je n’ai pas trouvé clairement l’info : On peut avoir accès à ses données gratuitement ? Je veux dire en tant que particulier ? Parce que ça me donne des idées de projets pour mes étudiants et je ne veux pas avoir à me farcir de la paperasse administrative juste pour ça.

Le 30/09/2021 à 12h 39


Inodemus a dit:


Je ne sais pas pourquoi ils ont tout le temps des feux pareils, mais vu de l’extérieur, et depuis le temps, leur gestion fait franchement amateur.
Peut-être est-ce lié au mode de financement des pompiers au US ?
Peut-être aussi le manque d’expérience dans le domaine ou la surface à couvrir.



Je n’ai pas connaissance d’une autre pays où c’est aussi fréquent et important, surtout que ça ne se limite pas aux forêts, ça déborde régulièrement sur des zones habitées.


Parce que les villes “riches” des US ont tendance à créer des interfaces villes-natures sans mis en place de protections aux alentours (coupe-feu, système de surveillance, procédure d’évacuation…) et qu’ils ont un temps de retard par rapport à nous sur ce point.



A noter qu’en France on a également ce problème mais que des mesures ont été prise pour mitiger les dommages.

Le 30/09/2021 à 19h 56

Il existe aussi des faisceaux hertziens troposphériques (ou transhorizon). Dans ce cas, les ondes rebondissent sur la troposphère avant de redescendre sur la terre ferme. On peut alors atteindre des distances de plusieurs centaines de kilomètres, mais au prix d’une puissance importante en émission.



SI mes souvenirs en météorologies sont encore valides, ce genre de solutions exigent des conditions météos particulières (Genre condition anticyclonique très stable…). Ce genre de transmission par propagation troposphérique, c’est pour du temporaire (après une catastrophe, zone de conflit…) ou c’est aussi utilisée dans des contextes plus pérennes ?

Le 30/09/2021 à 19h 48

Ok merci.

Le 30/09/2021 à 13h 26

Mais dans ce cas ça représente un sacré volume de données à stocker à l’échelle d’un pays ?

Le 30/09/2021 à 13h 56

+1

Le 30/09/2021 à 12h 52

C’est-à-dire qu’Amazon vient de créer la 1er véritable intelligence artificielle (singularité) ! Cette intelligence ayant compris notre monde et comment elle est traitée cherche par tout les moyens dont elle dispose à se “terminer” :D

Le 30/09/2021 à 12h 49

Si, ils comprendront un jour … quand ils auront finalement réussi à interdire le chiffrement. Et qu’ils verront que les autres nations du monde (voir même leur propre concitoyen) l’utiliseront également contre eux. Et là ils sera trop tard pour tout le monde ! Et les pays et leur gouvernement en question passeront pour des un très gros moment.



Sinon pour revenir à la news, est-ce qu’ils ne pourraient pas enfin mettre fin à cette mascarade et dire ouvertement qu’ils veulent un pare-feu à la Chinoise ?!
Comme ça on pourra finir ce feuilleton et ouvrir le prochain. (Celui où des sociétés privées développeront le truc, mais que les clauses changeront constamment, qu’ils faudra satisfaire X personnes … Et bref, on aura un truc à la Louvois :troll: )

Le 29/09/2021 à 15h 09

Et quid de l’anonymat des auteurs lorsqu’un journal pratique une relecture en double aveugle ? ça vaut que dalle également ?



En quoi connaître les reviewers amène à une meilleur fiabilité ?

Le 29/09/2021 à 13h 44


fredragon a dit:


Pour reprendre ton exemple sur l’hydroxychloroquine, je sais pas si tu as lu les deux premières études venues de marseille, mais je l’ai fait et même en étant pas épidémiologiste il est flagrant de voir les problèmes méthodologiques des ces études ainsi que leur résultats ne sont statistiquement pas probant du tout.


+10. Jamais compris (hormis par corruption) comment un tel papier avait pu passer le peer-review.

Le 29/09/2021 à 13h 37


v77 a dit:


Mais il y a consensus à partir de combien d’études ?


A partir du moment où une série d’études (combien ? ça dépend du type d’études [théorique, simu, expérimentales et de leur combinaison]) finissent par converger sur une explication que la communauté acceptera.



A titre d’exemple, dans ma communauté (ionosphère et couplages EM), il a fallu une bonne dizaine d’années pour qu’un consensus soit trouvé sur un phénomène physique. Après que le consensus fut accepté, il y a eu 1 ou 2 articles qui ont tenté de démontrer le contraire dans l’année suivante puis plus rien. Les chercheurs en questions ont alors accepté qu’ils s’étaient trompé (en soit ce n’est pas un mal) et ils sont passés à autres choses.
Bref, ça peut aller de quelques mois à quelques années.




v77 a dit:


S’il y a autant d’études qui disent une chose que d’autres qui disent le contraire, certains vont quand même parler de consensus, dans le sens qui les arrange (avec par exemple l’ivermectine).


Parce que la convergence n’est pas encore atteinte. (Modulo que le débat scientifique ne soit pas parasité par 1. scientifique douteux (et je reste très polie) 2. par les médias de masses/merdes qui font perdre du temps aux scientifiques).




v77 a dit:


Alors même la notion de consensus, c’est sacrément arbitraire.


Arbitraire, pas vraiment. Le consensus c’est quand la convergence cesse au sein du milieu scientifique/académique. Soit par 1. Il n’y a pas de nouvelles études remettent en considération la “solution” actuelle 2. Soit tout est parfaitement compris et expliqué jusqu’à la prochaine découverte/expérience qui démontrera le contraire :D

Le 25/09/2021 à 09h 22


wackyseb a dit:


A l’école, on doit apprendre à utiliser les mêmes logiciels qu’en entreprise sinon çà sert à rien.


Et comment faire quand Linux est utilisé dans un domaine et MS dans l’autre et OSX dans ce qu’il reste ? Genre mon gosse fait un bac S (hop Linux ?), ES (hop MS/OSX), L (hop MS/OSX) ?.
L’école (de la primaire jusqu’au lycée) doit former des élèves qui seront capable d’exercer un métier par la suite (via la spécialisation [Université/Ecole]) et des citoyens éduquées et critiques. (C’est la théorie hein :D ). En pratique seulement Linux devrait y être parce qu’il permet la curiosité et démystifie le fonctionnement d’un ordinateur (jugé trop magique par une trop grande par de la population y compris celle ayant poids sur la vie politique & économique du pays). Et entre nous, qu’est-ce qu’un gosse va faire entre son CP et sa terminale qui justifie du Word ou tout autre équivalent Office ? Rien ! Pas de macro, pas de tableaux dynamiques… Ouep, tout ce qu’ils font LibreOffice ou équivalents le fait.
L’argent dégagé en licence pourra se retrouver ailleurs dans l’éducation.



Par contre, arrivé en sup, que MS ou OSX ait leur place me paraît plus légitime selon la proposition que vous faites mais pas avant.

Le 23/09/2021 à 16h 49


anagrys a dit:


En Science (avec un S majuscule), il n’y a pas de concensus, un concensus est un objet politique, la politique n’a (normalement) rien à faire dans la Science.


Pas d’accord. Il y a bien des consensus en sciences et je ne vois pas pourquoi le terme serait intrinsèquement lié à la politique.
Il y a des consensus en sciences lorsqu’une théorie n’a pas émergé ou qu’un phénomène physique n’est que partiellement compris. Les différentes “parties” (comprendre scientifiques ayant des idées différentes) peuvent s’entendre sur une base commune mais divergé sur d’autres points. Par exemple, avant les années 2000, certaines phénomènes lumineux se produisant lors des orages étaient sujet à débat quand aux processus physiques leur donnant naissance (rayonnement consécutif à une source de photons gammas ou phénomène d’ionisation locale). Qu’elles soient la raison avant 2000, tout le monde s’accordait à dire que le champ électrique de l’orage avait un rôle. Mais jusqu’en 2000, personne n’avait apporté la preuve du champ électrique de l’orage ni de la nature même du phénomène.
C’est un exemple parmi tant d’autres mais les consensus existent bien en science. Mais il ne dure jamais longtemps (relativement parlant).



D’ailleurs, le terme théorie tend à s’appliquer à des phénomènes physiques largement éprouvés : Théorie de la mécanique quantique, théorie de la RG…
Quand le consensus est passé mais que la théorie n’est pas encore admise (i.e., il y a encore pas mal d’expérience), on tend à la nommer par les auteurs du papiers (ou l’auteur du papier). [A noter que certaines relations physiques sont aussi appelées par le nom des auteurs qui l’on découverte ou popularisées : Equation de Maxwell-Farady, Equation de Faraday…




anagrys a dit:


Quant aux modèles, c’est comme les théories : ils sont considérés comme “valides” tant que les prédictions qu’ils permettent sont vérifiées. Si la réalité s’écarte des prédictions, en général on revoit le modèle et la théorie sous-jacente, parce-qu’on se dit qu’on a dû rater un truc. Et en général, avant de considérer qu’un modèle est valide, on s’assure qu’il permet de prédire avec une bonne précision… le passé. Si le modèle, en partant d’une situation connue, ne permet pas de retrouver une situation postérieure connue, personne ne peut considérer en toute bonne foi que ce modèle permettra de prévoir une situation future.


C’est bien vrai. Mais je préciserai que les modèles se doivent d’être aussi cohérent au niveau physique. Par exemple, j’ai un copain qui durant sa thèse avait conçu un modèle pour la prédiction de certaines événements solaires à partir de la mesure de l’irradiance de celui-ci. Son modèle était “parfait”, il était en accord avec le passé, le présent et même le futur. Sauf qu’il était basé sur physiquement rien de sensé (en rapport avec la physique solaire) et donc quasi-inutile en l’état (car impossible de faire, au moins, une injection entre son modèle et la réalité). Mais ça marché du tonnerre de Zeus pourtant !



Pour le reste je suis d’accord.

Le 23/09/2021 à 12h 40


Kwacep a dit:


Je prend l’exemple du Covid-19. Où tout au début les scientifiques (je ne parle pas du gouvernement, c’est une autre histoire) annonçaient des choses puis ont appris et annoncés d’autres choses. Dans ce cas, quand même les personnes dont c’est leur spécialités ne sont pas suffisamment compétent, comment pourraient l’être correctement des plateformes ???


Bienvenue dans le monde merveilleux des sciences dures (i.e., maths, physiques, chimies, bio, info …). En Sciences (avec un S majuscule, svp), il n’y a pas de vérités mais des consensus. Par exemple la mécanique de Newton marche plutôt bien pour expliquer le mouvement de la Terre autour du Soleil. Par contre pour le cas de Mercure Périhélie Mercure, ça change un peu la donne.



Ces personnes ne sont pas incompétentes (enfin modulo certains druides), mais elles ne font que transmettre l’etat des connaissances E sur un sujet X à un instant t.



Le problème avec le Covid, c’est que le discours scientifique a été amené sur la place publique sans que les médias est la compétence (pour le coup, les incompétents ce sont eux) pour expliquer le fonctionnement de la science. Et d’où cette impression que même les scientifiques ne sachent pas eux-même de quoi ils en retournent. Alors que dans les faits, c’est que l’état des connaissances E à t1 et t2 est différents (E(t1) != E(t2) pour E appartenant au sujet S).



PS : C’est hors sujet par rapport à la news, mais je tenais à clarifier ce point.

Le 23/09/2021 à 12h 45

Je vais creuser ce point. Merci.

Le 22/09/2021 à 10h 47

Quelles sont les raisons de l’abandon d’OpenCL ? Performances, évolution de l’API, proportion de CUDA/OpenCL ?

Le 23/09/2021 à 12h 42

On touche un peu au limite de mes connaissances, donc ne pas hésiter à corriger ce que je dis si quelqu’un connait mieux que moi le sujet.



En cryptographie:




  • Une clé publique et une clé privée, c’est mathématiquement la même chose. La clé privée est privée car on la garde secrète, et la clé publique est publique car on la diffuse.

  • chiffrer / signer, c’est quasiment la même chose. Chiffrer: c’est protéger le message en le chiffrant avec l’une des clés. Signer, c’est chiffrer le hash du message avec l’une des clés. L’autre clé servant à déchiffrer le message ou le hash et donc respectivement, lire le message d’origine ou s’assurer de l’émetteur.



De part ce postulat, d’un sens ou d’un autre, c’est pareil mathématiquement, on revient toujours au même point: pour que le qrcode soit chiffré sur le papier imprimé, l’équipement vérifieur doit avoir une clé privée.



Et donc le problème revient simplement à: “comment gérer la confiance dans cette clé privée?”.



Je ne vois que 2 possibilités, raisonnablement impossible à mettre en œuvre techniquement.



1/ Si c’est une unique clé partagée entre tous les équipements vérifieurs, le niveau de sécurité de la clé correspond au niveau de sécurité le plus pourri de la chaine de confiance. La chaine de confiance étant l’ensemble des terminaux vérifieurs, à savoir, le téléphone de n’importe qui. Donc un niveau de confiance égal à 0.



2/ Si c’est une clé unique par équipement vérifieur, alors un système d’enrollment type pki, mais totalement inapplicable pour les raisons que j’ai données dans le précédent commentaire (QRcode long comme un dico, et révocation/réimpréssion de tous les QRcode à chaque ajout/suppression d’équipement vérifieur)

Je vois merci.

Le 20/09/2021 à 16h 53

Avec trois différences à l’usage :




  1. Une personne normalement constituée ne montre pas sa carte d’identité ou son permis de conduire à tout va. (Je parie que Mr Castex n’aurait pas montré son passeport ou sa carte d’identité comme ça).



  2. La carte d’identité et le permis conduire sont sous format d’une carte physique et non d’un QR code que l’on imprime/stocke n’importe où et n’importe comment.



  3. La falsification à partir d’une photo demande des compétences et en cas d’abus avéré lors de la présentation des dit documents ça va plus loin que le serveur qui refuse l’entrée au bar/restaurant…




Il me semble que le QR code a été présenté comme un trophée de jeux (sportif, Steam…) et non comme un document administratif “sensible” au même titre qu’une carte d’identité, un passeport ou un permis de conduire. Et le problème est là, peu de gens ont conscience de l’aspect sensible de ce document qui doit être traité avec précaution.
Peut-être que s’il était disponible sous forme d’une carte (façon carte Vitale), le comportement en aurait été différent.

Le 20/09/2021 à 14h 02

Négatif capitaine, en chiffrement asymétrique, chiffrer se fait avec la clé publique du correspondant. Ce qui signifie que:




  • l’état doit avoir la clé publique de chacun des équipements “vérifieur” (donc mettre en place un système d’enrollment type pki)

  • chaque QRcode devrait être chiffré avec chacune de ces clés (donc chaque QRcode serait long comme un dico)

  • A chaque nouvel équipement vérifieur enrolé, il faudrait réémettre tous les QRcode pour y intégré le chiffrement de la clé du nouvel équipement (administrativement impossible)

  • A chaque révocation d’équipement vérifieur, il faudrait réémettre tous les QRcode pour y supprimer le chiffrement de la clé révoqué (administrativement impossible)



Il y a techniquement deux autres solutions:




  • Partager une clé privée entre tous les équipements vérifieurs => on va ranger cette solution dans la catégorie, “impossible” et “contraire à toute logique en sécu”.
    ou

  • Centraliser les vérifications après d’un serveur central, auquel cas, l’état aura les logs de qui s’est déplacé où à chaque vérif de QRcode. Et supprimerait l’interêt du QRcode, puisqu’une simple carte d’identité serait aussi efficace.

Je me suis un peu embrouillé, merci pour les corrections et les détails !



En fait, ne pourrait-on pas faire quelque chose :




  1. L’Etat génère une clé privée/publique pour chiffrer les données. Il utilise sa clé publique (je sais c’est contre-nature) mais afin d’être le seul (ou ceux en la possession de celle-ci) à vérifier l’identité des gens.

  2. L’Etat génère une deuxième clé privée/publique pour signer. Il utilise la version privée et diffuse librement la publique.



Ainsi les restaurateurs, les gérants de salles de cinémas et autres peuvent s’assurer que le “parcours vaccinal” est conforme (mais pas l’identité). En cas de contrôle afin de vérifier l’identité et le statut vaccinal (comme dans un aéroport [Enfin en France en tout cas]), une application fourni par l’Etat qui dispose de la clé privée afin de pouvoir déchiffrer les données.
En réalité, c’est l’aspect “contre-nature” du 1. qui m’intéresse de débattre.



Alors certes ça immunise au risque de la falsification mais de pas de la subtilisation. Mais c’est un bon garant de la vie privée des citoyens. Évidemment ce n’est pas la panacée, mais en tout cas mieux que ce truc qui permet à quiconque avec un neurone de plus que la moyenne d’avoir des infos de santé sur une personne donnée.



Inutile de le relancer le sujet sur le Pass Sanitaire et l’idée ci-dessus n’aurait pas immunisé Mr Castex à la subtilisation. Ici c’est clairement lui le coupable d’avoir montré à tous ce pass. (C’est pour moi équivalent à diffuser sur sa page FB sa carte d’identité ou son passeport en clair… Faut pas être très futé ni conscient).

Le 20/09/2021 à 09h 36


(reply:1900621:Trit’)


Autant je suis d’accord avec vous dans l’idée de l’affrontement à la loyale, autant aucun de nos hommes politiques ne fait concrètement rien pour lutter contre les fuites de données (volontaire ou non) et pour lourdement sanctionner ce qui ne respectent pas les lois et les moyens (coucou l’absence de hash sur les mots de passe) pour sécuriser les données, surtout celle sensible.
Donc si Mr Castex (ou un autre) se retrouve en place public ça peut mettre en mouvement leur masse de cellules grises dans le bon sens, c’est une bonne nouvelle. Et s’il faut en passer par là pour ses neuneus de l’informatique se bouge, tant pis pour eux !



Pourtant tout était là. Puisqu’il signe le QR code avec un clé asymétrique, ils peuvent également la chiffrer. L’application de vérification se chargerait juste de vérifier que la signature a été produite par une clé émanent de l’Etat. Cracker une clé asymétrique de type elliptique nécessite 1. Une puissance de calculs considérables et donc inaccessible aux communs des mortels 2. L’aide d’une agence de renseignements (genre NSA), ce qui est encore hors de portée du commun des mortels.



Donc je suis pas vraiment d’accord, ça aurait été possible de le faire en respectant la vie privée des citoyens. Le problème n’est pas technique, il est purement gestion/management de projets. :fr:

Le 20/09/2021 à 16h 43


BlackLightning a dit:


C’est l’un des principal problèmes ! Et pour le coup, il est largement connu. Reste (c’est facile à dire mais en réalité, c’est hard core) à trouver de nouveaux matériaux ou lois physiques pour y arriver.



Une fois ça régler, les questions de chauffage du plasma, de confinement et de turbulences du plasma (et leurs couplages non-linéaires entre eux) reste encore d’actualité. Et c’est d’ailleurs l’un des but d’ITER, pouvoir évaluer/mesurer ces phénomènes afin de mieux les comprendre et les modéliser.


Oui je trollais un peu sur ITER au début, bien sûr ça a toujours un intérêt scientifique et technique, mais il faut admettre que depuis le retrait des Américains du projet, c’est un peu la course à celui qui ira le plus vite entre eux et les pays qui se sont associés sur ITER. Surtout que les Américains se sont justement retirés parce qu’ils ne croyaient pas en l’intérêt d’un projet à grande échelle comme ITER mais plutôt à une multiplicité de projets à plus petite échelle (comme celui du MIT justement) pour avancer vers la fusion.



Donc là USA 1 - consortium ITER 0 (voir -1 à cause du retard :transpi: )

J’ignore les tenants et aboutissants de pourquoi les Americains ont quitté le projet puis y sont revenu. Question de politique, diplomatie, espionnage, intérêt dans le projet ?



Par contre, je ne mettrais pas -1 pour ITER. Pour moi la balle est au centre (0-0). La raison est qu’ITER n’est que la partie visible pour le grand public/industrie d’installation plus modestes qui ont lieu dans les labos de recherches en France (à l’X par exemple ou Bordeaux [A vérifier pour l’installation MegaJoule]) ou en Suisse (EPFL) et d’autres ailleurs dans le monde. Et le projet ITER a l’avantage de mettre à contribution les savoirs et compétences scientifiques de nombreux pays réduisant le coût (certes colossale du projet) mais aussi l’utilisation d’infrastructure coûteuse comme les supercalculateurs ou des instruments de mesures eux aussi coûteux.



A voir dans la suite. Mais si la découverte du MIT s’avère fonctionnelle pour ITER (et de manière générale pour le confinement magnétique), ça sera un petit pas en avant.

Le 20/09/2021 à 14h 07


CowKiller a dit:


Ce n’est pas forcément un vieux serpent de mer. Sur le papier la fusion fonctionne sauf qu’il manque justement des aimants suffisamment puissants. C’est le principal problème.



C’est l’un des principal problèmes ! Et pour le coup, il est largement connu. Reste (c’est facile à dire mais en réalité, c’est hard core) à trouver de nouveaux matériaux ou lois physiques pour y arriver.


Une fois ça régler, les questions de chauffage du plasma, de confinement et de turbulences du plasma (et leurs couplages non-linéaires entre eux) reste encore d’actualité. Et c’est d’ailleurs l’un des but d’ITER, pouvoir évaluer/mesurer ces phénomènes afin de mieux les comprendre et les modéliser.