Je ne vois pas trop comment maquiller ça vu qu’il va bien falloir à un moment donné savoir de quoi on parle (au plus tard lors de la visite du professionnel). Ils risquent donc de se faire sanctionner à ce moment-là.
Mais avec en plus des mesures anti-spoofing, ça commence à aller dans le bon sens, même s’il y a encore des failles.
quand tu te connectes en VPN tu n’es pas dans la même zone de sécurité que si tu te connectes depuis ton poste ).
C’est juste une config à changer par les admins réseau ça non, ou au moins une passerelle à mettre en place entre les deux zones pour autoriser les usages nécessaires.
Ou sinon utiliser son poste à distance, donc avec les mêmes droits et le même environnement que sur place, comme je l’ai expliqué.
Le
22/01/2020 à
21h
03
soupêtte a écrit :
3 pc portables pour 150 personnes donc 3 télé-travailleurs.
très peu de moyens mis dans le portage des vieilles applications dos en applications web, voir totale impossibilité
Les problèmes d’applications non déplaçables peuvent être résolus en utilisant de chez soi son PC resté dans l’entreprise, au travers d’un VPN. Ca pose des problèmes de sécurité mais ils ne sont pas insolubles, on peut notamment blinder l’accès pour n’autoriser que le trafic du logiciel de prise de contrôle à distance, avec une politique de mot de passe approprié.
Ca résoud aussi les problèmes de synchronisation des données entre plusieurs PC (puisqu’il n’y a qu’un PC de travail), et aussi en partie les problèmes de fournitures de matériel puisque n’importe quel PC basique (le PC perso du travailleur ou un PC portable pas cher et peu puissant), sans qu’il n’y ait rien à y installer d’autre que le logiciel d’accès à distance et celui du VPN. Ils ne contiennent aussi aucune données autre que le certificat de connexion au VPN (inutilisable sans son mot de passe et facilement révocable) qui pourraient être volées avec le portable.
Les PC portables peuvent ainsi tourner sans problème entre les travailleurs, chacun retrouve toujours son environnement comme il a laissé, y compris quand il vient travailler sur place sur le PC non portable. Comme un client léger mais sans les infrastructures souvent propriétaires et chères qui vont avec.
Reste le problème de la qualité de la connexion Internet, c’est peu gourmand mais dans certains rares cas, ça ne passe vraiment pas. Et bien sûr tous les autres problèmes non techniques mais plutôt qui font que tout le monde ne peut pas travailler à distance.
Et à la grande époque du FPS roi, Quake 3, on essayait d’atteindre 125ips pour faire buguer le moteur physique. On aurait pu rester en 60ips sans ce bug c’était pareil.
Ah bon ? Pourtant je dépassais déjà facilement 125 fps en qualité maxi (je ne suis pas pro) et je ne me souviens pas de ce genre de bug. Peut-être que ça avait été corrigé à un moment et que je suis arrivé plus tard que toi ?
Mais sinon, le fait d’avoir plusieurs centaines de FPS était plutôt un effet de bord. A moins peut-être une conséquence sur l’input lag, mais ce n’était pas le but principal recherché.
Le
21/01/2020 à
23h
00
skankhunt42 a écrit :
C’est marrant car sur le reedit de fortnite les consoleux gueulent depuis des mois pour avoir plus de 60 fps, avoir le jeu tout en low et gicler les ombres. Et ça les gènes pas non plus de passer en 720p.
A l’époque où je voyais des gens jouer à des FPS en se revendiquant “pro” (à tort et à raison), ils jouaient volontairement en 640x480, sans textures (donc murs et sol couleur unie), sans effets de lumière, arme non visible à l’écran, et persos adverses les plus flashy possibles quand le jeu le permettait. Et ce avec des grosses machines, donc ils avaient genre 400-500 FPS. Je ne sais pas si ça se fait toujours, du moins à ce point-là.
Déjà sur PC fallait bien bidouiller pour arriver a ce résultat, donc sur console je crois qu’ils peuvent toujours rêver, même si techniquement c’est faisable facilement puisque ça demande encore moins de ressources que la qualité minimale prévue par l’éditeur du jeu.
Pour quoi faire un VPN ? Ce sont les hébergeurs qui sont visés par cette loi avec l’obligation de retrait, pas les auteurs qui étaient déjà condamnables avec les lois actuelles.
Si on veut se soustraire à ce risque il faut plutôt choisir un hébergeur étranger plutôt qu’un VPN. Du moins quand c’est possible de le choisir, si c’est du contenu posté sur Facebook on n’a pas le choix et ça pourra être censuré, même posté avec un VPN.
Pour éviter ou limiter l’effet déplacement des call centers à l’étranger, pourquoi ne pas rendre simplement responsable les entreprises clientes, celles qui demandent et bénéficient de l’apport de clients ? Faire comme si l’appel était passé par cette entreprise, et sous sa seule responsabilité ?
Le demandeur de ces appels est presque toujours une société établie en France, même si le call center est à l’étranger. A eux ensuite d’établir des contrats avec le call center qui leur garantissent que ce dernier respectera la loi.
L’exemple des rénovations énergétiques rentre parfaitement dans ce cadre.
Autre question, les pays où l’opt-in est de rigueur sont-ils (beaucoup) démarchés depuis l’étranger ? Histoire de voir si cette “peur” de la fuite à l’étranger est fondée.
Avec Netflix qui est inclus dans leur offre les plus récente, j’espère qu’ils ont bien amélioré leurs lien de peering entre leur reseau et celui de Netflix car sinon le soir à 21h ca va pas le faire du tout
Tout à fait, mais seulement pour Netflix. Pour les autres la politique globale reste, et donc on se demande toujours quand et quel sera le prochain site à ramer chez Free.
Raison pour laquelle je n’y mettrai plus les pieds.
Le
15/01/2020 à
22h
50
BobQuiTue a écrit :
Chez Free en fixe c’est toujours la misère avec YouTube qui rame ? J’étais passé chez Sosh pour ça il y a quelques temps… et j’ai vu une vraie hausse de mon débit reel sur les sites et services les plus grands publics (app stores, mises à jour d’os divers, YouTube, etc. )
Non Youtube c’est bon, mais à ma dernière tentative d’abonnement, c’était Netflix qui ramait. Du coup c’est imprévisible, on se demande toujours qui sera le prochain, je suis parti très vite et je risque pas de m’y réabonner un jour.
C’est vrai ça, on parle toujours que de Google dans cette histoire, mais ils ne sont pas les seuls ni les meilleurs à faire ça, comment les autres ont géré cette loi ?
Le modèle de l’oeuvre numérique à la vente est foireux, à part iTune qui a eu un succès un temps (mais dans l’environnement très fermé Apple), ça n’a jamais vraiment fonctionner.
Permettre la revente d’occasion d’oeuvre numérique signerait la fin de ce modèle de distribution*.
Du coup ce serait la fin de quelque chose qui n’a jamais vraiment commencé ? Ca ne changerait pas grand chose du coup.
JoePike a écrit :
Bof et encore on a de la chance , on peut très bien imaginer qu’on peut lire avec un seul oeuil.
" />
Ou avec son doigt, comme les aveugles.
Jarodd a écrit :
Je note, les z’éditeurs ne veulent pas que les oeuvres soient diffusées " />
Oui, je me rends compte que je me pose cette question à chaque news du genre. Qu’ils se les gardent du coup !
Est-ce qu’il est au moins prévu que les nouveaux satellites actuels soient capable de se désorbiter eux-mêmes sur ordre, indépendamment de l’état de fonctionnement des autres systèmes non nécessaires à cette fonction ?
Je dis peut être une bêtise, je ne me représente pas bien l’énergie nécessaire ni la complexité du guidage pour un désorbitage plus ou moins automatique ou téléguidé, mais la réponse m’intéresse.
intéressant, ça ressemble au protocole Enocean, mais la fiche amazon indique bien ZigBee!
Le sans pile n’est pas lié au protocole (même si certains ont des contraintes qui ne le permettrait pas). C’est juste que Enocean a choisi de se démarquer en faisant du sans pile le principe de base de son écosystème. Mais ca peut aussi se faire avec d’autres protocoles.
Il vaut mieux demander à voir le terminal alors avant de payer, plutôt que voir le ticket après avoir payé. Comme je dis, je n’ai jamais été confronté au cas de ne pas voir le terminal, alors je ne me suis pas posé la question.
Pensez-vous à des montants erronés volontairement ou involontairement ?
Le
28/11/2019 à
15h
20
Je n’ai jamais encore été confronté à ce cas (le terminal étant toujours à portée de main), mais sinon ça se voit aussi sur le relevé de compte, même si c’est moins instantané et plus difficile (il faut se rappeler après coup).
Y a-t-il des commerçants qui s’amusent à tricher sur ça ? C’est risqué quand même, dans la mesure où les paiements sans contacts sont facilement annulables par les clients auprès de leur banque, si un commerçant s’y risque régulièrement, il va rapidement être grillé. Sans compter que le gain potentiel est limité vu que les montants maximum le sont.
Ou peut-être fais-tu plutôt allusion aux erreurs de saisie ? Dans tout les cas, on peut toujours demander à voir le terminal avant.
Je ne connaissais pas ce cas. C’est sur quel RIP ?
Le SYANE en Haute-Savoie. C’est une entité historique qui déploie toutes sortes de réseaux depuis 1950, et qui du coup s’occupe aussi du réseau fibre, en s’appuyant sur ce qu’ils ont déjà déployé pour les professionnels.
Le
26/11/2019 à
22h
20
robin4002 a écrit :
Covage est un opérateur d’infrastructure (comme Orange, SFR, Altitude et Axione). Il construit et exploite des réseaux FTTH, mais se limite à la partie technique contrairement à Orange et SFR qui sont aussi opérateur commercial.
OK je vois, c’est pas partout pareil. Dans mon cas c’est un RIP à l’échelle du département, qui a choisi de louer ses lignes entre autres à Covage pour donner aux abonnés accès aux opérateurs Internet avec lesquels Covage travaille. Mais les raccordements et l’infrastructure locale sont gérés par le RIP.
Le
25/11/2019 à
12h
50
Je peux me tromper, mais Covage ne fibre pas chez l’abonné, ils fournissent des connexions entre des réseaux de fibre optique locaux et des fournisseurs d’accès à Internet.
En conséquence, la qualité de l’accès à Internet dépend du fournisseur d’accès, et la qualité du fibrage dépend de l’entité qui gère le réseau local (commune, département, etc…), Covage s’occupant seulement de l’acheminement des données entre les deux réseaux.
Après peut-être qu’il y a des endroits où Covage a décidé de gérer aussi le réseau local, je ne sais pas. Chez moi on est dans le cas que j’ai décrit, et l’inpact sur la qualité devrait donc être plutôt réduit.
Il suffit de lire la légende de la carte avec le (¡) sur monreseaumobile.fr
… Ou de lire l’article ci-dessus qui relate ce qui est considéré comme un succès (vert) ou un échec (rouge).
Quand on y pense, 10 secondes, c’est long. C’est vrai.
En fait, je me demandais plutôt s’ils faisaient la différence entre les TGV qui roulent à pleine vitesse et ceux qui roulent au même endroit mais moins vite.
Parce que je trouve qu’il y a beaucoup de vert entre Lyon et Paris, alors que moi quand le TGV était à pleine vitesse, je pouvais quasiment rien charger, que ce soit avec Bouygues ou Orange, en 3G ou 4G.
Le
23/10/2019 à
22h
00
Je n’ai pas beaucoup pris le TGV mais quand je l’ai fait, la data (3G et 4G) ne fonctionnait pas ou très mal à pleine vitesse. Ce qui rejoint une (vieille) info que j’avais lu qui disait que ce n’était théoriquement pas possible que ça fonctionne correctement à ces vitesses.
Pour les appels je n’ai pas testé, mais je crois avoir entendu autour de moi des gens lutter.
Quelqu’un a une expérience différente ou similaire à rapporter ? Parce que du coup j’en viens à m’interroger sur ce qu’ils mesurent dans les TGV.
Si on en a rien à battre de la musique, on écrit raisonnement. Par contre, en musique si on a un tambour à battre, il résonne et on parle alors de résonnement.
" />
Plotôt de résonnance mais j’ai pensé la même chose en voyant cette faute. :-)
J’en suis resté à “il ne faut surtout pas payer l’amende sinon la faute est reconnue”, il y a eu un changement récent ? Mais je suis d’accord avec la suite, c’est chronophage et couteux.
Non, il ne faut pas payer l’amende pour contester, mais éventuellement la consigner. Le geste est le même (il faut donner les sous), mais la conséquence juridique est différente, l’infraction n’est pas reconnue et les points ne sont pas enlevés (c’est comme une caution).
Et la consignation n’est obligatoire que dans certains cas (que je ne peux pas citer de mémoire). Personnellement j’ai déjà pu contester sans consigner pour amende minorée non reçue.
Ricard est européen et peut partir en Suisse, je ne dis pas le contraire. Et je peux même être d’accord sur le fait que le Suisse est un Européen. Mais ce n’est malheureusement pas le problème de mon intervention que me conteste Ricard.
Petit détail, la Suisse n’est pas dans l’UE. Elle a pas mal d’accord avec (d’ailleurs toujours avec des clauses de sauvegarde qui lui donnent de la marge de manœuvre), mais elle n’en fait pas partie.
Un citoyen de l’UE peut s’installer en suisse plus facilement que s’il ne l’était pas, mais pas aussi facilement que s’il s’installait dans un autre pays de l’UE. L’inverse est aussi vrai car un suisse n’est pas citoyen de l’UE. Dans les deux cas, ça dépendra entre autres de quel pays de l’UE est concerné.
Ceci dit, ça ne remet pas en cause votre raisonnement, c’est juste que l’exemple de la Suisse est mal choisi.
Pour le coup ça n’a rien à voir avec l’énergie noire ^^
(la confusion est donc totale, merci les dénominations racoleuses " />)
Ca dépend, il me semble qu’on désigne par matière noire la matière que l’on n’arrive pas à observer optiquement, mais dont on a plus ou moins constaté l’existence d’une autre façon.
Peut-être que ces galaxies ont été activement recherchées optiquement après avoir été détectées d’une autre façon. Dans ce cas c’était bien de la matière noire avant qu’on n’arrive à l’observer.
Tout dépend de la définition que l’on donne à non observable, est-ce qu’on inclut dedans ce qui est très difficilement observable sans une recherche délibérée à un endroit ciblé et à l’aide du meilleur matériel existant ? Si oui, alors avec l’évolution technologique constante, la matière noire va graduellement l’être de moins en moins.
Tu n’as pas accès au code utilisé par l’ABS de ta voiture pour l’arrêter en cas de freinage d’urgence (encore pire avec l’IBS).
Ca ne te dérange pas de confier ta vie à une boite noire dont tu ne sais même pas comment elle fonctionne ?
Moi ça me paraît logique, en me posant la question des intérêts que peuvent avoir les différents acteurs, et l’avantage que m’apporte de système.
Personne n’a d’intérêt à ce que des avions s’écrasent massivement ou à ce que des voitures refusent de freiner. Les fabricants veulent que leurs systèmes ne tuent personne parce qu’ils veulent continuer à les vendre, et les utilisateurs n’ont pas envie de mourir.
Quelques terroristes (ou services secrets ?) pourraient vouloir ponctuellement pirater un de ces systèmes pour provoquer quelques catastrophes, mais comme ils ne sont pas connectés c’est simplement du sabotage, et ça peut se faire ailleurs que sur la partie informatique. Et il faut le faire sur chaque système, pas moyen de le faire en masse.
Aussi, on fait confiance à ces systèmes (tout comme on fait confiance au pilote d’un avion et pourtant il est déjà arrivé que certains se suicident avec leur avion), parce qu’on n’a pas le choix à moins de savoir piloter, ou de savoir parfaitement maîtriser ses freins en cas d’urgence pour ne pas perdre le contrôle.
Avec le vote, surtout connecté, les intérêts en jeu sont beaucoup plus compliqués. Ca peut aller de l’élu local qui a envie de privilégier son parti dans son bureau de vote, à un piratage national organisé par un parti, par la société éditant le logiciel, ou même par un gars dans son coin qui a trouvé une faille et veut imposer son choix à toute la population. C’est difficile à prévoir.
Et surtout, on n’est pas obligé de faire confiance à un système ou à des gens, puisqu’il existe déjà un type de vote où on peut tout vérifier et comprendre soi-même, et même participer, du début à la fin : le vote papier.
En bref, on compare un système qui permet d’assurer une fonction que l’on ne peut pas assurer soi-même, pour lequel quasiment personne n’a intérêt à ce qu’il foire, avec un système qui assure une fonction qu’on assure déjà soi-même, que plein de monde peut avoir intérêt à influencer. Logique qu’on accepte de confier notre vie au premier et pas au deuxième.
Le
14/08/2019 à
06h
28
choukky a écrit :
" /> Hein ? Tu connais pas la technique de la vapeur d’eau pour ouvrir une enveloppe sans la déchirer ? " />
Si, mais je doute qu’elle fonctionne avec l’enveloppe intermédiaire faite justement pour ne pas être ouverte facilement.
Et même avec l’enveloppe extérieure, c’est peut-être moi qui suit pas doué (je l’ai eu fait pour décoller les timbres), mais ça gondole assez vite avant de se décoller.
Le
13/08/2019 à
21h
49
NiKKrO_70 a écrit :
Comme l’enveloppe qui contient le vote est séparée (enveloppe brune dans l’autre enveloppe pour le secret du vote) il suffit de pouvoir ouvrir l’enveloppe blanche pour remplacer l’enveloppe brune sans changer le reste du pli. Ainsi monsieur X a voté Y au lieu de Z. Je ne pense pas que les enveloppes puissent être sécurisées.
Oui mais il faut une technique pour les ouvrir et les refermer sans que ça se voie ni que ce soit trop long, et qui marche l’enveloppe extérieure fournie (qui est certainement étudiée pour compliquer la tâche un minimum, même si ce n’est pas sa fonction première).
Ensuite comme l’a dit Z-os, il y a une enveloppe intermédiaire dont la fonction première est de ne pas pouvoir être ouverte sans déchirement. On peut la remplacer par une autre mais il faut alors recopier fidèlement la signature et les nom et prénom dessus, avec une écriture différente à chaque fois.
Si au dépouillement on constate un bon nombre d’enveloppes mal fermées, de signatures bizarres et/ou d’écritures ressemblantes, il risque d’y avoir de fortes suspiscions et un examen plus approfondi pouvant mener à l’annulation du scrutin, surtout si le résultat est lui-même suspect.
Le
13/08/2019 à
16h
37
Ou alors intercepter les vraies lettres, les ouvrir, remplacer l’enveloppe contenant le bulletin par une autre, remballer dans une nouvelle enveloppe avec un timbre qui ne soit pas toujours le même et des cachets du bureaux de poste différents, et remettre dans la boîte.
La dernière phrase de mon post précédent s’applique aussi bien à cette technique.
Les margoulins dépouillaient les boites aux lettre du Trésor Public et Urssaf pour arriver à leur fin.
Il n’y a pas besoin de courrir derrière les lettres comme un damné, il suffit juste de savoir dans quelle boite elles arrivent. " />
En l’occurrence là, il s’agissait d’intercepter des lettres déjà écrites.
Dans le cas du vote par correspondance, c’est l’inverse, il faut créer des lettres, avec des justificatifs différents à chaque fois et qui doivent correspondre à des personnes inscrites sur les listes. L’effort est bien différent, et sans gain immédiat et sûr à la clé pour motiver.
Le
12/08/2019 à
16h
05
Pourquoi vous parlez de vote depuis les chiottes ou le canapé ? Relisez le début de l’article, le vote par Internet est destiné aux expatriés, qui sont facilement (très (très)) loin des bureaux de vote.
Cette problématique spécifique impose une solution spécifique. Le vote par Internet en est une, même si ce n’est pas la seule, elle a un intérêt.
Reste à voir s’ils arrivent à l’implémenter de manière satisfaisante.
Le
12/08/2019 à
14h
57
eb303 a écrit :
Si tu fais comme ça, il n’y a aucune possibilité de vérifier que les votes enregistrés sont effectivement ceux qui ont eu lieu. Avec le vote papier, c’est quasiment garanti par le côté physique des bulletins et l’organisation, mais avec le vote par Internet, c’est une grosse boîte noire. Donc s’il y a un bug ou une manipulation, si on fait comme tu dis, personne ne voit rien ni ne peut rien voir.
Je me suis mal exprimé, je voulais dire enregistrer une liste de bulletins, pas seulement le nombre de votes pour chaque candidat. On peut toujours trafiquer la liste pour en rajouter, mais alors ça ne correspond plus au nombre de votants.
Et d’ailleurs pour ce qui est des manipulations, je prends toujours pour acquis avec le vote électronique qu’il y a de toute façon moyen de truquer les données ou le programme de telle sorte qu’on ne puisse plus récupérer les données d’origine, rendant toute correction impossible. Mais j’ai peut-être tort.
Le
12/08/2019 à
14h
45
Je n’avais pas forcément vu les choses comme ça, je pensais que la perte d’anonymat était du au fait qu’on ne sait pas ce que le programme fait des données nominatives (et qu’il pouvait donc nous les voler s’il voulait), pas que l’association entre choix et données nominatives était nécessaires à la fiabilisation du résultat.
C’est vraiment plus difficile de modifier un résultat quand il est associé à des données nominatives ?
P.S. Je ne suis pas en train d’argumenter et je ne souhaite pas lancer de débat. Je pose juste des questions en mauvais connaisseur du sujet. Je dis ça pour éviter les batailles commme sur l’autre news avec les machines.
Le
12/08/2019 à
14h
26
L’ANSSI soulève la possibilité que quelqu’un puisse récupérer la liste de qui a voté pour qui. Je trouve très étonnant que cette liste existe.
Je comprends bien la problématique spécifique au vote par Internet, où il faut bien identifier nominativement les votants à un moment de la procédure, pour éviter les doubles votes. Mais je pensais que cette information était dissocié du choix du candidat.
Il me paraît plus logique de tenir une liste des personnes ayant voté, et séparément, le nombre de votes pour chaque candidat. Ainsi personne ne peut relier qui a voté pour qui. C’est d’ailleurs fait exactement comme ça pour le vote papier, qui est soumis finalement à la même problématique.
Y a-t-il une raison de ne pas appliquer ce principe au vote par Internet ?
Pour que ce soit rapide, et que ça coûte pas cher, je propose qu’on tire le résultat de chaque élection au sort.
Ce type de démocratie a déjà existé, mais le tirage au sort ne se faisait pas entre tous les candidats, mais entre tous les éligibles (soit la majorité de la population majeure). Il y a des avantages, mais ça fait toujours un peu peur.
Le
06/08/2019 à
15h
17
Tandhruil a écrit :
Un peu comme quand un électeur met une enveloppe sans bulletin ou avec 2 bulletins ?
Tout à fait, mais c’est le nombre d’enveloppes qui est à comparer avec le nombre d’émargements, pas le nombre de bulletins.
Et le cas où quelqu’un a plié une enveloppe pour la mettre dans une autre est je pense suffisamment rare pour que ce soit signalé immédiatement pendant le dépouillement et que les enveloppes surnuméraires soient mises de côté.
Le
06/08/2019 à
11h
44
Ah oui un petit détail aussi qui vient de me revenir, avec les machines à voter, on ne sait pas si celui qui émarge a réellement voté (dès fois même l’émargeur peut ne pas le savoir). Du coup les écarts de nombre sont assez probables, et insolubles quand ils se produisent.
Le
06/08/2019 à
11h
34
Tandhruil a écrit :
Mouais…
Quel est le contrôle du vote papier :
Émargement, et correspondance entre le nombre d’enveloppe, le nombre de bulletin et le nombre signature avec contrôle de l’intégrité des urnes et de la chaine de dépouillement.
A aucun moment on sait si un prestidigitateur n’a pas remplacé ton enveloppe par une autre.
Personne ne touche ton enveloppe avant qu’elle n’atterrisse dans l’urne, même avec de la prestidigitation, ça va être compliqué, d’autant plus qu’il y a plusieurs personnes qui regardent de plusieurs angles.
Et ensuite l’urne n’est jamais ouverte avant le dépouillement. Tout le monde le sait, comprend pourquoi, et peut s’il le veut rester toute la journée au bureau (en plus des déjà présents) pour surveiller. Donc les enveloppes déjà dedans vont y rester et leur contenu ne va pas changer tout seul.
La machine à voter elle fait ce qu’elle veut (enfin plutôt ce que quelqu’un de mal défini lui a demandé de faire), on ne peut rien vérifier.
Le
06/08/2019 à
07h
19
Patch a écrit :
A partir du moment où ce sont les machines qui enregistrent de facon électronique, et non sur papier.
Même quand la machine imprime ou compte du papier, c’est difficile de savoir s’il elle n’a pas été trafiquée. Certes on peut s’en assurer en recomptant les bulletins manuellement, mais c’est lourd comme opération, donc ça ne se fera que s’il y a des soupçons plus ou moins importants. Une triche non évidente pourrait donc passer inaperçue.
Le
06/08/2019 à
06h
19
Kurton a écrit :
Ta méthode présente des risques quant à la recevabilité des votes. C’est pour ça que ce genre de méthode n’est pas employé.
Alors il faut simplement modifier cette loi pour que l’on ait le droit de faire une seule croix (ou remplissage) dans une seule case, possiblement d’une seule couleur prédéfinie. Ca me semble de l’ordre du faisable, il y a bien du y avoir une modification à un moment pour autoriser les machines à voter.
Quand à la clarté, ça me semble assez clair comme système. Tout le monde comprend, et on peut faire des cases assez grosses pour que tout le monde les voie bien, avec des couleurs si nécessaire, et recto-verso s’il y a beaucoup de candidats.
Pour le dépouillement, on peut toujours faire des piles, même si c’est vrai qu’un bulletin mal placé ne se verra pas facilement. Mais comme j’ai dit, c’est l’inconvénient de ce système, à voir si les avantages en valent la chandelle ou non.
Le
05/08/2019 à
15h
41
KP2 a écrit :
Parce qu’une élection coute cher et les résultats sont pas assez rapides…
On croit que ça sera résolu par des machines.
Pas assez rapide ? On a les résultats au niveau national en moins de 12h après ouverture des bureaux (ou 3-4h après fermeture. Franchement les gars, c’est quoi rapide pour vous, et qu’est-ce qui nécessite que ça aille plus vite ?
Pour ce qui est du coût, il faudrait surtout arrêter l’énorme connerie de faire un bulletin par candidat. C’est cher (impression + envoi), ça génère une énorme surproduction, et tous les bulletins ne sont pas disponibles partout.
Faire un bulletin unique avec tous les candidats, à cocher ou à perforer. Il n’y en a qu’un à imprimer par habitant et ils sont tous identiques (économie d’échelle), et tous les candidats sont représentés partout. Certes, une partie des stylos disparaîtront à chaque fois des bureaux, mais les restants sont réutilisables pour la prochaine fois.
Le seul inconvénient que j’y vois est que le choix est moins visible lors du dépouillement, ce qui ralentira le processus et génèrera un peu plus d’erreurs humaines (erreurs par nature aléatoires et non orientées).
Et si on veut vraiment utiliser des machines pour accélérer le dépouillement, pourquoi pas creuser du côté des machines à dépouiller les bulletins papier ? Au moins le résultat est vérifiable manuellement, même si je trouve pas ça idéal non plus parce que la machine ira trop vite pour qu’un observateur puisse vérifier en temps réel qu’elle n’oriente pas le résultat.
Cela concerne juste les clients ou les professionnels aussi?
Car pour des raisons comptable, on est obligé d’avoir une trace des ventes et des paiement CB.
C’est un domaine où les règles de gestion des justificatifs devraient être remises à plat. Outre l’aspect écologique, ça casse les pieds aux employés qui doivent les garder et les faire suivre (parfois à distance) à leur employeur, aux comptables qui doivent les vérifier, les ordonner, les ranger dans des classeurs, et aux contrôleurs qui doivent aller fouiller dans tout ce bazar en espérant que ça a été bien rangé.
Je connais pas la solution, mais j’ai surtout l’impression qu’il y a énormément d’immobilisme dans ce domaine, et que personne ne la cherche. Je pense que l’impulsion devrait provenir de l’Etat par une modernisation des règles comptables et fiscales, parce que c’est souvent la peur d’avoir des problèmes avec l’Etat qui bloque tout le monde.
Merci pour cette initiation, mais je connais déjà tout ça. Ne sachant pas quelles étaient tes connaissances, j’ai pris un exemple similaire que tout le monde connaît exprimé en termes courants. Si les termes et la répartition des lignes comptables diffèrent, le principe reste le même.
K-Net ne gagne rien à se faire payer la valeur résiduelle, ça lui évite seulement de perdre totalement son investissement. Il est aussi possible que les abonnements déjà récoltés ne couvrent pas l’amortissement déjà comptabilisé pendant ces 5 ans vu qu’ils l’avaient dimensionné pour plus d’abonnés que ça et qu’ils n’auront plus l’occasion d’en acquérir de nouveaux. On ne sait pas non plus comment était réparti cet amortissement sur les 20 ans, il n’est pas forcément linéaire.
Et il reste des frais fixes de collecte et diverses locations comme j’ai déjà précisé (ainsi que d’autres ici), qui ne dépendent pas du nombre d’abonnés et qui continuent à courir sans pouvoir forcément être supprimables immédiatement.
Le
27/06/2019 à
15h
58
Tandhruil a écrit :
Quelle source de coût, les investissements K-Net sont remboursés (au prorata) par les amortissement sur 20 ans
Ils sont remboursés parce que la mairie a résilié le contrat de manière anticipée (5 ans au lieu de 20 ans). C’est comme quand on veut résilier un forfait mobile avec téléphone inclus et période d’engagement avant la fin de celle-ci, on paye des pénalités qui couvrent les abonnements qui ne seront pas perçus et sur lesquels l’opérateur comptait pour rembourser ses frais initiaux (l’achat du téléphone). Ce n’est pas générateur de gain financier, ça diminue (voire annule au mieux, mais peu probable) seulement la perte initiale.
Tandhruil a écrit :
et les équipements utilisés n’avaient plus de valeur
Les équipements ont certainement peu de valeur, mais ce qui a coûté le plus cher à K-Net, ce n’est pas les équipements, mais les travaux pour amener sa propre fibre de collecte jusqu’au point de mutualisation.
Tandhruil a écrit :
A moins que l’abonnement ne puisse couvrir les frais de gestion je ne vois pas comment ils peuvent perdre de l’argent.
Ils perdent de l’argent parce que leur marge sur 63 lignes ne leur permettra jamais de rembourser le coût initial des travaux dans un temps raisonnable. Il leur faudrait plus de lignes pour ça. Et il y a aussi des coûts fixes, comme la location du réseau municipal, notamment des liens de collecte et du local. Impossible de dire si ça compense ou non leurs abonnements sans avoir leurs comptes, mais même si ça les compense, le problème du remboursement des coûts initiaux subsiste.
Tandhruil a écrit :
Donc en gros les liaisons sont inutilisables par SFR mais ils auraient voulus une redevance ?
Elles ont été utilisables et utilisées pendant presque 2 ans.
Tandhruil a écrit :
SFR avait tout à perdre en terme d’image si les clients K-Net avaient
été coupé le jours du transfert surtout si le raccordement de ces
anciens clients prenait plusieurs années (probable étant donné qu'il
était nécessaire de faire des travaux de voirie).
Possible en effet, mais quand tu as le monopole, l’image de marque tu peux la reléguer assez loin dans les priorités.
Tandhruil a écrit :
Bref, ils ont
tous fait l'autruche en se disant "jusqu'ici tout va bien" et au moment
du crash ils se dédouanent tous au détriment des clients.
Vrai pour les 2 opérateurs (ce qu’on peut considérer comme étant des erreurs mais sans mauvaise intention), mais pas pour la mairie qui a généré cette situation, par malhonnêteté ou incompétence, et entretient volontairement un mauvais climat, tout en ne payant pas son dû à K-Net.
Le
27/06/2019 à
08h
50
OB a écrit :
Techniquement ça aurait été difficile, car les technologies ne sont pas les mêmes dans les 2 cas.
(Ethernet activé vs GPON).
D’autre part le réaménagement du réseau aurait bien eu lieu et aurait donc aussi nécessité l’interruption du service.
Je ne suis pas sur que SFR se soit porté acquéreur du réseau (à tout le moins pas au même prix ) si la reprise de k-net avait été un pré-requis. D’autant plus que , la technologie étant très différente, soit SFR aurait dû prévoir un cas particulier (je te dis pas le coût induit), soit k-net basculer en GPON (pour 63 abonnés temporaire…)
Enfin je ne suis pas sur que SFR soit structuré commercialement ni techniquement pour faire une telle offre à k-net , encore moins à un prix supportable par ce dernier.
Je pense la même chose, mais s’il y avait eu concertation avant vente, SFR aurait pu apporter cette réponse à K-Net et à la mairie, et ceux-ci auraient pris des décisions cohérentes, c’est à dire soit vendre en résiliant correctement le contrat d’exploitation et en coupant immédiatement le service, soit attendre que SFR soit effectivement prête à prendre le relais pour vendre.
C’est là-dessus que la mairie est malhonnête, elle choisit de vendre sans se préoccuper des conséquences (voire sans donner toute les informations à l’acheteur), somme les autres acteurs de régler les problèmes causés par cette vente, et les stigmatise avec une com dégueu. Et en plus elle ne paie pas son du.
Le
26/06/2019 à
16h
33
La mairie a juste fait n’importe quoi ici. Vendre un réseau exploité par un opérateur ne supprime pas le contrat d’exploitation. Ils ont pourtant fait comme si c’était le cas, et ne se sont préoccupés qu’un an plus tard de ce qu’il allait advenir de ce contrat, alors que ça aurait du être fait au moment de la vente, et entre les 3 acteurs. Ainsi la résiliation aurait pu être correctement négociée, SFR aurait été officiellement au courant de l’existence de ce contrat, et éventuellement K-Net aurait pu négocier un nouveau contrat temporaire d’exploitation avec SFR afin d’assurer la continuité du service.
Là ça ressemble à une vente illégale d'un logement avec un locataire dedans, le locataire qui (à raison) ne veut pas se faire mettre dehors immédiatement mais qui n'a pas de contrat avec le nouveau propriétaire, et l'ancien propriétaire qui a un contrat de location mais plus le logement associé.
Déjà c'est franchement moyen de revenir aussi vite sur un contrat censé être irrévocable pour 20 ans, et en plus, la mairie n'a pas encore réglé la facture de résiliation à K-Net, et jette encore de l'huile sur le feu en demandant à SFR d'enlever les équipements de K-Net d'un local qui appartient à la mairie, et les somme en plus de régler immédiatement entre eux une situation qu'elle a elle-même créée de toutes pièces. C'est peut-être de la grande incompétence, mais pour moi ça ressemble plutôt à de la grande malhonnêteté.
Ca m’étonnerait qu’une voiture autonome rate un passage à niveau, il y a toujours au moins un panneau avant. Et quand bien même le panneau serait absent, on voit quand même les rails au sol bien droits et en travers et le changement de couleur de la route autour, il y a le plus souvent des caténaires et des poteaux visibles au-dessus de la végétation (sauf pour les trains diesel mais ceux-là on les entend arriver), et le plus souvent, on a déjà pu voir auparavant qu’on roulait à côté ou vers une voie ferrée, et que donc si la route tourne vers la voie ferrée, il y a de fortes chances qu’on trouve un passage à niveau.
Je trouve qu'il faut le faire quand même pour un humain de rater un passage à niveau. Y en a peut-être qui dorment effectivement au volant mais ça c'est dangereux en toutes circonstances et pas sûr que leur GPS les réveillera, et il y a sans doute plutôt des gens qui font n'importe quoi en l'ayant bien vu.
Il faut dire aussi qu'il y a aussi des passages à niveau automatiques mal calibrés et qui restent fermés à côté d'une gare quand le train est à l'arrêt, et ce tant qu'il n'est pas reparti. Ce genre de configuration devrait être supprimée car elle fait perdre inutilement du temps à tout le monde et est génératrice de comportements "inappropriés", surtout quand il y a aussi des trains qui ne s'arrêtent pas à cette gare et qui passent donc à fond (de train ), surprenant ceux qui pensaient qu'il s'était arrêté.
L’article que tu as donné mentionne que sur les 60 € / an de moyenne, 1⁄3 sont dus aux découverts non autorisés. Ca nous fait donc 40 € / an de moyenne poir les découverts autorisés, on ne peut quand même pas qualifier ça de totalement excessif.
Correction, j’ai mal lu, ces 60 € / an ne portent en totalité que les sur les découverts non autorisés. Un découvert autorisé coûte bien moins cher que ça et est toujours limité dans le temps (interdiction de l’utiliser par exemple plus de 30 jours d’affilés sans repasser au moins une fois en positif) et proportionné aux moyens du client, ce qui limite grandement les agios. Ce n’est pas un crédit revolving.
1935 commentaires
Travaux de rénovation énergétique : l’Assemblée en passe d’interdire le démarchage téléphonique
23/01/2020
Le 23/01/2020 à 12h 08
Je ne vois pas trop comment maquiller ça vu qu’il va bien falloir à un moment donné savoir de quoi on parle (au plus tard lors de la visite du professionnel). Ils risquent donc de se faire sanctionner à ce moment-là.
Mais avec en plus des mesures anti-spoofing, ça commence à aller dans le bon sens, même s’il y a encore des failles.
Le gouvernement va simplifier le recours au télétravail dans la fonction publique
22/01/2020
Le 23/01/2020 à 10h 06
Le 22/01/2020 à 21h 03
Fortnite peut grimper jusqu’à 120 ips sur iPad Pro (2018)
21/01/2020
Le 22/01/2020 à 20h 22
Le 21/01/2020 à 23h 00
Cyberhaine : le délit de non-retrait adopté par les députés
22/01/2020
Le 22/01/2020 à 08h 20
Pour quoi faire un VPN ? Ce sont les hébergeurs qui sont visés par cette loi avec l’obligation de retrait, pas les auteurs qui étaient déjà condamnables avec les lois actuelles.
Si on veut se soustraire à ce risque il faut plutôt choisir un hébergeur étranger plutôt qu’un VPN. Du moins quand c’est possible de le choisir, si c’est du contenu posté sur Facebook on n’a pas le choix et ça pourra être censuré, même posté avec un VPN.
Des associations exhortent les députés à interdire le démarchage téléphonique
20/01/2020
Le 20/01/2020 à 18h 56
Pour éviter ou limiter l’effet déplacement des call centers à l’étranger, pourquoi ne pas rendre simplement responsable les entreprises clientes, celles qui demandent et bénéficient de l’apport de clients ? Faire comme si l’appel était passé par cette entreprise, et sous sa seule responsabilité ?
Le demandeur de ces appels est presque toujours une société établie en France, même si le call center est à l’étranger. A eux ensuite d’établir des contrats avec le call center qui leur garantissent que ce dernier respectera la loi.
L’exemple des rénovations énergétiques rentre parfaitement dans ce cadre.
Autre question, les pays où l’opt-in est de rigueur sont-ils (beaucoup) démarchés depuis l’étranger ? Histoire de voir si cette “peur” de la fuite à l’étranger est fondée.
Windows 10 build 19546 : la calculatrice gagne un mode graphique
20/01/2020
Le 20/01/2020 à 13h 30
Pour TI il y a l’application Android Graph 89 Free pour émuler les TI-89 (et 92 je crois), auquel il faut ajouter la ROM.
Mais de nos jours le traçage de courbe fait bien pixellisé quand même… Les autres fonctions de calcul sont plus intéressantes je trouve.
Changer de forfait internet mobile/fixe : les meilleures offres du moment
15/01/2020
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Le 15/01/2020 à 22h 50
Sites pornographiques : vérification d’âge et blocage dans le viseur de la majorité
16/01/2020
Le 16/01/2020 à 17h 45
la rapporteure Bérangère Couillard (LREM)
Le nom de circonstance " />
Droits voisins de la presse : Emmanuel Macron dénonce « le chantage » du déréférencement
16/01/2020
Le 16/01/2020 à 13h 36
C’est vrai ça, on parle toujours que de Google dans cette histoire, mais ils ne sont pas les seuls ni les meilleurs à faire ça, comment les autres ont géré cette loi ?
La justice européenne cadenasse la revente d’ebooks d’occasion
19/12/2019
Le 19/12/2019 à 19h 21
ClearSpace-1 : derrière la « dépanneuse » de l’espace, un enjeu vital
13/12/2019
Le 14/12/2019 à 10h 23
Est-ce qu’il est au moins prévu que les nouveaux satellites actuels soient capable de se désorbiter eux-mêmes sur ordre, indépendamment de l’état de fonctionnement des autres systèmes non nécessaires à cette fonction ?
Je dis peut être une bêtise, je ne me représente pas bien l’énergie nécessaire ni la complexité du guidage pour un désorbitage plus ou moins automatique ou téléguidé, mais la réponse m’intéresse.
NodOn lance un interrupteur sans fil ni pile, compatible avec les lampes Hue
02/12/2019
Le 02/12/2019 à 12h 29
L’impression systématique des tickets de caisse et de CB en passe d’être interdite par les députés
28/11/2019
Le 28/11/2019 à 17h 26
Il vaut mieux demander à voir le terminal alors avant de payer, plutôt que voir le ticket après avoir payé. Comme je dis, je n’ai jamais été confronté au cas de ne pas voir le terminal, alors je ne me suis pas posé la question.
Pensez-vous à des montants erronés volontairement ou involontairement ?
Le 28/11/2019 à 15h 20
Je n’ai jamais encore été confronté à ce cas (le terminal étant toujours à portée de main), mais sinon ça se voit aussi sur le relevé de compte, même si c’est moins instantané et plus difficile (il faut se rappeler après coup).
Y a-t-il des commerçants qui s’amusent à tricher sur ça ? C’est risqué quand même, dans la mesure où les paiements sans contacts sont facilement annulables par les clients auprès de leur banque, si un commerçant s’y risque régulièrement, il va rapidement être grillé. Sans compter que le gain potentiel est limité vu que les montants maximum le sont.
Ou peut-être fais-tu plutôt allusion aux erreurs de saisie ? Dans tout les cas, on peut toujours demander à voir le terminal avant.
Fibre : Altice en négociations exclusives pour racheter 100 % de Covage, pour 1 milliard d’euros
25/11/2019
Le 27/11/2019 à 15h 59
Le 26/11/2019 à 22h 20
Le 25/11/2019 à 12h 50
Je peux me tromper, mais Covage ne fibre pas chez l’abonné, ils fournissent des connexions entre des réseaux de fibre optique locaux et des fournisseurs d’accès à Internet.
En conséquence, la qualité de l’accès à Internet dépend du fournisseur d’accès, et la qualité du fibrage dépend de l’entité qui gère le réseau local (commune, département, etc…), Covage s’occupant seulement de l’acheminement des données entre les deux réseaux.
Après peut-être qu’il y a des endroits où Covage a décidé de gérer aussi le réseau local, je ne sais pas. Chez moi on est dans le cas que j’ai décrit, et l’inpact sur la qualité devrait donc être plutôt réduit.
Qualité de service mobile en 2019 : le bilan de l’Arcep en ville, sur les routes et dans les trains
23/10/2019
Le 24/10/2019 à 19h 08
Le 23/10/2019 à 22h 00
Je n’ai pas beaucoup pris le TGV mais quand je l’ai fait, la data (3G et 4G) ne fonctionnait pas ou très mal à pleine vitesse. Ce qui rejoint une (vieille) info que j’avais lu qui disait que ce n’était théoriquement pas possible que ça fonctionne correctement à ces vitesses.
Pour les appels je n’ai pas testé, mais je crois avoir entendu autour de moi des gens lutter.
Quelqu’un a une expérience différente ou similaire à rapporter ? Parce que du coup j’en viens à m’interroger sur ce qu’ils mesurent dans les TGV.
Redevance Copie privée : le point sur le possible assujettissement des disques durs internes
21/10/2019
Le 21/10/2019 à 20h 31
Le défaut d’assurance désormais verbalisable par le biais des radars automatiques
01/10/2019
Le 01/10/2019 à 18h 26
Deutsche Telekom met en vente Magenta, sa version de Djingo, qui se fait toujours attendre
13/09/2019
Le 14/09/2019 à 22h 41
Redevance Copie privée : vers un vaste assujettissement des PC et disques durs nus
19/08/2019
Le 19/08/2019 à 11h 23
Quelqu’un sait si, actuellement, la taxe sur les tablettes s’applique aussi aux ordinateurs portables tactiles x86 ?
Et au cas où il y aurait un suisse dans les parages, même question pour la redevance suisse.
Les questions soulevées par la découverte de 39 galaxies invisibles
14/08/2019
Le 16/08/2019 à 19h 27
Le vote par Internet prépare son retour pour 2020
12/08/2019
Le 14/08/2019 à 15h 46
Le 14/08/2019 à 06h 28
Le 13/08/2019 à 21h 49
Le 13/08/2019 à 16h 37
Ou alors intercepter les vraies lettres, les ouvrir, remplacer l’enveloppe contenant le bulletin par une autre, remballer dans une nouvelle enveloppe avec un timbre qui ne soit pas toujours le même et des cachets du bureaux de poste différents, et remettre dans la boîte.
La dernière phrase de mon post précédent s’applique aussi bien à cette technique.
Le 13/08/2019 à 16h 18
Le 12/08/2019 à 16h 05
Pourquoi vous parlez de vote depuis les chiottes ou le canapé ? Relisez le début de l’article, le vote par Internet est destiné aux expatriés, qui sont facilement (très (très)) loin des bureaux de vote.
Cette problématique spécifique impose une solution spécifique. Le vote par Internet en est une, même si ce n’est pas la seule, elle a un intérêt.
Reste à voir s’ils arrivent à l’implémenter de manière satisfaisante.
Le 12/08/2019 à 14h 57
Le 12/08/2019 à 14h 45
Je n’avais pas forcément vu les choses comme ça, je pensais que la perte d’anonymat était du au fait qu’on ne sait pas ce que le programme fait des données nominatives (et qu’il pouvait donc nous les voler s’il voulait), pas que l’association entre choix et données nominatives était nécessaires à la fiabilisation du résultat.
C’est vraiment plus difficile de modifier un résultat quand il est associé à des données nominatives ?
P.S. Je ne suis pas en train d’argumenter et je ne souhaite pas lancer de débat. Je pose juste des questions en mauvais connaisseur du sujet. Je dis ça pour éviter les batailles commme sur l’autre news avec les machines.
Le 12/08/2019 à 14h 26
L’ANSSI soulève la possibilité que quelqu’un puisse récupérer la liste de qui a voté pour qui. Je trouve très étonnant que cette liste existe.
Je comprends bien la problématique spécifique au vote par Internet, où il faut bien identifier nominativement les votants à un moment de la procédure, pour éviter les doubles votes. Mais je pensais que cette information était dissocié du choix du candidat.
Il me paraît plus logique de tenir une liste des personnes ayant voté, et séparément, le nombre de votes pour chaque candidat. Ainsi personne ne peut relier qui a voté pour qui. C’est d’ailleurs fait exactement comme ça pour le vote papier, qui est soumis finalement à la même problématique.
Y a-t-il une raison de ne pas appliquer ce principe au vote par Internet ?
Le gouvernement maintient le moratoire sur les machines à voter
05/08/2019
Le 07/08/2019 à 17h 55
Le 06/08/2019 à 15h 17
Le 06/08/2019 à 11h 44
Ah oui un petit détail aussi qui vient de me revenir, avec les machines à voter, on ne sait pas si celui qui émarge a réellement voté (dès fois même l’émargeur peut ne pas le savoir). Du coup les écarts de nombre sont assez probables, et insolubles quand ils se produisent.
Le 06/08/2019 à 11h 34
Le 06/08/2019 à 07h 19
Le 06/08/2019 à 06h 19
Le 05/08/2019 à 15h 41
Les députés de la majorité veulent interdire l’impression systématique de tickets de caisse
23/07/2019
Le 24/07/2019 à 07h 31
Limeil-Brévannes : la folle histoire des clients K-Net débranchés par SFR
26/06/2019
Le 28/06/2019 à 14h 44
Merci pour cette initiation, mais je connais déjà tout ça. Ne sachant pas quelles étaient tes connaissances, j’ai pris un exemple similaire que tout le monde connaît exprimé en termes courants. Si les termes et la répartition des lignes comptables diffèrent, le principe reste le même.
K-Net ne gagne rien à se faire payer la valeur résiduelle, ça lui évite seulement de perdre totalement son investissement. Il est aussi possible que les abonnements déjà récoltés ne couvrent pas l’amortissement déjà comptabilisé pendant ces 5 ans vu qu’ils l’avaient dimensionné pour plus d’abonnés que ça et qu’ils n’auront plus l’occasion d’en acquérir de nouveaux. On ne sait pas non plus comment était réparti cet amortissement sur les 20 ans, il n’est pas forcément linéaire.
Et il reste des frais fixes de collecte et diverses locations comme j’ai déjà précisé (ainsi que d’autres ici), qui ne dépendent pas du nombre d’abonnés et qui continuent à courir sans pouvoir forcément être supprimables immédiatement.
Le 27/06/2019 à 15h 58
Le 27/06/2019 à 08h 50
Le 26/06/2019 à 16h 33
La mairie a juste fait n’importe quoi ici. Vendre un réseau exploité par un opérateur ne supprime pas le contrat d’exploitation. Ils ont pourtant fait comme si c’était le cas, et ne se sont préoccupés qu’un an plus tard de ce qu’il allait advenir de ce contrat, alors que ça aurait du être fait au moment de la vente, et entre les 3 acteurs. Ainsi la résiliation aurait pu être correctement négociée, SFR aurait été officiellement au courant de l’existence de ce contrat, et éventuellement K-Net aurait pu négocier un nouveau contrat temporaire d’exploitation avec SFR afin d’assurer la continuité du service.
Le Parlement veut contraindre les GPS à pointer les passages à niveau
17/06/2019
Le 17/06/2019 à 16h 05
Ca m’étonnerait qu’une voiture autonome rate un passage à niveau, il y a toujours au moins un panneau avant. Et quand bien même le panneau serait absent, on voit quand même les rails au sol bien droits et en travers et le changement de couleur de la route autour, il y a le plus souvent des caténaires et des poteaux visibles au-dessus de la végétation (sauf pour les trains diesel mais ceux-là on les entend arriver), et le plus souvent, on a déjà pu voir auparavant qu’on roulait à côté ou vers une voie ferrée, et que donc si la route tourne vers la voie ferrée, il y a de fortes chances qu’on trouve un passage à niveau.
Boursorama Ultim : une carte sans frais à l’étranger, « gratuite » et sans conditions de revenus
12/06/2019
Le 12/06/2019 à 22h 22