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H2O

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104 commentaires

Le 20/02/2017 à 21h 28

Ça ne l’est pas. Quasi toutes les voitures sont équipées de limiteurs de vitesses. C’est juste de la mauvaise fois parce qu’à ce qui paraît tuer des piétons et des cyclistes c’est la liberté et enlever le droit de faire n’importe quoi avec des engins en métal de 2 tonnes, ça mérite au moins une révolution.



Ce qui prouve que contrairement à la vitesse, le ridicule ne tue pas lui !

Le 03/02/2017 à 07h 27

L’intérêt est le même que pour n’importe quel logiciel installé en dur :

_bien plus rapide

_stocké en local

_marche quand internet ne marche pas

_maîtrise des évolutions (si une version ne te plais pas tu ne l’installe pas

_ AMORTISSABLE



 Plus spécifiquement dans le cas d’une suite bureautique :

_les macros

_les macros

_les macros

Le 23/12/2016 à 18h 49

Le gros intérêt de tout avoir centralisé dans le navigateur c’est que tu es à un clic de tout les objets, et ce quel que soit ta position dans le document et quel que soit l’objet, et que ça va très vite justement parce que tout est regroupé donc tu sais où cliquer. C’est vraiment plus rapide que la recherche et ça organise naturellement ton document, particulièrement sur la cohérence de nommage de tout tes objets.



 Si je devais prendre une analogie un peu foireuse, je dirais que c’est la différence entre avoir plusieurs cartes (une géologique et une routière par exemple) et avoir une carte qui peut changer en permanence selon tes besoins.



L’idée c’est justement de ne pas à avoir à bosser séquentiellement mais au fur et à mesure que tu écris ton texte. C’est une façon beaucoup plus naturelle de travailler je pense, tu reviens beaucoup moins en arrière. Les relectures sont très rapides.

Pour moi, la grosse différence c’est qu’avec Writer, quand tu as finis d’écrire, ton document est quasiment prêt. Avec Word il faut encore bosser la mise en page.



 

Ben je dis que c’est centré formatage parce que le ruban laisse beaucoup la place au formatage direct et que le menu contextuel de la souris aussi. Alors que sur LO dans le menu contextuel de la souris il y a l’option “effacer le formatage direct” :)

Après faut pas me faire dire ce que je ne dis pas : LO permet aussi de faire des gros trucs pas beau en formatage direct, c’est certains, c’est juste qu’il incite plus aux styles.

 

Je sais pour les caractères non imprimable, c’était plutôt pour montrer que la mise en page n’avait pas été faite “à la barre d’espace”.

LO va plus vite et donne des résultats plus propres, c’est vraiment mon avis. Rien que la gestion des pages en mode “style” est un gros plus par rapport aux infernaux sauts de section de Word.



Après c’est sûr que changer c’est réapprendre et il va falloir du temps pour retrouver ces petits. Mais au bout du compte, c’est quand même un gros gain. Et puis c’est gratuit, il faut pas l’oublier non plus.



 

 

Le 23/12/2016 à 17h 29

Bon ben là je crois que nous ne sommes clairement pas d’accord.



Pour moi l’interface graphique permet de ne pas faire des aller-retour vers le clavier. De même qu’une interface en ligne de commande doit permettre de ne pas avoir à utiliser la souris. C’est pour ça que j’étais aussi un de ceux qui était vent debout contre la disparition du menu démarrer,  parfait pour les applications semi-courantes.



Et on utilise clairement pas le launcher de la même façon non plus. Je ne l’utilise que quand j’ai perdu quelque chose. Je trouve beaucoup plus rapide les raccourcis en icône.

Je ne vais pas dire : “il faut le supprimer la barre de recherche”, ce serait débile. Si un jour la barre est dans LO, je ne vais pas gueuler. Mais c’est un pis-aller.



En fait le ruban je le résumerai comme ça : vous ne pouvez plus avoir qu’une seule barre d’outil à la fois. Donc oui c’est une régression.



Je suis d’accord avec ta remarque sur le parcours d’apprentissage des utilisateurs. Mais justement les barres d’outils sont bien plus souple pour faire ça. On les active et on les explore au fur et à mesure. Et on se fait ses petites barres perso.

 







seblutfr a écrit :










Pas mal. Mais du coup ça souligne un peu les problèmes : tu as de la gestion de style à droite et à gauche (alors que si tu regardes bien sur ma capture, tu vois des petits boutons au dessus des styles : style de caractère, de page (fonctionnalité étonnement absente de Word le style de page), de tableau, etc. Tu bascules d'un tableau de style à l'autre et tout reste au même endroit.     



 

Pour savoir ce que tu as dans ton document (ce qui est pourtant une fonctionnalité que je considère basique), tu es obligé de faire apparaître plusieurs menu. Regarde tout les trucs que le navigateur de Writer peut te montrer en même temps : les commentaires, les chapitres, les hyperliens, les cadres, etc. C’est du bonheur au quotidien.



Et c’est là que je rejoins ce que je disais : MO c’est décousus. C’est décousus parce que c’est centré formatage direct, mais sur ce dernier point on est d’accord.



Et tu ne peux guère faire autrement parce que au final tu n’as droit qu’à une seule barre d’outils avec le Ruban (je sais qu’on peut le cacher puisque je le fais).



Alors bien sûr si on part sur des macros et du vba on peut tout faire puisque c’est Turing. Mais c’est vrai aussi pour LO donc…



J’utilise Word, je ne dis pas les trucs en l’air. C’est un soft inférieur pour qui veut aller vite et/ou sortir des documents qui tiennent debout. Encore une fois je renvoie à ma copie d’écran sur laquelle on peut voir que les caractères non-imprimables sont activés et que c’est propre.

Est-ce qu’on peut quand même faire des documents propres avec Word ? Oui, mais c’est plus long donc plus cher.


Le 23/12/2016 à 13h 55

Je fais un lien vers une capture d’écran de l’interface de mon LO Writer, pour mieux se rendre compte :

 

http://imgur.com/2ilMSO1



À gauche, le navigateur : accès à tous les chapitre et tous les objets (images, tableaux, etc.)

À droite, la barre latérale sur la sélection de style.

En bas, la barre de recherche.

En haut, rien à part la barre de menu (notez qu’il n’y a plus rien pour le formatage direct).

Sur le document, la grille de mise en page, inutilisée ici (les petits points blanc).



Une interface sobre et très efficaces qui permet de laisser beaucoup de place à la page tout en gardant une vision globale du document grâce au navigateur.

Je suis désolé mais pour moi c’est à des années-lumières devant MO en terme de rapidité. Bien sûr chacun voit midi à sa porte mais je pense que cette image montre l’étendue des possibilités de personnalisations.

Le 23/12/2016 à 13h 18

L’interface de MO est optimisée pour l’utilisation du formatage direct. La méthode est déjà en soi inefficace, mais l’interface n’est pas souple, ce qui rend les choses encore pire quand toi tu veux en utiliser une autre.



C’est une mesure objective. Lorsque je tape une lettre, j’ouvre mon document qui a l’en-tête de ma boite je tape l’adresse, puis “Entrée”, le style change automatiquement pour commencer à taper l’objet, puis “Entrée” et le style change automatiquement pour commencer à taper le corps de texte.



Il n’y a pas d’autres bonne façon d’écrire une lettre professionnelle. Est-ce faisable avec MO ? Oui. Combien de temps ça prend à faire ? Aucune idée, après 1 heure dessus j’ai pris la version LO et je l’ai enregistré en xlsx parce que c’était juste pas possible. Il y avait toujours un truc qui ne marchait pas, l’en-tête, la signature, l’enchainement des styles, etc.



On peut utiliser une suite bureautique comme une machine à écrire et une boite de crayon de couleur,  mais ne venez pas dire à ceux qui vont plus loin que MO est mieux que LO parce que utilisé dans l’optique de gagner du temps ce n’est juste pas vrai.

Le 23/12/2016 à 12h 36

Oui il y a le petit menu contextuel à la souris. Mais c’est pour le formatage direct, donc intérêt zéro. Il y a aussi un accès aux styles c’est vrai et encore une fois c’est pas terrible : un clic droit pour le menu contextuel, plus un clic gauche pour sélectionner le sous-menu des styles + un autre clic pour enfin sélectionner le style qu’on veut (pour comparaison, dans LO c’est un double-clic sur le nom du style qui est toujours affiché, deux fois plus rapide au bas mot).

Le formatage direct ne doit pas être utilisé, sauf éventuellement pour un document unique. Mais pour un document unique on peut bien utiliser n’importe quel soft vu que de toute manière c’est pour faire un truc un peu nul.

 

Les gens clairement ne font qu’utiliser le formatage direct et se permettent de dire qu’on ne connais pas le logiciel <img data-src=" />. Me faire insulter par des mecs qui doivent sûrement surligner leur texte à la souris pour en changer la police et la taille de caractère, ça n’a pas de prix.



Et je maintiens : la recherche textuel du nom d’une fonctionnalité est un aveu d’échec dans une suite WYSIWYG. Évidement qu’on peut trouver ça pratique parce que tout est mélangé et introuvable avec les rubans, mais ce n’est qu’un pansement. C’est un clic dans la barre de recherche, plus taper le nom de la fonctionnalité (encore faut-il avoir une vague idée de comment ça s’appelle plus une sélection dans une liste déroulante). Alors oui, ponctuellement ça peut être utile, c’est toujours ça en plus. Mais si vous vous en servez souvent c’est que l’interface graphique est mauvaise.

Le 23/12/2016 à 10h 19

Ah oui, j’aurais dû en parler de ça, c’est vraiment génial, le retour de la ligne de commande dans un traitement de texte <img data-src=" />.

Microsoft a fait un truc tellement pas pratique qu’il faut une fonction de recherche pour retrouver les filtres<img data-src=" /> . Avec ça on gagne du temps c’est clair.



Et pour répondre à ta question d’avant. Non, on ne peut pas faire de travail en parallèle (texte+mise en page) sur MO. En tout cas c’est particulièrement fastidieux.



Un exemple, :

la taille du texte est corrélée à la taille de la feuille moins les marges, c’est la règle des 55 caractères (en gros pour qu’un texte soit idéalement lisible, il faut qu’il y ai 55 caractères (+-10) sur une ligne). Donc évidement il te faut l’accès en même temps aux fonctions de taille de police, de taille de marge et de taille de la feuille. Alors dans MO, et vas-y dont que je clique une fois sur l’onglet de base pour changer la taille de ma police, puis sur l’onglet de mise en page pour changer mes marges, puis à nouveau sur l’onglet de base pour rechanger la taille de la police… Mais tuez-moi quoi, je n’en peux plus.

&nbsp;

Et c’est le comportement standard du truc. C’est affreux, et c’est comme ça pour tout. Plus la petite cerise sur le gâteau, pas de style de page dans Word, tuez-moi je vous dis.



Taper une lettre prend une plombe, c’est au moins deux fois plus long que sous Writer.



&nbsp;

Le 22/12/2016 à 19h 19

J’ai été obligé d’utiliser le ruban pendant 3 ans à l’école pour tout puis quelques années au boulot. J’essaye de maintenir mes compétences dessus pour aider mes collègues qui n’ont pas voulu complètement basculer sur LO. J’y ai passé des centaines d’heures.

Je déteste cordialement cette interface. C’est horrible, lent comme c’est pas permis. Suivant ce qu’on fait les fonctionnalités changent de place, c’est absolument monstrueux d’inefficacité et incroyablement frustrant. Au bout d’un moment je l’avais simplement viré pour me mettre une liste des raccourcis clavier en “post-it” autour de l’écran.



&nbsp;Et non désolé, le coup du “on regroupe les fonctionnalités les plus utilisée” ça ne fonctionne tout simplement pas.

L’intérêt des suites bureautiques est de pouvoir créer le document dans tout ces aspects en parallèle, pas séquentiellement.

Avec le ruban microsoft dit : tapez votre document, puis mettez en page votre texte, puis faites les notes, puis réglez vos pages et vos marge. C’est idiot. Un ordinateur permet justement d’éviter ça et de tout faire en même temps.



Le texte et sa typographie sont parties intégrante d’un document et doivent s’établir en harmonie, pas de façon désarticulé.

Oui pour ça il faut utiliser les styles, c’est mieux pour la cohérence. Mais même en utilisant le formatage direct ça va mieux.

&nbsp;Et le ruban dit : “non, tu vas tout faire comme à l’époque de l’imprimerie, action par action dans l’ordre que je te dis”. Moi je préfère la modernité, le ruban est un énorme pas en arrière.

&nbsp;

Le 22/12/2016 à 15h 12

D’accord sur les raccourcis clavier. Mais il faut être réaliste et ne pas s’attendre à ce que l’utilisateur mémorise autant de raccourcis par logiciel.



Le clicodrome me paraît plus ou moins inévitable vu le nombre de fonctionnalité.

Le 22/12/2016 à 14h 13

Le menu déroulant est très bien pour une fonction que tu utilises une fois par semaine.



La barre d’outils est le mieux pour les fonctions courante.



Le ruban ce n’est ni plus ni moins qu’une série de barres d’outils qu’il faut afficher/cacher en permanence, c’est absolument affreux a mon avis. et en plus il est placé en haut, sur nos écran 16/9e. N’importe quoi.



Mais encore une fois si tout le monde peut choisir ce qui lui convient, c’est super. Et effectivement avec le ruban on peut migrer des gens qui ont plus l’habitude de Office plus facilement.

Une fonctionnalité en plus non obligatoire, c’est génial, je ne vais pas cracher dessus même si je ne m’en servirais pas.

Le 22/12/2016 à 13h 36

Le ruban reste pour moi une hérésie (il faut systématiquement au moins 2 clics pour accéder à n’importe quelle fonction, alors que le système de barre d’outils permet d’y accéder en 1 seul).



MAIS si les gens veulent ça et qu’il est possible de choisir c’est très bien.

Le 21/12/2016 à 07h 43

En tant que pilote privé :



Pendant l’approche il faut surveiller en gros 3 paramètres :

_le plan de descente (~5% suivant les pistes et les consignes du terrain)

_l’alignement avec l’axe de piste

_la vitesse



Gardez ces paramètres proches de leur valeur optimale et vous avez une approche dite “stabilisée”. Une approche doit être stabilisée longtemps avant le seuil de piste (ie : on ne fait pas le cake et on ne s’aligne pas 100 m avant la piste, on le fait longtemps avant).

&nbsp;

Si on n’arrive pas à maintenir ces paramètres ou si on n’arrive pas à les atteindre suffisamment tôt on remet les gaz et on recommence.

D’après mon instructeur (à l’époque) 95% des accidents/incidents à l’atterrissage venaient d’une approche non-stabilisée et d’un refus de refaire un tour.

Le 13/12/2016 à 13h 11

Totalement d’accord avec toi. C’est bien dans se sens là que je l’utilisais.



On peut tout à fait ne pas connaitre la largeur et l’emplacement d’une zone interdite de survol. En revanche on ne peut ignorer qu’il y a des règles pour voler. Toutes les infos étant disponibles gratuitement il n’y a aucune excuse pour ce pilote qui a commis une faute.



En passant, sa déclaration “on fait ce qu’on veut” à une personne qui les a prévenus a dû passablement énerver le juge justement parce que c’est de l’hypocrisie.

Le 13/12/2016 à 12h 48

Nul n’est sensé ignorer la loi.



En plus de la carte que tu as montré je rappelle que les cartes OACI sont disponibles gratuitement sur géoportail et que les horaires des entraînements dans les zones à bases altitudes sont sur le site du SIA rubrique “carte AZBA” (attention les horaires sont UTC pas heure locale !) Certaines zones vont jusqu’au sol donc concernent les drones.



&nbsp;La DGAC est en train de préparer une licence pilote de drones destinés aux professionnels certes mais ça veut dire qu’il y aura bientôt des bouquins assez sérieux disponible pour les particuliers.

&nbsp;

Dans le ciel, il y a du monde donc il y a des règles.

Le 02/12/2016 à 13h 09

Pas trop d’accord. En effet on peut imaginer d’autres utilisations que le visuel auquel cas la taille ne serait pas un gros désavantage. Mais lorsqu’on regarde l’histoire de l’informatique on voit que la commande vocale n’intéresse pas grand monde, et que la reconnaissance de geste non plus.

Il semble quand même que la frappe au clavier reste la façon la plus appréciée par les humains de communiquer avec un ordinateur. Même sur les téléphones tactiles, on a fini par remettre le bon vieux clavier azerty (virtuel certes). Et il n’y a pas la place pour un clavier sur une montre.

Le particulier veux un ordinateur pour internet.

Le 02/12/2016 à 12h 48

Mais c’est ça en fait. La taille de l’écran de la montre ne permet pas d’avoir des logiciels particulièrement intéressants. Donc il faut soit une idée qui permette un super logiciel très utile sur la montre (mais dans ce cas-là, pourquoi pas sur téléphone ?), soit les montres connectées resteront des gadgets.

Le 02/12/2016 à 10h 08

Sous windows ce n’est pas une option, mais encore une fois ce n’est pas dramatique, il y a les packages msi d’ailleurs.

Le 02/12/2016 à 08h 16

C’est quand même assez spécieux ce que tu dis. Toutes les interfaces graphiques donnent plusieurs façons d’accéder aux fonctions du logiciels.

_Les barres d’icônes sont des raccourcis, c’est une utilisation différente des menus. Le panneau est là pour donner accès à des fonctions réglables de façon centralisée.

_les icônes aux différentes couleurs augmentent le contraste et ces couleurs rendent les boutons plus faciles à distinguer les uns des autres. Tu l’as dis toi-même, il y a d’ailleurs d’autres jeux d’icônes si ceux-là ne plaisent pas.



Le ruban requiert 2 clics systématiques pour accéder aux fonctions, la barre d’icône un seul, pour moi l’interface laborieuse est celle de MO (souvent qualifiée de clicodrome y-compris par ceux qui l’aime bien).



Il n’y a aucun moyen de ne pas passer du temps à chercher où sont les fonctions si on passe de MO à LO parce que s’il ne fallait pas passer du temps ça voudrait dire que les interfaces sont identiques. De plus les menus sont particulièrement bien agencé et très logiquement rangés. On peut même les personnaliser à 100% si ça ne plait pas.

Un vieux système qui marche est mieux qu’un nouveau système qui fait perdre du temps.



Je ne suis pas quelqu’un qui veut du libre pour vouloir du libre. J’utilise énormément les suites bureautiques depuis des années. LO est plus confortable et beaucoup moins frustrant à utiliser que MO. C’est un logiciel dont les développeurs se servent aux quotidien et ça se voit. Le fait que tout soit personnalisable à 100% le met un cran au dessus de MO dès le début.

Le 01/12/2016 à 12h 22

À noter que la version stable actuelle est la 5.1.6, version à privilégier pour la production. Vu que les cycles de développement sont sur 6 mois j’ai pris l’habitude de sauter 1 version sur 2 et de faire les mises à jours dans ma boite tous les ans juste avant les fêtes. Ça compense le fait qu’il n’y ai pas de mise à jour automatique.



Sinon, sur le sujet : une bien belle version, la barre latérale est devenue un outil puissant (assez semblable au ruban dans sa philosophie finalement) mais placée logiquement par rapport aux tailles d’écrans standard. Maintenant que les tableaux “à la Excel” sont bien gérés dans calc, il n’y a vraiment plus beaucoup de problème de compatibilité.

Le 28/11/2016 à 13h 22

On dirait surtout une redite du bug du premier lancement d’Ariane 5 en 1996 : un dépassement de capacité avait fait croire à la fusée que soudainement elle fonçait vers le sol, l’obligeant ainsi à braquer à fond et dépassant du coup la résistance de sa structure entrainant son auto-destruction.

Le 25/11/2016 à 17h 30

Possible si on ne veut plus changer l’application. Mais qu’est-ce que le développeur va faire pour sa prochaine mise à jour ? Utiliser win32 ou bien faire un frankenstein win32/uwp ? Probablement pas.

Oui on peut “encapsuler” win32 certes, mais ce sera toujours du win32 qu’il faudra utiliser et coder.

Le 25/11/2016 à 07h 07

&nbsp; À propos de win32 :

Jamais il ne sera abandonné, il y a trop de logiciels pro qui tournent là-dessus. Si un jour microsoft sort une version de windows qui ne supporte pas win32 ce sera un échec commercial, comme windows rt.

Recoder toutes ces applications prendrait des années pour un gain de productivité nul. En 2100 il y aura encore des applications win32.

Le 02/11/2016 à 12h 50

Alors tu as complétement raison, autant pour moi. À priori le second étage de la Falcon 9 est rallumé grâce à des moteurs de contrôle d’attitude à azote (RCS) : l’azote est dans un réservoir sous pression et est simplement relâché par une valve à travers de petites tuyères : inefficace d’un point de vue énergétique mais suffisant pour plaquer les ergols au fond du réservoir.



Donc oui, l’hélium sert simplement à maintenir le réservoir sous pression. Par contre le système que j’ai décris existe mais n’est pas du tout utilisé sur la Falcon 9. En revanche l’hélium est bien refroidis pour ne pas réchauffer l’oxygène liquide.



Donc pour résumer, le système qui a foiré est celui qui permet à la pression dans le réservoir de rester constante. Y a t’il un lien avec l’accident précédent où le second étage s’était brutalement dépressurisé ? Peut-être, à voir…

Le 02/11/2016 à 11h 36

OK alors en fait il y a plusieurs trucs.



J’ai parlé du problème du démarrage moteur lorsque l’étage a allumé est en chute libre. Je pense que toi tu parle de maintenir la pression dans la chambre de combustion en poussant les ergols avec de l’hélium. Mais Falcon 9 utilise des moteurs a turbopompe, pas des moteurs “à pression”.

C’est la Falcon 1 qui utilisait un moteurs où l’hélium servait a pousser les ergols dans la chambre de combustion pendant la poussée. Les moteur Merlins de la Falcon 9 utilisent la gravité puis des turbopompes pour alimenter la chambre.



Quand a savoir s’il y a une poche ou pas pour pousser les ergols au fond, j’avoue que je ne sais plus. Je sais que ce système de poche existait sur le module de service Apollo. Simplement injecter l’hélium suffit peut-être mais le principe est le même qu’il y ai une poche ou pas.

Le 02/11/2016 à 10h 40

Garder la pression et pousser les ergols au fond c’est la même chose.



Il existe des lanceurs qui ont effectivement besoin d’être pressurisé en permanence pour ne pas s’effondrer. Ce sont des “lanceurs-ballons” en quelques sorte. Si mes souvenirs sont bons la fusée Falcon 9 n’en est pas un.



Et pour les autres, de rien. Les fusées, c’est cool <img data-src=" />.

Le 02/11/2016 à 09h 41

L’hélium est dans une poche qui sert à pousser le carburant dans le fond du réservoir.

Après l’extinction du premier étage, le deuxième étage est dans un état de chute libre, donc le carburant et le comburant aussi. En fait le carburant/comburant flotte dans les réservoirs et ne “tombe” pas dans le moteur, il faut donc l’aider un peu si on veux pouvoir démarrer le moteur et s’est à ça que sert le ballon d’hélium.

Cryogénique : froid. Probablement parce que l’oxygène liquide est froid aussi, donc pour que l’hélium ne réchauffe pas l’oxygène.



&nbsp;

Le 03/10/2016 à 13h 32

J’ai toujours eu d’énormes problème en impression de pdf depuis Firefox (on a pas chrome/chromium) dans la boite. Jamais compris d’où ça venait, du coup j’espère qu’avec le nouveau module ça ira mieux.

Le 03/10/2016 à 13h 07

C’est plutôt pas mal pour les pros. Si Firefox a un bon lecteur de pdf intégré, plus besoin d’Adobe et donc un logiciel de moins à maintenir à jour.

Le 19/09/2016 à 12h 18

L’API Win32 ne disparaitra jamais. Trop de logiciels tournent avec. La plupart du temps il n’y a aucun gain à migrer, donc les développeurs ne migrent pas.

Le 16/09/2016 à 07h 32

Je ne suis honnêtement pas au courant de la nouvelle législation sur le sujet.



Les études ne montre une rentabilité du réutilisable que si le jetable ne change rien à sa façon de travailler. Mais s’il y a 30 lancements à faire, le coût du jetable baisse drastiquement aussi (gains de production).

Ariane 6, entièrement jetable est prévue pour un prix de lancement d’environ la moitié d’Ariane 5, à capacité équivalente et principalement grâce à la réorganisation de la chaîne de production. Ça l’amène à peu près au même tarif kilo que SpaceX. Si en plus, ils en lancent 30 par ans, le prix sera bien plus bas.



Le réutilisable est moins cher que le jetable s’il y a suffisamment de lancement. Mais s’il y a suffisamment de lancement le prix du jetable baisse aussi. C’est ce que je dis à chaque fois sur le sujet en fait : le problème de l’accès cher à l’espace c’est qu’il n’y a quasiment rien à y mettre, pas les technologies.

&nbsp;

Le 15/09/2016 à 16h 09

2 problèmes :

_les étages qui sont en orbite ne sont pas gênants. Ils sont suffisamment gros pour ne pas poser de risque de collisions. Ce sont les petits objets qui sont dangereux.

_Falcon 9 n’est que semi-réutilisable, il y a toujours un étage qui reste là-haut.



&nbsp;La réusabilité ne produira que des gains marginaux au mieux, et très probablement aucun gain. La seule et unique raison qui fait que les coûts de l’accès à l’espace sont très élevés c’est qu’il n’y a pas grand chose à y mettre.



Si il y avait des charges utiles pour 300 lancements par an, n’importe quelle fusée fournirait des prix bas.

L’espace n’est pas cher à cause de la technologies, il est cher parce que c’est un marché de niche.

&nbsp;

Le 15/09/2016 à 11h 40

L’échec de SpaceX pourrait très bien avoir une conséquence positive : une preuve assez définitive (après l’échec des navettes américaines et russes) que la réutilisabilité n’est pas un bon moyen d’aller dans l’espace.

&nbsp;

Et à partir de là, concentration des budgets sur des lanceurs à usage unique pour plus d’efficacité.

Le 15/09/2016 à 07h 36

Bon, la paranoïa a encore de beaux jours devant elle.



Dans le cas du premier échec total, SpaceX pense que le fameux renfort à cédé. Aucune analyse des débris n’a pu être faite. Il s’agit d’une conclusion basée sur des expériences avec des pièces neuves. La NASA n’est pas totalement satisfaite du résultat d’enquête de SpaceX.



L’idée qu’un concurrent pourrais saboter SpaceX est ridicule. Non pas parce que les gens sont gentils et sont tous des bisounours, mais parce que le rapport coût/bénéfice est défavorable.

&nbsp;

Une telle action aurait dû être ordonnée en haut lieux, concerner à la fois les spécialistes fusée et les spécialistes laser plus une équipe pour déployer et utiliser l’arme. Facilement plusieurs dizaines de personnes. La probabilité qu’un secret soit conservé est inversement proportionnel aux nombres de personnes impliquées. Elle serait donc faible pour cette opération d’autant plus que la révélation dans la presse rapporterais des millions au whistle-blower. Donc en plus d’une possibilité de fuite accidentelle, il y aurait une possibilité de fuite intentionnelle.



Et si un truc comme ça se savait, ce serait du pénal pour Boeing/Lochkeed, une réparation de dégât faramineuse et une image de marque très écornées. On peut même envisager une faillite.



Ce qui est plus probablement en train de se passer : SpaceX veut être moins cher, prend des raccourcis, et est donc moins fiable.

Le 13/09/2016 à 11h 16

Il faut prendre des sources indépendantes de la NASA pour justifier Apollo, sinon c’est un raisonnement circulaire.

&nbsp;

L’idée que beaucoup de technologies ait été inventée par la NASA pour Apollo est une de leur plus grande prouesse de relation public. Évidement ce n’est pas le cas, le programme était tellement pressé qu’ils n’ont bien entendu pas eu le temps d’inventergrand chose. Au contraire, Saturn V est une machine plutôt conservatrice pour l’époque (beaucoup plus conservatrice que les lanceurs Russe par exemple). Toutes les recherches sur les technologies utilisées par Saturn V étaient commencées bien avant la décision d’aller sur la Lune. Certes il a fallut donner un coup de collier sur des trucs qui n’étaient qu’au stade de prototype avant la décision d’aller sur la Lune, mais un investissement direct aurait été sans doute plus efficace.



Par exemple, l’idée que l’ordinateur miniaturisé ai beaucoup profité d’Apollo est discutable : des ordinateurs personnels étaient en vente dès les années 60 : Programma 101 (lien wikipedia)



Enfin cet argument ne fait qu’aller dans le sens de ce que je dis : lorsque aujourd’hui on a des papiers sur Philae, c’est pour les informations directe qui retombent (ex : l’eau sur Terre ne provient probablement pas des comètes), pas pour un agencement de transistor différent. Si on cherche des avantages indirects, c’est parce que il n’y a pas grand chose à montrer pour les sommes dépensées.

Le 13/09/2016 à 10h 26

Parce que ce que tu propose c’est lâcher la proie pour l’ombre.



Il y a aujourd’hui, avec les lanceurs actuels et les budgets actuels, la possibilité d’envoyer des dizaines de sondes autour de chaque corps céleste majeurs du système solaires. Ce n’est pas fait car les budgets sont gaspillés par l’ISS et les vols habités en général. Quand je vois que la NASA travaille sur un lanceur lourd + une capsule, qu’elle finance Boeing pour une autre capsule et SpaceX pour une troisième (!!!) Je suis vert de rage. Tout ce pognon pour quelque chose qui ne sert à rien (Il n’y a virtuellement pas de papier publié, vous pouvez vérifier !)



Si un jour on a besoin d’un lanceur lourd pour lancer une charge lourde, on le construira a ce moment là, en attendant le budget peut être mieux utilisé ailleurs.



&nbsp;

Le 13/09/2016 à 10h 12

Energya a été lancée 2 fois. Dont une fois pour un essais de la navette spatiale Russe. Ensuite le projet a été arrêté parce que ça ne servait a rien.

Tu met la charrue avant les bœufs, ce sont les charges utiles qui influent sur les lanceurs, pas l’inverse. L’abandon des navettes américaines et russes, de Saturn V, de la N3, du lanceur Energya sont tous due à la même cause : il n’y a rien ou plus rien a mettre dessus. La plus grosse critique (et la plus juste à mon avis) du prochain lanceur lourd de la NASA (le SLS) c’est qu’il n’y a pas de mission pour lui (Orion seul n’a aucun intérêt).



Le fait que l’équation est exponentielle veut dire qu’un gain de 15% n’est pas 15% plus dur à atteindre, mais 2 fois plus dur.

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Le prix au lancement n’est qu’une variable parmi d’autre du prix total d’exploitation du satellite. La concurrence perd des satellites, pas Arianespace.

Le Soyouz est parfaitement adapté à un certain poids de satellite, si le satellite qu’on veut lancer est compatible avec ce lanceur, Soyouz est choisis. Les clients se fichent pas mal de savoir si le design est vieux, si le premier étage revient sur un bateau ou si la turbopompe fait le café. Ils s’intéressent au ratio coût/bénéfice et à leurs marges. Aucune machine n’est fiable à 100%. Le Soyouz à le meilleur taux de fiabilité du marché, et ceci a une valeur commerciale que beaucoup sont près à payer (1700 lancements bon sang ! personne n’a ce genre de retour sur expérience).

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Le 13/09/2016 à 09h 43

Ah là là. Les mecs qui comparent des présentations power-point avec une machine qui a réussi 75 lancements d’affilée et une boite comme Arianespace qui possède 50% du marché. C’est la catastrophe, on va mourir, les américains ont publiés 3 slides ! <img data-src=" />



Il faudrait une bonne fois pour toute comprendre plusieurs choses :




  1. L’Europe n’est pas intéressée par les vols habités (L’ESA participe au minimum à l’ISS pour des raisons de relation publique mais ça les e*de, c’est du budget en moins pour des sondes beaucoup plus efficaces et beaucoup moins cher). Les grosses fusées ne servent qu’aux vols habités. Je rappelle que tout le programme Appolo a été a peu près inutile : pas de prix Nobel, très peu d’articles publiés, presque aucune découverte par vol habité. À comparer aux montagnes de papiers des sondes Voyager par exemple.

  2. Tant qu’on a Kourou, on a très peut de chance de perdre (bonus de 15% pour mise en orbite géostationnaire, énorme car l’équation des fusées est exponentielle).

  3. Les USA, le Japon et l’Europe sont des nains par rapport au Soyouz Russe qui a fait plus de 1700 lancement réussis !

Le 02/09/2016 à 17h 50

Exact,

Je crois que tu as raison.

Le 02/09/2016 à 17h 42

Un test statique c’est très simple :

_tu fais tout pareil que le lancement (compte à rebours complet : remplissage des réservoirs, allumage des ordinateurs, tests automatiques, etc.)

_tu allumes les moteurs

_tu augmente la puissance des moteurs jusqu’au point où la fusée doit être relachée

_tu éteint tout au lieu de relacher



Généralement on ne fait pas le test statique avec la charge utile parce que… ben si ça ce passe mal tu perds la charge utile <img data-src=" />

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Le 31/08/2016 à 08h 49

Uber (pas rentable), SpaceX (qui n’est pas rentable), Tesla (pas rentable), Amazon (qui n’est rentable que depuis peu).



Petit fait rigolo : aucune boite de Musk n’est rentable à part Paypal.



Et après les gens ce moque des soit-disant dinosaures : Renault, Boeing, Bouygues, Fnac, etc. alors que ces boites sont des mines d’or <img data-src=" />

Le 31/08/2016 à 08h 22

Ce que j’aime bien c’est que les américains ont toujours la même stratégie dans tout les domaines : on casse les prix au début et ensuite quand la concurrence est prise à la gorge on les remontes.

Et il y a toujours des gogos pour dire : mais si regardez c’est plus efficaces !

Le 05/08/2016 à 05h 23

Je dirais que Access/Base, c’est quand même pas mal quand tu veux aller lire une base de donnée d’un autre soft pour faire des tableaux, un rapport ou des courbes. Vu que tu as tout les outils de mise en page dans les suites office, t’as pas forcément envie de tout te retaper à coder.

Le 04/08/2016 à 12h 47

Je pense que tu es mal renseigné. L’intégration de document tableur dans un fichier traitement de texte et le contraire est tout à fait possible dans LO (depuis longtemps d’ailleurs), dans la barre de menu : “insertion” -&gt; “objet” -&gt; “objet OLE”.

C’est effectivement une fonction très puissante.

Le 04/08/2016 à 08h 46

Le logiciel s’est beaucoup amélioré dans tous les domaines depuis le temps d’OpenOffice. C’est vraiment mieux maintenant. Je te conseille de migrer (vers la 5.1.5, comme le dit l’article).



Quant au troll, qui dis qu’on ne peut rien faire de joli avec LO, argh. Ça n’a rien à voir avec le logiciel. Si quelqu’un n’a pas de connaissance en typographie, il fera du moche. Si on s’y connais un peu, on fera même plus facilement du beau avec LO (gestion des styles bien meilleure que sous MSO).

Le 20/06/2016 à 13h 30

C’est clair, ils y arrivent tellement bien que ce n’est même plus un évènement. Le succès, c’est ennuyeux :)

Le 23/05/2016 à 14h 59

La couverture radar est bien plus faible que ça, car il est bizarre d’enlever les agglomération du calcul.



Je ne suis pas en train de dire que les radars marchent parfaitement hein. Je vais résumer la réflexion :

fait 1 : l’incidence des accidents augmente avec la vitesse

fait 2 : la gravité des accidents augmente avec la vitesse

conclusion : le coût des accidents baisse pour le pays quand la vitesse moyenne dans le même pays diminue

corollaire : diminuer la vitesse des usagers de la route est dans l’intérêt nationnal

solution technique proposée : les radars ponctuels



La meilleure solution ? Non, les radars tronçons sont plus efficaces.



Et là je vais vous dire un truc incroyable : des radars tronçons il y en a de plus en plus. Pas possible ? Il y aurait une logique dans ce que font les gens qui s’occupent de la sécurité routière ? Mais pourtant Gégé du comptoir me dit que le gouvernement veut s’en mettre plein les poches avec les radars à cause de Bruxelles et des immigrants qui font le jeu de l’extrême droite en autorisant les pesticides au bisphénol A qui tue les abeilles ?

Le 23/05/2016 à 14h 14

La vitesse n’est évidement pas le seul facteur, mais c’est le facteur sine qua non de tous les accidents. À la différence de l’aviation où la vitesse permet de s’ouvrir des options pour éviter de taper, la vitesse au sol des voitures les élimines.

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C’est d’ailleurs la réflexion de tout les gouvernement de la planète en matière de sécurité routière. La diminution de la vitesse diminue à la fois le nombre d’accident (on a plus de temps pour réagir a ce qui se passe) et la gravité de ceux-ci.

La suite de la réflexion est assez logique : la meilleure façon d’améliorer la sécurité routière est d’appuyer sur le seul facteur qui fonctionne dans tous les cas. Quel est le point commun entre un accident dû à l’alcool, à la fatigue, à une collision avec du gibier, à un refus de priorité : ils auraient été évités ou moins graves si la vitesse avait été inférieure.

Enfin, en réfléchissant comme ça on comprend pourquoi les radars ne sont pas placés forcément aux endroit les plus accidentogènes, mais partout. Car il faut forcer les gens à rouler moins vite partout, tout le temps. On est sûr que se sera efficace.



D’un point de vue plus large, rouler vite ce fait au détriment de la société. Sans parler du risque accidentogène, la vitesse pollue plus, fait plus de bruit, creuse le déficit commercial, détériore l’infrastructure plus rapidement, le tout sans procurer le moindre avantage au pays.

Le 23/05/2016 à 12h 21

Oui bien sûr c’est connu : le principal risque sur la route ce sont les gens qui freinent devant les radars. Une opinion prouvée maintes et maintes fois par la statistique et toutes les études sérieuses.



Les gens qui roulent trop vite causent des accidents. C’est évident puisque le temps nécessaire à la prise de décision capable de l’éviter est réduit.

De plus lorsqu’il y a un accident, il a de plus graves conséquences. C’est évident lorsqu’on sait que la gravité des conséquences d’un accident est directement proportionnelle à l’énergie mise en jeu. L’énergie cinétique d’un véhicule suivant la formule e = (12)*mv², on remarque que le paramètre le plus important est celui de la vitesse, puisqu’il est au carré.



Maintenant on peut tenter de nier la physique et la réalité des lois qui régissent notre univers, mais dans ce cas on a tort.



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Le 27/04/2016 à 09h 01

Le régulateur est très bien sur l’autoroute mais le limiteur est plus adapté au reste. Avec bonus : en cas de malaise du conducteur, la voiture n’accélère plus.