Je viens d'ajouter un paragraphe. La configuration IMAP pour les comptes tiers n'existe que dans l'app mobile. Sur la version web, Google préconnise de configurer un envoi automatique vers Gmail depuis les comptes tiers.
L'envoi automatique n'est pas toujours possible pour deux raisons : 1. certains fournisseurs ne l'autorisent pas 2. Google n'accepte pas tous ces courriels (enfin, je ne sais pas si cela a changé, j'avais eu des problèmes à ce sujet il y a quelques années qui m'avaient contraint à mettre en place une relève en POP).
Ce rapport du HCE s’appuie sur un contresens complet. Le numérique est un fait social global et les « filières du numérique » sont une lubie d’informaticien. Un très grand n’importe quoi, on revient 20 ans en arrière, l’inculture du HCE est constante.
(reply:2163314:Michel Guillou) D’ailleurs, j’observe que certaines apostrophes sont aussi incorrectes dans le texte. Certaines, pas toutes… Comme dans ce commentaire où la saisie propose « ’ » alors qu’il conviendrait d’utiliser « ’ ».
Merci. Un détail (mais bon…) : si vous pouviez être attentifs à utiliser de vraies apostrophes dans les titres, ce serait bien… Ainsi que des insécables pour éviter certains retours à la ligne intempestifs. #jdçjdr
Une fois de plus, la confusion est totale entre le numérique, fait global social dans lequel les femmes n’ont pas moins de peine à trouver leur place et le monde des techniques et de l’informatique où persistent de graves discriminations.
« Premier point donc : pour féminiser le numérique, il faut commencer par élargir le vivier, en convainquant plus de jeunes filles de faire des maths et des sciences. » C’est un contresens. Pour féminiser le numérique, il faut faire du numérique le contexte général et global de l’ensemble des disciplines, et pas seulement de l’enseignement mathématique et scientifique. Le numérique doit être le paysage ordinaire de la formation de le citoyenne (et du citoyen), ouverte et engagée dans son temps.
Marc, tu te moques de tes collègues qui abusent du « cequelonsait » mais tu abuses amha, toi aussi, du mot « solution » dans la titraille (flemme de faire des recherches, c’est toi qui payes pour tes collègues peut-être) alors que d’autres mots pourraient être choisis et plus pertinents. Juste mon avis.
Bonjour Marc. Es-tu certain de vouloir utiliser l’horrible anglicisme de « solution » qui s’impose dans le vocabulaire courant sous la pression du marketing ?
Non, « Le Sénat n’impose pas davantage de numérique au programme des écoles professorales ». Il se contente d’engager les ESPE à inscrire 3 nouveaux axes dans la formation :
la maîtrise des outils et techniques (acculturation minimale)
augmenter l’usage de ces outils et techniques (c’est-à-dire changer les pratiques pédagogiques, ce qui est plus signifiant)
mieux appréhender la culture numérique et ses enjeux (là encore, c’est bien le moins, encore convient-il d’être d’accord sur ces enjeux.
Tout cela est bien beau mais bien au-dessous de ces enjeux justement. Comme je le commente sur Twitter, c’est en changeant au fond la forme scolaire et les postures des maîtres que l’école pourra durablement rencontrer le contexte numérique. Et il faudra sans doute changer certes les objectifs, les missions et un peu les programmes pour mettre en phase l’école et la société numérique, mais aussi imaginer peut-être de changer les formateurs…
Enfin, la question du numérique n’a strictement aucun rapport avec la création d’un nouveau CAPES, quel qu’il soit, puisqu’il concerne toutes les disciplines.
Et j’agrée la remarque du précédent commentaire : est-il nécessaire de dire l’évidence dans une loi ? Si les enseignants (et leurs cadres et formateurs d’abord, à commencer par le ministre) faisaient leur travail, il n’y aurait pas besoin d’écrire quoi que ce soit dans la loi.
« Lors de la dernière rentrée, seul un collège sur deux était censé participer à ce fameux plan… ». Moui… On est très loin de la réalité. Par ailleurs, ce n’est pas dans toutes les classes et pas dans toutes les disciplines.
« Même son de cloche pour François Taddei, directeur du centre de recherche interdisciplinaire : « la capacité des enseignants sur l’intelligence artificielle et le numérique est très limitée ». Gilles Dowek, directeur de recherche à Inria, ajoute : « Aujourd’hui, le ministère de l’Éducation nationale ne comprend rien aux enjeux qu’il y a à former les jeunes sur l’informatique et l’intelligence artificielle ». Laurence Devillers, professeure d’informatique à Paris-Sorbonne, est du même avis : « il existe un besoin crucial de formation continue des individus sur les technologies du numérique, à tout niveau et à tout âge ». Bref, sur ce point, tout le monde semble sur la même longueur d’onde. »
Non, vous n’avez pas compris, tous ces gens ne sont absolument pas sur la même longueur d’onde. Si François Taddei milite pour une compréhension globale et transversale des enjeux du numérique, notamment en l’occurrence pour ce qui concerne l’IA, les autres personnes sus-nommées n’en ont qu’une vision et une compréhension partielle, la limitant aux seuls enjeux scientifiques et technologiques de l’IA.
La différence entre ouverture, lumière et compréhension globale et, de l’autre côté, une certaine forme d’obscurantisme.
« l’éducation « aux médias et à l’information » n’étant actuellement obligatoire qu’au collège »… Dans les faits, dans la très grande majorité des collèges, cette formation transversale passe à la trappe.
Il y a à craindre que, faute de modification drastique de tous les programmes disciplinaires et mobilisation des cadres pédagogiques, il en soit de même encore dans les années qui viennent.
Heu… En désaccord complet avec l’analyse et les commentaires proposés quant à l’introduction du numérique dans les enseignements primaire et secondaire. Prière de se reporter àhttp://www.neottia.net/.
Par exemple, la Direction du numérique pour l’éducation, qui n’a toujours pas de directeur ni de services, n’est pas une nouveauté, loin de là, car annoncée depuis un moment déjà, mais pas opérationnelle, loin de là.
29 commentaires
Le 06/10/2025 à 13h32
1. certains fournisseurs ne l'autorisent pas
2. Google n'accepte pas tous ces courriels (enfin, je ne sais pas si cela a changé, j'avais eu des problèmes à ce sujet il y a quelques années qui m'avaient contraint à mettre en place une relève en POP).
Le 17/09/2024 à 11h25
Le 08/11/2023 à 09h45
Ce rapport du HCE s’appuie sur un contresens complet. Le numérique est un fait social global et les « filières du numérique » sont une lubie d’informaticien. Un très grand n’importe quoi, on revient 20 ans en arrière, l’inculture du HCE est constante.
Le 04/11/2023 à 10h04
Le 04/11/2023 à 09h52
Merci. Un détail (mais bon…) : si vous pouviez être attentifs à utiliser de vraies apostrophes dans les titres, ce serait bien… Ainsi que des insécables pour éviter certains retours à la ligne intempestifs.
#jdçjdr
Le 30/05/2023 à 07h01
L’aperçu des PDF ne fonctionne pas chez moi…
Le 08/03/2023 à 23h16
Une fois de plus, la confusion est totale entre le numérique, fait global social dans lequel les femmes n’ont pas moins de peine à trouver leur place et le monde des techniques et de l’informatique où persistent de graves discriminations.
Le 20/02/2023 à 17h16
« Premier point donc : pour féminiser le numérique, il faut commencer par élargir le vivier, en convainquant plus de jeunes filles de faire des maths et des sciences. »
C’est un contresens. Pour féminiser le numérique, il faut faire du numérique le contexte général et global de l’ensemble des disciplines, et pas seulement de l’enseignement mathématique et scientifique. Le numérique doit être le paysage ordinaire de la formation de le citoyenne (et du citoyen), ouverte et engagée dans son temps.
Le 06/09/2022 à 14h42
15 « solutions » ! En toute amitié, c’est trop.
Le 26/07/2022 à 16h40
Marc, tu te moques de tes collègues qui abusent du « cequelonsait » mais tu abuses amha, toi aussi, du mot « solution » dans la titraille (flemme de faire des recherches, c’est toi qui payes pour tes collègues peut-être) alors que d’autres mots pourraient être choisis et plus pertinents.
Juste mon avis.
Le 14/09/2021 à 09h18
Bel euphémisme !
Le 29/06/2021 à 14h42
Toujours en 4.3 :(
Le 24/06/2021 à 08h54
Pour information ce commentaire lu sur Twitter :
Twitter
Le 24/04/2020 à 08h17
Je le dis avec bienveillance mais je le dis quand même : 2 anglicismes dans le même titre, NextInpact n’est plus ce qu’il était…
Le 23/04/2020 à 09h06
C’est vrai. Mais c’est une accumulation, là… Voir
Twitter
Le 23/04/2020 à 08h40
Pardon ? Ça aurait été plus compliqué d’écrire « faille » ou « vulnérabilité » plutôt que cet imbécile « fail » ?
Le 08/04/2020 à 14h21
Bonjour Marc. Es-tu certain de vouloir utiliser l’horrible anglicisme de « solution » qui s’impose dans le vocabulaire courant sous la pression du marketing ?
Le 13/03/2020 à 15h59
Tous ces gens-là font aujourd’hui la même chose que ce que fait lelivrescolaire.fr depuis sa création. Est-ce vraiment un miracle ?
Le 03/07/2019 à 11h55
« On pourra lire cette série de tweets de David Dufresne sur le sujet. »Le lien est inopérant.
Le 06/06/2019 à 08h54
Une erreur, sans doute…
Le 23/05/2019 à 14h05
Non, « Le Sénat n’impose pas davantage de numérique au programme des écoles professorales ». Il se contente d’engager les ESPE à inscrire 3 nouveaux axes dans la formation :
Tout cela est bien beau mais bien au-dessous de ces enjeux justement. Comme je le commente sur Twitter, c’est en changeant au fond la forme scolaire et les postures des maîtres que l’école pourra durablement rencontrer le contexte numérique. Et il faudra sans doute changer certes les objectifs, les missions et un peu les programmes pour mettre en phase l’école et la société numérique, mais aussi imaginer peut-être de changer les formateurs…
Enfin, la question du numérique n’a strictement aucun rapport avec la création d’un nouveau CAPES, quel qu’il soit, puisqu’il concerne toutes les disciplines.
Et j’agrée la remarque du précédent commentaire : est-il nécessaire de dire l’évidence dans une loi ? Si les enseignants (et leurs cadres et formateurs d’abord, à commencer par le ministre) faisaient leur travail, il n’y aurait pas besoin d’écrire quoi que ce soit dans la loi.
Le 14/02/2019 à 08h07
Merci Xavier, j’avais raté ça…
Le 13/02/2019 à 23h32
Un débat ? En commission ? Pas entendu parler de ça…
Le 13/02/2019 à 22h13
Xavier, c’est quoi ce colloque consacré au numérique dont tu parles au tout début ?
Le 05/10/2017 à 08h44
« Lors de la dernière rentrée, seul un collège sur deux était censé participer à ce fameux plan… ». Moui… On est très loin de la réalité. Par ailleurs, ce n’est pas dans toutes les classes et pas dans toutes les disciplines.
Le 16/05/2017 à 11h56
« Même son de cloche pour François Taddei, directeur du centre de recherche interdisciplinaire : « la capacité des enseignants sur l’intelligence artificielle et le numérique est très limitée ». Gilles Dowek, directeur de recherche à Inria, ajoute : « Aujourd’hui, le ministère de l’Éducation nationale ne comprend rien aux enjeux qu’il y a à former les jeunes sur l’informatique et l’intelligence artificielle ». Laurence Devillers, professeure d’informatique à Paris-Sorbonne, est du même avis : « il existe un besoin crucial de formation continue des individus sur les technologies du numérique, à tout niveau et à tout âge ». Bref, sur ce point, tout le monde semble sur la même longueur d’onde. »
Non, vous n’avez pas compris, tous ces gens ne sont absolument pas sur la même longueur d’onde. Si François Taddei milite pour une compréhension globale et transversale des enjeux du numérique, notamment en l’occurrence pour ce qui concerne l’IA, les autres personnes sus-nommées n’en ont qu’une vision et une compréhension partielle, la limitant aux seuls enjeux scientifiques et technologiques de l’IA.
La différence entre ouverture, lumière et compréhension globale et, de l’autre côté, une certaine forme d’obscurantisme.
Le 09/03/2015 à 14h51
Comment il disait Céline, déjà ? Ah oui, tourner autour du pot, négliger l’essentiel et branler l’accessoire…
Le 12/02/2015 à 08h44
« l’éducation « aux médias et à l’information » n’étant actuellement obligatoire qu’au collège »… Dans les faits, dans la très grande majorité des collèges, cette formation transversale passe à la trappe.
Il y a à craindre que, faute de modification drastique de tous les programmes disciplinaires et mobilisation des cadres pédagogiques, il en soit de même encore dans les années qui viennent.
Le 28/02/2014 à 15h33
Heu… En désaccord complet avec l’analyse et les commentaires proposés quant à l’introduction du numérique dans les enseignements primaire et secondaire. Prière de se reporter àhttp://www.neottia.net/.
Par exemple, la Direction du numérique pour l’éducation, qui n’a toujours pas de directeur ni de services, n’est pas une nouveauté, loin de là, car annoncée depuis un moment déjà, mais pas opérationnelle, loin de là.