votre avatar Abonné

Michel Guillou

est avec nous depuis le 22 octobre 2013 ❤️

28 commentaires

Le 17/09/2024 à 11h 25

Remarquable article, nonobstant le dernier commentaire décalé et pas à la hauteur du reste...

Le 08/11/2023 à 09h 45

Ce rapport du HCE s’appuie sur un contresens complet. Le numérique est un fait social global et les « filières du numérique » sont une lubie d’informaticien. Un très grand n’importe quoi, on revient 20 ans en arrière, l’inculture du HCE est constante.

Le 04/11/2023 à 10h 04


(reply:2163314:Michel Guillou)
D’ailleurs, j’observe que certaines apostrophes sont aussi incorrectes dans le texte. Certaines, pas toutes…
Comme dans ce commentaire où la saisie propose « ’ » alors qu’il conviendrait d’utiliser « ’ ».


Le 04/11/2023 à 09h 52

Merci. Un détail (mais bon…) : si vous pouviez être attentifs à utiliser de vraies apostrophes dans les titres, ce serait bien… Ainsi que des insécables pour éviter certains retours à la ligne intempestifs.
#jdçjdr

Le 30/05/2023 à 07h 01

L’aperçu des PDF ne fonctionne pas chez moi…

Le 08/03/2023 à 23h 16

Une fois de plus, la confusion est totale entre le numérique, fait global social dans lequel les femmes n’ont pas moins de peine à trouver leur place et le monde des techniques et de l’informatique où persistent de graves discriminations.

Le 20/02/2023 à 17h 16

« Premier point donc : pour féminiser le numérique, il faut commencer par élargir le vivier, en convainquant plus de jeunes filles de faire des maths et des sciences. »
C’est un contresens. Pour féminiser le numérique, il faut faire du numérique le contexte général et global de l’ensemble des disciplines, et pas seulement de l’enseignement mathématique et scientifique. Le numérique doit être le paysage ordinaire de la formation de le citoyenne (et du citoyen), ouverte et engagée dans son temps.

Le 06/09/2022 à 14h 42

15 « solutions » ! En toute amitié, c’est trop.

Le 26/07/2022 à 16h 40

Marc, tu te moques de tes collègues qui abusent du « cequelonsait » mais tu abuses amha, toi aussi, du mot « solution » dans la titraille (flemme de faire des recherches, c’est toi qui payes pour tes collègues peut-être) alors que d’autres mots pourraient être choisis et plus pertinents.
Juste mon avis.

Le 14/09/2021 à 09h 18

Bel euphémisme !

Le 29/06/2021 à 14h 42

Toujours en 4.3 :(

Le 24/06/2021 à 08h 54

Pour information ce commentaire lu sur Twitter : twitter.com Twitter

Le 24/04/2020 à 08h 17

Je le dis avec bienveillance mais je le dis quand même : 2 anglicismes dans le même titre, NextInpact n’est plus ce qu’il était…

Le 23/04/2020 à 09h 06

C’est vrai. Mais c’est une accumulation, là… Voir twitter.com Twitter

Le 23/04/2020 à 08h 40

Pardon ? Ça aurait été plus compliqué d’écrire « faille » ou « vulnérabilité » plutôt que cet imbécile « fail » ? 

Le 08/04/2020 à 14h 21

Bonjour Marc. Es-tu certain de vouloir utiliser l’horrible anglicisme de « solution » qui s’impose dans le vocabulaire courant sous la pression du marketing ?

Le 13/03/2020 à 15h 59

Tous ces gens-là font aujourd’hui la même chose que ce que fait lelivrescolaire.fr depuis sa création. Est-ce vraiment un miracle ?

Le 03/07/2019 à 11h 55

«  On pourra lire cette série de tweets de David Dufresne sur le sujet.  »Le lien est inopérant. 

Le 06/06/2019 à 08h 54

Une erreur, sans doute…

Le 23/05/2019 à 14h 05

Non, « Le Sénat n’impose pas davantage de numérique au programme des écoles professorales ». Il se contente d’engager les ESPE à inscrire 3 nouveaux axes dans la formation :




  • la maîtrise des outils et techniques (acculturation minimale)

  • augmenter l’usage de ces outils et techniques (c’est-à-dire changer les pratiques pédagogiques, ce qui est plus signifiant)

  • mieux appréhender la culture numérique et ses enjeux (là encore, c’est bien le moins, encore convient-il d’être d’accord sur ces enjeux.



    Tout cela est bien beau mais bien au-dessous de ces enjeux justement. Comme je le commente sur Twitter,  c’est en changeant au fond la forme scolaire et les postures des maîtres que l’école pourra durablement rencontrer le contexte numérique. Et il faudra sans doute changer certes les objectifs, les missions et un peu les programmes pour mettre en phase l’école et la société numérique, mais aussi imaginer peut-être de changer les formateurs…



    Enfin, la question du numérique n’a strictement aucun rapport avec la création d’un nouveau CAPES, quel qu’il soit, puisqu’il concerne toutes les disciplines.



    Et j’agrée la remarque du précédent commentaire : est-il nécessaire de dire l’évidence dans une loi ? Si les enseignants (et leurs cadres et formateurs d’abord, à commencer par le ministre) faisaient leur travail, il n’y aurait pas besoin d’écrire quoi que ce soit dans la loi.

Le 14/02/2019 à 08h 07

Merci Xavier, j’avais raté ça…

 

Le 13/02/2019 à 23h 32

Un débat ? En commission ? Pas entendu parler de ça…

Le 13/02/2019 à 22h 13

Xavier, c’est quoi ce colloque consacré au numérique dont tu parles au tout début ?

Le 05/10/2017 à 08h 44

« Lors de la dernière rentrée, seul un collège sur deux était censé participer à ce fameux plan… ». Moui… On est très loin de la réalité. Par ailleurs, ce n’est pas dans toutes les classes et pas dans toutes les disciplines.

Le 16/05/2017 à 11h 56

« Même son de cloche pour François Taddei, directeur du centre de recherche interdisciplinaire : « la capacité des enseignants sur l’intelligence artificielle et le numérique est très limitée ». Gilles Dowek, directeur de recherche à Inria, ajoute : « Aujourd’hui, le ministère de l’Éducation nationale ne comprend rien aux enjeux qu’il y a à former les jeunes sur l’informatique et l’intelligence artificielle ». Laurence Devillers, professeure d’informatique à Paris-Sorbonne, est du même avis : « il existe un besoin crucial de formation continue des individus sur les technologies du numérique, à tout niveau et à tout âge ». Bref, sur ce point, tout le monde semble sur la même longueur d’onde. »



Non, vous n’avez pas compris, tous ces gens ne sont absolument pas sur la même longueur d’onde. Si François Taddei milite pour une compréhension globale et transversale des enjeux du numérique, notamment en l’occurrence pour ce qui concerne l’IA, les autres personnes sus-nommées n’en ont qu’une vision et une compréhension partielle, la limitant aux seuls enjeux scientifiques et technologiques de l’IA.



 La différence entre ouverture, lumière et compréhension globale et, de l’autre côté, une certaine forme d’obscurantisme. 

Le 09/03/2015 à 14h 51

Comment il disait Céline, déjà ? Ah oui, tourner autour du pot, négliger l’essentiel et branler l’accessoire…

Le 12/02/2015 à 08h 44

« l’éducation « aux médias et à l’information » n’étant actuellement obligatoire qu’au collège »… Dans les faits, dans la très grande majorité des collèges, cette formation transversale passe à la trappe. 



Il y a à craindre que, faute de modification drastique de tous les programmes disciplinaires et mobilisation des cadres pédagogiques, il en soit de même encore dans les années qui viennent.

Le 28/02/2014 à 15h 33

Heu… En désaccord complet avec l’analyse et les commentaires proposés quant à l’introduction du numérique dans les enseignements primaire et secondaire. Prière de se reporter àhttp://www.neottia.net/.



Par exemple, la Direction du numérique pour l’éducation, qui n’a toujours pas de directeur ni de services, n’est pas une nouveauté, loin de là, car annoncée depuis un moment déjà, mais pas opérationnelle, loin de là.