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Zerdligham

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2206 commentaires

Le 12/07/2016 à 13h 37

Tape google dans la barre de navigation

Tombe sur une page d’erreur

“Ciel, mon internet est cassé!”



<img data-src=" />

Le 12/07/2016 à 07h 34







Patch a écrit :



On n’a pas d’hôpital gratuit



Non







Patch a écrit :



pas d’école gratuite



Non plus







Patch a écrit :



pas de routes gratuites et en bon état général



Toujours pas



L’état prend tout de même plus de 50% de ce que paie ton employeur pour ton travail. Contrairement à d’autres, je ne dis pas que c’est pour rien, mais il y a une assez grosse différence entre gratuit et payé par les impôts…


Le 11/07/2016 à 15h 49

Et le système ne permet pas d’exceptionnellement conserver la validité du token de l’ancienne carte jusqu’à la fin de la date prévue initialement? (ou la résiliation de la CB remplaçante, évidemment)

Le 11/07/2016 à 15h 32

C’est du coup plutôt logique : si elle était différée, ils ont du la marquer comme de crédit, et quand tu as changé ils se sont contentés d’un réglage logiciel. Si la logique va jusqu’au bout, ils devraient te la changer d’ici la fin d’année pour une carte dont le n° est estampillé débit (donc dans l’autre sens que le cas détaillé dans l’article)

Le 11/07/2016 à 15h 29

J’étais resté sur l’idée que les commerçants qui débitent les CB à intervalle régulier le font sur la base d’un identifiant unique fournit par la banque lors de la mise en place de l’abonnement, mais jamais en conservant le n° de CB de leur client. Du coup, si la banque s’y prend bien, ça pourrait être indolore, non?



Sinon, il faut s’attendre à recevoir des avalanches de mails du type “bonjour, vous avez peut-être changé de carte de paiement avant sa date de péremption prévue, si vous ne voulez pas arrêter de recevoir nos merveilleux produits, cliquez vite ce lien pour actualiser vos données bancaires!”.

Chez Nextinpact, vous faites des payement récurrents de ce type? c’est juste pour savoir si j’utilise votre nom dans ma prochaine vague de phishing <img data-src=" />

Le 12/07/2016 à 07h 31

J’ai pas fait l’étude économique dans les détails, c’est des centaines de milliards?

Le 11/07/2016 à 15h 08

Damned, tout mon business plan qui s’effondre.

Je te laisse, j’ai une commande de 10000 moteurs à annuler.

Le 11/07/2016 à 14h 58

Parfait, plus qu’à construire le robot qui va bien pour faire des tours de jardin toute la nuit en agitant le téléphone de la bonne manière pour que ce soit comptabilisé, le mettre en vente et faire fortune sur le dos des joueurs paresseux !

Le 11/07/2016 à 14h 32

J’espère que le footing est valide aussi.

Tu imagines l’impact sur la santé publique si des millions d’oisifs gamers mangeurs de chips se mettent à courir 10 ou 15 km par jour pour level-up plus vite? Obésité? disparue. Maladies cardio-vasculaires? réduits de 90%. Des dizaines de milliards d’économisé pour la sécu rien qu’en France, merci Nitendo.



Bon par contre j’espère qu’ils ont prévu un système pour que les gens s’y mettent progressivement, sinon on va avoir des vagues d’arrêts cardiaques dans les semaines à venir. Pas bon de courir 30km d’un coup quand toute l’activité des 15 dernières années s’est concentrée dans le poignet droit (je parle de la manipulation de la souris, bande d’esprits mal tournés).

Le 11/07/2016 à 15h 17

Je m’étais fait la même remarque au moment de l’affaire Eric Walter.

A la limite, un employé de call-center n’a pas forcément le luxe de refuser un job , même dans une ambiance de merde (encore que 10 ans plus tard… j’espère pour eux qu’ils ont réussi à se recaser).

Par contre, pour un haut fonctionnaire, à part pour faire chier son ancien employeur, je ne vois pas de raison d’exercer ce droit. C’est pas comme si c’était difficile pour lui de se recaser et/ou de vivre quelques années sur ses réserves…

Le 11/07/2016 à 15h 01

La constitution (article 8 de la DDHC) interdit explicitement tout législation rétroactive. En matière de fiscalité, c’est une pratique courante. Je ne sais pas si le conseil constitutionnel a validé de telles dispositions, ou si c’est simplement qu’il n’a jamais été saisi sur le sujet.

Le 11/07/2016 à 14h 05







Sans intérêt a écrit :



Le service en ligne peut aussi disposer de plusieurs offres de stockage mis à disposition, quitte à ce qu’elles soient proposées au même prix et ajustées automatiquement.





Je me suis fais la même remarque, mais peut-être que ce serait jugé hypocrite et contournant la loi (et que le juge retiendrait que le stockage réellement mis à disposition serait le plus gros proposé)

Cela dit, on doit pouvoir en trouver des tas de variantes, par exemple un jeu d’offres à des prix variant de quelques centimes en fonction du stockage utilisé <img data-src=" />


Le 01/07/2016 à 15h 58







Garrett29 a écrit :



Je me demande s’il y a des chances pour qu’elle communique encore un temps après ce “crash”, parce que bon 50 cm/s c’est pas bien violent…

Peut-être si elle n’écrase pas ses antennes et qu’elle s’oriente correctement ?





Je me suis fait la même remarque.

Une fois posée, la sonde tourne avec la comète, le système qui oriente l’antenne n’est peut-être pas conçu pour pouvoir compenser cette rotation, ce qui fait que la terre ne serait dans l’alignement de l’antenne qu’au plus quelques secondes de temps en temps, ce qui ne permettrait pas d’établir une communication?

Ou bien peut-être que la façon dont est conçue la sonde fait qu’une fois posée, l’antenne pointera vers le bas.


Le 01/07/2016 à 15h 48

Il me semble parfaitement ridicule de forcer des acteurs privés à ouvrir leur code…









Geologic a écrit :



Bien mais qu’en est il de la responsabilité d’exécution. Si une faille est trouvée, et qu’elle défavorise les citoyens (ou l’état). Ou alors s’il elle met en danger la vie privée des individus? Quels sont les recours, qui sont les interlocuteurs?





Le fait d’ouvrir le code ne change rien. D’ailleurs, si tu fais face à une attaque, tu n’as a priori pas de moyen de savoir si ton assaillant a trouvé la faille ne lisant ton code source ou non.

Le responsable est l’administration qui gère le système. Je suppose qu’en même temps qu’ils publient un code, il publient une adresse mail à qui communiquer d’éventuels failles (d’ailleurs, on ne devrait pas attendre d’avoir à publier son code pour avoir une plate-forme de signalement des bugs).


Le 01/07/2016 à 15h 46

Rahh, si même les ordis sont programmés à se plier à la pression sociale des autres véhicules…

Effectivement, ça peut être nécessaire si la majorité des gens conduisent n’importe-comment. Cela dit, en bientôt 10 ans de conduite, je n’ai jamais rencontré de situation où respecter les limitations était dangereux, ça ne doit pas être extrêmement courant.

Le 01/07/2016 à 15h 28







Dr.Wily a écrit :



Tout a fait, mais parfois il faut savoir rouler plus vite que la vitesse limitée. Par exemple rien que pour doubler





Si la vitesse de celui de devant ne te permets pas de le doubler en restant toi-même sous la limite, tu es censé rester derrière (genre si quelqu’un roule à 80 sur une nationale, tu doubles pas). C’est écrit dans le code de la route.







Dr.Wily a écrit :



ou éviter un obstacle.





Un exemple? J’arrive pas à imaginer de situation où ce serait nécessaire.


Le 29/06/2016 à 12h 13







DayWalker a écrit :



Ou pas, quand le cadre réalisera avoir 3-400 € de moins sur sa fiche de paie, quand il est célib et sans gamins, alors qu’il fait le même boulot que son voisin, qui lui, a décidé de se vider les cacahouettes et de se reproduire. Quel rapport avec le travail réalisé ? Aucun…





Si le cadre a besoin du prélèvement à la source pour réaliser qu’il paie plus d’impôts que son voisin, il ne mérite pas d’être cadre <img data-src=" />


Le 29/06/2016 à 11h 59







Liam a écrit :



En fait, la notion d’IP comme donnée “pas privée” est débattue aux US. D’un côté, oui, c’est “pas privé” puisque tu la publies sur internet à chaque fois que tu communiques avec un autre ordi. C’est pas un truc que tu gardes en interne. De l’autre côté, le piratage avait lieu justement parce que l’IP était cachée via Tor, dont le but est justement de rendre privée l’IP.





A la limite la désobfuscation de l’IP ne me semble pas abusée non plus.

Pour poursuivre le parallèle avec une adresse physique, c’est un peu comme si on mettait un traceur dans un colis plein de photos pédo que le site était supposé envoyer par la poste à une boite anonyme, et qu’on attendait de voir où le paquet est ouvert pour en déduire l’adresse (et le nom) du destinataire. Certes, on introduit quelque chose chez le suspect, mais on est encore loin d’une perquisition.

Après effectivement, si ça se fait techniquement via l’injection d’un malware, il est très tentant pour le FBI d’aller au delà de la simple récupération de l’adresse, d’où toutes ces questions. L’avantage du traceur dans le monde physique est qu’il ne permet pas les mêmes abus.



Mais au final, ce que je trouve vraiment inquiétant dans tout ça, ce n’est même pas l’intrusion elle-même, mais le fait que les polices tiennent à ce point-là à faire les choses sans avis du juge. Parce qu’au fond, ce qui est discuté ici ce n’est même pas le bien-fondé de l’acte, mais le fait de l’avoir fait sans mandat (vu le contexte, il me semble crédible qu’un juge leur aurait donné leur mandat s’ils l’avaient demandé).

Et là-dessus, je ne suis pas certain qu’on soit meilleurs en France…


Le 27/06/2016 à 15h 14

Autant l’IP ça ne me choque pas (quelque part, c’est comme si la police récupère l’adresse de la maison d’un malfrat, pas besoin de mandat pour ça, c’est seulement s’ils veulent fouiller dedans qu’ils en ont besoin).

Même les ids de connexion, je veux bien, si on considère que la personne qui se connecte les envoie vers le serveur et qu’on ne vient pas les chercher chez lui. Sous réserve évidemment qu’il y ait eu mandat pour prendre possession du-dit serveur bien entendu, sinon c’est vis-à-vis du propriétaire du serveur qu’on est en faute.



Par contre, je ne comprends pas bien cet élargissement. L’article me semble même se contredire lui-même :







l’article a écrit :



Pour le juge, l’accusé ne pouvait pas s’attendre « raisonnablement » à ce que sa vie privée soit réellement protégée dans son ordinateur. (…) Il n’y avait pas de données de type « contenu », ce qui fait toute la différence pour le magistrat.





La première phrase laisse entendre que le juge considère que tout est permis, la seconde que seul des données d’identification peuvent être récoltées.

Dans le premier cas, c’est n’importe quoi, surtout qu’il semble justifier la légalité de la chose par le fait que ce soit techniquement possible (il est techniquement possible de foutre des claques à ce juge, pour autant je ne suis pas certain qu’il le jugera du coup légal <img data-src=" />) Je me demande ce qui selon lui empêche d’appliquer ce raisonnement aux perquisitions physiques.

Dans la seconde hypothèse, c’est déjà nettement moins déconnant, et il serait intéressant de savoir jusqu’où vont ces données qui ne sont pas ‘de contenu’, et s’il y a d’autres limites à ce droit. Selon la réponse à ces questions, ça peut aussi être assez inquiétant, mais l’article n’en dit pas assez.







odoc a écrit :



Oui la police peut avoir des droits différents des citoyens, mais si la justification c’est dire “faire ca n’est pas un délit (eg une atteinte à la vie privé) donc pas besoin d’autorisation”, comme le “ca” n’est pas un délit, n’importe qui peut le faire sans être poursuivit. Que ce soit la police ou un citoyen lambda.





Je ne pense pas que ce soit ça le raisonnement du juge. Tel que je le comprends, il ne dit pas ‘ce n’est pas un délit’, il dit ‘ça rentre dans les attributions classiques de la police’. Du coup, il n’y a rien d’incompatible à ce que reste un délit pour le citoyen lambda.


Le 29/06/2016 à 11h 57

C’est pas ça une attaque temporelle. Une attaque temporelle, c’est quand tu arrive a obtenir de l’information sur le message ou sur la clé à partir de temps de calculs à différentes étapes. Pour prendre un exemple simpliste et caricatural, si ta fonction de chiffrement répond en un temps proportionnel à la longueur de ton mot de passe, rien que le temps d’exécution de ton programme trahis ce qu’il fait.

D’où le problème cité par vampire7 : il y a souvent un tradeoff à faire entre la performance de l’algo (qui t’incite à renvoyer la valeur dès que tu l’as) et la sécurité (qui exige que le temps de réponse soit le même dans tous les cas, donc au moins aussi long que le temps de réponse dans le pire des cas).

Le 24/06/2016 à 16h 37

Il y a une différence entre mentir et ne pas tout dire.

Mon impression est qu’on est dans la comm’ floue visant à dire quelque chose de rassurant en s’avançant le moins possible, ce qui sans aider apporter grand chose, n’est pas non plus du mensonge.

Après, je suis peut-être naïf <img data-src=" />

Le 24/06/2016 à 15h 41

S’ils ne retrouvent aucune donnée, la boite est morte, mensonge ou pas. Et même si j’avais la certitude qu’ils vont les retrouver, je leur prêterais pas de l’argent <img data-src=" />

D’ailleurs, qu’est-ce qui te dit qu’ils mentent?

Le 23/06/2016 à 15h 47

Il y a un truc qui m’échappe.









l’article a écrit :



Du coup, pas de doute : dans les saintes Écritures de la loi sur la confiance dans l’économie numérique, l’exercice d’un droit de réponse doit être dirigé vers le directeur de la publication ou à défaut vers l’hébergeur qui doit alors le transmettre aux principaux concernés. Or, en l’espèce, Wikimedia Foundation avait bien « transmis à l’équipe de volontaires ses réponses aux réclamations de Mme Teissier ».





Quand on parle de droit de réponse, il n’y a pas d’obligation de la part du directeur de la publication de le publier? Est-ce que le modèle de Wiki fait disparaitre cette obligation, ou bien est-ce que ça signifie qu’elle s’est juste trompée en attaquant Wikimédia, et que ce sont les auteurs de l’article qui doivent être attaqués en justice en tant que directeurs de la publication?

Non pas que j’accorde le moindre crédit à l’astrologie, mais ça me semble un peu facile de dire ‘ah, c’est pas moi, adressez-vous à la communauté’.


Le 23/06/2016 à 09h 50







KP2 a écrit :



Les DSI n’ont pas toujours des “acheteurs” dédiés. Dans l’extrême majorité des boites, c’est la DSI elle-même qui fait ses achats. Et quand bien même, ça passe par un acheteur, la DSI intervient forcément pour donner des indications. C’est pas l’acheteur qui va décider par lui-même que tel presta remplit le besoin ou pas. Surtout sur des sujets aussi techniques que l’informatique.





Moi j’en connais des directions ‘métier’ ou des acheteurs qui ne se demandent pas l’avis de la DSI avant de passer un marché type SaaS (voire qui ignorent cet avis s’il ne leur convient pas). Ce qui ne les empêchent pas de chouiner quand les SI interne et la prestation ne s’interfacent pas bien.

Ce que tu décrit, c’est une boite qui marche drôlement bien <img data-src=" />


Le 23/06/2016 à 08h 34

A la limite ce serait un scénario un peu moins catastrophique que ce que laisse imaginer l’article : les données sont là, mais GLI ne sait plus les gérer. Les concurrents de GLI vont se faire un plaisir de trouver un moyen de les intégrer à leur système d’ici quelques jours !

Le 23/06/2016 à 08h 19

VM ou pas VM, si ta sauvegarde est au même endroit que la donnée de prod, tu ne te protège pas de tout ce qui est désastre physique (incendie, inondation, vol…). Ça peut être acceptable pour certaines utilisations, mais une boite qui traite des infos importantes doit savoir gérer ses VM de façons à ce qu’elles soient physiquement pas au même endroit.

Le 23/06/2016 à 08h 15

Que les groupes de presses s’appuient sur un prestataire, c’est assez logique, chacun son métier.

Par contre, je trouve ça assez incroyable qu’ils n’exigent pas d’avoir chez eux au minimum un export hebdomadaire des données (surtout que là c’est probablement des données textes, ça doit pas être bien lourd)









Obidoub a écrit :



Je pense pas qu’on utilise des bandes quand on manipule des Tera de données sollicitées 2424.





Les sauvegardes ne sont pas sollicités h24, c’est tout à fait possible de les faire sur bandes.


Le 23/06/2016 à 08h 28







gvaudan a écrit :



merci les api donc les données accessibles a n’importe qui. Sans elles c’est vrai que c’est trop compliqué de demander une procuration ! Vivement qu’on puisse faire n’importe quoi n’importe par n’importe qui !vive la société sans contrôle. Ah pardon la société auto régulée (faut faire confiance voyons) et transparente (pour certains), les anarchistes n’y avaient pas pensé.





Ben oui c’est l’objectif principal du truc : ouvrir les données, et si possible par un truc plus utilisable qu’un méchant export en csv.

J’ai pu assister à des démos de ce qui est faisable avec ces API (et d’autres en cours de développement qui s’y ajouteront probablement dans les mois à venir), c’est assez bluffant. Les démarches administratives vont probablement être très largement simplifiées dans les années à venir, ce sera beaucoup de temps gagné aussi bien pour les citoyens que pour les administrations qui traitent ces demandes.







gvaudan a écrit :



sinon “quand bien rien ne garantira que toutes les API publiques seront référencées sur ce site.”  c’est quoi ce charabia ?





Ça veut dire que si le ministère de jesaispasquoi ou l’agence de trucmachin développe une API publique, il n’est pas obligé de l’ajouter sur ce site.


Le 22/06/2016 à 15h 36







mjklex a écrit :



Mouais… tu es sûr de bien avoir une vision générale d’une cabine d’essayage, de cabine de piscines ou de toilettes publiques?





Non, tu notera que j’ai pas écrit que c’était débile, mais que j’avais jamais compris l’intérêt. Sous-entendu je conçoit qu’il y en ait un.

En fait c’est un raccourci : j’aurais plutôt du dire que les intérêt de ce mécanisme me semblent tellement faibles par rapport aux inconvénients que je ne comprends pas qu’il soit autant utilisé.







mjklex a écrit :



Le nombre de verrou défectueux, qui ne ferment plus, qui sont cassé, dont les réparations de fortune font qu’il n’est plus possible de se fier au voyant…





Si le verrou est cassé ouvert, le voyant n’est effectivement pas fiable, mais en pratique, qui se met à quatre pattes pour vérifier s’il y a des pieds qui dépassent avant d’essayer d’entrer au cas où le voyant est cassé? Le fait qu’il y ait un espace ne me semble en pratique pas apporter grand chose dans cette situation.



Si le verrou est cassé fermé avec quelqu’un dedans, c’est un peu plus problématique.

J’avais en tête les cabines très légères (structure de planches de 5mm d’épaisseur avec trois bouts de métal pour les faire tenir ensemble), qui sont généralement ‘verrouillées’ avec un bout de plastique qui pivote. pour ces cabines, l’argument ne me semble pas tenir : quasi impossible que ça dysfonctionne, et suffisamment peu solides pour être forcé par un gamin de 5 ans. Au pire, les gonds sont accessibles et peuvent être dévissés de l’extérieur (quand je disais tu démontes ou tu casses, le ‘tu’ faisait plutôt référence à l’employé du magasin, pas au client coincé dedans)

Pour les cabines un peu plus en dur (avec une porte à poignée et verrou ‘en métal à l’intérieur de la porte’), c’est effectivement plus un problème. Et encore, avec un tourne-vis et une pince, une porte intérieure classique, c’est 2-3 minutes à forcer.







mjklex a écrit :



En cas de malaise, si tu t’aperçois qu’une personne ne va pas bien dans la cabine, tu préfères attendre sagement les pompiers devant la porte au lieu d’appeler tout en entrant et voir ce qu’il se passe dedans (ce que d’ailleurs les pompiers te diront de faire)… La personne ne respire plus, c’est de précieuses minutes qui diminuent son espérance de survie.





A priori c’est l’employé de magasin qui a le passe, pas les pompiers. J’ai meilleur temps de l’appeler que d’essayer de me faufiler dessous (d’autant que vu l’espace qu’il y a généralement, je suis pas certain de toujours pouvoir passer dessous #brioche).



Le cas malaise + verrou un peu solide coincé fermé est le seul qui soit potentiellement problématique. Mais ok, même si je ne suis pas totalement convaincu, je reconnais l’intérêt d’avoir des portes avec un espace dessous et/ ou dessus.

Maintenant tu m’expliques l’intérêt d’avoir un espace dessus/dessous les parois entre cabines? <img data-src=" /> Parce que c’est bien de ça qu’il s’agit ici…







mjklex a écrit :



J’espère juste que tu n’es pas chef de projet… (Ah mer…de, y a un truc qui faisait partie des 1% de risque qu’on a pas pris la peine de combler)





Non, mais si j’étais chef de projet, je ne me priverais certainement pas de dire à quelqu’un que je ne comprends pas pourquoi il fait tel choix plutôt que tel autre, afin qu’il puisse soit m’instruire, soit réaliser qu’il est parti dans la mauvais direction. Et je le challengerais jusqu’à être convaincu qu’il a raison.

e suis comme ça, naturellement chiant… mais si ça m’est arrivé de vexer certaines personnes, à la longue tout le monde voit l’intérêt de la démarche.

Et toi, tu es chef de projet? parce que pour croire qu’un projet peut couvrir tous ses risques, il faut habiter chez les bisounours <img data-src=" />


Le 22/06/2016 à 09h 24







mjklex a écrit :





  • Voir si tu veux rentrer si quelqu’un s’y trouve



    • Voir si tu y bosses si un plaisantin a fermé le verrou puis est parti

    • Permet de sortir si jamais le verrou se bloque

    • Permet d’y accéder si une personne est dedans et fait un malaise…





    • Le ‘voyant’ du verrou est conçu pour (ou à certains endroits les portes qui s’ouvrent toutes seules si non verrouillées)

    • On peut toquer à la porte et écouter si quelqu’un répond

    • D’une pas toujours, de deux, dans les cas rares où le verrou se bloque, tu le démontes (au pire tu le casse, c’est pas comme si c’était des verrous sécurisés)

    • Ça m’étonnerait que les pompiers se faufilent sous la porte en cas de malaise. M’est avis qu’ils préfèrent utiliser le passe (qui est souvent une pauvre clé carrée).







      Faith a écrit :



      Plus difficile à nettoyer





      Je vois effectivement l’avantage, mais ça me semble assez marginal. On perd quoi, 3 secondes par cabine?







      Faith a écrit :




  • plus difficile de savoir si quelqu’un est dedans

    -plus facile pour y faire des “conneries” (fumer, se piquer, faire l’amour, etc)



    • ça incite à rester plus longtemps donc à allonger les files d’attente

    • risque de se sentir claustrophobe





    • Il me semble que la couleur du verrou joue assez bien ce rôle

    • Pour fumer, c’est pas obligé d’être étanche, donc le personnel du magasin s’en aperçoit aussi vite. Pour se piquer, je ne vois pas en quoi le fait que les gens voient tes pieds changerait quoi que ce soit. Pour faire l’amour, éventuellement (encore que vu l’isolation sonore des planches d’agglo et le fait que de toute façon tu y rentre à deux en public, c’est de toute façon pas très discret).

    • J’ai du mal à voir en quoi le fait que les gens voient tes pieds t’inciterait à aller plus vite. A moins que tu ne comptes sur le fait que les gens se dépêchent pour minimiser la probabilité qu’un pervers les prenne en photo pendant qu’ils se changent <img data-src=" />

    • Là je veux bien. cela dit, ça ne doit pas concerner grand monde.





      Bref, globalement, je ne suis pas convaincu.



Le 22/06/2016 à 08h 52

J’ai jamais compris pourquoi tant de cabines d’essayages et chiottes collectives avaient des parois qui ne vont pas du sol au plafond. C’est tellement plus cher?

Combien va coûter ce bad buzz en veille de soldes à Décathlon par rapport à quelques m² de planche en plus? (même si à la lecture de l’article il semble que leur réaction ait été très bonne)

Le 22/06/2016 à 08h 46

Vu comme ça, je comprends mieux.

Manifestement ça ne tient pas juridiquement, mais c’est vrai qu’il n’est pas inutile de souligner l’hypocrisie des Google qui interdit les applications parlant de jeux d’argent, mais ne voit pas de problème à faire de la pub pour ces mêmes jeux d’argent.

Si Google était ‘puritain’ de la même manière sur Adword, ça aurait au moins le mérite d’être cohérent.

Le 21/06/2016 à 17h 29

Quelqu’un a compris le lien entre le fait de se faire éjecter du playstore et Adword?

C’est pas comme s’ils s’étaient fait éjectés parce qu’utilisant une autre régie, ou s’ils étaient susceptibles d’être réadmis s’ils utilisent Adword…

Le 21/06/2016 à 17h 21







ner0lph a écrit :



Ça dépend peut-être s’il y a de l’argent en jeu ?









Chamaloxxx a écrit :



La seule différence c’est que c’est légal. Le principe reste strictement le même.





Lobbying (dans sa version légale, parce que c’est vrai qu’on met beaucoup de choses sous ce terme) et corruption n’ont rien à voir.

Le lobbying c’est quand tu prends rendez-vous avec un député pour lui expliquer que pousser une loi dans telle direction serait une idée formidable (voire lui mettre l’amendement ad hoc en main). La corruption c’est quand tu viens au rendez-vous avec une valise de billets pour être plus convainquant. Le lobbying, s’il est pratiqué de façon intelligente et honnête, peut être une très bonne chose.

Exemple, sur une loi concernant l’extraction pétrolière, ça me semble être du bon sens qu’un député reçoive la vision de Total sur le sujet : c’est leur métier, ils savent de quoi ils parlent. Par contre, le député doit avoir l’intelligence de savoir que c’est un avis orienté, et la droiture intellectuelle de recevoir un représentant du camp opposé (une assoc environnementale par exemple) et de l’écouter avec la même attention.

Au final, quand on en veut au méchant industriel qui fait du lobbying, en fait on se trompe de cible. L’industriel fait son travail en expliquant au député ce qui lui semble préférable. C’est le député qui ne fait pas le sien s’il ne va pas aussi prendre l’avis opposé pour se rétablir une vision objective avant d’aller voter.







levieuxtoby a écrit :



Ça se passe comment l’AG des associations de victimes de meurtres ? Nan parce que le principe c’est que les victimes de meurtre sont… mortes…





Depuis quand a-t-on besoin de l’avis de quelqu’un pour ramasser de l’argent en son nom?

Je te rappelle qu’on parle de d’une redevance qui ressemble très fort à la RCP <img data-src=" />


Le 20/06/2016 à 16h 07

A quand une taxe sur les vendeurs de couteaux qui favorisent l’égorgement de femme adultère? (pour financer les associations de victimes, et sans remettre en cause le droit des citoyens à acheter des couteaux bien sûr).



On a une idée des montants en jeux?

Le 20/06/2016 à 16h 16

Perso je suis plutôt du genre à procrastiner des achats nécessaires, genre quand je sens l’humidité du trottoir imprégner la chaussette, la chaussure n’est peut-être plus digne d’être une chaussure ‘de boulot’, mais elle tiens encore quelques mois… et au moment des soldes, j’arrive à me motiver en me disant que si je ne le fais pas à ce moment, je vais finir en chaussettes.

Le 20/06/2016 à 16h 00







Lafisk a écrit :



La gauche … ceux qui ont refuser le salaire de base, proposition pourtant hyper sociale … le PS n’a rien de socialiste de nos jours mais très libéraliste





L’éternel débat de ce qu’il faut appeller gauche ou non… Au fond peu importe, c’est une affaire de convention. J’appelle gauche le PS et plus à gauche. Je pense tout particulièrement aux écolos qui sont particulièrement coutumiers du fait, mais ce ne sont pas les seuls.







maestro321 a écrit :



La liberté d’un point de vue philosophique ne saurait exister sans l’égalité (ou du moins l’équité).

C’est d’ailleurs pour ça que les libéraux sont pour l’égalité des droits…<img data-src=" /> Droit qui est lui-même garant et témoins de nos libertés.

Donc dire que pour les libéraux ‘liberté &gt; équité’ ça n’a pas de sens car moins d’équité (ou d’égalité) se traduit au final par une perte de droits.. et donc de liberté. Les deux notions sont liées et non opposables.

liberté =&gt; droit =&gt; égalité =&gt; équité





Égalité et équité sont deux choses très différentes. L’égalité c’est traiter tout le monde pareil, l’équité c’est faire en sorte que tout le monde ait la même chose (http://www.hierophanie.net/wp-content/uploads/2016/02/egalite-equite.jpg” target=”_blank” rel=“nofollow”>exemple parlant).

L’égalité est une condition indispensable du libéralisme, l’équité non. Elle n’est en théorie pas exclue par le libéralisme, mais en pratique le libéralisme favorise pas trop l’équité.







Lafisk a écrit :



Par contre, il me semble que vous confondiez 2 concept totalement différent, le libéralisme économique, celui qui est au coeur du débat et le libéralisme au sens large, humain … qui n’a rien a voir. Les politiques font du libéralisme économique, les libeertés individuelle, ils s’en foutent hein …





Le libéralisme économique n’est qu’une des conséquences de la philosophie libérale. Je trouve personnellement parfaitement hypocrite de justifier ses positions économiques par le libéralisme tout en rejetant le libéralisme partout ailleurs. “Je te la mets bien profond sur notre dernière négociation, parce que tu comprends, je dois être libre de négocier comme je veux, par contre, si jamais tu es homo c’est la prison, parce que pas de ça chez nous”

Mais à ma connaissance, aucun politique ne fait cela. En France, il n’y a pas de parti (en tout cas pas de parti qui dépasse le %) qui soit ‘économiquement libéral’. Ya qu’à regarder le nombre d’impôts et subventions conçus spécifiquement pour distordre le marché, et sur lesquelles ils sont tous plus ou moins d’accord (le débat porte sur qui doit recevoir le cadeau, pas sur s’il faut faire des cadeaux).


Le 20/06/2016 à 14h 58

oups (à supprimer)

Le 20/06/2016 à 14h 53







GierrePattaz a écrit :



Mais le soucis, c’est que les gens qui plébiscitent cette mutation technologique, sont aussi les 1er à vouloir revenir aux 39h (voir plus) et reculer l’âge de la retraite. (…)

Mais là, je touche une corde que les libé beaucoup n’aiment pas.





De façon curieuse, une partie de la gauche a le exactement le même biais, mais dans l’autre sens. Ils réclament les 30 heures, de maintenir voire d’avancer l’age de la retraite, mais en même temps s’offusquent à chaque avancée technologique augmentant la productivité (qui pourrait donc aider à aller dans leur sens) du fait que ça va détruire des emplois.

Perso j’ai jamais compris le problème de détruire des emplois. Quasi personne ne veut travailler 70h par semaines toute sa vie. Le problème n’est pas la réduction du temps de travail nécessaire à produire des richesses, c’est la concentration de celles-ci qui en découle souvent.







Ramaloke a écrit :



Ce n’est pas un bonhomme de paille, le libéralise est la thèse de l’individualisme et de l’accomplissement de soi. Donc s’accaparer les richesses et devenir riche, c’est du libéralisme. A opposer au communisme ou toutes les richesses sont reparti équitablement.





Point du tout, le libéralisme, c’est mettre l’accent sur la liberté individuelle.

Si ton but dans la vie c’est d’œuvrer à la répartition équitable des richesses, c’est aussi ton droit, et toujours avec le moins de limitations possibles. Par contre les autres sont libre de ne pas coopérer.

Pour caricaturer grossièrement, en libéralisme, liberté&gt;équité et en communisme équité&gt;liberté. Les deux ont leurs avantages et leurs inconvénients.







Ramaloke a écrit :



Je ne comprends pas la vision politique libérale actuelle, partout où je regarde, ça devient n’importe quoi, on va revenir à la période féodales avec les seigneurs (1% milliardaires) et les serfs qui trime pour (sur)vivre. Et c’est sans parler des pays émergents où c’est l’esclavage, sans avoir peur des mots.





Parce que ceux qu’on désigne comme libéraux ne le sont pas au sens classique du terme, tout bêtement.

Le ‘libéral’ moderne pratique le protectionnisme, chasse les subventions et cartélise dès qu’il en a l’occasion. Tout cela est profondément anti-libéral au sens classique.


Le 20/06/2016 à 11h 25







WereWindle a écrit :



Quand je vois le Delta entre la proposition initiale sur la transparence des élus au moment de l’affaire Cahuzac et ce qui a effectivement été mis en place, je ne nourris pas trop d’espoir pour ce projet-ci. <img data-src=" />





A la limite, qu’ils tiennent pas leurs promesses sur ce sujet, je peux comprendre à défaut d’approuver.

Mais l’excuse du “on peut pas le faire parce que vous êtes trop bêtes”, même si je commence à en avoir l’habitude, ça me facine toujours…


Le 20/06/2016 à 10h 02

Le fait de tracer qui a rencontré qui est certainement faisable (et souhaitable).

Par contre, j’ai du mal à voir comment ils envisagent de tracer les propositions normatives si les gens ne sont pas de bonne volonté. Qui peut faire la différence entre un amendement rédigé par le lobbyiste de XXX et celui rédigé par un député totalement convaincu par son entretien avec ce lobbyiste? D’ailleurs je doute de l’intérêt de savoir précisément qui a tenu la plume…









Sébastien Denaja a écrit :



Lorsque nous disposerons de bilans semestriels décrivant les principales actions engagées, nous aurons bien la restitution de l’empreinte normative, sans nécessiter la transmission de toutes les positions sur tous les sujets, ce qui serait ingérable. La profusion d’informations tuerait l’information. Nous voulons rendre le processus normatif intelligible et lisible





“on aurais pu vous donner toutes les infos, mais non seulement ça aurait été fatiguant, mais surtout vous êtes un peu bête, vous auriez pas pu comprendre, donc on préfère vous donner une information partielle, c’est plus simple pour tout le monde”

Qu’ils nous donnent la transparence, des citoyens compétents et motivés s’occuperont de le vulgariser pour les autres si c’est effectivement pas à la portée de tout le monde de comprendre. Merde quoi.


Le 20/06/2016 à 09h 27







col a écrit :



La CNIL exige que les données bancaires soient cryptées par l’intermédiaire d’un algorithme de chiffrement dit “fort”. Cela signifie que les données bancaires sont rendues incompréhensibles sauf pour l’éditeur du site internet.





Perso ce qui me semblerait logique si un site web veut garder les données bancaires serait qu’il les chiffre avec la clé publique dont la clé privée est détenue par la banque. De cette manière, même si le site se fait totalement dépouiller (donc y compris tous ses mots de passe) ça reste très difficile de retrouver les codes des clients, et de son côté la banque sait retrouver le code de CB à partir du charabia qui lui est envoyé.

Après, je ne connais pas grand chose au système, l’identifiant décrit par fred42 joue probablement un rôle similaire, sûrement en mieux. Encore faut-il que le site web utilise ce mécanisme plutôt que de paresseusement tout stocker en clair dans sa BDD accessible depuis internet et dont le login/mdp est admin/admin.


Le 18/06/2016 à 16h 52







cyrano2 a écrit :



si justement, les outils microsoft.





Ça mériterait plus de détails. J’utilise Windows au boulot et à la maison, mon employeur n’a aucune info sur mon PC perso. J’utilise onedrive au boulot et à la maison, mon employeur n’a aucun accès à les documents persos. C’est pas parce que ‘est la même boite qui édite les logiciels que tes comptes pro et persos sont magiquement liés.



Si tu choisis de lier d’une façon ou d’une autre tes comptes pro et perso, tu assumes, mais les outils ne t’y forcent pas, et ton employeur n’a absolument pas le droit de l’exiger de toi.


Le 13/06/2016 à 15h 32







cyrano2 a écrit :



C’est simple : linkedin était le moyen le plus puissant pour trouver un emploi. Et la Microsoft veut trouver le moyen de lier linkedin et ton boulot actuel. C’est la dernière chose que tu veux : que ton bosse puisse avoir un accès même indirect à ton compte linkedin ou ce que tu en fais.





Quel lien en ton éventuel compte linkedin et ton boulot? Rien ni personne ne peux te forcer à fusionner un compte perso avec les outils mis en place par ta boite…


Le 08/06/2016 à 15h 56

Heureusement que nos courageux élus luttent pour la transparence dans ce monde de brutes.

Quand ils en auront fini avec les entreprises et qu’ils seront bien chauds, je propose qu’ils s’attaquent à des sujets autrement plus difficiles : la transparence dans l’utilisation des fonds parlementaires, la publication des déclarations de conflit d’intérêt des députés…

Le 08/06/2016 à 15h 47







v6relou a écrit :



En VM ça tourne assez bien.





Ça tourne probablement aussi assez bien en installant Windows <img data-src=" />

Une VM windows, c’est pas linux ou macos. Je présume que les gens qui codent avec ces OS le font pour une bonne raison (habitude, préférence pour des outils spécifiques, licences…), raison qui est perdue si tu travailles en pratique dans une VM…


Le 08/06/2016 à 13h 20

Je pense que le problème principal de VS community sous MAC et linux c’est que ça ne s’installe pas. VS code, si.

Le 08/06/2016 à 09h 47

Et il a un témoin qui peut le prouver !

Le 06/06/2016 à 17h 01







goom a écrit :



Je crois qu’on a externalisé parce que c’est la mode d’un certain libéralisme, ou que certains conseillers ont chuchoté l’oreille des décideurs que ce serait bien d’externaliser pour diverses raisons (les hauts fonctionnaires et hauts cadres dirigeants faisant partie, parfois, des mêmes réseaux…).





L’externalisation est très utile (voire indispensable) quand on est petit (‘chacun son métier, le mien c’est pas d’héberger du mail’). Chaque administration étant en bonne partie livrée à elle-même pour gérer son SI, ça fait des tas de petits qui ont chacun intérêt à externaliser pas mal de choses.

Mais effectivement, si on prend le sujet à l’échelle de l’état, ça doit être assez gros pour valoir le coup d’internaliser pas mal de chose. Il ne s’agit pas de mode ou de corruption plus ou moins passive, juste de manque de gouvernance au niveau global du SI de l’état (ce qui pour leur défense, ne doit pas être chose aisée).

Cela dit la situation s’améliore, il y a des démarches d’internalisations/mutualisations de datacenters en cours, pilotés par la DINSIC, qui devraient apporter à terme aux ‘petits’ les avantages de l’externalisation tout en restant au sein de la sphère publique.

Ce n’est à ma connaissance pas encore le cas, mais je ne serais pas étonné que la démarche s’étende par la suite à la fourniture de services informatiques de plus en plus sophistiqués (hébergement mail, de sites web, partage de fichier, outils d’édition collaborative type O365…)







tpeg5stan a écrit :



Bonjour,

Je me pose la même question que toi, autant obliger que les données soient en Europe me paraît tout à fait normal, autant leur interdire d’aller -disons- en Belgique ou en Espagne ne me paraît pas conforme avec l’idée d’un marché commun européen et de la libre concurrence et circulation en Europe. 

Quelqu’un de bien informé aurait des précédents sur des sujets similaires ? Merci d’avance





D’autant plus qu’on parle d’entités publiques, dont soumises au code des marchés publics… qui stipule explicitement que les marchés sont ouverts à toute l’Europe (u delà d’un certain montant si ma mémoire est bonne, mais ce montant est pas énorme).

De ce que j’ai compris, du point de vu du code des marchés publics, tu peux imposer le respect de tel ou tel article réglementaire ou législatif, et exclure de fait les hébergements à l’étranger (voire la réponse par un boite étrangère) sans que ce soit considéré comme une clause discriminatoire (alors que tu n’aurais pas le droit de dire juste ‘hébergé en France par un français’).

Du point de vue du respect des traités internationaux par la France au moment où elle vote ces lois, par contre, je ne sais pas. Il existe peut-être des clauses permettant d’exclure les étrangers quand il s’agit de l’intérêt supérieur de la nation (notion suffisamment vague pour y fourrer pas mal de choses <img data-src=" />)



Il y a des pays de l’UE qui sont soumis à des clauses législatives similaires au patriot act, ce qui est très logiquement disqualificatif pour pas mal d’usages. Tout ce qui est lié à la défense notamment, ou ce qui est données sensibles est à héberger en France uniquement (et sans passer par des de lois clairement pensées pour autre chose!) :ssi.gouv.fr République Française


Le 06/06/2016 à 16h 28

Je suggère à ceux qui ont un peu de temps d’aller lire les articles de loi L111-1, L111-7, L211-1 et L211-4, sur lesquels s’appuie cette circulaire. C’est tellement pas adapté à des documents numériques que c’en est risible ‘L’exportation des trésors nationaux hors du territoire douanier peut être autorisée, à titre temporaire, par l’autorité administrative, aux fins de restauration, d’expertise, de participation à une manifestation culturelle ou de dépôt dans une collection publique’. C’est pas comme si on pouvait faire des sauvegardes en local si on a peur de perdre des données précieuses… (d’ailleurs, les articles L111-7 et-7 sont dans le TITRE Ier : PROTECTION DES BIENS CULTURELS, ça pose le contexte)

Sinon on retrouve la bonne vielle habitude du gouvernement/législateur consistant à rendre obligatoire l’usage de prestataires / produits certifiés par l’ANSSI, sans attendre que l’ANSSI ait certifié qui que ce soit, ni se préoccuper du budget associé… Très constructif, s’il voulaient inciter les administrations à arrrêter d’essayer de respecter les règles, ils ne s’y prendraient pas autrement.









nanard69 a écrit :



Le problème c’est que les clouds souverains sont très loin de proposer des services équivalents à du google for work ou office 365.





J’ai failli répondre qu’Orange faisait de l’office 365, mais je suis aller vérifier avant et… c’est MS qui héberge, Orange ne fait que commercialiser <img data-src=" />