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7412 commentaires

Le 04/10/2017 à 09h 49





  • Lidl dans “Cash Investigation”: Comment la grande distribution a développé une culture “toxique” du management - huffingtonpost.fr - 27/09/2017 :



    « • Le cas particulier des hard discounter (et d’Amazon)



    “Lidl, et Amazon d’ailleurs, ce sont d’abord des entreprises fondées par des ingénieurs. Par opposition, dans le métier, on dit que les Carrefour, Leclerc, Auchan, sont des ‘romantiques’. Ils pensent commerce avant tout. Chez Lidl, le format a été théorisé presque avant de savoir ce qui serait vendu en magasin. Idem chez Amazon.



    Après les distributeurs ont travaillé sur l’ergonomie des postes de travail ces dix dernières années. De nombreux outils ont été développés par Carrefour, par Monoprix, pour réduire la pénibilité des postes. Mais il faut admettre qu’un hypermarché, avec peut-être 500 employés, tient désormais de l’usine, avec une segmentation des tâches très précise.” »

  • Le scandale de l’évasion fiscale, révélations sur les milliards qui nous manquent

    Cash investigation - Saison 2 Épisode 1 (21/07/2015)



Le 04/10/2017 à 09h 25

Pour répondre à la question de conclusion, personnellement, je n’aime pas les sociétés multi-services convergents intégrés : Orange, le groupe La Poste, Altice, le CIC-Crédit mutuel, les agences immobilières généralistes (qui font tout, mais n’importe comment), les producteurs-commerçants (sic), etc. Le consommateur est bien assez rendu captif comme ça par les oligopoles en tout genre (et ce n’est pas l’oligopole des télécoms qui concurrencera l’oligopole des banques: ce sont les mêmes qui siègent dans les conseils d’administration).



Je préfère les multi-services décentralisés : BouyguesTél. avec LeKiosk.fr, La PresseLibre.fr, le dégroupage total DSL, les MVNO, les buralistes, etc.



SoLoMo, circuits courts, coopération :

telle est la devise d’une offre commerciale efficace et respectueuse du client.

Le 04/10/2017 à 08h 06

Cash investigation a fait des révélations sur des pratiques tendancieuses dans les centres d’appels de Free, et ce concours de services de centres d’appels récompense une initiative de salariés de centre d’appels de Free :



ça brouille quelque peu l’impact de ce prix inter-entreprises, non ?

Le 04/10/2017 à 06h 16

Qui décide du financement de la TV publique, à ton avis ? C’est l’État qui finance la TV publique.

Tant que l’État veut une TV publique, il y aura une TV publique. Toi, tu paieras tes impôts comme tout le monde (tu peux toujours frauder, il paraît que c’est le sport national dans les pays latins).

Le 03/10/2017 à 20h 02

ça s’appelle plus “télévision publique” à ce moment-là <img data-src=" />

Le 03/10/2017 à 19h 26

« Par contre si c’est pour financer la nouvelle piscine de Nagui… »



Il faut dire aussi que :

Nagui = audience = recettes publicitaires = augmentation du budget de France Télévisions.

Le 03/10/2017 à 19h 04

« Selon elle, ce dispositif venant d’outre-Rhin – un peu plus de 17 euros par mois, soit environ 200 euros par an – est un succès » (article Next inpact)



Perso, je n’aime pas la mensualisation, je préfère payer cash ce que j’achète. Si je m’abonne un an à un service, j’aime bien payer en une fois, comme je le fais avec mes abonnements presse ou avec mes assurances, par exemples. Si je pouvais payer 24€ en une seule fois pour mon abonnement de téléphonie mobile, ce serait très bien (oui, j’aime aussi l’engagement, ça ne m’amuse pas de changer de fournisseur tous les 6 mois).



Mensualiser les impôts, je trouve ça infantilisant (on ne sait plus ce qu’on paie, il faut utiliser un tableur pour savoir ce que ça coûte à l’année).

Le 03/10/2017 à 17h 48

France Culture, ARTE, les antennes régionales de France Bleu et de France 3, l’INA, l’orchestre de Radio France (et j’en oublie) : personnellement, je trouve ça chouette.

Le 03/10/2017 à 22h 00

vu ici.

Le 03/10/2017 à 21h 54

Je viens d’apprendre que Laurent Alexandre (le débat de 28 Minutes) est le fondateur de Doctissimo. Tout s’explique ! <img data-src=" />

Le 02/10/2017 à 14h 07

« Oui, et donc ?

Parce que l’avocat de l’Azerbaïdjan le dit, ça doit être faux ? »



Non.





« Désolé, mais je suis 100% d’accord avec lui sur ce point. »



Merci Captain Obvious, depuis le temps j’avais compris. C’est bien pour ça que je t’ai mis cette citation. Exerce un peu ton esprit critique et tu comprendras peut-être ce que j’ai voulu te dire.





  • un indice: l’Azerbaïdjan est une dictature

  • un 2d indice: Cash investigation met en scène ses révélations, “le sensationnalisme” dont parle l’avocat

Le 01/10/2017 à 22h 39

Ah ben quand même !! Au moins un truc intéressant dans l’émission, ouf !! (même si tu répètes les propos du responsable de Lidl avec la même amnésie quant aux questions soulevées par Élise Lucet face à lui). Comme quoi, Cash investigation, c’est pas que du bullshit finalement.



Pour finir, une citation : “[Cash Investigation, ndlr] c’est du sensationnalisme avec une mise en vedette d’Elise Lucet qui, quand même, est la seule journaliste que je connaisse qui se réjouisse quand on ne répond pas à ses questions.”

&nbsp;

Non, cette citation n’est pas de toi, elle est de l’avocat de l’Azerbaïdjan à propos de la plainte pour diffamation de ce pays contre Cash investigation parce que “La République d’Azerbaïdjan est l’objet d’attaques injustifiées dont l’apogée a été atteint avec le magazine Cash Investigation, qui présente [le pays, ndlr] comme une dictature avec un despote”. (lci.fr)

Le 01/10/2017 à 22h 12

Merci pour ce commentaire INtéressant.

Le 01/10/2017 à 19h 27

<img data-src=" />

Le 01/10/2017 à 19h 27

<img data-src=" />

Le 01/10/2017 à 16h 59

L’enquête a duré plusieurs mois, tu comprends ce que c’est le journalisme d’investigation ?



Le responsable peut prendre tous les rendez-vous qu’il veut pour se renseigner auprès de ses services. Il a le temps pour ça. Et même après l’émission, un droit de réponse, un rendez-vous est toujours possible. Pour toi c’est normal de dire “je n’en sais rien” et d’en rester là ?



Tu préfères suspecter Cash investigation de manipuler les interviews, mais tu ne te pose pas la question du pourquoi il n’y a pas de suite de la part des personnes concernées (personne ne fait de procès). Et surtout les centaines de licenciements litigieux avec lesquels le responsable botte en touche, ce sont des anecdotes…

Le 01/10/2017 à 16h 13

« A quoi ça sert de faire une telle interview ? »




     ça sert à mettre la personne devant ses responsabilités. Et ça sert à ne pas entendre les mêmes éléments de langages habituels. Mais je suis d'accord, ça ne mène pas à grand chose la plupart du temps à part certifier une information par la non-réponse ou les excuses de l'interlocuteur ; même si on pourrait attendre un démenti de l'entreprise - ou mieux, un procès en diffamation - ou encore mieux, une réponse positive avec laquelle le responsable de l'entreprise prend acte des informations et s'engage à modifier les faits reprochés (reprendre rendez-vous, demander un droit de réponse, etc).           






     Pour le reste, je te laisse à tes opinions, tu continues à t'intéresser au ton de l'émission, qui t'a choqué. En revanche, tu n'en a rien à faire des révélations de l'émission (qui sont des informations biaisées ou, au mieux, qui ne sont que des "anecdotes"). :roll:

Le 01/10/2017 à 13h 40

Ma réponse à ton commentaire est dans le commentaire précédent. Désolé, j’ai oublié de créer la réponse à ton commentaire.

Le 01/10/2017 à 13h 30

« Question facile, puisque tu as 99% de chances que je réponde non, ce qui est effectivement le cas. Donc, que souhaites tu déduire de cette réponse ? Que je n’ai pas le droit de souligner les failles de cette émission de divertissement ? »




    Au contraire, c'est très intéressant. Si tu avais déjà travaillé dans un centre d'appel de Free ou dans un entrepôt/magasin Lidl, ton commentaire aurait eu beaucoup plus d'intérêt pour moi sur les conditions de travail et sur ton jugement à propos de Cash investigation. Finalement, tu n'en sais pas plus que moi.          

&nbsp;

&nbsp;

« Je veux dire qu'une personne honnête (journaliste ou non) est sensée ne pas se focaliser sur une anecdote. Pire, ne pas la présenter de façon faussée:&nbsp; par exemple: en début de reportage: il parait qu'il est impossible de parler à un collègue "parce que la commande vocale ...", 20 minutes plus tard, on voit la même taupe arrêter son collègue en plein travail et taper la discute à bord des mêmes chariots, tous deux équipés de la-dite commande vocale... &nbsp;Tu vois, moi aussi, je peux "appuyer là où ça fait mal" concernant ce reportage. Cette anecdote permet-elle de jeter l’opprobre sur l'émission dans son entier ? »

&nbsp;

Il y a une différence entre :







  • prendre un fait, un exemple, une anecdote et en faire une généralité, comme tu le fais (ce qui est n’importe quoi)

  • relater un fait, rapporter un témoignage et le dénoncer publiquement pour ce qu’il est, comme le fait Cash investigation (ce qui est du journalisme d’investigation).



    On peut ne pas aimer la mise en scène et le récit ludique de l’émission, on peut s’offusquer des interview en forme d’interrogatoire d’Élise Lucet parce que c’est blessant pour l’orgueil de l’intervenant, mais on ne peut pas dire que Cash investigation, c’est du sensationnalisme vide de révélations (ce que tu appelles des anecdotes).



    Oui Cash investigation fait mal, non Cash investigation ne dit pas “regarder cette anecdote, c’est moche. Donc cette entreprise est malsaine”. Ça, c’est ton interprétation personnelle de l’émission : tu confonds la forme de l’émission (le récit qui se veut inquisiteur) et le fond de l’émission (les faits révélés, documentés).



    D’ailleurs, Cash investigation n’a jamais eu de procès en diffamation, à part l’État de l’Azerbaïdjan.



    Précisément au sujet de la commande vocale, tu imagines bien qu’elle ne fonctionne pas constamment, qu’il y a un bouton d’arrêt, non ? Le salarié n’active la commande vocale que lorsqu’il s’occupe des tâches pour lesquelles cette commande vocal existe.





    « Cash a montré 1 emploi (allez, 2 pour Lidl).&nbsp; Est-ce à dire qu’il n’ont rien trouvé à redire sur les dizaines d’autres métiers ? Du coup, ça voudrait dire que ces deux entreprises sont plutôt sérieuses en fait. »



    Une enquête de plusieurs mois, des données chiffrées envoyées à la figure des responsables de ces entreprises, qui ne savent dire que “no comment” et qui ne font pas de procès en diffamation à Cash investigation, et toi tu cries au bullshit rien qu’en ayant visionné l’émission…



    1 ou 2&nbsp; emplois concernés chez Lidl ? Tu es sérieux ? re-visionne l’émission : les accusations d’Élise Lucet devant le responsable de Lidl vont beaucoup plus loin que ça !





    « Je suis sûr qu’au moins une fois dans ta vie, tu n’as pas rendu l’excès de monnaie qu’un commerçant t’aurait donné. Ce serait parfaitement précis, tangible et vérifiable de diffuser à la télévision ton manque d’honnêteté à cette occasion. Ca n’en ferait pas pour autant du journalisme de qualité. »



    Oui, un fait reste un fait. Inutile d’en déduire autre chose que ce qu’il représente. Ce sont tes déductions pas celles de Cash investigation. Visiblement le ton de l’émission t’a touché, mais ça ne t’autorise pas à dire que Cash investigation utilise des anecdotes pour faire des généralités. Pour le moment, c’est toi qui fait des généralités et qui minimise les révélations de l’émission.

Le 01/10/2017 à 09h 38







Faith a écrit :



Que Cash Investigation n’a pas la réputation d’être du grand journalisme, et encore moins de faire des enquêtes objectives. Qu’ils ont besoin&nbsp; de faire du sensationnel, et font ce qu’il faut pour.



&nbsp;        

Je crois qu'il y a beaucoup de postes différents&nbsp; chez Lidl ou Free... et si quelques uns ne font clairement pas envie, ça reste une vision très restrictive du travail dans l'entreprise globale.








  Pourtant l'enquête de Cash investigation est très précise avec des révélations tangibles et vérifiables. On a le droit de ne pas aimer le ton de l'émission et cette mise en scène ludique, mais il faut savoir de quoi on parle précisément pour ne pas lancer des généralités et dire n'importe quoi. C'est du journalisme d'investigation, une enquête de plusieurs mois,   avec des sources, des faits révélés. Ce n'est pas du journalisme   d'actualité et encore moins une émission promotionnelle.        






 « il y a beaucoup de postes différents chez Lidl ou Free » ?&nbsp;        

&nbsp;Oui pourquoi ? Cash investigation aurait raconté le contraire ?

&nbsp;

« une vision très restrictive du travail dans l'entreprise globale » ?

&nbsp;Oui, c'est une enquête qui se focalise sur des points très précis du milieu du travail, et alors ?







  • &nbsp;Veux-tu dire qu’un journaliste n’a pas le droit d’enquêter sur des détails précis ou sur des entreprises en particulier ?&nbsp;

  • &nbsp;Veux-tu dire qu’un journaliste n’a pas le droit d’appuyer là où ça fait mal ?&nbsp;

  • &nbsp;Ou peut-être que, d’après toi, un journaliste n’a pas le droit d’avoir un postulat de départ, un angle d’attaque pour traiter son sujet ? Un journaliste devrait peut-être demander l’autorisation des personnes concernées avant de faire des révélations ? Ou devrait-il enquêter comme une machine et relater des faits d’actualité comme l’algorithme de Google News (si on considère qu’un algorithme puisse être neutre) ?



    Et je repose aussi ma question initiale : toi même, as-tu déjà travaillé dans un magasin ou un entrepôt Lidl ? ou dans un centre d’appel Free ?

    &nbsp;

    &nbsp;

    &nbsp;Pour éviter toute généralité, pour éviter le hors-sujet et pour bien se comprendre, je rappelle juste le thème de l’émission (inscrit sous la vidéo sur Youtube) :

    &nbsp;« Travail : ton univers impitoyable - Les chiffres sont alarmants : un quart des salariés va travailler avec la boule au ventre, plus d’un tiers affirme avoir fait un burn-out et 43 % ressentent des douleurs à cause de leur métier. Derrière le succès de certaines grandes entreprises se cachent parfois des méthodes de management ravageuses. Lidl, enseigne majeure de la grande distribution, est sortie du hard-discount en bouleversant le fonctionnement des magasins comme des entrepôts. A quel prix ? Enquête chez Free, auprès des salariés employés dans les centres d’appels, les «ouvriers du XXIe siècle», selon Xavier Niel, son dirigeant. »


Le 01/10/2017 à 06h 42

Parce que toi, tu sais ce que c’est de travailler chez Lidl ? Qu’est-ce que tu as pensé de l’enquête de Cash investigation ?



Et tu dis que tu te focalisais sur le cas de Lidl, mais c’est toi qui tente d’élargir le débat en comparant le cas de Lidl à d’autres professions qui seraient plus pénibles selon toi (lesquelles? et dans quelle mesure?).

Le 30/09/2017 à 20h 14

Tu as oublié l’autoflagellation comme comportement habituel des Français en plus de fainéants et de râleurs.



Plus sérieusement, au point où tu en es, au lieu de comparer le marché du travail français à l’Allemagne, tu aurais pu choisir la Roumanie ou la Chine (où d’ailleurs Cash investigation a enquêté pour l’épisode intitulé Les secrets inavouables de nos téléphones portables).



J’oubliais : outre-Atlantique, on dit aussi que les Français sont sales et qu’ils ne se lavent pas.

Le 30/09/2017 à 13h 14

« Journalisme et Philosophie… 

Socrate questionne son interlocuteur. 

Alors qu’Elise Lucet l’interroge. 

Ce que Socrate recherche, c’est le moment désagréable où, sous le poids de ses propres contradictions, son interlocuteur s’apercevant qu’en fait, il ne connaît rien à rien, se met à douter, et donc à penser. 

Ce qu’Elise Lucet recherche, c’est le moment (encore plus désagréable) où son interlocuteur s’apercevant qu’en fait, tout le monde sait tout, comprend qu’il ne peut plus cacher le secret qu’il croyait être seul à détenir. 

L’enjeu du questionnement socratique est d’aider l’autre à ne plus se mentir à lui-même et, qui sait ?, à accoucher du savoir véritable qu’il porte en lui, dont l’existence lui a été cachée jusqu’ici par des préjugés. L’enjeu des interrogatoires lucetiens est de contraindre l’autre à ne plus mentir aux autres, en lui disant la vérité qu’il voudrait taire ou en manifestant, par son silence, qu’il ne veut pas dire ce que chacun a découvert. 

C’est toute la différence entre une quête et une enquête. Entre une recherche et une investigation. 

Ou entre une formation, et une information. 

Mais les deux poursuivent le même but : permettre un dialogue qui ne soit pas seulement le face-à-face inutile de deux opinions. »

Raphaël Enthoven - Bénis soient les emmerdeurs



http://www.dailymotion.com/video/x62gsb8

Le 30/09/2017 à 13h 09

À chaque fois que j’écoute Laurent Alexandre (débat de l’émission 28 Minutes) parler de l’intelligence artificielle, j’hésite entre pouffer de rire et m’indigner (des fois que ses prédictions se réalisent, je n’ai pas envie de devenir un esclave de la machine comme dans les entrepôts de Lidl ou d’Amazon).

Le 03/10/2017 à 21h 34

oui, et il faut utiliser les méthodes agiles !

(Laurent Alexandre sort de ce corps!)

<img data-src=" />

Le 03/10/2017 à 21h 25

Moi, j’aurais dit : franco-nippo-néerlandaise, présidée par un franco-libano-brésilien (Carlos Ghosn préside à la fois Renault, Nissan, Mitsubishi et l’alliance Renault-Nissan)



dernière minute : on me dit queCarlos Ghosn n’est plus PDG de Nissan depuis quelques mois (mais président du conseil de surveillance).



Il est trop fort ce Carlos Ghosn, il a bien mérité un label “French Fab” <img data-src=" />

Le 03/10/2017 à 18h 35

Personnellement, je n’aime pas les images trop grandes sur quelques actus (ça casse trop la lecture en en continu des actus), mais #LeBrief me plaît bien car ce sont des actus très courtes visibles directement sur une seule page.

Le 03/10/2017 à 18h 32

Je crois comprendre ce que tu veux dire : en fait, comme chaque actu est indépendante maintenant (et pas dans un bloc-texte comme auparavant, à l’origine de #LeBrief), on a l’impression que ces mini-articles sont des articles listés dans une sous-catégorie d’articles. D’autant que la catégorie “En Bref” sur la page principale du site fait un peu aussi office de liste de brèves (ça fait doublon en quelque sorte).

Le 02/10/2017 à 13h 12

Si on souhaite commenter une actu dans #Le Brief, effectivement c’est un peu plus lourd que commenter un article “normal”. Cela dit, perso, je trouve très agréable de lire sur une seule page toutes ces micros-actus sur une seule page quotidienne (dont le lien apparaît dans le flux d’articles “normal” : #LeBrief classé dans le flux “En Accès libre”).

Le 02/10/2017 à 10h 18

Je ne sais pas si les Français des classes moyennes vont se réveiller un jour et sortir de leur petit confort de mouton qui gobe l’information. Sûrement que Cash investigation ne suffira pas à les indigner face au mépris des grands industriels (ici on parle de Iliad/Free, mais on peut citer Enedis/EDF, Apple, Peugeot, etc).



Les classes moyennes sont juste bonnes à payer des impôts et à consommer des trucs inutiles. Cultivez votre esprit critique (le contraire de râler). Informez-vous au moins.

Le 02/10/2017 à 10h 09

Dans un foyer, celui qui choisit les programmes TV que la famille regarde, est souvent la fameuse “ménagère de moins de 50 ans”. Donc les marketeux d’Orange n’ont pas cherché plus loin : on veut des femmes de moins de 50 ans qui jouissent des exclusivités de Orange TV.

Le 02/10/2017 à 09h 49

On dirais qu’en cette rentrée d’avant Toussaint (et d’avant halloween), les marques ont décidé d’opposer le consommateur au vendeur, avec le premier qui succombe à ses envies et le second qui subit le comportement outrancier de ses clientes.



Ça me fait penser à la pub Cuisinella que j’ai vu hier soir. Les femmes ont pris le pouvoir, donc elles font ce qu’elles veulent – j’ai bien résumé la mentalité des gens du marketing ? Il faut vraiment que les responsables de ces marques soient désespérément arc-boutés sur leurs graphiques prévisionnels de ventes pour accepter de noyer l’image de leur marque avec des pub aussi peu flatteuses envers leurs clientes.

Le 02/10/2017 à 10h 03

Je ne partage pas ton analyse. Next inpact n’a jamais arrêté les actus : elles sont rassemblées dans un article qui s’appelle #LeBrief. Ce qui change, c’est qu’on peut maintenant commenter et partager chaque actu individuellement. Et il a toujours eu des articles gratuits.



C’est la mise en forme du site qui change avec plus de fonctionnalités. Les actus sont séparées dans des sous-articles. Moi, je ne trouve pas que c’est comme avant : avant on avait une liste d’actus quotidiennes, aujourd’hui, on a des articles beaucoup moins nombreux.

Le 02/10/2017 à 07h 51







vampire7 a écrit :



Regarde aussi qui poste : 1 non abonné (2 avec moi) pour 10 abonnés. Il n’est pas très intéressant pour les non abonnés de rester à l’affût des rares articles où on a encore la liberté de parole, donc beaucoup sont simplement partis.





Pourtant, entre “#LeBrief” (env. 30 actus par jour), et “En Bref”/“En Accès libre” (env. 5 articles par jour), il y a beaucoup d’articles à commenter accessibles par les non-abonnés maintenant.


Le 02/10/2017 à 07h 18

Le « désilotage de nos données »… expression intéressante. Je pensais que ça venait du mot îlot, mais apparemment ça viendrait plutôt du mot silos.

Le 30/09/2017 à 16h 20







Jarodd a écrit :



[…]

Cette manie de mettre des majuscules… Ce n’est pas une marque, ni un nom de famille ! Est-ce qu’on parle de Télévision, ou de la Presse ?

[…]









Nerro a écrit :



Internet est un nom propre, c’est le nom de ce réseau. La majuscule est totalement correcte.

C’est comme l’Etna, c’est ni un nom de famille, ni une marque, c’est juste le nom d’un volcan, donc on met une majuscule.









OlivierJ a écrit :



Il faut dire que le mot est d’origine anglo-saxonne et qu’on parle de l’Internet pour indiquer qu’il s’agit du grand réseau IP et non d’un internet (inter-réseau) quelconque. En principe on aurait pu traduire par l’Inter-réseau, voire par le Réseau tout court (certains disent d’ailleurs “sur le Net”).

[…]





ÀMHA si on parle d’internet comme d’un outil, à ce moment-là, le mot ne comporte pas de majuscule. On utilise internet comme on utilise le téléphone ou la poste (même si l’entreprise éponyme utilise ce nom comme raison sociale).&nbsp;



Ceci-dit, si on parle du réseau des réseaux, le grand réseau public qui les gouverne tous, ou du moins, qui les domine tous par sa taille et son étendue mondiale, j’imagine qu’on peut aussi parler d’Internet avec un grand « I », voire parler de l’Internet.


Le 30/09/2017 à 12h 11

J’aime beaucoup 2 dessins : Skred/Skyrock et AidesCreation.org. En les regardant, je ressens la même chose que lorsque je consultais la page Facebook de ma députée, cette semaine (les publication autant que les “j’aime” et les commentaires élogieux de militants sur cette page m’ont glacé le sang devant tant d’hypocrisie, de déni ou d’ignorance).

&nbsp;

Le dessin sur la retranscription du mot “Darknet” n’est pas mal non plus.

Le 29/09/2017 à 21h 07

Par exemple, pour comprendre comment travaillent les journalistes d’investigation, on peut regardercette vidéo.

Le 29/09/2017 à 21h 01

C’est sûr, les moutons qui boivent les paroles entendues à la TV sans esprit critique vont penser que Cash investigation est une émission à charge.



Mais avec un poil d’esprit critique et une pincée de recherche autour de soi, on comprend vite que :




  • Cash investigation fournit des données tangibles et vérifiables,

  • les responsables interviewés ne savent dire que “no comment” devant les faits

  • surtout Cash investigation, c’est plusieurs mois d’enquêtes qui permettent de ne pas dire trop de conneries, à tel point qu’il n’y a pas de procès en diffamation



    « - Puis ne jamais faire de mea culpa même quand on prouve les tord de la dite emission » : si tu as des infos à propos d’intox de la part de d’Élise Lucet et de Cash investigation, ça m’INtéresse.

Le 29/09/2017 à 16h 19

Un téléphone mobile sans radio, non mais “allo” quoi !



C’est multimédia, ou ça ne l’est pas.

Le 29/09/2017 à 16h 01

Arkéa, c’est la banque bretonne du Crédit mutuel qui veut faire sécession avec le CM-CIC alsacien, c’est ça ?

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/le-credit-mutuel-arkea-pourrait-…

<img data-src=" />

Le 29/09/2017 à 11h 30

« Le scrutin d’après je m’étais porté volontaire, pour faire une demi journée, et je suis persuadé que si les mairies faisaient l’effort de communiquer là dessus, on n’aurait pas besoin de payer des fonctionnaires pour qu’ils bossent le week end »



Pourtant, entre les élus municipaux et les militants politiques, il y a toujours du monde à réquisitionner (sauf exception).



D’après le site web du Conseil constitutionnel :



« Conduite à tenir si le nombre de membres du bureau de vote est insuffisant

[…]

Pour compléter son bureau, le président doit faire appel dans cet ordre :

Aux conseillers municipaux dans l’ordre tableau (R44 code électoral);

A défaut, aux électeurs présents (R 44 code électoral);

A défaut, à la préfecture […]

A défaut, au personnel municipal (en vertu de la théorie des « circonstances exceptionnelles ») »

Le 29/09/2017 à 10h 33

« L’objectif ? « Passer d’un statut d’excellent fournisseur de services de connectivité à celui d’opérateur multiservice du digital », en multipliant entre autres les incursions dans la cybersécurité et les startups. »



On peut dire au moins que FT-Orange n’a pas changé de stratégie depuis vingt ans, c’est déjà ça.





« Au passage, il ne verrait pas la viabilité d’une concentration paneuropéenne entre opérateurs, possibilité pourtant réclamée à l’UE. »



C’est du bluff ou je ne m’y connais pas. C’est la stratégie de tout opérateur télécom qui se respecte, depuis l’ouverture du marché des télécom.

Le 29/09/2017 à 07h 32

Plus exactement le plan France THD, c’est 20 milliards d’euros sur 10 ans répartis entre :



Le 29/09/2017 à 06h 02

C’est vrai qu’il y a une mise en scène qui se veut ludique et divertissante, mais dire que l’émission raconte des choses “détournées de leur contexte afin de faire croire des choses fausses”, c’est n’importe quoi (désolé, c’est peut-être ton ressenti, mais c’est un peu fort de dire ça).



Une émission de Cash investigation comporte une thématique et un postulat, nuance ! C’est du journalisme d’investigation, ça n’a rien à voir avec une actualité qui a demandé un ou deux jours de tournage ou avec une émission promotionnelle. À chacun de se faire se faire sa propre opinion et d’aller à la pêche aux informations.



Il faudrait que tu donnes des détails sur ce qui est caché ou biaisé et qu’on ne peut pas vérifié soi-même après avoir vu une émission de Cash investigation.

Le 28/09/2017 à 11h 03

« Madame LUCET,



&nbsp;Contrairement à la déclaration des droits et des devoirs des journalistes (Munich) et à la charte d’éthique et professionnelle des journalistes, qui évoquent l’impartialité, l’équité et le respect de la vérité dans le traitement de l’information, vous n’avez même pas pris la peine de nous contacter, ni de contacter, nous, élus majoritaires, et les autres personnes qui travaillent chez Free, […] »



Cette lettre des représentants de salariés commence très mal. Ils savent ce qu’est le journalisme d’investigation, ça fait peur. En même temps, c’est publié sur Univers Freebox, le média impartial de référence.

Le 28/09/2017 à 10h 51

total(re)call&nbsp; ?

&nbsp;désolé… hommage à <img data-src="> Paul Verhoeven

Le 28/09/2017 à 08h 56







anagrys a écrit :



S’il vend 75 millions d’actions, ça va faire un peu baisser le cours, donc ce qu’il en retirera sera plutôt dans la partie basse de la fourchette…



Pour l’idée de ces fondations je ne vois pas en quoi ça serait mauvais. Oui, c’est un placement pour réduire l’imposition et les droits de succession. C’est parfaitement assumé. Et ça peut sembler normal aussi qu’un Bill Gates (par exemple) préfère donner une partie de sa fortune à une organisation qui lui donnera un droit de regard sur l’utilisation des fonds plutôt qu’à un “machin” piloté par des fonctionnaires nommés là selon des critères plus politiques que réellement objectifs.





Certified American spirit.


Le 28/09/2017 à 08h 50

En Amérique du Nord, les mentalités et les moeurs ne sont pas les mêmes qu’en Europe : la liberté individuelle est sacralisée - l’égalité et l’intérêt général, courants en Europe n’existent pas (le mythe du self-made-man et de l’american dream).



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&nbsp;En résumé, l'intérêt personnel est la seule chose à laquelle se raccrocher pour s'en sortir ou vivre mieux. En Europe et en France, on fait confiance à l'État et aux associations caritatives pour protéger l'intérêt général et réduire les faiblesses de la Société (ça n'existe pas ou très peu aux States, même si des programmes sociaux existent tout de même par endroits - il n'y a qu'à voir la volonté de l'administration D Trump de supprimer l'ObamaCare).

Le 28/09/2017 à 07h 24

Le nom de la filiale Total Call est-elle une référence àTotal Recall?