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Idiogène

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4748 commentaires

Le 07/06/2019 à 10h 38

Nous ne jugeons bon que parce que nous désirons…



On parle bien d’un problème d’asymétrie (comme l’ADSL en gros) avec les plateformes.

 

Pas d’un problème lié spécifiquement aux addictions comme c’est souvent présenté ça et là mais plutôt d’une obligation qui dérange de déclarer la forme sociale résultante de l’usage des plateformes comme un a priori et de plus un a priori bien plus efficace en l’état que la loi en termes d’efficacité pour mener une politique.

 

Donc l’obligation de transparence est nécessaire car les plateformes sont très habiles pour faire croire au public qu’au motif que c’est technique, ce serait scientifique… c’est juste du scientisme et contre cela il y a des moyens de lutte :

-la recherche sur les phénomènes sectaires

-la recherche en psyhcologie

-la sociologie



Bref, la science…

Le 07/06/2019 à 10h 07

C’est surtout qu’en libérant des fréquences de cette façon c’était prévisible.

Permettre le chevauchement d’ondes d’équipements sensibles avec d’autres plus vulgaires se fera toujours au détriment des plus sensibles. Même en réduisant la puissance d’émission.

 

L’eau ça mouille, merci l’ANFR. <img data-src=" />

Le 07/06/2019 à 09h 42

Je suis d’accord.

Le code de la route est plutôt bien fichu pour ce qui est de la pratique car il en est issu.



Mais soutenir que la sécurité routière doit essentiellement passer par la pathologisation du conducteur c’est juste de l’incompétence et très certainement aussi du poujadisme. <img data-src=" />

Le 07/06/2019 à 09h 25

La question que cela pose néanmoins est le status des services virtualisés.



Là on mélange quand même la couche réseau et la couche applicative de manière assez inquiétante car à la fin on confond les deux et on voudrait imposer les mêmes règles ce qui n’a pas grand sens.



Maintenant dans le cas de Skype la décision n’est pas étonnante, la VoIP les a rattrapés. <img data-src=" />

Le 07/06/2019 à 09h 06

Ou comment l’incompétence technique aboutie à l’incompétence intellectuelle.

C’est à se demander si au final…

Le 07/06/2019 à 08h 53

Et en incompétents ironistes qu’ils sont leur cruche ne s’emplit plus. Les pauvres. <img data-src=" />

Le 07/06/2019 à 08h 29

Je ne suis pas Marc mais comme je l’ai expliqué peu avant, la redevance pour copie privée vise à percevoir le manque à gagner résultant de la copie privée lui-même résultant maintenant de l’impossibilité technique d’interdire la copie privée de manière efficace.



Donc en protégeant via des systèmes cryptographiques anti-copie les CD et DVD ainsi que les morceaux ou films lus en streaming etc, ET, en punissant le fait de casser ces protections, l’exception pour copie privée est donc pratiquement impossible et ils mettent bien dans le même sac copies physiques et numériques.

&nbsp;

Sauf pour les ayants droits ou artistes mettant leurs œuvres à disposition du public&nbsp; sans système anti-copie aka DRM où là la RCP peut avoir un sens. Mais c’est bien le seul cas !!!



Autrement dit c’est un système kafkaïen…

Le 07/06/2019 à 07h 42

Alors disons les bénéficiaires indirects du droit ne sont pas les artistes bénéficiaires directs du droit.



Les textes sont mal foutus, on sera d’accord là-dessus. <img data-src=" />



Et c’est le caractère indirect de la perception d’un avantage qui est remis en cause ici. <img data-src=" />

Le 07/06/2019 à 07h 32

On désigne bien le même mal. Pas de soucis. <img data-src=" />

Le 07/06/2019 à 07h 26

Ce sont les artistes qui sont ayant droit.

Leurs avocats quasi-institutionnalisés par contre, eux, ne servent à rien à part pervertir des relations qui au départ sont réputées saines.



J’inclus dans leurs avocats youtube par exemple, pas plus malins en matière de choix technologiques que leurs ancêtres. Ce qui explique la récente dispute entre l’ancien monde et le nouveau tout aussi pourri voire pire.

Le 07/06/2019 à 07h 14

Œuvres ou pas un artiste formé ou autodidacte doit pouvoir vivre de son travail. Le public dira si ce qu’il fait est bon ou mauvais mais encore faut-il un lien direct et non biaisé comme c’est le cas aujourd’hui.



Ne pas oublier aussi qu’en France le 1% culturel coûte moins que la vidéosurveillance ou le traitement des fonctionnaires…&nbsp;

Le 07/06/2019 à 07h 09

Tu paies déjà le coût énergétique du décodage des fichiers incluant un DRM donc bon… <img data-src=" />

&nbsp;

La crypto faut bien la caser quelque part et à choisir mieux vaut que les spectateurs en soient les acteurs plutôt que de la subir comme c’est le cas aujourd’hui.

Le 07/06/2019 à 00h 13

La bonne solution c’est le pair à pair couplé à une blockchain afin de les rassurer. <img data-src=" />

Le 07/06/2019 à 00h 10

Oui mais ta chaise est un bien matériel donc sa valeur s’inscrit essentiellement dans une durée aussi la chaise a une valeur périssable intrinsèquement tandis que la valeur d’un bien immatériel est essentiellement extrinsèque et non périssable…



Donc à la question peut-on augmenter le prix des œuvres… la réponse est déjà donnée par le marché de l’art physique : cela coûte un bras de posséder un tableau du 15ème et pourtant il s’agit d’un bien matériel…

&nbsp;

Donc les “œuvres” font surtout l’objet d’une spéculation qui dans la plupart des cas est doublement limitée par ses pratiquants (galeristes, historiens, fortunés) et par la rareté des œuvres ayant survécu&nbsp; à l’épreuve du temps. C’est donc tout à fait cohérent de définir le prix d’un bien matériel sur la base de sa rareté, bien que les prix actuels soient faussés par ceux qui y ont un intérêt.

Maintenant les “œuvres” numériques ne sont ni réellement périssables, ni réellement rares une fois distribuées donc la question restante est seulement celle du médium… et là c’est le drame : absence de rareté donc absence d’un modèle économique basé sur quelque chose qu’on connait bien donc abus inévitables comme évitables.



Internet leur fait peur, c’est pas plus compliqué en fait… <img data-src=" />

Le 06/06/2019 à 23h 05

La seule solution réaliste est la licence globale, à condition de l’assumer avec intelligence.

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En pratique pécuniaire elle existe déjà avec les plateformes comme spotify, deezer, youtube et cie sauf qu’elle aboutie au scandale de la part restituée aux artistes (comme avec itunes en gros) puisque il est très coûteux de maintenir une tétrachie de serveurs gloutons plutôt que d’utiliser l’avantage économique extraordinaire offert par le pair à pair.

Le 06/06/2019 à 22h 05

Nuisible n’est pas qui veut, là on est face à des champions toutes catégories confondues.



C’est exceptionnel.

C’est aussi très “Français”.

C’est surtout liberticide pour les artistes.



Les démonstrations ne sont plus à faire. <img data-src=" />

Le 06/06/2019 à 21h 13

Rassure-toi, ton processeur ne décodera bientôt plus les flux si il n’embarque pas l’algo du DRM choisi.&nbsp;<img data-src=" />

Le 06/06/2019 à 21h 11

Je pense surtout que l’offre culturelle qui découle des financements de ce type capotera avant, voire a déjà sombrée par d’autres aspects.

&nbsp;

Et là il y a de quoi s’étonner que les législateurs, pourtant pas trop acultivés en matière de droit tolèrent une taxe inutile et sans valeur politique en comparaison de ce que rapporte déjà le streaming et la distribution de contenus sous contrôle d’un DRM aka une cryptographie inefficace.



Rappelons pour les moins avertis qu’une cryptographie visant à protéger une œuvre en donnant les clés de décodage au spectateur n’est pas sûre… et que comme si cela ne suffisait pas, la loi protégeant la décompilation pour motif de recherche en sécurité informatique il est vain et donc incohérent d’envisager punir la copie privée.

Maintenant la taxer… bah disons que si vous comprenez ce qui est écrit plus haut, vous comprenez aisément que la taxe vise en réalité non pas à rapporter un max de pognon mais à maintenir la pression sur le public pour qu’il n’ose pas faire autre chose que consommer de la culture et surtout ne passe pas les quelques minutes que lui coûtera la taxe à rechercher des moyens de contournement.



De là à en déduire que Copie France est un organisme asservi à la protection d’un système cryptographique bancal il n’y a qu’un pas. <img data-src=" />

Le 06/06/2019 à 20h 38

Ce n’est pas une blague, juste la définition même de toute taxe au sens générique du terme.

&nbsp;

Ce qui explique la présomption de culpabilité ET le procès d’intention non présenté comme tel par l’industrie culturelle à l’égard des copistes que nous sommes tous, eux y compris, mais ça ils ne semblent pas le réaliser. <img data-src=" />

Le 06/06/2019 à 21h 54

Tout à fait d’accord.

Le “prototype” de la loi de 1881 est la seule option “positive” disponible. Sinon c’est le panoptique par défaut… <img data-src=" />

Le 30/05/2019 à 10h 04

Et pourquoi plutôt que des routes de panneaux solaires, des routes alimentées en panneaux solaires (ou autre renouvelable chose) avec chargement des autos électriques par induction ?&nbsp; <img data-src=" />

Le 30/05/2019 à 09h 58

Le pare-feu open office contre la cyber-haine, youpi. <img data-src=" />

Le 30/05/2019 à 06h 48

Ce n’est pas forcément négatif pour les auteurs, c’est même plutôt généreux.

&nbsp;

Cela suit ce qui se fait du coté des brevets mais le risque est toujours le même : un appauvrissement généralisé des œuvres protégées et de nombreuses manières de faire n’importe quoi.

&nbsp;

Par exemple : cela ressemble beaucoup aux problèmes soulevés jadis par la licence globale et notamment la possibilité de produire des pistes à deux sous par ordinateur qui viendraient grossir les logs donnant lieu à rémunération “automatique”.

“L’arnaque” s’est déjà vue sur spotify bien que la licence globale n’existe pas, c’est dire si c’est “mieux”…

&nbsp;

Après les patent troll bientôt les art troll en somme. <img data-src=" />

J’attends de voir le mécanisme raffiné permettant à la justice de dire ce qui est original et ce qui ne l’est pas… <img data-src=" />

Le 27/05/2019 à 08h 50

C’est anormal en effet.

&nbsp;

Mais rien n’empêche de porter plainte pour vol d’électricité puisque c’est in fine de cela qu’il s’agit. Réfléchissez… <img data-src=" />



… et ne pas oublier no-script.

Le 26/05/2019 à 14h 40

Et pour réduire le coût je pense qu’il y a possibilité de modifier une antenne wifi très simplement.

Même de la régler pour la fréquence spécifique de l’opérateur choisi les fréquences/opérateur étant publiques. <img data-src=" />

Le 26/05/2019 à 05h 05

En zone densément peuplée il est rare de n’avoir qu’une antenne 4G et rien d’autre à côté. Mais je conçois que cela puisse exister les opérateurs ne pensant qu’à l’accès et non à l’usage du-dit accès.

&nbsp;

Pour la qualité de l’accès si tu as déjà un forfait mobile rajouter un VPN n’est plus tellement un problème, le coût est moindre qu’une “boite” de n’importe quel opérateur au global. <img data-src=" />

&nbsp;

Le 24/05/2019 à 00h 42

Et pourquoi ne pas envisager un routeur/modem 4G ?

Bien que le faire-use bon usage soit limité en quantité par les opérateurs, les débits eux sont plus que satisfaisants comparés à de l’ADSL basique.



Sinon, au pire, tu as les signaux de fumée. <img data-src=" />

Le 25/05/2019 à 01h 07

Je ne comprends pas l’intérêt de remplacer un machin bidule par une autre. Il faut de l’interopérabilité dans le code, pas l’illusion que le serveur la produit.&nbsp;



C’est comme ne pas vouloir ne pas réaliser qu’avec 1 “smartphone’ on peut installer n “réseaux sociaux” & messageries à la fois et parler à tout le monde plusieurs signes… c’est idiôt.

Le 25/05/2019 à 00h 32

Non, je ne vois pas en quoi je ne suis pas clair mais récidivons :

&nbsp;

En Europe et aux Etats-Unis, il existe un mécanisme de régulation visant à limiter les effets néfastes sur l’économie des monopoles économiques. En effet, en position dominante sur un marché donné, celui qui domine tue très efficacement ses concurrents et devient ainsi indispensable pour tous, gouvernements et armée y compris ayant la capacité d’entretenir des pénuries afin de… faire du profit.

Lorsque FB touche avec ses utilisateurs ce point de “on ne sait pas qui de quoi” on est embarqués en position de monopole.&nbsp; “Facebook n’est pas le web, mais le monde sans facebook c’était sans le web”

“La standard oil n’était pas le pétrol, mais le monde sans la Standard c’était sans pétrol”

&nbsp;

Cela résume assez bien le problème mais, c’est là où il faut ajouter une dimension propre au web : la pénurie c’est l’accès à l’information centralisée, car sinon le web c’est une copie topologique de l’internet et l’internet c’est un joyeux bazar non comestible dans la plupart des cas.



Donc pour conclure, oui vous avez raison, Facebook sans ses membres n’existe plus, mais ses membres sans facebook non plus, et c’est ce rapport de dépendance que je critique fermement car il est d’une cruauté sociale rarement atteinte depuis longtemps dans la mesure où personnellement, si j’ai le droit de renoncer à FB, d’une connaissant les as de la surveillance et leurs méthodes je pers mon temps en configurations complexes mais pire, je devrais bientôt jongler entre des identités multiples si je souhaite garder juste une once de contrôle sur des données qui partent sur le réseau.



Facebook n’est ni un parti politique, ni un état virtuel, ni une sinécure de jouvence, je n’ai pas à subir la bouffonnerie technique de facebook au motif qu’il serait majoritaire parmi les autochtones, et vous devriez exiger la même chose à partir de la notion de monopole… Taper sur le quidam ne sert à rien ici, ce n’est pas sa faute il s’est fait hameçonné.

Le 24/05/2019 à 13h 42

Monopole du réseautage social “manifestement”.&nbsp; Non ?

A l’exception du défunt google + et des linkedin ou diaspora je ne vois pas tellement dans quelle autre catégorie FB peut jouir d’une position dominante sans grande concurrence à l’horizon.

&nbsp;

Que la définition d’un réseau social puisse être vague voir fausse ou imprécise, force est de constater que sans facebook la vie numérique de certains d’entre nous ne serait plus aussi douce au regard de la double contrainte d’une absence d’alternatives socialement acceptées et du ferrage du site… Il faudrait pour cela se rappeler la non-rémunération des utilisateurs cobayes&nbsp; et autres trucs tout mignons façon fb.

&nbsp;

Avec les conséquences comme la sur-évaluation que tu évoques mais ce n’est pas la cause du monopole ! C’est car il n’y a pas d’alternative crédible à cette homogénéité du woueb 2.0 que le monopole “naturel” se crée. Et quant tu y ajoutes un peu de politique forcément, la mayonnaise tourne au vinaigre.

Autrement dit pour un truc inutile ou non il y a monopole et nos législations n’avaient pas réellement anticipé les conséquences éthiques et sociales donc on glisse encore et encore : tant que facebook ne choisira pas sur quel pied danser on dansera encore longtemps la Zuckera, et de force si possible dans un brouhaha particulièrement improductif.



Le plus sage serait d’appliquer les lois anti-trust dès maintenant et de repartir sur des bases saines sinon dans 30 ans nous serons encore à nous questionner sans comprendre de quoi il s’agissait…

Le 23/05/2019 à 23h 01

D’un autre côté, le problème en Europe c’est que nous vivons dans un monde idéal où l’informatique n’est pas malvenue, aussi la liberté dont jouissent les admis sys est grande bien que dans la pratique les moins vicieux ont quantité de scrupules à respecter la loi, voir à en faire un argument. Ainsi ce qui n’est pas interdit est toujours tacitement autorisé, y compris le pire.

&nbsp;

La vraie question est toujours la même, qui est éditeur, et qui est hébergeur. Dans le cas de facebook il n’est pas évident d’affirmer sur quel pied ils dansent, quand on leur demande :




  • “Etes-vous hébergeur ?” Ils répondent solidairement (le chef ayant donné ses consignes) “Oui, oui, mille fois oui, nous hébergeons, pas plus, pas moins (mais moins un peu quand même siouplait pour pas se faire bobo à la tététe).

  • “Etes-vous éditeur ?” Ils répondent alors : “ah non, trois fois non mesdames et monsieurs, nous ne sommes que de gentils programmeurs codant les IA les plus objectives du monde, nous, nous avons même un Français dans nos rang, le meilleur…”



    Du coup, j’ai droit&nbsp; à être censuré ou pas ? <img data-src=" />

Le 23/05/2019 à 22h 31

Le terme de censure peut s’entendre compte tenu de l’échelle.

Ce n’est pas tant une question d’absence d’interprétation de la bienveillance passée de l’EU pour l’économie numérique de la part de FB qui me pose problème que l’état de médiocrité latent d’un jeune patron pas plus malin qu’un Bill Gates devant ses juges en 98-99.

Il suffit de voir les usines de “modérateurs” payés au lance pierre pour se faire mal au cerveau toute la journée derrière un écran pour le comprendre, mais peut-être que nos contemporains adorent exploiter autrui de la sorte ? Pas improbable.

Il faudrait aussi se questionner sur les biais des IA de facebook qui n’ont pas vocation à rehausser le niveau général et font ainsi la part belle au n’importe quoi curieusement populaire. Etc.

Pas improbable non plus que facebook ait anticipé le départ de certaines de ses vaches à lait vers what’s app.

&nbsp;

C’est la conséquence bien connue d’une position de monopole et en cela il serait temps d’y mettre un terme. Maintenant on peut toujours se dire que facebook fonctionne et que ce n’est pas grave si cela marche bien, mais dans ce cas pourquoi la concurrence peine à exister ?

Pensez pas que les méthodes agressives et douces de microsoft font des émules ?

Le 23/05/2019 à 22h 08







Kiurg a écrit :



D’un côté c’est le cas de n’importe quel admin web, il fait ce qu’il veut sur son site. Si tu mets un commentaire sur mon blog et que je ne l’aime pas, bon courage pour aller me faire un procès si je te le supprimes <img data-src=" />

Les gens ne sont pas obligés d’ouvrir un compte Facebook. Et ils ont accepté des CGU avant que toutes ces lois ne viennent forcer des trucs, CGU qui contenaient déjà des clauses du genre “interdit de propager du contenu haineux, porno, terroriste…”.



On pourra débattre du fait que oui mais c’est aujourd’hui un des vecteur de communication parmi les plus utilisés, vu le poids que ça a il faut légiférer, blabla… Mais encore une fois. Ne pas utiliser Facebook pour ne pas avoir besoin de se plaindre bin ça me paraît le plus intelligent x)





Tous les sites web ne sont pas côtés en bourse et n’ont pas une position de monopole, inutile de légiférer, les lois existent déjà pour attaquer les causes et non les effets d’un site web de droit privé à cractère plus que public…



@ Olivier J :

&nbsp;Les contraintes techniques sont le reflet des normes&nbsp; et codes adoptés par le passé, le designer de site web qui aurait fait les beaux arts est rare, mais je peux me tromper.


Le 23/05/2019 à 09h 00

Cette censure n’est pas nouvelle : le modèle économique de FB et consorts implique qu’ils ont leur liberté mais pas de responsabilité particulière au sens de la loi LCEN et de manière générale FB est un lieu privé. En cela, ils sont devenus trop gros pour être ignorés du public dans leurs intentions d’éditeur, et trop gros encore pour se cantonner naïvement au status d’hébergeur…



Maintenant ce qui est très grave avec ce genre de pratique où un acteur privé, je le rappelle, a un droit de censure sur 2Mrd de personnes, c’est que même sans censurer, le poids des utilisateurs contamine tout le monde et fait subir à des ONG et autres associations le labeur de se déclarer à égalité avec les lobbys d’entreprises si ils veulent avoir une image publique qui pèse, la seule dispo d’ailleurs ?!

&nbsp;

&nbsp;C’est avec ce genre de pratiques que l’on sombre dans la banalisation et c’est tout le problème du web d’aujourd’hui : aucune liberté de créer son propre site web sans passer par des pseudo designers bien contents de ne rien changer mais de vous faire croire que votre image publique eux-seuls en sont les maitres…



Sympa de revoir Manach en vie, du reste ! <img data-src=" />

Le 24/05/2019 à 00h 35

Oui rien de nouveau PWM ou tube cathodique même combat : mieux vaut regarder un écran au taux de rafraichissement de 100 ou 200Hz qu’en 40-50-60.

La persistance rétinienne est un phénomène bien connu pour faire impression qu’il y a du mouvement comme au cinéma mais qui a ses limites, regarder un film en 8 images/seconde fatigue l’œil tout autant qu’un écran tirant vers trop vers le bleu.

Même idée et conséquences néfastes pour les fichiers audios au taux d’échantillonnage très faible, quand le cerveau travaille trop à reconstituer, il fatigue le pauvre.



Cette information est quasi-inutile en pratique, l’effet de la lumière bleu est très bien connu des médecins depuis longtemps, même des artistes et des puéricultrices… C’est dire si il fallait que l’ANSES se réveille, qu’apprendrons-nous pas dans 10 ans ! J’ai peur. <img data-src=" />

Le 24/05/2019 à 00h 09

Difficile de ne pas soulever à nouveau les effets attendus d’un état se fermant peu à peu depuis 2015 aux us et coutumes de nos assemblées et par extension à ses administrés. Cela n’a pas toujours été le cas, certains ici ont la mémoire courte on dirait.

Merci de ne pas faire appel à Monsieur Hadopi tome 1&2, mais à la limite, on pouvait un peu discuter, mais ça, c’était avant.&nbsp; <img data-src=" />

Le 23/05/2019 à 23h 31

Partouzeurs de droite, en plus. <img data-src=" />

Le 23/05/2019 à 23h 30

Rien n’interdit me semble-t-il aux chaînes connues de diffuser en ligne contre rémunération, même avec des flux de type IPTV.

&nbsp;

Cela ferait du bien aux FAI qui pourraient se concentrer sur leur boulot principal : l’accès à Internet. Cela pourrait aussi éviter la méfiance d’une partie du public pour cause d’arbitrages louches, occultes et certainement reptiliens à ce stade !

&nbsp;

Mais tout le monde ne peut pas savoir comment fonctionne une boite IPTV alors notre tendre et chère Madame Michu sera encore la cible de techniciens iconoclastes toujours aussi malins dès que le clairon raisonne…

Le 23/05/2019 à 23h 18

Effet inattendu du “didgitalle”&nbsp; :




  • vous aviez le droit d’être&nbsp;<img data-src=" /> et de vous taire

  • vous avez maintenant l’obligation de le déclarer en plusieurs exemplaires



    Nos fonctionnaires n’ont pas changés en plusieurs décennies, soyez patients.



    &nbsp;&nbsp;

Le 23/05/2019 à 23h 08

Oui, nos responsables politiques sont naïfs. Ce n’est pas bien grave, lassez les en paix pour une fois.

Le 23/05/2019 à 09h 28

Pour les pièces d’électroménager imprimées en 3D une société bien connue&nbsp; réfléchit sérieusement à simplifier ses coûts de réparation par l’impression 3D et ainsi de se donner une image écolo auprès du client.



En revanche concernant les œuvres je crois surtout que c’est une affaire de coût d’impression/originalité. Il ne sert à rien de paniquer, seules les boutiques des musées sont impactés par l’impression 3D et je ne vois pas bien ce qu’elles auraient à perdre à proposer des copies mais de là à s’inquiéter pour les formats de fichiers non.

&nbsp;

En revanche au motif de lutte contre la fraude hors art, là je crains en effet des atteintes à la liberté de création comme pour photoshop et son algo visant à interdire l’édition des billets de banque… Tant qu’il y aura du choix en matière de logiciels, tout ira bien, mais si l’un des poids lourd du secteur fini par s’imposer dans 5 ou 10 ans nous aurons des merdiers de ce genre.

Le 09/07/2015 à 09h 38

Censurer un réseau conçu comme décentralisé, dans lequel l’information peut passer par tous les points en cas de panne ou de ralentissement…

&nbsp;

Pas besoin d’étude pour vérifier qu’internet marche comme on l’a conçu non ? <img data-src=" />

Le 09/07/2015 à 09h 30

L’autoradio c’est le début de la fin de l’interopérabilité.

Le 09/07/2015 à 09h 06

Fondamentalement, ajouter une voiture comme périphérique à un ordinateur, on peut retourner le problème dans tous les sens : la reprogrammabilité est une condition nécessaire pour que l’ensemble fonctionne.

&nbsp;

Donc ajouter des options pour améliorer “l’expérience de conduite” est une chose. En contre-partie, priver le conducteur d’une part grandissante de la maîtrise de sa voiture par des logiciels propriétaires non-libres comme c’est aujourd’hui le cas, conduira nécessairement à une augmentation des mêmes inconvénients que dans le monde de l’informatique mais… appliqués à l’automobile.

&nbsp;

Une accidentologie intéressante se profile… <img data-src=" />

Le 08/07/2015 à 13h 19

La comic sans comme police, voilà qui résume bien… <img data-src=" />

&nbsp;

Le 15/06/2015 à 12h 48

“Un simple passage qui en dit long des relations fleuries entre la CPD et le collège de la Hadopi.”

&nbsp;

&nbsp;Très fleuries !

Le 15/04/2015 à 03h 48


  • Ils peuvent me surveiller car je n’ai rien à me reprocher



    • Mais, je comprends pas, c’est pourtant simple :

    • Tu devrait dire “ils peuvent me reprocher car j’ai tout à surveiller.”

    • Hein, quoi ?

    • C’est simple :&nbsp; puisque tu surveilles tout sans vergogne, ils peuvent maintenant te reprocher de les surveiller.

      &nbsp;- Euh…

    • Tu renonces à ton droit à un procès équitable ?

    • Euh…

    • A ta présomption d’innocence ?

    • Euh… c’est pas ça que je veux dire.

    • Alors c’est quoi ?

    • Ben euh… Ça n’a rien à voir.

    • Rien à voir avec quoi ?

    • Non mais là j’ai rien à dire, et puis c’est pas le sujet, je m’en fiche de ces types de toutes façons je n’ai rien à cacher à personne et tu m’énerves avec tes questions…

    • Ah donc tu ne veux pas me dire ce que tu penses ?

    • Mais non c’est pas ça, c’est juste que c’est pas le moment et puis c’est ridicule, on dirait james bond leur truc.

    • Bon, tu ne veux donc pas me dire ce que tu en penses, c’est dommage, eux ils savent mieux que moi ce que tu pensent…



      Demain sur vos télé-écrans, plus belle la vie……

      &nbsp;

      &nbsp;


Le 14/04/2015 à 23h 10

Si seulement il s’agissait d’une pièce de théâtre…



Le plus frappant est une fois de plus l’absence de réflexion sur les conséquences des articles.

Il suffit donc d’entendre pour une bonne partie du faible nombre de députés présents qu’un “contrôle” est suggéré par les défenseurs du projet de loi pour s’interdire de poser la question de ses conséquences dans les faits.

Quand bien même est-il rappelé en quoi ce “contrôle” n’est qu’un alibi de moyens au détriment d’une obligation de résultat, rien n’est entendu, rien n’est questionné, rien n’est in fine débattu.



Tout ceci donne le sentiment que les députés présents ce soir ont abandonné leur fonction, leurs idées, et par dessus tout hélas, leur liberté.



&nbsp;

Le 14/04/2015 à 16h 09

Cela étant



http://www.numerama.com/magazine/32794-pour-cazeneuve-la-vie-privee-n-est-pas-un…



Considérant qu’aux termes de l’article 2 de la Déclaration des

droits de l’homme et du citoyen de 1789 : « Le but de toute association

politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de

l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression » ; que la liberté proclamée par cet article implique le respect de la vie privée.



http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/les-decis…



&nbsp;

Le 14/04/2015 à 15h 56

Article 8 de la CEDH



&nbsp;Droit au respect de la vie privée et familiale

&nbsp;




  1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.



    2 Il ne peut y avoir ingérence d’une autorité publique dans l’exercice

    de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi

    et qu’elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est

    nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être

    économique du pays, à la défense de l’ordre et à la prévention des

    infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à

    la protection des droits et libertés d’autrui.&nbsp;»



    Ingérence prévue par la loi et nécessaire à la sécurité nationale, la sûreté publique, bien-être économique et défense de l’ordre et à la prévention des infractions pénales…



    La vie privée admet donc tout un tas d’exceptions… Il suffit d’en brandir une pour que l’immixtion devienne légale.