Puisque vous m’avez toustes l’air très concerné-e-s, je tiens juste à préciser que j’ai distribué hier une dizaine de CD du documentaire sur Aaron Swartz et je vous encourage à en faire autant si ce n’est plus (et ce quelle que ce soit “votre” communauté).
Il FAUT faire trinquer l’ADAMI (à ses frais) à grands verres de ciguë, lui tirer une balle dans la nuque (en la-lui facturant sans décharger) confier son cadavre à un-e disciple de César et exposer le résultat à Beaubourg et à Tussauds pour l’édification des genération.s futures.
[edit] mise en forme
Le
22/02/2019 à
04h
16
Le gueux, le marchand et le prévôt du roy
Le gueux attendait dans la rue que l’on jetât
Sur le pavé le pain mort ; le pain lancé au
Quémandeur comme au pigeon la miette…
En l’état, Le pain dans la main, lui parvint, tombé d’en haut
Comme du ciel la manne, mais d’une fenêtre…
Les riches font cela parfois pour chasser le
Manant quand nul ne peut le faire disparaître…
Les pauvres, pour en jouir, font de ce pain perdu,
En l’imprégnant de sucre un délice mielleux ;
Mais le gueux n’avait pas de quoi, bien entendu
Rajouter à ce pain pour s’en faire un délice…
Alors faisant contre male chance malice,
Il se place sous le haut vent d’un rôtisseur
Pour donner à son quignon de pain le fumé
Dont la rue, par le feu, se trouvait parfumée…
Voyant le gueux plonger la main du ravisseur
Dans l’odeur nourrissante en suspension dans l’air,
Le rôtisseur s’écrie imbibé de colère :
« Au voleur de humé ! Au voleur de humé ! »
Et de montrer la main du gueux dans la fumée…
Passe alors le Prévôt du Roy qui passait là ;
Trônant sur son cheval au dessus de cela…
Voyant le marchand gesticuler et brasser
L’air que le gueux prenait sur son pain et pressait,
Au choc avec les cris qui soudain se répandent,
Le Prévôt serre la bride et met le holà :
« Qu’y a-t-il bonnes gens ? Pourquoi donc tout ceci ?
On me vole dans l’air » dit le marchand « Ma viande !
Qu’on arrête cet homme ! Voilà ma demande !
Quant à moi » dit le gueux, « Je demande merci !»
Pour juge, le Prévôt qui n’est pas convaincu
Conteste au commerçant son droit sur le humé.
Le marchand pour autant ne s’avoue pas vaincu,
Et lui répond, deux points ; ouvrons les guillemets :
« J’ai mis la bête en broche de la barbe au cul !
Après l’avoir vidée, nettoyée, embaumée !
Et il m’en a couté pour préparer ce met :
Et le prix de la bête, et celui du rendu !
C’est à moi qu’appartient le fumé répandu !
Je veux bien que, sans le vouloir, on le respire
Mais ce que fait la main de ce gueux est bien pire !
Car elle donne à son quignon de pain perdu
Le goût que d’autres payent sa juste mesure ! »
Le Prévôt lui répond : « Rentre dans ta masure !
Et, si tu veux le prix du parfum qui en sort,
Paye-toi donc avec le son des pièces d’or
Qui tintent dans ma bourse au moment où je passe !
Ce qui vient de chez toi et se prend dans l’espace
Appartient à celui qui habite dehors :
Et ce hère est chez lui dans le vent comme l’or
De ma bourse est à toi dans sa forme sonore !…
Quant à Toi, gueux, je veux que tous ici T’honorent !
Car sans rien prendre de ce qui ne t’appartient
Tu te nourris du peu que Ton esprit retient
En donnant à ce qui n’en a plus : sa valeur !
En donnant à mauvaise fortune : Bon cœur ! »
N’écoutons pas toujours ce que les marchands disent :
De ce que l’homme fait, tout n’est pas marchandise.
La valeur n’est pas dans le seul poids en monnaie !
« (…) Les lobbyistes des articles 11 et 13 sont donc entrés depuis l’été 2018 dans un jeu de donnant-donnant. « Je soutiens ton article 11, en échange tu soutiens mon article 13, et réciproquement ». En effet, le sort de ces deux articles est lié : l’un comme l’autre visent clairement Internet sous couvert de cibler les GAFAM ; l’un comme l’autre sont contestés depuis des mois par les associations de défense des libertés ; et le reste de la directive copyright est relativement consensuel. »
« Perso, j’ai passé quelques coups de fil, envoyé des courriels et des courriers papier aux eurodéputé·e·s.
Je comprends que ça n’a pas beaucoup d’influence sur des personnes qui se font offrir dîner-concert :
Twitter TwitterCe que je comprends plus difficilement, c’est : pourquoi personne (hormis les ayants trop de droits) n’interpelle les eurodéputé·e·s sur leur compte twitter ? »
Si tu as du temps à perdre à faire des commentaires de commentaires sur un site aphone, fait-le à la réécoute de cet album : Trust - Répression YouTubeSolidarité avec un père de famille « professeur de musique de 38 ans »
Le groupe [url=https://framablog.org/author/framalang-framasoft/]Framalang a trouvé intéressant de soumettre à votre réflexion la série d’articles qu’il a entreprise récemment. Son fil directeur, comme il l’indique dans le premier épisode que nous vous livrons aujourd’hui, c’est la perte de certaines libertés dont nous disposions encore assez récemment, avant que le passage au tout-numérique ne nous en prive.
Nous nous efforcerons de vous traduire ces articles, semaine après semaine. Les commentaires, comme toujours, sont ouverts.
De l’analogique au numérique : nos enfants devraient pouvoir profiter des mêmes droits que ceux dont jouissaient nos parents
Dans une série de 21 articles sur ce blog nous examinerons comment le droit à la vie privée, une liberté fondamentale, a complètement disparu quand on est passé à l’ère numérique. Sa dégradation n’est rien moins que catastrophique.
Nous aborderons toute une série de domaines dans lesquels la vie privée a tout simplement disparu avec la transition vers le numérique, et où cela nous mène. Pour chacune de ces thématiques, nous examinerons la position des différentes juridictions et les tendances qui se dessinent. La motivation principale est claire — il n’est absolument pas déraisonnable de penser que nos enfants devraient avoir au moins les mêmes libertés fondamentales individuelles que celles dont jouissaient nos parents, et aujourd’hui ce n’est pas le cas. Pas du tout.
Pour démarrer, nous traiterons des libertés concernant la correspondance postale, et comment de nombreuses libertés associées — comme le droit considéré comme acquis d’envoyer une lettre anonyme — ont été complètement perdues. Même chose pour les affiches anonymes sur les panneaux d’affichages ; qui défend votre droit de faire une déclaration politique anonyme aujourd’hui ?
Nous constaterons que nous n’avons plus le droit de nous balader sans que personne ne nous traque. C’était un fait acquis pour nos parents : les aéroports et les gares étaient des lieux où chacun pouvait être anonyme ; aujourd’hui nos téléphones permettent de nous localiser en temps réel aussitôt qu’on s’en approche.
De plus, nous verrons que les autorités devaient auparavant vous prendre en flagrant délit si vous faisiez quelque chose d’interdit. Elles sont maintenant capables de rembobiner les archives sur vingt ans ou plus pour trouver quelque chose qu’elles auraient raté lorsque cela s’est produit, ou qui simplement leur était indifférent à l’époque. Peut-être quelque chose auquel vous n’aviez même pas prêté attention à ce moment-là, et que vous avez complètement oublié 20 ans plus tard.
Nos parents allaient dans des bibliothèques à la recherche d’informations. Les bibliothécaires prenaient de grandes précautions, inventant même le warrant canary 2, pour assurer que n’importe qui puisse chercher n’importe quelle information à son gré et puisse lire n’importe quel livre sans que les autorités le sachent. Aujourd’hui Google prend les mêmes précautions extrêmes, mais pour noter tout ce que vous avez recherché, jusqu’à ce que vous avez failli chercher sans l’avoir fait. Bien entendu, tout ceci est disponible pour les autorités et gouvernements qui n’ont qu’à demander à Google de se conformer à la loi qui vient d’être publiée .
Il n’est absolument pas déraisonnable d’exiger que nos enfants aient au moins autant de libertés fondamentales – droit à la vie privée — dans leur environnement numérique que celles dont nos parents ont bénéficié dans leur environnement analogique. Cependant, les droits à la vie privée ont été quasiment abolis par la transition au numérique.
En parlant de lecture, nos parents pouvaient acheter un journal au coin de la rue pour quelques pièces de monnaie. Ils lisaient un journal sans que quiconque sache qu’ils l’avaient acheté ou lu. À l’inverse, pour nos enfants, est soigneusement enregistré quel journal ils lisent, quand, quels articles, dans quel ordre, pour quelle durée — et peut-être pire, quel comportement ils ont eu peu après, et si ce comportement semble avoir été provoqué par la lecture de l’article.
Ah, la monnaie au kiosque… L’argent liquide partout en fait. Plusieurs pays tentent de supprimer l’argent liquide, rendant toutes les transactions traçables. Une carte de paiement est plus commode ? Peut-être. Mais elle n’est pas plus sûre. Chaque achat est enregistré. Pire, chaque presque-achat de nos enfants est aussi enregistré, chose qui aurait été inconcevable dans le monde de nos parents. Encore pire, chaque achat est aussi soumis à autorisation, et peut être refusé par un tiers.
Nos parents n’avaient pas d’appels vidéos, ou de télés les observant. Mais s’ils en avaient eu, je suis à peu près sûr qu’ils auraient été horrifiés que des gouvernements puissent les observer directement dans leur salon ou pister leurs appels vidéos privés, y compris les plus intimes.
Quand nos parents avaient une conversation au téléphone, il n’y avait jamais de voix inconnue débarquant dans l’appel pour dire « vous avez mentionné un sujet interdit, veuillez ne pas aborder de sujets interdits à l’avenir ». C’est ce qui se produit dans les messages privés de Facebook dans le monde de nos enfants. Bien évidemment ceci est lié à l’idée de conversations privées à la maison, un concept que nos enfants ne comprendront même pas (mais ils comprendront qu’ils peuvent demander à la petite boîte à l’écoute de leur donner des gâteaux et une maison de poupée).
Nous examinerons aussi comment l’industrie du droit d’auteur exploite à peu près tout ceci pour tenter de changer radicalement le monde, dans ce qui ne peut être décrit que comme une faillite morale.
Nous aborderons tout cela et bien d’autres choses encore, dans la série à venir de 21 articles, dont voici le premier.
2 Un système permettant de signaler passivement au public que l’on a été obligé de fournir des informations confidentielles au gouvernement.
Durant longtemps, des canaris et des pinsons ont travaillé dans les mines de charbon. Ces oiseaux étaient utilisés pour donner l’alarme quand les émanations de monoxyde de carbone se faisaient menaçantes. Dès qu’ils battaient des ailes ou se hérissaient voire mouraient, les mineurs étaient avertis de la présence du gaz avant qu’eux-mêmes ne la perçoivent. Depuis, les alarmes électroniques ont pris le relais, évitant ainsi le sacrifice de milliers d’oiseaux. (source)
Je prends connaissance via Nextinpact Next INpact, d’un texte qui sera étudié par les députés en lecture publique à partir du 20 juillet :
Ce texte prévoit la création d’un « droit de communication ». Cette disposition donnerait aux préfets le pouvoir de demander « sans que s’y oppose le secret professionnel autre que le secret médical » des informations sur les personnes demandant ou possédant un titre de séjour, auprès d’institutions aussi variées que :
Les administrations fiscales
Les administrations chargées du travail et de l’emploi
Les administrations fiscales
Les administrations chargées du travail et de l’emploi
Les autorités dépositaires des actes d’état civil
Les organismes de sécurité sociale et Pôle emploi
Les collectivités territoriales
Les chambres consulaires
Les établissements scolaires et d’enseignement supérieur
Les fournisseurs d’énergie, de télécommunication et d’accès internet
Les établissements de soin publics et privés
Les établissements bancaires et des organismes financiers
Les entreprises de transport des personnes
Les greffes et tribunaux de commerce
Le but étant de confronter les déclarations des requérants à des données provenant directement des organismes concernés.
En tant qu’électeur/électrice en résistance, je tiens à vous informer que je refuserai, en conscience, de transmettre et de laisser transmettre toute information concernant quelque personne que ce soit.
En effet, cette loi, si elle était votée et appliquée, menacerait de façon irrémédiable les libertés fondamentales que je tiens à défendre en tant que citoyenNE.
Je vous demande en tant qu’éluE, de relayer cet engagement devant l’assemblée, et d’empêcher par tous les moyens à votre disposition l’adoption de cette loi.
Je sollicite un rendez-vous pour exposer de façon plus détaillée cette prise de position. Je me tiendrai informéE de votre présence, de vos interventions et de votre vote lors de ce débat. Je faciliterai la diffusion des noms des députéEs qui n’auront pas voté contre ce projet de loi.
Les sociétés d’ayants droit ont bien fait leurs jobs, tandis que nous avions les yeux rivés sur le parlement européen, le sénat français publie : http://www.senat.fr/leg/tas14-061.html
“DISPOSITIONS RELATIVES À L’ALLONGEMENT DE LA DURÉE DE PROTECTION DE CERTAINS DROITS VOISINS”
“En 2011, 4600 balises ont été posées, en 2012 le nombre de poses de balises atteignait 5500, c’est-à-dire une croissance de 25% en une seule année. Concernant la géolocalisation par un terminal téléphonique, nous
sommes passé en 2009 de 1000 à 3000 réquisitions (il n’est même pas possible de savoir exactement combien dans cette fourchette de 1000 à 3000) et nous avons atteint 20000 réquisitions en 2013, ce qui est une augmentation considérable, et un cout pour les frais de justice qui s’élève à 10 millions d’euros.”
Christiane Taubira, ministre de la justice, le 11 février 2014.
45 commentaires
Contenus haineux : mise en cause par l’exécutif, Twitter France se défend
21/02/2019
Le 24/02/2019 à 21h 55
Coucou les LGBT+ ça vous dirait de voter pour un VRAI parti de tueur ?
Dédicace à @TFauvet2017 alias Tarja.
Une interdiction de réseaux sociaux dans l’arsenal de la future loi contre la haine
21/02/2019
Le 24/02/2019 à 20h 01
NAMES OR STFU !
Le 22/02/2019 à 03h 54
L’ aphorisme complet : « La dictature, c’est “ferme ta gueule” ; la démocratie, c’est “cause toujours”. »
Jean-Louis Barrault (1910 - 1994)
Le 21/02/2019 à 15h 38
Regardez, là, un burkini :-)
Frais de mandat des députés : premier revers pour Regards Citoyens devant le tribunal administratif
20/02/2019
Le 24/02/2019 à 14h 01
Pire que les “anciens” riches : les nouveaux “pauvres”.
Qui crachent sur le système après s’en être gavé. Isabelle Attard en est l’indigne representante.
Je pense à elle en mangeant des lentilles, si j’avais l’occasion de diner avec je cracherais dans son plat en lui exprimant : bon appétit bien sûr.
Le 24/02/2019 à 13h 47
Lods of emone
Loi contre la haine : quand le gouvernement rêve d’hygiène sur les réseaux sociaux
18/02/2019
Le 24/02/2019 à 11h 30
YouTube
Le 20/02/2019 à 15h 26
Nos heures sombres ne doivent pas nous détourner du sens de la vie.
:-I
Le 20/02/2019 à 11h 43
Puisque vous m’avez toustes l’air très concerné-e-s, je tiens juste à préciser que j’ai distribué hier une dizaine de CD du documentaire sur Aaron Swartz et je vous encourage à en faire autant si ce n’est plus (et ce quelle que ce soit “votre” communauté).
Le 19/02/2019 à 21h 13
YouTube
Au ministère de la Culture, le CSPLA s’intéresse vraiment à la réalité virtuelle
22/02/2019
Le 22/02/2019 à 12h 18
Yo !
Épinglé pour plagiat, Gad Elmaleh accuse CopyComic de contrefaçon
20/02/2019
Le 22/02/2019 à 11h 47
Il FAUT faire trinquer l’ADAMI (à ses frais) à grands verres de ciguë, lui tirer une balle dans la nuque (en la-lui facturant sans décharger) confier son cadavre à un-e disciple de César et exposer le résultat à Beaubourg et à Tussauds pour l’édification des genération.s futures.
[edit] mise en forme
Le 22/02/2019 à 04h 16
Le gueux, le marchand et le prévôt du roy
Le gueux attendait dans la rue que l’on jetât
Sur le pavé le pain mort ; le pain lancé au
Quémandeur comme au pigeon la miette…
En l’état, Le pain dans la main, lui parvint, tombé d’en haut
Comme du ciel la manne, mais d’une fenêtre…
Les riches font cela parfois pour chasser le
Manant quand nul ne peut le faire disparaître…
Les pauvres, pour en jouir, font de ce pain perdu,
En l’imprégnant de sucre un délice mielleux ;
Mais le gueux n’avait pas de quoi, bien entendu
Rajouter à ce pain pour s’en faire un délice…
Alors faisant contre male chance malice,
Il se place sous le haut vent d’un rôtisseur
Pour donner à son quignon de pain le fumé
Dont la rue, par le feu, se trouvait parfumée…
Voyant le gueux plonger la main du ravisseur
Dans l’odeur nourrissante en suspension dans l’air,
Le rôtisseur s’écrie imbibé de colère :
« Au voleur de humé ! Au voleur de humé ! »
Et de montrer la main du gueux dans la fumée…
Passe alors le Prévôt du Roy qui passait là ;
Trônant sur son cheval au dessus de cela…
Voyant le marchand gesticuler et brasser
L’air que le gueux prenait sur son pain et pressait,
Au choc avec les cris qui soudain se répandent,
Le Prévôt serre la bride et met le holà :
« Qu’y a-t-il bonnes gens ? Pourquoi donc tout ceci ?
Qu’on arrête cet homme ! Voilà ma demande !
Pour juge, le Prévôt qui n’est pas convaincu
Conteste au commerçant son droit sur le humé.
Le marchand pour autant ne s’avoue pas vaincu,
Et lui répond, deux points ; ouvrons les guillemets :
« J’ai mis la bête en broche de la barbe au cul !
Après l’avoir vidée, nettoyée, embaumée !
Et il m’en a couté pour préparer ce met :
Et le prix de la bête, et celui du rendu !
C’est à moi qu’appartient le fumé répandu !
Je veux bien que, sans le vouloir, on le respire
Mais ce que fait la main de ce gueux est bien pire !
Car elle donne à son quignon de pain perdu
Le goût que d’autres payent sa juste mesure ! »
Le Prévôt lui répond : « Rentre dans ta masure !
Et, si tu veux le prix du parfum qui en sort,
Paye-toi donc avec le son des pièces d’or
Qui tintent dans ma bourse au moment où je passe !
Ce qui vient de chez toi et se prend dans l’espace
Appartient à celui qui habite dehors :
Et ce hère est chez lui dans le vent comme l’or
De ma bourse est à toi dans sa forme sonore !…
Quant à Toi, gueux, je veux que tous ici T’honorent !
Car sans rien prendre de ce qui ne t’appartient
Tu te nourris du peu que Ton esprit retient
En donnant à ce qui n’en a plus : sa valeur !
En donnant à mauvaise fortune : Bon cœur ! »
N’écoutons pas toujours ce que les marchands disent :
De ce que l’homme fait, tout n’est pas marchandise.
La valeur n’est pas dans le seul poids en monnaie !
Le voleur c’est celui qui ne veut rien donner.
Source :http://www.inlibroveritas.net/edition/14451/hadopi
L’Assemblée rejette les amendements sur le logiciel libre à l’école
18/02/2019
Le 20/02/2019 à 22h 22
https://vimeo.com/309626671
Le 18/02/2019 à 15h 10
https://frama.link/xL2FyJhz
test, [img]https://frama.link/xL2FyJhz[/img]
Droit d’auteur : ce que prévoit l’article 13 en fin de négociations européennes
15/02/2019
Le 18/02/2019 à 20h 54
YouTube
Le 16/02/2019 à 10h 44
YouTube
Le 15/02/2019 à 18h 27
Je maintiens (et vous laisse compléter).
Le 15/02/2019 à 16h 19
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//NONSGML+PV+20180705+RES-RCV+DOC+PDF+V0//EN&language=EN (page7)
tl;dr :
ALDE : Ali, Arthuis, Calvet Chambon, Cavada, Cornillet, Deprez, Goerens, Griesbeck, Grigule-Pēterse, Hyusmenova, Jäätteenmäki, Katainen, Lalonde, Løkkegaard, Marinho e Pinto, Michel, Petersen, Ries, Riquet, Rochefort, Rohde, Vehkaperä, Verhofstadt
ECR : Dzhambazki, Foster, Henkel, Karim, Kölmel, McClarkin, McIntyre, Marias, Matthews, Nicholson, Procter, Sernagiotto, Starbatty, Swinburne, Tannock, Zīle
EFDD : Bergeron, Chauprade, Monot
ENF : Arnautu, Bilde, Boutonnet, Briois, Colombier, Goddyn, Jalkh, Lebreton, Lechevalier, Loiseau, Martin Dominique, Mélin, Schaffhauser, Troszczynski
GUE/NGL : Chrysogonos, Le Hyaric, Omarjee, Vieu
NI : Dodds, Gollnisch, Woolfe
PPE : Ademov, Alliot-Marie, Arimont, Ashworth, Bach, Balz, Becker, Bendtsen, Bogovič, Buda, Buşoi, Cadec, van de Camp, Casa, Caspary, Cirio, Clune, Coelho, Collin-Langen, Danjean, Dantin, Dati, Delahaye, Deli, Deß, Deutsch, Díaz de Mera García Consuegra, Didier, Ehler, Engel, Erdős, Faria, Ferber, Fernandes, Gahler, Gál, Gardini, Gieseke, Girling, Gräßle, Grossetête, Hayes, Hohlmeier, Hölvényi, Hortefeux, Jahr, Járóka, Joulaud, Juvin, Kalniete, Karas, Kefalogiannis, Kelam, Kelly, Ko
ch, Kósa, Kovatchev, Kuhn, Kyrtsos, Lamassoure, de Lange, Langen, La Via, Lavrilleux, Liese, Lins, López-Istúriz White, McAllister, Maletić, Mandl, Mann, Marinescu, Martusciello, Matera, Maullu, Metsola, Millán Mon, Moisă, Morano, Morin-Chartier, Mureşan, Nagy, Niebler, Novakov, Pabriks, Petir, Pieper, Polčák, Preda, Proust, Quisthoudt-Rowohl, Radtke, Rangel, Reding, Ribeiro, Rolin, Ruas, Rübig, Saïfi, Salini, Sander, Saudargas, Schmidt, Schöpflin,Schreijer-Pierik, Schulze, Schwab, Sógor, Šojdrová, Sommer, Stolojan, Šuica, Szájer, Tőkés, Tolić, Ţurcanu, Urutchev, Vaidere, Valcárcel Siso, Vandenkendelaere, Verheyen, Voss, Vozemberg-Vrionidi, Weber Manfred, Wieland, Winkler Iuliu, Zammit Dimech, Zeller, Zovko
S&D : Aguilera García, Anderson Lucy, Andrieu, Androulakis, Arena, Ayala Sender, Balas, Bayet, Berès, Blanco López, Bonafè, Boştinaru, Bresso, Cabezón Ruiz, Corbett, Costa, Cristea, Dance, Danti, De Castro, De Monte, Fernández, Ferrandino, García Pérez, Gardiazabal Rubial, Gasbarra, Gentile, Gill Neena, Gloanec Maurin, Grammatikakis, Grapini, Griffin, Gualtieri, Guerrero Salom, Guillaume, Gutiérrez Prieto, Honeyball, Howarth, Jáuregui Atondo, Khan, Kouroumbashev, Kyrkos, McAvan, Maňka, Martin Edouard, Maurel, Mavrides, Moody, Morgano, Nica, Palmer, Papadak is Demetris, Pargneaux, Pavel, Peillon, Picierno, Popa, Revault d’Allonnes Bonnefoy, Rodrigues Liliana, Rodrigues Maria João, Rodríguez-Piñero Fernández, Rozière, Sant, Sârbu, Sassoli, Serrão Santos, Silva Pereira, Simon Siôn, Smolková, Tănăsescu, Țapardel, Tarabella, Thomas, Toia, Valenciano, Vaughan, Ward, Zoană, Zoffoli, Zorrinho
Verts/ALE : Bové, Cramer, Delli, Harms, Rivasi, Trüpe
L’armée autorisée à faire des tests de surveillance en France
12/02/2019
Le 16/02/2019 à 18h 37
Twitter
Le 12/02/2019 à 14h 59
N’écoute pas les facheux, ne lis que la presse qui mérite de l’être :
https://www.lecanardenchaine.fr/vie-privee-cest-termine/
Ceci dit, tu/vous pouvez lire tout ce qui vous plaira ; après tout, nous vivons en pays libre ;-)
Le 12/02/2019 à 11h 21
Sur écoute ® Mozinor : YouTube
Article 13 de la directive droit d’auteur : quand la France milite pour un filtrage généralisé
11/02/2019
Le 16/02/2019 à 16h 57
« Quand on pense qu’il suffirait que les gens n’achètent plus pour que ça ne se vende pas ! »
Y en a bien un qui a crevé de sa belle mort, mais ça repousse comme du chiendent.
Le 12/02/2019 à 09h 32
FIGHT THE REAL ENEMIES :
https://www.senat.fr/rapports-senateur/morin_desailly_catherine04070g2013.html
->
https://www.senat.fr/rap/r13-696-1/r13-696-1-syn.pdf
Au Sénat, la Hadopi plaide pour une grande réforme de la lutte anti-piratage
11/02/2019
Le 11/02/2019 à 15h 35
Tu bluffes Martoni.
Ce que prévoit la proposition de loi anti-casseurs, adoptée par les députés
06/02/2019
Le 11/02/2019 à 00h 49
Ces illustres artistes qui revendiquent l’anonymat :
YouTube
Le 07/02/2019 à 22h 23
Les réponses du juge Marc Trévidic interviewé le 07 avril 2015 sur RTL par Yves Calvi :
YouTube
Droit d’auteur : quand l’industrie culturelle nous présente l’innocent article 13
05/02/2019
Le 07/02/2019 à 12h 32
« (…) Les lobbyistes des articles 11 et 13 sont donc entrés depuis l’été 2018 dans un jeu de donnant-donnant. « Je soutiens ton article 11, en échange tu soutiens mon article 13, et réciproquement ». En effet, le sort de ces deux articles est lié : l’un comme l’autre visent clairement Internet sous couvert de cibler les GAFAM ; l’un comme l’autre sont contestés depuis des mois par les associations de défense des libertés ; et le reste de la directive copyright est relativement consensuel. »
https://signal.eu.org/blog/2019/02/05/la-demission-francaise-sur-la-liberte-dexp…
—
Et ma réponse (en commentaire sur un billet précedent) :
« Perso, j’ai passé quelques coups de fil, envoyé des courriels et des courriers papier aux eurodéputé·e·s.
Je comprends que ça n’a pas beaucoup d’influence sur des personnes qui se font offrir dîner-concert :
Twitter TwitterCe que je comprends plus difficilement, c’est : pourquoi personne (hormis les ayants trop de droits) n’interpelle les eurodéputé·e·s sur leur compte twitter ? »
https://signal.eu.org/blog/2018/06/15/la-directive-copyright-et-le-problematique…
Le 06/02/2019 à 05h 32
Entretien avec Jérémie Zimmermann (la Quadrature du Net)
YouTube
Clap de fin pour Machinima
04/02/2019
Le 05/02/2019 à 01h 12
Accursed Farms Videochat February 2019 (about Machinima)
Quand la Hadopi cartographie « l’écosystème de la piraterie »
01/02/2019
Le 02/02/2019 à 13h 02
These are strange times indeed. While they continue to command so much attention in the mainstream media, the ‘battles’ between old and new modes of distribution, between the pirate and the institution of copyright, seem to many of us already lost and won. We know who the victors are. Why then say any more?
Because waves of repression continue to come : lawsuits are still levied against innocent people ; arrests are still made on flimsy pretexts, in order to terrify and confuse; harsh laws are still enacted against filesharing, taking their place in the gradual erosion of our privacy and the bolstering of the surveillance state. All of this is intended to destroy or delay inexorable changes in what it means to create and exchange our creations. If STEAL THIS FILM II proves at all useful in bringing new people into the leagues of those now prepared to think ‘after intellectual property’, think creatively about the future of distribution, production and creativity, we have achieved our main goal.
Trois mois de prison avec sursis pour avoir harcelé téléphoniquement l’Élysée
30/01/2019
Le 30/01/2019 à 14h 10
-t +s
Le 30/01/2019 à 13h 59
Si tu as du temps à perdre à faire des commentaires de commentaires sur un site aphone, fait-le à la réécoute de cet album : Trust - Répression YouTubeSolidarité avec un père de famille « professeur de musique de 38 ans »
Quand l’Office de lutte contre la cybercriminalité exige le retrait d’un photomontage visant Macron
29/01/2019
Le 30/01/2019 à 13h 27
Tes procès on le sait ne sont pas fondés
Dans tes camps on le sait on supprime sans gants
Elle se dit l’élite des peuples civilisés
Elle pourrait arborer sans aucune gêne la croix gammée
Elle a pour principe de protéger les gens
De leur littérature, de leurs pensées, de leurs chansons
Elle dit que c’est fondé sur l’esprit de liberté
Elle ne fait que parjurer les traités déjà signés
L’élite est entrée sans prévenir
Devant ses chars d’assaut vous n’aviez que des idées
Renforçons l’amitié proclament vos slogans
Amitié enfermant des gens nommés dissidents
Elle fut scandalisée en voyant ce génocide
Elle a combattu et vaincu quel homicide
La seule leçon qu’elle ait su en tirer
C’est de financer des états policiers
L’élite est entrée sans prévenir
Devant ses chars d’assaut vous n’aviez que des idées
Renforçons l’amitié proclament vos slogans
Amitié enfermant des gens nommés dissidents
Et l’élite est entrée sans prévenir
Devant ses chars d’assaut vous n’aviez que des idées
Renforçons l’amitié proclament vos slogans
Amitié enfermant des gens nommés dissidents
Dissident, l’élite!
Dissident, l’élite !
Dissident, l’élite !
Dissident, l’élite !
Dissident, l’éliiiiite !
Trust - L’élite : YouTube
Présidences de la CNIL et du CSA : auditions à l’Assemblée
28/01/2019
Le 28/01/2019 à 14h 08
Zalea TV - Aux chiottes le CSA : https://www.dailymotion.com/video/x19i9c
Article 13 de la directive droit d’auteur : la France vent debout contre l’exception PME
28/01/2019
Le 28/01/2019 à 11h 56
La conférence de savigny ® mozinor : YouTube
Emmanuel Macron s’attaque une nouvelle fois à l’anonymat
21/01/2019
Le 21/01/2019 à 15h 23
Le 21/01/2019 à 11h 27
https://framablog.org/2018/01/15/21-degres-de-liberte-01/
Vous ne connaissez peut-être pas le nom de Falkvinge. Ce militant des libertés numériques qui a porté son combat (notamment contre le copyright) sur le terrain politique en fondant le n’hésite pas à afficher des opinions tranchées parfois provocatrices.
Le groupe [url=https://framablog.org/author/framalang-framasoft/]Framalang a trouvé intéressant de soumettre à votre réflexion la série d’articles qu’il a entreprise récemment. Son fil directeur, comme il l’indique dans le premier épisode que nous vous livrons aujourd’hui, c’est la perte de certaines libertés dont nous disposions encore assez récemment, avant que le passage au tout-numérique ne nous en prive.
Nous nous efforcerons de vous traduire ces articles, semaine après semaine. Les commentaires, comme toujours, sont ouverts.
De l’analogique au numérique : nos enfants devraient pouvoir profiter des mêmes droits que ceux dont jouissaient nos parents
Par Rick Falkvinge, source : Private Internet Access
Traduction Framalang : draenog, mo, goofy, simon, 1 anonyme
Dans une série de 21 articles sur ce blog nous examinerons comment le droit à la vie privée, une liberté fondamentale, a complètement disparu quand on est passé à l’ère numérique. Sa dégradation n’est rien moins que catastrophique.
Nous aborderons toute une série de domaines dans lesquels la vie privée a tout simplement disparu avec la transition vers le numérique, et où cela nous mène. Pour chacune de ces thématiques, nous examinerons la position des différentes juridictions et les tendances qui se dessinent. La motivation principale est claire — il n’est absolument pas déraisonnable de penser que nos enfants devraient avoir au moins les mêmes libertés fondamentales individuelles que celles dont jouissaient nos parents, et aujourd’hui ce n’est pas le cas. Pas du tout.
Pour démarrer, nous traiterons des libertés concernant la correspondance postale, et comment de nombreuses libertés associées — comme le droit considéré comme acquis d’envoyer une lettre anonyme — ont été complètement perdues. Même chose pour les affiches anonymes sur les panneaux d’affichages ; qui défend votre droit de faire une déclaration politique anonyme aujourd’hui ?
Nous constaterons que nous n’avons plus le droit de nous balader sans que personne ne nous traque. C’était un fait acquis pour nos parents : les aéroports et les gares étaient des lieux où chacun pouvait être anonyme ; aujourd’hui nos téléphones permettent de nous localiser en temps réel aussitôt qu’on s’en approche.
De plus, nous verrons que les autorités devaient auparavant vous prendre en flagrant délit si vous faisiez quelque chose d’interdit. Elles sont maintenant capables de rembobiner les archives sur vingt ans ou plus pour trouver quelque chose qu’elles auraient raté lorsque cela s’est produit, ou qui simplement leur était indifférent à l’époque. Peut-être quelque chose auquel vous n’aviez même pas prêté attention à ce moment-là, et que vous avez complètement oublié 20 ans plus tard.
Nos parents allaient dans des bibliothèques à la recherche d’informations. Les bibliothécaires prenaient de grandes précautions, inventant même le warrant canary 2, pour assurer que n’importe qui puisse chercher n’importe quelle information à son gré et puisse lire n’importe quel livre sans que les autorités le sachent. Aujourd’hui Google prend les mêmes précautions extrêmes, mais pour noter tout ce que vous avez recherché, jusqu’à ce que vous avez failli chercher sans l’avoir fait. Bien entendu, tout ceci est disponible pour les autorités et gouvernements qui n’ont qu’à demander à Google de se conformer à la loi qui vient d’être publiée .
Il n’est absolument pas déraisonnable d’exiger que nos enfants aient au moins autant de libertés fondamentales – droit à la vie privée — dans leur environnement numérique que celles dont nos parents ont bénéficié dans leur environnement analogique. Cependant, les droits à la vie privée ont été quasiment abolis par la transition au numérique.
En parlant de lecture, nos parents pouvaient acheter un journal au coin de la rue pour quelques pièces de monnaie. Ils lisaient un journal sans que quiconque sache qu’ils l’avaient acheté ou lu. À l’inverse, pour nos enfants, est soigneusement enregistré quel journal ils lisent, quand, quels articles, dans quel ordre, pour quelle durée — et peut-être pire, quel comportement ils ont eu peu après, et si ce comportement semble avoir été provoqué par la lecture de l’article.
Ah, la monnaie au kiosque… L’argent liquide partout en fait. Plusieurs pays tentent de supprimer l’argent liquide, rendant toutes les transactions traçables. Une carte de paiement est plus commode ? Peut-être. Mais elle n’est pas plus sûre. Chaque achat est enregistré. Pire, chaque presque-achat de nos enfants est aussi enregistré, chose qui aurait été inconcevable dans le monde de nos parents. Encore pire, chaque achat est aussi soumis à autorisation, et peut être refusé par un tiers.
Nos parents n’avaient pas d’appels vidéos, ou de télés les observant. Mais s’ils en avaient eu, je suis à peu près sûr qu’ils auraient été horrifiés que des gouvernements puissent les observer directement dans leur salon ou pister leurs appels vidéos privés, y compris les plus intimes.
Quand nos parents avaient une conversation au téléphone, il n’y avait jamais de voix inconnue débarquant dans l’appel pour dire « vous avez mentionné un sujet interdit, veuillez ne pas aborder de sujets interdits à l’avenir ». C’est ce qui se produit dans les messages privés de Facebook dans le monde de nos enfants. Bien évidemment ceci est lié à l’idée de conversations privées à la maison, un concept que nos enfants ne comprendront même pas (mais ils comprendront qu’ils peuvent demander à la petite boîte à l’écoute de leur donner des gâteaux et une maison de poupée).
Nous examinerons aussi comment l’industrie du droit d’auteur exploite à peu près tout ceci pour tenter de changer radicalement le monde, dans ce qui ne peut être décrit que comme une faillite morale.
Nous aborderons tout cela et bien d’autres choses encore, dans la série à venir de 21 articles, dont voici le premier.
Votre vie privée est votre propre responsabilité.
1 Voyez les articles de lui que nous avons déjà traduits depuis quelques années
2 Un système permettant de signaler passivement au public que l’on a été obligé de fournir des informations confidentielles au gouvernement.
Durant longtemps, des canaris et des pinsons ont travaillé dans les mines de charbon. Ces oiseaux étaient utilisés pour donner l’alarme quand les émanations de monoxyde de carbone se faisaient menaçantes. Dès qu’ils battaient des ailes ou se hérissaient voire mouraient, les mineurs étaient avertis de la présence du gaz avant qu’eux-mêmes ne la perçoivent. Depuis, les alarmes électroniques ont pris le relais, évitant ainsi le sacrifice de milliers d’oiseaux. (source)
https://framablog.org/2018/01/15/21-degres-de-liberte-01/
Contrôle des étrangers : FAI, hébergeurs et sites Internet impliqués, la CNIL zappée
21/07/2015
Le 21/07/2015 à 14h 10
Vous trouverez le contact de votre députéE ici :
http://www.assemblee-nationale.fr/14/qui/circonscriptions/
Le 21/07/2015 à 13h 52
M. Mme …. Ville, date,
adresse,
Contact mail
À M. Mme …
députéE de la circonscription :
Madame la députée, Monsieur le Député,
Je prends connaissance via Nextinpact Next INpact, d’un texte qui sera étudié par les députés en lecture publique à partir du 20 juillet :
Ce texte prévoit la création d’un « droit de communication ». Cette disposition donnerait aux préfets le pouvoir de demander « sans que s’y oppose le secret professionnel autre que le secret médical » des informations sur les personnes demandant ou possédant un titre de séjour, auprès d’institutions aussi variées que :
Le but étant de confronter les déclarations des requérants à des données provenant directement des organismes concernés.
En tant qu’électeur/électrice en résistance, je tiens à vous informer que je refuserai, en conscience, de transmettre et de laisser transmettre toute information concernant quelque personne que ce soit.
En effet, cette loi, si elle était votée et appliquée, menacerait de façon irrémédiable les libertés fondamentales que je tiens à défendre en tant que citoyenNE.
Je vous demande en tant qu’éluE, de relayer cet engagement devant l’assemblée, et d’empêcher par tous les moyens à votre disposition l’adoption de cette loi.
Je sollicite un rendez-vous pour exposer de façon plus détaillée cette prise de position. Je me tiendrai informéE de votre présence, de vos interventions et de votre vote lors de ce débat. Je faciliterai la diffusion des noms des députéEs qui n’auront pas voté contre ce projet de loi.
Signature :
Rapport Reda : la commission ITRE veut concilier anciens et modernes
03/03/2015
Le 03/03/2015 à 12h 52
Les sociétés d’ayants droit ont bien fait leurs jobs, tandis que nous avions les yeux rivés sur le parlement européen, le sénat français publie : http://www.senat.fr/leg/tas14-061.html
“DISPOSITIONS RELATIVES À L’ALLONGEMENT DE LA DURÉE DE PROTECTION DE CERTAINS DROITS VOISINS”
Circulez, y’a plus rien à voir…
Droit d’auteur : Jean-Marie Cavada flingue le rapport Reda
25/02/2015
Le 25/02/2015 à 18h 05
Le 25/02/2015 à 17h 53
Il est attendu dans ses prochains déplacements pour les départementales à venir, mais je ne lui garanti pas le même accueil qu’à la FNAC.
Le 25/02/2015 à 17h 32
Net et terrorisme : quand Bernard Cazeneuve bascule à 100 %
20/02/2015
Le 20/02/2015 à 21h 07
“En 2011, 4600 balises ont été posées, en 2012 le nombre de poses de balises atteignait 5500, c’est-à-dire une croissance de 25% en une seule année. Concernant la géolocalisation par un terminal téléphonique, nous
sommes passé en 2009 de 1000 à 3000 réquisitions (il n’est même pas possible de savoir exactement combien dans cette fourchette de 1000 à 3000) et nous avons atteint 20000 réquisitions en 2013, ce qui est une augmentation considérable, et un cout pour les frais de justice qui s’élève à 10 millions d’euros.”
Christiane Taubira, ministre de la justice, le 11 février 2014.
Source : http://www.lcp.fr/emissions/travaux-en- … n-partie-2 (entre la 3eme et la 5eme minute sur la vidéo).